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Dissertations / Theses on the topic 'Maintien de la paix – Afrique occidentale'

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Koffi, Kouamé. "La Stabilisation et le maintien de la paix en afrique de l'ouest." Lille 1, 1988. http://www.theses.fr/1988LIL12017.

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Abstract:
L’Afrique de l'ouest qui réunit seize états issus des indépendances de 1960, n'échappe pas - comme l'ensemble des pays du tiers-monde d'ailleurs - aux risques de conflits et de déstabilisation, comme au problème du sous-développement. Ces états ouest-africains sont donc confrontes a un certain nombre de vulnérabilités, qui sont soit internes, soit externes. Dans le premier cas, elles sont à la fois politiques et économiques : politiques par le fait de notre passé colonial avec pour inconvénient majeur la balkanisation de nos états et aussi par les difficultés qu'ont toujours éprouvé nos dirigeants pour constituer un regroupement politique interafricain qui soit à mesure de canaliser toutes les énergies. Ces facteurs politiques sont aggraves par les vulnérabilités économiques (à savoir le manque de capitaux, les conditions climatiques, la faiblesse des moyens de communications. . . ) Qui freinent l'industrialisation de l’Afrique de l'ouest. Quant aux sources d'instabilité externes, elles proviennent de la position de notre région en tant que zone de lutte d'influence entre les grandes puissances d'une part, mais aussi de la proximité de points sensibles que sont les conflits sahraoui et tchadien avec en toile de fond, une certaine expansion de l'islam intégriste. Il y a donc la nécessité évidente d'une recherche de stabilité globale, (. . . )
West africa which unites 16 states, independent since the 1960's, does not escape - like all the other thirld world countries by the way - from the risks of conflicts and destabilization, likewise, the problem of bein under developed. These west african states are therefore confronted by a certain number of weak points, either internal or external. In the first case, they are both political and economic; political due to our colonial past with it's major inconvenience being the balkanisation of our states and also due to the difficulties our leaders have always had in creating an inter african political regrouping that would be able to channel all the energy available. These political factors are worsened by the economic vulnerability (the lack of capital, the climatic condition, the weatiness in means of communication. . . ) Which inhibits the industrialisation of west africa. As for the sources of external instability, they come on from the position of our region as the 3 rd zone in the struggle for supremacy between the major powers, but also from the proximity of sensitive areas such as the conflicts in the sahara and in tchad, with as a background, a certain expansion of integral islam. There is therefore an obvious need for global stability (political, military, cultural, and especially economics). (. . . )
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Kpodar, Adama. "Réflexion sur la régionalisation du maintien de la paix et de la sécurité collectives : l'exemple de l'Afrique de l'Ouest." Poitiers, 2002. http://www.theses.fr/2002POIT3028.

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Abstract:
L'Organisation des Nations Unies et l'Organisation de l'Unité Africaine ont pratiquement échoué dans leur rôle de maintien de la paix et de la sécurité en Afrique. La Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) s'est alors activée dans la résolution des guerres civiles qui secouaient la région : Liberia, Sierra Leone, Guinée Bissau. Elle a notamment mis en oeuvre les actions prévues par ses différents protocoles sécuritaires ainsi que celles contenues dans le chapitre VIII de la Charte des Nations Unies. Ainsi, naît en Afrique de l'Ouest un nouvel ordre sécuritaire régional fondé sur l'activation du chapitre VIII de la Charte des Nations unies. Dans la résolution des différentes guerres civiles, la CEDEAO constitua une force d'interposition (Ecomog), chargée de maintenir, de restaurer et d'imposer la paix. Cette organisation a également oeuvré au règlement politique de ces guerres. En théorie, la régionalisation du maintien de la paix et de la sécurité internationales/régionales se résume ainsi : l'organisation régionale, agissant en vertu du chapitre VIII de la Charte des Nations unies dispose de la responsabilité principale dans le règlement pacifique des conflits et utilise la force militaire ou prend des mesures coercitives sous réserve de "l'autorisation du Conseil de sécurité". Bien que la CEDEAO a voulu institutionnaliser les procédures de règlement des différentes guerres civiles, elle s'est écartée des dispositions de ses protocoles ainsi que de la légalité internationale, notamment celle du Chapitre VIII, surtout dans l'imposition des mesures militaires et coercitives. Les différentes actions de l'organisation s'avèrent cependant opportunes et conformes aux buts des Nations Unies. Par ailleurs, la pratique montre que certains Etats membres de la CEDEAO en l'occurence le Nigéria, profitent des actions de l'organisation pour étendre leur hégémonie militaire, politique et économique, à la région. En plus, les actions de l'organisation ouest africaine n'empêchent pas d'autre Etats d'intervenir unilatéralement dans ces guerres civiles. L'institutionnalisation des mécanismes de règlement souffre t-elle alors d'un déficit de légitimité ? Face à ce constat, deux alternatives sont possibles : soit restaurer l'utilisation du Chapitre VII de la Charte, ce qui est très difficile ; soit emmener [sic] l'organisation régionale à s'adapter à la lettre et à l'esprit du Chapitre VIII de la Charte.
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Bagayoko-Penone, Niagalé. "Les politiques de sécurité française et américaine en Afrique de l'Ouest : approche comparée des stratégies de la France et des Etats-Unis." Paris, Institut d'études politiques, 2002. http://www.theses.fr/2002IEPP0046.

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Ali, Gazibo Kadidiatou. "La régionalisation de la paix et de la sécurité internationales post-guerre froide dans le cadre de la CEDEAO : la construction d’un ordre sécuritaire régional, entre autonomie et interdépendance." Thesis, Paris 1, 2013. http://www.theses.fr/2013PA010297/document.

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Abstract:
Ce travail a pour objectif d'analyser la nature et l'ampleur des tentatives d'institutionnalisation d'un régime régional de sécurité dans le cadre de la communauté des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO). Elle part du constat que la fin de la guerre froide et la globalisation ont provoqué un changement dans la nature de la conflictualité et changé la donne pour l'ONU et les grandes puissances dans le domaine du maintien de la paix. Face à la multiplication des conflits internes et régionaux, on observe l'émergence de nouveaux acteurs de sécurité qui leur contestent le monopole des opérations de maintien de la paix et de la sécurité. En Afrique de l'Ouest, sous l'action de la CEDEAO, on assiste à partir de 1990 à la "sécurisation" progressive d'enjeux non militaires (politique, social, économique et environnemental) avec comme objectif, la mise en place d'une communauté de sécurité. En nous appuyant sur les cas empiriques d'interventions de la CEDEAO au Libéria, en Sierra Léone et en Guinée-Bissau entre autres, nous analysons pourquoi et comment la régionalisation des opérations de paix a produit des transformations, notamment une politique d'intégration et une reformulation des enjeux sécuritaires dans la région. Cela nous conduit à appréhender la CEDEAO comme région et comme acteur de sécurité dans le champ des relations internationales. En recourant à différentes approches (fonctionnalistes, constructivistes, réalistes), nous explorons d'une part le processus régional de sécurisation au plan empirique et institutionnel, et d'autre part les difficultés, les apprentissages et les jeux d'acteurs dans le champ des opérations de paix. Dans la mesure où ce dernier est ouvert et investi par différents acteurs, se pose également la question de la coordination de leurs interventions
This thesis aims at analyzing the nature and scope of attempts at institutionalizing a regional security regime within the framework of the Economic Community of West African States (ECOWAS). The end of the Cold War and globalization led to changes in the nature of conflicts and modified the parameters for the UN and the Great Powers in the area of peacekeeping. The multiplication of internal and regional conflicts led to the emergence of new security actors who put an end to the monopolization of peacekeeping and security operations by the traditional actors like the UN. From 1990 on, a progressive "securization" of non-military stakes (political, social, economic and environmental issues) took place in West Africa under the auspices of CEDEAO, with the goal of creating a security community. Based on empirical evidence of CEDEAO interventions in Liberia, Sierra Leone and Guinea-Bissau among others, we analyze why and how the regionalization of peace operations produced transformations, notably the crafting of an integration policy and the reformulation of security stakes in the region. Such reflection leads us to comprehend CEDEAO not only as a region, but also as a security actor in the field of International Relations. Drawing upon diverse approaches (functionalist, constructivist, and realist) we not only explore the regional security regime construction process in an empirical and institutional perspective, but also analyze difficulties, lessons learned and actor strategies in the field of peace operations. Since peacekeeping is traditionally an open field with many competing actors, we also investigate into the coordination of their interventions
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Maiga, Abdoulaye. "La crédibilité de la Commaunauté Economique des Etats d'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) dans sa quête de la paix et de la sécurité." Thesis, Lyon 3, 2011. http://www.theses.fr/2011LYO30057.

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Abstract:
La Communauté Economique des Etats d’Afrique de l’Ouest est une organisation internationale qui s’est très tôt impliquée dans le maintien de la paix et de la sécurité. Elle a entrepris des interventions militaires dans certains Etats ouest-africains, comme le Libéria, la Sierra Léone, la Guinée Bissau, dans les années 1990. A partir de 1999, la CEDEAO a procédé à une réorientation stratégique en matière de sécurité. Celle-ci s’est manifestée par l’adoption d’un nouveau mécanisme de sécurité visant à placer l’individu au cœur des préoccupations sécuritaires. Le nouvel objectif de la CEDEAO est de réaliser la sécurité humaine au profit des citoyens ouest-africains. Il se trouve que la réalisation de la sécurité humaine nécessite des moyens économiques et financiers, or les Etats ouest-africains sont parmi les plus pauvres du monde. Aussi, depuis l’adoption du nouveau mécanisme de sécurité, la CEDEAO rencontre de plus en plus de difficultés à concrétiser les nobles recommandations et principes contenus dans son ordonnancement juridique, dans un contexte marqué par l’accroissement des menaces militaires contemporaines et des menaces non militaires.Après plus de 30 ans d’expériences dans le processus d’intégration, n’est t-il pas désormais évident que la réussite de l’organisation dans le maintien de la paix et de la sécurité est intimement liée au progrès accompli dans l’intégration économique ? La faiblesse des perspectives économiques des Etats de la CEDEAO n’appelle-t-elle pas à modifier la stratégie d’intégration de la CEDEAO ? L’adoption du fédéralisme à l’échelle ouest-africaine ne peut-elle pas constituer une voie salvatrice pour la CEDEAO ?
The Economic Community of West Africa is an international organization that was involved very early in the peacekeeping and security. It undertook military intervention in some West African states, like Liberia, Sierra Leone, and Guinea Bissau. In 1999, ECOWAS has made a strategic shift in security. This was manifested by the adoption of a new security mechanism to place the human at the heart of security concerns. The new objective of ECOWAS is to achieve human security for the citizens of West Africa. It turns out that the realization of human security requires economic and financial means, or the West African states are among the poorest in the world. Also, since the adoption of the new security mechanism, ECOWAS meeting more and more difficult to achieve the noble principles and recommendations contained in its legal system, in a context of increased of contemporary military and non military threats. After over 30 years of experience in the integration process, is there not now clear that the success of the organization in peacekeeping and security is closely linked to progress in the economic integration? The weak economic outlook states of ECOWAS calls does not change the strategy of integration of ECOWAS? The adoptions of federalism across West Africa cannot it be a way of salvation for ECOWAS?
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Cissé, Losseni. "La problématique de l'Etat de droit en Afrique de l'ouest : analyse comparée de la situation de la Côte d'Ivoire, de la Mauritanie, du Libéria et de la Sierra Léone." Thesis, Paris Est, 2009. http://www.theses.fr/2009PEST2001/document.

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Abstract:
La question de l’Etat de droit se pose de plus en plus avec beaucoup d’acuité en Afrique en général et en Afrique de l’ouest en particulier. Le déficit observable d’Etat de droit dans certains pays de cette sous région, est une des causes fondamentales de situations de belligérance et de crise avec leurs conséquences dramatiques : violation des droits de l’homme, désinstitutionnalisation, refus d’alternance démocratique, impunité, pauvreté, insécurité etc.La Côte d’Ivoire, la Mauritanie, le Liberia et la Sierra Léone n’échappent pas à ce constat. Ces pays se caractérisent par des situations particulières au regard des crises qu’ils connaissent et ont connu, ainsi que par des enjeux communs dans la longue et difficile quête de l’établissement de l’Etat de droit.Ce processus, émaillé d’obstacles majeurs, donne naissance à une production normative réelle avec les interventions combinées des communautés sous régionales, panafricaine et internationale. Et pour autant, des « conflits de normativité » ne sont pas à exclure. D’où la nécessité d’envisager des perspectives d’harmonisation normative dans les dynamiques de gestion et de règlement des crises, en vue d’établir l’Etat de droit en Afrique de l’ouest
The question of the Rule of law arises more and more with much acuity in Africa in general and in West Africa in particular. The observable deficit of Rule of law in certain countries of this region is one of the root causes of belligerence and crisis with dramatic consequences: violation of Human rights, desinstitutionalization, refusal of democratic alternation, impunity, poverty, insecurity, etc…Côte d’Ivoire, Mauritania, Liberia, and Sierra Leone are not immune to this. These countries are characterized by particular situations in the light of the crisis they encounter and have encountered, as well as common issues in the long and difficult quest for the establishment of the Rule of Law. This process, with major obstacles, gives rise to a real normative production with the combined intervention of the regional, pan African and international communities. And provided, the “conflict of norms” are not to be excluded. Hence the need to consider prospects for resolving crises, to establish the Rule of law in West Africa
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Kaboré, Daouda. "Organisations internationales, démilitarisation de la vie politique et construction de la démocratie en Afrique de l’ouest (Côte d’Ivoire, Libéria, Sierra Léone) : 1990-2011." Thesis, Paris 10, 2017. http://www.theses.fr/2017PA100001/document.

