Academic literature on the topic 'Maison unifamiliale'

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Journal articles on the topic "Maison unifamiliale"

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Zakia, Sílvia Amaral Palazzi. "Le Corbusier, Pierre Chareau e duas obras-primas da arquitetura moderna." Pós. Revista do Programa de Pós-Graduação em Arquitetura e Urbanismo da FAUUSP 22, no. 37 (2015): 34. http://dx.doi.org/10.11606/issn.2317-2762.v22i37p34-56.

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Abstract:
<p>Le Corbusier e Pierre Chareau são notoriamente responsáveis por duas obras consideradas ícones da Arquitetura moderna: as moradias Villa Savoye e Maison de Verre. São obras coetâneas, solicitadas por clientes com o mesmo perfil socioeconômico – alta burguesia francesa – e com necessidades similares. Villa Savoye é uma residência unifamiliar, enquanto Maison de Verre compartilha as funções moradia e clínica médica na mesma edificação: diferença, no entanto, que não interfere no foco da análise proposta. O artigo busca, por meio do cotejamento das relações cliente-arquiteto - Le Corbusier-Savoye e Chareau-Dalsace -,levantar questões sobre a conduta profissional que o arquiteto moderno se arrogou: revolucionário de hábitos e de costumes. As obras são respostas modernas e diversas, para solicitações semelhantes. Em ambos os casos, o papel da mulher é um indicativo de sua influência, nesse contexto histórico, como formadora de opinião. A casa, sendo o lócus de domínio feminino, expressa os gostos e hábitos da mulher.</p>
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Le Corre, René. "Les divers types de développements domiciliaires et leurs populations de moins de 20 ans." Partie II : Démographie générale 6, no. 3 (2008): 203–33. http://dx.doi.org/10.7202/600753ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ L’urbanisation croissante et la multiplication des banlieues créent des demandes en terme d’immobilisations scolaires. Dans une tentative de mesurer ces besoins, l’étude traite de l’évolution de la proportion des moins de 20 ans par rapport à la population totale d’un développement domiciliaire en cours de vieillissement. L’évolution de la structure par âge d’un développement domiciliaire est évidemment différente de celle de l’ensemble du Québec en raison de l’espace limité, d’une entrée « sélective » des résidents du développement domiciliaire et d’un renouvellement différent de la population. La composition de la population quant à l’âge et l’état matrimonial, par exemple, sera également différente d’un type de développement domiciliaire a l’autre d’où un fractionnement en sept (7) modèles de développements domiciliaires définis par la densité, soit le pourcentage de maisons unifamiliales et celui d’appartements. A partir des données de recensements, on a calculé des coefficients permettant de mesurer l’évolution de la structure par âge de 0 à 20 ans, propre à un développement domiciliaire. Ainsi, entre autres résultats, 5 années après la fin de la phase principale de développement, la proportion des 0-4 ans baisse d’environ 20 $ pour ensuite se stabiliser.
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Cortado, Thomas Jacques. "Maison." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.131.

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Abstract:
Le champ sémantique de la maison imprègne nos perceptions individuelles et collectives du monde comme peu d’autres. Il suffit de songer à la distinction très marquée entre house et home en anglais, si difficile à retranscrire dans nos langues latines, ou encore aux usages politiques de l’expression « chez nous » en français. Ce champ renvoie à des lieux souvent riches d’affects, de mémoires et de désirs, qui nous définissent en propre et orientent nos perceptions du temps et de l’espace. Ils font d’ailleurs la matière des poètes, peintres et autres artistes. À cet égard, lorsque nous perdons notre maison, nous ne nous retrouvons pas seulement privés d’un bien utile et échangeable, d’un « logement », nous voyons aussi s’effacer une partie de nous-mêmes et le centre à partir duquel s’organise notre existence quotidienne. En dépit de sa densité, les anthropologues ont d’abord rabattu le thème de la maison sur ceux de la famille et de la culture matérielle. Pour Lewis H. Morgan, la forme de l’espace domestique ne fait qu’épouser un certain type d’organisation familiale; elle en est, pour ainsi dire, le révélateur (1877). À la « hutte » des « sauvages » correspond donc la famille consanguine, qui autorise le mariage entre cousins, alors qu’à la « maison commune » des « barbares » correspond la famille patriarcale, autoritaire et polygame. Les « maisons unifamiliales » de l’Occident contemporain renvoient à la famille nucléaire, fondement de la « civilisation ». Quant aux anthropologues