Academic literature on the topic 'Mammifères – Asie du Sud-Est – Miocène'

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Journal articles on the topic "Mammifères – Asie du Sud-Est – Miocène"

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Pacaud, Jean-Michel. "Étude du genre Campanile Fischer, 1884 (Mollusca : Gastropoda : Campanilidae). 1. Description d’une espèce nouvelle du Miocène supérieur du Cap Amparafaka (Madagascar)." BSGF - Earth Sciences Bulletin 191 (2020): 21. http://dx.doi.org/10.1051/bsgf/2020022.

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Abstract:
L’espèce Campanile madagasikara nov. sp. est décrite du Miocène supérieur du Cap Amparafaka à Madagascar. Le genre Campanile est signalé pour la première fois au Cénozoïque à Madagascar. En effet, le genre n’a pas jusqu’ici été rencontré à Madagascar, à part dans les sédiments crétacés. Il s’agit donc de l’occurrence la plus récente du genre jusqu’ici enregistré à Madagascar. Les Campanile au Miocène sont seulement présents en Asie du Sud-Est, en Nouvelle-Zélande, en Australie et en Afrique de l’Est. La découverte de l’espèce malgache décrite ici suggère l’existence d’aires relictes dans l’océan Indien et le Pacifique au Néogène et jusque dans l’actuel en Australie. L’identité des cordons spiraux est recherchée par leur correspondance topologique et ontogénétique, puis codifiée par une terminologie. Cette méthode descriptive utilisée par Pacaud J-M, Ledon D, Loubry P et Fernandez S. (2014. Importance de la correspondance ontogénétique et topologique de la sculpture spirale dans la discrimination des espèces du genre Campanile (Mollusca, Gastropoda). Fossiles, Revue française de paléontologie 19 : 23–49, fig. 1–17, pl. 1–12) permet de clarifier la présentation des caractères et de proposer des homologies structurales.
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Dissertations / Theses on the topic "Mammifères – Asie du Sud-Est – Miocène"

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Chavasseau, Olivier. "Les faunes miocènes de grands mammifères d'Asie du Sud-Est : biochronologie et biogéographie." Montpellier 2, 2008. http://www.theses.fr/2008MON20114.

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2

Emonet, Edouard-Georges. "Khoratpithecus et la radiation des hominoïdes en Asie du Sud-Est au Miocène." Poitiers, 2009. http://theses.edel.univ-poitiers.fr/theses/2009/Emonet-Edouard-Georges/2009-Emonet-Edouard-Georges-These.pdf.

