Academic literature on the topic 'Madagascar (île) – 20e siècle – Histoire'

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Dissertations / Theses on the topic "Madagascar (île) – 20e siècle – Histoire"

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Tisseau, Violaine. "Le pain et le riz : métis et métissage, entre "Européens" et Malgaches, dans les Hautes Terres centrales de Madagascar aux 19e et 20e siècles." Paris 7, 2011. http://www.theses.fr/2011PA070063.

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Abstract:
Notre travail a pour but de montrer comment les métis dans les Hautes Terres centrales de Madagascar ont pu se reclasser relativement aisément, par une sociabilité en partie libre du contrôle des autorités coloniales et par le fonctionnement de la société merina. Dans une première partie, nous montrons comment le métissage devient source d'inquiétude pour le pouvoir. La société merina, présentée comme close, s'est construite en relation avec l'étranger. Il faut le temps de cristallisation des appartenances juste avant la colonisation officielle puis la mise en place des cadres de la colonie pour que les métis deviennent une menace, bien plus fantasmée que réelle d'ailleurs. Nous voyons dans un second temps comment les différents acteurs de la colonisation tentent de contenir « la question métisse » en la considérant d'abord comme un problème social auquel il faut répondre par la prise en charge des métis, puis comme un problème juridique. La catégorie « métis » est alors érigée en catégorie de droit. Ces deux actions structurent fortement l'espace colonial dans lequel évoluent parents de métis et métis mais ceux-ci en tirent parti en mettant en place des stratégies pour acquérir la citoyenneté française. Enfin, alors que le pouvoir considère les métis comme formant un bloc homogène, nous montrons que cette vision est en partie fausse en étudiant leurs stratégies matrimoniales, leurs niveaux et modes de vie. La façon dont ils vivent au quotidien est en effet représentative de leur reclassement dans l'une ou l'autre des sociétés en présence, et de la mobilisation de leurs diverses identités en fonction des situations
The purpose of our work is to show how metis in the Central Highlands of Madagascar were able to reclassify relatively easily thanks to a sociality partly free from the control of colonial authorities and to Merina society organization. In the first part, we show how miscegenation emerges as a source of concern for the colonial authorities. Merina society, considered a closed one, bas built itself in connection with foreigners. Métis only become a threat - although more fantasized than real - after identities crystallize at the dawn of official colonization and after the foundations of the colony are set up. In a second part, we explain how the various actors of the colonization try to contain the "question des metis". First they regard it as a social problem that needs to be addressed by taking care of the metis, then as a legal problem which leads to establish the "metis" category as a legal one. Parents of metis and metis evolve in a colonial space that is strongly structured by these two actions, but they take advantage of it by developing strategies to acquire French citizenship. Finally, while the authorities see the metis group as homogeneous, we show that this view is partly wrong by studying their matrimonial strategies, living standards and lifestyles. The way they live day-to-day is indeed representative of their reclassifying into one or another of the existing communities, and their mobilizing of their various identities depending upon the situations
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Razafimbelo-Harisoa, Marie Solange. "La radiodiffusion à Madagascar : Perspective historique et usages sociaux." Paris 2, 2010. http://www.theses.fr/2010PA020098.

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Abstract:
Ce travail propose une étude de la radiodiffusion à Madagascar depuis son origine en 1931 à aujourd’hui, à travers une double observation d’un paysage radiophonique dynamique et d’une histoire sociale et politique mouvementée avec des faits marquants. Il s’agit pour nous d’étudier l’interaction entre la radiodiffusion et la vie sociale et politique à Madagascar. Notre problématique s’est orientée à la fois vers l’histoire dans laquelle s’est construite la radiodiffusion malgache et vers le peuple malgache qui a reçu cette radio et, dans une certaine mesure, lui a en retour donné sa marque. Notre questionnement de recherche s’articule donc autour d’une double approche historique et sociologique. La première partie de la thèse permet de retracer et d’analyser l’évolution du paysage radiophonique et la vie sociale et politique à Madagascar. La seconde partie aborde la radiodiffusion à deux niveaux : en amont, nous étudions les conditions (politiques, juridiques, économiques, religieuses et culturelles) de production de la radio et, en aval, nous présentons les résultats d’une étude de réception auprès des auditeurs portant sur leurs modalités d’écoute et les représentations qu’ils se font de ce média. Notre étude est la première à établir une étude approfondie sur l’histoire de Madagascar et de sa radio depuis plus de 80 ans, et à l’aborder simultanément du point de vue historique et sociologique, c’est-à-dire, orientée vers le passé et attentive au présent.
