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Journal articles on the topic 'Maladies infectieuses – Transmission – Guyane'

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Puyhardy, Jean, and Anne-Marie Bourre-Puyhardy. "Les maladies infectieuses à transmission vectorielle." L'Aide-Soignante 31, no. 186 (April 2017): 12–13. http://dx.doi.org/10.1016/j.aidsoi.2017.02.002.

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2

Janot, C., and F. Streiff. "Reconsidération du risque de transmission de maladies infectieuses par la transfusion sanguine." Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation 8, no. 3 (January 1989): 199–203. http://dx.doi.org/10.1016/s0750-7658(89)80104-2.

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3

RENAULT, T., and B. GUICHARD. "Facteurs de risque d’apparition et d’émergence des maladies infectieuses en aquaculture." INRAE Productions Animales 20, no. 3 (September 7, 2007): 219–22. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2007.20.3.3459.

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Abstract:
Au cours des dernières années, l’augmentation de la production aquacole et du nombre d’espèces aquatiques élevées au niveau mondial s’est accompagnée d’une augmentation du nombre et de la répartition des maladies infectieuses. En 2002-2003, 62 cas d’émergence de ma-ladies infectieuses chez des animaux aquatiques ont été rapportés, les deux tiers en élevage, principalement en Europe et en Amérique du Nord. Une maladie est dite émergente quand son incidence augmente significativement pour une population, un lieu et une période donnés. Pour émerger, une maladie doit d’abord être introduite dans une zone ou une population indemne, et les animaux être exposés à des facteurs favorisants sa transmission. Les risques d’introduction de nouvelles maladies sont principalement associés aux mouvements d’animaux infectés (sauvage ou d’élevage, vivants ou morts), au matériel d’élevage ou à des milieux de transport contaminés, à l’évolution des agents pathogènes eux-mêmes, et à des facteurs environnementaux : réservoirs sauvages, polluants, changements climatiques. Les facteurs d’exposition permettant l’émergence d’une maladie après son introduction sont liés aux conditions d’élevage, à l’épidémiologie des différentes maladies et aux mouvements d’eau et d’animaux sauvages.
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4

MEDALE, F., and C. MICHEL. "Deuxième partie : Épidémiologie et modélisation des maladies infectieuses aquacoles." INRAE Productions Animales 20, no. 3 (September 7, 2007): 217. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2007.20.3.3458.

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Abstract:
Les moteurs de l'évolution des agents pathogènes, qu'il s'agisse des espèces sensibles, des vecteurs animaux ou des effets environnementaux incluant la pollution et le réchauffement climatique sont difficiles à appréhender. Il est donc important de générer des connaissances sur l’épidémiologie des maladies infectieuses aquacoles pour lesquelles il est difficile de contrôler le milieu d'élevage. Les connaissances épidémiologiques ainsi acquises peuvent alimenter des modèles dynamiques de transmission de ces maladies. Un premier article (Renault et al) présente les facteurs de risques d’apparition et d’émergence des maladies en aquaculture. Il souligne l’importance de générer des données pour améliorer la connaissance des facteurs d’épidémiologie descriptive impliqués dans l’apparition et la diffusion de maladies dues à des agents infectieux, en s’intéressant notamment aux interactions entre l’hôte, l’agent pathogène et l’environnement. Dans ce cadre, le développement d’études portant sur les effets de polluants et de facteurs physico-chimiques liés aux changements globaux chez différentes espèces d’intérêt aquacole est considéré comme une priorité. Un second article (Thébault et al) décrit l’intérêt potentiel de la modélisation pour l’étude de maladies infectieuses chez les poissons et les mollusques. La formulation précise des questions posées par une maladie infectieuse ouvre la voie à des formes de modélisation dynamique intégrant les caractéristiques de population de l'agent pathogène et les effets des actions de maîtrise éventuellement mises en œuvre. Parmi les retombées utiles de la modélisation, figurent l'évaluation anticipée des mesures de contrôle et l'identification en continu des lacunes pouvant subsister dans un corpus de données. Le manque de données issues aussi bien du terrain que de l'expérimentation est le principal frein au développement de tels modèles en infectiologie aquacole. Il ne faut évidemment pas attendre de la modélisation plus qu'elle ne peut donner. Néanmoins, l’expérience des élevages terrestres montre que la modélisation peut parfois contribuer à quelques améliorations, notamment en termes de gestion de la santé des élevages au quotidien ou d’aide à la décision.
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5

LANCELOT, R., E. ZUNDEL, and C. DUCROT. "Spécificités de la santé animale en régions chaudes : le cas des maladies infectieuses majeures en Afrique." INRAE Productions Animales 24, no. 1 (March 4, 2011): 65–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.1.3237.