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Abstract:
Depuis 1990, l’Afrique de l’ouest connait une phase complexe dans sa sécurisation et dans la lutte contre les conflits armés. Constamment déstabilisés par des tentatives de coups d’Etat militaires, les pays de l’Afrique de l’ouest, notamment la Côte d’Ivoire, le Libéria et la Sierra Léone ont bénéficié d’une aide de la communauté internationale pour le règlement des sources de conflit et le redressement de leurs institutions dans le cadre d’une démocratisation globale des pays africains. Malgré cette ingérence dans les affaires internes des Etats, les stratégies adoptées par organisations internationales pour sortir la sous-région ouest africaine de l’instabilité et l’insécurité continuent de poser problèmes. Les Etats restent encore fragiles. Dans l’aide apportée, les différentes agences spécialisées des Nations unies construisent plutôt un ensemble de réseaux avec les organisations non gouvernementales internationales (ONGI) pour la gestion des conséquences des conflits armés. Ces ONGI, tout en participant à la stratégie globale de sortie de crise renforcent leur position au niveau national tout en s’ouvrant à de nouvelles missions d’assistance. Malgré les différentes dispositions prises par la CEDEAO, l’Organisation de l’Unité africaine et de l’Union africaine pour prévenir les conflits et trouver des mécanismes pour leurs gestions et leur règlement, les pays étudiés ne parviennent pas à consolider durablement la paix. Les Etats membres profitent du chaos généré, luttant plus pour leurs propres intérêts que ceux de la sécurité et le retour à la paix. Face à ce manque de cohérence dans les actions et aux limites des stratégies adoptées jusque-là, la résolution des conflits armés en Afrique de l’ouest continue de suscité interrogations, amenant à proposer une nouvelle approche de la résolution des crises armées en Afrique. Cette thèse vise donc à comprendre les stratégies des organisations internationales, leur efficacité et leur faiblesse dans le retour à la paix et le renforcement des institutions démocratiques
Since 1990, the West African states face insecurity and the struggle for armed conflict resolution. They are mostly destabilized by military coup. International community support Côte d’Ivoire, Liberia and Sierra Leone in the research of conflict solutions and the building of democratic institutions in the African states. Instead of the interference of the international organization in the African’s internal affairs and the strategies adopted, the insecurity continues to be a real problem for the stability of the sub-region. The states continue to be fragile. According to the assistance of UNO specialized agencies, an international Non-Government Organization (INGO) network is built around the assistance activities, to support the consequences of the armed conflicts. The INGO make the most of the opportunities to reinforce their position in the state and to create others activities to improve their business. Despite all positions of ECOWAS, African unity organization, and African Union to prevent conflicts and to find mechanisms of the management and peaceful solution, the states are not able to build a long term peace. The member states make the most opportunity of the insecurity of the sub region. Theirs strategies are to protect their own interests instead of finding solutions for peace. This behavior and the incoherence in theirs peace-actions continue to be subjects of discussion. This makes think another approach of conflict resolution in Africa. My research is to analyze the strategies of the international organizations, their strength and their weakness in peacekeeping and the capacity-building of African democratic institutions
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Sall, Abdoul Aziz. "Les opérations de maintien de la paix : : exemple africain." Perpignan, 2013. http://www.theses.fr/2013PERP1168.

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Abstract:
L'actuel système africain de maintien de la paix trouve son fondement dans les transformations intervenues dans la société internationales dés le début de la décennie 1990. Il est simultanément une reprise des mécanismes antérieurs de règlements des conflits en Afrique et une réaction régionale à l'évolution de la stratégie onusienne vers un partage de responsabilité avec les organisations régionales. Il ouvre en tout état de cause une nouvelle page de maintien de la paix ei Afrique et élève les OIG africaines au rang des principaux acteurs de la prévention, de la gestion et du règlement des conflits sur le continent. L'activisme des OIG africaines dans le processus de paix en Côte d'Ivoire, au Darfour (Soudan), en République Centrafrique et dans plusieurs autres situations de conflits en Afrique Subsaharienne, atteste de cette place centrale désormais occupée par le nouveau système. Ces multiples initiatives de paix prises en moins d'une décennie, ne permettent pas de conclure à l'existence d'une culture stratégique africaine. Mais elles établissent tout ai moins les prémisses d'une emprise de l'état africain sur le système de la sécurité. Il découle en effet des fonctions et pouvoirs des nouvelles structures de sécurité collective que l'état africain se situe au cœur du système de sécurité en ce sens qu'il en est le principal, voir l'unique sujet et objet. Cependant, les nouveaux conflits africains impliquent une multitude d'acteurs autres que les Etats, d'où l'une des principales incohérences du système. Par ailleurs, la configuration des différents organes ainsi que l'articulation de leur compétence et pouvoirs respectifs, suscitent d'importantes réserves sur l'aptitude du système à assurer la prévention, la gestion et le règlement des nouveaux conflits africains. C'est ainsi que les principales limites du système de sécurité sont, pour l'essentiel, inhérentes à sa conception. Il aurait besoin d'un appui d'Etat et d'OIG étrangers, qu'un renforcement interne consistant principalement en la restauration de l'autorité du Conseil de paix et de sécurité (CSP) de l'UA qui semble être plus une structure de représentation étatique qu'un organe centrale chargé d'une fonction de prévention de gestion et de règlement des conflits
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Mgbeoji, Ikechi. "Collective insecurity : the Liberian crisis, unilateralism, and global order /." Vancouver (B.C.) : UBC Press, 2003. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb39236864g.

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Ould, Cheikh El Houssein. "Les Nations Unies et le maintien de la paix en Afrique." Reims, 2009. http://www.theses.fr/2009REIMD002.

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Abstract:
Après une cinquantaine d'années de mise en oeuvre, le bilan des opérations de maintien de la paix est contrasté. La guerre reste encore un moyen courant de la politique des Etats. Elle sévit encore dans une bonne partie de la planète avec son lot de massacres, de déplacement de population de désagrégation des Etats et des institutions. Force est de constater que le domaine du maintien de la paix et de la sécurité en Afrique est d'abord une affaire des grandes puissances. Une opération de maintien de la paix est d'abord mise en oeuvre au service des grandes puissances, à tel droit qu'on doit se demander si ces affaires ne visent pas à consolider leurs sphères d'influence? Les interventions sous le couvert de l'ONU, de la Grande-Bretagne et de la France en Sierra Léon et en Côte d'Ivoire portent témoignage. Compte tenu de la fonction réelle de ces intementions quel est le rôle des Nations Unies et du Droit international dans la réunion des conditions effectives de la paix et de la sécurité en Afrique ? Sous tendu par les rapports de force, le droit des Nations Unies a-t-il encore l'activité nécessaire pour servir efficacement ces finalités permanentes de paix de solidarité et de développement ?
After fifty years of implementation. Assessing the operations of peacekeeping is mixed. The war remains a common way of State policy. It still rampant in much of the planet with its share of massacres, displacement disintegration of states and institutions. It must be noted that the maintenance of international peace and security in Africa is first a matter of great powers. An operation of peacekeeping was first implemented in the service of great power, that right must wonder if these cases are not intended to consolidate their spheres of influence. The intervention under the guise of the UN, Britain and France in Sierra Leone and Côte d'ivoire door testimony. Given the real function of these interventions what is the role of the United Nations and International Law in the meeting of conditions of peace and security in Afhca? Underpinned by power relations, the United Nations law there still activity necessary to effectively serve the purpose of permanent peace solidarity and development?
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Koffi, Kouamé. "La Stabilisation et le maintien de la paix en Afrique de l'Ouest." Lille 3 : ANRT, 1989. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37614760b.

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Amvane, Gabriel. "Le maintien de la paix en Afrique par l'O.N.U. et l'Union africaine." Thesis, Université de Lorraine, 2014. http://www.theses.fr/2014LORR0313.

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Abstract:
Maintenir la paix et la sécurité internationales est le but primordial de la Charte desNations Unies au sortir de la Seconde Guerre mondiale. Par son article 2 §4, la Charte établitdésormais « le principe du non recours à la force » et ambitionne ainsi de mettredéfinitivement un terme aux conflits armés. Toutefois, un continent, l’Afrique, semble ne pasemboiter le pas et s’illustre non seulement par un nombre de conflits très important maiségalement par les efforts continuels de l’Organisation des Nations Unies à y maintenir la paix.Ces efforts sont soutenus au niveau régional par l’Union africaine, organisation régionalecréée par les Etats africains en 2002, en remplacement de l’Organisation de l’Unité africaine.La persistance des conflits armés sur le continent conduit cependant à se questionner surl’efficacité du maintien de la paix en Afrique par l’ONU et l’Union africaine, ainsi que sur lesmécanismes mis en place par les deux organisations en vue de parvenir à une telle efficacité.L’examen de cette question est abordé en reprenant les deux grandes spécificités du maintiende la paix, notamment l’aspect institutionnel et l’aspect matériel du maintien de la paix,envisagé l’un et l’autre du point de vue de leur efficacité.Sur un plan institutionnel, l’étude porte sur les organes effectivement créés par l’ONU etl’Union africaine en vue du maintien de la paix en Afrique, sur la coopération établie entreces différents organes, ainsi que sur l’appui apporté par l’ONU au renforcement des capacitésinstitutionnelles de l’Union africaine.Pour l’aspect matériel, ce sont les modalités particulières de mises en oeuvre du maintien de lapaix qui sont ici abordées. Ceci passe par un examen de l’efficacité des opérations demaintien de la paix
Maintaining international peace and security is the primary purpose of the Charterof the United Nations after the Second World War. By Article 2 § 4, the Charter states "theprinciple of non-threat and non-use of force" and thus aims to put a definitive end to armedconflicts. However, the African continent seems not to max out and illustrates not only by avery large number of armed conflicts but also by the ongoing efforts of the United Nations tokeep the peace. These efforts are supported regionally by the African Union, a regionalorganization established by African States in 2002 to replace the Organization of AfricanUnity. The persistence of armed conflicts on the continent, however, leads to question theeffectiveness of peacekeeping in Africa by the United Nations and the African Union, as wellas the mechanisms established by both organizations to achieve with such effectiveness.Consideration of this issue is discussed considering the two major characteristics ofpeacekeeping, namely the institutional aspect and the material aspect of peacekeeping,considered one and the other in terms of their effectiveness.For the institutional aspect, the study focuses on the organs actually created by the UN andthe African Union for peacekeeping in Africa, the cooperation between these organs, as wellas the support provided by the UN for the capacity-building of the African Union.For the material aspect, it is the specific terms of implementations of peacekeeping that areraised here. This requires a review of the effectiveness of the peacekeeping operations
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Liboko, Anselme Didace. "Les opérations de maintien de la paix en Afrique subsaharienne : les spécificités." Caen, 2009. http://www.theses.fr/2009CAEN0088.

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Abstract:
Le sujet portant sur les opérations de maintien de la paix en Afrique subsaharienne, spécificités, a été abordé en deux parties. La première consacrée au processus d'intervention et de mise en œuvre avant l'étude du processus de finition et de parachèvement des OMP dans la seconde partie. Les OMP entreprises en Afrique subsaharienne se sont adaptées aux conflits intracommunautaires des Etats à l'origine de la création de nouvelles règles et tendances générales dans les deux premières générations. Elles forment à partir de la troisième génération une catégorie spécifique dont l'ossature est formée par un système de sécurité régionale et l'émergence des organisations sous régionales en collaboration avec les institutions onusiennes et partenaires. Elles sont dotées de larges prérogatives dont la plus spécifique est le droit d'intervention dans les conflits au détriment des compétences exclusives des Etats. Si la forme la plus répandue est celle des opérations hybrides, privilégiant l'approche sous régionale, elles demeurent dépendantes de l'extérieur. Il en résulte dans la substitution de l’ONU aux Etats défaillants, une reconstruction post-conflit selon le modèle étatique onusien par la reconversion aux critères de bonne gouvernance, aux valeurs démocratiques et la mise en place des programmes de développement,comme mode de résolution et de prévention durables des conflits
The subject on Peacekeeping operations(PKO) in sub-Saharan Africa, specificities has been discussed in two parts, the first part devoted to the intervention process and implementation project prior to the process of completion of PKO in the second part. The PKO enterprises in sub-Saharan Africa have adapted to intra-state conflicts leading to the creation of new rules and general trends in the first two generations. The third generation formed a specific category whose backbone is made up by a regional security system and the emergence of the sub-regional organisation in collaboration with the UN agencies and partners. They are bestowed with extensive powers including the most specific, which is the right to intervene in conflicts at the expense of the exclusive competence of the states. If the most widespread form is that of hybrid operations, focusing on sub-regional approach, they remain dependent on the outside world. This results in the substitution of the United Nations to defaulting states, a post-conflict reconstruction, depending on the model state by the UN conversion criteria of good governance, democratic values and the implementation of development programs, as a mode of durable conflicts resolution and prevention
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Akemakou, Njinga Nessan. "L’existence d’une « paix autoritaire » en Afrique ? : une réflexion antithétique à la théorie de la paix démocratique." Thesis, Toulouse 1, 2019. http://www.theses.fr/2019TOU10022.

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Abstract:
La théorie de la paix démocratique d’inspiration kantienne postule que les démocraties entretiennent des rapports pacifiques. Nolens volens, force est de constater que depuis 1945, deux régimes dits démocratiques ne se sont pas affrontés militairement de manière frontale. Nonobstant, les arguments avancés pour expliquer cette paix (la nature irénique des démocraties, les valeurs du libéralisme politique et économique, etc.) sont discutables ; a fortiori lorsque des vertus pacifiques sont prêtées aux démocraties et des vices belligènes aux autocraties. Cette étude, qui tente d’éprouver les postulats de ce modèle théorique libéral, suggère l’hypothèse d’une « paix autoritaire ». Il affleure que la nature d’un régime n’a pas d’incidence notable sur son comportement extérieur. Les régimes autoritaires, à l’instar de leurs pairs démocratiques, se trouvent aussi généralement en état de paix séparée entre eux. Cette hypothèse souffre toutefois quelques réserves. Si l’autoritarisme ne constitue pas un facteur aggravant de conflictualité internationale, il en va tout autrement sur un plan domestique. C’est par exemple une cause et un catalyseur des dynamiques de belligérance interne en Afrique. Il fragilise le corps social et favorise l’autolyse de ses cellules i.e. les citoyens. Plusieurs autres facteurs expliquent la prévalence élevée des guerres civiles au sein du continent africain tels que la monopolisation du pouvoir politique et sa gestion néopatrimoniale, les carences de gouvernance, l’ethnicité etc. La variable identitaire apparaît toutefois moins importante que ne le suggère la littérature. En effet, en dépit de leur pluricausalité, ces conflits surviennent essentiellement en raison de l’absence de partage équitable du pouvoir politique et des ressources économiques. Ils ont aussi partie liée avec l’insuffisante reconnaissance symbolique des communautés ethniques. L’ethnicité n’intervient qu’incidemment et notamment lorsqu’elle est manipulée à dessein par des entrepreneurs politiques à des fins politiciennes. Ces causes de conflictualité doivent être associées à l’impéritie de l’État postcolonial qui se révèle structurellement inadéquat, et partant inapte à enrayer la fratricide spirale guerrière qui a transformé l’Afrique en vaste sépulcre. Un tel constat suscite la quête théorique d’un modèle d’État et d’un système de gouvernance propices à une paix durable, pouvant seoir aux pays africains et prenant en considération leurs réalités endogènes ainsi que leurs caractéristiques culturelles et sociologiques propres
The theory of democratic peace derived from Kantianism posits that democratic states maintain peaceful relationships amongst them. However, one cannot fail to observe nolens volens that since 1945 there has been no direct military confrontation between two regimes considered as democratic. Notwithstanding the arguments that have been put forward to explain this state of peace—the peaceful nature of democracies, the values of economic and political liberalism, etc.—are questionable, especially when some virtues of peacefulness are attributed to democracies and warmongering vices to autocracies. This study attempts to put to the test the premises of this theoretical liberal model while introducing the hypothesis of an “authoritarian peace”. It transpires that the nature of a regime does not affect the way it handles its external affairs. The authoritarian regimes like their democratic counterparts generally exist peacefully side by side. Yet, this hypothesis is not without its own limitations. While authoritarianism does not represent an aggravating factor of conflictuality internationally, it can have an adverse effect domestically. It is for instance a cause and a catalyst of the dynamics of internal warfare in African states. It weakens the social body and causes the autolysis of its cells, ie. the citizens. Other factors such as the monopolization of political power, neo-property management, lack of effective governance, ethnicity, etc. can explain the high prevalence of civil wars in Africa. The identity factor is not as important as the current literature suggests. In fact, despite the plurality of their causes, these conflicts generally occur due to the lack of equitable sharing of political power and economic resources. There is also the fact that the power-holders often fail to pay proper regard to some ethnic communities. Ethnicity is therefore simply the by-product of these main causes, stoked up by some political entrepreneurs in pursuit of their political ends. These causes of conflictuality should not be divorced from the failure of the post-colonial African state, structurally inadequate and therefore incapable of bringing to a halt the fratricidal spiral of warfare which has transformed Africa into a large sepulchre. In view of this fact, there is a need to find a theory for a model of state and governance that could guarantee a lasting peace; that would be suitable for the African countries; and that would take into account their endogenous realities and their own cultural and sociological characteristics
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Moundounga, Séraphin. "L'Union européenne et la paix en Afrique subsaharienne." Phd thesis, Université de Grenoble, 2012. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00871641.

