To see the other types of publications on this topic, follow the link: Maladie transmissible.

Journal articles on the topic 'Maladie transmissible'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the top 50 journal articles for your research on the topic 'Maladie transmissible.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Browse journal articles on a wide variety of disciplines and organise your bibliography correctly.

1

Narring, Françoise, Magdalini Patseadou, and Catherine Chamay Weber. "QUELLE SPÉCIFICITÉ POUR LES BESOINS DE SANTÉ DES RÉFUGIÉS MINEURS NON ACCOMPAGNÉS? EXPÉRIENCE D’UNE CONSULTATION AMBULATOIRE DE MÉDECINE DE L’ADOLESCENT EN SUISSE." Paediatrics & Child Health 23, suppl_1 (May 18, 2018): e1-e1. http://dx.doi.org/10.1093/pch/pxy054.002.

Full text
Abstract:
Abstract BACKGROUND Environ 3% des demandeurs d’asile sur le sol européen arrivent en Suisse et leur nombre a été multiplié par 10 entre 2000 et 2015. Les jeunes mineurs non accompagnés (MNA), parmi eux représentent un groupe particulièrement vulnérable. OBJECTIVES Le but de cette étude est d’identifier les problèmes les plus fréquents repérés et d’évaluer leur parcours de soin dans le pays d’accueil. DESIGN/METHODS Une étude rétrospective des dossiers médicaux informatisés de tous les adolescents MNA de 12 à 18 ans ayant consulté l’unité ambulatoire de l’Hôpital universitaires de Genève pour la première fois en 2015 et 2016 a analysé les données concernant les consultations de premier recours, les consultations avec des spécialistes et les admissions aux urgences. Les diagnostics codés à l’aide de la CIM-10 ont été classés en 5 catégories: 1) maladies transmissibles; 2) maladies non transmissibles; 3) carence nutritionnelle; 4) problèmes de santé mentale; 5) plaintes floues. Un total de 226 jeunes MNA ont été inclus (89.4% de sexe masculin; âge moyen 16,4 ans). RESULTS La majorité (90,2%) ont au moins un problème de santé: 44% maladie transmissible, parasitoses principalement; 38% maladie non transmissible, acné et maladie chronique majoritairement; 43% carence nutritionnelle; 35% de problème de santé mentale, principalement troubles émotionnels et stress post traumatique; 31% de plaintes floues. Un quart des jeunes MNA ont eu plus de 6 consultations avec le médecin durant les 12 premiers mois, deux tiers ont été référés à un spécialiste (dermatologie ou cardiologie pour les plus nombreux), 43% d’entre eux ont consulté au moins une fois le service des urgences pour un problème somatique aigu ou une détresse psychologique. CONCLUSION Les besoins de santé des jeunes MNA sont importants et devraient être une priorité dans les pays d’accueil de ces jeunes.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Manus, Jean-Marie. "Alcoolisme, redoutable maladie non transmissible." Revue Francophone des Laboratoires 2011, no. 432 (May 2011): 15. http://dx.doi.org/10.1016/s1773-035x(11)70932-7.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Misery, L. "Le syndrome des morgellons : une maladie transmissible par les médias." Annales de Dermatologie et de Vénéréologie 140, no. 1 (January 2013): 59–62. http://dx.doi.org/10.1016/j.annder.2012.09.016.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Balasubramanian, Saravanakarthikeyan, and Divya Vinayachandran. "Bioaérosols provenant de la respiration buccale : mode de transmission méconnu de la COVID-19?" Relevé des maladies transmissibles au Canada 47, no. 56 (June 9, 2021): 302–5. http://dx.doi.org/10.14745/ccdr.v47i56a05f.

Full text
Abstract:
Le monde entier a été touché par la pandémie de maladie à coronavirus 2019 (COVID-19), et de nombreux chercheurs se lancent dans une course pour comprendre l’évolution de la maladie et entreprendre des analyses de risque afin de formuler des stratégies de traitement efficaces. Le coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère 2 (SRAS-CoV-2) est très transmissible par la toux et les éternuements, ainsi que par la respiration et en parlant, ce qui peut expliquer la transmission virale à partir de porteurs asymptomatiques. Les bioaérosols produits pendant la respiration buccale, un processus expiratoire chez les personnes qui respirent habituellement par la bouche, doivent être considérés, en plus des bioparticules nasales, comme un mode de transmission potentiel de la COVID-19. Les professionnels de la santé buccodentaire craignent, à juste titre, le risque d’exposition dû à la proximité du contact direct et au mode de transmission. L’objectif de ce commentaire est de résumer les recherches menées dans ce domaine et de proposer des stratégies pour limiter la propagation de la COVID-19, notamment dans les cabinets dentaires.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

ELSEN, J. M., and J. M. AYNAUD. "Introduction au numéro hors série Encéphalopathies spongiformes transmissibles animales." INRAE Productions Animales 17, HS (December 19, 2004): 5–6. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.hs.3613.