davantage intéressés par l’architecture et les artefacts domestiques, leurs analyses consistent souvent à expliquer leur genèse en accord avec une vision évolutionniste du progrès technique ou par des facteurs géographiques. On aurait pu s’attendre à ce que l’invention de l’ethnographie par Bronislaw Malinowski ouvre de nouvelles perspectives. Avec elle, c’est en effet un certain rapport à la maison qui se met à définir le métier d’anthropologue, celui-là même qu’exemplifie la célèbre représentation de ce dernier sous sa tente, immortalisée dans la première planche photographique des Argonautes du Pacifique occidental. Pour autant, la maison reste un objet secondaire par rapport à l’organisation de la vie familiale, le vrai principe de la société. Elle est avant tout le lieu où le couple choisit de résider après le mariage et ce choix se plie à certaines « règles », dont on peut assez facilement faire l’inventaire, grâce aux liens de filiation entre les membres du couple et les autres résidents (Murdock 1949). On parlera, par exemple, de résidence « matrilocale » quand le couple emménage chez les parents de l’épouse, « patrilocale » dans le cas inverse. Quant aux sociétés occidentales, où le couple forme habituellement un nouveau ménage, on parlera de résidence « néolocale ». La critique de ces règles permet, dans les années 1950 et 1960, d’étendre la réflexion sur la maison. Face aux difficultés concrètes que pose leur identification, Ward Goodenough suggère d’abandonner les taxinomies qui « n’existent que dans la tête des anthropologues » et de « déterminer quels sont, de fait, les choix résidentiels que les membres de la société étudiée peuvent faire au sein de leur milieu socioculturel particulier » (1956 : 29). Autrement dit, plutôt que de partir d’un inventaire théorique, il faut commencer par l’étude des catégories natives impliquées dans les choix résidentiels. La seconde critique est de Meyer Fortes, qui formule le concept de « groupe domestique », « unité qui contrôle et assure l’entretien de la maison (householding and housekeeping unit), organisée de façon à offrir à ses membres les ressources matérielles et culturelles nécessaires à leur conservation et à leur éducation » (1962 : 8). Le groupe domestique, à l’instar des organismes vivants, connaît un « cycle de développement ». En Europe du sud, par exemple, les enfants quittent le domicile parental lorsqu’ils se marient, mais y reviennent en cas de rupture conjugale ou de chômage prolongé ; âgés, les parents souvent cherchent à habiter près de leurs enfants. En conséquence, « les modèles de résidence sont la cristallisation, à un moment donné, d’un processus de développement » (Fortes 1962 : 5), et non l’application statique de règles abstraites. La maison n’est donc pas seulement le lieu où réside la famille, elle est nécessaire à l’accomplissement de tâches indispensables à la reproduction physique et morale des individus, telles que manger, dormir ou assurer l’éducation des nouvelles générations (Bender 1967). Cette conception du groupe domestique rejoint celle qu’avait formulée Frédéric Le Play un siècle auparavant : pour l’ingénieur français, il fallait placer la maison au centre de l’organisation familiale, par la défense de l’autorité paternelle et la transmission de la propriété à un héritier unique, de façon à garantir la stabilité de l’ordre social (1864). Elle exerce de fait une influence considérable sur les historiens de la famille, en particulier ceux du Cambridge Group for the History of Population and Social Structure, dirigé par Peter Laslett (1972), et sur les anthropologues (Netting, Wilk & Arnould 1984), notamment les marxistes (Sahlins 1976). En Amérique latine, de nombreuses enquêtes menées dans les années 1960 et 1970 mettent en évidence l’importance des réseaux d’entraide, attirant ainsi l’attention sur le rôle essentiel du voisinage (Lewis 1959, Lomnitz 1975). La recherche féministe explore quant à elle le caractère genré de la répartition des tâches au sein du groupe domestique, que recoupe souvent la distinction entre le public et le privé : à la « maîtresse de maison » en charge des tâches ménagères s’oppose le « chef de famille » qui apporte le pain quotidien (Yanagisako 1979). Un tel découpage contribue à invisibiliser le travail féminin (di Leonardo 1987). On remarquera néanmoins que la théorie du groupe domestique pense la maison à partir de fonctions établies par avance : ce sont elles qui orientent l’intérêt des anthropologues, plus que la maison en elle-même. C’est à Claude Lévi-Strauss que l’on doit la tentative la plus systématique de penser la maison comme un principe producteur de la société (1984 ; 2004). Celui-ci prend pour point de départ l’organisation sociale de l’aristocratie kwakiutl (Amérique du Nord), telle qu’elle avait été étudiée par Franz Boas : parce qu’elle présentait des traits