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Abstract:
La découverte d'hominoïdes fossiles en Thaïlande et au Myanmar a révélé de nouveaux épisodes de l'histoire évolutive du groupe. Ces fossiles ont été exhumés sur trois sites distincts, qui ont été caractérisés géologiquement et précisément datés : la mine de Chiang Muan, au Nord-Ouest de la Thaïlande, le plateau de Khorat, au Nord-Est de la Thaïlande, et la formation de l' Irrawaddy, dans le bassin central birman. L'âge de ces sites est compris entre 8,8 et 13 Ma. La description des fossiles a permis leur attribution au genre Khoratpithecus, au sein duquel trois espèces ont été reconnues. Morphologiquement, Khoratpithecus présente des affinités claires pour le genre Pongo et, dans une moindre mesure, pour le genre Sivapithecus des Siwaliks. La morphologie des racines dentaires des hominoïdes a été étudiée grâce aux techniques d'imagerie numérique de la morphologie interne. Il est apparu que cette morphologie présentait une forte valeur taxonomique, et qu'elle était utilisable dans les analyses phylogénétiques. Une analyse morphométrique des couronnes dentaires, ainsi qu'une reconstitution virtuelle de fossiles déformés ou brisés, ont également été effectuées grâce aux techniques de microtomographie X. L'intégration des nouveaux fossiles et des nouvelles données dans les analyses phylogénétiques a confirmé la position de Khoratpithectus en groupe frère des orang-outangs. En revanche, le genre Lufengpithectus, classiquement attribué au clade Pongo, s'avère plus proche des Dryopithectus européens. Cette phylogénie renforce l'idée d’une migration d' Ouest en Est, au sud de l’Himalaya, pour le clade Pongo, et une migration depuis l'Europe par le Nord de l'Himalaya pour le genre Lufengpithectus
The recent discovery of fossil hominoids in Thailand and Myanmar unveiled new episodes of the evolutionary history of this group. Those fossils were unearthed in three distinct sites: Chiang Muan in north-western Thailand, Khorat plateau in north-eastern Thailand and the Irrawaddy formation in Central Myanmar. These sites have been geologically characterized and precisely dated between 8. 8 and 13 Ma. The descriptions of those fossils allowed an attribution to Khoratpithecus. Within this genus, three species have been recognized. Morphologically, Khoratpithecus display clear affinities to extant Pongo and, to a lesser extend, Sivapithecus from Siwaliks. The morphology of dental roots within hominoids has been studied using inner anatomy imaging techniques. This morphology displays high taxonomical value, and can be used in phylogenetical studies. Morphometrical analyses of dental crowns, along with virtual reconstruction of shattered or distorted fossils, have been performed using X-ray microtomography. Phylogenetical analyses integrating new specimens and new data confirmed Khoratpithecus as a sister-group of orang-utans. On the other hand, the genus Lufengpithecus, despite classically attributed to Pongo clade, appears closer to Dryopithecus than to Pongo. Such a phylogeny strengthens the hypothesis of a West-East migration through the South of Himalaya for Pongo clade, and a migration from Europe through the North of Himalaya fot Lufengpithecus
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Tougard, Christelle. "Les faunes de grands mammifères du Pléistocène moyen terminal de Thai͏̈lande dans leur cadre phylogénétique, paléoécologique et biochronologique." Montpellier 2, 1998. http://www.theses.fr/1998MON20019.

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Abstract:
La faune rapportée aux restes de grands mammifères de Thaïlande est datée du Pléistocène moyen terminal (environ 170 000 ans). Sa composition se montre particulièrement intéressante dans la mesure où elle révèle l'existence de genres et d'espèces (panda géant, ailuropoda melanoleuca ; hyène tachetée, crocuta crocuta ; orang-outang, pongo pygmaeus ; sanglier barbu, sus barbatus) actuellement absents du territoire thaïlandais. Ces formes sont indicatrices de conditions climatiques plus tempérées, plus fraiches et plus sèches, qu'elles ne le sont actuellement dans cette région, de même que la présence de sous-espèces (blaireau, arctonyx collaris rostratus ; tapir indien, tapirus indicus intermedius ; serow, naemorhedus sumatraensis kanjereus) éteintes, de taille plus importante que les individus actuels. De plus, l'analyse de cette faune privilégie l'hypothèse d'échanges fauniques par le continent, de Chine du sud vers les îles indonésiennes, et vice versa, durant cette période, grâce à l'émersion d'une importante masse continentale appelée Sundaland. Elle témoigne aussi de l'ancienneté des provinces biogéographiques indochinoise et sondaïque par comparaison avec d'autres faunes du Pléistocène d'Asie du sud- est. Cependant, la présence d'espèces d'origine plus septentrionale telle que ailuropoda melanoleuca laisse à penser que la limite entre ces deux provinces, actuellement située légèrement au nord de l'isthme de Kra, était localisée plus au sud, en Malaisie voire au niveau des iles indonésiennes (Sumatra, Java, Bornéo). La richesse du gisement associée à une datation relativement précise du site fait apparaitre cette faune thaïlandaise comme faute de référence dans un contexte bio chronologique mal défini en Asie du sud-est. De ce fait, une étude des faunes quaternaires à grands mammifères de cette région a été entreprise afin d'établir une nouvelle échelle bio chronologique mettant en parallèle les faunes des provinces indochinoise et sondaïque
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Suraprasit, Kantapon. "Paléoenvironnements et reconstitutions paléoclimatiques du Pléistocène moyen de Thaïlande et leur impact sur la biodiversité et la distribution des espèces : la contribution de la faune de vertébrés du gisement de Khok Sung (Province du Khorat)." Thesis, Poitiers, 2015. http://www.theses.fr/2015POIT2285/document.