Full text
Abstract:
Les agents des encéphalopathies spongiformes transmissibles (ESST) sont responsables de maladies neurodégénératives fatales chez l’homme (maladie de Creutzfeldt-Jakob, insomnie fatale familiale, syndrome de Gerstmann-Straussler-Scheinker, Kuru) et chez les animaux (tremblante ovine et caprine, encéphalopathie spongiforme bovine, encéphalopathie spongiforme féline, encéphalopathie transmissible du vison, dépérissement chronique des cervidés. L’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) est une maladie nouvelle apparue en 1985 au Royaume-Uni, puis s’est propagée ensuite dans les autres pays européens et en particulier en France (premier cas identifié en 1990). La tremblante des ovins est en revanche connue depuis plus de deux siècles en Europe. Elle se distingue de l’ESB par sa contagiosité et la distribution de la protéine prion pathologique PrPsc dans les tissus périphériques. L’agent de l’ESB est transmissible des bovins à l’homme chez lequel il provoque une forme particulière (variant) de la maladie de Creutzfeldt-Jakob. En revanche, l’agent de la tremblante ovine semble sans danger pour l’homme. Jusqu’en 1992, date du premier rapport réalisé à la demande du ministre de la recherche, Hubert Curien, par une commission de 9 chercheurs présidée par Dominique Dormont, les recherches poursuivies en France sur les ESST étaient le fait d’un petit réseau informel qui a été à l’origine d’un premier programme de recherches piloté par l’INSERM. L’annonce faite le 20 mars 1996 par les autorités du Royaume-Uni que 10 britanniques venaient de succomber à une variante de la maladie de Creutzfeldt-Jakob liée à l’ESB, entraîne une crise de confiance sans précédent des consommateurs. Interpellée, la communauté scientifique incluant l’INRA est alors brutalement placée devant un ensemble de questions nouvelles qui l’oblige à recentrer sa stratégie en termes d’expertise collective. La mise en place à cette occasion, du comité interministériel d’experts sur les ESST animé par Dominique Dormont (et auquel 8 chercheurs INRA participaient) a été un facteur très important dans la mobilisation de la communauté scientifique française et en particulier de l’INRA (voir à ce sujet l’analyse critique du fonctionnement de ce comité interministériel faite par Jacqueline Estades et Elisabeth Rémy dans l’ouvrage « l’expertise en pratique : les risques liés à la vache folle et aux rayonnements ionisants », 249 pages, L’Harmattan éditeur, Novembre 2003). Depuis 1993, les chercheurs INRA du département de génétique animale réfléchissaient aux conditions de développement de projets de recherche nouveaux sur les maladies à prions et en particulier sur la tremblante ovine qui sévissait de façon spectaculaire dans un troupeau ovin expérimental (domaine INRA de Langlade). Les chercheurs concernés de ce département ont eu un rôle moteur dans la mobilisation ultérieure des autres départements. En effet, à partir de l’automne 1996, des chercheurs INRA appartenant à 6 départements de recherche différents (génétique animale, santé animale, physiologie animale, transformation des produits animaux, hydrobiologie et faune sauvage, économie et sociologie rurale) ont décidé de s’engager dans des projets de recherche centrés sur les maladies à prions. Cet intense effort de mobilisation s’est accompli essentiellement par mobilité thématique (et non pas à la faveur de recrutements nouveaux), ce qui a représenté pour chacun des chercheurs engagés un effort personnel de remise en cause l’obligeant à repartir de zéro dans un domaine totalement nouveau, en abandonnant des recherches où chacun avait acquis un positionnement national et international. Cette mobilisation collective importante a été favorisée par trois facteurs différents : - l’exceptionnelle demande sociétale résultant d’une crise de confiance sans précédent touchant à la fois le consommateur et le citoyen, - l’ensemble des nombreuses questions nouvelles posées par la problématique « prions » qui a profondément excité la curiosité et l’intérêt des chercheurs de disciplines différentes, - et, enfin, la mise en place rapide de nouveaux moyens financiers, à la faveur d’une série d’appels d’offres successifs (INRA en interne, interministériels, GIS Prions, Union Européenne) qui ont exercé un effet incitatif puissant. Dans ce contexte nouveau, les objectifs prioritaires de l‘INRA ont été les suivants : - tout d’abord, créer les conditions optimales pour la mise au point des différents outils indispensables au développement des recherches sur les ESST : . les souris transgéniques pour les infections expérimentales,. les lignées de cultures cellulaires pour la propagation in vitro du prion,. les anticorps monoclonaux anti protéine prion (PrP),. les techniques immunocytohistochimiques pour identifier la protéine prion pathogène PrPsc dans les tissus infectés,. les méthodes de génotypage à grande échelle du gène PrP chez les ovins,. les approches épidémiologiques adaptées,. et surtout toute la logistique appropriée pour la manipulation des prions en toute sécurité au laboratoire et dans les animaleries (souris et gros animaux). - parallèlement, organiser des instances nouvelles pour la coordination (comité d’action incitative programmée, bureau permanent des recherches ESST) et l’animation scientifique interdisciplinaire (séminaires réguliers) de façon à assurer les meilleures conditions pour favoriser les échanges entre les équipes et la cohérence des projets entre eux. - et, enfin, mettre en place des moyens nouveaux en termes de ressources humaines (redéploiements, recrutements). Plus d’une vingtaine d’équipes INRA se sont engagées depuis 1996. A partir des nouveaux outils mis à disposition des différentes équipes, les recherches se développent et les résultats obtenus ont été présentés et discutés lors des séminaires organisés en 1998, 2000 et 2003. Ces résultats ont été valorisés par un nombre important de publications et ont été concrétisés au niveau des applications par la mise au point de tests rapides de diagnostic des ESST (contribution au test Biorad pour l’ESB, convention avec l’Institut Pourquier pour la tremblante ovine) ainsi que par un plan ambitieux de contrôle génétique et d’éradication de la tremblante dans les troupeaux ovins français. Dans le domaine de la biosécurité du retraitement des farines animales, un brevet a été pris en mars 2004. A l’issue du dernier séminaire, la direction scientifique Animal et Produits Animaux a décidé de valoriser l’ensemble des résultats obtenus et des connaissances en découlant, par la réalisation de ce numéro hors-série. L’objectif était de présenter au plus grand nombre l’ensemble des avancées scientifiques et des axes de recherche actuels sur les prions, menés dans les différentes disciplines. Ce numéro hors-série de la revue « Productions Animales » comprend 7 chapitres structurés autour des questions nouvelles que les chercheurs se sont attachés à résoudre : les animaux modèles, la caractérisation des souches et la nature de l’agent, la protéine prion cellulaire, la pathogénie des ESST, la variabilité de la résistance aux ESST et enfin l’épidémiologie et la lutte contre les ESST. En outre à la fin du numéro, figurent des annexes présentant successivement : la liste des publications scientifiques réalisées à partir des résultats obtenus, la liste des séminaires scientifiques organisés en interne, et enfin la liste des 18 projets scientifiques européens dans le domaine des ESST, impliquant des équipes INRA comme coordinateur ou comme partenaire, illustrant ainsi leur positionnement international.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Wu, Jianhong. "Possibilité d’intensification des efforts de dépistage et de recherche de contacts pour prévenir les nouvelles éclosions de COVID-19 attribuables à des variants plus transmissibles." Relevé des maladies transmissibles au Canada 47, no. 7/8 (July 8, 2021): 363–72. http://dx.doi.org/10.14745/ccdr.v47i78a06f.

