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Journal articles on the topic 'Maladie mentale'

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1

Traoré, Joseph, Mamadou Diallo, Kadiatou Traoré, Souleymane Coulibaly, Pakuy Pierre Mounkoro, Mahamadou Koné, Aperou Eloi Dara, et al. "Aperçu de la psychiatrie par les autres professionnels de santé : cas des CHU point G et Gabriel Touré à Bamako, Mali." Psy Cause N° 86, no. 3 (July 3, 2023): 17–31. http://dx.doi.org/10.3917/psca.086.0017.

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Abstract:
La vision des autres professionnels de santé sur la psychiatrie et son personnel a été peu étudiée en Afrique. L’objectif était d’étudier les représentations des autres professionnels de la santé sur la psychiatrie et son personnel. Il s’agissait d’une étude transversale, descriptive à recrutement prospectif qui s’est déroulée du 1 er au 31 décembre 2018. Elle a porté sur 200 professionnels de santé des CHU Point G et Gabriel Touré. Pour 42,71 % des enquêtés, le personnel de la psychiatrie ressemble à un malade mental. Pour 12,5 % la pratique de la psychiatrie est non médicale et pour 10,5 % la maladie mentale était la sorcellerie/maraboutage/transgression des interdits. L’orientation des clients vers la psychiatrie était difficile du fait des préjugées socioculturelles qui entourent le malade mental et la maladie mentale pour 33 % des enquêtés.
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Martens, Patricia J., Randall Fransoo, Elaine Burland, Charles Burchill, Heather J. Prior, and Okechukwu Ekuma. "Prevalence of Mental Illness and its Impact on the Use of Home Care and Nursing Homes: A Population-Based Study of Older Adults in Manitoba." Canadian Journal of Psychiatry 52, no. 9 (September 2007): 581–90. http://dx.doi.org/10.1177/070674370705200906.

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Abstract:
Objectives: To determine the prevalence of mental illness in older adults and its effect on home care and personal care home (PCH) use. Methods: Using nonidentifying administrative records (fiscal years 1997–1998 to 2001–2002) from the Population Health Research Data Repository housed at the Manitoba Centre for Health Policy, we determined the 5-year period prevalence for individuals aged 55 years and over (119 539 men and 145 752 women) for 3 mental illness categories: cumulative mental disorders (those having a diagnosis of depression, anxiety disorder, personality disorder, schizophrenia, and [or] substance abuse), any mental illness, and dementia. We calculated age-specific and age-adjusted rates of home care and PCH use and the prevalence of mental illness in PCH residents. Results: From the group aged 55 to 59 years to the group aged 90 years or older, the prevalence of mental illness increased with the population's age. The prevalence of any mental illness rose from 32.4% to 45.0% in men and from 42.6% to 51.9% in women, and dementia prevalence rose from 2.0% to 33.6% in men and from 1.3% to 40.3% in women. The age-adjusted annual rates of open home care cases per 1000 population aged 55 and older varied by mental illness grouping (no mental disorder, 57 for men and 91 for women; cumulative mental disorders, 162 for men and 191 for women; dementia, 300 for men and 338 for women). The age-adjusted rates of PCH use per 1000 population aged 75 years and older also varied by mental illness grouping (no mental disorder, 53 for men and 78 for women; cumulative mental disorders, 305 for men and 373 for women; dementia, 542 for men and 669 for women). Among patients admitted to (or resident in) a PCH in 2002–2003, 74.6% (87.1%) had a mental illness, and 46.0% (69.0%) had dementia. Conclusions: Mental illness affects the use of home care and nursing homes profoundly. Individuals with dementia used home care at 3 times the rate of those having no mental illness diagnosis, and they used PCHs at 8 times the rate. Objectifs: Déterminer la prévalence de la maladie mentale chez les personnes âgées et son effet sur l'utilisation des soins à domicile et des foyers de soins personnels (FSP). Méthodes: À l'aide des dossiers administratifs anonymes (exercices financiers 1997–1998 à 2001–2002) du dépôt de données de recherche sur la santé de la population du centre de politiques en santé du Manitoba, nous avons déterminé la prévalence sur 5 ans, pour les personnes de 55 ans et plus (119 539 hommes, 145 752 femmes), de 3 catégories de maladie mentale: les troubles mentaux cumulatifs (ceux qui ont un diagnostic de dépression, de trouble anxieux, de trouble de la personnalité, de schizophrénie, et [ou] d'abus de substance), toute maladie mentale, et la démence. Nous avons calculé les taux par âge et les taux rectifiés selon l'âge d'utilisation des soins à domicile et des FSP ainsi que la prévalence de la maladie mentale chez les résidents des FSP. Résultats: La prévalence de la maladie mentale augmentait avec l'âge de la population, depuis le groupe des 55 à 59 ans jusqu'au groupe des 90 ans et plus. La prévalence de toute maladie mentale passait de 32,4 % à 45,0 % chez les hommes et de 42,6 % à 51,9 % chez les femmes, et la prévalence de la démence passait de 2,0 % à 33,6 % chez les hommes, et de 1,3 % à 40,3 % chez les femmes. Les taux annuels rectifiées selon l'âge des cas ouverts de soins à domicile par tranche de 1 000 de population de 55 ans et plus variaient selon le regroupement de maladies mentales (aucun trouble mental, 57 pour les hommes et 91 pour les femmes; troubles mentaux cumulatifs, 162 pour les hommes et 191 pour les femmes; démence, 300 pour les hommes et 338 pour les femmes). Les taux rectifiées selon l'âge d'utilisation des FSP par tranche de 1 000 de population de 75 ans et plus variaient aussi selon le regroupement de maladies mentales (aucun trouble mental, 53 pour les hommes et 78 pour les femmes; troubles mentaux cumulatifs, 305 pour les hommes et 373 pour les femmes; démence, 542 pour les hommes et 699 pour les femmes). Parmi les patients hospitalisés (ou résidents) des FSP en 2002–2003, 74,6 % (87,1 %) avaient une maladie mentale, et 46,0 % (69,0 %) souffraient de démence. Conclusions: La maladie mentale affecte profondément l'utilisation des soins à domicile et des établissements de soins prolongés. Les sujets souffrant de démence utilisaient les soins à domicile à 3 fois le taux de ceux qui n'avaient pas de diagnostic de maladie mentale, et les FPS, à 8 fois le taux des personnes sans diagnostic.
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GIRARD, Lucie. "Intervention en santé mentale et société : Quelques enjeux. Note critique à propos de Psychothérapies, attention!" Sociologie et sociétés 17, no. 1 (September 30, 2002): 127–42. http://dx.doi.org/10.7202/001298ar.