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Randriamampionona, Hubert. "Les aspects judiciaires de la rébellion de 1947 à Madagascar." Lyon 3, 2007. http://www.theses.fr/2007LYO33041.

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Abstract:
L'année 1947 marquait la fin de l'espoir d'émancipation du peuple malgache, né en novembre 1945 avec l'élection à la première Constituante des docteurs Ravoahangy et Raseta sur la base de slogans prônant une indépendance totale et immédiate de Madagascar. En effet, s'ils tempérèrent par la suite leur revendication initiale en revenant à la notion flou d'un Etat libre dans le cadre de l'Union française, des éléments radicaux travaillant dans i'ombre du Mouvement Démocratique de la Rénovation Malgache, parti créé en février 1946 pour aider ces élus malgaches à affronter les nombreuses échéances électorales, en profitèrent pour fomenter une rébellion qui éclata dans la nuit du 29 mars 1947. Dès le lendemain, une répression judiciaire s'abattait sur le MDRM désigne comme le principal responsable des évènements par le pouvoir colonial. L'intervention des institutions judiciaires n'apporta pas la garantie d'une justice impartiale et indépendante. Depuis leur mise en place au début du XXe siècle , outre la présence prédominante d'administrateurs en leur sein, elles n'avaient été qu'un moyen d'administration supplémentaire entre les mains du pouvoir colonial. Par ailleurs, la réforme judiciaire initiée en 1946 dans les territoires de la France d'Outremer n'avait fait que renforcer l'emprise administrative. Ainsi le rôle des tribunaux fut réduit à une simple légalisation de la répression inique menée par la Sûreté générale et les administrateurs provinciaux. Les débats du procès des parlementaires et autres leaders du MDRM qui se déroula de juillet à octobre 1948 devant la Cour criminelle de Tananarive et qui devait permettre de faire la vérité sur l'origine des événements ne peut que mettre en lumière l'emploi de procédés douteux, dans les locaux de la Sûreté générale, pour obtenir des aveux dits spontanés. Malgré ces révélations accablantes, le ministère public obtint finalement la condamnation inéluctable des chefs du MDRM grâce la production, à la dernière minute, de témoins à charge fournis, une fois de plus, par la Sûreté générale
The year 1947 marked the end of hope for the emancipation of the people of Madagascar, born in November 1945 with the election of the doctors Ravoahangy and Raseta at the first Constituent on the basis of slogans advocating a total and immediate independance of Madagascar. Indeed, if they changed their original request by referring to the concept of a blur free state within the French Union, the radical elements working in the shadow of the Movement of Democratic Renovation Malagasy, party established in February 1946 to help those elected officials prepare many elections, took the opportunity to foment a rebellion which broke out during the night of march 29, 1947. The next day, the judicial repression fell on the MDRM designated as the chief executive officer of events by the colonial authorities. The intervention of the judiciary did not guarantee an impartial and independent justice. Since their installation, in the early twentieth century, in addition to the dominant presence of administrators within them, they were also a way of administration additional in the hands of colonial authorities. In addition, judicial reform initiated in 1946, in the French colonies overseas had only strengthened the administrative grip. Therefore, the role of the courts was reduced to a simple legalization of unjust repression inducted by the General Security Department and the provincial administrators. The discussions in the trial of parliamentarians and other leaders of MDRM, which took place from July to October 1948 before the Criminal Court of Antananarivo, which was designed to determine the truth about the origin of events did only demonstrate that the use of dubious methods in the premises of the General Security Deppent to obtain confessions so-called spontaneous. Despite these damning revelations, the public prosecutors finally got the inevitable court sentence of the leaders MDRM, using witnesses provided at the last minute, once again, by the General Security Department
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Ballarin, Marie-Pierre. "Les reliques royales sakalava : source de légitimation et enjeu de pouvoir : (Madagascar, XVIIIème-XXème)." Paris 7, 1998. http://www.theses.fr/1998PA070094.