Full text
Abstract:
Contexte : Lorsque les interventions de santé publique sont assouplies après plusieurs jours de baisse du nombre de cas de maladie à coronavirus 2019 (COVID-19), il est essentiel de déterminer les stratégies potentielles pour assouplir les restrictions tout en atténuant le risque d’une nouvelle vague de variants préoccupants plus transmissibles. Nous avons estimé les améliorations nécessaires aux interventions en santé publique pour une réouverture partielle de l’économie tout en évitant les pires conséquences d’une nouvelle éclosion, associées à des variants préoccupants plus transmissibles. Méthodes : Un modèle dynamique de transmission a été utilisé pour quantifier les conditions auxquelles les interventions de santé publique combinées doivent répondre pour rouvrir l’économie sans risque d’éclosion importante. Ces conditions sont celles qui maintiennent le taux de reproduction de contrôle en dessous de l’unité, tout en tenant compte d’une augmentation de la transmissibilité due aux variants préoccupants. Résultats : Il a été possible de déterminer des combinaisons de la proportion de personnes exposées au virus qui sont retracées et mises en quarantaine avant de devenir infectieuses, la proportion de personnes symptomatiques confirmée et isolée et les taux de contact quotidiens individuels nécessaires pour s’assurer que le taux de reproduction de contrôle demeure inférieur à l’unité. Conclusion : Notre analyse indique que le succès des mesures restrictives, notamment les décrets de confinement et les fermetures, offre une fenêtre d’opportunité étroite pour intensifier les efforts de détection des cas et de recherche des contacts afin d’empêcher une nouvelle vague associée à la circulation de variants préoccupants plus transmissibles, comme en témoigne la réduction du nombre de cas.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Sulimovic, Leslie, Isabelle Nicolas, and Maurice Corcos. "De l’expérience de l’homosexualité dans une maladie a-sexuellement transmissible : à partir de la rencontre clinique avec des adolescentes souffrant de troubles alimentaires." Perspectives Psy 58, no. 2 (April 2019): 127–34. http://dx.doi.org/10.1051/ppsy/2019582127.

Full text
Abstract:
La psychogenèse de l’homosexualité féminine et la psychopathologie des troubles des conduites alimentaires (TCA) présentent des similarités, notamment concernant la place du féminin. La sexualité des TCA est un point nodal de cette psychopathologie, particulièrement à l’adolescence, moment sensible d’après-coup de la mise en place de l’axe narcissico-objectal. Nous avons souhaité nous interroger sur l’homosexualité chez des adolescentes et jeunes adultes souffrant de troubles alimentaires, afin de dégager des pistes de réflexion tant sur ce choix d’objet que sur la psychopathologie des TCA. Nous avons pour cela fait passer des entretiens abordant spécifiquement des questions liées à l’histoire de leur sexualité, le vécu de leur féminité, les projections dans l’avenir et le lien entre orientation sexuelle et TCA. Nous avons pu observer que l’homosexualité pouvait être expliquée en lien avec la psychopathologie des TCA, dégageant une piste de réflexion sur l’interrelation entre ces deux entités, accordées par la volonté d’échapper à l’assignation à un genre. Au-delà d’une pathologie de l’axe narcissico-objectal et d’un refus de sexualité, nous y voyons déjà un refus du sexuel, mais aussi du sexe.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

ROSE, Nicolas, and Marie-Frédérique LE POTIER. "L’épizootie de Peste Porcine Africaine : virologie, épidémiologie et perspectives de contrôle." INRAE Productions Animales 33, no. 2 (September 15, 2020): 65–80. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2020.33.2.3857.