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Abstract:
Les spécificités de la santé animale en Afrique, exemple de zone à régions chaudes, tiennent à la fois aux caractéristiques climatiques et environnementales, aux systèmes d’élevage extensifs et à la mobilité animale (transhumance, commerce), ainsi qu’au contexte socio-économique difficile, avec des services vétérinaires disposant de moyens insuffisants. Les conditions d’élevage et la mobilité animale contribuent à la diffusion de maladies à transmission directe, comme la péripneumonie contagieuse bovine ou la peste des petits ruminants. L’environnement conditionne la biologie des vecteurs (insectes, tiques), donc la diffusion de maladies à transmission vectorielle. Certaines sont spécifiques à l’Afrique, comme les trypanosomoses humaines et animales. D’autres, comme la fièvre de la Vallée du Rift, dont le virus causal est transmis par de nombreuses espèces de moustiques, sont en pleine émergence. Elles sont susceptibles de coloniser d’autres écosystèmes via le commerce de bétail : ainsi cette maladie a été introduite sur la péninsule arabique et s’y est installée. La fragilité socio-économique de l’Afrique la rend plus vulnérable que les autres continents aux émergences de maladies animales, ensuite potentiellement exportables, liées aux changements climatiques et environnementaux, à l’accroissement démographique et à l’intensification des échanges internationaux et des voyages. L’amélioration de la situation sanitaire passe par la définition et la mise en œuvre au plan régional, avec une coordination continentale et internationale, d’une stratégie de lutte intégrée ; elle devrait s’appuyer sur des réseaux de surveillance et de recherche afin de mieux apprécier les évolutions épidémiologiques, et de disposer d’outils de diagnostic et de contrôle (vaccins, insecticides…) plus efficaces.
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6

Simard, Frédéric. "La lutte contre les vecteurs : quel avenir ?" Biologie Aujourd'hui 212, no. 3-4 (2018): 137–45. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2019006.

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Abstract:
La lutte contre les vecteurs est un élément essentiel de la prévention contre les maladies infectieuses à transmission vectorielle qui constituent encore et toujours une menace sanitaire mondiale. La lutte contre les moustiques vecteurs, essentiellement basée sur l’utilisation d’insecticides chimiques, est emblématique des succès, des échecs et des enjeux auxquels est aujourd’hui confrontée la recherche pour préparer le futur de la lutte antivectorielle. Au travers d’exemples concrets de recherches en cours, cet article donne un aperçu des innovations scientifiques et technologiques qui sont mobilisées pour relever les défis multiples d’une gestion intégrée des vecteurs, adaptée aux contextes épidémiologiques variés et dynamiques d’un monde en évolution rapide.
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7

Martins, Nelson Eduardo, Roenick Proveti Olmo, Eric Roberto Guimarães Rocha Aguiar, João Trindade Marques, and Jean-Luc Imler. "Les insectes : un fantastique réservoir de virus et de gènes antiviraux." Biologie Aujourd'hui 212, no. 3-4 (2018): 101–6. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2019008.

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Abstract:
Les insectes forment le groupe d’animaux qui présente la plus grande diversité. Des travaux récents de métagénomique montrent qu’ils peuvent être infectés par une diversité extraordinaire de virus. Parmi eux, les arbovirus (arthropod-borne viruses) peuvent être transmis à l’Homme par les insectes hématophages, notamment les moustiques. Le séquençage à haut débit des petits ARN des insectes fournit des informations sur leur virome, un paramètre qui pourrait contribuer à expliquer la dynamique de la transmission des maladies infectieuses par des insectes vecteurs. D’autre part, la caractérisation des mécanismes qui restreignent les infections virales chez les insectes révèle des innovations génétiques qui pourraient à terme inspirer de nouvelles stratégies antivirales.
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Dubois-Arber, F. "Revue de la littérature internationale : quel rapport bénéfice/risque en santé publique des salles d’injection à moindre risque ?" European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 4. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.009.

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Abstract:
IntroductionLes salles d’injection (SI) à moindre risque ont été mises en place dès 1986 dans quelques pays européens et en Australie, plus tard au Canada. Elles poursuivent plusieurs objectifs : atteindre les usagers particulièrement vulnérables, réduire les risques, la morbidité et la mortalité liés à l’injection de drogues et faciliter l’accès aux soins. Ces dispositifs ont donné lieu à des débats nourris et ont fait l’objet de recherche et d’évaluation, qui permettent une analyse critique de la situation. MethodsRevue de la littérature centrée sur les bénéfices et les effets indésirables possibles des SI dans plusieurs domaines de la santé publique : pratique de l’injection, risques infectieux liés à l’injection, nuisances pour la société (injection dans l’espace public, délinquance liée à la drogue). RésultatsLa revue a mis en évidence les éléments suivants. Les SI sont capables d’attirer les populations ciblées. Elles ne conduisent pas à une augmentation du nombre de personnes qui s’injectent ou du nombre d’injections pratiquées. Elles permettent une amélioration de l’hygiène de l’injection, une meilleure sécurité et une diminution des pratiques à risque de transmission de maladies infectieuses rapportées par les usagers. Les difficultés méthodologiques pour effectuer des études de type essai randomisé dans ces milieux ne permettent pas d’affirmer avec certitude une diminution de l’incidence ou de la prévalence des maladies infectieuses attribuable spécifiquement aux SI, mais les comportements observés et rapportés vont dans ce sens. L’injection dans les lieux publics diminue et il n’y a pas d’augmentation de la délinquance liée à la drogue. ConclusionL’évidence disponible, même incomplète, permet d’affirmer que les principales craintes à l’égard des SI ne sont pas fondées et que celles-ci peuvent apporter des bénéfices en termes de santé publique.
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Castro, Arachu, and Paul Farmer. "Violence structurelle, mondialisation et tuberculose multirésistante." Anthropologie et Sociétés 27, no. 2 (February 2, 2004): 23–40. http://dx.doi.org/10.7202/007444ar.