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Abstract:
L'Afrique subsaharienne connait des crises et conflits qui menacent aussi la sécurité de l'Europe, des Etats-Unis et du reste du monde.Elle cherche à se sécuriser par elle-même et sollicite l'aide extérieure notamment celle européenne dont on s'interroge quant aux atouts, réalités et perspectives de paix avec l'UE. L'Union Européenne est un partenaire dont l'efficacité garantie par son approche globale et permise par ses instruments multiformes, ACP/CEE-UE et PESD/PSDC, est prouvée au Togo de 1993 à 2005 ; en RDC avec " Artemis " et EUFOR-RDCONGO ; au Darfour avec EUFOR Tchad-RCA ainsi qu'au large des côtes Somaliennes avec EUNAVFOR, mais dont le besoin de renforcement des atouts et d'atténuation des faiblesses conduit à promouvoir les concepts de complémentarité et d'appropriation dans la construction de l'Architecture Africaine de Paix et de Sécurité. Ce qui se fait à travers les opérations et surtout les missions civiles EUPOL et EUSEC en RDC, EUTM " Somalia ", EUAVSEC au Soudan du sud, EUCAP Sahel Niger et EUCAP Nestor pour la formation des forces nationales de lutte respectivement contre le terrorisme islamiste et la piraterie maritime. Mais quelles inflexions et améliorations à apporter au Droit européen, panafricain et international, pour notamment des financements innovants et une meilleure coordination et mutualisation des ressources africaines avec des apports multiformes extérieurs suscités par l'attractivité subsaharienne du 21ème siècle ? Un nouveau vaste champ de réflexion.
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Bidouzo, Thierry Sèdjro. "Les organisations internationales et la résolution des conflits post-bipolaires en Afrique." Thesis, Aix-Marseille, 2016. http://www.theses.fr/2016AIXM1022.

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Abstract:
Le droit international, dans son rôle de « vigie » ou de « vigile » de la sécurité internationale, est parfois éprouvé par la délicate équation du défi de la paix en Afrique. En effet, depuis que ce continent est devenu « [acteur] de sa propre histoire », - avec le nouveau décor international occasionné par la fin de la période bipolaire -, paradoxalement, il est également devenu un terrain fertile en conflits. En dépit des mutations ou des « dynamiques du droit international », opérées par les Organisations internationales dans la pratique du maintien de la paix, la dynamique évolutive des conflits et leur nature irrégulière, posent bien de difficultés. Et c’est le nœud de ces rapports ambigus entre les Organisations internationales et les conflits en Afrique qu’il convient de tenter de défaire, en en appréhendant tour à tour, leur implication, puis leur contribution à la résolution desdits conflits. De cette double appréhension, émerge le besoin, dans les stratégies de résolution des conflits, d’une prise en compte aussi bien de la violence visible que de la violence invisible ; celle-ci suppose une réelle connaissance des vrais déterminants conflictuels. D’où la nécessité d’un droit régional africain de maintien de la paix car, la paix objective doit être accompagnée de la paix subjective
International law, in its role of "watchdog" or "vigil" of international security, is sometimes felt by the delicate equation of the challenge of peace in Africa. Since that this continent has become "actress of her own history" - with the new international backdrop caused by the end of the bipolar period - paradoxically, it has also become a breeding ground for conflicts. Despite mutations or "dynamic of international law", carried out by international organizations in the practice of peacekeeping, the evolutionary dynamics of conflict and their irregular nature pose many difficulties. And that is the crux of the ambiguous relationship between international organizations and conflict in Africa should try to undo in apprehending turn, their involvement and their contribution to the resolution of such conflicts.This double apprehension emerges the need, in conflict resolution strategies, taking into account both the visible violence of invisible violence; it implies real knowledge of true conflicting determinants. Hence the need for an African regional law peacekeeping because the objective peace must be accompanied by the subjective peace
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Cathelin, Mélanie. "Le rôle international d'un État : construction, institutionnalisation et changement : le cas de la politique canadienne de maintien de la paix en Afrique." Bordeaux 4, 2008. https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00354853.

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Abstract:
Les transformations de l'environnement international engendrées par la fin de la "guerre froide" ont de profondes répercussions sur la politique canadienne de maintien de la paix. En croisant les apports du constructivisme sociologique en relations internationales et ceux de l'analyse néo-institutionnaliste des politiques publiques, ce travail se propose d'identifier les possibilités de changement et de redéfinition des rôles dévolus aux acteurs étatiques dans la mise en oeuvre de leurs politiques étrangères. Le maintien de la paix est une pratique historiquement constitutive de l'identité politique canadienne, ce qui s'est traduit par l'instititionnalisation d'un certain rôle du Canada sur la scène internationale. La pratique canadienne du maintien de la paix s'est trouvée singulièrement affectée par les expériences des militaires et des diplomates sur les terrains africains, particulièrement dans l'Afrique des Grands Lacs. Les apprentissages tirés de ces expériences ont contribué à redéfinir le rôle du Canada dans le maintien de la paix, tout en ouvrant de nouveaux espaces pour les décideurs sur la scène internationale. Les formes prises par la politique canadienne du maintien de la paix au début des années 2000, caractérisées tout à la fois par une plus grande sélectivité et par la recherche de niches de spécialisation, nous renseignenet sur les modalités de reconfiguration des rôles des acteurs étatiques sur la scène internationale. La mobilisation du concept de rôle autorique ainsi à rendre compte de l'imbrication étroite existant entre les structures institutionnelles d'un espace particulier et les stratégies mises en oeuvre par les acteurs au sein de cet espace
The end of the "Cold Wae" paved the way for a radical shift in Canada's peacekeeping policy. Drawing both on social constructivism in International Relations and on neo-instititionalist analysis of public policy, the thesis aims at identifying the possibilities of role change in the foreign policy of states. Peacekeeping is historically constitutive of Canada's political identity, which was translated into the institutionalization of a certain role for Cnada on the international stage. Canadian peacekeeping pratice has been deeply affected by the experiences of the Canadian diplomats and militaries in Africa, especially in the African Great Lakes (1993-2003). These experiments have nurtured a learning process, resulting in a redefinition of Canada's role on international scene, while opening new spaces of opportunity for Canadian policy-makers. During the 2000s, Canadas's peackeeping policy envolved towards selectivity and specialization. This evolution gives us an insight on the way state actors redefine and reconfigure their roles on international stage. The concept of row allows us to show the close relationship between the institutional structures of the social space constituted by the insternational system and the agents' strategies within that space
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Zoleko, Tsane Patrice. "Le nouveau système continental de maintien de la paix en Afrique subsaharienne au début du XXIe siècle." Toulon, 2009. http://www.theses.fr/2009TOUL0056.

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Abstract:
Le nouveau système africain de maintien de la paix trouve son fondement dans les transformations intervenues dans la société internationale dès le début de la décennie 1990. Il est simultanément une réponse aux limites des mécanismes antérieurs de règlement des conflits en Afrique et une réaction régionale à l'évolution de la stratégie onusienne vers un partage de responsabilité avec les organisations régionales. Il ouvre en tout état de cause une nouvelle page du maintien de la paix en Afrique et élève les OIG africaines au rang des principaux acteurs de la prévention, de la gestion et du règlement des conflits sur le continent. L'activisme des OIG africaines dans les processus de paix en Côte d'Ivoire, au Darfour (Soudan), en Somalie, en République centrafricaine et dans plusieurs autres situations de conflit en Afrique subsaharienne, atteste de cette place centrale désormais occupée par le nouveau système continental. Ces multiples initiatives de paix prises en moins d'une décennie, ne permettent pas de conclure à l'existence d'une culture stratégique africaine. Mais elles établissent tout au moins les prémisses d'une emprise de l'Etat africain sur le nouveau système de sécurité. Il découle en effet des fonctions et des pouvoirs des nouvelles structures de sécurité collective que l'Etat africain se situe au coeur du système continental de sécurité en ce sens qu'il en est le principal, voire l'unique sujet et objet. Cependant les nouveaux conflits africains impliquent une multitude d'acteurs autres que les Etats, d'où l'une des principales incohérences du système. Par ailleurs, la configuration des différentes organes ainsi que l'articulation de leurs compétences et pouvoirs respectifs, suscitent d'importantes réserves sur l'aptitude du nouveau système à assurer la prévention, la gestion et le règlement des nouveaux conflits africains. C'est ainsi que les principales limites du nouveau sytème continental de sécurité sont, pour l'essentiel, inhérentes à sa conception. Il aurait ainsi besoin moins d'un appui d'Etats et d'OIG étrangers, que d'un renforcement interne consistant principalement en la restauration de l'autorité du Conseil de paix et de sécurité (CSP) de l'UA qui semble être plus une structure de représentation étatique qu'un organe central d'une fonction de prévention, de gestion et de règlement des conflits
The new African peacekeeping system is rooted in the transformations in international society since the early 1990s. It is simultaneously a response to the limitations of African previous mechanisms for conflicts resolution and a regional response to the evolution of the UN strategy to sharing responsibility with regional organizations. It opened in any case a new page of peacekeeping in Africa and African IGOs raise the rank of major players in the prevention, management and resolution of conflicts on the continent. African IGOs Activism in the peace progress in Ivory Coast, Darfur (Sudan), Somalia, Central African Republic and in many other conflict situations in sub-saharian Africa testifies to he main role now occupied by the African peacekeeping strategy. These peace initiatives taken in less than a decade do not conclude to the existenceof an African peacekeeping strategy. But they establish at least the beginnings of a control of any African State on the new security system. It arises from the functions and powers of the new structures of collective security that the African State is at the heart of continental security system because it is the primary or sole subject and object. However, new African conflicts involve a multitude of actors other than States, where one of a major inconsistencies of the system. Furthermore, configuration of various bodies and the articulation of their respective powers and skills, raise significant doubts about hte ability of the new system to ensure the prevention, management and resolution of the new African conflicts. Thus the main limitations of the new continental security system are essentially inherent in its origin. It would thus need less foreign States and IGOSs support, that an internal reinforcement consisting mainly of restoring the authority of the Peace and Security Council (PSC) of the AU, which seems to be more a state representative structure than central body for prevention, mangement and resolution of conflicts
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Zafrane, Farid. "Les avatars de la présence militaire française en Afrique : de la tutelle postcoloniale aux missions internationales du maintien de la paix." Thesis, Lille 2, 2015. http://www.theses.fr/2015LIL20018/document.

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Abstract:
Les autorités politiques françaises après la décolonisation des années 60, ont voulu mettre en place un système de coopération, pensé par le général de Gaulle. En effet plus de cinq décennies après les indépendances octroyées par la France dans le cadre d’une coopération bilatérale multiforme, tant sur un plan politique, culturel, économique, financier et militaire, la France maintient toujours des relations étroites avec ses anciennes colonies. L’hypothèse généralement admise est celle d’une continuité de ces relations entre Paris et l’Afrique. On note en revanche depuis la fin de la guerre froide des signes de changements subtils mais réels dans plusieurs domaines. Beaucoup d’indices mettent en exergue la fin d’une époque et un changement de stratégie inévitable qui s’opère par une remise en cause totale de la politique traditionnelle de la France vis-à-vis de l’Afrique. Parmi ces changements, notons la réforme institutionnelle et politique de lacoopération, le désengagement économique et financier progressif de la France.La politique africaine française est donc entrée dans une période de transition où les signes de changements interfèrent avec la continuité. En fait, il ne s’agit pas d’une nouvelle politique africaine, mais seulement de l’adoption d’un certain nombre de mesures nouvelles engendrées par la géopolitique du monde actuel.Cette attitude répond à la volonté de la France de s’adapter à l’évolution du monde et en particulier du continent africain. La France passe donc d’une politique de présence à une stratégie de projection. Cette évolution implique une présence humaine moindre sur le terrain et la mise en place de relais aériens pour projeter les forces militaires à partir de bases situées en France. Paris s’est maintenu sur le continent africain après la décolonisation en mettant en place un dispositif juridique approprié.Cinquante ans après les décolonisations, il lui est encore reproché d’être à l’origine des problèmes qui gangrènent le continent africain avec l’envie de chercher dans l’histoire coloniale la cause des maux actuels rencontrés par l’Afrique. Le double langage des autorités françaises montre que la France a eu bien des raisons politiques ou militaires de s’engager en Afrique et à affirmer sa présence dans cette région du monde. Mais si par moments la politique suivie par l’ex-puissance coloniale est contestable et a connu des dérives certaines lors de ces dernières années notamment avec l’affaire rwandaise, l’Afrique sans conteste est demandeuse d’une certaine présence militaire française sur son territoire comme le montre aujourd’hui les différentes opérations au Mali ou en République Centrafricaine. Mais dans un cadre géopolitique rénové multilatéral, sous la bannière de l’O.N.U et avec l’Union Européenne pour assurer en Afrique la lutte contre le terrorisme et l’émergence d’un nouvel ordre humanitaire international
The French political authorities after decolonization 60s, wanted to set up a system of cooperation, thought by General de Gaulle. Indeed more than five decades after independence granted by France as part of a multifaceted bilateral operation, both on a political, cultural, economic, financial and military. France still maintains close ties with its former colonies. Although the generally accepted hypothesis is that a continuity of the relationship between Paris and Africa. We note however since the end of the Cold War but subtle signs of real changes in several areas. Many indicators highlight the end of an era and a change of strategy inevitably occurs with a throw in total due to the traditional policy of France vis-à-vis Africa. These changes include the institutional and political reform cooperation, progressive economic and financial disengagement of France.The French African policy is entering a period of transition or signs of changes interfere with continuity. In fact, it is not a new Africa policy, but only the adoption of a number of new measures resulting from the geopolitical world today.This attitude reflects the determination of France to adapt to the changing world and particularly in Africa. France therefore goes from a political presence to a screening strategy. This change means less human presence on the ground and setting up air relays to project military forces from bases in France. Paris remained in Africa after decolonization by setting up an appropriate legal framework. Fifty years after decolonization, it is still accused of being behind the problems that plague the African continent with the desire to look inthe colonial history the cause of present evils faced by Africa. This double talk from the French authorities shows that France has had many political or military reasons to engage in Africa and its presence in this region. Because even if at times the policy of the former colonial power is questionable and has seen some excesses in recent years, particularly with the Rwandan case, Africa is unquestionably requesting a certain French military presence its territory as today shows the various operations in Mali and Central African Republic
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Bengobeyi, Benjamin Jean-Jacques. "La politique africaine de l'Afrique du Sud : analyse des médiations en République démocratique du Congo, au Burundi et en Côte d'Ivoire." Reims, 2009. http://www.theses.fr/2009REIMD006.