Full text
Abstract:
La Peste Porcine Africaine (PPA) est une maladie infectieuse émergente des suidés domestiques et sauvages. Cette maladie contagieuse entre suidés, non transmissible à l’Homme, est à l’origine d’un syndrome hémorragique souvent fatal chez les porcs domestiques et les sangliers. L'épizootie qui sévit actuellement en Europe et en Asie a débuté en Géorgie en 2007. La souche virale impliquée, très virulente, appartenant au génotype II, est très résistante dans les viandes et l’environnement. Toutes les souches isolées en Europe comme en Asie dérivent d’une même introduction, même si le virus a évolué vers des formes moins virulentes dans certaines populations de sangliers très localisées. Depuis la Géorgie, le virus s'est propagé dans tout le Caucase et la Fédération de Russie, puis en Ukraine et en Biélorussie en 2013. En janvier 2014, la PPA a atteint les frontières orientales de l'Union européenne et s’est propagée dans les trois États baltes et en Pologne très largement dans les populations de sangliers sauvages, alors que les foyers sporadiques chez les porcs domestiques ont été efficacement contrôlés. Les derniers pays touchés en Europe sont la République Tchèque, la Hongrie, la Moldavie, la Roumanie, la Bulgarie et dernièrement la Belgique (13/09/2018), la Serbie, la Slovaquie et la Grèce en 2020. En Chine, suite au premier cas déclaré le 3/08/18, le virus introduit vraisemblablement à partir de la Russie, donne lieu à une épizootie majeure principalement dans le réservoir domestique, totalement hors de contrôle, et qui s’est propagée aujourd’hui en Mongolie, et plusieurs pays d’Asie du Sud-Est, ainsi que récemment en Inde. L’Homme joue un rôle central en tant que facteur de propagation de par ses activités favorisant ainsi une progression par sauts, parfois sur de très longues distances. Aucun vaccin ou traitement n’est actuellement disponible, la seule méthode de lutte restant la prophylaxie sanitaire et la prévention de l’introduction dans des territoires indemnes comme la France.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Buguet, Alain, and Donatien Moukassa. "Environnement et maladies transmissibles au Congo : choléra et maladie du sommeil." Revue Neurologique 171 (April 2015): A177. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2015.01.400.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Fest, Th, F. Dumont-Girard, Ch Coffe, M. Deschaseaux, M. Lab, E. Racadot, and P. Hervé. "Maladie transmissible par le sang: peut-on, sans crainte de contamination, transfuser des produits sanguins séronégatifs pour le CMV mais porteurs du génome de ce virus?" La Revue de Médecine Interne 13, no. 7 (December 1992): S306. http://dx.doi.org/10.1016/s0248-8663(05)80893-8.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
11

Chaine, B., and M. Janier. "Maladies sexuellement transmissibles. Maladies vénériennes." EMC - Traité de médecine AKOS 4, no. 4 (January 2009): 1–9. http://dx.doi.org/10.1016/s1634-6939(09)51460-3.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
12

Comoy, E. E., N. Jaffré, J. Mikol, V. Durand, S. Luccantoni-Freire, E. Correia, C. Jas-Duval, et al. "Induction d’une maladie neurologique transmissible sans accumulation de protéine du prion chez des primates inoculés avec des dérivés sanguins contaminés : un nouveau risque transfusionnel lié aux prions ?" Transfusion Clinique et Biologique 20, no. 3 (June 2013): 267. http://dx.doi.org/10.1016/j.tracli.2013.04.052.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
13

Soutoul, J. H. "Conduite à tenir devant une maladie sexuellement transmissible chez les mineurs de moins de 15 ans. Identification d'un sévice sexuel chez un mineur et conduite à tenir en urgence." Médecine et Maladies Infectieuses 24, no. 4 (April 1994): 441–43. http://dx.doi.org/10.1016/s0399-077x(05)80457-3.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
14

Tissot Dupont, H. "Tiques et maladies transmissibles." Médecine et Maladies Infectieuses 24, no. 3 (March 1994): 225–26. http://dx.doi.org/10.1016/s0399-077x(05)80558-x.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
15

Pariente, Alexandre. "Maladies sexuellement transmissibles anorectales." EMC - Traité de médecine AKOS 1, no. 1 (January 2006): 1–2. http://dx.doi.org/10.1016/s1634-6939(06)75390-x.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
16

Aynaud, Olivier, and Nicolas Dupin. "Maladies sexuellement transmissibles chez l'homme." EMC - Urologie 1, no. 1 (January 2008): 1–16. http://dx.doi.org/10.1016/s1762-0953(06)75048-8.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
17

Piot, P. "Maladies sexuellement transmissibles et antibiothérapie." Médecine et Maladies Infectieuses 16, no. 11 (November 1986): 697–99. http://dx.doi.org/10.1016/s0399-077x(86)80010-5.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
18

Martet, Gérard, and Philippe Normand. "Maladies sexuellement transmissibles et voyages." Revue Française des Laboratoires 2000, no. 321 (March 2000): 19–24. http://dx.doi.org/10.1016/s0338-9898(00)80429-1.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
19

Mille, C. "Groupes d’anorexiques, groupes de parents : penser le trouble ensemble et autrement ?" European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S97—S98. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.410.