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Abstract:
Résumé Plus de cinquante ans après l’introduction de la chimiothérapie comme traitement de la tuberculose, deux millions de personnes meurent de cette maladie tous les ans et 8,4 millions de nouveaux cas sont rapportés ; la tuberculose, en incluant ses formes multirésistantes, demeure parmi les maladies infectieuses guérissables celle qui fait le plus de victimes. Pourquoi les médi-caments qui permettraient d’arrêter ou de ralentir ces épidémies ne sont-ils pas disponibles là où on a le plus besoin? Pour répondre à cette question, nous explorons l’expérience de vie d’une famille haïtienne ainsi que les contextes sociaux dans lesquels les malades s’infectent, tombent malades et rencontrent toute une série d’aventures thérapeutiques qui mènent à plus de compli-cations, à une transmission croissante à d’autres personnes et, trop souvent, à la mort. Nous analysons aussi comment ces trajectoires sont le résultat de la violence structurelle et des inégalités sociales renforcées par la mondialisation.
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Payment, P., and P. Hartemann. "Les contaminants de l'eau et leurs effets sur la santé." Revue des sciences de l'eau 11 (April 12, 2005): 199–210. http://dx.doi.org/10.7202/705338ar.

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Abstract:
La transmission des maladies par la voie hydrique est sous contrôle dans la majorité des pays industrialisés. Malgré tout des maladies épidémiques ou endémiques sont encore observées. Plusieurs microorganismes sont en émergence, et Cryptosporidium a été impliqué dans des épidémies importantes dans plusieurs pays. Le conrôle de ces maladies transmissibles par la voie hydrique requiert des autorités des nouvelles approches qui allient le contrôle des risques de cancer dûs aux sous-produits de la désinfection au contrôle des micro-organismes les plus résistants . Aux Etats-Unis, l'objectif proposé est l'absence de microorganismes dans l'eau potable. Cet objectif ne peut être contrôlé par les indicateurs usuels et l'on recommande donc un niveau de traitement équivalent. Le traitement est alors contrôlé en temps réel par des moyens physico-chimiques tels la turbidité ou la mesure des particules, et un contrôle a posteriori par de nouveaux indicateurs telles les spores des bactéries sporulantes aérobies. Le vieillissement des installations, des populations immunocompromises et une urbanisation grandissante sont autant de causes de l'émergence de nouvelles maladies infectieuses dont certaines transmissibles par la voie hydrique. La proportion des maladies gastro-intestinales qui est attribuable à l'eau de consommation est encore très grande et elle contribue à maintenir ces infections en circulation dans la population. Le dilemme du contrôle des risques de cancer dus aux sous-produits de la désinfection ne doit pas conduire à une réduction de l'efficacité des traitements, car le niveau de risque à partir duquel ont été fixées les concentrations maximales admissibles de ces sous-produits dans l'eau (10-6 cas de cancer par vie entière d'exposition) est bien plus faible que celui de contracter une maladie infectieuse d'origine hydrique en absence de traitement adéquat. La situation en matière de pathologies induites par la consommation d'eau est extrêmement contrastée selon les pays. En effet la transmission de maladies infectieuses par la voie hydrique a été maîtrisée dans la plupart des pays industrialisés par la mise en place d'installations de traitement et d'un contrôle sanitaire s'appuyant sur une réglementation abondante. A l'opposé la situation des pays en voie de développement reste souvent très mauvaise dans ce domaine et l'Organisation Mondiale de Santé estime que 1,5 milliards d'habitants ne disposent pas encore d'eau potable dont cent millions en Europe et que 30 000 morts journalières sont dues à l'absence d'une eau en quantité et qualité satisfaisantes (Ford et Colwell 1996). En revanche les pays développés voient la qualité chimique des eaux distribuées de plus en plus souvent mise en cause par les associations de consommateurs. Outre le progrès très rapide des techniques analytiques qui permet de découvrir la présence de traces dont on ne soupçonnait guère la présence dans l'eau du robinet, la pollution croissante de la ressource, les traitements de désinfection et le contact avec les matériaux des réseaux de distribution apportent des molécules dont la toxicité à moyen et long terme mérite d'être évaluée. La mise en oeuvre de traitements de désinfection dont l'utilité est indiscutable et l'effet sur la morbidité et la mortalité par pathologie infectieuse chez des populations desservies parfaitement significatif, s'accompagne de la formation de sous-produits. Certains de ceux-ci étant cancérigènes et/ou mutagènes en expérimentation de laboratoire et des études épidémiologiques ayant pu montrer une légère augmentation du risque de cancer dans la population, l'impact médiatique de cette information peut conduire à une mauvaise appréciation dans la gestion des risques pour la santé. Ainsi l'arrêt de la chloration pour éviter la formation de sous produits et quelques cas de cancers aurait conduit un pays d'Amérique du Sud a enregistrer une importante épidémie de choléra et des centaines de décès. Il n'est pas facile de gérer ce paradoxe entre sophistication du traitement lié à la pollution de la ressource entraînant la présence de sous produits de désinfection et la persistance d'éléments traces et de divers microorganismes dans une eau de qualité conforme aux critères de potabilité mais que le consommateur ne veut plus consommer. Dans cet article nous tenterons de faire le point sur le risque hydrique pour la santé lié d'une part aux contaminants biologiques et d'autre part aux contaminants chimiques. Sa meilleure connaissance est la clef d'une stratégie de gestion efficace et d'une reconquête du consommateur que la publicité a trop tendance à orienter vers les eaux embouteillées.
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Haddad, Nisrine, Ashley Weeks, Anita Robert, and Stephanie Totten. "Le VIH au Canada – Rapport de surveillance, 2019." Relevé des maladies transmissibles au Canada 47, no. 1 (January 29, 2021): 87–98. http://dx.doi.org/10.14745/ccdr.v47i01a11f.