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Abstract:
La sablière de Khok Sung, dans la province de Nakhon Ratchasima, qui a livré plus d'un millier de fossiles de mammifères et de reptiles (cranes, dents isolées et restes post-craniens), abrite la faune de vertébrés du Pléistocène la plus riche de Thaïlande. La faune mammalienne qui est décrite ici en détail, se compose d'au moins 18 espèces identifiées (12 genres), y compris un primate et des proboscidiens, rhinocéros, suidés, bovidés, cervidés et carnivores. Elle compte principalement des taxons encore représentés de nos jours, ainsi que quelques taxons globalement ou localement éteints. A partir des données paléomagnétiques et des comparaisons fauniques, l'âge de la faune de Khok Sung est estimé au Pléistocène Moyen tardif, vers 188000 ou 213000 ans. Par rapport aux autres faunes diversifiées du Pléistocène d'Asie du Sud Est, l'assemblage de Khok Sung est caractérisé par une association des taxons Stegodon-Ailuropoda, comparable en cela au site de Thum Wiman Nakin, ce qui supporte l'hypothèse selon laquelle le Nord Est de la Thaïlande était un corridor biogéographique appartenant à la route migratoire Sino-Malaise, entre la Chine du Sud et l'île de Java. L'analyse des isotopes stables du carbone à partir de l'émail des ongulés fossiles révèle la présence d'une partition de niches entre les méga-herbivores et au sein des cervidés. Les valeurs du d13C de l'émail suggèrent également que les ruminants ont consommé une grande quantité de plantes en C4, ce qui indique que les prairies à graminées étaient particulièrement répandues en Thaïlande à cette époque où les écosystèmes n'étaient pas encore soumis à l'influence anthropique. La mesure des isotopes stables de l'oxygène, obtenue par échantillonnage sérié de l'émail des dents de grands mammifères, et l'analyse du cénogramme de la localité de Khok Sung reflètent une importante variation saisonnière des précipitations et de la température, associée à des conditions climatiques relativement humides
The Khok Sung sand pit, Nakhon Ratchasima province, has yielded the richest Pleistocene vertebrate fauna of Thailand, where more than a thousand fossil mammals and reptiles (skulls, isolated teeth, and postcranial remains) were recovered. The mammalian fauna, which is described in details hereby, consists of at least 18 identified species (12 genera), including a primate, proboscideans, rhinoceroses, suids, bovids, cervids, and carnivores, which are characterized by mostly extant elements associated to some completely and locally extinct taxa. The age of the Khok Sung fauna is tentatively attributed to the late Middle Pleistocene as either 188 or 213 ka, based on the paleomagnetic data and on the faunal comparisons. The Khok Sung mammal assemblage yields the Stegodon-Ailuropoda faunal association, most similar in composition to that of Thum Wiman Nakin, supporting the hypothesis that northeastern Thailand was a biogeographic gateway of the Sino-Malayan migration route from South China to Java. An analysis of stable carbon isotopes extracted from the tooth enamel of fossil ungulates reveals evidence of niche partitioning among megaherbivores and within cervids. The enamel carbonate d13C values also suggest a considerable amount of C4 plants in the dietary use of ruminants, indicating that grasslands had significantly expanded in Thailand at that time during which anthropic impacts on the ecosystems were absent. The stable oxygen isotope results, obtained from the serial sampling of large mammal enamel, combined with the cenogram analysis reflect significant seasonal variation in precipitations and temperature for Khok Sung, associated to a relatively humid climate
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