Full text
Abstract:
Divers dispositifs d’accompagnement des patient(e)s anorexiques et de leurs familles sont proposés par les équipes de soins. Les groupes de parents et les thérapies familiales sont les plus courants, les groupes de patient(e)s sont moins répandus mais depuis quelques années ont été mis en place des groupes multifamiliaux associant plusieurs familles et plusieurs patient(e)s à des fréquences variées. Nous tenterons de rendre compte d’un « montage » peu décrit dans la littérature que nous avons mis en place au CHU d’Amiens depuis quelques années : un groupe de parents et un groupe d’adolescents anorexiques sont ainsi réunis successivement et alternativement un samedi matin par mois avec un même thérapeute qui assure un rôle de « go-between », mais aussi de facilitateur de pensée du trouble. Les notes prises dans l’après-coup des rencontres offrent un matériau permettant de mettre en valeur les axes de réflexion qui circulent dans chaque groupe et d’un groupe à l’autre à la demande des participants. Les adolescent(e)s reprennent certes à leur compte les stéréotypes largement utilisés pour caractériser leurs symptômes, mais parviennent secondairement à forger d’autres représentations plus inédites ou moins « avouables » du piège anorexique. Ils/elles souhaitent que leurs parents prennent conscience de leur accrochage nostalgique à l’enfance et de leur propension excessive à répondre aux attentes de leurs proches venant faire obstacle à leurs revendications adolescentes. Par contre, l’évocation de la fierté tirée de leur volonté inflexible et de la poursuite d’un idéal de minceur auquel les autres ne parviennent pas à accéder est plus difficilement transmissible. Les parents se soutiennent mutuellement, font d’abord état du bouleversement survenu dans la vie familiale depuis l’éclosion de cette maladie qui leur semble venue de nulle part, avant de pouvoir questionner timidement leurs principes éducatifs, leurs propres adolescences sans vagues, voire même le culte de l’esprit de famille et la position sacrificielle qu’il implique.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
20

Pitche, P. "Maladies Sexuellement Transmissibles ou Infections Sexuellement Transmissibles ? MST ou IST ?" Annales de Dermatologie et de Vénéréologie 131, no. 11 (November 2004): 1025–27. http://dx.doi.org/10.1016/s0151-9638(04)93827-6.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
21

Tzeuton, C. "Maladies sexuellement transmissibles en proctologie (Infections sexuellement transmissibles en proctologie)." Journal Africain d’Hépato-Gastroentérologie 1, no. 1 (April 2007): 25–27. http://dx.doi.org/10.1007/s12157-007-0007-8.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
22

Judlin, Philippe G. "les maladies sexuellement transmissibles de l'adolescente." Journal de Pédiatrie et de Puériculture 14, no. 3 (May 2001): 145–51. http://dx.doi.org/10.1016/s0987-7983(01)80056-6.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
23

Dubois, Gérard. "Maladies chroniques non transmissibles : prévention internationale." Bulletin de l'Académie Nationale de Médecine 202, no. 7 (September 2018): 1371–73. http://dx.doi.org/10.1016/s0001-4079(19)30202-x.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
24

Vieu, J. F. "Epidémiologie des maladies transmissibles et information." Médecine et Maladies Infectieuses 15, no. 12 (December 1985): 726–30. http://dx.doi.org/10.1016/s0399-077x(85)80321-8.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
25

Brandel, J. P., and S. Haïk. "Maladies à prions ou encéphalopathies spongiformes transmissibles." EMC - Neurologie 6, no. 1 (January 2009): 1–22. http://dx.doi.org/10.1016/s0246-0378(09)43811-9.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
26

SARRADIN, P., and H. LAUDE. "Diversité des souches d’Encéphalopathie Spongiforme Transmissible chez les ruminants : enjeux, bilan et perspectives." INRAE Productions Animales 17, HS (December 19, 2004): 13–20. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.hs.3617.

Full text
Abstract:
Les Encéphalopathies Spongiformes Transmissibles (EST) ou maladies à prion se caractérisent par l’accumulation dans le tissu nerveux d’une forme anormalement repliée d’une protéine cellulaire de l’hôte, la PrPc. Cette isoforme anormale, ou PrPsc, supposée responsable des désordres neurodégénératifs observés, est aussi assimilée par de nombreux auteurs à l’agent transmissible lui-même, lequel serait alors dépourvu de génome et se propagerait de manière épigénétique. Un phénomène au coeur des recherches sur les EST est l’existence de variants phénotypiques, ou souches. Les souches de prions peuvent être différenciées entre elles sur une base biologique, par la nature des manifestations anatomo-pathologiques engendrées lors de leur propagation chez un même hôte, en particulier une lignée pure de souris, et sur une base biochimique, par le profil moléculaire de la PrPsc présente dans le cerveau des individus atteints. Le déterminisme biologique et moléculaire de cette diversité et la dynamique évolutive qu’elle suggère demeurent largement incompris. De ce fait, la caractérisation des souches qui infectent les espèces naturellement atteintes par les EST constitue une tâche relativement ardue, au demeurant essentielle à la compréhension de l’épidémiologie de ces maladies, à leur contrôle sur le terrain et à la protection de la santé humaine. Les recherches menées à l’INRA visent à documenter la diversité des souches d’EST chez les petits ruminants par typage des isolats de tremblante naturelle, et à mieux comprendre le déterminisme de cette diversité. Elles ont également pour objectif l’amélioration des méthodes actuelles de typage en termes de rapidité et de fiabilité, notamment à travers le développement de souris transgéniques plus réceptives à la transmission que les souris conventionnelles.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
27

Cedef. "Item 95 – Maladies sexuellement transmissibles : infections urogénitales à gonocoque et Chlamydia trachomatis (en dehors de la maladie de Nicolas-Favre)." Annales de Dermatologie et de Vénéréologie 139, no. 11 (October 2012): A57—A61. http://dx.doi.org/10.1016/j.annder.2012.01.007.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
28