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Abstract:
La symbolique royale sakalava, exprimee par la conservation des restes des souverains defunts, est sans doute un exemple type de l'omnipresence du rapport aux ancetres dans les societes de l'ouest malgache. Le culte des reliques est, dans les societes sakalava, un systeme ancien, pratique par les habitants de l'ouest avant la formation des dynasties, qui sera erige en culte royal au fur et a mesure de la constitution des royautes. L'ancetre royal, a travers les reliques qui sont confectionnees a partir d'elements preleves sur son corps, tient la meme place protectrice que le saint medieval pour les descendants royaux, mais aussi pour l'ensemble des sujets. La protection agraire, originelle, se transforme en legitimation politique du role de la dynastie. Desormais, les restes du corps du roi defunt sont conserves dans un reliquaire et jouent un role fondamental dans l'exercice du pouvoir. Source de legitimation, source legitimante, quel sera le role des reliques lors de la perte de souverainete consecutive aux conquetes merina et francaise ? des 1882, une lutte apre s'engage entre merina et francais pour la detention des reliques, moyen de pression essentiel a la soumission des populations sakalava. Enfin, sur fond de decolonisation, la fonction legitimante de ces regalia s'exerce de nouveau dans le cadre de l'accession a l'independance. Lors des moments de crise politique, les reliques des rois sakalava et plus largement la symbolique royale constituent le referent principal des luttes et des alliances. En faisant notre la problematique de l'ambivalence des rapports entre pouvoir et religion, question d'actualite, nous pourrons voir, au terme de cette etude, quelle est l'efficacite dans le contexte local actuel de ces anciens principes ideologiques. Nous verrons qu'aujourd'hui la possession des reliques reste capitale dans les enjeux locaux et a force de legitimation. C'est donc dans un cadre historique large que se situe cet essai de comprehension de la relation a l'ancestralite
The sakalava royal symbolic is expressed in the conservation of deceased kings remains. These regalia are probably a typical example of the ever present relationship to ancestors in western malagasy societies. In the sakalava societies, the cult of relics was practised by the inhabitants of the west of madagascar before the formation of dynasties. This cult will be promoted as a royal culte in the course of the constitution of the kingdoms. As medieval saints in europe, the royal ancestor, through his relics, protects not only the royal descent but also the subjects as a whole. The agricultural protection provided by the relics cult becomes an instrument of political legitimisation for the dynasties. From then onwards, the remains of the royal body are kept in a reliquary and play a fundamental role in the practice of power. Source of legitimisation or legitimising source, what role will the relics play after the lose of souvereignty that follows the merina and frenh conquests ? by 1882, the french and the merina have entered into a bitter struggle for the keeping of the relics, a useful to maintain the submission of the sakalava population. At last, in the wake of independence, the legitimising role of these regalia again applies again in the context of the new stakes of power. In moments of political crisis, the relics of the sakalava kings, and more globally, the royal symbolic, constitute the main reference of in-fights and alliances. Stressing the ambivalence between power and religion, still a relevant topic today, we will see the lasting efficiency of these ancien ideological principles in today's local context. Today, the possession of relics remains locally a major stake and a force of legitimisation. It is therefore in a broad historical context that this attempt to understand the relationship with ancestors is located
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Ba, Amadou. "Des "Sénégalais" à Madagascar : militaires ouest-africains dans la conquête et la colonisation de la Grande-île (1895-1960)." Paris 7, 2010. http://www.theses.fr/2010PA070024.