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Abstract:
Résumé À l'aide d'un certain nombre d'enjeux sociaux concernant l'intervention en santé mentale, l'auteur élabore une problématique sur les rapports entre changement individuel et changement social. Ces enjeux - la prolifération des interventions, la fonction sociale: et idéologique des intervenants, l'engagement social, la professionnalisation, le rapport marchand, les alternatives et les classes sociales - appliqués à un ouvrage critique sur l'intervention en santé mentale - Psychothérapies, attention*. permeltent de dégager de cet ouvrage un modèle social de la santé/maladie mentales dans lequel une étiologie à prédominance sociale de la santé/maladie mentales requiert nécessairement une intervention s'adressant à la fois à l'individu et à son environnement. L'auteur questionne l'applicabilité d'un tel modèle en proposant trois hypothèses de travail portant sur la responsabilité individuelle versus responsabilité sociale quant aux problèmes de santé mentale, sur les rapports théorie/ pratique en santé mentale et sur une distinction entre causes immédiates et médiates en santé/maladie mentales.
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Charazac, Pierre. "La psychiatrie de la personne âgée et les affections neurodégénératives : vers la réintégration ou la rupture ?" Perspectives Psy 59, no. 1 (January 2020): 64–70. http://dx.doi.org/10.1051/ppsy/202059064.

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Abstract:
Le rattachement de la maladie d’Alzheimer et des démences ou troubles neurocognitifs majeurs à la seule neurologie interpelle autant notre représentation de la maladie mentale que celle de la psychiatrie de la personne âgée. Le détachement corrélatif de cette appropriation révèle que le passage de la psychiatrie à la santé mentale s’est fait au détriment de toute une classe de patients dont ces affections relèvent aussi de la psychopathologie. En se fondant sur sa pratique, l’auteur montre que le psychiatre est appelé à intervenir à chaque étape de ces maladies, à leur début clinique, à domicile avec un aidant et après l’entrée en institution.
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Devers, Gilles. "Soins maladie mentale." Droit, Déontologie & Soin 19, no. 4 (December 2019): 527–28. http://dx.doi.org/10.1016/j.ddes.2019.10.015.

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Dumouchel, Paul. "Qu’est-ce qu’une maladie ?" Articles 33, no. 1 (May 18, 2006): 19–35. http://dx.doi.org/10.7202/012945ar.

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Abstract:
Résumé Avant de répondre à la question : qu’est-ce qu’une maladie mentale pour Pinel ? il convient de se demander qu’est-ce qu’une maladie pour lui ? Or la réponse à cette question indique premièrement que pour Pinel, il n’y a pas sens à établir une distinction radicale entre maladie mentale et maladie physique. Malgré le fait que la tradition voit en lui un des fondateurs de la psychiatrie en tant que discipline autonome, pour Pinel, l’aliénation ne constitue pas un type d’affection radicalement différent de la maladie physique. Deuxièmement, elle montre que pour Pinel il n’y a pas de continuité entre le temps de la maladie et la temporalité subjective du patient. Ce qui veut dire que pour lui, contrairement à la tradition psychiatrique subséquente, il n’y a pas de lien explicatif entre le trouble mental et l’histoire du sujet.
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Harrison, Christine. "Personhood, Dementia and the Integrity of a Life." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 12, no. 4 (1993): 428–40. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980800011983.

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Abstract:
RÉSUMÉLes maladies mentales, comme la maladie d'Alzheimer, causent des changements substantiels chez les personnes qui en sont atteintes, ce qui nous porte parfois à dire qu'elles sont devenues des « personnes différentes ». Les professionnels qui prodiguent des soins à ces personnes peuvent mieux les comprendre, de même que leur souffrance (et ainsi faire preuve de plus de compassion à leur endroit) lorsqu'ils envisagent la maladie dans le contexte de la vie quotidienne. Bien que l'identité de ces personnes soit menacée par la maladie, l'étude de la gestalt, ou l'intégrité de leur vie, peut les aider à préserver leur santé mentale. L'intervention clinique, qui à l'heure actuelle traite uniquement les problèmes, devrait également évaluer les forces, les fonctions et les caractéristiques positives des personnes atteintes. Une étude de cas vient illustrer ces suggestions. Quelques recommandations destinées aux chercheurs, aux cliniciens et aux spécialistes de la bioéthique désirant effectuer des études plus approfondies dans ce domaine sont également incluses.
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Çabal, Patrick. "Handicap par maladie mentale." Empan 55, no. 3 (2004): 115. http://dx.doi.org/10.3917/empa.055.0115.

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Grimaud, Lin. "Performance et maladie mentale." Empan 88, no. 4 (2012): 134. http://dx.doi.org/10.3917/empa.088.0134.

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Gheorghiev, Charles, Pierre Raffray, and Franck de Montleau. "Dangerosité et maladie mentale." L'information psychiatrique 84, no. 10 (2008): 941. http://dx.doi.org/10.3917/inpsy.8410.0941.

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Stiker, Henri-Jacques. "Maladie mentale, société, travail." Vie sociale 1, no. 1 (2009): 51. http://dx.doi.org/10.3917/vsoc.091.0051.

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Dolbeault, S., and M. Reich. "Maladie mentale et cancer." Psycho-Oncologie 12, no. 2 (June 2018): 83–85. http://dx.doi.org/10.3166/pson-2018-0048.

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Gheorghiev, Charles, Pierre Raffray, and Franck de Montleau. "Dangerosité et maladie mentale." L'information psychiatrique Volume 84, no. 10 (December 1, 2008): 941–47. http://dx.doi.org/10.1684/ipe.2008.0415.