Abraham, S., L. Toutous-Trellu, M. Pechere, S. Hugonnet, N. Liassine, S. Yerly, P. Rohner, et al. "P239 - Recrudescence des maladies sexuellement transmissibles à Genève." Annales de Dermatologie et de Vénéréologie 132 (October 2005): 217–18. http://dx.doi.org/10.1016/s0151-9638(05)79968-3.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
29

Felix, H., and R. Pradinaud. "Céphalosporines de troisième génération et maladies sexuellement transmissibles." Médecine et Maladies Infectieuses 16, no. 4 (April 1986): 263–66. http://dx.doi.org/10.1016/s0399-077x(86)80088-9.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
30

Morel, P. "Vers une antibiothérapie raccourcie des maladies sexuellement transmissibles." Médecine et Maladies Infectieuses 17, no. 12 (December 1987): 788–89. http://dx.doi.org/10.1016/s0399-077x(87)80122-1.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
31

Giles, Wayne H. "Prévenir les maladies non-transmissibles en Afrique subsaharienne." Global Health Promotion 17, no. 2_suppl (June 2010): 53–56. http://dx.doi.org/10.1177/1757975910363950.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
32

Dormont, D. "Encéphalopathies subaiguës spongiformes transmissibles ou maladies à prions." EMC - Maladies Infectieuses 1, no. 2 (May 2004): 99–127. http://dx.doi.org/10.1016/j.emcmi.2004.03.001.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
33

ELSEN, J. M., and J. M. AYNAUD. "Numéro hors série, 2004, Encéphalopathies spongiformes transmissibles animales - Annexes." INRAE Productions Animales 17, HS (December 20, 2004): 123–32. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.hs.3638.

Full text
Abstract:
ANNEXE N°1 - Liste des publications scientifiques réalisées par les équipes INRA engagées dans des projets sur les maladies à prions ANNEXE N°2 - Bilan de l’animation scientifique et de la coordination des recherches mises en place à l’INRA depuis 1990 ANNEXE N°3 - Recherches menées en collaboration au sein de l’union européenne : liste des 18 projets européens dans le domaine des EST animales impliquant l’INRA comme coordinateur ou comme partenaire.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
34

Weber, Mark C. "IMMIGRATION AND DISABILITY IN THE UNITED STATES AND CANADA." Windsor Yearbook of Access to Justice 32, no. 2 (October 1, 2015): 19. http://dx.doi.org/10.22329/wyaj.v32i2.4680.

Full text
Abstract:
Disability arises from the dynamic between people’s physical and mental conditions and the physical and attitudinal barriers in the environment. Applying this idea about disability to United States and Canadian immigration law draws attention to barriers to entry and eventual citizenship for individuals who have disabilities. Historically, North American law excluded many classes of immigrants, including those with intellectual disabilities, mental illness, physical defects, and conditions likely to cause dependency. Though exclusions for individuals likely to draw excessive public resources and those with communicable diseases still exist in Canada and the United States, in recent years the United States permitted legalization for severely disabled undocumented immigrants already in the country, and both countries abolished most exclusions from entry for immigrants with specific disabling conditions. Liberalization also occurred with regard to U.S. naturalization requirements. Challenges continue, however. Under U.S. law, vast discretion remains with regard to the likely-public-charge exclusion, because consular officers abroad decide unilaterally whether to issue immigrant visas. Moreover, conduct related to mental disability, including petty criminality, can result in removal from the United States, and individuals with mental disabilities have only modest safeguards in removal proceedings. In Canada, families who have children with disabilities find themselves excluded from legal status because of supposed excessive demands on public resources, although an individual’s disability may provide grounds for avoiding removal in certain cases. The relaxation of some immigration exclusions in Canada and the U.S. and of some U.S. requirements for citizenship illustrates a significant, though conspicuously incomplete, removal of disability-related barriers in North American law and society. Le handicap découle de la dynamique entre les aptitudes physiques et mentales d’une personne et les obstacles physiques et comportementaux du milieu. L’application de cette perception du handicap au droit canadien et américain de l’immigration met en relief les obstacles à l’entrée et à l’obtention éventuelle de la citoyenneté pour les personnes handicapées. Dans le passé, le droit nord-américain a exclu de nombreuses catégories d’immigrants, notamment les personnes ayant une déficience physique ou intellectuelle ou une maladie mentale et les personnes affligées d’une condition pouvant mener à la dépendance. Bien que des exclusions soient encore en vigueur au Canada et aux États-Unis dans le cas des personnes qui risquent d’entraîner un fardeau excessif pour le secteur public et des personnes souffrant d’une maladie transmissible, au cours des dernières années, les États-Unis ont autorisé des immigrants sans papier gravement handicapés qui étaient déjà au pays à légaliser leur situation; de plus, les deux pays ont aboli la plupart des exclusions relatives aux immigrants souffrant de certaines affections incapacitantes. Les exigences américaines en matière de naturalisation ont également été assouplies. Cependant, de nombreuses difficultés subsistent. En droit américain, les autorités conservent un large pouvoir discrétionnaire en ce qui concerne l’exclusion des personnes susceptibles de représenter un fardeau pour le secteur public, car ce sont les agents consulaires en poste à l’étranger qui déterminent unilatéralement s’il y a lieu de délivrer ou non les visas d’immigrant. De plus, les comportements liés à une incapacité mentale, y compris les délits mineurs, peuvent entraîner le renvoi des États-Unis et les personnes souffrant d’une incapacité mentale ne disposent que de moyens de protection modestes dans les procédures de renvoi. Au Canada, les familles ayant des enfants handicapés sont exclues, en raison du fardeau excessif qu’elles risquent d’entraîner pour le secteur public, bien qu’il soit possible d’invoquer le handicap d’une personne pour éviter le renvoi dans certains cas. L’assouplissement de certaines règles d’exclusion au Canada et aux États-Unis ainsi que des exigences américaines en matière de citoyenneté témoigne d’un progrès important sur la voie de l’élimination des obstacles liés aux handicaps dans le droit et la société nord-américains, mais il reste encore beaucoup à faire dans ce domaine.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
35