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Abstract:
Au cours de la seconde moitié du XIXe siècle, la France, pour retrouver une partie de sa grandeur perdue pendant les guerres napoléoniennes et surtout après sa défaite humiliante contre la Prusse en 1870, reprit sa politique de colonisation en Afrique et dans l'océan Indien. En mars 1895, une expédition lancée contre la Grande île aboutit à la prise d'Antananarivo en septembre de la même année. Parmi les troupes envoyées dans ce pays, les originaires de l'Afrique Occidentale Française, généralement connues sous le nom de « tirailleurs sénégalais » - bien que la plupart n'aient pas été originaires de la colonie du Sénégal elle-même mais d'autres territoires - ont tenu une place importante. Après avoir été utilisées comme éléments de conquête et de « pacification », les recrues de l'Afrique occidentale française (A. O. F) furent maintenues dans cette colonie de l'océan Indien du Sud-Ouest comme force d'occupation et reconvertis dans la police. En 1947, une violente insurrection éclata dans la partie est de Madagascar. Pour réprimer ce soulèvement, la France envoya à nouveau des bataillons de tirailleurs sénégalais à partir de sa base de Djibouti, mais aussi de la France. Plusieurs de ces soldats furent tués (1. 900 tirailleurs périrent). Une fois le calme revenu, bon nombre de ces soldats furent maintenus comme policiers dans ce pays comme au début du XIXe siècle et sans jamais retourner chez eux. À partir des sources archivistiques (archives de Vincennes et Aix-en-Provence en France, Archives nationales du Sénégal et Archives de la République de Madagascar), des documents iconographiques et films, des enquêtes de terrain réalisés à Madagascar en 2006, au Sénégal (2006 et 2008) et en France) mais surtout des ouvrages et revues sur l'histoire de tirailleurs sénégalais, l'histoire militaire de la France pendant la période coloniale et celle de Madagascar, je me propose de reconstituer cette histoire des tirailleurs sénégalais négligée par les chercheurs et dont la France se soucie peu. Mon plan est constitué de trois grandes parties : Dans un premier temps, il s'agit d'analyser les principales motivations du recrutement militaire en Afrique de l'Ouest pour conquérir une colonie située à des milliers de kilomètres de l'A. O. F. Quelles sont les modalités, les méthodes et stratégies du recrutement? Quelle place occupait l'Afrique de l'ouest dans le recrutement? Comment les jeunes Africains percevaient l'armée. Sont-ils des recrues volontaires ? De quelle origine sociale et « ethniques » sont-ils ?
Of Senegalese in Madagascar : West African Soldiers in the Colonization of the Grande Ile (1895-1960) France, in the second half of the 19th century, in an attempt to regain part of the grandeur she had lost during the Napoleonic wars, and most significantly in the aftermath of her defeat against Prussia in 1980, resumed her colonization policy in Africa and the Indian Ocean. In March 1895, an expedition launched against the Grande ile resulted in the capture of Antanananarivo in September that same year. The troops sent to this country included individuals hailing from Afrique Occidentale Française (French West Africa), usually referred to as the "tirailleurs senegalais" - even though most of them did not originate from the colony of Senegal per se, but rather from other territories - who played a significant part After being used as units of conquest and « pacifying », the African recruits from the A. O. F, Afrique occidentale française (French West Africa), remained stationed in this southwestern Indian océan colony as an occupying force and turned into police forces. In the year 1947, a violent insurrection broke out in eastern Madagascar. In order to repress this uprising, France sent once more battalions of "tirailleurs sénégalais", quartered in her Djibouti base, but also in metropolitan France. Many of those soldiers were killed (1,900 "tirailleurs" died). At the end of the operation, large numbers of those soldiers were maintained in this country as policemen, as had been the case at the beginning of the XIXth century, and without ever returning to their homeland. Drawing from archives (Vincennes and Aix-en-Provence in France, the National Archives of Senegal and the Archives of the Republic of Madagascar), iconography and films, fieldwork carried out in Madagascar in 2006, in Senegal (2006 and 2008), and in France; but drawing mostly from books and journals on the history of the "tirailleurs sénégalais", colonial