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Abstract:
Depuis qu'elle a rejoint la communauté internationale en 1994 après plusieurs années d'apartheid, l'Afrique du Sud sert d' intermédiaire et pratique la politique des bons offices dans un certain nombre de conflits africains. Aussi semblait-il judicieux de dresser un bilan provisoire de sa politique africaine à l'aune de ses tentatives de médiation régionale au Burundi, en République démocratique du Congo et en Côte d'Ivoire. Par ailleurs, cette étude fait ressortir les facteurs d'érosion de la puissance sudafricaine et l'incapacité de la nation arc-en-ciel à définir les règles du jeu pour asseoir un ordre de paix. A l'évidence, même si l'investissement sur la scène internationale peut s'avérer concluant, il constitue paradoxalement une limite de la politique étrangère sudafricaine. Il est donc à craindre que les résultats peu probants de ses interventions diplomatiques la discréditent en tant qu'acteur majeur de paix et de stabilité sur le continent africain
Since it joined the international community in 1994, after many years in Apartheid, South Africa has been acting as a mediator, practising a policy of good offices, and offering to mediate in a certain number of conflicts in Africa. Therefore, it is worth it for us to draw up a provisory assessment of its African policy up to its regional mediation attempts in Burundi, the Democratic Republic of Congo, and Ivory Coast, among others. This study also shows the highlights of South Africa's power and the incapacity of the rainbow nation to define the rule of the game so as to establish a peace order. It is patently obvious that, even if South Africa's commitment in the international scene can be conclusive, it paradoxically constitutes a limit in its Foreign Policy. We can thus fear that the improbable results of its diplomatic interventions should make it lose its credibility as a major actor for the establishment of Peace and stability in the African continent
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Dieng, Moda. "Médiations africaines dans les conflits : le dynamisme diplomatique de l'Afrique du Sud et du Sénégal." Toulouse 1, 2010. http://www.theses.fr/2010TOU10082.

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Abstract:
L'intérêt de cette étude sur les médiations africaines se situe dans cet entre-deux : la rareté des documents afférents à ce sujet, et les nombreuses actions de ce type déployées sur le continent. Frappée par un nombre croissant de conflits civils, coups d'État et crises politiques, l'Afrique tente, tant bien que mal, de trouver des solutions. L'Afrique du Sud post-apartheid et le Sénégal sont très mobilisés dans cette perspective d'africanisation. N'étant pas confrontés à de graves problèmes de sécurité intérieure, portés par leurs avancées démocratiques, ils jouissent d'une meilleure image que les États dirigés par des régimes autoritaires, ou déchirés par des guerres. Forts de ses atouts, ils se sont retrouvés en première ligne dans bon nombre d'initiatives de médiations pour la paix. Si le poids de Pretoria se justifie, en partie, par ses avantages liés à son statut de puissance africaine au sens classique du terme, il n'en est pas de même de Dakar. La posture sénégalaise est d'autant plus remarquable que le pays, avec des ressources financières et naturelles limitées, dans un contexte sous-régional difficile, a connu des années de tension en Casamance. En plus de disposer de niveaux économique et militaire disproportionnés, l'Afrique du Sud et le Sénégal évoluent dans des sphères sous-régionales et linguistiques différentes. L'utilité des moyens matériels se manifeste lorsqu'il s'agit de prendre en charge les coûts des cycles de négociations, d'apporter des garanties sécuritaires aux ex-protagonistes, de diriger une opération de mantien de la paix, etc. Quant aux différences linguistiques et/ou géographiques, elles peuvent structurer les perceptions des intervenants, au point de se dresser en obstacles sur les processus de médiation. Mais en dépit de ces difficultés, des progrès décisifs accompagnés par la Communauté internationale et africaine naissent ici et là, et témoignent de la volonté des Africains à stabiliser le continent
The relevance of this study on African mediation lies in this paradox : the rarity of documents relevant to the subject and the many actions of this type that are implemented throughout the continent. Affected by a growing number of civil conflicts, coups d'état and political crises, Africa attempts to find the right solutions somehow or other. Post-apartheid South Africa and Senegal are deeply committed to the prospect of africanization. Because they are not facing serious domestic security threats, and propelled by the impetus of their democratic progress, they enjoy a better image that States controlled by authoritarian regimes or torn apart by war. Armed with these advantages, these two countries have found themselves on the front lines in a large number of peace mediation initiatives. While Pretoria's importance can be partly justified by its status as an African power in the classic sens of the term, the same is not true of Dakar. The Senegalese posture is all the more remarkable in that the country, with its limited financial and natural resources in addition to a difficult sub-regional context, has experiences years of tension in Casamance. In addition to possessing disproportionate economic and military levels, South Africa and Senegal evolve in different sub-regional and linguistic spheres. The usefulness of material means emerges when the task ahead consists of supporting the costs of negotiation cycles, providing ex-protagonists with security guarantees, directing peacekeeping operations, etc. As far as the linguistic and/or geographic differences are concerned, these may be a structural factor in the perception of the intervening parties to the extent of imposing obstacles to the mediation process. But despite these difficulties, decisive progress supported by the international and African communities is happening here and there, and stands as a testimony to Africans' determination to stabilize their continent
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Kayembe, Mayaya Nick. "Les opérations de maintien de la paix en Afrique et les organisations de la société civile : les cas de l’ONUMOZ (Mozambique) et de la MONUSCO (Congo)." Thesis, Université d'Ottawa / University of Ottawa, 2017. http://hdl.handle.net/10393/36722.

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Abstract:
Depuis sa toute première mission en 1956, les opérations de maintien de la paix de l’ONU ont été renforcées pour devenir « Robuste » (Diehl, 2008; Clark 2011), c’est-à-dire avoir recours aux moyens coercitifs, et être centrées vers l’individu. Toutefois, les missions présentement en cours montrent que l’organisation peine encore à trouver l’équilibre entre expertise internationale et le savoir faire local. Partant de ce constat, ce travail voulait savoir : De quelles manières les relations entre les opérations de maintien de la paix de l’ONU et les organisations locales de la société civile influencent-elles sur la production de la paix dans les pays en conflit? Le regard porté sur l’opération des Nations unies au Mozambique (ONUMOZ) et la Mission des Nations unies pour la stabilisations en République Démocratique du Congo (MONUSCO) a permis de soutenir que : les relations plus denses et intégrées entre l’ONUMOZ et les organisations locales de la société civile mozambicaine ont contribuées à l’instauration d’une paix durable au Mozambique, alors que les interactions limitées et faibles entre la MONUSCO et les organisation locales de la société civile congolaise expliquent, en partie, l’incapacité de la mission a atteindre pleinement son objectif de paix dans l’est du pays.
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Djambi, Honorat. "Les aspects juridiques de la restauration de l' Etat par l' Organisation des Nations Unies en Afrique." Orléans, 2005. http://www.theses.fr/2005ORLE0006.

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Abstract:
La restauration de l'Etat est une nouvelle mission de l'ONU menée dans le cadre des opérations de maintien de la paix de la deuxième génération destinée à mettre un terme à une crise ou à un conflit dans un Etat. Elle répond aux buts et principes de l'ONU (paix, droits de l'Homme, développement), rétablit la paix interne des Etats et contribue à garantir la paix et la sécurité internationales puis la sécurité collective. Sollicité ou imposé, le processus est conduit par les Nations Unies sous différentes formes (rétablissement d'un pouvoir élu, réformes constitutionnelles et législatives, organisation d'élections, réconciliation nationale, aides à la reconstruction, au développement économique et social etc) parfois en coordination avec des organisations régionales et peut mettre en œuvre les chapitres VI, VII et VIII de la Charte de l'ONU. A terme, la restauration de l'Etat aboutit dans les faits à l'établissement d'un Etat de droit et d'une démocratie pluraliste dans les Etats africains bénéficiaires souvent contraints. Elle met par conséquent en cause divers aspects du droit international notamment la souveraineté, la compétence nationale, la reconnaissance d'Etat ou de gouvernement, le principe de l'autonomie constitutionnelle etc. La restauration de l'Etat a plusieurs limites : absence de stratégie globale, insuffisance des moyens de l'ONU, inadaptation des instruments juridiques véhiculés face aux réalités locales africaines, manque de réceptacles adéquats etc.
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Cathelin, Mélanie. "Le rôle international d'un Etat : construction, institutionnalisation et changement. Le cas de la politique canadienne de maintien de la paix en Afrique." Phd thesis, Institut d'études politiques de Bordeaux, 2008. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00354853.

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Abstract:
Les transformations de l'environnement international engendrées par la fin de la « guerre froide » ont de profondes répercussions sur la politique canadienne de maintien de la paix. En croisant les apports du constructivisme sociologique en Relations Internationales et ceux de l'analyse néo-institutionnaliste des politiques publiques, ce travail se propose d'identifier les possibilités de changement et de redéfinition des rôles dévolus aux acteurs étatiques dans la mise en œuvre de leurs politiques étrangères. Le maintien de la paix est une pratique historiquement constitutive de l'identité politique canadienne, ce qui s'est traduit par l'institutionnalisation d'un certain rôle du Canada sur la scène internationale. La pratique canadienne du maintien de la paix s'est trouvée singulièrement affectée par les expériences des militaires et des diplomates sur les terrains africains, particulièrement dans l'Afrique des Grands Lacs. Les apprentissages tirés de ces expériences ont contribué à redéfinir le rôle du Canada dans le maintien de la paix, tout en ouvrant de nouveaux espaces pour les décideurs sur la scène internationale. Les formes prises par la politique canadienne du maintien de la paix au début des années 2000, caractérisées tout à la fois par une plus grande sélectivité et par la recherche de niches de spécialisation, nous renseignent sur les modalités de reconfiguration des rôles des acteurs étatiques sur la scène internationale. La mobilisation du concept de rôle autorise ainsi à rendre compte de l'imbrication étroite existant entre les structures institutionnelles d'un espace particulier et les stratégies mises en œuvre par les acteurs au sein de cet espace.
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Tekebeng, Lele Télesphore. "Le système africain de sécurité et les opérations de maintien de la paix des Nations Unies." Thesis, Strasbourg, 2017. http://www.theses.fr/2017STRAA014.

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Abstract:
La revendication et/ou suggestion d'une africanisation du maintien de la paix en Afrique devait conduire à la réforme du système africain de sécurité. Il s'agit d’une réforme tant normative qu'institutionnelle menée en vue de donner une nouvelle orientation au cadre opérationnel dans l’optique d’une meilleure contribution du continent au maintien de la paix et de la sécurité internationales. Ce travail s'est opéré à la fois au niveau régional et au niveau des communautés économiques régionales (CER) qui font partie intégrante de l’architecture africaine de paix et de sécurité telle que construite au sein et autour de l’Union africaine. Le plus emblématique est pour l’UA de s'être dotée d’un droit d'intervention là où certaines CER, à l'instar de la CEDEAO, avaient déjà pris des initiatives, afin de répondre aux crises les plus diverses dont le génocide. A tout prendre, il s’agit d'une avancée significative du système ainsi mis en place. A l’observation toutefois, on peine à voir un modèle typiquement africain des opérations de maintien de la paix, tant il est vrai que les deux segments, organisation et déploiement opérationnel, laissent apparaître une hétéronormativité et un déploiement pluri-institutionnel. Cela découle sans doute de la prégnance de la fragilité de certains acteurs étatiques qui frise tout élan de construction d’un système communautaire de sécurité fort, nécessitant au surplus des mesures de (re) construction de l’Etat, appuyée par les institutions internationales dont la première d’entre elles - l’ONU
The demand and/or suggestion of an Africanization of peacekeeping in Africa should lead to the reform of the African security system. This is a normative and institutional reform aimed at giving a new orientation to the operational framework in order to enhancing the continent's contribution to the maintenance of international peace and security. This work has been carried out both at the regional level and at the regional economic community (REC) level, which are an integral part of the African peace and security architecture as built within and around the African Union. The most emblematic is for the AU to have a right of intervention where certain RECs, like ECOWAS, have already taken initiatives to respond to the most diverse crises including the genocide. On the whole, this is a significant step forward in the system thus put in place. However, it is difficult to see a typical African model of peacekeeping operations, as it is true that the two segments, operational organization and deployment, reveal a heteronormativity and a multi-institutional deployment. This is probably due to the fragility of certain state actors, which hampers any effort to build a strong Community security system, which in addition requires measures to (re) build the state, supported by international institutions, Starting with the first - the United Nations
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Atché, Bessou Raymond Benchikh Madjid. "Les conflits armés internes en Afrique et le droit international." [S.l.] : [s.n.], 2009. http://biblioweb.u-cergy.fr/theses/08CERG0385.pdf.

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Loisel, Sébastien. "L'Union européenne et le soutien aux capacités africaines de maintien de la paix: Espaces sectoriels et processus d'institutionnalisation au sein de la politique étrangère européenne." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2014. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/209136.

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Abstract:
A partir du milieu des années 1990, l’Union européenne (UE) s’est progressivement affirmée comme l’un des principaux partenaires des organisations régionales africaines en matière de paix et de sécurité. Des pratiques de soutien aux capacités africaines de maintien de la paix notamment se sont développées au niveau européen avec la création d’instruments dédiés et l’engagement de moyens financiers de plus d’1,1 Md€. Ces pratiques relèvent de ce que l’on appelle communément de la coopération militaire, mais elles sont apparues bien avant que ce domaine d’activité soit explicitement évoqué dans les traités. Elles ont en outre la particularité de s’être institutionnalisées non seulement dans le cadre de la Politique européenne de sécurité et de défense (PSDC), mais également dans celui de la coopération européenne au développement alors que ce dernier se limite traditionnellement à des activités de nature civile. Elles fournissent à ce titre un objet privilégié pour étudier les processus d’institutionnalisation à l’oeuvre au sein de la politique étrangère européenne en dehors des modifications successives des traités et du découpage des politiques qu’ils consacrent. Ces processus d’institutionnalisation renvoient en effet ici aux processus par lesquels sont produites et transformées les règles formelles et informelles qui régissent les pratiques au sein d’un espace social donné (Stone Sweet et al. 2000 ;Fligstein, 2001).

L’émergence et l’institutionnalisation de ces pratiques au niveau européen ne peuvent être réduites à une logique fonctionnelle ni au produit de rapports de force interétatiques, institutionnels ou bureaucratiques. Leur compréhension nécessite de prendre en compte la différenciation des espaces sociaux (ou secteurs) qui structurent les jeux d’acteurs au sein de la politique étrangère européenne autour d’enjeux, de règles et de luttes spécifiques (Buchet de Neuilly, 2005a ;Mérand, 2008a). Le soutien de l’UE aux capacités africaines de maintien de la paix apparaît dans cette perspective comme le produit de luttes récurrentes au sein et à l’intersection des secteurs du développement et de la sécurité qui en ont partiellement reconfiguré les représentations dominantes et les règles établies. Ces luttes ont mobilisé des acteurs distincts en réaction à des chocs externes différents ou interprétés différemment selon les secteurs considérés. Elles ont également suscité des résistances spécifiques et abouti à des pratiques sectoriellement différenciées.