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Abstract:
Contexte : Environ 14 000 adultes sont actuellement incarcérés dans des prisons fédérales au Canada. Ces établissements étant vulnérables aux éclosions de maladies infectieuses, une évaluation du niveau de dépistage et de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) dans ces milieux est nécessaire. L’objectif de la présente étude était d’examiner les résultats des dépistages de COVID-19, la prévalence, les cas en rétablissement et les décès liés à la COVID-19 dans les prisons fédérales, et de comparer ces données avec celles de la population générale. Méthodes : Les données publiques des séries chronologiques des résultats de dépistage concernant les prisonniers et la population générale ont été obtenues en ligne auprès du Service correctionnel du Canada et de l’Agence de la santé publique du Canada, respectivement, du 30 mars au 27 mai 2020. Pour chaque issu, des statistiques de fréquence par prison, par province et par sexe ont été calculées. Au total, 50 établissements ont été inclus dans cette étude. Résultats : Sur ces 50 établissements, 64 % ont déclaré avoir testé moins de personnes sur 1 000 que ce qui a été observé dans la population générale et 12 % ont déclaré n’avoir effectué aucun dépistage au cours de la période de l’étude. Le niveau de dépistage avait tendance à être de caractère réactif, n’augmentant qu’une fois que les prisons enregistraient des résultats positifs. Six prisons ont signalé des éclosions, trois d’entre elles enregistrant une prévalence cumulée de plus de 20 % de COVID-19 chez les détenus. Dans l’ensemble des prisons, 29 % des personnes testées ont reçu un résultat positif, comparativement à 6 % dans la population générale. Deux des 360 cas se sont soldés par la mort (taux de létalité de 0,6 %). Quatre foyers d’éclosion semblent avoir été maîtrisés (plus de 80 % des cas ont été guéris), mais d’importantes populations vulnérables restent exposées au risque d’infection. Les femmes détenues (5 % de la population carcérale totale) étaient surreprésentées parmi les cas (17 % des cas dans l’ensemble). Conclusion : Les résultats suggèrent que les milieux pénitentiaires sont vulnérables à la transmission généralisée du coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère 2 (SRAS-CoV-2). Les lacunes en matière de dépistages méritent l’attention de la santé publique. Les pratiques de dépistage fondées sur la présence de symptômes ne sont peut-être pas les meilleures dans les prisons, étant donné les observations de transmission généralisée. Il peut être approprié d’augmenter les pratiques de dépistage sentinelle ou de dépistage universel. Il faudra multiplier les dépistages, mettre en place des pratiques rigoureuses de prévention des infections et potentiellement libérer des prisonniers pour aplatir la courbe à l’avenir.
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Blair, Alexandra, Abtin Parnia, and Arjumand Siddiqi. "Une analyse en séries chronologiques du niveau de dépistage et des éclosions de COVID-19 dans les prisons fédérales canadiennes, dans le but d’éclairer la prévention et la surveillance." Relevé des maladies transmissibles au Canada 47, no. 1 (January 29, 2021): 75–86. http://dx.doi.org/10.14745/ccdr.v47i01a10f.