French and Malagasy military history, I seek to pièce together this history of the "tirailleurs sénégalais". A history both neglected by scholars and overlooked by the French nation. My dissertation falls into three chapters: First, I analyze the main motivations behind the military draft in West Africa used so as to conquer a colony located thousands of kilometers away from A. O. F. (French West Africa). What were the particulars, the methods, and the strategies of the draft? What was the position of the A. O. F. In this draft? How did the young African view the army? Where those recruits volunteers? What were their social and ethnic backgrounds? The second chapter is devoted to the study of the various missions the tirailleurs sénégalais were trusted with. What was their role in the colonization of Malagascar? What happened to them after the conquest and "pacifying"? Lastly, I turn to the contemporary impact of a West African presence in the colonization of Madagascar through three themes:
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Robson, Benjamina. "Anthropologie historique des telo troky tesaka à Madagascar : des ordres statutaires aux communautés politico-religieuses contemporaines (17e-21e siècle)." Thesis, Paris, EHESS, 2019. http://www.theses.fr/2019EHES0176.

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Abstract:
La thèse propose une analyse du pouvoir « politico-religieux (Godelier 2007) » tesaka — à Vangaindrano, Sud-est de Madagascar — en y intégrant des considérations historiques et évolutives. Elle met en évidence la dialectique de la transformation de l’exercice du pouvoir politico-religieux depuis la fondation du royaume tesaka, probablement vers le 17e siècle, jusqu’à la création des trois communautés politico-religieuses contemporaines (les telo troky) en 1897, et à leur état de nos jours. L’objectif principal est de présenter les aspects à la fois permanents et dynamiques du système social tesaka en mettant en exergue l’étroite imbrication du politique et du religieux incarnée par l’héritier et détenteur des poteaux cultuels de sacrifice aux êtres sacrés invisibles (le pità hazomanga). Si pendant la période royale tesaka, seul le roi hérite des poteaux cultuels (les fatora) et détient l’exclusivité de l’exercice du pouvoir politico-religieux de pità hazomanga, l’émergence des telo troky conduit à l’édification des fatora et à l’apparition de pità hazomanga propres à chaque communauté. Dès lors, le culte de sacrifice aux êtres sacrés invisibles ( velatry) se présente comme l’élément stable du « noyau du processus rituel (Bloch 1997 [1992]) », révélateur de la résilience d’un système de croyances religieuses et applicable à tous les échelons des unités politico-rituelles locales (troky ou fatora, raza ou koboro, raibe raiky ou trañondonaky, lonaky ou traño raiky)
The thesis sheds light on "political-religious" tesaka power (Godelier 2007) — in Vangaindrano, South-Eastern Madagascar — by integrating historical and evolutionary considerations. It aims to be a tool for understanding the dialectic of the transformation of the exercise of politico-religious power since the foundation of the tesaka kingdom, likely to have occurred in the 17th century, until the creation of the three contemporary communities of politico-religious order (telo troky) in 1897, and their state nowadays. The main objective is to present the permanent and dynamic aspects of the tesaka social system by highlighting the close interweaving of the political and religious embodied by the keeper of sacrificial worship posts for the invisible sacred beings (pita hazomanga).If during the tesaka royal period, only the king inherits worship posts (fatora) and has the exclusivity of the exercise of the politico-religious power of pità hazomanga, the emergence of telo troky leads to the construction of the Fatora and the appearance of a pità hazomanga specific to each community. From then on, the sacrificial ceremony to the invisible sacred beings (velatry) presents itself as the stable element of the "core of the ritual process" (Bloch 1997 [1992]: 9), revealing the resilience of a system of religious beliefs, and applicable to all grades of local politico-ritual units (troky or fatora, raza or koboro, raibe raiky or trañondonaky, lonaky or traño raiky)
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Romeuf-Salomone, Sophie. "Le pouvoir colonial et les communautés étrangères à Madagascar : 1896-1939." Aix-Marseille 1, 1990. http://www.theses.fr/1990AIX10046.