Au-delà de leur enjeu manifeste, celui du maintien de la paix en Afrique, l’émergence et l’institutionnalisation de ces pratiques révèlent ainsi certains des jeux sectoriels et intersectoriels qui se déploient au sein de la politique étrangère européenne autour de la définition des modalités légitimes d’usage et de contrôle de ses ressources. Au sein du secteur du développement, ces luttes se sont concentrées sur la légitimité d’utiliser des fonds dédiés à la coopération pour financer des activités de nature militaire. Au sein du secteur de lasécurité, elles ont porté sur l’agrégation au niveau européen de ressources diplomatiques et militaires nationales au détriment de modes d’action bilatéraux et d’arènes de coordination non spécifiquement européennes comme l’OTAN ou l’ONU. A l’intersection de ces deux secteurs enfin, elles se sont cristallisées autour du degré de contrôle des diplomates sur les ressources propres à l’aide au développement ou, en d’autres termes, autour du degré d’autonomie dont bénéficient les acteurs de développement européens vis-à-vis de la PESC/PSDC.
Doctorat en Sciences politiques et sociales
info:eu-repo/semantics/nonPublished

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Atché, Bessou Raymond. "Les conflits armés internes en Afrique et le droit international." Cergy-Pontoise, 2008. http://biblioweb.u-cergy.fr/theses/08CERG0385.pdf.

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Abstract:
Le développement du continent africain est lourdement entravé par d’incessants et meurtriers conflits armés internes ou guerres civiles. Partout en Afrique, la menace reste persistante. Au lendemain des indépendances, l’incapacité des armées nationales à assurer la sécurité des Etats ou les difficultés à contrôler leur espace territorial respectif a contraint certains Etats africains notamment, de l’espace francophone à concéder les attributs de la puissance à la France. Ainsi, pendant plusieurs décennies, la France s’est engagée par des accords de défense à assurer l’ordre interne et la sécurité des Etats africains sans toutefois jamais instaurer une paix durable. Dès lors, le continent africain se présente comme une zone de conflictualité en spirale. La fréquence de ces conflits est généralement attribuée à la diversité ethnique. Mais en réalité, les problèmes tournent généralement autour : de la militarisation de la vie politique, des questions de minorité, des litiges fonciers, de l’incapacité à gérer la coexistence communautaire, du fondamentalisme religieux et de l’implosion de l’Etat. Ces conflits qui frappent également par leur dynamique transfrontalière sont aggravés par l’ingérence des puissances étrangères. Il est évident que les psychodrames vécus par les africains et la persistance de l’instabilité du continent traduisent un impératif de paix et de sécurité indispensables à l’amorce de son développement. Les initiatives ponctuelles de maintien de la paix en Afrique initiées notamment, par la France à travers son programme de renforcement des capacités africaines de maintien de la paix (RECAMP) et les Etats-Unis avec son concept : African Crisis Response Initiative (ACRI), aussi louables fussent-elles sont des orientations stratégiques qui ne constituent pas une alternative crédible au problème sécuritaire du continent. En tout état de cause, il appartient au premier chef aux Etats africains de prendre la mesure des enjeux sécuritaires et assumer toute leur responsabilité notamment, par la restructuration et la consolidation des armées nationales, et par la création d’une force africaine intégrée en attente, en vue d’éradiquer les conflits meurtriers qui minent le continent africain. Mais face à ces conflits armés internes qui suscitent de réelles difficultés de régulation et d’une Afrique toujours repliée sur le dogme de la souveraineté étatique, comment le droit international fondé sur le principe du consensualisme et de l’égalité souveraine des Etats peut-il s’imposer dans cette sphère traditionnelle de souveraineté des Etats ? Autrement dit, dans quelle mesure le droit international peut-il avoir une emprise sur des phénomènes relevant de la compétence interne des Etats africains ? L’analyse de toutes ces questions s’articule autour de deux approches relatives à la gestion de ces conflits : il s’agit d’une part de l’approche substantielle ou normative et d’autre part de l’approche institutionnelle des conflits armés internes en Afrique
The african continent development is heavily ampered by ceaseless indoors murderous conflits, if not by civil wars. Everywhere the threat remains indeciduous. National armies up yesterday just after independence years, confirmed unability to spread protection and so, experiment daily enormous troubles as for keeping control upon respective national territories and borders. But in front of said conflicts, here above given as phenomenons powered to mishandle the sensibler sovereign rope, a certain number of questions go up growing: in any way, how can the international law intervene to regulate conflictual cases that belong to daily African states quite private area ? Hard questions. Indoors armed conflicts give rise to troubles but for regulation, what strategical means can be considered to contain them? Henceforth, we will divide the whole topic into two parts : upon the first part, let us speak essentially about substancial and normative aspects of conflicts; further in the second part, we will try to lead searches upon how the international law might bring answers able to solve armed conflicts. Some European countries, and particulary France, thought that spreading reinforcement of African Means to Keep Peace “RECAMP” upon war zones will be sufficient to any peace later. The United States thought the same with African Crisis Response Initiative “ACRI”. Therefore for us none of enumareted steps, even if any of them might be valuable as proposition, can lead to peace. It belongs to Subsaharan African Head of States here to join means and to create immediately what we will not hesitate to call “Common Forces For Peace in Africa” (CFPA). Anyone will not build a such (and obvious) more adapted working stool for them
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Sène, Mamadou. "La juridictionnalisation des élections nationales en Afrique noire francophone : les exemples du Bénin, de la Côte d'Ivoire et du Sénégal : analyse politico-juridique." Thesis, Toulouse 1, 2017. http://www.theses.fr/2017TOU10011/document.

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Abstract:
En Afrique noire francophone, les élections constituent le premier facteur conflictogène. Ainsi, la juridictionnalisation des élections nationales s’inscrit dans une dynamique de pacification du processus de dévolution des pouvoirs politiques suprêmes. A cet effet, les règles d’organisation et de fonctionnement de cette juridictionnalisation incarnée par les Cours et Conseils constitutionnels, variables d’un Etat à un autre, visent à garantir la régularité et la sincérité des scrutins présidentiels et législatifs. Toutefois, cette juridictionnalisation est hypothéquée par sa politisation marquée par le caractère présidentialiste de la nomination du juge. Ainsi, au Bénin et au Sénégal, le juge constitutionnel joue un rôle variable à la pacification et à la stabilisation du processus de dévolution du pouvoir matérialisées par des alternances démocratiques. En revanche, en Côte d’Ivoire, la politisation flagrante du juge constitutionnel provoquera une alternance armée au lieu d’entériner l’alternance démocratique propulsée par les électeurs. D’où la nécessité de procéder à des réformes de la juridictionnalisation afin de garantir au juge l’indépendance et la place qui répondent aux enjeux de la consolidation de la démocratie électorale en Afrique noire francophone
In French-speaking black Africa, elections are the primary factor causing conflicts.Jurisdictionalisation of presidential and legislative elections is part of the strategies with the ambition to pacify the process of devolution of supreme political powers. The rules of organization and functioning of this jurisdictionalisation, embodied by the Constitutional Courts and Councils and varying from one country to another, aim to guarantee regularity and sincerity of the presidential and legislative elections. However, this jurisdictionalisation is hypothecated by its politicization marked by the presidentialistic character of the appointment of the judge. In Benin and Senegal, the constitutional judge plays a variable role in pacifying and stabilizing the process of devolution of power realized through democratic alternations. In the other hand, in Ivory Coast the flagrant politicization of the constitutional judge will cause an alternation of armed forces instead of endorsing the democratic alternation driven forward by the electors. Hence the necessity to carry out reforms of the jurisdictionalisation in order to guarantee the independence and place of the judge, needed to respond to the challenges of the consolidation of electoral democracy in French-speaking black Africa
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Anouilh, Pierre. "Sant'Egidio et les métamorphoses de la fabrique de la paix : une étude comparée Mozambique-Burundi." Bordeaux 4, 2010. http://www.theses.fr/2010BOR40011.

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Abstract:
Médiateur providentiel au Mozambique, opérateur de paix reconnu pour ses méthodes et sa discrétion au Burundi, la communauté catholique et romaine de Sant'Egidio est un acteur atypique et singulier de la résolution des conflits. "Naturelle", son expertise pacificatrice n'a jamais été problématisée au regard des conflictualités dans lesquelles elle est intervenue. Notre étude, sur une base comparative, ambitionne de dépasser les prénotions entourant la gestion des conflits armés en privilégiant une approche articulée en termes de sociologie politique de dispositifs internationaux de fabrique de la paix. Les deux premières parties, historiquement situées, partagent la même démarche : problématiser l'évidence et la nécessité des pratiques médiatrices de Sant'Egidio au Mozambique et au Burundi. L'enjeu est de retrouver les connexions, les rencontres, les jeux de force et les stratégies qui ont contribué à l'émergence de la paix égidienne. C ette dernière doit être mise en relation avec les évolutions des pratiques internationales de pacification dont elle participe et qui conditionnent son efficience. Tel est l'objet de la troisième partie. L'étude des médiations africaines de la Communauté s'ouvre alors à l'ensemble des stratégies enchevêtrées concourant à la production de la paix en Afrique. En conclusion, il s'agira d'événementialiser la "diplomatie parallèle" de Sant'Egidio, à travers une brève archéologie des catégories de pensées qui fondent sa reconnaissance et sa légitimité en tant qu'opérateur de paix. Que nous révèle, in fine, l'action de Sant'Egidio quant aux modalités contemporaines du gouvernement des guerres des pauvres ?
Unexpected mediator during the Mozambican civil war, well-known and legitimate peace broker during its mediation in Burundi, the Roman Catholic community of Sant'Egidio appears as a peculiar agent of contemporary conflict resolution. But its diplomantic activity, usually considered as "natural", has never been really investigated in relation with the conflicts in which the community got involved. By focusing on a political sociology of transnational dynamics of alternative pacification, our comparative study, grounded on several fieldworks in Africa and Italia, aim at avoiding the heuristic deadlocks in which the leading paradigms of conflict resolution and international relations theory stay embedded. The first two parts share the same objective : highlighting the contengency and questioning the obviouness and the necessity of Sant'Egidio' s practice of "parallel diplomacy" in the Mozambican conflict and in the Burundian violent crises. What were the connexions, the conflict dynamics, the strategies and configurations of power that allowed Sant'Egidio to become a preferred negociator in the first place ? Following the critical (re)reading of the egidian peace in Africa, the mediation undertaken by this Christian community will be linked, in a third part, with the actual transformations of peacemaking and conflict resolution. In conclusion, the peace mediations of sant'Egidio will be investigated through a short archaeology of its recognition and legitimacy as an efficient global peace broker. What do reveal Sant'Egidio 's peacemaking activities regarding the post Cold war government of the "new civil wars" ?
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Ondias, Okouma Ghislain. "L' Europe communautaire face à la problématique du regroupement des Etats en Afrique Centrale." Montpellier 1, 2006. http://www.theses.fr/2006MON10055.

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Abstract:
Les Etats constituant la région géographique" Afrique Centrale" explorent depuis leur indépendance. L'opportunité de constituer un regroupement supra étatique commun. Cette ambition s'installe par la voie du phénomène d'intégration régionale qui concerne l'économique et le démocratique. Et, les organisations de référence sont la Communauté Economique et Monétaire d'Afrique Centrale (CEMAC) Communauté Economique des Etats d'Afrique Centrale(CEEAC). Depuis sa création, l'Union européenne à travers certains mécanismes et organes, contribue au processus de regroupement des Etats d'Afrique Centrale, à travers sa politique de coopération avec les organisations régionales. Son soutien à cette régionalisation tient à des raisons économiques, et à l'ambition de voir s'y instaurer paix et stabilité. Comme partenaire. Elle appuie et incite les Etats d'Afrique Centrale, a générer une variété de textes juridiques. Mais, leur application minimaliste conduit à relativiser son impact et constater le marasme de cette régionalisation. Sous un autre angle de commentaire, on est emmené à évoquer l'improductivité de l'expertise et de l'implication multiforme européenne, dans l'édification et la viabilité de ces regroupements communautaires. A l'analyse des faits, l'appui du partenaire européen demeure plus déclaratoire qu'opératoire. Ceci demande une redéfinition et une contextualisation des stratégies nécessaires à l'efficacité des processus. Il est impératif d'adapter les instruments et politiques intégrationnistes aux exigences nouvelles. S'il appartient aux Etats CEMAC et CEEAC de procéder à la refonte, celle-ci appelle une implication plus adaptée de l'Europe communautaire.
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N'Djali, Luswanga Willy. "La France dans les opérations de paix en Afrique noire depuis la chute du mur de Berlin : acteurs et prises de décision." Thesis, Université de Lorraine, 2015. http://www.theses.fr/2015LORR0217.

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Abstract:
La France a toujours joué un rôle dans le cadre des opérations de paix en Afrique noire,surtout depuis la chute du mur de Berlin avec l’émergence des nouveaux conflits intraétatiquesqui nécessitent non seulement des acteurs traditionnels, mais aussi, des nouveauxacteurs dotés de nouvelles compétences pour ramener la paix et la sécurité dans les sociétésmarquées par les conflits. Cependant, son implication sur les opérations de paix est souventsujette de diverses critiques mal définies comme ingérence dans les affaires intérieures, excèsde bavure, illégalité, retour du néocolonialisme, due à l’absence d’une politique decollaboration cohérente avec d’autres acteurs qui exercent sur le terrain. C’est pourquoi, lestravaux de recherche portent sur les opérations françaises de paix, les acteurs de relationsinternationales français qui participent sur les opérations de paix, et enfin, sur lacompréhension des interactions décisionnelles au niveau de chaque opération. Il s’agit demettre en lumière les spécificités des pratiques politiques, des différentes stratégies déployéespar les acteurs, des rapports de force et des enjeux du pouvoir qui sous-tendent la prise dedécision en France dans le cadre des opérations de paix
France has always played a role in peace operations in Black Africa, especially since the fallof the Berlin Wall with the emergence of new intrastate conflicts that require not only thetraditional players but also new actors with new skills to restore peace and security in societiesmarked by conflict. However, its involvement in peacekeeping operations is often subjectto various unclear critics as interference in internal affairs, excess burrs, illegality back neocolonialism,due to the absence of a coherent policy of collaboration with other actors who performon the field. Therefore, the research focuses on French peace operations, the actors ofFrench international relations participating in peacekeeping operations, and finally, on understandingthe interactions decision at each operation. This is to highlight the specific politicalpractices, different strategies of the actors, power relations and issues of power that underliedecision making in France as part of peacekeeping operations
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Sall, Mouhamadou idy. "La Certification des élections, un nouvel outil dans la gestion des processus électoraux en Afrique à travers une opération de maintien de la paix : le cas de la Côte d’Ivoire." Thesis, Reims, 2017. http://www.theses.fr/2017REIMD004.