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Abstract:
Contexte : Environ 14 000 adultes sont actuellement incarcérés dans des prisons fédérales au Canada. Ces établissements étant vulnérables aux éclosions de maladies infectieuses, une évaluation du niveau de dépistage et de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) dans ces milieux est nécessaire. L’objectif de la présente étude était d’examiner les résultats des dépistages de COVID-19, la prévalence, les cas en rétablissement et les décès liés à la COVID-19 dans les prisons fédérales, et de comparer ces données avec celles de la population générale. Méthodes : Les données publiques des séries chronologiques des résultats de dépistage concernant les prisonniers et la population générale ont été obtenues en ligne auprès du Service correctionnel du Canada et de l’Agence de la santé publique du Canada, respectivement, du 30 mars au 27 mai 2020. Pour chaque issu, des statistiques de fréquence par prison, par province et par sexe ont été calculées. Au total, 50 établissements ont été inclus dans cette étude. Résultats : Sur ces 50 établissements, 64 % ont déclaré avoir testé moins de personnes sur 1 000 que ce qui a été observé dans la population générale et 12 % ont déclaré n’avoir effectué aucun dépistage au cours de la période de l’étude. Le niveau de dépistage avait tendance à être de caractère réactif, n’augmentant qu’une fois que les prisons enregistraient des résultats positifs. Six prisons ont signalé des éclosions, trois d’entre elles enregistrant une prévalence cumulée de plus de 20 % de COVID-19 chez les détenus. Dans l’ensemble des prisons, 29 % des personnes testées ont reçu un résultat positif, comparativement à 6 % dans la population générale. Deux des 360 cas se sont soldés par la mort (taux de létalité de 0,6 %). Quatre foyers d’éclosion semblent avoir été maîtrisés (plus de 80 % des cas ont été guéris), mais d’importantes populations vulnérables restent exposées au risque d’infection. Les femmes détenues (5 % de la population carcérale totale) étaient surreprésentées parmi les cas (17 % des cas dans l’ensemble). Conclusion : Les résultats suggèrent que les milieux pénitentiaires sont vulnérables à la transmission généralisée du coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère 2 (SRAS-CoV-2). Les lacunes en matière de dépistages méritent l’attention de la santé publique. Les pratiques de dépistage fondées sur la présence de symptômes ne sont peut-être pas les meilleures dans les prisons, étant donné les observations de transmission généralisée. Il peut être approprié d’augmenter les pratiques de dépistage sentinelle ou de dépistage universel. Il faudra multiplier les dépistages, mettre en place des pratiques rigoureuses de prévention des infections et potentiellement libérer des prisonniers pour aplatir la courbe à l’avenir.
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MORAND-FEHR, P. M., R. BAUMONT, and D. SAUVANT. "Avant-propos : Un dossier sur l’élevage caprin : pourquoi ?" INRAE Productions Animales 25, no. 3 (August 25, 2012): 227–32. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.3.3210.