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Abstract:
Cette thèse analyse la politique du pouvoir colonial à l'égard des étrangers à Madagascar de 1896 à 1939. Cette politique se développe dans deux directions : d'une part, la recherche de main-d'oeuvre et de colons étrangers et, d'autre part, le contrôle de l'immigration étrangère libre. Dans la première partie, nous examinons les diverses tentatives et projets d'introduction dans la colonie, de travailleurs et de colons étrangers. L'accent est mis sur les motivations des autorités françaises et les causes de l'échec de cette politique. Toutes ces opérations furent, en effet, des échecs ; en conséquence, les communautés étrangères ne furent pas le résultat de cette immigration "encadrée", mais au contraire, le produit d'une immigration libre, le plus souvent de type familial. La seconde partie est consacrée aux communautés étrangères ayant fait souche à Madagascar : indienne, chinoise, mauricienne, grecque, britannique, norvégienne, américaine, africaine. . . Nous analysons les diverses communautés étrangères sous le triple aspect : de leur présence (immigration, implantation géographique, caractéristiques socio-culturelles. . . ), de leurs activités professionnelles (secteur d'activités, techniques, rôle dans l'économie de Madagascar. . . ), enfin, de leurs relations avec le pouvoir colonial français. La troisième partie est consacrée au régime des étrangers à Madagascar. Ce régime fut élaboré par touches successives en tenant compte d'aspirations contradictoires : la volonté de favoriser les activités françaises et la nécessité de faire une place à certaines activités étrangères indispensables à l'économie de Mada. (DocThèses)
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Lambert, Olivier. "Marseille et Madagascar : histoire d'une aventure outre-mer : entrepreneurs et activités portuaires, stratégies économiques et mentalités coloniales (1840-1976)." Paris, EHESS, 1999. http://www.theses.fr/1999EHES0030.

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Abstract:
MARSEILLE ET MADAGASCAR, 1840-1976 : UN TERRITOIRE OUTRE-MER HOMOGENE, UNE PERIODE SUFFISAMMENT LONGUE POUR APPREHENDER UN PHENOMENE MAJEUR DANS L'HISTOIRE CONTEMPORAINE DE L'ECONOMIE PHOCEENNE, CELUI DE LA COLONISATION. L'OBJET EST DONC DE MIEUX COMPRENDRE, A PARTIR D'UNE ETUDE DE CAS, LE ROLE JOUE PAR CE FACTEUR QUE BEAUCOUP ONT CONSIDERE COMME UN DES PRINCIPAUX ELEMENTS DE LA CROISSANCE DU PORT DE MARSEILLE AUX XIXEME ET XXEME SIECLES. POUR CELA, LA PROBLEMATIQUE PREND APPUI SUR LES MILIEUX D'AFFAIRES ET LES ENTREPRISES ; DEMARCHE ASCENDANTE - DES ACTEURS JUSQU'AU << MACRO-ECONOMIQUE >> - AVEC POUR PRINCIPALES INTERROGATIONS : COMMENT ONT-ILS ABORDE L'ESPACE MALGACHE ? A QUEL MOMENT Y ONT-ILS RENCONTRE LE FAIT COLONIAL - RENCONTRE PRECOCE OU TARDIVE ? QUELS FURENT LEURS PROGRAMMES ECONOMIQUES ET TROUVERENT-ILS UN APPUI FAVORABLE DANS LA COLONISATION POUR LE REALISER ? QUELLES ONT ETE LES RETOMBEES DE LEURS INITIATIVES OUTRE-MER NOTAMMENT POUR LE TISSU ECONOMIQUE MARSEILLAIS ? IL S'AGIT AINSI DE DISCERNER LES TENANTS ET ABOUTISSANTS D'UNE EXPANSION OUTRE-MER, DE METTRE EN RELIEF SES ARTICULATIONS VIS-A-VIS D'UNE ECONOMIE METROPOLITAINE, EN L'OCCURRENCE L'EVOLUTION CONJONCTURELLE ET STRUCTURELLE DU PORT PHOCEEN. AU TERME D'UNE ANALYSE D'OU SE DISTINGUENT PLUSIEURS PHASES (QUATRE GRANDES PERIODES AU TOTAL), ON DECOUVRE UNE REALITE QUELQUE PEU DIFFERENTE DE CELLE DECRITE PAR L'HISTORIOGRAPHIE TRADITIONNELLE. D'UNE PART, LES RAPPORTS ENTRE MARSEILLE ET LE FAIT COLONIAL NE SONT PAS AUSSI MONOLITHIQUES, AUSSI EVIDENTS QU'IL Y PARAIT. ON PEUT MEME SE DEMANDER SI L'ADHESION DES MILIEUX D'AFFAIRES A LA COLONISATION POLITIQUE NE FUT PAS DANS UNE CERTAINE MESURE UN EPIPHENOMENE. D'AUTRE PART, LEURS ACTIVITES AU SEIN DE L'ESPACE MALGACHE N'ONT PAS SEULEMENT REPOSE SUR LE SCHEMA CLASSIQUE D'UNE ECONOMIE IMPERIALE ; LA AUSSI, S'AFFIRME TRES TOT ET DURABLEMENT UNE PLURALITE QUE CE SOIT DANS LES FORMES DE LEURS INTERVENTIONS OU EN TERME DE RESEAUX COMMERCIAUX.