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Pityk, Yevhen, Adrien Tempier, and Raymond Tempier. "Ontario - Canada : Existe-t-il un lien entre la santé mentale et l’extrémisme violent ? Une revue de la littérature sur la relation entre la santé mentale et la radicalisation." Psy Cause N° 78, no. 3 (April 5, 2019): 3–9. http://dx.doi.org/10.3917/psca.078.0005.

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Abstract:
Contexte : le lien entre maladie mentale et radicalisation n’a pas encore été établi et peu d’études ont examiné ce lien. Certaines études suggèrent que la maladie mentale peut prédisposer les individus à développer des croyances extrémistes et des comportements violents, d’autres études suggèrent le contraire. Cela soulève deux questions fondamentales : 1) Existe-t-il un lien entre santé mentale et extrémisme violent ? 2) Qui commet ce type d’actes violents ? Les auteurs explorent ici les facteurs qui prédisposent les individus à développer des conceptions extrémistes avec un accent particulier sur les combattants islamiques et s’il existe un lien avec la maladie mentale dans ces groupes. Méthode : les auteurs ont procédé à une revue de la littérature sur la relation entre maladie mentale et radicalisation violente pour dégager un consensus sur ce sujet. Ils ont effectué des recherches documentaires sur le site web du Centre national d’information sur la biotechnologie, en utilisant les mots clés « violent extremism » (extrémisme violent) et (santé mentale). Résultat : la recherche électronique a proposé 38 articles, et seulement 12 remplissaient les critères de sélection. Ces articles ont exploré les problèmes de maladie mentale et de radicalisation violente. Ces études ont mis en évidence trois conclusions principales : 1) Il n’y a pas de lien entre maladie mentale et radicalisation violente, une telle radicalisation peut même servir de facteur de protection contre dépression et symptômes d’anxiété ; 2) Le comportement antisocial, la délinquance, une faible estime de soi sont parmi les facteurs contributifs ; 3) Il existe de nombreux parallèles entre les individus qui se livrent à des violences à caractère religieux ou politique et les meurtriers de masse ou « loup solitaire ». Conclusion : il est nécessaire de poursuivre les recherches sur la radicalisation et la maladie mentale pour élaborer des stratégies efficaces de prévention de la menace sécuritaire et empêcher des personnes en difficulté de commettre de tels actes extrémistes ou terroristes violents. Les comportements agressifs et impulsifs, les traits narcissiques et antisociaux, la faible estime de soi et une vision du monde plutôt schizoïde semblent être associés à la radicalisation violente.
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Ward, John. "Le travail des malades mentaux en France. Histoire d’une utilité sociale dérobée." Santé mentale au Québec 27, no. 1 (February 12, 2007): 140–57. http://dx.doi.org/10.7202/014544ar.

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Abstract:
Résumé Le concept « d'aliénation mentale » au sens étymologique et philosophique veut dire « un processus subjectif par lequel un individu devient étranger à lui-même ». L'aliénation recouvre le sentiment d'impuissance (ne pas pouvoir influencer le cours des événements), l'absence de reconnaissance des normes sociales conduisant vers un isolement mental et social, enfin le manque de sens (ne pas comprendre le monde dans lequel on vit). Suivant Engels et Marx, comme le malade mental, le travailleur moderne est aussi touché par une forme d'aliénation, cette fois objective. Comme la maladie mentale, le travail fait de l'homme un étranger à lui-même et conduit à de multiples formes d'asservissement, par l'absence de pouvoir sur sa conduite, par l'obéissance aveugle à des normes sociales, et par la réification dans le produit aliéné du travail de son essence humaine conduisant à la perte de sens (Rosner, 1967).
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Yvon, Florence, and Antoinette Prouteau. "Vers une compréhension de la stigmatisation : quel est le stéréotype associé à la schizophrénie ?" Santé mentale au Québec 42, no. 2 (November 16, 2017): 125–31. http://dx.doi.org/10.7202/1041919ar.

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Abstract:
La stigmatisation des personnes souffrant d’un trouble du spectre schizophrénique a pour origine l’existence d’un stéréotype associé à une catégorie sociale, ici la schizophrénie. L’objectif de cet article bref est de proposer une courte synthèse de la littérature récente ayant exploré le contenu du stéréotype associé à la schizophrénie, en anglais et en français, et de proposer des perspectives de recherche basées sur les évolutions récentes de ce domaine. Le stéréotype associé à la maladie mentale en général est clairement négatif. Le modèle le plus répandu dans la littérature postule l’existence de quatre facteurs qui en constituent le contenu : attribution de la responsabilité de la maladie, dangerosité, faible pronostic, imprévisibilité et incompétence dans les rôles sociaux. Si le stéréotype peut varier selon les pays, il est clairement associé à la discrimination et au désir de mettre les personnes à distance socialement. Le stéréotype diffère également entre les maladies mentales. En comparaison aux troubles bipolaires ou à l’autisme, la schizophrénie concentre les aspects les plus négatifs du stéréotype associé à la maladie mentale, notamment en termes de dangerosité et de distance sociale. L’étude du stéréotype, en pleine expansion, demande encore des études spécifiques et la mise à l’épreuve des modèles non validés, pourtant largement utilisés dans la littérature psychiatrique. L’importation des méthodes et des modèles de la psychologie sociale constitue une piste prometteuse. Ainsi, la production de données utilisables par tous les acteurs du terrain, usagers, familles et professionnels, implique la constitution d’équipes pluridisciplinaires dans les projets futurs.
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Falissard, B. "La maladie mentale, une maladie comme les autres ?" médecine/sciences 34, no. 3 (March 2018): 195–96. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/20183403001.

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Mvilongo, Anselme, and Michel-André Beauvolsk. "Santé mentale et suicide des jeunes." Le Dossier 7, no. 1 (June 28, 2007): 70–89. http://dx.doi.org/10.7202/026337ar.