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Abstract:
La résolution de la crise ivoirienne nécessite l’organisation d’une élection présidentielle inclusive. Sur la base de l’Accord de Pretoria, les Nations Unies vont s’impliquer dans la gestion du processus électoral, conformément à la Résolution 1765(2005) du Conseil de sécurité, instituant le mandat de certification.La certification du processus électoral ivoirien constitue dés lors une activité électorale inédite au cœur de la souveraineté nationale. En effet, la gestion du processus électoral par les organes nationaux et un organe international repose sur une architecture juridique hybride, mélangeant le droit national et le droit international, devant permettre la sauvegarde des résultats de l’élection présidentielle. L’acceptation du mécanisme de la certification par les autorités nationales dans ce processus régalien modifie substantiellement la traditionnelle hiérarchie des normes qui attribue à la Constitution et au Conseil constitutionnel une place privilégiée dans les rapports internes et externes.Ainsi, la mise en œuvre du mandat de la certification enlève toute force obligatoire à la décision du Conseil constitutionnel censée revêtir l’autorité de la chose jugée. La déclaration de certification des Nations Unies accorde au candidat proclamé par la Commission électorale indépendante, une légitimité et une crédibilité internationales au détriment du candidat proclamé vainqueur par le Conseil constitutionnel. Cette situation pousse le Conseil constitutionnel ivoirien à se dédire, et reconnaître la supériorité de la certification sur sa décision
The resolution of the Ivorian crisis requires the holding of an inclusive presidential election. On the basis of the Pretoria Agreement and in accordance with Security Council Resolution 1765 (2005) establishing the certification mandate, the United Nations throughout the Special Representative of the Secretary-General were involved in the electoral process.The certification of the Ivorian electoral process constitutes an unprecedented electoral activity at the heart of national sovereignty. Indeed, the management of the electoral process by national bodies and an international body built on a hybrid legal framework, including national law and international law, to safe-guard the results of the presidential election. The acceptance of the certification’s mechanism by the national authorities in this stately process modifies substantially the traditional hierarchy of the norms which assigns to the Constitution and the Constitutional Council a privileged place in the internal and external reports.Thus, the implementation of the Special Representative’s mandate deprives all binding force from the Constitutional Council’s decision, which is supposed to have the authority of res judicata. The United Nations certification’ statement grants international legitimacy and credibility to the candidate proclaimed by the Independent Electoral Commission to the detriment of the candidate proclaimed victor by the Constitutional Council. This situation urges the Ivorian Constitutional Council to recant, and recognizes the superiority of certification on its decision
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Ndiaye, Papa Samba. "Entre contraintes et bonnes intentions: Les difficultés des organisations internationales africaines dans le domaine du maintien de la paix. L’exemple de la communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) en Côte d’Ivoire et ailleurs (Libéria, Sierra Leone, Guinée Bissau) de 1990 à 2003." Thèse, Université d'Ottawa / University of Ottawa, 2011. http://hdl.handle.net/10393/20190.

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Abstract:
ABSTRACT: This thesis tries to understand and explain the problems facing African international organizations in peacekeeping operations. The focus is on the case of the intervention by the Economic Community of West African States (ECOWAS) in Ivory Coast. The analysis will also discuss, in order to permit comparative analysis, the intervention of this same organization in Liberia, Sierra Leone and Guinea Bissau. This case study in comparative perspective can help to mitigate the disadvantage of a case study, whose main weakness is the problem of generalization from the results of one case. The literature in International Relations and peacekeeping operations is used to develop some hypotheses that we will try to test in this dissertation, specifically: the internal difficulties of international organizations; the problems of lessons learned in terms of peacekeeping operations; the balance of power between and the pursuit of the national interest by members states of the organization; the key role of international and foreign actors, such as former colonial masters, in the peace process; and finally, the problem of coordination between different actors. To answer to the research question, the dissertation will be written in the form of a story with different concentric circles. First, for the internal international organizations difficulties, we will use the functionalist approach which is one of the best theorizations of this issue. However, these internal obstacles are only the tip of the iceberg of the problem because behind the organization we have conflicts of interest between different member states and the intervention of former colonial masters that realists and the neo-marxists would anticipate. Nevertheless, these tend to emphasize more on states. As a consequence, they cannot help us to solve the huge issue of coordination between different actors. To respond to this problem, we turn to the model of multi-level governance and demonstrate its value in analysing this case. For the case of Ivory Coast, Liberia and Sierra Leone, we will use both primary and secondary literatures. However, for the case of Guinea Bissau, we will use only secondary literature. RESUME: Cette thèse vise à comprendre et à expliquer les difficultés des organisations internationales africaines dans le domaine du maintien de la paix. La question est étudiée par le moyen d’une étude de cas mais dans une perspective comparative. Car elle permet d’atténuer l’inconvénient majeur de l’étude de cas qui est la question de la généralisation. En effet, nous analyserons les difficultés de la communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) dans la gestion de la crise ivoirienne en utilisant les interventions de cette même organisation au Libéria, en Sierra Leone et en Guinée Bissau pour la comparaison à des fins d’apprentissages. La littérature en Relations internationales et sur le maintien de la paix nous a suggéré les hypothèses suivantes que nous testerons : les difficultés intrinsèques des organisations internationales; les difficultés d’apprentissage de ces mêmes organisations dans le domaine du maintien de la paix; les jeux de puissances et d’intérêt entre États membres de l’organisation internationale; la confiscation incomplète des relations internationales ouest africaines par des acteurs, des enjeux et des intérêts étrangers; enfin, il y a la difficulté de la coordination des actions entre les différents acteurs impliqués dans les processus de résolution des crises. Nous répondrons à la question de recherche en forme de récit avec des cercles concentriques. D’abord pour aborder les difficultés intrinsèques, nous convoquerons les fonctionnalistes qui ont théorisé le mieux la question des organisations internationales. Mais, on s’est vite rendu compte que ces difficultés n’étaient que la face visible de l’iceberg et que derrière l’organisation se cachent des jeux de puissances et d’intérêt, mais aussi l’ingérence des anciennes puissances coloniales que les réalistes et les néo-marxistes avaient prévues. Mais ces derniers mettent surtout l’emphase sur l’État. Ce qui ne permet pas de résoudre la lancinante question de la pluralité des acteurs, des conflits de logiques et de l’articulation des efforts des différents intervenants que l’approche de la gouvernance à paliers multiples permet de prévoir. Pour la Côte d’Ivoire, le Libéria et la Sierra Leone nous utiliserons à la fois de la littérature primaire et secondaire. Mais pour la Guinée Bissau, nous nous appuierons uniquement sur de la littérature secondaire.
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Ntwari, Guy-Fleury. "L'Union africaine et la promotion de la paix, de la sécurité et de la stabilité en Afrique." Thesis, Lyon 3, 2014. http://www.theses.fr/2014LYO30082.

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Abstract:
La promotion de la paix, de la sécurité et de la stabilité est un objectif fondamental de l’Union africaine, l’Organisation continentale panafricaine. Cet objectif constitue désormais une fonction juridique essentielle pour laquelle a été mise en place au sein de l’Organisation un mécanisme approprié : l’architecture de paix et de sécurité (APSA). Bâtie sur une articulation juridique actualisée, au cœur de laquelle se trouve le Conseil de paix et de sécurité, cette fonction se trouve placée dans des conditions juridiques, devant permettre à l’Union africaine d’agir efficacement dans les situations d’atteinte à la paix, à la sécurité et à la stabilité. Plus d’une décennie après la mise en place de la nouvelle Organisation, le caractère fondamental de cette fonction pousse dès lors à s’interroger sur sa place exacte, à la lumière des capacités de l’Organisation à l’assurer à l’épreuve des faits. Cette interrogation éclaire les conditions d’émergence de la fonction mais place sa dynamique de mise en oeuvre dans un contexte ambivalent marqué tout à la fois par le caractère extensif des compétences de l’Organisation dans ce domaine mais également par la portée limitée de celle-ci face à la multiplication des conflits
The Promotion of Peace, security and stability is a fundamental objective of the African Union, the Pan African continental organization. This aim is a now a core legal function for which has been established an appropriate scheme within the Organization: the Architecture of Peace and Security in Africa (APSA). Within an updated legal articulation, at the heart of which is the Peace and Security Council, this function is placed in legal conditions that must allow the African Union to act effectively in the cases of breach of peace, security and stability. More than a decade after the establishment of the new organization, the fundamental nature of this function, pushes therefore to question its proper place, in light of the capacity of the Organization to ensure it, at the facts test. This question illuminates emergence conditions of this function but identifies also an ambivalent dynamic in its implementation, marked at once by the extensive nature of the competences of the Organization in this area but its limited scope when facing increasing conflicts
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Abass, Abou. "Les actions autoritaires du Conseil de sécurité en Afrique depuis la fin de la guerre froide : sanctions, activités à caractère militaire et action pénale." Aix-Marseille 3, 2007. http://www.theses.fr/2007AIX32032.

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Abstract:
Organe de l’ONU chargé de la responsabilité principale du maintien de la paix et de la sécurité internationales, le Conseil de sécurité dispose de pouvoirs importants. Il est compétent pour mener deux types d’actions. Le premier type renvoie les actions coopératives ou consensuelles entreprises sur une base purement coopérative et consensuelle dans le strict respect de la souveraineté des Etats et du consentement de tous les acteurs impliqués dans les situations traitées). Le second correspond aux actions autoritaires, entreprises en application des prérogatives autoritaires du Conseil, de manière discrétionnaire et unilatérale sans que leur validité dépende du consentement ad hoc de sujets extérieurs au Conseil. En raison des blocages que le Conseil a connu durant la guerre froide, le recours aux actions autoritaires n’a pas été très fréquent dans sa pratique de l’époque. Depuis sa réactivation au début des années 1990, il a entrepris un grand nombre d’actions autoritaires un peu partout dans le monde et, notamment en Afrique, devenue son terrain d’action privilégié. A travers cette thèse, nous avons cherché à voir si les réalités sociopolitiques propres à l’ordre régional africain confèrent aux actions étudiées des spécificités, si l’application du droit dérivé issu des résolutions pertinentes du Conseil relatives à Afrique comporte des spécificités découlant directement desdites réalités. Pour répondre à ces questions, nous avons procédé à la conceptualisation de la notion d’actions autoritaires, à l’identification de l’ordre régional africain et de ses particularités, à l’explicitation de l’actualité du sujet et, surtout, à l’étude fouillée des trois principales formes des actions autoritaires pertinentes : les sanctions, les activités à caractère militaire et l’action pénale. La conclusion finale est que si les actions autoritaires du Conseil en Afrique ne sont pas totalement dépourvues d’originalités, celles-ci ne vont pas jusqu’à constituer des spécificités juridiques substantielles. Plutôt, elles sont seulement à la base de spécificités circonstancielles, dictées par la nécessité d’adapter les actions opérationnelles de l’ONU à certaines réalités géopolitiques de l’ordre régional africain : multiplicité, complexité et régionalisation croissante des conflits africains ; existence d’une importante demande d’interventions de l’ONU ; ou le rang occupé par l’Afrique au sein des priorités du Conseil dans l’après-guerre froide. De ce fait, les spécificités des actions autoritaires du Conseil restent marginales. Elles sont circonstancielles et non juridiques. Enfin, leur bilan en demi-teinte représente les mêmes tendances que celui des actions équivalentes dans les autres régions du globe, le tout en faisant des actions relativement banales
As the UN organ in charge of the primary responsibility for the maintenance of the international peace and security, the Security Council has important powers. It is competent to conduct two main types of actions : cooperative or consensual actions consisting in activities of the maintenance of international peace and security which the Council takes on a purely cooperative and consensual basis, from one hand, and authority actions whose main features reside in the facts that they are conducted in application of the coercive powers of the Council, on discretional and unilateral backgrounds, and that their validity does not depend on any recent consent of subjects external to the Council. As a result of the blockages the Council has experimented during the Cold War, recourse to the authority actions has been rather scarce in the its practice during this period. Since its reactivation at the beginning the 1990s, the Council has taken a big number of authority actions in different regions of the Word, especially in Africa which has become a privileged ground of action of the UN. Through this dissertation, we have tried to see whether the socio-political realities of the African regional order confer to the relevant UN actions some specificity, and thus verify if the application of the secondary law represented by the relevant resolutions of the Security Council related to Africa has some specificities directly resulting from the said realties. To answer these questions, we have first onceptualised the notion of authority actions, before identifying the African regional order and its particularities, showing the actuality of the subject and, particularly by making a detailed study of the relevant authority actions : sanctions, military activities and prosecution of international crimes. The final conclusion is that, if the authority actions of the Council are not totally deprived of originalities, these do not go as far as constitutingsubstantial legal specificities. Rather, they are only limited to some incidental specificities dictated by the necessity of adapting the UN operational actions to some socio-political realities of the African regional order : multiplicity of conflicts, complexity and increasing regionalisation of African conflicts; existence of an important demand for UN interventions; and the place occupied by Africa in the priorities of the Security Council. Hence, the specificities of the Security Council’s authority actions in Africa are rather marginal. They are incidental and not juridical. Last, the halftone balance of the relevant actions reflects the same tendencies as in the equivalent actions related to other regions of the globe, all of this contributing to make these actions relatively unspecific
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Bitié, Abdoul Kader. "L'approche contemporaine de la prévention des conflits en Afrique." Thesis, Bordeaux, 2016. http://www.theses.fr/2016BORD0061/document.

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Abstract:
Le continent africain est particulièrement marqué depuis la fin de la guerre froide par unerésurgence des conflits armés internes. L’incapacité de l’organisation de l’Unité Africaine, principaleorganisation continentale depuis sa création en 1963, à prévenir de tels conflits, a contraint ses Etatsmembres à restructurer l’ensemble du dispositif institutionnel, normatif et opérationnel du systèmerégional de maintien de la paix et de la sécurité. La création de l’Union Africaine et le développementde son architecture de paix et de sécurité au début des années 2000, a auguré d’une évolution du cadreinstitutionnel continental de la prévention des conflits armés. En instituant la démocratie et la paixcomme des préalables à son objectif principal de développement, l’Union Africaine, dans unearticulation délicate mais ambitieuse avec les communautés économiques régionales, s’est approprié laprévention régionale des conflits armés, par une approche contemporaine qui repose surl’identification des diverses causes de ces conflits, afin de développer des moyens spécifiques pour lesprévenir
Le continent africain est particulièrement marqué depuis la fin de la guerre froide par unerésurgence des conflits armés internes. L’incapacité de l’organisation de l’Unité Africaine, principaleorganisation continentale depuis sa création en 1963, à prévenir de tels conflits, a contraint ses Etatsmembres à restructurer l’ensemble du dispositif institutionnel, normatif et opérationnel du systèmerégional de maintien de la paix et de la sécurité. La création de l’Union Africaine et le développementde son architecture de paix et de sécurité au début des années 2000, a auguré d’une évolution du cadreinstitutionnel continental de la prévention des conflits armés. En instituant la démocratie et la paixcomme des préalables à son objectif principal de développement, l’Union Africaine, dans unearticulation délicate mais ambitieuse avec les communautés économiques régionales, s’est approprié laprévention régionale des conflits armés, par une approche contemporaine qui repose surl’identification des diverses causes de ces conflits, afin de développer des moyens spécifiques pour lesprévenir
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Oyono, Jean Bosco. "La gestion et la résolution des conflits en Afrique centrale : sortir des crises et reconstruire la paix : le cas de la République démocratique du Congo." Lyon 3, 2009. http://www.theses.fr/2009LYO31079.