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Razaimiandrisoa, Nirina. "Représentations de la société malgache dans les nouvelles d'un auteur malgache des années 30, Alfred Ramandiamanana (1886-1939)." Thesis, Paris, INALCO, 2013. http://www.theses.fr/2013INAL0028.

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Abstract:
La thèse porte sur les représentations de la société malgache dans les nouvelles d’un auteur des années 30, écrivant en malgache, Alfred RAMANDIAMANANA (1886-1939). Ecrivain, poète et nouvelliste au début de l’époque coloniale à Madagascar de 1906 à 1939, Ramandiamanana, nostalgique de l’époque précoloniale va s’affilier à une société secrète nationaliste découverte vers la fin de 1915 qui fut un mouvement intellectuel dont les principaux objectifs étaient de préserver l’unité nationale et la lutte pour le développement de Madagascar. Pendant presque trente ans il a publié soit des poèmes, soit des textes d’analyses, soit des nouvelles, dispersés dans les premiers journaux non confessionnels malgaches du début du XXe siècle. D’où l’intérêt de s’interroger sur le sens que prennent ses diverses formes d’écrits tout en les remettant dans leur contexte historique.La thèse se présente en deux volumes. Le volume I Analyse étudie l’articulation entre l’histoire et le contexte politique ainsi que le statut de la langue malgache par rapport à la langue française introduite par la colonisation. Durant cette période de pacification coloniale, la presse étant muselée par la censure, la répression étant sévère, l’analyse porte sur les façons dont les intellectuels se sont approprié la langue en intégrant la critique de la société coloniale et de la société malgache de l’époque en utilisant un langage codé. L’auteur utilise également le rire pour faire passer son message aux lecteurs. Ses œuvres expriment l’engagement culturel de l’auteur. Le deuxième volume comprend les 48 textes en malgache avec la traduction française réalisée par Nirina Vololomaharo RAZAIMIANDRISOA. Le vocabulaire utilisé, ainsi que le contexte d’écriture n’est pas toujours connu du public actuel, des explications détaillées dans des notes de bas de page sont fournies
The thesis focuses on the representations of the Malagasy society in the short stories of the writer of the 30s, writing in Malagasy, Alfred RAMANDIAMANANA (1886-1939).Writer, poet and short story writer at the beginning of the colonial era in Madagascar from 1906 to 1939, Ramandiamanana, nostalgic of the pre-colonial era joined a secret nationalist society discovered towards the end of 1915. The secret society turned out to be an intellectual movement whose main objectives were to preserve the national unity and the struggle for the development of Madagascar. For nearly thirty years, he published either poems, or text analysis, or short stories, dispersed in the first Malagasy non-denominational newspapers of the early twentieth century. It becomes therefore interesting to reflect on the direction taken by these various forms of writings while putting them in their historical context.The thesis is presented