à la fois matrilinéaires et patrilinéaires, parce qu’elle ne respectait pas toujours le principe d’exogamie, celle-ci défiait les théories classiques de la parenté. Lévi-Strauss propose de résoudre le problème en substituant le groupe d’unifiliation, tenu pour être au fondement des sociétés dites traditionnelles, par celui de « maison », au sens où l’on parlait de « maison noble » au Moyen Âge. La maison désigne ainsi une « personne morale détentrice d’un domaine, qui se perpétue par transmission de son nom, de sa fortune et de ses titres en ligne réelle ou fictive » (Lévi-Strauss 1984 : 190). Plus que les règles de parenté, ce sont les « rapports de pouvoir » entre ces « personnes morales » qui déterminent les formes du mariage et de la filiation : celles-ci peuvent donc varier en accord avec les équilibres politiques. Lévi-Strauss va ensuite généraliser son analyse à un vaste ensemble de sociétés apparemment cognatiques, qu’il baptise « sociétés à maison ». Celles-ci se situeraient dans une phase intermédiaire de l’évolution historique, « dans un état de la structure où les intérêts politiques et économiques tend[ent] à envahir le champ social » (Lévi-Strauss 1984 : 190). Très discuté par les spécialistes des sociétés concernées, ce modèle a eu la grande vertu de libérer l’imagination des anthropologues. Critiquant son évolutionnisme sous-jacent, Janet Carsten et Stephen Hugh-Jones (1995) proposent toutefois d’approfondir la démarche de Lévi-Strauss, en considérant la maison comme un véritable « fait social total ». L’architecture, par exemple, ne relève pas que d’une anthropologie des techniques : celle de la maison kabyle, analysée par Pierre Bourdieu, met en évidence un « microcosme organisé selon les mêmes oppositions et mêmes homologies qui ordonnent tout l’univers » (1972 : 71), un parallélisme que l’on retrouve dans de nombreux autres contextes socioculturels (Hamberger 2010). Fondamentalement, la maison relève d’une anthropologie du corps. Dans son enquête sur la parenté en Malaisie, Carsten souligne le rôle joué par la cuisine ou le foyer, en permettant la circulation des substances qui assurent la production et la reproduction des corps (alimentation, lait maternel, sang) et leur mise en relation, ce que Carsten appelle la « relationalité » (relatedness) (1995). Fait dynamique plutôt que statique, la maison nous met directement au contact des processus qui forment et reforment nos relations et notre personne : son étude permet donc de dépasser la critique culturaliste des travaux sur la parenté; elle nous montre la parenté en train de se faire. Il convient aussi de ne pas réduire la maison à ses murs : celle-ci le plus souvent existe au sein d’un réseau. Les enquêtes menées par Émile Lebris et ses collègues sur l’organisation de l’espace dans les villes d’Afrique francophone proposent ainsi le concept de « système résidentiel » pour désigner « un ensemble articulé de lieux de résidences (unités d’habitation) des membres d’une famille étendue ou élargie » (Le Bris 1985 : 25). Ils distinguent notamment entre les systèmes « centripètes », « de concentration en un même lieu d’un segment de lignage, d’une famille élargie ou composée » et les systèmes « centrifuges », de « segmentation d’un groupe familial dont les fragments s’installent en plusieurs unités résidentielles plus ou moins proches les unes des autres, mais qui tissent entre elles des liens étroits » (Le Bris 1985 : 25). Examinant les projets et réseaux que mobilise la construction d’une maison dans les quartiers noirs de la Bahia au Brésil, les circulations quotidiennes de personnes et d’objets entre unités domestiques ainsi que les rituels et fêtes de famille, Louis Marcelin en déduit lui aussi que la maison « n’est pas une entité isolée, repliée sur elle-même. La maison n’existe que dans le contexte d’un réseau d’unités domestiques. Elle est pensée et vécue en interrelation avec d’autres maisons qui participent à sa construction – au sens symbolique et concret. Elle fait partie d’une configuration » (Marcelin 1999 : 37). À la différence de Lebris, toutefois, Marcelin part des expériences individuelles et des catégories socioculturelles propres à la société étudiée : une « maison », c’est avant tout ce que les personnes identifient comme tel, et qui ne correspond pas nécessairement à l’image idéale que l’on se fait de cette dernière en Occident. « La configuration de maisons rend compte d’un espace aux frontières paradoxalement floues (pour l'observateur) et nettes (pour les agents) dans lequel se déroule un processus perpétuel de création et de recréation de liens (réseaux) de coopération et d'échange entre des entités autonomes (les maisons) » (Marcelin 1996 : 133). La découverte de ces configurations a ouvert un champ de recherche actuellement des plus dynamiques, « la nouvelle anthropologie de la maison » (Cortado à paraître). Cette « nouvelle anthropologie » montre notamment que les configurations de maisons ne sont pas l’apanage des pauvres, puisqu’elles organisent aussi le quotidien des élites, que ce soit dans les quartiers bourgeois de Porto au Portugal (Pina-Cabral 2014) ou ceux de Santiago au Chili (Araos 2016) – elles ne sont donc pas réductibles à de simples « stratégies de survie ». Quoiqu’elles se construisent souvent à l’échelle d’une parcelle ou d’un quartier (Cortado 2019), ces configurations peuvent très bien se déployer à un niveau transnational, comme c’est le cas au sein de la diaspora haïtienne (Handerson à paraître) ou parmi les noirs marrons qui habitent à la frontière entre la Guyane et le Suriname (Léobal 2019). Ces configurations prennent toutefois des formes très différentes, en accord avec les règles de filiation, bien sûr (Pina-Cabral 2014), mais aussi les pratiques religieuses (Dalmaso 2018), le droit à la propriété (Márquez 2014) ou l’organisation politique locale – la fidélité au chef, par exemple, est au fondement de ce que David Webster appelle les « vicinalités » (vicinality), ces regroupements de maisons qu’il a pu observer chez les Chopes au sud du Mozambique (Webster 2009). Des configurations surgissent même en l’absence de liens familiaux, sur la base de l’entraide locale, par exemple (Motta 2013). Enfin, il convient de souligner que de telles configurations ne sont pas, loin de là, harmonieuses, mais qu’elles sont généralement traversées de conflits plus ou moins ouverts. Dans la Bahia, les configurations de maisons, dit Marcelin, mettent en jeu une « structure de tension entre hiérarchie et autonomie, entre collectivisme et individualisme » (Marcelin 1999 : 38). En tant que « fait social total », dynamique et relationnel, l’anthropologie de la maison ne saurait pourtant se restreindre à celle de l’organisation familiale. L’étude des matérialités domestiques (architecture, mobilier, décoration) nous permet par exemple d’accéder aux dimensions esthétiques, narratives et politiques de grands processus historiques, que ce soit la formation de la classe moyenne en Occident (Miller 2001) ou la consolidation des bidonvilles dans le Sud global (Cavalcanti 2012). Elle nous invite à penser différents degrés de la maison, de la tente dans les camps de réfugiés ou de travailleurs immigrés à la maison en dur (Abourahme 2014, Guedes 2017), en passant par la maison mobile (Leivestad 2018) : pas tout à fait des maisons, ces formes d’habitat n’en continuent pas moins de se définir par rapport à une certaine « idée de la maison » (Douglas 1991). La maison relève aussi d’une anthropologie de la politique. En effet, la maison est une construction idéologique, l’objet de discours politiquement orientés qui visent, par exemple, à assoir l’autorité du père sur la famille (Sabbean 1990) ou à « moraliser » les classes laborieuses (Rabinow 1995). Elle est également la cible et le socle des nombreuses technologiques politiques qui organisent notre quotidien : la « gouvernementalisation » des sociétés contemporaines se confond en partie avec la pénétration du foyer par les appareils de pouvoir (Foucault 2004); la « pacification » des populations indigènes passe bien souvent par leur sédentarisation (Comaroff & Comaroff 1992). Enfin, la maison relève d’une anthropologie de l’économie. La production domestique constitue bien sûr un objet de première importance, qui bénéficie aujourd’hui d’un regain d’intérêt. Florence Weber et Sybille Gollac parlent ainsi de « maisonnée » pour désigner les collectifs de travail domestique fondés sur l’attachement à une maison – par exemple, un groupe de frères et sœurs qui s’occupent ensemble d’un parent âgé ou qui œuvrent à la préservation de la maison familiale (Weber 2002, Gollac 2003). Dans la tradition du substantialisme, d’autres anthropologues partent aujourd’hui de la maison pour analyser notre rapport concret à l’économie, la circulation des flux monétaires, par exemple, et ainsi critiquer les représentations dominantes, notamment celles qui conçoivent l’économie comme un champ autonome et séparé (Gudeman et Riviera 1990; Motta 2013) – il ne faut pas oublier que le grec oikonomia désignait à l’origine le bon gouvernement de la maison, une conception qui aujourd’hui encore organise les pratiques quotidiennes (De l’Estoile 2014). Cycles de vie, organisation du travail domestique, formes de domination, identités de genre, solidarités locales, rituels et cosmovisions, techniques et production du corps, circulation des objets et des personnes, droits de propriété, appropriations de l’espace, perceptions du temps, idéologies, technologies politiques, flux monétaires… Le thème de la maison s’avère d’une formidable richesse empirique et théorique, et par-là même une porte d’entrée privilégiée à de nombreuses questions qui préoccupent l’anthropologie contemporaine.
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Dissertations / Theses on the topic "Maison unifamiliale"

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Croizé, Jean-Claude. "POLITIQUE ET CONFIGURATION DU LOGEMENT EN FRANCE (1900-1980)." Habilitation à diriger des recherches, Université de Nanterre - Paris X, 2009. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00448066.

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Abstract:
S'agissant d'un pays où, en raison de l'effort de construction du second après-guerre, l'essentiel du parc de logements des années 2000 correspond à un héritage du 20ème siècle, ce travail vise à retracer un parcours français dont le caractère singulier a conformé le bâti. Revenant sur les modalités de la genèse au fil du siècle, on retient trois dimensions déterminantes : les spécificités de l'urbanisation française, les contraintes qui résultent d'un cumul de près de trente années d'engagements militaires de nature et d'intensité diverses, et une intervention publique tardive où l'État tient une place éminente. Après avoir examiné comment le modèle antérieur de développement du logement s'est brisé durant le premier vingtième siècle, on concentre l'attention sur la période d'intense construction nouvelle des années 1950-1980, et on s'appuie sur des archives inédites de l'État pour prendre la mesure de cet héritage architectural et urbain, dans sa forme comme dans sa consistance.
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Comtois, Martin. "Manières d'habiter dans les espaces sociaux des maisons unifamiliales de la banlieue de Québec." Master's thesis, Université Laval, 2004. http://hdl.handle.net/20.500.11794/33184.

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Abstract:
Les maisons de banlieue de type pavillonnaire ont transformé les pratiques et coutumes des nombreux Québécois attirés par ce phénomène urbain et ce, surtout après la fin de la Deuxième Guerre Mondiale. Notre étude privilégie l’approche ethnologique, d’abord par l’enquête de terrain puis par l’analyse de discours des personnes interrogées. Jusqu’à aujourd’hui, les périphéries des grands centres urbains nord-américains ont fait apparaître des pratiques culturelles adaptées à cette nouvelle réalité. Ce mémoire vise à rendre compte des résultats d’une recherche réalisée en banlieue de Québec sur des manières d’habiter. Les pièces de rassemblement à vocation sociale retiennent particulièrement notre attention, soit le salon, la salle de séjour et la cuisine-salle à manger.
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MacKinnon, Janet S. "The settlement and rural domestic architecture of Côte Saint-Antoine, 1675-1874." Thèse, 2004. http://hdl.handle.net/1866/17143.

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Loureiro, Francisco Michael Oliveira. "Moradias sobredimensionadas dos anos 70-90 na periferia de Braga : transformação de um caso de estudo." Master's thesis, 2014. http://hdl.handle.net/1822/30956.

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Abstract:
Dissertação de mestrado em Arquitectura (área de especialização em Construção e Tecnologia)<br>De acordo com os últimos dados censitários (2011) destacam-se, no parque habitacional português, um elevado número de alojamento sublotado e edificações construídas antes do primeiro Regulamento das Características de Comportamento Térmico (RCCTE). O crescimento habitacional das últimas décadas foi feito de forma espontânea, difusa e extensiva originando um grande problema ambiental, para além de não corresponder às alterações sociais a que se assistiu no mesmo período. Assim, constata-se que o parque habitacional se encontra desajustado em relação às necessidades reais, é pouco eficiente em termos energéticos e exige intervenções de reabilitação, que podem ajudar a dinamizar o sector da construção, atualmente estagnado, apesar da sua importância na atividade económica do país. Nesse sentido, esta investigação procura compreender a realidade deste problema na periferia de Braga, através da identificação de uma tipo-morfologia, inquérito a proprietários e habitantes e ensaio de uma ferramenta metodológica de projeto aplicada a um caso prático. Através do desenvolvimento de um kit de intervenção, sistematizando e priorizando soluções e estratégias, propõe-se a melhoria das habitações através de uma reabilitação espacial, associada à reabilitação energética, com soluções que visem a construção sustentável e uma maior qualidade ambiental interior. Os inquéritos aos habitantes, para além de permitirem a identificação do problema, demonstram a receptividade dos proprietários às alterações propostas. As monitorizações in-situ demonstram que apesar de algum desfasamento destes edifícios em relação às actuais exigências de conforto, estes oferecem ainda potencialidades que permitem a optimização, durante a reabilitação, de sistemas passivos que reduzam os consumos energéticos e melhorem o conforto dos espaços interiores. Pretende-se contribuir para a valorização dos tecidos construídos, estimulando a densificação habitacional e populacional das moradias sobredimensionadas, cumprindo com os novos padrões de conforto e legislação para a construção sustentável, tendo em vista os objetivos traçados pela União Europeia (20-20-20). O ensaio no projeto de arquitetura de um caso de estudo, demonstra que é possível a aplicação de soluções mais sustentáveis ambientalmente, contribuindo simultaneamente para uma maior sustentabilidade social destas áreas periurbanas – através, por exemplo, do cruzamento multigeracional -, sem com isso perder a viabilidade económica, uma vez que a intervenção pode ser executada de forma faseada e até auto-financiada pela divisão em fracções autónomas. A sustentabilidade de um edifício reside cada vez mais não apenas no seu desempenho mas numa abordagem arquitetónica holística que relacione a escala urbana com a habitação, o utilizador e os modos de vida, pelo que para que as soluções e estratégias apresentadas sejam eficientes, não basta apenas a sua aplicação no edifício: os ocupantes têm um papel fundamental, mas também os arquitetos, clientes e promotores imobiliários devem ser envolvidos em todo o processo, daí a importância de desenvolver conteúdos sistematizados e adequados às necessidades específicas atuais.<br>Selon les données du dernier recensement (2011) il est mis en évidence, dans le parc de logements portugais, un grand nombre de logements sous-peuplé et des édifices construits avant le premier Règlement des Caractéristiques de Comportement Thermique (RCCTE). Le développement de l’habitation au cours des dernières années a été fait d’une manière spontanée, diffuse et extensive donnant origine à un grand problème environnemental en plus de ne pas correspondre aux changements sociaux qui se sont fait sentir dans la même période. Ainsi, on constate que le parc de logements ne s’ajuste pas par rapport aux besoins réels, étant peu efficace en termes énergétiques et demande des interventions de réadaptation qui peuvent aider à dynamiser le secteur de la construction, actuellement stagné, en dépit de son importance dans l’activité économique du pays. Dans ce sens, cette recherche vise à comprendre la réalité de ce problème dans la périphérie de la ville de Braga à travers l’identification d’une morphologie type, de questionnaires à des propriétaires et habitants et l’ essai d’un outil de conception méthodologique appliqué à un cas pratique. En développant un kit d’intervention, systématisant et priorisant des solutions et stratégies, on propose une amélioration des habitations à travers une réhabilitation spatiale, associé à la réhabilitation énergétique avec des solutions qui visent une construction durable et une meilleure qualité de l’air intérieur. Les questionnaires aux habitants, en plus de permettre l’identification du problème, ils démontrent une réceptivité des propriétaires aux modifications proposées. Les relevées in-situ démontrent néanmoins un déphasage de ces édifices par rapport aux exigences actuelles de confort. Ceux-ci offrent encore des potentielles qui permettent optimiser, durant la réhabilitation, les systèmes passifs qui réduisent les consommations d’énergie et améliorent le confort des espaces intérieurs. Ce que l’on prétend est de contribuer pour la valorisation des tissus construits en stimulant la densité de l’habitation et de la population des habitations surdimensionnées, en atteignant les nouveaux standards de confort et de la législation, tenant compte des objectifs tracés par l’Union Européenne (20-20-20). L’essai du projet d’architecture à un cas d’étude montre qu’il est possible d’appliquer des solutions pour un environnement durable en contribuant simultanément pour bénéficier de meilleures relations sociales dans ces zones périurbaines – par exemple, à travers du croisement de multigénérations, sans perdre la viabilité économique une fois que l’intervention peut être exécutée de façon phasée et auto-financiée par la division de fractions autonomes. La soutenabilité d’un édifice se trouve de plus en plus non seulement dans sa prestation mais dans une approche architectonique holistique qui relationne l’échelle urbaine avec l’habitation, l’utilisateur et les modes de vie. De façon à ce que les solutions et stratégies présentées soient efficaces, son application sur l’édifice n’est pas suffisant: les occupants ont un rôle fondamental mais aussi les architectes, les clients et les promoteurs immobiliers doivent être engagés dans tout le processus, d’où l’importance de développer des contenus systématiques et appropriés aux besoins spécifiques actuels.
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Conference papers on the topic "Maison unifamiliale"

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Martín Fuentes, Daniel. "Maisons Jaoul, confort higrotérmico y su percepción en la arquitectura de tipología unifamiliar de Le Corbusier." In LC2015 - Le Corbusier, 50 years later. Universitat Politècnica València, 2015. http://dx.doi.org/10.4995/lc2015.2015.1005.

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Abstract:
Resumen: Se realiza un estudio completo, teórico, empírico, numérico y perceptual, de las Maisons Jaoul de Le Corbusier intentando esclarecer su comportamiento higrotérmico y climático. Con ello se pretende conocer en detalle la realidad de esta obra emblemática de la arquitectura doméstica del siglo XX. De la contraposición de los datos obtenidos en las dos viviendas de volumetría y compacidad prácticamente iguales, pero con una orientación ortogonal se extraen conclusiones reveladoras que no hacen más que afianzar la condición excepcional de las Maisons Jaoul dentro de la obra del arquitecto. Todo ello, tamizado por la percepción de los actuales habitantes de las viviendas. Abstract: Trying to achieve a better understanding of the higrothermic performance of The Maisons Jaoul of Le Corbusier, they are studied from different approaches: theoretical, empiric, numeric and perceptual. The aim is to understand profoundly this emblematic building of the domestic architecture of the XX century. For that, the study analyses the project, but also compares and contrasts a series of data coming from the two houses which have a very similar volume and compactness but orthogonal orientation to finally take account of the perception of the actual inhabitants. Conclusions are revealing and strengthen the idea of how exceptional the Maisons Jaoul are in the architect's production. Palabras calve: Le Corbusier; Maisons Jaoul; Confort higrotérmico; bioclimatismo, sostenibilidad. Keywords: Le Corbusier; Maisons Jaoul; Hygrothermal comfort; bioclimatic, sustainability. DOI: http://dx.doi.org/10.4995/LC2015.2015.1005
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Lima, Weslley Eunathan Fernandes, and Reymard Savio Sampaio de Melo. "BIM e ensino híbrido para gestão da construção." In ENCONTRO NACIONAL SOBRE O ENSINO DE BIM. Antac, 2021. http://dx.doi.org/10.46421/enebim.v3i00.301.

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Abstract:
A experiência didática aconteceu no componente curricular obrigatório “Gestão da Construção” do curso de graduação em Engenharia Civil da Universidade Federal do Rio Grande do Norte (UFRN). A seleção deste componente deu-se após uma análise da matriz curricular realizada para identificar a permeabilidade da Modelagem da Informação da Construção (BIM) com as disciplinas do curso de Engenharia Civil da UFRN (LIMA et al., 2020). Uma vez identificada uma alta permeabilidade, outro passo importante foi a abertura e interesse na inserção do BIM pelo docente responsável pela disciplina. Além disso, outro ponto relevante na viabilidade dessa inserção foi a adoção do Ensino Híbrido como metodologia ativa de ensino-aprendizagem. O componente curricular tinha carga horária total de 60h com dois encontros semanais presenciais de duas horas/aula. Foi ofertado aos estudantes do 6º período, no semestre letivo 2019.1 e tem como principal objetivo desenvolver competências de orçamento e planejamento de obras. Nesse semestre houve duas turmas, uma no turno matutino (20 estudantes) e outra no turno vespertino (14 estudantes). A inserção do ensino de BIM seguiu uma abordagem teórico-prática. Uma vez que esse foi o primeiro contato dos estudantes com BIM foi necessária uma abordagem teórica sobre os fundamentos do BIM (conceito, interoperabilidade, modelagem paramétrica e usos do BIM). Em seguida, deu-se início a abordagem prática com a modelagem da disciplina de arquitetura de uma residência unifamiliar no Autodesk Revit com o objetivo de extrair os quantitativos e realizar a simulação 4D no Navisworks. Foram utilizados a sala de aula invertida e a rotação por estações como modalidades do ensino híbrido em dois momentos distintos da disciplina (Fundamentos do BIM e BIM para gestão da construção), cada um com uma carga horária de 4h/aula. Essas duas modalidades foram usadas de modo complementar uma a outra. Inicialmente foi usado a sala de aula invertida com o Google sala de aula como ambiente de aprendizagem virtual (AVA). No AVA foram disponibilizados com duas semanas de antecedência da aula de Fundamentos do BIM diferentes materiais de apoio (vídeos, artigos, capítulos de livro e manuais) sobre: (1) Fundamentos do BIM e (2) usos do BIM para extração de quantitativos e simulação 4D. Após esse momento assíncrono, os estudantes trabalharam o conteúdo da sala de aula invertida por meio da rotação por estações, sendo a atividade dimensionada para uma duração total de 60 minutos com quatro estações de trabalho (Dramatização, Mapas Mentais, Vídeo BIM, Plano de implementação). Em cada estação os estudantes tinham que desenvolver uma atividade em grupo com duração de 15 minutos. Os produtos destas atividades foram apresentados na aula seguinte. Ao término das apresentações das atividades resultantes de cada uma das estações, foi realizada uma discussão para correção a aprofundamento dos conceitos trabalhados. Na etapa de BIM para gestão da construção, foram compartilhadas no AVA videoaulas sobre modelagem de Arquitetura, Extração de quantitativos e simulação 4D. Essa foi a última intervenção na disciplina e aconteceu de forma assíncrona, com um momento presencial de 2h/aula para que os estudantes tirassem as dúvidas relacionadas a modelagem. Ao término de cada uma das intervenções na disciplina, os estudantes tinham a sua disposição um questionário eletrônico, para que pudessem avaliar a experiência. Dentre os resultados apontados pelos estudantes destacam-se: a dinamicidade proporcionada pela rotação por estações, de modo que eles viam o ato de aprender como algo divertido e leve, o fortalecimento do trabalho em grupo e colaborativo e o estímulo da criatividade. Além disso, pelo fato de terem contato com o conteúdo previamente a aula (sala de aula invertida) podiam participar das discussões com mais segurança. Com relação as videoaulas, os estudantes conseguiram acompanhar bem o processo de modelagem e replicar o modelo proposto, apesar de alguns estudantes apontarem como principal dificuldade a falta de recurso computacional em casa, isso pode ser balizado com a utilização do laboratório de informática da universidade. Dentro do contexto de inserção do ensino de BIM baseado em competências proposta por Succar, Sher e Williams (2013) pode-se concluir que a experiência didática relatada desenvolveu junto aos estudantes competências BIM individuais de domínio e técnicas. Além disso, as atividades em grupo desenvolvidas na rotação por estações, evidenciaram as competências BIM do grupo: essenciais. Com base na experiência relatada também é possível perceber uma estreita relação entre o ensino do BIM e a utilização de metodologias ativas de ensino-aprendizagem, uma vez que essas fortalecem a autonomia dos estudantes e o trabalho colaborativo, o que é essencial para o sucesso de uma implementação BIM. Dentre as principais dificuldades dessa experiência pode ser evidenciado o fato dos estudantes chegarem ao 6º período do curso sem ter contato com o BIM em disciplinas anteriores, o que demandou uma fundamentação teórica sobre BIM e não apenas usos do BIM para gestão da construção: extração de quantitativos e simulação 4D. Apesar disso, os conteúdos BIM foram trabalhados com êxito, o que aponta para a necessidade de iniciar a inserção do ensino a partir da identificação de docentes com interesse e que tenham entendido a importância do ensino do BIM na graduação dos cursos de Engenharia Civil. Apresentação no YouTube: https://youtu.be/74pLdhkCLRs
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