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Abstract:
Le suicide est un acte volontaire posé par un sujet individuel. Il est toutefois très souvent associé à la maladie mentale, à un déséquilibre mental, car on conçoit difficilement qu’unepersonne mentalement bien équilibrée se donne la mort.Dans cet article, les auteurs veulent attirer l’attention du lecteur et de la lectrice sur lesfacteurs intrinsèques à la personne du suicidé. Ces facteurs qui ne témoignent pas nécessairementd’un bon équilibre psychique, psychologique et d’ajustement à la réalité — ce qui pourraitdéfinir la santé mentale — naissent souvent de facteurs de vulnérabilité qui viennent del’environnement social et qui sont nourris par ces mêmes facteurs. Ces derniers portent tous eneux le germe de la maladie mentale. C’est pourquoi le suicide, bien qu’il soit un acte volontaire,est associé à la maladie mentale. On ne saurait ainsi traiter de la même manière la mort del’halluciné qui se précipite d’une fenêtre élevée parce qu’il la croit à la hauteur du sol, et cellede l’homme, sain d’esprit, qui se frappe en sachant ce qu’il fait. Les auteurs arrivent à cetteconclusion après avoir analysé deux formes de suicide pour montrer le lien entre la maladiementale et l’acte suicidaire.
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Clayborne, Zahra M., Raelyne L. Dopko, Chinchin Wang, Marisol T. Betancourt, Karen C. Roberts, and Colin A. Capaldi. "Associations entre durée et qualité du sommeil et indicateurs de santé mentale chez les jeunes et les adultes : résultats de l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes de 2015." Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 43, no. 5 (May 2023): 270–88. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.43.5.04f.

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Abstract:
Introduction De plus en plus d’études menées au Canada portent sur le lien entre le sommeil et la santé mentale. Cette recherche s’appuie sur ces travaux en étudiant les associations entre, d’une part, la durée et la qualité du sommeil et, d’autre part, une santé mentale positive ainsi que la maladie mentale et les idées suicidaires chez les jeunes et les adultes dans trois provinces canadiennes (l’Ontario, le Manitoba et la Saskatchewan). Methods À l’aide de données transversales recueillies auprès de répondants de 12 ans et plus (n = 18 683) ayant répondu à des questions au sujet de leur sommeil dans l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes de 2015 – Composante annuelle, nous avons réalisé des analyses de régression logistique non ajustées et des analyses de régression logistique ajustées en fonction des mesures autodéclarées sur la durée et la qualité du sommeil sous forme de variables indépendantes et d’un éventail d’indicateurs d’une santé mentale positive (par ex. une bonne santé mentale autoévaluée) et de maladie mentale ou d’idées suicidaires (par ex. un diagnostic de trouble de l’humeur) sous forme de variables dépendantes. Les analyses ont été réalisées au moyen des données des répondants ayant répondu à toutes les questions et elles ont été stratifiées selon le sexe et le groupe d’âge. Results Une bonne qualité de sommeil était associée à une probabilité plus élevée d’indicateurs d’une santé mentale positive (rapport de cotes ajusté [RCa] : 1,52 à 4,24) et à une probabilité plus faible d’indicateurs de maladie mentale et d’idées suicidaires (RCa : 0,23 à 0,47), et les associations sont demeurées significatives lorsque les analyses ont été stratifiées. Le respect des recommandations sur la durée du sommeil était associé positivement aux indicateurs d’une santé mentale positive (RCa : 1,27 à 1,56) et était associé négativement aux indicateurs de maladie mentale et d’idées suicidaires (RCa : 0,41 à 0,80), mais certaines associations ne sont pas demeurées significatives après la stratification. Conclusion Cette étude confirme les associations entre, d’une part, la durée et la qualité du sommeil et, d’autre part, les indicateurs d’une santé mentale positive ainsi que de maladie mentale et d’idées suicidaires. Les résultats peuvent orienter les futures activités de recherche et de surveillance visant à assurer le suivi des comportements en matière de sommeil et des indicateurs d’une santé mentale positive ainsi que de maladie mentale et d’idées suicidaires.
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Dorvil, Henri. "La maladie mentale comme problème social." Service social 39, no. 2 (April 12, 2005): 44–58. http://dx.doi.org/10.7202/706476ar.

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Abstract:
L'auteur aborde la maladie mentale comme problème social. Il adopte un point de vue social et s'oppose à une analyse trop exclusivement biologique du phénomène en question. À l'aide de multiples exemples, tant historiques que contemporains, il s'efforce de démontrer que ce sont les normes et les valeurs « qui régissent la construction de l'anormalité dans une collectivité » et qu'en conséquence, la déviance, qu'implique ce type de comportement est bel et bien « un problème social avant d'être une maladie ». Il souligne aussi que la perception et la définition de la déviance évoluent dans le temps et l'espace. Finalement, il situe l'analyse du phénomène de la maladie mentale par rapport aux principales théories explicatives des problèmes sociaux et il rappelle les disparités dans la répartition des troubles mentaux selon les classes sociales.
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Alarcon, W., V. Bergot, L. Surig, S. Simon, E. Jacques, and S. Thiebaut. "Santé Mentale en Afrique de l’Ouest : présentation d’un partenariat avec une ONG Béninoise." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 85. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.228.

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Abstract:
L’Association Santé Mentale en Afrique de l’Ouest est née d’une collaboration avec l’ONG Béninoise « Saint-Camille ». Cette association fondée par Grégoire Ahongbonon œuvre depuis près de 30 ans, en Côte d’Ivoire et au Bénin pour soustraire les malades psychiatriques au sort qui leur est le plus souvent réservé en l’absence de soins : l’errance pathologique dans les métropoles du continent et l’enchaînement physique à des arbres ou des murs à l’écart des villages dans les campagnes. La maladie mentale reste en effet un sujet tabou dans ces sociétés marquées par des croyances séculaires autour de la sorcellerie et de l’envoûtement. L’action de l’ONG Saint-Camille s’inscrit aussi dans un contexte de pénurie de structures soignantes (un seul hôpital psychiatrique au Bénin par exemple). On peut ainsi regretter la quasi-absence de politiques de développement de réseaux de soins psychiatriques en Afrique de l’Ouest, tant du point de vu des gouvernements que des grandes ONG médicales internationales, pour qui la psychiatrie n’est pas une priorité. Aujourd’hui ce sont plus de 20 000 malades qui ont été accueillis dans les 8 centres de soins d’ONG St-Camille en Côte d’Ivoire et au Bénin, et qui ont pu être réinsérés dans leurs familles, au prix d’une lutte incessante contre les représentations de la maladie mentale encore en cours dans cette partie du monde. L’association Santé Mentale en Afrique de l’Ouest, organisée autour de soignants du centre hospitalier Le Mas Careiron à Uzès (30) est engagée dans un partenariat avec l’ONG Saint-Camille et développe les actions suivantes :– soutien financier envers ses partenaires africains pour l’achat de médicaments psychotropes ;– aide à la formation en santé mentale ;– organisation de missions de bénévolat en santé mentale en Afrique de l’Ouest ;– organisation de rencontres et débats autour du thème de la santé mentale en Afrique.
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Doron, Claude-Olivier. "La maladie mentale en question." Les Cahiers du Centre Georges Canguilhem 2, no. 1 (2008): 9. http://dx.doi.org/10.3917/ccgc.002.0009.