in two volumes. Volume I, the Analysis, examines the relationship between history and politics as well as the status of the Malagasy language in relation to the French language introduced by colonialism. During this period of colonial pacification, the press was muzzled by censorship and the repression was severe. Thus, the analysis focuses on the ways in which the intellectuals took over ownership of the language while taking into account the critique of the colonial society and the Malagasy society of the time, using a coded language. The author also uses laughter to get his message across to the readers. His works express the cultural commitment of the author.Volume II consists of 48 texts in Malagasy with the French translation by Nirina Vololomaharo RAZAIMIANDRISOA. Granted that the language used and the context are not always known to the public today, detailed explanations are provided in footnotes
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Ripol, Georges. "Les forces aériennes françaises dans la zone Sud de l'océan Indien, 1929-2004 : du camp d'aviation d'Ivato à la B.A. 181 de Saint-Denis-Gillot : soixante-quinze [75] années de présence de l'Armée de l'air à Madagascar et à La Réunion." La Réunion, 2008. http://elgebar.univ-reunion.fr/login?url=http://thesesenligne.univ.run/08_13-ripol.pdf.

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Abstract:
Installée à Madagascar en 1929, l'Aviation militaire française rayonna depuis la base aérienne d'Ivato, située près de Tananarive. Durant plus de quatre décennies, les aéronefs frappés de la cocarde multiplièrent les missions de transport, de liaison ou de secours, et ceci sur tout le territoire malgache ainsi qu'aux Comores et à La Réunion. Certaines de ces machines et leurs équipages participèrent aussi à des épisodes guerriers : l'opération Irondad et la conquête de la Grande île par les Anglo-Sud-Africains en 1942, puis la campagne de pacification suite à l'insurrection d'une partie de la population malgache en 1947-48. En 1973, les orientations politiques des gouvernants nouvellement en place à Tananarive aboutirent au retrait des forces françaises de la Grande île. La Base aérienne 181 fut alors transférée d'Ivato à Saint-Denis-Gillot, à La Réunion. En 1976, elle prit le nom de tradition « Lieutenant Roland Garros ». Disposant uniquement d'avions de transport et d'hélicoptères, les personnels de cette base forment la composante Air des Forces armées françaises en zone sud de l'océan Indien et participent largement au rayonnement de la France dans cette partie du monde
Set up in Madagascar in 1929, the military french air force travelled around from Ivato, near Tananarive. Until the beginning of the '70, aircrafts of the armee de l'air performed thousands of varied missions : transport, air link, Search and Rescue. Some of them and their crews fought british / South African invaders in 1942 and others took a large part in the campaign against Madagascar! uprising in 1947-48. In 1973, because of the new political orientations in Tananarive, the french forces had to leave Madagascar. The base aerienne 181 was then transfered from Ivato to Saint-Denis-Gillot, Reunion island. In 1976, it adopted the name of tradition « Lieutenant Roland Garros ». Using only transport planes and helicopters, B. A. 181 airmen form the air component of the french military organization in the southern area of Indian ocean. Then, they greatly acted for the permanence of France's influence in this part of the World
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