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Abstract:
Notre travail se divise en deux parties. La première tranche présente la République Démocratique du Congo (RDC), et étale essentiellement les différentes crises et guerres qu’il a connus depuis son indépendance 1960. Selon le rapport du Groupe d’experts de l’ONU adressé au Conseil de Sécurité le 8 décembre 2008, ce pays regorge de nombreuses ressources naturelles telles que le diamant, le cobalt, le cuivre, le zinc, etc). En outre, il détient 15% du potentiel hydraulique mondial soit 50% du continent africain. Malheureusement, les Congolais n’ont jamais eu aucune emprise sur ces richesses qui ne profitent qu’aux autres, à cause des différentes dictatures, dont-ils ont été l’objet depuis l’indépendance. C’est le contraste entre un pays potentiellement riche et un peuple pauvre. La deuxième partie nous examinerons des pistes et du cercle vicieux de la violence. C’est dans ce but que nous avons proposé trois modèles d’organisation politique de l’Etat. Notamment le type fédéral, présidentiel et parlementaire, qui devrait être appuyé par un système démocratique de type occidental. Naturellement, nous avons souligné leurs avantages et leurs inconvénients dans le cas de la RDC. Nous avons également émis l’hypothèse de la partition de l’Etat sous le modèle des royaumes africains précoloniaux et cela, en fonction de la géomorphologie issue du dernier conflit armé. Enfin, nous avons préconisé une démocratie endogène de type africain
Our work falls into two parts. The first part introduces the Democratic Republic of Congo (DRC); it essentially shows the different crises and wars undergone by this country since its independence in 1960. According to a report sent by a group of UNO experts to UN Security Council on December 8,2008, the country is rich with innumerable natural resources such as diamond, cobalt, copper, oil , etc ); moreover, it contains more than 15% of the world hydraulic potential, i. E. , 50% of the hydraulic potential of the whole African continent. Unfortunately, the Congolese have never had any control over these riches which have never served the financial interests of the Natives because of the dictatorial Regimes that have governed the country since its independence. The case of the Democratic Republic of Congo is an illustration of the contrast between a potentially rich country and a poor people. The second part suggests solutions to help put an end to crises and the circle of violence. So, we have defined three main models of political Regimes: the federal type, the Presidential and Parliamentary types which should be sustained by a democratic system equivalent to the model of Western. Naturally, we have underlined both the advantages and disadvantages of each system as far as The Democratic Republic of Congo is concerned. We have also examined the hypothesis of a possible partition of the DRC on the model of pre-colonial African Monarchies, and this in accordance with the geomorphologic aspect of the later armed conflict. Finally, we have suggested an endogenous Democracy of African type
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Moukoko, Habib. "L'ONU et la promotion des droits de l'homme en Afrique : Le cas de l'Αfrique subsaharienne francοphοne." Thesis, Normandie, 2017. http://www.theses.fr/2017NORMC003/document.

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Abstract:
La présente réflexion sur le cadre d'intervention de l'ONU dans le domaine des droits humains, en Afrique subsaharienne francophone, pousuit deux principaux objectifs. Le premier objectif vise à démontrer que l'Organisation des Nations Unies est très engagée sur le terrain des droits de l'homme, dans les pays de l'espace francophone. Cet engagement n'est pas nouveau. Depuis 1960, année du déploiement d ela première Opération de maintien de la paix en Afrique subsaharienne francophone, l'Opération de l'ONU au Congo (ONUC), les Nations Unies n'ont cessé de considérer la stabilité politique, économique et sociale de l'Afrique, comme prioritaire et comme la condition principale du maintien de la paix et de la sécurité internationales. Cette stabilité passe par la création des conditions effectives de promotion et de protection des droits fondamentaux des citoyens Africains. Nous avons tenté, dans le cadre de ce travail, d'apprécier le bilan de l'ONU dans le domaine des droits de l'homme. Or, après 56 ans de présence en Afrique francophone subsaharienne, ce bilan apparaît principalement négatif. Le deuxième objectif de ce travail est d'analyser plus précisément cet échec et d'en comprendre les causes. En effet, les programmes de promotion des droits de l'homme, visant à inculquer une culture de respect des droits de l'homme au sein des diverses catégories socio-professionnelles et à renforcer les capacités des Etats dans le domaine des droits de l'homme, sont souvent inadaptés aux réalités socio-culturelles de l'Afrique, dans la mesure où ils ne prennent pas en compte les causes profondes des guerres civiles africaines que constituent les conflits intercommunautaires
The present reflection on the framework of intervention of UNO in the field as of human rights, in French-speaking sub-Saharan, pursues two principal goals. The primary goal aims at showing that the United Nations Organization is very committed on the ground of the human rights, in the countries of French-speaking space. This commitment is not new. Since 1960, year of the deployment of the first Operation of peacekeeping in French-speaking sub-Saharan Africa, the Operation of UNO in Congo (ONUC), the United Nations did not cease considering political stability, economic and social of Africa, like priority and the principal condition of the peacekeeping and the securty international. This stability passes by the creation of the effective conditions of promotion and protection of the basic rights of the African citizens. We tried, within the framework of this work to appreciate the assessment of UNO in the field as of the human rights. However, after 56 years of presence in sub-Saharan French-speaking Africa, this asssessment apears mainly negative. The second objective of this work is to analyze more precisely this failure and to understand the causes of them. Indeed, the programmes of promotion of the humlan rights, aiming inculcating a culture of respect of the human rights within the various social and economic categories and at reinforcing the capacities of the States in the field of the human rights are often unsuited to sociocultural réalities of Africa, insofar as they do not take into account, the fundamental causes of the African civil wars, that constitutite the intercommunity conflicts
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Sonko, Aminata. "La résolution des conflits en Afrique subsaharienne : enjeux et perpectives." Lyon 3, 2009. http://www.theses.fr/2009LYO31082.

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Abstract:
La problématique relative à la résolution (ou au règlement) des conflits en Afrique subsaharienne peut paraître complexe au regard de l’importance des enjeux. Cette thèse est avant tout un travail de recherche qui consiste tout d’abord à comprendre les causes essentielles de ces conflits. Celles, qui sont à l’origine de la déstructuration des sociétés africaines mais aussi de l’instabilité politique, économique et sociale. Par ailleurs, les conséquences désastreuses (trafics d’armes, constitution de groupements armés, enrôlement d’enfants soldats etc. ) que ces phénomènes de conflits ont engendrées dans plusieurs zones de la sous-région ne font qu’accroître la nécessité de parvenir à une paix durable. Ainsi, l’ONU a décidé d’installer cette question au centre de ses préoccupations. Le continent s’inscrit également dans une démarche régionale et sous-régionale. Des organisations sous-régionales se sont créées peu à peu et œuvrent dans le but de renforcer la coopération inter-africaine. De plus, l’OIF, le Commonwealth et la Ligue Arabe qui entretiennent un lien culturel et historique avec le continent affichent leur volonté d’œuvrer au règlement de ces crises et conflits. L’Afrique, a mis un certain temps à construire une politique commune cohérente. Après l’OUA, c’est aujourd’hui l’Union Africaine, qui doit donner un nouveau souffle au continent. Prendre leur destin en mains par le biais de l’intégration régionale et proposer une nouvelle forme de coopération et de gouvernance, sont les principales perspectives proposées par les chefs d’Etat africains. La constitution des Etats-Unis d’Afrique serait alors envisagée comme une solution à la « renaissance » africaine
The problems with regard to the resolution (or to the regulation) of the conflicts in sub-Saharan Africa may seem complex in the light of the importance of the issues. This thesis is a research work to understand the basic causes of these conflicts. Those are at the origin of the destructuring African societies but also of the political instability, economic and social. Furthermore, the disastrous consequences (trafficking in arms, constitution of armed groups, conscription of child soldiers etc. ) that these phenomena of conflicts have engendered in several areas of the sub-region are increasing the need to achieve a lasting peace. Thus, the United Nations has decided to install this issue at the center of its concerns. The continent is also included in a regional and sub-regional approach. Sub-regional organizations were progressively created, and working in the aim of strengthening the inter-African cooperation. In addition, the International Organization of French speaking, the Commonwealth and the Arab League that sustain a cultural and historical connection with the continent display their willingness to work in settlement of these crises and conflicts. Africa put some time to build a coherent common policy. After the OAU, it is today the African Union, which must give a new impetus to the continent. Take their fate in hands, through regional integration and propose a new form of cooperation and governance, are the main perspectives proposed by the African heads of State. Then, the constitution of the United States of Africa would envisage as a solution to the African “rebirth”
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Sibide, Doudou. "La résolution des conflits en Afrique : le cas de la République démocratique du Congo de 1944 à nos jours." Lyon 3, 2009. https://scd-resnum.univ-lyon3.fr/out/theses/2009_out_sidibe_d.pdf.

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Abstract:
La guerre autrefois considérée par les réalistes comme une confrontation entre des États a changé de visage avec la prolifération des conflits internes liés à la fin de la guerre froide ou à d'autres facteurs. Leur caractère meurtrier et l'enracinement de leurs causes dans la société en font des conflits difficiles à résoudre. Le conflit de la République démocratique du Congo, qui rentre dans ce cadre, implique aussi des acteurs étatiques. En plus de ses dimensions intra étatique et interétatique, il faut ajouter la faillite de l'Etat, la désintégration de l'armée, la manipulation ethnique, les problèmes fonciers et l'exploitation illégale des ressources minières. Face à une situation aussi complexe, la communauté internationale, sous l'égide de l'ONU, a tenté d'apporter des solutions inspirées de la théorie de la paix démocratique dans sa dimension politique avec l'instauration de la démocratie et dans sa dimension économique avec l'économie de marché. A partir de là, il s'agira d'abord de voir dans le cadre de ce travail si de telles solutions sont adaptées au conflit de la République démocratique du Congo, si elles n'engendrent pas des démocraties fragiles. Des propositions complémentaires et parfois alternatives seront, ensuite faites. Ainsi, cette étude cherche à démontrer que la consolidation des institutions issues des élections, la refondation de l'armée, l'arrêt de la criminalisation de l'économie, la coopération entre les pays voisins et la transformation sociale du conflit peuvent être autant de solutions parmi d'autres qui militent en faveur de l'avènement d'une paix durable en République démocratique du Congo
Once considered by realists as a confrontation between States, the notion of War has shifted with the proliferation of internai conflicts linked to the CoId War or other factors. Their immense toll on human life, as well as their societal origins has made these conflicts very difficult to resolve. The conflict in the Democratie Republic of the Congo, which falls into this category, also involves State-actors. In addition to its internal and inter-state dimensions, one must mention the failure of the State, the disintegration of the army, ethnic manipulation, conflict over property, as weil as the illegal exploitation of mining resources. Faced with such a complex situation, the international community, under the auspices of the United Nations, has tried to enginee political solutions based on the theory of liberal peace with the introduction of democracy, and economic ones with the market economy. This study will therefore examine first of all the extent to which such solutions are adapted to the conflict in the Democratic Republic of the Congo, or whether or not they lead to fragile democracies. Secondly, we will seek to demonstrate that solutions may lie in the consolidation of institutions created through elections, the refounding of the army, the end of the criminalisation of the economy, cooperation with neighbouring countries, and the social transformation of the conflict. These solutions are thought to defend the idea of a sustainable peace in the Democratic Republic of the Congo
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Agbobly-Atayi, Amevi. "L’organisation internationale de la francophonie en matière de prévention, de gestion et de règlement des crises et conflits en Afrique subsaharienne francophone : cas de la république démocratique du Congo, du Tchad, de la Côte d'Ivoire et du Togo." Thesis, Lyon 3, 2011. http://www.theses.fr/2011LYO30059.

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Abstract:
En Afrique subsaharienne francophone, au cours de ces deux dernières décennies, le nombre et l’intensité des crises et conflits restent un sujet de vive préoccupation exigeant une réponse globale. Ces différends ont souvent pour cause profonde la violation des droits de l’homme et l’avènement du processus démocratique débouchant sur des transitions chaotiques, notamment en République démocratique du Congo, au Tchad, en Côte d’Ivoire et au Togo.L’OIF, un acteur à vocation culturelle doté dorénavant d’instruments et de mécanismes de prévention et de sortie de crises, s’impose à côté de l’ONU et autres organisations internationales et régionales comme une institution culturelle de démocratie et de sécurité.Outre son rôle prépondérant en matière de contribution au processus démocratique, les actions de la Francophonie se déroulent en complémentarité avec celles des autres organisations impliquées dans la prévention, la gestion et la résolution des conflits.A l’heure des enjeux sécuritaires entre Etats, et en dépit de ses moyens limités, il s’avère nécessaire de construire autour de cet espace géoculturel à dimension politique, une identité stratégique sécuritaire en vue de juguler les menaces et risques majeurs et jouer pleinement son rôle de puissance d’influence
In francophone Sub-Saharan Africa conflicts and crises have increased in number and intensity over the two last decades and remained a major issue demanding a global response. They are often mainly caused by the breach of human rights and the coming of democratic process leading chaotic transitions, such as in the Democratic Republic of Congo, Chad, Ivory Coast and Togo.The international organisation of “ francophonie” – whose role consists in promoting culture and whose new tools and mechanisms aim at preventing and solving crises – play a major part among the UN and other international and regional organisations as a cultural institution for democracy and security. Apart from its prevailing part played in terms of contribution to the democratic process, the actions of the organisation complement those of other organisations involved in preventing, managing, and solving conflicts.At this time of security challenge among countries and despite limited means, working out – within this geo cultural area that has a political dimension – a secure strategic identity, turns out to be necessary in order to curb major threats and risks and fully play the role of influential power
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Türke, András István. "La politique étrangère, de sécurité et de défense de l’Union Européenne des fondements à l’évolution récente : Quel rôle dans le processus de stabilisation à la péripherie de l’Union et dans l’évolution des relations nord-sud en liaison avec l’ONU?" Paris 3, 2008. http://www.theses.fr/2008PA030172.