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Abstract:
Un dossier d’INRA Productions Animales consacré à l’élevage caprin en 2012 peut surprendre. Représentant moins de 1% du produit brut de l’Agriculture Française, cet élevage largement ancré dans son environnement socioculturel local et dans la tradition de terroirs variés, évoque encore, mais de moins en moins, des images du passé comme celle de la «vache du pauvre» ou de la grandmère gardant trois chèvres au bord du chemin. Cet élevage s’est en effet marginalisé au XIXème siècle et dans la première moitié du XXème siècle dans les pays qui s’industrialisaient, notamment en Europe où l’effectif caprin ne représente plus actuellement que 2% du total mondial. De nombreux arguments ont milité pour éditer ce dossier, d’abord la rapide transformation de l’élevage caprin à la fin du XXème siècle et plus encore dans ces premières années du XXIème siècle, ensuite des travaux originaux conduits récemment sur l’espèce caprine, qui sont venus combler le retard important que cette espèce avait accumulé en matière de recherches agronomiques et vétérinaires. A l’échelle mondiale, l’élevage caprin est celui dont les effectifs ont le plus augmenté au cours de ces vingt dernières années (FAOSTAT 2010) : 4ème troupeau mondial avec plus de 900 millions de têtes (470 millions en 1975) derrière les bovins, les ovins et les porcins ; d’après les prévisions, il deviendrait le 3ème autour de 2015. Nombreuses sont les explications à cette situation un peu paradoxale, mais deux sont souvent avancées par les experts. Cette progression actuelle des effectifs caprins s’observe presque exclusivement dans les pays en développement et dans certains pays émergents. Elle serait surtout due aux difficultés que rencontre le maintien de l’élevage des autres espèces domestiques dans ces zones, dans certains cas du fait de l’appauvrissement des éleveurs et des acteurs des filières animales. Cette progression tient aussi au fait que le marché des caprins a une réalité essentiellement locale et que, dans ces conditions, il n’est pas exposé aux crises internationales que le marché des produits des autres espèces a pu subir au cours des quarante dernières années. En Europe, les effectifs caprins sont restés assez stables : 12,5 M de têtes au total, 1,3 M en France dont 1,1 M de femelles laitières âgées de plus d’un an. La France possède le troisième troupeau (10% des effectifs européens), assez loin derrière la Grèce (37%) et l’Espagne (22%). Il convient de noter la progression importante des effectifs caprins en Roumaine et aux Pays-Bas au cours de la dernière décennie. L’élevage caprin européen, et particulièrement l’élevage français, s’est fortement spécialisé en production laitière puisque 75 à 93% environ du produit brut des ateliers caprins en France provient du lait. En effet, la marge brute que dégage la production de chevreaux de boucherie est réduite en raison des coûts des aliments d’allaitement et des aléas liés à la mortalité périnatale. Des avancées dans les techniques d’élevage, notamment dans les domaines de l’alimentation et de la génétique, ont permis des améliorations assez rapides des performances des femelles laitières. La production laitière moyenne des 240 000 chèvres inscrites au contrôle laitier en 2010 était de 842 kg de lait sur une durée moyenne de lactation de 274 jours avec un taux protéique de 32,3 g/kg de lait et un taux butyreux de 37,0 g/kg de lait. Le plus intéressant à noter, c’est qu’en dix ans la production laitière annuelle au contrôle laitier a progressé de 90 kg, le taux protéique de 1,6 g/kg et le taux butyreux de 2,5 g/kg (Institut de l’Elevage 2012). La France est le premier producteur européen de lait de chèvre avec 30% du lait produit. Plus de 80% de ce lait est transformé en fromages. Même si la consommation présente quelques signes d’essoufflement actuellement, l’augmentation de la production de lait de chèvre depuis plus de trente ans et en conséquence celle des fromages a en général été bien absorbée par la demande, en progression malgré quelques périodes tendues. Ce résultat est dû notamment à de nouveaux produits de qualités rhéologique et organoleptique bien adaptées pour conquérir de nouveaux marchés, à l’utilisation de technologies avancées en matière fromagère et à la bonne image de ce fromage (produit festif et de qualité) auprès des consommateurs. Le secteur caprin en France a suivi l’évolution générale des productions animales : mécanisation du travail, simplification des techniques pour réduire le coût de production et pour améliorer l’efficacité du travail, augmentation rapide de la taille des unités de production. Plus de 35% de chèvres laitières appartiennent à des unités de plus de 350 têtes et la production est de plus en plus concentrée dans une région, le Poitou-Charentes, qui produit plus de 50% du lait de chèvre en France et en transforme encore plus. Bref, cette évolution et ces résultats, malgré un contexte qui tend à devenir de moins en moins favorable, s’expliquent par de multiples raisons, entre autres, la mise en place d’une filière bien organisée, des éleveurs motivés et le plus souvent passionnés par leur métier et une coopération étroite et efficace entre la recherche et le développement tant au niveau national que régional. Cette coopération exemplaire a débuté dès les années 1955-1965 avec des pionniers comme G. Ricordeau, à qui l’on doit la mise en évidence du gène sans corne expliquant le taux élevé d’infertilité en caprins, facteur qui a longtemps freiné le développement caprin (Ricordeau 2008) et J.-M. Corteel, qui a beaucoup travaillé sur la mise au point des techniques d’insémination artificielle (Leboeuf 2013). Ils ont su gagner la confiance des éleveurs, même parfois de petites unités. Ce lien s’est poursuivi et développé ensuite grâce à la création de la section caprine de l’Institut technique ovin et caprin (ITOVIC), mais aussi par des relations directes et personnelles entre chercheurs et responsables du développement ou par des réunions informelles autour de certains problèmes que rencontraient les éleveurs.Cette coopération a très bien résisté dans les années 1980, d’une part, aux nouvelles demandes des éleveurs qui donnaient la priorité aux questions socio-économiques suite à la première crise du prix du lait de chèvre en 1981 et, d’autre part, aux évolutions de la politique de l’INRA, qui face aux nouveaux enjeux scientifiques et technologiques, a été conduit à considérer comme moins prioritaire certaines recherches appliquées intéressant le développement. Ainsi, malgré l’évolution des problématiques scientifiques et des relations entre le monde de la recherche et du développement, mais aussi face au développement rapide de la recherche caprine dans les pays émergents, la recherche caprine en France est toujours très active. Un sondage bibliométrique montre que le nombre de publications avec «dairy goat» en mot-clé, de 250 à 300 par an dans les années 1980-1990, s’est accru nettement au début des années 2000 pour se situer actuellement vers les 700 publications par an. Au cours des dix dernières années, les pays qui ont le plus contribué à ces publications ont été la France, donc l’INRA, suivie par les USA, l’Italie et l’Espagne, eux-mêmes suivis par le Brésil, le Mexique et la Turquie. Ce dossier de la revue INRA Productions Animales a donc pour objectif d’illustrer le dynamisme des recherches menées en France sur les caprins, s’il était encore nécessaire de le faire. Le choix des six thèmes de recherche retenus pour constituer ce numéro n’a pas été aisé en raison du nombre de thèmes possibles. L’ambition de ce dossier n’étant pas d’être exhaustif, la rédaction de la revue et son comité se sont mis d’accord pour ne pas retenir de sujets dans les domaines où les publications ont déjà été nombreuses. C’est le cas, par exemple, de la traite des chèvres laitières (Le Du 1989, Marnet et al 2001), du polymorphisme de la caséine alpha chez les caprins (Grosclaude et al 1994, Manfredi et al 1995) ou encore de la reproduction caprine. INRA Production Animales a en effet déjà publié des articles exhaustifs sur la neuro-endocrinologie de la reproduction chez le caprin (Chemineau et Delgadillo 1994), sur le comportement sexuel de cette espèce (Fabre-Nys 2000), sur la production et la conservation de semence de bouc (Leboeuf et al 2003) et récemment sur la maîtrise de la reproduction de l’espèce caprine (Leboeuf et al 2008). Il a été proposé de sélectionner des thèmes novateurs ou riches en résultats récents, qui intéressent le développement de l’élevage caprin en France, mais aussi de portée internationale. Dans ces conditions, il a d’abord été retenu trois thèmes représentant des dimensions basiques de l’élevage : génétique, pathologie, alimentation avec des articles faisant le point sur les dernières avancées dans chaque secteur, et trois autres thèmes originaux et porteurs d’avenir, le pâturage des chèvres laitières hautes productrices, les apports de la modélisation pour comprendre le fonctionnement du troupeau de chèvres laitières et les techniques rationnelles d’élevage caprin en milieu tropical. Le premier article de Manfredi et Ådnøy (2012) sur la génétique des caprins laitiers, est un travail franco-norvégien illustrant la collaboration continue sur ce thème entre les deux pays depuis près de 50 ans. Il fait le point sur les études de génétique polygénique relatives à la production et à la composition du lait. Il traite de l’approche moléculaire qui démarre en caprins et surtout répond à la question d’actualité sur ce que nous pouvons attendre dans les années futures de la sélection génomique en caprins. Le deuxième article de Hoste et al (2012) sur la pathologie caprine, a réuni des spécialistes de l’INRA, des écoles vétérinaires, de l’Anses et de l’Institut de l’Elevage. Il fait le point sur les recherches en cours et leurs applications concernant diverses pathologies infectieuses d’actualité dans le secteur caprin. Ainsi il passe en revue les principales pathologies provoquées par les prions et les virus, par les agents bactériens et la question des parasites gastro-intestinaux. L’article évoque aussi le projet de la mise en place d’un observatoire des maladies caprines en France. Il se termine par une réflexion intéressante soulignant la proximité des agents pathogènes en ovins et caprins et les différences dans les processus morbides chez ces deux espèces. Il en conclut que des études originales sur caprins sont tout à fait fondamentales pour appréhender certains mécanismes pathogéniques. L’article suivant de Sauvant et al (2012) se propose d’actualiser les recommandations alimentaires des caprins publiées en 2007, pour répondre à une demande du développement. Les avancées dans ce domaine proviennent notamment d’une approche modélisée de la connaissance des nombreuxfacteurs de variation du poids vif, de la production laitière et de la composition de lait. Les lois de réponse plus précises aux apports d’aliments concentrés, les nouvelles lois de réponse concernant la sécrétion des acides gras du lait ainsi que les excrétions d’azote et de méthane, ainsi que les valeurs repères applicables sur le terrain concernant le comportement alimentaire, l’acidose et les besoins en eau sont les principales nouveautés. L’alimentation représente, rappelons-le, 70% en moyenne du prix de revient du litre de lait de chèvre. Parmi les trois articles plus spécifiques sur des sujets originaux, figure l’article de Lefrileux et al (2012) sur l’aptitude des chèvres hautes productrices de lait à valoriser les prairies temporaires au pâturage. Il répond à des demandes variées, notamment la demande sociétale pour une conduite d’élevage plus écologique. Or, peu d’information existe sur ce sujet, d’une part, en raison de la diminution de ce mode d’alimentation à cause des problèmes parasitaires rencontrés et, d’autre part, car la chèvre a la réputation d’être une mauvaise utilisatrice du pâturage et d’avoir un comportement très affirmé pour sélectionner son ingéré. Les auteurs montrent qu’il est possible d’obtenir des performances laitières de 1000 – 1100 kg de lait par an et par chèvre avec des régimes alimentaires où plus de 50% des besoins énergétiques sont couverts par le pâturage. L’étude du fonctionnement du troupeau caprin est un sujet qui a déjà été développé à l’INRA (Santucci et al 1994) mais, au cours de ces dernières années, elle a fait l’objet d’avancées importantes grâce à l’utilisation de la modélisation. L’article de Puillet et al (2012) présente un simulateur de fonctionnement du troupeau caprin laitier permettant de tenir compte de la variabilité individuelle des carrières animales et d’étudier comment les conduites de l’alimentation et de la reproduction mises en œuvre par l’éleveur, modulent les performances du troupeau. De tels outils sont appelés à l’avenir à avoir diverses applications au niveau du terrain pour les agents de développement, par exemple pour quantifier le risque biologique associé à certaines conduites d’élevage. Le Centre INRA des Antilles-Guyane travaille depuis plus de 50 ans sur l’amélioration des systèmes de production caprine en milieu tropical (Alexandre et al 1997). Alexandre et al (2012) présentent dans le dernier article de ce numéro une synthèse sur la situation de l’élevage caprin en zone tropicale. Rappelons que 95% des caprins vivent en milieu tropical. A travers leur grande expérience du sujet, ces auteurs proposent des voies d’amélioration très prometteuses grâce à l’apport d’intrants bien réfléchi techniquement et économiquement, à l’utilisation de l’effet mâle en reproduction et à une complémentation à base d’aliments non conventionnels. Les six articles de ce numéro ne doivent pas occulter les autres recherches sur les caprins effectuées par l’INRA ou d’autres organismes. Comme il n’est pas possible d’être exhaustif, citons simplement quelques exemples qui peuvent intéresser le développement : la maîtrise de la reproduction femelle sans utilisation d’hormones pour répondre aux cahiers des charges de certains produits caprins labellisés (Brice et al 2002) ; la monotraite, technique qui a priori séduit les éleveurs en permettant une réduction de charge de travail (Komara et Marnet 2009) ; les risques d’acidose en liaison avec le comportement alimentaire des chèvres laitières, trouble métabolique encore fréquent avec certainstypes de régimes et dont les conséquences économiques peuvent être importantes (Desnoyers et al 2009) ; l’évaluation des systèmes de production caprine (Bossis et al 2008, Toussaint et al 2009) sans oublier les travaux de technologie laitière réalisées par l’ITPLC sur le fromage de chèvre (Raynal-Ljutovac et al 2007a). Il faut noter aussi le début d’études sur le bien-être des caprins (Servière et Morand-Fehr 2012) et le besoin de travaux sur les lactations longues (14 - 20 mois),technique qui séduit de plus en plus d’éleveurs. Nous devons aussi signaler deux documents importants, l’un sur la qualité du lait de petits ruminants (Haenlein et al 2007) et l’autre sur la production et la qualité de la viande caprine (Mahgoub et al 2011) dans lesquels les travaux de recherches français sur l’influence des systèmes d’alimentation sur la qualité du lait de chèvre (Morand-Fehr et al 2007), sur la stabilité à la chaleur de ce lait (Raynal-Ljutovac et al 2007b) et sur la composition lipidique du chevreau (Morand-Fehr et al 2011) sont présentés. Il nous reste à souhaiter que la lecture de ce numéro apporte une somme d’informations originales à tous les lecteurs cherchant à prendre connaissance des dernières avancées de la recherche caprine et que la recherche caprine se maintienne et se développe à l’avenir en France pour répondre aux demandes de la filière, mais aussi en milieu tropical où les caprins jouent un rôle socio-économique essentiel pour certaines populations rurales.
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Pongombo, Mick Ya, Toni Kasole Lubala, Olivier Mukuku, André Kabamba Mutombo, Paulo Muntu Bunga, Albert Mwembo Tambwe, Michel Balaka Ekwalanga, Oscar Numbi Luboya, and Stanis Okitotsho Wembonyama. "Maladies infectieuses émergentes : transmission et épidémiologie." PAMJ - One Health 3 (2020). http://dx.doi.org/10.11604/pamj-oh.2020.3.11.25309.

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Soumahoro, SI, M. Coulibaly, DP Kouassi, O. Irika, BI Goua, JM Ouaga, and O. Angbo-Effi. "Connaissance, Attitudes et pratiques des élèves sur l'hygiène alimentaire et l'alimentation de la rue." Revue Malienne d'Infectiologie et de Microbiologie 2, no. 2 (November 30, 2018). http://dx.doi.org/10.53597/remim.v2i2.1195.

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Abstract:
Introduction : Dans les pays en développement, les risques de contamination des aliments sont à la fois présents à domicile que chez les vendeurs mais avec un risque de contamination plus élevé des aliments de la rue. Au regard des risques encourus par la transmission de maladies par les aliments, nous avons mené cette étude auprès des élèves de Bouaké afin d'apprécier leurs connaissances, attitudes et pratiques vis-à-vis de l'hygiène des aliments vendus dans les rues dans le but d'améliorer les comportements en hygiène alimentaire des élèves. Méthode : Nous avons mené une étude transversale à visée descriptive dans quatre établissements secondaires, dont deux publics et deux privés, de la ville de Bouaké. Nous avons interviewé 448 élèves grâce à un questionnaire. Le logiciel SPSS 17.0 a été utilisé pour la saisie et l'analyse des données recueillies. Résultats : Les élèves interrogés avaient un âge médian de 16 ±5,2 ans, étaient majoritairement de sexe masculin (60,0%) et percevaient de l'argent de poche dans 92,2% des cas. Nos enquêtés affirmaient qu'il fallait se laver les mains avec de l'eau et du savon (99,1%) et se lavaient systématiquement les mains avant chaque repas (94,9%). Ils ne faisaient pas confiance aux aliments vendus à l'école ou dans la rue (64, 1%) et certains élèves interrogés disaient être tombés malades après consommation d'aliments vendus dans la rue (53,6%). Conclusion : Le respect des pratiques d'hygiène alimentaire est le garant de la prévention de nombreuses maladies infectieuses. Des dispositions en rapport avec un meilleur contrôle de l'alimentation de rue devraient être prises pour minimiser le risque de survenue des maladies infectieuses liées à l'Alimentation de la rue
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Morel, Valérie. "Vulnérabilité du territoire littoral guyanais aux maladies infectieuses à transmission vectorielle : esquisses de problématiques et perspectives de recherches pluridisciplinaires." EchoGéo, no. 22 (December 31, 2012). http://dx.doi.org/10.4000/echogeo.13275.

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Catry, Thibault, Auréa Pottier, Renaud Marti, Zhichao Li, Emmanuel Roux, Vincent Herbreteau, Morgan Mangeas, Laurent Demagistri, Helen Gurgel, and Nadine Dessay. "Apports de la combinaison d’images satellites optique et RADAR dans l’étude des maladies à transmission vectorielle : cas du paludisme à la frontière Guyane française – Brésil." Confins, no. 37 (September 24, 2018). http://dx.doi.org/10.4000/confins.15027.

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