Halimi, Serge. "La COVID-19 : un virus qui réduit les frontières entre maladies transmissibles et non transmissibles." Médecine des Maladies Métaboliques 14, no. 5 (September 2020): 375–77. http://dx.doi.org/10.1016/j.mmm.2020.05.008.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
36

Degrémont, Antoine. "Maladies transmissibles, systèmes de santé et aide humanitaire en Afrique." Revue Internationale de la Croix-Rouge 76, no. 808 (August 1994): 397–405. http://dx.doi.org/10.1017/s0035336100090201.

Full text
Abstract:
Où en sommes-nous, quelles leçons tirer et quelles stratégies adopter en matière de contrôle des maladies transmissibles? Ceci, quinze ans environ après deux événements majeurs dans le développement de la santé: la Déclaration d'Alma Ata sur les soins de santé primaires et la découverte du dernier cas mondial de variole. Telles sont les questions auxquelles nous nous efforcerons de répondre dans cet article, sur la base de l'expérience de l'Institut Tropical Suisse en Afrique.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
37

Biraben, Jean-Noël, and Jean-Noel Biraben. "Le rôle des maladies sexuellement transmissibles en démographie historique." Population (French Edition) 51, no. 4/5 (July 1996): 1041. http://dx.doi.org/10.2307/1534365.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
38

PASTORET, P.-P., E. THIRY, B. BROCHIER, A. SCHWERS, I. THOMAS, and J. DUBUISSON. "Maladies de la faune sauvage transmissibles aux animaux domestiques." Revue Scientifique et Technique de l'OIE 7, no. 4 (December 1, 1988): 661–771. http://dx.doi.org/10.20506/rst.7.4.382.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
39

Dormont, D. "Les encéphalopathies subaiguës spongiformes transmissibles ou maladies à prions." Médecine et Maladies Infectieuses 31 (March 2001): 288–97. http://dx.doi.org/10.1016/s0399-077x(01)80069-x.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
40

Delasnerie-Lauprêtre, N. "Epidémiologie des maladies humaines à agents transmissibles non conventionnels." Transfusion Clinique et Biologique 1, no. 5 (January 1994): 339–43. http://dx.doi.org/10.1016/s1246-7820(06)80015-7.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
41

CEDEF. "Item 95 – Maladies sexuellement transmissibles : syphilis primaire et secondaire." Annales de Dermatologie et de Vénéréologie 139, no. 11 (October 2012): A62—A68. http://dx.doi.org/10.1016/j.annder.2012.01.008.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
42

Dormont, Dominique. "Les maladies à agents transmissibles non conventionnels ou prions." Annales de l'Institut Pasteur / Actualités 6, no. 2 (January 1995): 130–42. http://dx.doi.org/10.1016/0924-4204(96)83616-x.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
43

Janier, M. "Recommandations diagnostiques et thérapeutiques pour les maladies sexuellement transmissibles." Annales de Dermatologie et de Vénéréologie 143, no. 11 (November 2016): 701–2. http://dx.doi.org/10.1016/j.annder.2016.09.001.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
44

Payment, P., and P. Hartemann. "Les contaminants de l'eau et leurs effets sur la santé." Revue des sciences de l'eau 11 (April 12, 2005): 199–210. http://dx.doi.org/10.7202/705338ar.