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Abstract:
Cette thèse étudie l’évolution récente de la politique étrangère et de défense de l’Union européenne dans sa complexité : Les théâtres examinés les plus importants sont les Balkans (Bosnie-Herzégovine, ARYM) et l’Afrique (RDC, Soudan). En ce qui concerne les Balkans, sur ce théâtre l’UEO a mené plusieurs opérations après la crise en 1991. Nous examinons les ressemblances, les éléments développés et les enseignements qui ont été tirés de ces actions vis-à-vis de celles de la PESD. Les Balkans sont considérés comme une région limitrophe de l’Union européenne, une zone d’influence des Européens, mais des autres superpuissances y sont également présentes. Quels sont les objectifs de la création des zones d’influence ? Est-ce que l’union cherche une autre méthode à suivre en ce qui concerne les opérations militaires, les missions de police et la gestion diplomatique des crises en Afrique, sur les théâtres lointains ? La thèse montre si les expériences et la pratique d’une région sont applicables « partout dans le monde ». En Afrique c’est le passé colonial de quelques pays en Europe, la richesse locale en ressources naturelles, le système de soutien financier des régions sous-développées par les ressources européennes qui constituent des éléments de la complexité sur les théâtres africains. Comment les jeux des superpuissances se jouent-ils dans cette région et quelle est la conclusion de la diplomatie et des missions européennes? La question principale à laquelle la thèse cherche la réponse, c’est dans quelle mesure l’Union peut-elle devenir un acteur international dans le processus de stabilisation à sa périphérie et dans l’évolution des relations Nord-Sud en liaison avec l’ONU. Comment l’Union peut-elle transformer sa puissance économique en une puissance politique dans le système international du XXIème siècle en gardant le bon contact avec les principaux acteurs et organes internationaux, notamment avec les États-Unis et l’ONU ? Quel rôle peut-elle jouer dans la prévention et la gestion des crises? Comment concevons-nous la coopération entre les institutions de l’Union européenne et celles de l’OTAN ?
This thesis examines recent developments in foreign and defence policy of the European Union in its complexity: Theaters considers the most important areas the Balkans (Bosnia-Herzegovina, FYROM) and Africa (DRC, Sudan). Regarding the theatre of war of the Balkans, WEU has carried out several operations after the crisis in 1991. One can examine the similarities, elements that developed, and lessons learned from these actions vis-à-vis to those of the ESDP. The Balkans is considered as a region bordering on the European Union, a zone of influence of Europe, but other powers are also present. What are the objectives of creating zones of influence? Is the Union seeks another methods to follow in regard to military operations, police missions, and diplomatic management of crises in Africa, of the distant theatres of war? The thesis examines whether the experience and practice of certain regions can be applied "anywhere in the World". In Africa the colonial legacy of some European countries, the rich local natural resources, the system of financial support for underdeveloped areas by European resources are the elements of the complexity in the African theatres of war. How political games are played in this region and what are the conclusions of diplomacy and European missions? The main question, to which the thesis attempts to answer, is to what extent the EU can become an international player in the process of stabilization at its periphery, and in the development of North-South relations in cooperation with the UN. How can the EU turn its economic power to a political power in the international system of the twenty-first century by building good relations with key actors and international bodies, including the USA and the UN? What kind of role can it play in the prevention and crisis management? How do we conceive of cooperation between the institutions of the European Union and those of NATO?
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Bouzanda, Diassonama Kiesse. "Dimension militaire de la présence chinoise en Afrique noire : contribution à l’étude de l’outil militaire dans la politique étrangère des Etats." Thesis, Lyon 3, 2012. http://www.theses.fr/2012LYO30015.

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Abstract:
La première décennie du XXIème siècle a été particulièrement marquée par le renforcement de la présence de la République populaire de Chine (RPC) en Afrique. En effet, Pékin est devenu un important partenaire du continent dans différents domaines de coopération (économique, commercial, militaire, culturel…). C’est ainsi que l’objet de cette recherche porte essentiellement sur la dimension militaire de la présence chinoise. Celle-ci reste encore peu étudiée contrairement à celle des Etats-Unis, de la France et de l’URSS autrefois. L’étude qui convoque la pensée stratégique chinoise et les théories de relations internationales, tente de cerner les enjeux, les contours et les évolutions de la dimension militaire chinoise dans un contexte de bouleversements et de rivalités stratégiques (1960-2010). Aussi, l’étude s’intéresse aux différents choix stratégiques opérés. Cet effort de compréhension ne porte pas que sur la seule Chine, l’Afrique y est aussi pleinement prise en compte. La réflexion se prolonge avec l’analyse décisionnelle de la politique étrangère de défense, grâce notamment à une approche que nous avons qualifiée d’hybride, une combinaison du modèle rationnel et de l’approche bureaucratique de la décision. Ainsi, dans le cas chinois et africain, la décision en politique étrangère n’est pas le seul fait du Président, bien qu’il en soit un acteur prééminent. De nombreux acteurs participent à son élaboration; ceux-ci disposent de réelles capacités de l’infléchir dans un sens ou dans l’autre
The reinforcement of China presence in Africa particularly constitutes a remarkable event during the first decade of the twenty-first century. As the matter of fact, China has become an important partner in various domains of cooperation such as trade, military, culture…This is hereby the reason why this study is essentially based on the military dimension of China presence. This aspect is barely analyzed in comparison with those of the USA, France, and the USSR in the past. The study deals with the Chinese strategic Policy and the theories of international relations. It intends to decipher what is at stake, the ins and outs of the Chinese military Policy in a context where upheavals and strategic conflicts are pregnant (1960-2010). Moreover, the study will analyze different strategic choices that have been taken so far. This effort of analysis will not only concern China, but Africa will be fully taken into account as well. The reflection will stretch onto the analysis of decisions inherent to the foreign Policy, notably thanks to an approach that can be qualified as a ‘hybrid approach’, that is, a combination of a rational pattern and the bureaucratic approach of decision. Then, in the Chinese and African cases, the decision in foreign policy is not only the prerogative of the president, although he allegedly seems to be a pre-eminent actor. A lot of actors partake in the foreign Policy elaboration; these ones have real capacities to curb it either way
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Ahui, Brou Manio Ange Hervé. "La Côte d'Ivoire et les modes de règlement des conflits africains : la prééminence du dialogue." Thesis, Lille 2, 2011. http://www.theses.fr/2011LIL20002.

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Abstract:
Selon un bilan établi en 1998 par le Secrétaire général de l’O.N.U., l’Afrique est le continent le plus touché par les conflits. Aussi bien les Organisations Internationales que les Etats contribuent à apaiser les situations soit par la voie pacifique soit par le recours à la force armée. Le premier Président ivoirien avait fait du dialogue sa priorité en matière de résolution des conflits tant internes qu’internationaux. Plusieurs médiations avaient été menées par les autorités ivoiriennes à l’occasion de crises auxquelles étaient confrontés certains pays africains. La Côte d’Ivoire s’était attelée à trouver, par le dialogue, des solutions. Mais elle a également participé à des opérations de maintien de la paix. Le déclenchement de la crise ivoirienne a inversé les rôles. La Côte d’Ivoire a été l’objet de médiations ; des troupes étrangères ont été déployées dans le cadre d’une mission de maintien de la paix. Le dialogue utilisé à l’occasion des autres conflits africains a mis du temps à trouver une application effective. En tout état de cause, c’est par le dialogue que les acteurs politiques ivoiriens ont pu trouver des solutions aux problèmes de la Côte d’Ivoire
According to an established assessment by the General Secretary of the UN in 1998, Africa is the most affected continent by conflicts. International organisations as well as States play a great part in alleviating conflict situations, either by the peaceful way or the recourse to the armed force. The former Ivorian president has made dialogue his priority, as far as, both internal and international conflicts ‘resolutions are concerned. Several mediations were led by Ivorian authorities at the time of crises with which some African countries were confronted. Côte d’Ivoire set out to find, through dialogue, solutions. But it also took part in peacekeeping operations. The Ivorian crisis outbreak reversed the roles. Côte d’Ivoire has been object of mediations. Some international armed forces have been deployed as part of peacekeeping mission. The dialogue used at the time of other African conflicts took time over finding an effective application. At all events, it is through dialogue that the Ivorian political actors were able to find solutions to the problems of Côte d’Ivoire
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Houenou, Seminakpon Arnaud. "Les nouveaux accords de défense franco-africains et la politique de sécurité de la France." Thesis, Lyon 3, 2014. http://www.theses.fr/2014LYO30060.

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Abstract:
Initiée dans les années 1960 avec les indépendances des territoires de l’ancien empire français, la coopération de défense a permis à la France ancienne puissance coloniale de continuer à maintenir son influence en Afrique tout en participant à la construction d’armées nationales africaines autonomes. Malheureusement, certains choix politiques et militaires de la France, les risques d’instrumentalisation d’un engagement strictement bilatéral, ont révélé l’archaïsme des relations France-Afrique et engendré la crise de la coopération. Devenue inadaptée en raison des bouleversements du champ politique international intervenus dans les années 1990 caractérisé par la fin de la bipolarisation, la coopération de défense France-Afrique a souffert de la compétition internationale, de l’adhésion de l’Afrique à la mondialisation et à de nouvelles solidarités internationales, et de la menace terroriste.En souscrivant à l’approche réaliste de sécurité, en considérant la théorie politico-sociologique constructiviste de l’intérêt national défendue par Alexander Wendt d’une part, et le concept de complexe régional de sécurité de Barry Buzan d’autre, cette étude se propose de montrer comment la France met en oeuvre une nouvelle politique de sécurité et de défense sur la base de nouveaux accords de défense en Afrique, continent le plus proche de l’Europe dans un contexte de rupture stratégique avérée et de menace contre la sécurité. Après avoir défini celle-ci dans un contexte régional global, cette étude démontre les stratégies de la France et des puissances internationales dans la gestion des conflits et la prévention des crises en Afrique dans un partenariat qui soit à la fois transparent et efficace
Established in the 1960s with the independence of territories of the former French empire, the defense cooperation allowed the old French, colonial power to continue to maintain its influence in Africa, while at the same time establishing autonomous national African armies. Unfortunately some of the political and military choices made by France and the instrumentalization risks of a strictly bilateral involvement, have revealed the archaism of French – African relations, and have generated a crisis in cooperation. Having become inadequate due to changes in the international political arena that occurred in the 1990s characterized by the end of bipolarity, the French defense cooperation African has suffered from international competition from the commitment of African States to the effective exercise of their sovereignty as well as their full involvement in globalization and in new areas of solidarity and international cooperation, and from terrorist threats.In subscribing to the realist security approach, and considering the political-sociological constructivist theory of national interest defended by Alexander Wendt on the one hand, and on the other hand the regional security complex concept by Barry Buzan, this study proposes to show how France has put in place a new security policy based on new defense agreements in Africa, the continent closest to Europe in a context of proven strategic breakdown and security threats. Defined in a global regional context, this study demonstrates the strategy of France for security in Africa in a partnership that should be both transparent and efficient
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Frasson-Quenoz, Florent. "La construction de la communauté de sécurité africaine : une perspective africaine." Thesis, Lyon 3, 2011. http://www.theses.fr/2011LYO30015.

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Abstract:
Les difficultés rencontrées pour assurer le maintien de la paix et de la sécurité internationale sur le continent africain constituent un réel obstacle au développement économique, un danger pour les populations et une menace sérieuse pour la survie des Etats.Les outils théoriques classiques de la sécurité internationale s’étant révélés insuffisants pour apporter une réponse à cette problématique, notre objectif est ici, en recourant à l’approche constructiviste, de déterminer si les États africains manifestent une réelle volonté et/ou capacité à construire une communauté de sécurité (CS) à même de palier ces difficultés.Pour ce faire nous nous interrogeons sur l’existence d’un lien entre la production d’actes de parole, la promotion et l’adoption de normes de régulation pacifiques des conflits et la manière qu’ont les États africains d’appréhender leurs relations avec les autres membres de la CS supposée.L’utilisation additionnelle du concept de région et l’adoption d’une perspective africaine nous permettent en outre de diviser l’objet d’étude « Afrique » en plusieurs sous-Ensembles plus propices à la réalisation d’une étude scientifique et d’évaluer d’une part la pertinence et d’autre part le sens même du concept de CS lorsqu’il est appliqué au terrain africain
The difficulties met to insure the preservation of the peace and the international security on the African continent constitute a real obstacle to the economic development, a danger for the populations and a serious threat for the survival of States.The classic theoretical tools of the international security having proved insufficient to provide an answer to this issue, our objective is to determine, on the basis of the constructivist approach, whether African States show a real willingness and\or a capacity to build a Security Community (SC) that would be able to overcome these difficulties.In order to do so we question whether a link exists between the production of “speech acts” on the one hand and the promotion and the adoption of pacific regulation norms for conflicts on the other, and we examine the way African States apprehend their relations with other members of the supposed SC.The additional use of the concept of “region” and the adoption of an African perspective allow us to divide the object of study "Africa" into several subsets more propitious to the achievement of a scientific study, and to evaluate the relevance and the meaning of the SC concept when applied to the African field of study
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Désilets, Louis-Philippe. "La gestion des conflits armés en Afrique depuis la Somalie (1993-2003) jusqu'à l'opération Artémis : étude comparative des politiques canadiennes et françaises de renforcement des capacités africaines de maintien de la paix." Mémoire, 2006. http://www.archipel.uqam.ca/1844/1/M9284.pdf.

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Abstract:
Ce mémoire est une étude comparative des politiques française et canadienne de maintien de la paix en Afrique. Au début des années 1990, la France et le Canada sont d'importants fournisseurs de troupes aux différentes missions de paix mises de l'avant par les Nations Unies à ce moment-là. Sur le continent africain, les deux pays ont été présents en Somalie, au Rwanda, en Centrafrique et en République démocratique du Congo. À la suite des échecs survenus en Somalie et au Rwanda, leurs dirigeants ont décidé de favoriser davantage la formation des forces africaines de maintien de la paix plutôt que l'engagement direct de leurs forces armées. Le but de ce mémoire est de comparer les politiques canadienne et française afin d'identifier les motivations qui ont poussé leurs dirigeants à intervenir dans différentes missions de paix en Afrique. Afin de réaliser cet objectif, l'auteur a analysé celles-ci et les actions posées par les deux pays depuis la Somalie en 1993 jusqu'à l'intervention en République démocratique du Congo dans la province de l'Iturie en juin 2003 avec un cadre d'analyse réaliste. Le cadre d'analyse est construit à partir de la théorie réaliste des relations internationales. Cette théorie se fonde sur les propositions suivantes: le système international est anarchique; il y a toujours un risque de déclenchement d'un conflit; les États sont les principaux acteurs des relations internationales; les États sont incarnés par les chefs d'États qui sont des acteurs cherchant à maximiser leur intérêt national défini en termes de puissance. Les concepts d'intérêt national et de puissance sont au coeur de l'analyse de la politique étrangère. L'auteur a choisi l'approche réaliste « offensive » car celle-ci est pertinente afin d'expliquer pourquoi un État utilise le maintien de la paix comme un moyen d'acquérir de l'influence. L'hypothèse principale est que le maintien de la paix est un instrument qui permet au Canada et à la France d'acquérir de l'influence et de défendre certains objectifs dans le système international. La seconde hypothèse est que depuis la fin de la guerre froide, les dirigeants canadien et français ont modifié leur politique étrangère afin de faire face à la nouvelle typologie des conflits armés en Afrique caractérisés par des guerres civiles et des compressions budgétaires sur le plan interne. En somme, les Canadiens et les Français ont participé à différentes opérations de maintien de la paix en Afrique afin d'acquérir de l'influence dans l'arène internationale et protéger leurs acquis. Faisant face à des facteurs externes et internes, ils ont dû modifier leur politique de maintien de la paix. La participation du Canada à la résolution des conflits en Afrique n'a pas eu un impact significatif comparativement à celle de la France. La raison étant que la France disposait de davantage de moyens militaires que le Canada. Ottawa a surtout joué un rôle diplomatique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Maintien de la paix, Politique étrangère, Canada, France, Missions de paix.
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