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Journal articles on the topic 'Maladies infectieuses – Transmission – Histoire'

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Puyhardy, Jean, and Anne-Marie Bourre-Puyhardy. "Les maladies infectieuses à transmission vectorielle." L'Aide-Soignante 31, no. 186 (April 2017): 12–13. http://dx.doi.org/10.1016/j.aidsoi.2017.02.002.

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Werner, Georges H. "Histoire de certaines maladies infectieuses : leur éradication est-elle utopique ?" Revue d'histoire de la pharmacie 96, no. 362 (2009): 173–92. http://dx.doi.org/10.3406/pharm.2009.22044.

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3

Janot, C., and F. Streiff. "Reconsidération du risque de transmission de maladies infectieuses par la transfusion sanguine." Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation 8, no. 3 (January 1989): 199–203. http://dx.doi.org/10.1016/s0750-7658(89)80104-2.

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4

RENAULT, T., and B. GUICHARD. "Facteurs de risque d’apparition et d’émergence des maladies infectieuses en aquaculture." INRAE Productions Animales 20, no. 3 (September 7, 2007): 219–22. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2007.20.3.3459.

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Abstract:
Au cours des dernières années, l’augmentation de la production aquacole et du nombre d’espèces aquatiques élevées au niveau mondial s’est accompagnée d’une augmentation du nombre et de la répartition des maladies infectieuses. En 2002-2003, 62 cas d’émergence de ma-ladies infectieuses chez des animaux aquatiques ont été rapportés, les deux tiers en élevage, principalement en Europe et en Amérique du Nord. Une maladie est dite émergente quand son incidence augmente significativement pour une population, un lieu et une période donnés. Pour émerger, une maladie doit d’abord être introduite dans une zone ou une population indemne, et les animaux être exposés à des facteurs favorisants sa transmission. Les risques d’introduction de nouvelles maladies sont principalement associés aux mouvements d’animaux infectés (sauvage ou d’élevage, vivants ou morts), au matériel d’élevage ou à des milieux de transport contaminés, à l’évolution des agents pathogènes eux-mêmes, et à des facteurs environnementaux : réservoirs sauvages, polluants, changements climatiques. Les facteurs d’exposition permettant l’émergence d’une maladie après son introduction sont liés aux conditions d’élevage, à l’épidémiologie des différentes maladies et aux mouvements d’eau et d’animaux sauvages.
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5

MEDALE, F., and C. MICHEL. "Deuxième partie : Épidémiologie et modélisation des maladies infectieuses aquacoles." INRAE Productions Animales 20, no. 3 (September 7, 2007): 217. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2007.20.3.3458.

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Abstract:
Les moteurs de l'évolution des agents pathogènes, qu'il s'agisse des espèces sensibles, des vecteurs animaux ou des effets environnementaux incluant la pollution et le réchauffement climatique sont difficiles à appréhender. Il est donc important de générer des connaissances sur l’épidémiologie des maladies infectieuses aquacoles pour lesquelles il est difficile de contrôler le milieu d'élevage. Les connaissances épidémiologiques ainsi acquises peuvent alimenter des modèles dynamiques de transmission de ces maladies. Un premier article (Renault et al) présente les facteurs de risques d’apparition et d’émergence des maladies en aquaculture. Il souligne l’importance de générer des données pour améliorer la connaissance des facteurs d’épidémiologie descriptive impliqués dans l’apparition et la diffusion de maladies dues à des agents infectieux, en s’intéressant notamment aux interactions entre l’hôte, l’agent pathogène et l’environnement. Dans ce cadre, le développement d’études portant sur les effets de polluants et de facteurs physico-chimiques liés aux changements globaux chez différentes espèces d’intérêt aquacole est considéré comme une priorité. Un second article (Thébault et al) décrit l’intérêt potentiel de la modélisation pour l’étude de maladies infectieuses chez les poissons et les mollusques. La formulation précise des questions posées par une maladie infectieuse ouvre la voie à des formes de modélisation dynamique intégrant les caractéristiques de population de l'agent pathogène et les effets des actions de maîtrise éventuellement mises en œuvre. Parmi les retombées utiles de la modélisation, figurent l'évaluation anticipée des mesures de contrôle et l'identification en continu des lacunes pouvant subsister dans un corpus de données. Le manque de données issues aussi bien du terrain que de l'expérimentation est le principal frein au développement de tels modèles en infectiologie aquacole. Il ne faut évidemment pas attendre de la modélisation plus qu'elle ne peut donner. Néanmoins, l’expérience des élevages terrestres montre que la modélisation peut parfois contribuer à quelques améliorations, notamment en termes de gestion de la santé des élevages au quotidien ou d’aide à la décision.
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6

LANCELOT, R., E. ZUNDEL, and C. DUCROT. "Spécificités de la santé animale en régions chaudes : le cas des maladies infectieuses majeures en Afrique." INRAE Productions Animales 24, no. 1 (March 4, 2011): 65–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.1.3237.

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Abstract:
Les spécificités de la santé animale en Afrique, exemple de zone à régions chaudes, tiennent à la fois aux caractéristiques climatiques et environnementales, aux systèmes d’élevage extensifs et à la mobilité animale (transhumance, commerce), ainsi qu’au contexte socio-économique difficile, avec des services vétérinaires disposant de moyens insuffisants. Les conditions d’élevage et la mobilité animale contribuent à la diffusion de maladies à transmission directe, comme la péripneumonie contagieuse bovine ou la peste des petits ruminants. L’environnement conditionne la biologie des vecteurs (insectes, tiques), donc la diffusion de maladies à transmission vectorielle. Certaines sont spécifiques à l’Afrique, comme les trypanosomoses humaines et animales. D’autres, comme la fièvre de la Vallée du Rift, dont le virus causal est transmis par de nombreuses espèces de moustiques, sont en pleine émergence. Elles sont susceptibles de coloniser d’autres écosystèmes via le commerce de bétail : ainsi cette maladie a été introduite sur la péninsule arabique et s’y est installée. La fragilité socio-économique de l’Afrique la rend plus vulnérable que les autres continents aux émergences de maladies animales, ensuite potentiellement exportables, liées aux changements climatiques et environnementaux, à l’accroissement démographique et à l’intensification des échanges internationaux et des voyages. L’amélioration de la situation sanitaire passe par la définition et la mise en œuvre au plan régional, avec une coordination continentale et internationale, d’une stratégie de lutte intégrée ; elle devrait s’appuyer sur des réseaux de surveillance et de recherche afin de mieux apprécier les évolutions épidémiologiques, et de disposer d’outils de diagnostic et de contrôle (vaccins, insecticides…) plus efficaces.
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7

Robert, Aurélien. "Contagion morale et transmission des maladies : histoire d’un chiasme (xiiie-xixe siècle)." Tracés, no. 21 (November 30, 2011): 41–60. http://dx.doi.org/10.4000/traces.5139.

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8

Failloux, Anna-Bella. "Les moustiques vecteurs d’arbovirus : une histoire sans fin." Biologie Aujourd'hui 212, no. 3-4 (2018): 89–99. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2018026.

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Abstract:
L’émergence ou la ré-émergence récente des maladies à transmission vectorielle et plus précisément, celle associée aux arbovirus tels que la dengue, le chikungunya, le Zika ou encore la fièvre jaune ne sont pas des phénomènes nouveaux. Aujourd’hui, la mondialisation des échanges commerciaux, des déplacements des voyageurs ainsi que l’urbanisation anarchique de nombreuses villes tropicales et subtropicales créent les conditions propices à l’installation durable des moustiques vecteurs et par conséquent, à l’introduction des arbovirus. Cette revue décrit les principaux arbovirus importants en santé humaine et leurs vecteurs épidémiques, ainsi que les conditions facilitant leur émergence.
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9

Simard, Frédéric. "La lutte contre les vecteurs : quel avenir ?" Biologie Aujourd'hui 212, no. 3-4 (2018): 137–45. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2019006.

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Abstract:
La lutte contre les vecteurs est un élément essentiel de la prévention contre les maladies infectieuses à transmission vectorielle qui constituent encore et toujours une menace sanitaire mondiale. La lutte contre les moustiques vecteurs, essentiellement basée sur l’utilisation d’insecticides chimiques, est emblématique des succès, des échecs et des enjeux auxquels est aujourd’hui confrontée la recherche pour préparer le futur de la lutte antivectorielle. Au travers d’exemples concrets de recherches en cours, cet article donne un aperçu des innovations scientifiques et technologiques qui sont mobilisées pour relever les défis multiples d’une gestion intégrée des vecteurs, adaptée aux contextes épidémiologiques variés et dynamiques d’un monde en évolution rapide.
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Martins, Nelson Eduardo, Roenick Proveti Olmo, Eric Roberto Guimarães Rocha Aguiar, João Trindade Marques, and Jean-Luc Imler. "Les insectes : un fantastique réservoir de virus et de gènes antiviraux." Biologie Aujourd'hui 212, no. 3-4 (2018): 101–6. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2019008.

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Abstract:
Les insectes forment le groupe d’animaux qui présente la plus grande diversité. Des travaux récents de métagénomique montrent qu’ils peuvent être infectés par une diversité extraordinaire de virus. Parmi eux, les arbovirus (arthropod-borne viruses) peuvent être transmis à l’Homme par les insectes hématophages, notamment les moustiques. Le séquençage à haut débit des petits ARN des insectes fournit des informations sur leur virome, un paramètre qui pourrait contribuer à expliquer la dynamique de la transmission des maladies infectieuses par des insectes vecteurs. D’autre part, la caractérisation des mécanismes qui restreignent les infections virales chez les insectes révèle des innovations génétiques qui pourraient à terme inspirer de nouvelles stratégies antivirales.
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Dubois-Arber, F. "Revue de la littérature internationale : quel rapport bénéfice/risque en santé publique des salles d’injection à moindre risque ?" European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 4. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.009.

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Abstract:
IntroductionLes salles d’injection (SI) à moindre risque ont été mises en place dès 1986 dans quelques pays européens et en Australie, plus tard au Canada. Elles poursuivent plusieurs objectifs : atteindre les usagers particulièrement vulnérables, réduire les risques, la morbidité et la mortalité liés à l’injection de drogues et faciliter l’accès aux soins. Ces dispositifs ont donné lieu à des débats nourris et ont fait l’objet de recherche et d’évaluation, qui permettent une analyse critique de la situation. MethodsRevue de la littérature centrée sur les bénéfices et les effets indésirables possibles des SI dans plusieurs domaines de la santé publique : pratique de l’injection, risques infectieux liés à l’injection, nuisances pour la société (injection dans l’espace public, délinquance liée à la drogue). RésultatsLa revue a mis en évidence les éléments suivants. Les SI sont capables d’attirer les populations ciblées. Elles ne conduisent pas à une augmentation du nombre de personnes qui s’injectent ou du nombre d’injections pratiquées. Elles permettent une amélioration de l’hygiène de l’injection, une meilleure sécurité et une diminution des pratiques à risque de transmission de maladies infectieuses rapportées par les usagers. Les difficultés méthodologiques pour effectuer des études de type essai randomisé dans ces milieux ne permettent pas d’affirmer avec certitude une diminution de l’incidence ou de la prévalence des maladies infectieuses attribuable spécifiquement aux SI, mais les comportements observés et rapportés vont dans ce sens. L’injection dans les lieux publics diminue et il n’y a pas d’augmentation de la délinquance liée à la drogue. ConclusionL’évidence disponible, même incomplète, permet d’affirmer que les principales craintes à l’égard des SI ne sont pas fondées et que celles-ci peuvent apporter des bénéfices en termes de santé publique.
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Castro, Arachu, and Paul Farmer. "Violence structurelle, mondialisation et tuberculose multirésistante." Anthropologie et Sociétés 27, no. 2 (February 2, 2004): 23–40. http://dx.doi.org/10.7202/007444ar.

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Abstract:
Résumé Plus de cinquante ans après l’introduction de la chimiothérapie comme traitement de la tuberculose, deux millions de personnes meurent de cette maladie tous les ans et 8,4 millions de nouveaux cas sont rapportés ; la tuberculose, en incluant ses formes multirésistantes, demeure parmi les maladies infectieuses guérissables celle qui fait le plus de victimes. Pourquoi les médi-caments qui permettraient d’arrêter ou de ralentir ces épidémies ne sont-ils pas disponibles là où on a le plus besoin? Pour répondre à cette question, nous explorons l’expérience de vie d’une famille haïtienne ainsi que les contextes sociaux dans lesquels les malades s’infectent, tombent malades et rencontrent toute une série d’aventures thérapeutiques qui mènent à plus de compli-cations, à une transmission croissante à d’autres personnes et, trop souvent, à la mort. Nous analysons aussi comment ces trajectoires sont le résultat de la violence structurelle et des inégalités sociales renforcées par la mondialisation.
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Payment, P., and P. Hartemann. "Les contaminants de l'eau et leurs effets sur la santé." Revue des sciences de l'eau 11 (April 12, 2005): 199–210. http://dx.doi.org/10.7202/705338ar.

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Abstract:
La transmission des maladies par la voie hydrique est sous contrôle dans la majorité des pays industrialisés. Malgré tout des maladies épidémiques ou endémiques sont encore observées. Plusieurs microorganismes sont en émergence, et Cryptosporidium a été impliqué dans des épidémies importantes dans plusieurs pays. Le conrôle de ces maladies transmissibles par la voie hydrique requiert des autorités des nouvelles approches qui allient le contrôle des risques de cancer dûs aux sous-produits de la désinfection au contrôle des micro-organismes les plus résistants . Aux Etats-Unis, l'objectif proposé est l'absence de microorganismes dans l'eau potable. Cet objectif ne peut être contrôlé par les indicateurs usuels et l'on recommande donc un niveau de traitement équivalent. Le traitement est alors contrôlé en temps réel par des moyens physico-chimiques tels la turbidité ou la mesure des particules, et un contrôle a posteriori par de nouveaux indicateurs telles les spores des bactéries sporulantes aérobies. Le vieillissement des installations, des populations immunocompromises et une urbanisation grandissante sont autant de causes de l'émergence de nouvelles maladies infectieuses dont certaines transmissibles par la voie hydrique. La proportion des maladies gastro-intestinales qui est attribuable à l'eau de consommation est encore très grande et elle contribue à maintenir ces infections en circulation dans la population. Le dilemme du contrôle des risques de cancer dus aux sous-produits de la désinfection ne doit pas conduire à une réduction de l'efficacité des traitements, car le niveau de risque à partir duquel ont été fixées les concentrations maximales admissibles de ces sous-produits dans l'eau (10-6 cas de cancer par vie entière d'exposition) est bien plus faible que celui de contracter une maladie infectieuse d'origine hydrique en absence de traitement adéquat. La situation en matière de pathologies induites par la consommation d'eau est extrêmement contrastée selon les pays. En effet la transmission de maladies infectieuses par la voie hydrique a été maîtrisée dans la plupart des pays industrialisés par la mise en place d'installations de traitement et d'un contrôle sanitaire s'appuyant sur une réglementation abondante. A l'opposé la situation des pays en voie de développement reste souvent très mauvaise dans ce domaine et l'Organisation Mondiale de Santé estime que 1,5 milliards d'habitants ne disposent pas encore d'eau potable dont cent millions en Europe et que 30 000 morts journalières sont dues à l'absence d'une eau en quantité et qualité satisfaisantes (Ford et Colwell 1996). En revanche les pays développés voient la qualité chimique des eaux distribuées de plus en plus souvent mise en cause par les associations de consommateurs. Outre le progrès très rapide des techniques analytiques qui permet de découvrir la présence de traces dont on ne soupçonnait guère la présence dans l'eau du robinet, la pollution croissante de la ressource, les traitements de désinfection et le contact avec les matériaux des réseaux de distribution apportent des molécules dont la toxicité à moyen et long terme mérite d'être évaluée. La mise en oeuvre de traitements de désinfection dont l'utilité est indiscutable et l'effet sur la morbidité et la mortalité par pathologie infectieuse chez des populations desservies parfaitement significatif, s'accompagne de la formation de sous-produits. Certains de ceux-ci étant cancérigènes et/ou mutagènes en expérimentation de laboratoire et des études épidémiologiques ayant pu montrer une légère augmentation du risque de cancer dans la population, l'impact médiatique de cette information peut conduire à une mauvaise appréciation dans la gestion des risques pour la santé. Ainsi l'arrêt de la chloration pour éviter la formation de sous produits et quelques cas de cancers aurait conduit un pays d'Amérique du Sud a enregistrer une importante épidémie de choléra et des centaines de décès. Il n'est pas facile de gérer ce paradoxe entre sophistication du traitement lié à la pollution de la ressource entraînant la présence de sous produits de désinfection et la persistance d'éléments traces et de divers microorganismes dans une eau de qualité conforme aux critères de potabilité mais que le consommateur ne veut plus consommer. Dans cet article nous tenterons de faire le point sur le risque hydrique pour la santé lié d'une part aux contaminants biologiques et d'autre part aux contaminants chimiques. Sa meilleure connaissance est la clef d'une stratégie de gestion efficace et d'une reconquête du consommateur que la publicité a trop tendance à orienter vers les eaux embouteillées.
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Haddad, Nisrine, Ashley Weeks, Anita Robert, and Stephanie Totten. "Le VIH au Canada – Rapport de surveillance, 2019." Relevé des maladies transmissibles au Canada 47, no. 1 (January 29, 2021): 87–98. http://dx.doi.org/10.14745/ccdr.v47i01a11f.

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Abstract:
Contexte : Environ 14 000 adultes sont actuellement incarcérés dans des prisons fédérales au Canada. Ces établissements étant vulnérables aux éclosions de maladies infectieuses, une évaluation du niveau de dépistage et de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) dans ces milieux est nécessaire. L’objectif de la présente étude était d’examiner les résultats des dépistages de COVID-19, la prévalence, les cas en rétablissement et les décès liés à la COVID-19 dans les prisons fédérales, et de comparer ces données avec celles de la population générale. Méthodes : Les données publiques des séries chronologiques des résultats de dépistage concernant les prisonniers et la population générale ont été obtenues en ligne auprès du Service correctionnel du Canada et de l’Agence de la santé publique du Canada, respectivement, du 30 mars au 27 mai 2020. Pour chaque issu, des statistiques de fréquence par prison, par province et par sexe ont été calculées. Au total, 50 établissements ont été inclus dans cette étude. Résultats : Sur ces 50 établissements, 64 % ont déclaré avoir testé moins de personnes sur 1 000 que ce qui a été observé dans la population générale et 12 % ont déclaré n’avoir effectué aucun dépistage au cours de la période de l’étude. Le niveau de dépistage avait tendance à être de caractère réactif, n’augmentant qu’une fois que les prisons enregistraient des résultats positifs. Six prisons ont signalé des éclosions, trois d’entre elles enregistrant une prévalence cumulée de plus de 20 % de COVID-19 chez les détenus. Dans l’ensemble des prisons, 29 % des personnes testées ont reçu un résultat positif, comparativement à 6 % dans la population générale. Deux des 360 cas se sont soldés par la mort (taux de létalité de 0,6 %). Quatre foyers d’éclosion semblent avoir été maîtrisés (plus de 80 % des cas ont été guéris), mais d’importantes populations vulnérables restent exposées au risque d’infection. Les femmes détenues (5 % de la population carcérale totale) étaient surreprésentées parmi les cas (17 % des cas dans l’ensemble). Conclusion : Les résultats suggèrent que les milieux pénitentiaires sont vulnérables à la transmission généralisée du coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère 2 (SRAS-CoV-2). Les lacunes en matière de dépistages méritent l’attention de la santé publique. Les pratiques de dépistage fondées sur la présence de symptômes ne sont peut-être pas les meilleures dans les prisons, étant donné les observations de transmission généralisée. Il peut être approprié d’augmenter les pratiques de dépistage sentinelle ou de dépistage universel. Il faudra multiplier les dépistages, mettre en place des pratiques rigoureuses de prévention des infections et potentiellement libérer des prisonniers pour aplatir la courbe à l’avenir.
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Blair, Alexandra, Abtin Parnia, and Arjumand Siddiqi. "Une analyse en séries chronologiques du niveau de dépistage et des éclosions de COVID-19 dans les prisons fédérales canadiennes, dans le but d’éclairer la prévention et la surveillance." Relevé des maladies transmissibles au Canada 47, no. 1 (January 29, 2021): 75–86. http://dx.doi.org/10.14745/ccdr.v47i01a10f.

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Abstract:
Contexte : Environ 14 000 adultes sont actuellement incarcérés dans des prisons fédérales au Canada. Ces établissements étant vulnérables aux éclosions de maladies infectieuses, une évaluation du niveau de dépistage et de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) dans ces milieux est nécessaire. L’objectif de la présente étude était d’examiner les résultats des dépistages de COVID-19, la prévalence, les cas en rétablissement et les décès liés à la COVID-19 dans les prisons fédérales, et de comparer ces données avec celles de la population générale. Méthodes : Les données publiques des séries chronologiques des résultats de dépistage concernant les prisonniers et la population générale ont été obtenues en ligne auprès du Service correctionnel du Canada et de l’Agence de la santé publique du Canada, respectivement, du 30 mars au 27 mai 2020. Pour chaque issu, des statistiques de fréquence par prison, par province et par sexe ont été calculées. Au total, 50 établissements ont été inclus dans cette étude. Résultats : Sur ces 50 établissements, 64 % ont déclaré avoir testé moins de personnes sur 1 000 que ce qui a été observé dans la population générale et 12 % ont déclaré n’avoir effectué aucun dépistage au cours de la période de l’étude. Le niveau de dépistage avait tendance à être de caractère réactif, n’augmentant qu’une fois que les prisons enregistraient des résultats positifs. Six prisons ont signalé des éclosions, trois d’entre elles enregistrant une prévalence cumulée de plus de 20 % de COVID-19 chez les détenus. Dans l’ensemble des prisons, 29 % des personnes testées ont reçu un résultat positif, comparativement à 6 % dans la population générale. Deux des 360 cas se sont soldés par la mort (taux de létalité de 0,6 %). Quatre foyers d’éclosion semblent avoir été maîtrisés (plus de 80 % des cas ont été guéris), mais d’importantes populations vulnérables restent exposées au risque d’infection. Les femmes détenues (5 % de la population carcérale totale) étaient surreprésentées parmi les cas (17 % des cas dans l’ensemble). Conclusion : Les résultats suggèrent que les milieux pénitentiaires sont vulnérables à la transmission généralisée du coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère 2 (SRAS-CoV-2). Les lacunes en matière de dépistages méritent l’attention de la santé publique. Les pratiques de dépistage fondées sur la présence de symptômes ne sont peut-être pas les meilleures dans les prisons, étant donné les observations de transmission généralisée. Il peut être approprié d’augmenter les pratiques de dépistage sentinelle ou de dépistage universel. Il faudra multiplier les dépistages, mettre en place des pratiques rigoureuses de prévention des infections et potentiellement libérer des prisonniers pour aplatir la courbe à l’avenir.
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Le Minor, Léon. "Denis F., Ploy M.C., Martin C., Bingen E., Quentin R.— Bactériologie médicale : techniques usuelles. Paris, Elsevier-Masson, 2007, 608 p., Battin J. — Un médecin précurseur, Jean Hameau (1779-1851) et le Bassin d’Arcachon autrefois. Saint Quentin de Baron, Ed. Entre deux Mers, 2008, 95 p., Berche P. — Une histoire des microbes. Montrouge, Ed. John Libbey Eurotext, 2007, 307 p., Schwartz M., Rodhain F. — Des microbes et des hommes : qui va l’emporter ? Paris, Odile Jacob Edit., 2008, 346 p., Orth G., Sansonetti P., coordinateurs. — Rapport RST (Rapport sur les sciences et les technologies) sur les maladies infectieuses. Paris, E.D.P. Sciences édit., 2006." Bulletin de l'Académie Nationale de Médecine 192, no. 7 (October 2008): 1497. http://dx.doi.org/10.1016/s0001-4079(19)32698-6.

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Pongombo, Mick Ya, Toni Kasole Lubala, Olivier Mukuku, André Kabamba Mutombo, Paulo Muntu Bunga, Albert Mwembo Tambwe, Michel Balaka Ekwalanga, Oscar Numbi Luboya, and Stanis Okitotsho Wembonyama. "Maladies infectieuses émergentes : transmission et épidémiologie." PAMJ - One Health 3 (2020). http://dx.doi.org/10.11604/pamj-oh.2020.3.11.25309.

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Soumahoro, SI, M. Coulibaly, DP Kouassi, O. Irika, BI Goua, JM Ouaga, and O. Angbo-Effi. "Connaissance, Attitudes et pratiques des élèves sur l'hygiène alimentaire et l'alimentation de la rue." Revue Malienne d'Infectiologie et de Microbiologie 2, no. 2 (November 30, 2018). http://dx.doi.org/10.53597/remim.v2i2.1195.

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Abstract:
Introduction : Dans les pays en développement, les risques de contamination des aliments sont à la fois présents à domicile que chez les vendeurs mais avec un risque de contamination plus élevé des aliments de la rue. Au regard des risques encourus par la transmission de maladies par les aliments, nous avons mené cette étude auprès des élèves de Bouaké afin d'apprécier leurs connaissances, attitudes et pratiques vis-à-vis de l'hygiène des aliments vendus dans les rues dans le but d'améliorer les comportements en hygiène alimentaire des élèves. Méthode : Nous avons mené une étude transversale à visée descriptive dans quatre établissements secondaires, dont deux publics et deux privés, de la ville de Bouaké. Nous avons interviewé 448 élèves grâce à un questionnaire. Le logiciel SPSS 17.0 a été utilisé pour la saisie et l'analyse des données recueillies. Résultats : Les élèves interrogés avaient un âge médian de 16 ±5,2 ans, étaient majoritairement de sexe masculin (60,0%) et percevaient de l'argent de poche dans 92,2% des cas. Nos enquêtés affirmaient qu'il fallait se laver les mains avec de l'eau et du savon (99,1%) et se lavaient systématiquement les mains avant chaque repas (94,9%). Ils ne faisaient pas confiance aux aliments vendus à l'école ou dans la rue (64, 1%) et certains élèves interrogés disaient être tombés malades après consommation d'aliments vendus dans la rue (53,6%). Conclusion : Le respect des pratiques d'hygiène alimentaire est le garant de la prévention de nombreuses maladies infectieuses. Des dispositions en rapport avec un meilleur contrôle de l'alimentation de rue devraient être prises pour minimiser le risque de survenue des maladies infectieuses liées à l'Alimentation de la rue
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Morel, Valérie. "Vulnérabilité du territoire littoral guyanais aux maladies infectieuses à transmission vectorielle : esquisses de problématiques et perspectives de recherches pluridisciplinaires." EchoGéo, no. 22 (December 31, 2012). http://dx.doi.org/10.4000/echogeo.13275.

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Gagnon, Éric. "Vieillissement." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.062.

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Abstract:
L’anthropologie de la vieillesse a contribué à remettre en question des idées reçues et plusieurs préjugés tenaces, dont celle voulant que les sociétés modernes déconsidèrent la vieillesse et abandonnent leurs vieux, alors que les sociétés dites traditionnelles valorisent leur ainés et leur font une place honorable. Elle a écarté certaines images d’Épinal, comme l’Ancêtre trônant au milieu de sa famille, ou des clichés, comme le vieillard abandonné à l’hospice. Elle a appelé à se méfier de la mémoire toujours sélective et parfois enjoliveuse («Le bon vieux temps»). Elle a rappelé qu’il faut distinguer les représentations des comportements, que le prestige accordé à la vieillesse ne se traduit pas toujours en un véritable respect ou une réelle affection, et cache parfois des conditions de vie matérielle difficiles. Elle a surtout montré que le vieillissement n’est pas un phénomène purement biologique, partout identique, et qu’il est extrêmement variable d’une société, d’un groupe, d’une classe ou d’un genre à l’autre. Cette fonction critique, l’anthropologie a pu l’exercer au moyen de ce qui demeure son principal outil théorique et méthodologique : la comparaison. En comparant deux communautés au sein d’une même société, un même groupe avant et après des bouleversements historiques, deux culture très éloignées l’une de l’autre, la condition des ainés dans un pays avec celle des ainés originaires du même pays mais ayant migré dans un autre pays, ou encore différentes communautés au sein d’une même diaspora, elle a montré la diversité des conditions et des expériences, le poids des facteurs culturels, politiques ou économiques sur le vieillissement (Solokovski 1990). L’étude de cette diversité a non seulement permis de mieux comprendre le vieillissement, mais également de nourrir la réflexion touchant quatre grandes questions de l’anthropologie, que sont l’articulation du biologique et du social, les échanges familiaux, ce qui fait une communauté et le rôle des sciences et des techniques. Sur la première question, l’anthropologie du vieillissement a montré comment les transformations du corps sont étroitement déterminées par les conditions de vie, comment les changements biologiques, leur compréhension et leur perception, la manière dont les individus en font l’expérience et les réponses que les collectivité y apportent, sont façonnés par la culture, les normes sociales, l’organisation économique et les politiques publiques. L’étude de Margaret Lock (1993) sur la ménopause au Japon et en Amérique du Nord est à cet égard exemplaire. La sénescence, c’est-à-dire la dégradation des capacités générales de l’organisme biologique avec l’avancée en âge, connaît d’importantes variations. Non seulement la définition et les critères du vieillissement varient selon les milieux, les époques, les secteurs d’activité ou le genre (nombre d’années vécues, altérations physiques, incapacités, apparence physique, naissance de petits-enfants…), mais également ce qui est tenu pour un vieillissement normal ou souhaitable, le statut des personnes âgées, leurs obligations et leurs rôles. Si les conditions sociales d’existence ralentissent ou accélèrent le vieillissement biologique, elles donnent aussi à ce dernier une importance et une signification, qui font varier jusqu’aux formes d’expression de la douleur, de son histoire et de son identité (Keith 1985; Fry 2010). L’étude du vieillissement met en lumière la «biologie locale», le façonnement du corps propre à une culture ou un groupe. Sur la seconde question, l’étude anthropologique de la vieillesse s’est beaucoup intéressée aux échanges intergénérationnels, ainsi que le statut et la protection dont les personnes âgées bénéficient. Goody (1976) s’est efforcé de montrer comment les systèmes de parenté et de résidence, les modes transmission et le type d’économie favorisent ou non la dépendance des ainés envers les plus jeunes pour leur subsistance, le contrôle sur les biens, la possibilité de continuer d’habiter la demeure familiale et l’autorité qu’ils continuent d’exercer. La perspective permet non seulement la comparaison entre des sociétés d’aires culturelles très éloignées, mais l’articulation des questions anthropologiques touchant le vieillissement à celles liées à la famille et à l’économie, ainsi qu’à des enjeux politiques contemporains touchant les soins et la «prise en charge» des personnes vieillissantes (Buch 2015). Dans une perspective plus historique, on s’est intéressé aux impacts de l’allongement de la durée de vie, des transformation de l’économie (salariat, travail des femmes), des mutations de la famille, de l’essor des politiques de protection sociale (retraite, pension, allocation) et des migrations, sur les solidarités familiales, la sécurité et l’autonomie des ainés (Fry 2010). Les recherches sur les grands-parents et les transformations de leur rôle et statut (Attias-Donfut et Segalen 2007) ont alimenté l’étude des échanges et de la circulation des biens et des services au sein des familles, mais également de la transmission de la mémoire et du patrimoine familial, matériel et symbolique. Sur la troisième question, les anthropologues se sont intéressés à diverses communautés résidentielles d’ainés, que ce soit les grandes habitations et les foyers, les établissement de soins de longue durée (Hendersen et Vesperi 1995), ou encore les quartiers et villages sécurisés (gated communities), qui regroupent exclusivement ou en forte majorité des ainés. Ils se sont interrogés sur l’homogénéité de ces populations, le fonctionnement et les rites de passage propres à ces regroupements, les hiérarchies, les clivages et l’exclusion par delà le discours égalitariste, les relations avec le monde «extérieur» (les familles des résidents et la société dans son ensemble), en somme: la continuité et la discontinuité de ces communautés. Ces travaux ont nourri la réflexion sur ce qui fait une communauté en général (territoire, sentiment d’appartenance et organisation sociale), et sur la formation de communautés spécifiques de personnes âgées et le contexte dans lequel elles émergent (Keith 1985). Enfin, sur la question la place des savoirs scientifiques et techniques dans les sociétés contemporaines, les anthropologues ont porté une grande attention aux phénomènes de médicalisation et de professionnalisation du vieillissement. Celui-ci est en effet l’objet de savoirs et d’expertises qui en changent la signification et la réalité. Les transitions et transformations liées à l’âge sont devenues des problèmes, qu’il appartient à la médecine et à d’autres disciplines (la gérontologie au premier chef) de guérir, de soigner ou de «gérer» (Corin 1982). Ces interventions visent la préventions des maladies et des incapacités (gestion des risques), l’évaluation des «déficits» (physiques ou cognitifs) au moyen d’instruments diagnostics et de protocoles standardisés, pour déterminer les services ou l’aide dont la personne âgée a besoin, l’aménagement des espaces, la distribution des services spécialisés, les critères d’admission en institutions, etc. (Kaufmann 1994; Lock 1993). Ces interventions et les politiques qui les fondent, changent non seulement la façon dont le vieillissement est conçu et perçu dans une société, mais la manière dont les personnes le vivent (identité, image de soi, conduites, attentes). La vieillesse est redéfinie autour des catégories d’autonomie, de fragilité, d’activité et de dépendance – en Occident du moins – qui changent le statut de la personne âgée, sa place, ses relations aux autres, les critères culturels du vieillissement «normal» ou «réussi». Les personnes âgées sont largement considérées comme des patients et des usagers de services, mais aussi comme un marché pour les biotechnologies qui promettent un ralentissement du vieillissement. L’étude des savoirs et pratiques touchant plus spécifiquement les démences (ex : Alzheimer), du point de vue des savoirs et des pratiques professionnelles (Leibing et Cohen 2006) ou sous un angle plus expérientiel (Taylor 2008), est révélatrice de la manière dont une société conçoit la «personne», ce qui fait son «humanité» ou son identité, et comment, selon le contexte culturel et institutionnel, cette personne et cette humanité se défont ou se maintiennent. Ces travaux rejoignent une riche tradition de recherche sur la construction sociale de la «personne» et du «soi», particulièrement de la personne âgée (Lamb 1997 pour un exemple). Ces quatre grandes questions sont liées entre elles. La médicalisation et la professionnalisation renvoient à l’articulation du biologique et du social, ainsi qu’au soutien et à la prise en charge des personnes âgées; la question des communautés est indissociable des solidarités familiales. Le vieillissement est un phénomène aux multiples facettes, touchant toutes les dimensions de l’existence. Il n’est d’ailleurs compréhensible que mis en relation avec à un ensemble de réalités qui le débordent, et auxquelles, en retour, il apporte un éclairage : la famille, l’économie, la démographie, les soins de santé, les politiques, l’imaginaire social et les valeurs, la personne comme construit culturel. Si, comme le soutient Simone de Beauvoir (1970), on se découvre vieux dans le regard des autres, il reste à comprendre ce regard : les représentations, les normes, les savoirs et les pratiques qui le cadrent et l’orientent, ceux qui posent ce regard et les contextes dans lesquels il est posé, ainsi que les comportements et les expériences que ce regard induit.
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