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Stryckman, Nicole. "Symptômes, maladie et santé mentale." Cahiers de psychologie clinique 17, no. 2 (2001): 19. http://dx.doi.org/10.3917/cpc.017.0019.

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Chapelle, Gaëtane. "Mal-être ou maladie mentale ?" Sciences Humaines N°138, no. 5 (May 1, 2003): 25. http://dx.doi.org/10.3917/sh.138.0025.

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Millett, Kate. "La maladie mentale : une illusion." Santé mentale au Québec 16, no. 1 (1991): 287. http://dx.doi.org/10.7202/032215ar.

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Burnonville, Francine. "Parler de santé mentale : quelle maladie?" Santé mentale au Québec 10, no. 2 (June 7, 2006): 126–30. http://dx.doi.org/10.7202/030299ar.

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Abstract:
Résumé Parler de sante mentale en milieu de travail, c'est entendre maladie, troubles de la productivité, absentéisme... Tout se passe comme si ce n'était pas le travail qui fatigue mais la vie sociale, la vie hors travail. À l'ouvrage, iI faut être motivé(e), compétitif(ve), adaptable à tous les changements si on veut faire face à la crise. Celles et ceux qui ne tiennent pas le coup, il vaut mieux les refouler hors de l'usine pour qu'elles (ils) ne dérangent pas, les soigner ailleurs. Si la maladie mentale pose de sérieux problèmes quand elle pertube la production, santé mentale n'est pas une préoccupation réelle en milieu de travail, elle n'entre pas concrètement dans la définition de la santé-sécurité.
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Massé, Jacqueline C., and Marie-Marthe T.-Brault. "Maladie mentale et stigmatisation ou Comment on devient un malade mental pour la vie." Santé mentale au Québec 4, no. 1 (June 2, 2006): 73–83. http://dx.doi.org/10.7202/030048ar.

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Abstract:
La perspective sociologique telle que présentée ici en relation avec la santé et/ou la maladie mentale est basée sur une approche interactionniste du phénomène. En effet, la société est composée d'un ensemble de normes et de valeurs, partagées par la majorité des personnes au sein d'une même culture à une époque donnée. Ces normes dont l'apprentissage commence dès la naissance de l'individu, sont issues de la génération précédente et ainsi transmises de génération en génération. Normes et valeurs constituent le tissu social, fondement de notre vie en commun. Il s'agit d'une vision de la société centrée principalement sur les rapports entre les individus et la société, et entre les individus et les institutions, ces rapports étant définis par un ensemble d'interdépendance psychologique et sociale.
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Poulin, Carole, and Maurice Lévesque. "Les représentations sociales des étiquettes associées à la maladie mentale." Santé mentale au Québec 20, no. 1 (September 11, 2007): 119–36. http://dx.doi.org/10.7202/032336ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Le contexte social lié à la désinstitutionnalisation nous a amenés à nous interroger sur l'impact des étiquettes apposées aux personnes ayant un vécu psychiatrique. Le but de cette recherche est de saisir les nuances qu'apporte la population dans les appellations suivantes: le malade mental, l'ex-patient psychiatrique et la personne souffrant d'un problème de santé mentale. Les données recueillies auprès de 255 résidents francophones de la région de Montréal indiquent que l'expression « expatient psychiatrique » s'avère moins stigmatisante que les expressions « malade mental » ou « personne souffrant d'un problème de santé mentale » (PSPSM) puisqu'elle fait référence à un événement du passé, lequel est révolu. L'appellation « malade mental » met l'accent sur la chronicité du problème de santé dont souffre l'individu; celle de PSPSM accentue le potentiel de guérison de la personne; et celle d'« ex-patient psychiatrique » fait état de la capacité de fonctionner adéquatement dans la société.
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Narring, Françoise, Magdalini Patseadou, and Catherine Chamay Weber. "QUELLE SPÉCIFICITÉ POUR LES BESOINS DE SANTÉ DES RÉFUGIÉS MINEURS NON ACCOMPAGNÉS? EXPÉRIENCE D’UNE CONSULTATION AMBULATOIRE DE MÉDECINE DE L’ADOLESCENT EN SUISSE." Paediatrics & Child Health 23, suppl_1 (May 18, 2018): e1-e1. http://dx.doi.org/10.1093/pch/pxy054.002.