Full text
Abstract:
La transmission des maladies par la voie hydrique est sous contrôle dans la majorité des pays industrialisés. Malgré tout des maladies épidémiques ou endémiques sont encore observées. Plusieurs microorganismes sont en émergence, et Cryptosporidium a été impliqué dans des épidémies importantes dans plusieurs pays. Le conrôle de ces maladies transmissibles par la voie hydrique requiert des autorités des nouvelles approches qui allient le contrôle des risques de cancer dûs aux sous-produits de la désinfection au contrôle des micro-organismes les plus résistants . Aux Etats-Unis, l'objectif proposé est l'absence de microorganismes dans l'eau potable. Cet objectif ne peut être contrôlé par les indicateurs usuels et l'on recommande donc un niveau de traitement équivalent. Le traitement est alors contrôlé en temps réel par des moyens physico-chimiques tels la turbidité ou la mesure des particules, et un contrôle a posteriori par de nouveaux indicateurs telles les spores des bactéries sporulantes aérobies. Le vieillissement des installations, des populations immunocompromises et une urbanisation grandissante sont autant de causes de l'émergence de nouvelles maladies infectieuses dont certaines transmissibles par la voie hydrique. La proportion des maladies gastro-intestinales qui est attribuable à l'eau de consommation est encore très grande et elle contribue à maintenir ces infections en circulation dans la population. Le dilemme du contrôle des risques de cancer dus aux sous-produits de la désinfection ne doit pas conduire à une réduction de l'efficacité des traitements, car le niveau de risque à partir duquel ont été fixées les concentrations maximales admissibles de ces sous-produits dans l'eau (10-6 cas de cancer par vie entière d'exposition) est bien plus faible que celui de contracter une maladie infectieuse d'origine hydrique en absence de traitement adéquat. La situation en matière de pathologies induites par la consommation d'eau est extrêmement contrastée selon les pays. En effet la transmission de maladies infectieuses par la voie hydrique a été maîtrisée dans la plupart des pays industrialisés par la mise en place d'installations de traitement et d'un contrôle sanitaire s'appuyant sur une réglementation abondante. A l'opposé la situation des pays en voie de développement reste souvent très mauvaise dans ce domaine et l'Organisation Mondiale de Santé estime que 1,5 milliards d'habitants ne disposent pas encore d'eau potable dont cent millions en Europe et que 30 000 morts journalières sont dues à l'absence d'une eau en quantité et qualité satisfaisantes (Ford et Colwell 1996). En revanche les pays développés voient la qualité chimique des eaux distribuées de plus en plus souvent mise en cause par les associations de consommateurs. Outre le progrès très rapide des techniques analytiques qui permet de découvrir la présence de traces dont on ne soupçonnait guère la présence dans l'eau du robinet, la pollution croissante de la ressource, les traitements de désinfection et le contact avec les matériaux des réseaux de distribution apportent des molécules dont la toxicité à moyen et long terme mérite d'être évaluée. La mise en oeuvre de traitements de désinfection dont l'utilité est indiscutable et l'effet sur la morbidité et la mortalité par pathologie infectieuse chez des populations desservies parfaitement significatif, s'accompagne de la formation de sous-produits. Certains de ceux-ci étant cancérigènes et/ou mutagènes en expérimentation de laboratoire et des études épidémiologiques ayant pu montrer une légère augmentation du risque de cancer dans la population, l'impact médiatique de cette information peut conduire à une mauvaise appréciation dans la gestion des risques pour la santé. Ainsi l'arrêt de la chloration pour éviter la formation de sous produits et quelques cas de cancers aurait conduit un pays d'Amérique du Sud a enregistrer une importante épidémie de choléra et des centaines de décès. Il n'est pas facile de gérer ce paradoxe entre sophistication du traitement lié à la pollution de la ressource entraînant la présence de sous produits de désinfection et la persistance d'éléments traces et de divers microorganismes dans une eau de qualité conforme aux critères de potabilité mais que le consommateur ne veut plus consommer. Dans cet article nous tenterons de faire le point sur le risque hydrique pour la santé lié d'une part aux contaminants biologiques et d'autre part aux contaminants chimiques. Sa meilleure connaissance est la clef d'une stratégie de gestion efficace et d'une reconquête du consommateur que la publicité a trop tendance à orienter vers les eaux embouteillées.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
45

Soucat, Agnès. "Aide et santé : commentaires. Ce que les maladies transmissibles transmettent." Revue d'économie du développement 13, no. 2 (2005): 175. http://dx.doi.org/10.3917/edd.192.0175.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
46

Estèbe, JP. "Anesthésie et agents transmissibles non conventionnels (ou maladies à prions)." Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation 16, no. 8 (December 1997): 955–63. http://dx.doi.org/10.1016/s0750-7658(97)82144-2.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
47

Bourgeade, A., and M. Danis. "Les maladies transmissibles dans les pays en développement en 1993." Médecine et Maladies Infectieuses 24, no. 1 (January 1994): 21–28. http://dx.doi.org/10.1016/s0399-077x(05)80201-x.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
48

Diener, A., and J. Dugas. "Fardeau économique des maladies transmissibles lié aux inégalités au Canada." Relevé des maladies transmissibles au Canada 42, S1 (February 18, 2016): S1–8—S1–15. http://dx.doi.org/10.14745/ccdr.v42is1a02f.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
49

Shilton, Trevor, and Graham Robertson. "Battre les maladies non transmissibles de manière équitable – soyons sérieux." Global Health Promotion 25, no. 3 (September 2018): 78–80. http://dx.doi.org/10.1177/1757975918797834.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
50

VILOTTE, J. L. "Variabilité génétique de la résistance aux Encéphalopathies Spongiformes Transmissibles chez l’animal." INRAE Productions Animales 17, HS (December 20, 2004): 61–66. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.hs.3629.

Full text
Abstract:
L’influence du polymorphisme au locus Prnp sur la sensibilité des animaux aux Encéphalopathies Spongiformes Transmissibles (EST) est très bien documentée pour l’espèce ovine, avec la mise en évidence d’allèles associés à une plus grande sensibilité des animaux aux EST ou au contraire à une plus grande résistance. Cela a résulté dans la mise en place de nouvelles stratégies de sélection afin de diminuer l’incidence de cette maladie chez cette espèce. Chez d’autres espèces, des études sont en cours, notamment chez la chèvre où plusieurs allèles du gène Prnp ont été trouvés. En dehors du locus Prnp, d’autres facteurs génétiques influencent la sensibilité des animaux. Le développement des études de cartographie du génome des animaux de ferme a permis la recherche de QTL (Locus agissant sur un caractère quantitatif). Cela a conduit à la mise en évidence de gènes influençant la sensibilité des animaux aux EST, autres que Prnp, chez les bovins et les ovins, ainsi que chez la souris, même si l’identification et la validation des gènes concernés restent à déterminer.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography