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Journal articles on the topic 'Maladies mentales – Traitement'

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1

Green, Maurice R., and Carrie Pollard. "« L’Approche douce » : un programme de réadaptation pour les personnes âgées atteintes de maladies mentales chroniques." Santé mentale au Québec 19, no. 1 (September 11, 2007): 117–27. http://dx.doi.org/10.7202/032298ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Les auteurs présentent ici « l'Approche douce », un programme de réadaptation destiné aux personnes âgées atteintes de maladies mentales chroniques qu'ils ont implanté dans une unité de géronto-psychiatrie d'un hôpital de New York. Une équipe multidisciplinaire aborde, par cette approche, le traitement des problèmes médicaux et des différentes formes de démence en orientant son action sur des activités quotidiennes récréatives et sociales, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du service et de l'hôpital. Le programme a pour objectif d'augmenter l'autonomie et de faciliter un éventuel retour à domicile de ces malades, à qui le personnel rappelle constamment l'importance de la médication.
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2

Brient, Pierrick. "Incroyance et rationalisme morbide." psychologie clinique, no. 51 (2021): 71–84. http://dx.doi.org/10.1051/psyc/202151071.

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Abstract:
Nous abordons l’ouvrage de François Klein sur les « maladies mentales expérimentales » et leur traitement, témoignage exemplaire du rationalisme morbide. La causalité des maladies mentales soutenu par cet auteur, s’appuyant sur une logique tautologique d’identité, ainsi que la méthode thérapeutique qu’il propose, rendent manifeste le vécu hallucinatoire imposé, de même qu’ils nous enseignent sur le transfert dans la psychose. Les avancées de Lacan concernant l'Unglauben (incroyance) en le lieu vide de la Chose dans la paranoïa viennent également éclairer la logique d’identité au cœur de la position subjective de F. Klein, logique à entendre comme négativiste à défaut de possibilité d’usage de la négation. Tentative de négativation donc, d’un lieu d’où la jouissance n’a pas été négativé.
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3

Pelletier, Jean-François, and Larry Davidson. "À l’origine même de la psychiatrie comme nouvelle spécialité médicale : le partenariat Pinel-Pussin." Santé mentale au Québec 40, no. 1 (July 22, 2015): 19–33. http://dx.doi.org/10.7202/1032380ar.

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Abstract:
Le partenariat patient en santé mentale et psychiatrie est considéré de nos jours comme une innovation et comme une composante essentielle à des soins de santé mentale personnalisés. Un retour sur le paradigme humaniste inscrit au coeur des travaux précurseurs de Philippe Pinel et Jean-Baptiste Pussin permet cependant de constater que le « traitement moral » qu’ils préconisaient, il y a déjà 200 ans, reposait en bonne partie sur cette mise à profit de l’expérience vécue, particulièrement en contexte de soutien entre pairs. Le mouvement contemporain centré sur le plein exercice de la citoyenneté pour tous et celui plus ancien du traitement moral ont en commun qu’ils insistent tous les deux pour que les personnes atteintes de maladies mentales soient traitées avec dignité et respect. Toutefois, alors que le traitement moral se prodiguait à l’intérieur de l’enceinte asilaire, l’objectif des soins axés sur le plein exercice de la citoyenneté est pour sa part celui d’une vie et d’un soutien dans la communauté et pour tout le monde. Nous suggérons tout de même que Pussin et Pinel ont formulé des idées probablement si avant-gardistes que nous commençons tout juste à les comprendre et à vouloir les appliquer à nos pratiques postasilaires.
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4

Bourin, Michel, Jean-Michel Le Melledo, and Myriam Malinge. "Pharmacologie Expérimentale et Clinique des Psychostimulants." Canadian Journal of Psychiatry 40, no. 7 (September 1995): 401–10. http://dx.doi.org/10.1177/070674379504000707.

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Abstract:
Objectif Expliquer à l'aide d'études animales le mode d'action des psychostimulants. Méthode Une revue de la littérature psychiatrique sur l'usage des psychostimulants chez l'enfant et l'adulte. Résultats En étudiant la littérature psychiatrique, il s'avère que 50 ans après l'introduction de l'amphétamine en clinique, les psychostimulants sont des médicaments utilisés, notamment le méthylphénidate, dans le traitement de l'hyperactivité de l'enfant avec ou sans déficit de l'attention. En revanche, chez l'adulte les psychostimulants cherchent encore leur voie, malgré des études dans le traitement de la dépression et d'autres maladies mentales. Seule la narcolepsie semble être justifiable de tels produits. Conclusion La preuve est largement faite de l'utilité des psychostimulants chez l'enfant. Chez l'adulte, ils pourraient être utiles à condition de mieux étudier les symptômes cibles.
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5

Paradis, André. "De Condillac à Pinel ou les fondements philosophiques du traitement moral." Articles 20, no. 1 (August 7, 2007): 69–112. http://dx.doi.org/10.7202/027205ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ L'oeuvre de Pinel a donné lieu à des évaluations tout à fait contradictoires : certains, comme Pierre Pichot, Kavka, Zilboorg et Gladys Swain ont estimé, en effet, que Pinel n’avait pas été sensible à l'influence de la psychologie « sensualiste » et « associationniste »; Pichot et Zilboorg pour en conclure que ce que souhaitait Pinel, c'était en fait une psychiatrie sans psychologie ; Kavka et Swain pour en déduire l’opposé. Mon intention est de montrer brièvement : l) que dans l’esprit de l'Idéologie il n’y a pas fondamentalement de contradiction entre le physiologisme organiciste (Cabanis) et la psychologie associationniste (Locke, Condillac, Destutt de Tracy), ce qui explique la coexistence du traitement médical et du traitement moral chez Pinel dans le traitement des maladies mentales, y compris la folie raisonnante ; 2) que l’influence de Condillac (en particulier du Traité des sensations et du Traité des animaux) sur Pinel est beaucoup plus grande qu’on ne le croit généralement ; et 3) que Pinel a décidément bien peu à voir avec la psychanalyse.
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6

Zagury, D. "« Docteur, sera-t-il dangereux dans 15 ans ? »." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 634. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.145.

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Abstract:
Les attentes de la société se sont déplacées du diagnostic et du traitement des maladies mentales (c’est-à-dire du cœur du métier) vers le pronostic des troubles de la personnalité (c’est-à-dire un champ que nous ne pouvons que partager humblement avec d’autres disciplines). Votre génération risque d’être soumise à toutes les instrumentalisations, avec son lot de stigmatisations, si nous n’avons pas tous les idées claires et si nous sommes incapables de les défendre de façon consensuelle. J’aborderai la question en distinguant ce que nous pouvons affirmer avec assurance, ce dont nous pouvons faire l’hypothèse et ce qui relève de la spéculation.
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Bonard, Claude. "Un médecin genevois ayant marqué son époque : Jean-Charles Coindet (1796—1876), hygiéniste et aliéniste." Gesnerus 48, no. 3-4 (November 25, 1991): 359–66. http://dx.doi.org/10.1163/22977953-0480304010.

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Abstract:
Jean-Charles Coindet, fils du Dr Jean-Francois Coindet (1774-1834), est reçu docteur en 1820 après avoir étudié à l'Académie puis à Edimbourg. Peu après 1823, il se voue plus spécialement au traitement des maladies mentales et aux questions relatives à l'hygiene, ce qui l'amène à publier de nombreux traités. Outre ses publications scientifiques au sein desquelles l'influence de la philosophic de Samuel Tuke est perceptible, Jean-Charles Coindet collabore activement aux travaux de la Société d’histoire et d'archéologie de Genève. Homme de culture et homme politique, membre du conseil représentatif Coindet signera, en novem-bre 1841, l'«Adresse des quatre-vingts», qui annonce les prémices de la metamorphose des institutions politiques genevoises, en 1842 puis en 1846.
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Test, Mary Ann. "Modèles de traitement dans la communauté pour adultes ayant des maladies mentales graves et persistantes." Dossier : Le suivi communautaire 23, no. 2 (September 11, 2007): 119–47. http://dx.doi.org/10.7202/032456ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ L'auteure identifie trois modèles de soins et de suivi des personnes aux prises avec des troubles mentaux graves dans la communauté. Il s'agit du modèle PACT (Program ofAssertive Community Treatment) qu'elle a développé historiquement avec ses collègues de Madison (Wisconsin), des clubs psychosociaux et des nouveaux programmes gérés par les usagers. Elle propose une description des principales caractéristiques de ces modèles et des résultats de la recherche quant à leur efficacité pour répondre aux besoins des personnes suivies. Enfin, elle en dégage les implications pour la formation en travail social, ces modèles partageant des méthodes et des valeurs communes avec cette discipline.
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Vanasse, Alain, Carole Charvet, Josiane Courteau, Mireille Courteau, and Dominick Boucher. "Un atlas interactif sur les inégalités de santé touchant les maladies chroniques et la santé mentale." Cahiers de géographie du Québec 55, no. 156 (April 17, 2012): 363–78. http://dx.doi.org/10.7202/1008885ar.

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Abstract:
Résumé L’atlas interactif sur les inégalités de santé (AIIS) est un outil interactif en ligne, pour l’interrogation spatiotemporelle sur l’épidémiologie et le traitement des maladies chroniques et mentales ainsi que sur leur évolution. Basé sur une analyse de besoins auprès des décideurs et utilisateurs potentiels, ce système a été développé de façon à structurer et produire de l’information utile à l’aide d’une interface conviviale, en se servant des données médico-administratives disponibles. L’AIIS propose une information pertinente pour la compréhension des inégalités sociales et géographiques de santé observées pour l’infarctus du myocarde, les fractures ostéoporotiques, le diabète, les douleurs chroniques, la schizophrénie et les troubles de l’humeur. Les résultats des requêtes, présentés sous formes de cartes, de graphiques ou de tableaux, sont transmis rapidement grâce à des interfaces à contenu dynamique et sont accessibles en ligne. L’AIIS constitue un outil de choix pour les décideurs de la santé qui doivent avoir accès à une information complète et détaillée incluant, entre autres, celles sur les inégalités sociales et géographiques de santé de la population.
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Thurin, J. M., M. Thurin, and B. Odier. "FFP – Données probantes en psychiatrie et santé mentale, les propositions de la FFP." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S74. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.343.

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Abstract:
La question de la preuve scientifique (qu’est-ce qui fait preuve et comment ?) appelle aujourd’hui une réflexion de fond et une discussion à rouvrir. Cette question ne se limite pas au champ de la psychiatrie, même si ces questions s’y posent de manière aiguë. Dans le cadre d’un partenariat scientifique avec la HAS, un groupe de travail a été constitué par la FFP pour les traiter. Les points de départ identifiés sont le travail antérieur de la HAS sur ce sujet, l’expérience de l’American Association of Psychology, l’évaluation des interventions complexes réalisées par le MRC (UK), ainsi que différents textes qui introduisent la dimension épistémologique et présentent les nouvelles méthodologies qui réduisent la fracture entre pratique clinique et recherche. Après la présentation par J.-M. Thurin, des éléments issus de la réflexion documentée du groupe de travail et de ses premières propositions sur ces bases, M. Thurin partira du fait que les guides de traitement utilisés en santé mentale sont basés sur les troubles. Il faut en concevoir les limites dans le cadre de la clinique « ordinaire ». En effet, les cliniciens reçoivent des patients dont les comorbidités sont fréquentes. De plus, les problèmes qu’ils présentent vont bien souvent au-delà du simple diagnostic (problème familial ou professionnel, par exemple). Les données probantes ne doivent pas négliger ces aspects. Des critères permettant d’introduire la signification clinique au cœur des données probantes seront proposés. B. Odier montrera qu’en psychiatrie les tâches de description clinique sont inachevées. Certains chercheurs fondamentalistes pensent que la réponse viendra du génotype des maladies mentales. Les cliniciens chercheurs, modestement et patiemment, poursuivent les tâches de description clinique car ils pensent qu’elles sont des préliminaires incontournables aux travaux de classification, aux opérations diagnostiques, aux évaluations pronostiques, à l’étude des évolutions sans et sous traitement.
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Korczak, Daphne J. "L’utilisation des inhibiteurs spécifiques du recaptage de la sérotonine pour le traitement des maladies mentales pendant l’enfance et l’adolescence." Paediatrics & Child Health 18, no. 9 (November 1, 2013): 492–99. http://dx.doi.org/10.1093/pch/18.9.492.

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Malak, S. "Leucémies liées à des traitements anticancéreux : spécificités, difficultés et perspectives." Psycho-Oncologie 11, no. 4 (December 2017): 203–9. http://dx.doi.org/10.3166/s11839-017-0632-z.

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Abstract:
Les leucémies liées à des traitements anticancéreux, radio- ou chimiothérapies sont des maladies rares, mais redoutables. De nombreux défis attendent chacun des intervenants à chaque étape de ces prises en charge. Notamment, les soignants pourront éprouver la culpabilité liée à la possible causalité avec les traitements antérieurs et les difficultés d'une information appropriée dans un contexte d'incertitude. Pour les personnes malades et les proches, la difficulté légitime face à une maladie inattendue vécue comme une double peine, l'inquiétude d'être porteur d'un terrain génétique à risque, les interrogations sur la causalité pouvant impacter avec la relation médecin–patient et, parfois paradoxalement, une plus grande adaptation que lors du premier cancer. Ces maladies nécessitent des traitements urgents et souvent intensifs, qui ne peuvent parfois être conduits de façon optimale, justement, du fait des thérapeutiques antérieurement reçues. Cependant, les évolutions actuelles tant sur le plan de la compréhension que des possibilités de se prémunir de ces maladies, et sur l'amélioration des conditions de traitements, ouvrent des perspectives jusqu'ici inespérées.
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Benabbas, M., and O. Benelmouloud. "Évaluations des traitements de la schizophrénie à travers une enquête auprès des psychiatres de l’Est Algérien…" European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 100. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.267.

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Abstract:
Évaluer l’adéquation entre les pratiques de prescription en conditions réelles et les recommandations internationales pour des sujets schizophrènes. Bien qu’il n’existe pas de définition consensuelle du traitement de la schizophrénie. Nous avons mesuré au moyen d’une enquête d’opinion le consensus des psychiatres algériens sur leur pratique quotidienne du traitement de la schizophrénie et leurs habitudes de traitements et enfin les résultats obtenus. Il était demandé aux psychiatres de remplir une fiche sur laquelle sont mentionnés les différents tableaux cliniques de la schizophrénie qu’ils reçoivent ; les traitements prescris en première intention, pourquoi la préférence pour tel produit et non pas l’autre, à partir de quel moment ils jugent de la résistance au traitement, changent-ils de traitements ou orientent-ils vers les hôpitaux psychiatriques, quantifier la compliance et l’observance du malade pour tel ou tel produit (résultats sous forme de pourcentage). L’enquête touche au premier lieu les psychiatres exerçant dans le privé et ceux des centres intermédiaires en santé mentale. Dans un deuxième temps, elle s’élargira à ceux exerçant dans le secteur public, les établissements hospitaliers spécialisés et les services de psychiatrie hospitalo-universitaire.
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Bensamoun, D. "Place des nouvelles technologies dans les stratégies de dépistage et d’évaluation des troubles thymiques et cognitifs." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S49. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.137.

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Abstract:
L’évaluation médicale en psychiatrie repose encore aujourd’hui principalement sur l’examen clinique du patient. Les techniques de l’information et de la communication (TIC) sont cependant en plein essor dans le domaine de la santé. Basées sur l’intelligence artificielle, les méthodes d’analyse automatisée pourraient permettre d’améliorer le diagnostic clinique avec l’identification de nouveaux « biomarqueurs », notamment dans le domaine des pathologies neuropsychiatriques . Le signal acquis à l’aide de nouveaux capteurs pouvant surpasser les limites perceptives du médecin pourrait permettre une évaluation plus fiable et objective du patient. L’augmentation de l’accessibilité aux technologies, comme l’apparition du Smartphone dans le quotidien du médecin, laisse la possibilité à une analyse physiologique peu coûteuse, rapide et applicable en pratique courante. Les maladies neuropsychiatriques nécessitent une amélioration des outils de dépistage du fait d’un retard diagnostique souvent important pour ces pathologies. L’enjeu est particulièrement important dans les maladies neurodégénératives où l’effet modeste des traitements nécessite une mise en place rapide des mesures thérapeutiques afin de prévenir au mieux les symptômes et la perte d’autonomie associée [2,3]. Les troubles anxieux présentent des perturbations physiologiques bien décrites et nécessitent de même une prise en charge précoce dans l’histoire de la maladie afin d’éviter leur complication et faciliter leur traitement. Le traitement du signal issu de paramètres physiologiques tels que l’analyse du signal vocal et la variabilité de la fréquence cardiaque, reflétant l’état du système sympathique, pourraient permettre le développement d’outils de dépistage et d’évaluation des troubles anxieux afin de faciliter l’accès aux soins à temps ainsi qu’aider à leur évaluation au cours du suivi.
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Surig, L. "Enchaînement, abandon, stigmatisation : quand l’Afrique nous parle de l’histoire de la psychiatrie." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 72–73. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.193.

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Abstract:
Les représentations que nous avons le plus souvent de la folie en Afrique, sont rarement conformes à la réalité du terrain. Loin d’une Afrique idéalisée où la communauté prendrait en charge les patients psychiatriques, accueillant leur « folie » et lui conférant ainsi un rôle social, la réalité est souvent plus complexe et tragique. En l’absence de moyens et dans un contexte de croyances séculaires, beaucoup de malades vivent encore aujourd’hui ce que les malades européens ont pu vivre avant la naissance de la psychiatrie moderne, parfois au sein même des institutions asilaires qui ont marqué l’essor de la psychiatrie occidentale. Du sens donné à la folie à l’époque médiévale, à la prise en charge de la maladie mentale de l’Antiquité à nos jours, en passant par le grand « boom » de l’aliénisme avec la loi de 1838, nous verrons combien la situation des malades psychiatriques africains fait écho à notre histoire [1,3]. Lorsqu’il est possible, ce qui reste malheureusement peu fréquent, l’accès pérenne aux traitements psychotropes et plus particulièrement aux neuroleptiques de première génération, transforme le cours de la vie de certains malades, évoquant l’avancée spectaculaire qu’a connu la psychiatrie moderne après la découverte des neuroleptiques par Delay et Deniker en 1952. Il est enfin frappant de voir que stigmatisation et maladie mentale vont de pair à travers les siècles et sous toutes les latitudes, et que des politiques de formation et d’information sont plus que jamais nécessaires pour permettre à la psychiatrie africaine de prendre la place qu’elle mérite, à l’heure où urbanisation galopante et globalisation économique modifient en profondeur les modes de vie, l’organisation sociale traditionnelle et les schémas de pensées des africains du XXIe siècle [2].
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Arbus, C. "SPLF – les liens entre fragilité et pathologies mentales chez la personne âgée." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S94. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.400.

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Abstract:
La fragilité, aujourd’hui définie selon les critères de Fried et al. [1], est souvent associée à une souffrance psychique et notamment aux symptômes dépressifs ou même à la dépression. S’agit-il d’une co-occurrence ou bien existe-t-il des liens physiopathologiques plus ténus ? De nombreuses études ont rapporté une association positive entre dépression et risque de morbidité et de mortalité [2]. La présence de symptômes dépressifs chez les fragiles aggrave-t-elle le risque de morbidité et de mortalité de ces patients ? Les maladies mentales sont des facteurs de handicap et de vulnérabilité. Il n’existe, à ce jour, aucune étude s’étant intéressée aux populations psychiatriques vieillies au regard du concept de fragilité utilisé en gériatrie. Il existe dans ce domaine un vaste champ de recherche encore inexploré. Il est des situations au cours desquelles apparaissent des syndromes démentiels et la question de la co-occurrence d’une maladie neurodégénérative ou celle d’une évolution vésanique de la maladie psychiatrique se pose [3]. Il n’existe que peu, voire pas, d’études prospectives au long cours permettant de répondre à cette question. Les personnes âgées sont surexposées aux traitements psychotropes. Il s’agit de molécules qui auront de façon quasi-obligatoire des effets délétères, les personnes âgées étant beaucoup plus vulnérables aux effets secondaires de ces traitements alors que leur efficacité dans cette population est souvent difficile à démontrer. Une personne sur deux de plus de 70 ans fait usage de psychotropes en France. La iatrogénie est bien sûr importante avec des risques de chutes et de confusion ou de sédation excessive [4]. Il s’agit de molécules à fort potentiel cognitif. Dans une situation de fragilité gériatrique et lorsque coexiste une symptomatologie psychiatrique, la prescription des psychotropes viendra nécessairement aggraver le pronostic fonctionnel des patients notamment lorsque cette prescription n’est pas maîtrisée et répond à des critères de mésusage.
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Meloche, Monique. "Enfermer la folie." Santé mentale au Québec 6, no. 2 (June 13, 2006): 16–26. http://dx.doi.org/10.7202/030099ar.

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Abstract:
En Nouvelle-France, la folie a initialement été considérée selon les traditions européennes : les lunatiques doivent être exclus, mis hors de la vue. Très tôt, une distinction a été faite entre la fonction de protection, attribuée aux hôpitaux généraux et plus tard aux asiles, et la fonction de traitement entreprise à l’Hôtel-Dieu (mettant dans l’ombre le rôle joué par les hôpitaux généraux au 20e siècle). En 1960, le changement des concepts dans les champs de l’étiologie et du traitement de la maladie mentale, la largeur des hôpitaux mentaux et la transformation de la société du Québec de rural à urbain a accéléré la réorganisation des services psychiatriques, sans élément de risque d’exclusion du malade mental. Cet article décrit aussi brièvement les hôpitaux psychiatriques et leur dépendance au début des années 60 au Québec.
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Larchanché, S. "Pluridisciplinarité dans la psychiatrie sociale." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S99. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.413.

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Abstract:
L’impact des déterminants sociaux sur la santé mentale et la participation des patients à leur traitement constituent les pierres d’angle de la psychiatrie sociale. Cette approche humaniste repose sur la possibilité de poser un regard élargi sur la maladie mentale et les éléments qui conditionnent son émergence ainsi que ses possibilités de traitement. Ce regard élargi demande du professionnel du soin, d’une part, qu’il se décentre d’une lecture strictement médicale des situations qu’il traite, et d’autre part, qu’il apprenne à travailler avec des professionnels de formations diverses (psychologie, travail social, médiation, éducation) afin de pouvoir mettre en place un accompagnement global et cohérent pour le malade. Cette réflexion sur l’intérêt d’une prise en charge pluridisciplinaire, découlant en partie d’une expérience clinique avec des publics en précarité sociale ou fragilisés par l’expérience de la migration ou de l’exil, contribue à enrichir la vision d’une psychiatrie sociale non-aliénante et non-stigmatisante, adaptée pour tout un chacun, quels que soient sa trajectoire personnelle et son environnement socioculturel. L’auteure illustrera ses propos à l’appui d’une situation clinique.
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Ionita, A. "L’effet de l’avancée en âge sur l’expression des troubles anxieux." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S54. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.152.

Full text
Abstract:
Les troubles anxieux du sujet âgé de plus de 65 ans ont une prévalence estimée entre 3,2 % et 14,2 % . Ces troubles sont souvent sous-diagnostiqués et sous-traités chez les sujets âgés, leur expression différente par rapport aux adultes jeunes étant due aux comorbidités somatiques et psychiatriques fréquentes (notamment la dépression) et à la présence des troubles cognitifs. Les troubles anxieux des sujets âgés représentent une cause non reconnue d’incapacité et de risque de mortalité et ils ont été associés avec des maladies cardiovasculaires, des accidents vasculaires et le déclin cognitif. Les mécanismes de l’anxiété chez les sujets âgés diffèrent de ceux impliqués chez les jeunes adultes à cause des modifications neurobiologiques liés à l’âge ainsi que des facteurs de stress environnementaux plus fréquents avec l’avancées en âgé. La plupart des troubles anxieux chez les sujets âgés sont chroniques et habituellement débutent plus tôt dans la vie à l’exception du trouble anxieux généralisé (TAG) et de l’agoraphobie qui peuvent avoir un début tardif. Le TAG est le trouble anxieux le plus prévalent chez les sujets âgés. Les principaux facteurs prédictifs de TAG à début tardif sont le genre (femme), les événements de vie adverses récents, les problèmes de santé chroniques (respiratoires, cardiaques, déclin cognitif) et les maladies mentales chroniques (dépression, troubles anxieux) . En plus les événements de vie adverses précoces (perte parentale/séparation, maladie mentale parents) étaient associés indépendamment avec l’incidence du TAG à début tardif . Le TAG du sujet âgé est caractérisé par une réponse aux traitements plus médiocre tant à la pharmacothérapie qu’aux thérapies cognitivo-comportementales. Cette différence a été attribuée aux changements neurobiologiques liés à l’âge . Ces données suggèrent l’importance d’une meilleure détection de ces troubles fréquents chez les personnes âgées à l’aide d’outils spécifiques et la mise en place des stratégies thérapeutiques adaptées.
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Docteur, A., C. Mirabel-Sarron, E. Siobud-Dorocant, L. Breda, C. Cazes, F. Rouillon, and P. Gorwood. "Efficacité d’une démarche de psychoéducation sur l’insight de patients bipolaires I résistants." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S156—S157. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.316.

Full text
Abstract:
Le trouble bipolaire est une maladie chronique gravement invalidante pour laquelle le traitement médicamenteux, qui repose sur la prescription de thymorégulateurs, est indispensable. L’objectif principal de tout soignant est d’augmenter l’adhésion aux traitements et que l’observance aux thymorégulateurs soit la meilleure possible. Le temps nécessaire à l’acceptation du trouble est très individuel et peut demander plusieurs années. Les démarches psychoéducatives, apparues il y a tout juste 30 ans visent à augmenter les connaissances sur la maladie, les traitements pharmacologiques et psychologiques et permet l’identification des conséquences du trouble ainsi que l’apprentissage de moyens pour y faire face. Des travaux récents suggèrent que le niveau d’insight de la maladie permettrait de prédire le profit que tire le patient d’une démarche psychoéducative sur la maladie, dans le sens où les patients qui ont un meilleur insight augmenteraient davantage leurs connaissances sur leur maladie et les traitements que les autres. Mieux connaître sa maladie permettrait de mieux gérer ses traitements médicamenteux et psychologiques et aiderait à réduire le taux de rechutes et les conséquences psychosociales. Il s’agit d’évaluer l’efficacité d’une démarche de psychoéducation sur l’acceptation du trouble de 32 patients bipolaires de type I résistants. Tous ont participé à 8 séances de psychoéducation issues d’un programme TCC long en 20 séances selon le programme de Lam, qui constitue l’une des références internationales pour le trouble bipolaire. Chaque patient a été évalué avant et après les 8 séances de psychoéducation à l’aide des questionnaires suivants : la Mood Disorder Insight Scale (MDIS) (Sturman et Sproule, 2003), « Tester ses connaissances du trouble bipolaire » (Basco, 2008), « Évaluation des connaissances de base sur les troubles bipolaires » (Bauer et Mc Bride, 1996). Notre hypothèse est que la psychoéducation permettrait aux patients bipolaires d’accéder à une meilleure acceptation du trouble. Les résultats seront présentés et discutés.
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Hodé, Y. "La psychoéducation des familles de malades souffrant de schizophrénie : intérêts, objectifs, et modèles." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S16. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.052.

Full text
Abstract:
La psychoéducation des familles de malades dans la schizophrénie est une pratique fortement recommandée mais dont l’offre est encore limitée et dont l’intérêt est souvent perçu comme marginal par de nombreux cliniciens. Le concept même de psychoéducation est souvent mal compris et confondu avec celui d’information et d’échanges à propos de la maladie et de sa prise en charge. Alors que des données abondantes sont venues montrer que la psychoéducation des familles réduit le risque de rechute des patients d’un facteur 2, soit une amplitude de l’effet identique à celle des traitements médicamenteux, cette donnée ne diffuse pas dans le monde clinique, voire est accueillie avec un certain scepticisme. Les préjugés des cliniciens peuvent avoir plusieurs raisons :– la difficulté à évaluer l’efficacité de tels programmes (et à croire les résultats de ces évaluations), la méthodologie d’évaluation étant plus complexe à mettre en œuvre en termes de faisabilité que pour un traitement médicamenteux ;– la difficulté à obtenir une fiabilité élevée dans la délivrance répétée d’une animation efficace, ce qui entraîne une réticence à proposer un programme dont on doute de la qualité ;– les difficultés organisationnelles qui conduisent à un manque d’intérêt pour une technique qu’on pense trop difficile à mettre en œuvre. Les soins psychiatriques ont une logique centrée autour du malade, et cette logique qui ne permet pas facilement de dégager des moyens spécifiques pour les familles ;– la difficulté à rencontrer de façon proactive les familles, en raison d’a priori concernant les risques de trahison du secret médical ou de mise à mal de l’alliance thérapeutique avec le malade.Cette difficulté conduit à une demande insuffisante des familles, cette faible demande n’encourageant pas les cliniciens à proposer une offre en réponse. Répondre à ces préjugés est un enjeu pour que les pratiques de psychoéducation deviennent un standard.
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Watrin, E., and J. Madigand. "Traitement addictolytique du trouble de l’usage d’alcool : mise au point pharmacologique et perspectives d’avenir." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S110. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.208.

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Abstract:
IntroductionIntégrés dans la prise en charge globale du trouble de l’usage d’alcool, les traitements addictolytiques présentent un réel intérêt mais restent relativement peu prescrits [1]. Afin de faciliter leur utilisation, nous proposons une mise au point sur les différentes possibilités pharmacologiques actuelles et les pistes thérapeutiques d’avenir. État des lieux : en partenariat avec le patient, deux types d’objectif de consommation peuvent être proposés : la réduction ou l’abstinence [1]. Dans le 1er cas, seul le nalméfène a actuellement l’AMM en France [2]. En cas d’objectif d’abstinence, la naltrexone, l’acamprosate et le disulfirame sont les traitements addictolytiques de 1er choix [2]. Encadré par son actuelle recommandation temporaire d’utilisation, le baclofène peut être employé en 2e intention [2] et nécessite certaines précautions d’emploi lors de son instauration et de son sevrage [3]. Les résultats de son évaluation dans les 2 types d’objectif (études Bacloville et Alpadir) devraient être éminemment diffusés [2]. D’autres travaux en cours permettront d’étayer nos connaissances sur les systèmes de neurotransmission et les potentialités thérapeutiques qui en découlent [4]. En complément du traitement addictolytique, une bonne relation soignant–malade reste une base indispensable du parcours de soins [2]. Ce dernier permettra au patient un suivi médical de type entretiens motivationnels, une psychothérapie, le traitement d’éventuelles comorbidités somatiques ou psychiatriques, et des entretiens avec des membres d’associations d’anciens buveurs [2].ConclusionRelativement peu prescrit, le traitement addictolytique nécessite une plus large diffusion et une meilleure utilisation en santé mentale et en médecine générale.
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Sibille, E. "La dépression et le temps qui passe : comment la dépression et le vieillissement du cerveau partagent des mécanismes moléculaires communs ?" European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 550. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.342.

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Abstract:
L’augmentation du risque de troubles neurodégénératifs et neuropsychiatriques associés à l’allongement de la durée de vie évoque depuis longtemps l’existence de liens mécanistiques entre l’âge chronologique et les troubles neuro-psychiatriques, dont la dépression. Des mises en évidence récentes de modifications d’expression des gènes en fonction de l’âge suggèrent maintenant que le vieillissement cérébral humain met en jeu un ensemble spécifique de voies biologiques sur une trajectoire continue tout au long de la vie. Or, les gènes associés au vieillissement normal du cerveau sont aussi impliqués de façon fréquente et identique dans la dépression ainsi que dans d’autres troubles neuro-psychiatriques. Ces observations suggèrent un modèle d’interaction moléculaire entre l’âge et la maladie, dans lequel le vieillissement cérébral favorise des modifications biologiques associées aux maladies et dans lequel des facteurs environnementaux supplémentaires et la variabilité génétique contribuent à définir le risque pathologique ou celui des trajectoires de résilience. Nous passerons en revue ici les traits caractéristiques du vieillissement cérébral en termes de modification de la fonction des gènes au cours du temps. Puis nous nous intéresserons aux arguments en faveur de l’accélération du vieillissement moléculaire dans la dépression. Cette proposition de modèle d’interaction biologique âge/maladie aborde le décalage actuel dans la recherche entre le vieillissement cérébral normal et ses connexions aux maladies de la vieillesse. Les implications de ce modèle sont importantes, en termes de cadre de recherche pour l’identification des facteurs de résilience, d’opportunités pour une prévention ou un traitement précoce et de création d’une définition dimensionnelle des maladies allant au-delà du système catégoriel actuel.
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Alarcon, W. "Santé Mentale en Afrique de l’Ouest (SMAO) : pour le développement de politiques de Santé Mentale en Afrique subsaharienne." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 73. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.194.

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Abstract:
L’association Santé Mentale en Afrique de l’Ouest a été créée par des soignants de l’hôpital psychiatrique du centre hospitalier Mas Careiron à Uzès dans le Gard. Son objectif est de nouer des partenariats avec des structures de soins psychiatriques en Afrique (ONG, Hôpitaux publics, Associations,…) et de sensibiliser la communauté psychiatrique à la nécessité de développer de véritables politiques de santé mentale à l’échelle du continent. La faiblesse des politiques publiques, le faible niveau d’équipement et de formation psychiatrique dans la majorité des pays d’Afrique subsaharienne obligent à penser des modèles d’organisation sanitaire adaptés à la réalité du terrain [3]. Nous prendrons pour exemple le partenariat passé entre SMAO et l’ONG Ivoiro-béninoise Saint-Camille de Lellis qui depuis trente ans, œuvre à la mise en place de soins et d’outils de réinsertion pour les malades psychiatriques dans ces deux pays. À ce jour, ce sont huit centres d’hospitalisation, autant de centres de consultation et sept centres de réhabilitation par le travail qui y ont vu le jour. Le modèle de soins proposé par l’ONG St-Camille repose essentiellement sur la compétence infirmière du fait d’une carence réelle sur le plan médical. L’idée des soins proposés par cette association est intéressante car elle rappelle par bien des points la naissance de la sectorisation psychiatrique en France : modicité et accessibilité des soins, maillage territorial, volonté de déstigmatisation de la pathologie psychiatrique dans un environnement culturel chargé de représentations négatives [2]. Il apparaît cependant nécessaire d’imaginer à court et moyen termes des aides plus importantes sur la question de l’aide à l’achat des traitements psychotropes, et ce d’autant que le coût moyen d’un traitement annuel par patient reste très modique au regard d’autres traitements (ex VIH) pour lesquels la communauté internationale a su se mobiliser [1].
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Hugman, Richard. "Le pouvoir des professionnels dans la réadaptation : exemple d’un groupe d’usagers du service social." Santé mentale au Québec 19, no. 1 (September 11, 2007): 47–58. http://dx.doi.org/10.7202/032293ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ La réadaptation, en santé mentale, s'est éloignée progressivement de son objectif de maximisation du fonctionnement individuel, pour s'intéresser plutôt aux moyens qui pourraient aider les malades mentaux à interagir assez bien avec leur environnement et gagner en autonomie dans leur vie quotidienne (Wing, 1980). La réadaptation est alors apparue comme un processus plutôt que comme un événement (Sheppard, 1984). En d'autres mots, la réadaptation n'est pas simplement un traitement unique - ou une suite donnée de traitements - mais une intervention qui visera, souvent à plus long terme, à maintenir le fonctionnement social et à soutenir l'adaptation. Ignorer cette distinction ou refuser de l'aligner sur le principe directeur de la pratique de la réadaptation psychiatrique mène à une action mal orientée ou pire, à une série de rituels vides de sens qui renforcent la dépendance (Watts et Bennett, 1983; Brandon, 1991). Tous les professionnels de la réadaptation psychiatrique devraient donc se poser cette question primordiale: comment utiliser ses habiletés pour amorcer et soutenir ce processus?
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Lamarre, Suzanne. "Les femmes et la maladie mentale : un problème culturel?" Santé mentale au Québec 4, no. 2 (June 2, 2006): 53–62. http://dx.doi.org/10.7202/030056ar.

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Abstract:
Lors d'une conférence dans le cadre du Symposium sur le sexe, la culture et la maladie, l'épidémiologue américain, Walter R. Gove (19778), de l'Université Vanderbilt, affirmait que les femmes manifestent deux fois plus de problèmes névrotiques que les hommes depuis les trente-cinq dernières années. Différentes études épidémiologiques (Weissman, 1977 ; Statistics Canada ; Silverman, 1968) sur la fréquence des traitements psychiatriques démontrent plus précisément que les femmes font de deux à six fois plus de dépressions que les hommes. Ces recherches m'ont incitée à réfléchir sur les relations possibles entre les problèmes névrotiques et les changements culturels de ces trente-cinq dernières années, à la lumière des concepts de différenciation de groupe et d'éléments culturels de Bateson (1976). Celui-ci a élaboré une théorie permettant d'examiner les problèmes de comportement humain (conformisme, aspects émotionnels et expression de besoins) à la lumière d'une grille peu utilisée en psychiatrie, la grille anthropologique. Beaucoup de chercheurs enfin se sont intéressés aux inégalités sociales affectant les femmes depuis des siècles comme facteurs causals de leurs maladies, mais ont négligé d'étudier les changements des aspirations, valeurs, attentes de comportements ainsi que les systèmes relationnels soutenant les communications de notre époque. Ces changements méritent toute notre attention, car ils ont profondément modifié le contexte de vie de gens dont les apprentissages sont adaptés à un autre milieu que celui dans lequel ils vivent.
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Rein, W., H. Giedke, and D. Axmann. "Traitements antidépresseurs (amitriptyline et oxaprotiline), éléments psychopathologiques prédictifs de l'efficacité thérapeutique." Psychiatry and Psychobiology 1, no. 1 (1986): 85–90. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00000377.

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Abstract:
RésuméLa valeur prédictive du diagnostic et de la symptomatologie a été étudiée chez 42 malades hospitalisés souffrant de troubles dépressifs majeurs et traités par antidépresseurs (oxaprotiline ou amitriptyline). A 4 semaines de traitement, le score à l'échelle de dépression de Hamilton (17 items) a été pris comme critère d'amélioration : étaient considérés comme améliorés les sujets dont le score était ≤ 9, et comme non améliorés ceux dont le score était > 9. L'intensité de la dépression avant traitement était comparable dans les deux groupes. La sémiologie de la dépression a été évaluée aussi par une échelle plus complète, l'EADM 1 (Pichot et Coll.) qui permet d'établir un profil syndromique à 7 facteurs : «humeur et idéation dépressive», «plaintes subjectives», «agitation névrotique», «ralentissement psychomoteur », «plaintes somatiques», «anxiéteé» et «troubles de l'appétit».Ni les sous-groupes diagnostiques (endogène/non endogène) ni l'opposition agitation/ralentissement ni le sexe ni les traitements ni les taux plasmatiques d'amitryptiline ne différenciaient les deux groupes de sujets (améliorés et non améliorés). L'âge des sujets améliorés était significativement plus élevé. Les taux plasmatiques moyens d'oxaprotiline étaient significativement plus élevés dans le groupe des sujets améliorés.Deux facteurs de l'EADM 1, le facteur 1, humeur et idéation dépressive et le facteur 5, plaintes somatiques, permettaient par analyse discriminante un classement correct de 79 % des malades par rapport au critère d'amélioration. Un score élevé avant traitement au facteur 1 joint à un score bas au facteur 5 indiquaient un bon pronostic à 4 semaines.
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Maranda, François. "L’adolescente anorexique." Santé mentale au Québec 9, no. 2 (June 8, 2006): 94–98. http://dx.doi.org/10.7202/030243ar.

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Abstract:
Résumé Depuis quelques années, l'anorexie mentale, avec sa fréquence épidémique et sa résistance à la thérapie, a été l'objet de publications des plus diverses. Dans ce texte, nous essayons de décrire simplement la symptomatologie associée à la maladie, les hypothèses étiologiques actuelles pour, à la lumière de nos expériences cliniques auprès d'adolescentes anorexiques, dégager les grandes lignes d'un plan de traitement.
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Myers, Michael F. "Le traitement du médecin souffrant de maladie mentale." Canadian Journal of Psychiatry 42, no. 6 (August 1997): i—vi. http://dx.doi.org/10.1177/070674379704200626.

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Vandel, P. "Les médicaments actuels et à venir permettent-ils un traitement personnalisé ?" European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 592. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.317.

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Abstract:
L’évolution de la schizophrénie a été amplement modifiée depuis l’avènement des neuroleptiques en 1952. Les soins destinés aux patients souffrant de schizophrénie se sont pourtant longtemps dispensés sous la forme d’une nécessité plus qu’une offre.L’avènement des antipsychotiques de seconde génération a permis la mise à disposition de traitements montrant une meilleure efficacité, une meilleure tolérance et une meilleure observance que les AP de première génération.Les données récentes insistent sur la nécessité de traiter sans retard car la souffrance engendrée par la maladie est bien réelle. La prise en compte récente de la question du handicap lié à la schizophrénie, puis de la qualité de vie des patients, recentrent le patient comme sujet. Avec les nouvelles molécules la prise ne charge doit être individualisée tout en gardant en tête que les attentes des patients soulignent leurs difficultés face à l’exclusion sociale, à la stigmatisation liée à la maladie et leurs appréhensions face au traitement pharmacologique.
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Lemogne, C. "Troubles mentaux et perte de chances en soins somatiques." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 572–73. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.260.

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Abstract:
Au-delà des symptômes qui les caractérisent, les troubles mentaux sont associés à une diminution de l’espérance de vie pouvant aller jusqu’à 25 ans chez les patients atteints de schizophrénie. Contrairement à une croyance répandue, cette surmortalité n’est que partiellement expliquée par un risque accru de suicides et d’accidents, mais relève essentiellement de causes somatiques. Au premier plan de ces causes figurent les maladies cardiovasculaires mais les patients atteints de troubles mentaux présentent également une surmortalité liée à d’autres causes telles que les maladies respiratoires, les maladies infectieuses et les cancers. Cette surmortalité de cause naturelle s’explique en partie par des comportements de santé à risque (consommation de tabac, sédentarité, etc.), voire par des voies biologiques directes (par ex. hyper-activation du système nerveux autonome). Il est cependant vraisemblable que ces patients souffrent d’une véritable perte de chances en matière de soins somatiques, non seulement en raison d’un moindre accès aux soins mais également en raison de soins de moindre qualité : négligence de points d’appel somatiques, moindre recours au dépistage, retard au diagnostic des cancers, traitement insuffisant de la maladie coronarienne, etc. Les causes de cette perte de chances sont liées au patient lui-même et notamment au handicap psychique associé aux troubles mentaux, mais également à la représentation de ces troubles chez les professionnels de santé et à l’organisation du système de soins, notamment au cloisonnement persistant entre soins psychiatriques et soins somatiques.
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Plante, Marie-Carmen. "Être psychiatre auprès des personnes itinérantes. Témoignage." Dossier : Santé mentale au coeur de la ville II 37, no. 1 (October 3, 2012): 65–77. http://dx.doi.org/10.7202/1012644ar.

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Abstract:
Témoignage d’une médecin-psychiatre sur son expérience de vingt ans de pratique clinique auprès de personnes atteintes de maladie mentale et itinérantes. Elle définit le paradigme thérapeutique et les stratégies d’intervention que le psychiatre doit connaître, pratiquer et s’approprier pour apprivoiser cette clientèle, et l’engager dans le traitement et la réadaptation vers un projet de vie personnalisé et vers son rétablissement. On y retrouve quelques perspectives d’avenir auprès de cette population.
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Aberkane, Salah, and Abdelkader Badis. "Perceived Health Related Quality of life among End Stage Renal Disease Patients undergoing Hemodialysis Therapy: A field study in the province of Batna, Algeria." Batna Journal of Medical Sciences (BJMS) 5, no. 1 (December 25, 2018): 42–46. http://dx.doi.org/10.48087/bjmsoa.2018.5110.

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Abstract:
Objectifs : L’étude vise à étudier la relation entre les représentations de la maladie et la qualité de vie liée à la santé au cours l’insuffisance rénale au stade terminal chez des patients subissant un traitement par hémodialyse. Méthodes : Un échantillon de 100 patients souffrant d'insuffisance rénale au stade terminal et vivant dans la région de Batna (Algérie) a été utilisé dans la présente étude. L’analyse statistique de corrélation a été employée pour déterminer la relation entre les représentations de la maladie et la qualité de vie liée à la santé. L’analyse par régression multiple a été utilisée pour déterminer la capacité de prédiction des dimensions des représentations et de la qualité de la vie durant la maladie. Résultats : Cette étude a donné un aperçu sur la relation entre les attributions comportementales et la qualité de vie (partition de la composante mentale dans l'échantillon considéré (R= -0,455). Par conséquent, il a été prouvé qu'il y a un effet d'attributions comportementales sur les scores de la composante mentale (R2 = 0,217). Conclusion : Les résultats de l'étude ont fait apparaître le rôle des représentations de la maladie (des attributions comportementales) et de l’adaptation des performances du patient, mais elle n'a pas révélé les différentes représentations qui contribuent à la prévision de la qualité de vie liée à la santé, ce qui permet de soutenir certaines approches d’interventions psychothérapeutiques en répondant aux tests utilisés dans les questionnaires de l’étude.
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Courtet, P. "Une utilisation optimale des antipsychotiques au profit d’un meilleur pronostic de la schizophrénie." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S49—S50. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.139.

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Abstract:
Au cours des 25 dernières années, les avancées dans le traitement pharmacologique de la schizophrénie ont été marquées par l’apparition des antipsychotiques de seconde génération dans leurs différentes formes galéniques. Cette session proposera une mise en perspectives pharmacodynamique, pharmacocinétique, mais aussi clinique et méthodologique de ces stratégies de soin. R. Bordet initiera la discussion en passant en revue les critères d’un traitement antipsychotique idéal, qui devraient être :– l’amélioration de l’ensemble des dimensions cliniques de la schizophrénie grâce à la modulation à long terme de la transmission dopaminergique mais aussi des voies non dopaminergiques ;– la modification de l’évolution de la maladie en agissant à long terme sur les anomalies neuropathologiques et neurochimiques.Sur le plan clinique, la répétition des épisodes psychotiques altère le pronostic en termes de fonctionnement psychosocial, de qualité de vie et de stigma. Les antipsychotiques sont efficaces pour prévenir les rechutes chez les patients chroniques et ce dès le début du trouble schizophrénique. Pilar Saiz discutera l’intérêt des antipsychotiques injectables à longue durée d’action, qui sont une option thérapeutique majeure dans la prévention des rechutes, tout au long de la maladie. Ces traitements restent sous-utilisés du fait, notamment, des attitudes de prescription des cliniciens. Cette circonspection est favorisée par plusieurs méta-analyses récentes dont les résultats sont contradictoires concernant l’intérêt de ces formes galéniques en comparaison avec les formes orales pour le traitement d’entretien de la schizophrénie. Les difficultés méthodologiques rencontrées pour démontrer l’éventuelle supériorité de cette forme galénique, seront présentées, en particulier celles liées à l’utilisation des études randomisées contrôlées. Les différentes méthodologies de recherche actuelles seront exposées et comparées afin de préciser le contexte. Enfin, l’intérêt des recommandations professionnelles exclusivement basées sur les résultats des études randomisées contrôlées sera débattu ainsi les évolutions récentes dans ce domaine de la médecine basée sur les preuves.
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Hajri, A., W. Homri, S. Ben Alaya, S. Charradi, and R. Labbane. "La sectorisation en psychiatrie : apports et limites." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 88. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.237.

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Abstract:
Introduction.La sectorisation en psychiatrie réalise l’organisation administrative gérant la maladie mentale et les répartitions des structures de soins de santé mentale. Elle est née en France en 1960 sous l’action de psychiatres désaliénistes et elle a réalisé un effondrement de l’asile psychiatrique en faveur d’une structure de soins communautaire.Objectif.Évaluer l’apport et les limites de la sectorisation instaurée en Tunisie en 2000.Méthodologie.Revue de la littérature en utilisant les mots clés : « sectorisation », « psychiatrie ».Résultats.La sectorisation a réalisé une désinstitutionalisation progressive ; elle a favorisé la prise en charge dans des structures de soins régionales ce qui a permis d’éviter la chronicisation des patients en institution fermée. Ceci a contribué considérablement à la lutte contre la marginalisation du malade mental, lui offrant une meilleure qualité de vie et une meilleure insertion sociale. Par ailleurs, un tel système réalise une proximité de soins et par conséquent un bénéfice en matière de précocité du traitement. Il cible une meilleure continuité des soins ce qui réduit le nombre de nouvelles admissions. Toutefois, la sectorisation soulève encore quelques contestations. En effet, les secteurs géographiques se caractérisent par d’importantes disparités en matière de ressources matérielles et humaines. Par ailleurs, ce système réalise une contrainte par rapport à la possibilité par le patient de choisir librement son médecin traitant ou l’hôpital de référence (les limites géographiques sont parfois interprétées abusivement).Conclusion.La sectorisation a réalisé une révolution dans l’histoire de la psychiatrie en termes de lutte contre la stigmatisation du malade mental. Encore faut-il réviser certaines modalités afin que ce système s’adapte au mieux à la demande de soins.
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Hanon, C. "EPA - Le projet mPIVAS : l’EPA s’engage avec les jeunes psychiatres dans la santé sur smartphone !" European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 671–72. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.075.

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Abstract:
Les antipsychotiques ont largement montré leur efficacité dans le traitement pharmacologique du trouble bipolaire et de la schizophrénie. Cependant, ils sont associés à des effets secondaires qui peuvent affecter la qualité et l’espérance de vie des patients [1]. Notamment, bien que la prise de poids constitue un des facteurs majeurs de non compliance au traitement, peu d’interventions visant à en limiter l’impact ont été évaluées [2]. De plus, le suivi de ces effets secondaires est peu fréquemment effectué de manière systématique et standardisée.Du fait d’une diminution de leur prix et de leur simplicité d’utilisation, les smartphones font partie du quotidien d’une majorité de patients, ce qui en fait un outil de choix pour le recueil de données de santé. Notamment, par une détection plus précoce, ou encore d’une prévention plus efficace, des économies substantielles pourraient être réalisées au niveau européen [3].Le projet mPIVAS (mHealth psychoeducational intervention versus antipsychotic-induced side effects), porté par l’Early Career Psychiatrists Committee de l’European Psychiatric Association (EPA-ECPC) a pour objectif d’utiliser la technologie des smartphones pour évaluer et diminuer la sévérité des effets secondaires des traitements antipsychotiques. PsyLog, une application smartphone spécialement dédiée pour ce projet, permet à tout moment au patient de renseigner le type et la sévérité des effets secondaires dont il souffre, et au clinicien d’accéder à ces données. Elle offre également des conseils d’hygiène de vie, des techniques de coping personnalisées, et des informations sur les traitements. Son efficacité va être évaluée par un projet de recherche clinique multicentrique, contrôlé et randomisé. L’ensemble du projet et l’application PsyLog ont pour but ultime de faciliter la communication entre patients et cliniciens, en offrant un support pour échanger sur la maladie, les traitements et leurs effets secondaires.
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Pachoud, B., P. M. Llorca, I. Salmona, and J. B. Trabut. "La décision médicale partagée en psychiatrie : quelle utilité ?" European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S39. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.111.

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Abstract:
La pratique de la décision médicale partagée est désormais entrée dans l’usage dans les disciplines médicales pour lesquelles les choix thérapeutiques sont complexes, lourds de conséquences et d’enjeux (vitaux, de qualité de vie…), et exigent par conséquent la prise en compte des préférences et valeurs des patients. Devenue un critère de qualité de soin, elle fait l’objet de recommandations de la part des tutelles . En psychiatrie, cette approche, qui transforme la relation médecin–malade, est encore peu revendiquée dans notre pays, et son intérêt sans doute encore sous-estimé. Elle suscite pourtant un intérêt croissant dans de nombreux pays, étant l’expression d’une médecine qui n’est plus seulement centrée sur la maladie, mais désormais aussi sur la personne et sur son devenir. Restaurer la personne dans une posture active de gestion de sa maladie, de reprise d’un contrôle sur sa vie, devient dès lors un objectif majeur, exigeant de valoriser ses compétences et de promouvoir – jusque dans le soin – ses capacités de choisir, de décider et d’agir. Dans le même esprit, en psychiatrie, le recours aux « directives anticipées » concernant la conduite à tenir en cas de rechute, illustre ce souci d’associer la personne aux décisions relatives à son traitement, y compris en période de crise, pour établir une relation de partenariat plutôt que d’assistance. L’enjeu est non seulement une meilleure acceptation et observance des choix thérapeutiques, mais un soutien au processus d’autonomisation et de rétablissement de la personne. Des études montrent que la majorité des patients souhaitent être associés aux décisions concernant leur traitement et de nombreux travaux s’attachent à favoriser l’identification des préférences, valeurs et attentes des patients et à soutenir la mise en œuvre de cette pratique en santé mentale [3,4].
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Samalin, L. "Ralentissement psychomoteur et schizophrénie." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 579. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.279.

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Abstract:
Le ralentissement psychomoteur dans la schizophrénie comprend un ensemble de symptômes dont les premières descriptions ont été rapportées par Bleuler et Kraepelin dans les années 1900. Néanmoins, peu d’études visant à comprendre la nature et le rôle du ralentissement psychomoteur ont été réalisées dans cette maladie.Si le ralentissement psychomoteur fait partie des critères diagnostiques du trouble dépressif caractérisé, il n’est pas actuellement considéré comme un élément central au diagnostic de schizophrénie. La catatonie est longtemps restée comme un sous-type de schizophrénie mais l’évolution du DSM dans sa 5e version la considère comme une spécification pouvant être associée à d’autres troubles mentaux (trouble dépressif caractérisé, trouble bipolaire, trouble psychotique bref…). Pourtant le ralentissement psychomoteur est observé dès le début de la maladie et a un impact sur les capacités cognitives et le fonctionnement des patients schizophrènes. Le ralentissement de la performance sur les différentes mesures psychomotrices est associé, indépendamment du traitement, à la présence de symptômes négatifs et, dans une moindre mesure, à la présence de symptômes positifs et dépressifs [1].Les études comparant les patients souffrant d’un trouble dépressif caractérisé avec des patients schizophrènes ont retrouvé un ralentissement global chez les patients déprimés alors qu’il était plus marqué au niveau cognitif pour les patients schizophrènes [2].D’autres paramètres extrinsèques peuvent cependant influencer les symptômes psychomoteurs comme l’âge des patients ou les traitements antipsychotiques de première génération. La spécificité et l’impact pronostique du ralentissement psychomoteur chez les patients souffrant de schizophrénie nécessitent pour certains auteurs [3] de considérer les perturbations psychomotrices comme un critère diagnostique de schizophrénie.
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Lardinois, M., and C. Henry. "Intérêt d’un agoniste dopaminergique dans le traitement des dépressions bipolaires : ce que nous dit la littérature." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S58. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.161.

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Abstract:
Le pramipexole est un agoniste dopaminergique, connu pour son utilisation dans la maladie de Parkinson idiopathique, dont la particularité est d’avoir une affinité sélective pour les récepteurs D3 de la voie mésolimbique. Le rôle de la dopamine ayant été mis en évidence dans la physiopathologie de la dépression, des études se sont intéressées à l’action antidépressive du pramipexole et ont démontré une efficacité comparable à celle d’un inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine dans le traitement des épisodes dépressifs unipolaires . Du fait de la résistance aux traitements conventionnels de certaines formes de dépressions bipolaires, plusieurs études ont testé l’intérêt de thérapeutiques moins conventionnelles, en particulier le pramipexole, dans le traitement des dépressions bipolaires réfractaires . Les données actuelles concernant l’efficacité antidépressive de ce traitement dans les dépressions bipolaires résistantes sont peu nombreuses, et semblent toutefois en faveur de taux de réponse et de rémission significativement plus importants et plus précoces (dès la 3e semaine) en comparaison à des antidépresseurs classiques ou d’un placebo. Nous détaillerons les données de la littérature concernant les dépressions bipolaires. La dose moyenne quotidienne entre les études était d’1,6 mg au profil d’une bonne tolérance , ce qui était confirmé par les études de suivi au long court. Toutefois, le faible nombre d’études réalisées ne fournissait pas d’informations sur le profil clinique des patients qui pourraient bénéficier de ce type de traitement. Du fait de son action agoniste sélective centrale sur une voie impliquée dans les processus motivationnels et de récompense, on peut supposer que certaines dépressions caractérisées par une apathie et une hyporéactivité émotionnelle seraient davantage susceptibles de bien répondre à ce traitement. Afin de confirmer cette hypothèse, nous présenterons une série d’observations cliniques chez des patients souffrant de dépression bipolaire, pour lesquels nous avons évalué l’efficacité du pramipexole sur les symptômes de dépression.
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Jalenques, I. "SMP – Diagnostic et traitement personnalisés : un paradigme d’avenir dans les troubles schizophréniques." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 591–92. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.315.

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Abstract:
L’objectif d’un diagnostic et d’un programme thérapeutique personnalisés pour chaque patient souffrant de troubles schizophréniques n’est aujourd’hui qu’en partie atteint. Cette session fait le point sur les dernières avancées et celles à venir concernant les outils et stratégies diagnostiques ainsi que les thérapeutiques médicamenteuses et cognitives.Si l’hétérogénéité des tableaux cliniques répondant aux critères diagnostiques de schizophrénie est une constatation bien établie, on ne sait pas encore clairement ce que recouvre cette hétérogénéité : maladies distinctes ou variabilité d’expression d’une même maladie. Outre l’intérêt théorique, identifier une étiologie revêt un intérêt pratique pour définir la stratégie thérapeutique la plus adaptée chez un patient donné car certaines caractéristiques cognitives ou évolutives ont une incidence sur les options thérapeutiques. Reste à déterminer un algorithme réaliste permettant de hiérarchiser outils et examens pour affiner le bilan diagnostique de l’ensemble des patients.L’évolution des troubles schizophréniques a été amplement modifiée suite à l’avènement des neuroleptiques en 1952. Les antipsychotiques de seconde génération sont venus compléter l’offre de soins. Les données récentes insistent sur la nécessité de traiter sans retard car la souffrance engendrée par la maladie est réelle. Avec les nouvelles molécules la prise en charge devrait être individualisée, prenant en compte les attentes et appréhensions des patients notamment face au traitement pharmacologique.Les troubles cognitifs très fréquents, hétérogènes, contribuent fortement au pronostic fonctionnel. Le profil des compétences dégradées et préservées est propre à chaque patient : une remédiation cognitive pertinente nécessite donc des prises en charge individualisées. Le bilan neuropsychologique, dans le cadre d’une évaluation intégrative multidisciplinaire, permet d’établir des liens entre les profils cognitif et fonctionnel. Les éventuelles indications de remédiation cognitive qui en découlent ne doivent pas viser l’amélioration des performances cognitives pour elles-mêmes, mais la réussite de projets concrets dans les domaines social ou professionnel à laquelle cette amélioration peut contribuer [1,2].
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Le Galudec, M., A. C. Contant, F. Stephan, A. Feray, A. L. Le Floch-Bergot, N. Alzas, C. Mesmeur, et al. "Impact d’un programme d’activité physique sur la symptomatologie schizophrénique : résultats d’une expérience menée au CHRU de Brest." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 646. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.011.

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Abstract:
ContexteLa schizophrénie reste une pathologie invalidante malgré une prise en charge médicamenteuse efficace. Il importe de développer d’autres stratégies adjuvantes efficaces sur les symptômes de la maladie en limitant les effets secondaires des traitements pharmacologiques. L’efficacité des activités physiques dans le traitement de la schizophrénie n’est pas démontrée mais des travaux soulignent des bénéfices sur les symptômes négatifs et dépressifs [1,2].ObjectifNous souhaitons évaluer l’impact clinique d’un programme d’activité physique sur une population de sujets atteints de schizophrénie.MéthodeUn programme d’activités physiques supervisé par deux moniteurs a été élaboré. Il comprend une heure de multi-activités, 2 fois par semaine, pendant 12 semaines. L’intensité minimale de chaque séance était fixée à 50 % de la fréquence cardiaque de réserve. Des mesures comprenant les échelles PANSS, SANS, SAPS, CDSS, S-QoL, un bilan anthropométrique et biologique ont été réalisés à S 0, S 6, S 12 et S 16.RésultatsDeux groupes de 5 patients (n = 10) ont réalisé le programme. Une amélioration clinique est retrouvée sur l’ensemble des échelles utilisées entre S 0 et S 16. Les changements observés ne sont pas en faveur d’une amélioration du syndrome métabolique et nous notons une prise de poids des sujets sur la période de l’étude. Le traitement statistique des données présente des résultats non significatifs (p > 0,05).
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Hull, Mark, Pierre Giguère, Marina Klein, Stephen Shafran, Alice Tseng, Pierre Côté, Marc Poliquin, and Curtis Cooper. "Le Domaine des Co-infections et des Maladies Concomitantes du Réseau Canadien pour les Essais VIH des IRSC : Lignes Directrices Canadiennes pour la Prise en Charge et le Traitement de la Co-Infection par le VIH et l’Hépatite C chez les Adultes." Canadian Journal of Infectious Diseases and Medical Microbiology 25, no. 1 (2014): 39–62. http://dx.doi.org/10.1155/2014/921314.

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Abstract:
HISTORIQUE: De 20 % à 30 % des Canadiens qui vivent avec le VIH sont co-infectés par le virus de l’hépatite C (VHC), lequel est responsable d’une morbidité et d’une mortalité importantes. La prise en charge du VIH et du VHC est plus complexe en raison de l’évolution accélérée de la maladie hépatique, du choix et des critères d’initiation de la thérapie antirétrovirale et du traitement anti-VHC, de la prise en charge de la santé mentale et des toxicomanies, des obstacles socioéconomiques et des interactions entre les nouvelles thérapies antivirales à action directe du VHC et les antirétrovirauxOBJECTIF: Élaborer des normes nationales de prise en charge des adultes co-infectés par le VHC et le VIH dans le contexte canadien.MÉTHODOLOGIE: Le Réseau canadien pour les essais VIH des Instituts de recherche en santé du Canada a réuni un groupe d’experts possédant des compétences cliniques en co-infection par le VIH et le VHC pour réviser les publications à jour ainsi que les lignes directrices et les protocoles en place. Après une vaste sollicitation afin d’obtenir des points de vue, le groupe de travail a approuvé des recommandations consensuelles, qu’il a caractérisées au moyen d’une échelle de qualité des preuves fondée sur la classe (bienfaits par rapport aux préjudices) et sur la catégorie (degré de certitude).RÉSULTATS: Toutes les personnes co-infectées par le VIH et le VHC devraient subir une évaluation en vue de recevoir un traitement du VHC. Les personnes qui ne sont pas en mesure d’entreprendre un traitement du VHC devraient être soignées pour le VIH afin de ralentir l’évolution de la maladie hépatique. La norme de traitement du VHC de génotype 1 est un régime comprenant de l’interféron pégylé et de la ribavirine dosée en fonction du poids, associés à un inhibiteur de la protéase du VHC. Pour les génotypes 2 ou 3, une bithérapie classique est recommandée pendant 24 semaines s’il y a clairance virologique à la semaine 4 ou, pour les génotypes 2 à 6, à 48 semaines. On peut envisager de reporter le traitement chez les personnes ayant une maladie hépatique légère. Le VIH ne devrait pas être considéré comme un obstacle à la transplantation hépatique chez les patients co-infectés.EXPOSÉ: Les recommandations ne se substituent pas au jugement clinique personnel.
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Laberge, Danielle, and Marie Robert. "La judiciarisation de la santé mentale : profil des personnes accusées devant la cour municipale de Montréal." Nouvelles pratiques sociales 5, no. 1 (January 22, 2008): 31–46. http://dx.doi.org/10.7202/301156ar.

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Abstract:
Résumé Les rapports entre maladie mentale et criminalité ont été analysés sous de nombreux angles. La problématique privilégiée dans le présent article fait ressortir que les situations ou les comportements problématiques n'appartiennent pas « naturellement » à un modèle de contrôle social plutôt qu'à un autre. De façon précise, les auteures se sont penchées sur le traitement judiciaire des personnes souffrant de problèmes de santé mentale. Elles tentent de mieux comprendre la dynamique d'intervention du système pénal pour les individus dont le comportement aurait pu aussi bien être défini en termes de déviance ou de pathologie qu'en termes de délinquance, et pour ce faire, elles optent pour une description quantitative des caractéristiques de ce groupe particulier de justiciables. Elles poursuivent un double objectif : d'une part, familiariser les intervenantes et intervenants sociaux à cette problématique et, d'autre part, fournir un premier portrait de cette population particulière ainsi que de son cheminement judiciaire.
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Brion, A. "SFRMS – Bien traiter le sommeil pour améliorer le patient psychiatrique." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S81—S82. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.363.

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Abstract:
La maladie psychiatrique et les troubles du sommeil sont associés de façon significative ; tout particulièrement l’insomnie dont le concept a évolué (DSM 5, 2013 ; ICSD 3, 2014 [1]) au regard des études récentes qui ont amené à considérer l’insomnie associée aux pathologies psychiatriques comme un trouble comorbide en relation bidirectionnelle et en interaction [2]. Si on considère désormais le rôle fondamental du sommeil sur l’évolution des troubles psychiatrique, on comprend l’enjeu pour les patients psychiatriques d’une prise en charge adéquate de leurs troubles du sommeil. Nous allons interroger cette question à travers trois aspects thérapeutiques actuels :– dans quelle mesure, la mélatonine, substance chronobiotique, a-t-elle sa place dans le traitement de l’insomnie ? Quels en sont les mécanismes et les risques ; doit-on en craindre un mésusage ?– les benzodiazépines et leurs agonistes, dont l’efficacité hypnotique est largement évaluée, font actuellement l’objet de la part des autorités de santé d’un projet visant à en limiter la prescription, s’appuyant sur les alertes récentes quant à leur responsabilité potentielle sur la genèse de maladies dégénératives : qu’en est-il réellement de nos connaissances à ce sujet ? Ne confond-on pas corrélation statistique et lien de causalité dans l’analyse de ces données ? Quelles sont les alternatives thérapeutiques pour l’avenir si une telle restriction se confirme ?– un petit nombre d’études suggère que chez des patients bipolaires, des récurrences d’épisodes thymiques ou des résistances au traitement sont associées à la présence de troubles respiratoires du sommeil [3]. Ce constat incite au développement d’une nouvelle approche multidisciplinaire à même de prendre en compte et de traiter conjointement l’ensemble des comorbidités associées aux troubles de l’humeur.
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Dutech, C. "Delirium tremens, psychose parkinsonienne ou iatragénie ? Cas clinique de Mr T." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S124—S125. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.241.

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Abstract:
Nous présentons le cas de Monsieur T., 58 ans, hospitalisé en soins psychiatriques à la demande d’un tiers, pour des troubles du comportement (agitation) et un vécu persécutif dans un contexte d’alcoolodépendance ancienne. Monsieur T. a pour principal antécédent une maladie de Parkinson diagnostiquée en avril 2014, traitée par ropinorole LP 8 mg/jour, trihexyphénidyl chlorydrate LP 10 mg/jour, et lévodopa/benzérazide chlorydrate aux doses de 125 mg trois fois/jour et 62,5 mg trois fois/jour. À l’arrivée, le patient rapporte des éléments délirants avec hallucinations visuelles hypnagogiques apparues cinq jours auparavant, après avoir arrêté toute consommation d’alcool. Nous observons une amélioration clinique après l’introduction de diazépam 40 mg/jour, vitaminothérapie et hydratation. Sept jours après l’admission, le patient présente un tableau confusionnel. Nous évoquons un délirium tremens et une iatrogénie des traitements parkinsoniens que nous arrêtons, nous doutons effectivement de l’observance du patient. La gravité des symptômes nécessite un transfert aux urgences. Sont décrits un délire de persécution, une fluctuation du contact et des confabulations malgré 60 mg/j de diazépam et une réhydratation. Un traitement par olanzapine 5 mg/j est initié. Il nous est ensuite réadressé. Nous notons des idées délirantes de persécution, des hallucinations acoustico-verbales vespérales, des comportements hétéro-agressifs, et une fluctuation du contact avec des périodes de confusion mêlant confabulations et faux souvenirs. Nous arrêtons l’olanzapine et instaurons très progressivement la quétiapine jusqu’à 600 mg/j, tout en réintroduisant le lévodopa/benzérazide chlorydrate. Chaque augmentation d’antiparkinsonien est marquée par une exacerbation temporaire des symptômes délirants. Le diazépam est arrêté. L’amélioration sera lente : disparition des troubles du comportement, éléments délirants critiqués, amélioration nette du contact. Le cas de Monsieur T. montre l’impact des traitements antiparkinsoniens sur la symptomatologie délirante. Si la clozapine est le traitement de première intention chez les patients parkinsoniens présentant une symptomatologie psychotique, nous avons préféré la quétiapine en raison de la comorbidité addictologique.
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Cappeliez, Philippe. "Dan Blazer. Emotional Problems in Later Life: Intervention Strategies for Professional Caregivers. New York: Springer Publishing Co., 1990, pp. 260." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 11, no. 2 (1992): 197–98. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980800011727.

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Abstract:
RÉSUMÉCe livre, qui traite des origines, de l'évaluation et du traitement des problèmes émotionnels de la personne âgée, se présente comme un livre pratique de référence à l'usage des cliniciens. En plus de sujets habituellement couverts dans des ouvrages de ce genre, comme la dépression et les problèmes associés aux maladies physiques, cet ouvrage aborde les problèmes de communication et de collaboration avec la personne âgée et sa famille, ainsi que les interventions susceptibles de favoriser l'épanouissement psychologique et physique à l'âge adulte avancé. Clairement organisé et rédigé, cet ouvrage se caractérise par la concision. Comme tel, il satisfera mieux le clinicien désireux de trouver rapidement une information pratique que le chercheur soucieux d'approfondir une question. Cet ouvrage constitue néanmoins un choix intéressant de manuel pour un cours avancé de premier cycle dans les disciplines qui s'occupent de santé mentale.
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Sebbane, D. "Effets secondaires des antipsychotiques : recommandations européennes." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 672. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.076.

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Abstract:
Les patients atteints de troubles psychiques sévères sont en moins bonne santé physique et ont une espérance de vie réduite par rapport à la population générale. Les données de la littérature montrent que leur taux de mortalité est deux à trois fois plus élevé et qu’ils présentent un risque de mortalité majoré par la survenue de maladies cardiovasculaires.L’étiologie de cette surmortalité cardiovasculaire associée à la schizophrénie, au trouble unipolaire et au trouble bipolaire est multifactorielle.Elle inclut des facteurs génétiques, des facteurs environnementaux liés aux styles de vie des patients ainsi que des effets spécifiques liés à la maladie : on observe un risque relatif 1,5 fois plus élevé de la présence de facteurs de risque cardiovasculaires modifiables tels que l’obésité, le tabagisme, l’hypertension et la dyslipidémie. Le risque de développer un diabète sucré de type II est également fortement augmenté. L’autre facteur étiologique à considérer est celui des effets secondaires liés au traitement.En effet, le traitement médicamenteux de la majorité de ces troubles psychiatriques repose sur l’utilisation des antipsychotiques. Bien que ces médicaments aient une efficacité démontrée, ils sont malheureusement associés à des effets secondaires majeurs comme la somnolence et la sédation, mais aussi une prise de poids importante et la majoration des facteurs de risque cardiovasculaires.Actuellement, aucune stratégie efficace n’existe pour prévenir ces effets. Pourtant, l’accès au dépistage, aux mesures de prévention du risque cardiovasculaire et aux soins somatiques restent restreints pour ces patients. L’European Psychiatric Association (EPA) a ainsi émis des recommandations européennes afin d’améliorer la prise en charge des patients souffrant de troubles psychiatriques sévères. Elles orientent vers la prise en charge transdisciplinaire de ces effets, ainsi que vers la sensibilisation des psychiatres et des médecins généralistes au dépistage et au traitement des facteurs de risque cardiovasculaires et du diabète chez ces patients.
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Saravane, D. "Troubles mentaux et mortalité." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S7. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.029.

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Abstract:
Depuis de nombreuses années, la santé physique des patients atteints d’une pathologie mentale a été négligée. Des études s’accordent pour conclure à une surmortalité et une comorbidité importantes chez ces patients. Le taux de mortalité (toutes causes confondues) est 4,5 fois plus élevé que pour la population générale. Ainsi un patient schizophrène a une espérance de vie diminuée de 20 % par rapport à la population générale. Les principales causes de décès sont les maladies cardiovasculaires. D’autres études ont mis en évidence des anomalies métaboliques telles que le diabète, les troubles lipidiques qui tendent à favoriser les maladies cardiovasculaires. Cette augmentation de la mortalité s’explique par des causes multifactorielles : environnement défavorable, conditions socioéconomiques précaires, conduites addictives, mauvaise hygiène alimentaire sans oublier les effets secondaires de certains traitements psychotropes. Rendre plus accessible la prévention, le dépistage, lutter contre les facteurs de risque, réaliser de façon systématique des évaluations somatiques et biologiques, et permettre à ces patients de bénéficier des mêmes stratégies de soins que celles proposées à l’ensemble de la population, constituent des priorités que nous devons intégrer à nos pratiques. Des recommandations viennent aider à cette évaluation et le suivi et permettent une alliance collaborative entre psychiatres et somaticiens.
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Dewa, Carolyn S. "Les coûts des troubles mentaux en milieu de travail peuvent-ils être réduits ?" Santé mentale au Québec 42, no. 2 (November 16, 2017): 31–38. http://dx.doi.org/10.7202/1041912ar.

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Abstract:
Le Forum économique mondial estime que, d’ici 2030, les coûts mondiaux des troubles mentaux devraient atteindre six mille milliards de dollars ; environ deux tiers de ces coûts seront attribués à la perte de productivité liée à l’incapacité. Cet article bref, examine les facteurs liés aux coûts de la maladie mentale en milieu de travail, identifie certains des éléments du milieu de travail qui pourraient être ciblés pour réduire les coûts et examine des exemples de types d’interventions en milieu de travail qui peuvent réduire les coûts. Il existe au moins deux approches principales pour réduire les coûts relatifs aux troubles mentaux en milieu de travail. La première vise à réduire la prévalence des troubles mentaux chez les travailleurs ainsi que l’incidence des absences maladie. La seconde approche est de permettre un plus grand accès aux traitements requis. Ensemble, ces approches permettraient de réduire les coûts de façon significative, notamment en créant un climat de soutien et de solidarité dans les milieux de travail.
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Lanthaume, S., and B. Fleury. "Rémission, guérison… et rétablissement dans l'expérience du cancer du sein." Psycho-Oncologie 11, no. 4 (December 2017): 227–32. http://dx.doi.org/10.3166/s11839-017-0636-8.

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Abstract:
L'annonce de la fin des traitements signe l'entrée dans une période difficile pour les patients atteints de cancer. La transition de l'état de malade à celui de « survivant » constitue un nouveau changement suscitant à la fois enthousiasme mais aussi peurs diverses. Le passage vers la phase de rémission ne se fait donc pas de manière radicale ; il demande du temps et des réajustements. L'objectif de cet article consiste à présenter les termes employés lors de l'entrée dans cette période d'après-cancer, à décrire les conséquences de ces mots sur les patientes atteintes de cancer du sein et à fournir un langage différent qui permettrait à celle qui le reçoit de changer sa manière d'agir et de percevoir ce temps après-cancer. Ce langage concerne la relation entre la patiente et son médecin, mais aussi l'équipe soignante. Le terme de rémission, actuellement employé dans l'après-traitement, semble confiner les personnes atteintes de cancer dans un éternel statut de malade. Statut peu enviable et souvent stigmatisant. La proposition du mot « rétablissement » ne doit pas être comprise comme une « guérison » complète — celle-ci n'étant pas toujours possible dans le cancer —, mais comme un processus.
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