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Abstract:
Abstract BACKGROUND Environ 3% des demandeurs d’asile sur le sol européen arrivent en Suisse et leur nombre a été multiplié par 10 entre 2000 et 2015. Les jeunes mineurs non accompagnés (MNA), parmi eux représentent un groupe particulièrement vulnérable. OBJECTIVES Le but de cette étude est d’identifier les problèmes les plus fréquents repérés et d’évaluer leur parcours de soin dans le pays d’accueil. DESIGN/METHODS Une étude rétrospective des dossiers médicaux informatisés de tous les adolescents MNA de 12 à 18 ans ayant consulté l’unité ambulatoire de l’Hôpital universitaires de Genève pour la première fois en 2015 et 2016 a analysé les données concernant les consultations de premier recours, les consultations avec des spécialistes et les admissions aux urgences. Les diagnostics codés à l’aide de la CIM-10 ont été classés en 5 catégories: 1) maladies transmissibles; 2) maladies non transmissibles; 3) carence nutritionnelle; 4) problèmes de santé mentale; 5) plaintes floues. Un total de 226 jeunes MNA ont été inclus (89.4% de sexe masculin; âge moyen 16,4 ans). RESULTS La majorité (90,2%) ont au moins un problème de santé: 44% maladie transmissible, parasitoses principalement; 38% maladie non transmissible, acné et maladie chronique majoritairement; 43% carence nutritionnelle; 35% de problème de santé mentale, principalement troubles émotionnels et stress post traumatique; 31% de plaintes floues. Un quart des jeunes MNA ont eu plus de 6 consultations avec le médecin durant les 12 premiers mois, deux tiers ont été référés à un spécialiste (dermatologie ou cardiologie pour les plus nombreux), 43% d’entre eux ont consulté au moins une fois le service des urgences pour un problème somatique aigu ou une détresse psychologique. CONCLUSION Les besoins de santé des jeunes MNA sont importants et devraient être une priorité dans les pays d’accueil de ces jeunes.
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Glazer, Catherine. "De la Commune comme maladie mentale." Romantisme 15, no. 48 (1985): 63–70. http://dx.doi.org/10.3406/roman.1985.4766.

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Martin, Jean-Pierre. "La maladie mentale comme objet sociologique." Mouvements 21-22, no. 3 (2002): 128. http://dx.doi.org/10.3917/mouv.021.0128.

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Marchand, Gilles. "La construction de la maladie mentale." Sciences Humaines N°136, no. 3 (March 1, 2003): 29. http://dx.doi.org/10.3917/sh.136.0029.

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Cosnard, Henri-Daniel. "Nullité du mariage pour maladie mentale." Revue Judiciaire de l'Ouest 11, no. 3 (1987): 303–5. http://dx.doi.org/10.3406/juro.1987.1514.

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Cherot, Martine. "Maladie mentale et protection de l'enfance." Enfances & Psy 37, no. 4 (2007): 54. http://dx.doi.org/10.3917/ep.037.0054.

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Whalen, Christian. "Maladie mentale et droits de l’enfant." Revue de l'université de Moncton 46, no. 1-2 (2015): 3. http://dx.doi.org/10.7202/1039029ar.

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Bourdin, M. J. "Déterminants socioculturels de la maladie mentale." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 71. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.189.

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Abstract:
La souffrance psychique des personnes migrantes et réfugiées est souvent le résultat de plusieurs facteurs. La dimension psychologique est évidemment en avant mais il ne faut plus ignorer l’impact des déterminants sociaux (sickness) sur les éventuels troubles de la personnalité. Il ne s’agit pas seulement de mettre en valeur la dimension sociale mais d’intégrer dans la prise en charge le rôle et l’importance des facteurs sociaux et sociétaux.
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Cheref, S. "Représentations culturelles de la maladie mentale." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 71–72. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.190.

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Abstract:
Les troubles psychiatriques présentés par les personnes migrantes et réfugiées s’expriment pendant l’entretien par le biais de représentations culturelles (illness). Il est souvent nécessaire pour le thérapeute, en dehors de la maîtrise d’une langue en commun, de confronter ses propres modèles explicatoires à ceux des patient(e)s. C’est d’une certaine manière la garantie d’échapper aux deux obstacles classiques dans cette prise en charge transculturelle, c’est-à-dire la non prise en compte des formulations du patient et les effets pervers de la stigmatisation.
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Bacqué, M. F. "Nouveau regard sur la maladie mentale." Psycho-Oncologie 4, no. 1 (March 2010): 5–6. http://dx.doi.org/10.1007/s11839-010-0246-6.

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de M'Uzan, Michel. "Impasses de la théorie, théories indispensables." Revue française de psychanalyse o 62, no. 5 (May 1, 1998): 1459–64. http://dx.doi.org/10.3917/rfp.g1998.62n5.1459.

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Abstract:
Résumé La multiplicité des théories psychosomatiques les expose à ce qu’elles soient obsolètes ou contradictoires. Il est donc essentiel que chacune d’entre elles soit cohérente sur le plan métapsychologique. Cet objectif exige qu’au préalable on ait opéré un « démembrement du champ psychosomatique ». A propos des rapports entre états opératoires et états limites, il a été possible : a) de considérer la maladie opératoire comme une « guérison pathogène » d’une maladie mentale ; b) de ranger les états limites dans le cadre de l’hystérie. Ces considérations ont permis d’introduire une nouvelle entité nosographique : la psychose actuelle. La psychose actuelle étant le pendant de la psychose, de la même manière que les névroses actuelles sont le pendant des psychonévroses (hystérie d’angoisse, phobies, obsessions). Le malade psychosomatique traite la réalité d’une manière identique à celle dont use l’hypocondriaque avec son symptôme.
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Corbière, Marc, Alain Lesage, Kathe Villeneuve, and Céline Mercier. "Le maintien en emploi de personnes souffrant d’une maladie mentale." Santé mentale au Québec 31, no. 2 (March 21, 2007): 215–35. http://dx.doi.org/10.7202/014813ar.

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Abstract:
L’insertion au travail de personnes souffrant d’une maladie mentale s’avère complexe et difficile. Pour celles qui travaillent, le maintien en emploi est de courte durée. Cet article vise à identifier des déterminants personnels du maintien en emploi de personnes souffrant d’une maladie mentale et inscrites dans un programme de réinsertion au travail. Des 105 personnes qui travaillent durant le suivi de 9 mois après leur inscription à un programme, près de 50 % maintiennent leur première activité de travail. Les résultats d’analyses de survie révèlent que selon l’indicateur de maintien en emploi observé (premier ou dernier emploi obtenu), les variables qui apparaissent comme significatives peuvent être reliées aux aspects sociodémographiques (aide financière reçue), travail (la durée d’absence du marché du travail, le type d’emploi obtenu), cognitif (fonctions exécutives) et clinique (symptômes paranoïdes). En conclusion, les auteurs suggèrent non seulement de considérer les variables inhérentes à la personne souffrant d’une maladie mentale pour prédire le maintien en emploi, mais aussi d’évaluer de façon plus systématique son milieu de travail.
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King, Suzanne, and Vicky Rochon. "Le rôle de l’émotion exprimée dans le cours de la schizophrénie." Santé mentale au Québec 20, no. 2 (September 11, 2007): 99–117. http://dx.doi.org/10.7202/032355ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Au cours d'une décennie consacrée à d'abondantes recherches sur le cerveau, une avenue s'est, entre autre, ouverte pour démontrer l'importance de prendre en ligne de compte les facteurs psychosociaux dans le cours de la schizophrénie. Le but de cet article est de décrire brièvement le concept « d'émotion exprimée » qui s'est souvent révélé utile comme facteur de prévisibilité de la rechute dans différents types de maladies mentales graves. Nous y décrirons également un programme de recherches entrepris au Centre de recherche de l'Hôpital Douglas dans le but d'approfondir notre compréhension du lien entre la famille et le cours de la schizophrénie. Certains résultats seront également présentés pour souligner la complexité du rôle de la dynamique familiale dans la maladie mentale.
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Alfatli, Jacqueline, and Nazim Alfatli. "Phénomène d’acculturation et santé du migrant." Thème 4 – Mobilités, identités et frontières, no. 75 (May 11, 2016): 248–51. http://dx.doi.org/10.7202/1036308ar.

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Abstract:
Le migrant traduit dans son corps les difficultés de son acculturation. C’est à partir de cette compréhension de la dimension culturelle des maladies du migrant que l’équipe médicale peut intervenir. La Maison médicale de GRACE-HOLLOGNE, quartier populaire de Liège composé à 40 % d’habitants immigrés vise à intégrer ceux-ci dans un processus de prise en charge collective, à l’intérieur du quartier et d’une communauté. Autogestion, conseils de patients, travail de groupe, approche culturelle de la maladie physique et mentale caractérisent le fonctionnement de cette maison médicale.
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Alfatli, Jacqueline, and Nazim Alfatli. "Phénomène d’acculturation et santé du migrant." La prise en charge communautaire de la santé, no. 1 (January 28, 2016): 105–8. http://dx.doi.org/10.7202/1034831ar.

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Abstract:
Le migrant traduit dans son corps les difficultés de son acculturation. C’est à partir de cette compréhension de la dimension culturelle des maladies du migrant que l’équipe médicale peut intervenir. La Maison médicale de GRACE-HOLLOGNE, quartier populaire de Liège composé à 40 % d’habitants immigrés vise à intégrer ceux-ci dans un processus de prise en charge collective, à l’intérieur du quartier et d’une communauté. Autogestion, conseils de patients, travail de groupe, approche culturelle de la maladie physique et mentale caractérisent le fonctionnement de cette maison médicale.
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Fradet, Hélène. "Entre la judiciarisation et l’intervention médico-psychosociale : la réalité des membres de l’entourage des personnes atteintes de maladie mentale." Dossier : Santé mentale et justice 34, no. 2 (February 5, 2010): 31–38. http://dx.doi.org/10.7202/039124ar.

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Abstract:
Dans cet article, l’auteure examine l’impact de la judiciarisation des personnes atteintes de maladie mentale sur les proches. Elle soumet l’hypothèse qu’une offre de service plus diversifiée réduirait le recours à la judiciarisation de ces personnes et atténuerait par le fait même les effets souvent dévastateurs sur les membres de l’entourage. Selon l’équation des familles, plus les services seront développés et adaptés, moins fréquemment les proches devront avoir recours aux tribunaux et moins régulièrement les personnes atteintes de maladie mentale se retrouveront derrière les barreaux.
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Lamarre, Suzanne. "Les femmes et la maladie mentale : un problème culturel?" Santé mentale au Québec 4, no. 2 (June 2, 2006): 53–62. http://dx.doi.org/10.7202/030056ar.

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Abstract:
Lors d'une conférence dans le cadre du Symposium sur le sexe, la culture et la maladie, l'épidémiologue américain, Walter R. Gove (19778), de l'Université Vanderbilt, affirmait que les femmes manifestent deux fois plus de problèmes névrotiques que les hommes depuis les trente-cinq dernières années. Différentes études épidémiologiques (Weissman, 1977 ; Statistics Canada ; Silverman, 1968) sur la fréquence des traitements psychiatriques démontrent plus précisément que les femmes font de deux à six fois plus de dépressions que les hommes. Ces recherches m'ont incitée à réfléchir sur les relations possibles entre les problèmes névrotiques et les changements culturels de ces trente-cinq dernières années, à la lumière des concepts de différenciation de groupe et d'éléments culturels de Bateson (1976). Celui-ci a élaboré une théorie permettant d'examiner les problèmes de comportement humain (conformisme, aspects émotionnels et expression de besoins) à la lumière d'une grille peu utilisée en psychiatrie, la grille anthropologique. Beaucoup de chercheurs enfin se sont intéressés aux inégalités sociales affectant les femmes depuis des siècles comme facteurs causals de leurs maladies, mais ont négligé d'étudier les changements des aspirations, valeurs, attentes de comportements ainsi que les systèmes relationnels soutenant les communications de notre époque. Ces changements méritent toute notre attention, car ils ont profondément modifié le contexte de vie de gens dont les apprentissages sont adaptés à un autre milieu que celui dans lequel ils vivent.
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Largier Vié, Céline. "Le discours sur la maladie à l’heure numérique – Mise en scène de soi, mise en scène de la maladie, à l’exemple de l’anorexie : le cas A." SHS Web of Conferences 78 (2020): 01013. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20207801013.

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Abstract:
L’objectif de cette communication, qui se place dans le cadre de l’analyse du discours numérique, est de contribuer à illustrer la manière dont les dispositifs de communication numérique offrent aux malades un espace d’expression et d’analyser en quoi ces dispositifs permettent aux malades de rendre compte de la maladie dans ce qu’elle a d’intime. A partir de l’exemple d’un cas particulier, celui d’A., jeune femme souffrant d’anorexie mentale, nous montrerons, à travers la présentation qu’elle fait d’elle-même au fil de ses publications sur Instagram, comment elle exploite les ressources offertes par cette application afin de se définir à travers la psychopathologie dont elle souffre par le recours au texte et aux images.
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Doré, Isabelle, and Jean Caron. "Santé mentale : concepts, mesures et déterminants." Santé mentale au Québec 42, no. 1 (June 14, 2017): 125–45. http://dx.doi.org/10.7202/1040247ar.

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Abstract:
La santé mentale est plus que l’absence de maladie mentale ou de troubles mentaux : elle constitue une forme de bien-être complet et interpelle notre capacité à jouir de la vie et à faire face aux défis auxquels nous sommes confrontés. La santé mentale et la maladie mentale ne représentent pas les extrêmes d’un même continuum, mais constituent plutôt des concepts distincts, bien que corrélés. La santé mentale influence directement le fonctionnement personnel et social des individus, justifiant l’importance d’agir en amont des problèmes pour promouvoir la santé mentale. Cet article vise, dans un premier temps, à situer le concept de santé mentale dans une perspective historique ; la conception traditionnelle suggérant que la santé mentale se définit par l’absence de troubles mentaux a été remplacée par une conception holistique qui interpelle directement la santé publique. Des modèles théoriques sont présentés afin d’exposer les diverses composantes de la santé mentale qui incluent une appréciation du bien-être émotionnel/qualité de vie (QV), du bien-être psychologique et social. Les auteurs présentent également différents instruments de mesure qui permettent d’évaluer les multiples dimensions de la santé mentale. Enfin, une recension des écrits présente les résultats de recherche sur les déterminants de la santé mentale. Nous souhaitons que cet article permette au lecteur de se familiariser avec des concepts et des outils qui ont pour but d’orienter la recherche, la surveillance, l’élaboration de politiques publiques et de programmes de santé publique destinés à la promotion de la santé mentale.
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Meloche, Monique. "Enfermer la folie." Santé mentale au Québec 6, no. 2 (June 13, 2006): 16–26. http://dx.doi.org/10.7202/030099ar.

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Abstract:
En Nouvelle-France, la folie a initialement été considérée selon les traditions européennes : les lunatiques doivent être exclus, mis hors de la vue. Très tôt, une distinction a été faite entre la fonction de protection, attribuée aux hôpitaux généraux et plus tard aux asiles, et la fonction de traitement entreprise à l’Hôtel-Dieu (mettant dans l’ombre le rôle joué par les hôpitaux généraux au 20e siècle). En 1960, le changement des concepts dans les champs de l’étiologie et du traitement de la maladie mentale, la largeur des hôpitaux mentaux et la transformation de la société du Québec de rural à urbain a accéléré la réorganisation des services psychiatriques, sans élément de risque d’exclusion du malade mental. Cet article décrit aussi brièvement les hôpitaux psychiatriques et leur dépendance au début des années 60 au Québec.
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Surig, L. "Enchaînement, abandon, stigmatisation : quand l’Afrique nous parle de l’histoire de la psychiatrie." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 72–73. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.193.

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Abstract:
Les représentations que nous avons le plus souvent de la folie en Afrique, sont rarement conformes à la réalité du terrain. Loin d’une Afrique idéalisée où la communauté prendrait en charge les patients psychiatriques, accueillant leur « folie » et lui conférant ainsi un rôle social, la réalité est souvent plus complexe et tragique. En l’absence de moyens et dans un contexte de croyances séculaires, beaucoup de malades vivent encore aujourd’hui ce que les malades européens ont pu vivre avant la naissance de la psychiatrie moderne, parfois au sein même des institutions asilaires qui ont marqué l’essor de la psychiatrie occidentale. Du sens donné à la folie à l’époque médiévale, à la prise en charge de la maladie mentale de l’Antiquité à nos jours, en passant par le grand « boom » de l’aliénisme avec la loi de 1838, nous verrons combien la situation des malades psychiatriques africains fait écho à notre histoire [1,3]. Lorsqu’il est possible, ce qui reste malheureusement peu fréquent, l’accès pérenne aux traitements psychotropes et plus particulièrement aux neuroleptiques de première génération, transforme le cours de la vie de certains malades, évoquant l’avancée spectaculaire qu’a connu la psychiatrie moderne après la découverte des neuroleptiques par Delay et Deniker en 1952. Il est enfin frappant de voir que stigmatisation et maladie mentale vont de pair à travers les siècles et sous toutes les latitudes, et que des politiques de formation et d’information sont plus que jamais nécessaires pour permettre à la psychiatrie africaine de prendre la place qu’elle mérite, à l’heure où urbanisation galopante et globalisation économique modifient en profondeur les modes de vie, l’organisation sociale traditionnelle et les schémas de pensées des africains du XXIe siècle [2].
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Veilleux1, Caroline, and Marc Molgat. "Que signifie être jeune adulte aujourd’hui? Les points de vue de jeunes adultes ayant reçu un diagnostic de maladie mentale." Reflets 16, no. 1 (September 16, 2010): 152–79. http://dx.doi.org/10.7202/044446ar.

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Abstract:
Cet article est issu d’une étude qui s’inscrit dans une démarche d’exploration de la réalité plurielle actuelle des jeunes adultes ayant reçu un diagnostic de maladie mentale à travers la considération de leur discours. Il vise dans un premier temps à déterminer si ces jeunes adultes se perçoivent comme des adultes et à identifier les critères associés à cette perception d’être adulte. En second lieu, la recherche vise à circonscrire l’impact de la maladie mentale sur la perception de soi en tant que jeune adulte et à connaître la représentation et le positionnement de ces jeunes adultes par rapport aux services de santé mentale. Pour ce faire, des entrevues semi-dirigées ont été réalisées auprès de huit jeunes adultes âgés de 18 à 35 ans, qui ont reçu un diagnostic de maladie mentale. L’analyse approfondie du discours a permis de relever que ces jeunes adultes se réfèrent moins aux marqueurs de transition formels tels que l’entrée dans le marché du travail et la parentalité, pour expliquer leur parcours de vie et s’en remettent davantage à leurs expériences personnelles de vie. Ils se réfèrent à de nouveaux repères pour ainsi donner un sens à leur réalité, ce qui a comme conséquence de préserver en partie l’image de soi. Quelques pistes de réflexion pour l’intervention sont finalement proposées.
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