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Dissertations / Theses on the topic 'Maroc – Politique et gouvernement – 1956-1999'

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Derrouich, Hamid. "Changement politique et politique étrangère : essai sur la continuité et la discontinuité de la politique étrangère marocaine." Clermont-Ferrand 1, 2009. http://www.theses.fr/2009CLF10339.

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Monjib, Maâti. "L'Istiqlal, l'U. N. F. P. Et le pouvoir au Maroc 1955-1965." Montpellier 3, 1989. http://www.theses.fr/1989MON30016.

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Abstract:
Forces armees, sur une bureaucratie hativement enrichie et sur la notablite rurale
Five years after the independance, the national movement was exhausted : party quarrels and molitants' haemorrhage weakene it. In may 1960 the king 7th, 1965 the king proclaimed the state of emergency
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Bouzidi, Rachida. "La Presse du parti de l'Istiqlal : (1946-1986)." Paris 2, 1990. http://www.theses.fr/1990PA020113.

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Abstract:
[Dès sa naissance en 1946, la presse du parti de L'Istiqlal à la réclame ouvertement et pour la première fois l'indépendance du Maroc, un système juridique draconien était dressé contre son développement et son expansion par les autorités du protectorat, malgré ces exactions, elle réussit à s'implanter efficacement dans le milieu marocain et quelquefois même dans certains milieux européens, provoquant la colère de la résidence qui finira par l'interdire après les événements sanglants de décembre 1952. Elle réapparait - après un long silence - avec l'indépendance ; mission accomplie, elle évolue, au début de cette ère nouvelle, dans un climat politique favorable à ses idées et à ses ambitions. La présence de plusieurs minitres istiqlaliens au gouvernement favorise sa multiplication, sa modernisation et son épanouissement ; c'était donc l'âge d'or de la presse istiqlalienne. En janvier 1959, la situation n'est plus la même. Le parti de l'Istiqlal se scinde en deux tendances rivales, donnant naissance à l'U. N. F. P. (Union nationale des Forces Populaires), qui met fin au monopole du parti de l'Istiqlal et crée, aussitôt, ses propres journaux, les deux presses concurrentes s'affrontent et s'engagent dans de violentes polémiques et controverses, provoquant le désaveu d'un nombre non-négligeable de lecteurs. En 1963, le parti de l'Istiqlal quitte le gouvernement et s'engage dans l'opposition. Les journaux istiqlaliens se radicalisent par la même occasion, dénonçant le manque de liberté, et étalant au grand jour tous les scandales et les abus de la politique gouvernementale, ils s'exposent à la répression et aux foudres de la censure et des saisies. Dans un climat politique très agité, la presse istqulalienne, affaiblie par la dureté de la répression, a réussi tant bien que mal, à imposer ses idées et à défendre ses positions. L'affaire du Sahara sera un élément de la réconciliation nationale, en acceptant de participer au gouvernement de 1977, le parti de l'Istiqlal bénéficiera d'une large liberté de manoeuvre. La censure sur la presse sera supprimée et les journaux istiqlaliens dans un contexte de liberté mobilier leurs lecteurs sur le rôle historique du parti de l'Istiqlal pour l'indépendance, la libération nationale et la démocratie. ]
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Baita, Abdeslam. "L'État colonial au Maroc : 1912-1956." Paris 10, 1986. http://www.theses.fr/1986PA100184.

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Abstract:
L'état colonial est né de la conquête. Les reformes du makhzen s'inscrivaient dans le cadre de l'articulation des structures étatiques traditionnelles avec les institutions du protectorat. Le contrôle social de l'état s'exerçait par le biais de son système juridique, le recours au caidalisme et la création et la régénération d'institutions représentatives. Mais la légitimité de l'état colonial fut toujours fragile
The colonial state in morocco is a result of the conquest. The reforms of the makhzen took the form of an articulation of the traditional structures of the state and the protectorate institutions. The state function of social control operated through a juridical system, the caidalism and the creation of representative institutions. But the legitimacy of the colonial state was always weak
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Gagou, Ahmed. "La notion d'Etat au Maroc." Paris 2, 1988. http://www.theses.fr/1988PA020006.

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Abstract:
L'adoption au maroc independant des attributs de l'etat moderne europeen souleve de nombreuses questions relatives a la compatibilite de cette adoption. La definition de l'etat est determinante pour la recherche de reponses a ces questions. Sans adopter de definition prealable ni se limiter au maroc independant, cette these tente de definir la notion d'etat au maroc dans sa dimension historique. De l'analyse, dans une premiere partie, de l'histoire du maroc, il ressort que l'adoption de l'islam est le fait le plus marquant de l'evolution de la societe marocaine. Celle-ci s'est maintenue conformement a l'ideal islamique. Cette importance du facteur religieux se retrouve confirmee au niveau de la structure sociale. Les divisions apparentes et la desarticulation, qui caracterisaient cette derniere, ne remettaient pas en cause cette unite communautaire religieuse. Enfin, dans la troisieme partie, l'etude du message et du cadre global de la pensee islamiques met en relief l'existence d'une conception communautaire specifique a l'islam. Elle met aussi en evidence la correlation, dans cette conception, entre la nature spirituelle de l'homme, la necessite d'une communaute religieuse et la suprematie divine. C'est dans cette conception que l'etat marocain tirait sa pleine signification. C'est dans le fait d'etre une consequence d'une vision religieuse, et non une reponse au probleme politique de la sociabilite, qu'il differe de l'etat moderne europeen.
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Hassani, Ali. "Le nationalisme marocain : islam et modernité : 1920-1956." Paris 10, 1990. http://www.theses.fr/1990PA100083.

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Abstract:
L’évolution du nationalisme marocain s'est effectué en deux processus simultanés: d'une part, par opposition au protection, d'autre part, sa propre évolution interne. Nous avons préfère diviser notre travail en deux parties: la première traite de l'émergence, de l'évolution, de la structuration, de l'expansion et de la formation de l'idéologie nationaliste entre les deux guerres. Il s'agit de l'opposition de la médina à l'ordre colonial parallèlement a la collaboration que l’élite nationaliste cherche à entretenir avec le régime en place, en revendiquant l'application du protectorat en tant que contrôle et non pas en tant qu'administration directe. L'assise sociale et la doctrine se sont constituées tout au long de cette période. La seconde partie traite l'évolution du nationalisme après la seconde guerre mondiale. Il s'agit de l'alliance nationaliste ayant à sa tête le sultan sidi Muhammad ben Yousouf. C'est la crise du régime du protectorat caractérise par les schismes de la coopération. Le sultan pivot du système, s'oppose à la politique du protectorat et revendique l'instauration d'un nouveau régime permettent au marocain de prendre en main la gestion de leur société en garantissant les intérêts des français du Maroc. Le protectorat procède a la déposition du sultan afin d'avoir la liberté d'action pour l'instauration d'un régime de cosouveraine, mais l'exile devient le symbole de l'émancipation du peuple marocain. Finalement, la France n'a pu alors que négocier le retour de sidi Muhammad ben Yusuf,. .
The evolution of moroccan nationalism wasachieved in two simultaneous processe: on one hand, by opposition to protectorate; on the other hand, its aron internal evolution. We have preferred to divide the work into two parts: the first one dals with the emergence, the evolution, the organization, the expansion and the formation of the nationalist ideology betwean the two wars. Its question of the opposition of the medina to the colonial orderin parallel with the collaboration that the nationalist elite seeks to heep up with the regime in place, while claining the application of the protectorate as a control and not as a direct administration. The social fondation and the doctrine war constituted throughout this period. The second part discusses the evolution of nationalism after second world war. It is question of the nationalist alliance with the sultan sidi Muhammad ben Yusuf at its the crisis of the regime of the protectorate caracterized by the schisms of cooperation. The sultan, pivot of system, opposes the politics of the protectorate and clains the establishment of a new regime enabling moroccans to assume the management of their society while ensuring the interests of the dethronement of the sultan in order to have the freedam of action for the establishment of a regime of co-souvereignty, but the exile becames asynbol of the emancipation of the moroccan people. Finally, france could only negotiate the return of Sidi Muhammad ben Yusuf,. .
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Badri, Karim. "Légitimité religieuse et transition démocratique : le cas du Maroc." Nantes, 2012. http://www.theses.fr/2012NANT4015.

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Abstract:
Le système politique marocain se distingue par sa complexité et sa spécificité. C’est un système qui essaie de concilier, d’une part, une légitimité religieuse et, d’autre part, des institutions modernes. Hassan II, fervent artisan de la démocratie à la marocaine, usait de cette spécificité pour réfuter les accusations des organisations internationales et des pays occidentaux quant aux atteintes aux droits de l’homme, estimant qu’un système universel de gouvernement n’était imaginable que si les hommes et les mœurs étaient partout semblables. A la fin des années quatre-vingt, pressée par une fronde sociale à l’intérieur et un contexte international favorable à l’ouverture démocratique et au respect des droits de l’homme, la monarchie avait entrepris une ouverture institutionnelle et constitutionnelle dont elle avait tenté de maîtriser les contours et les conséquences. Ces ouvertures contrôlées avaient fini par décrédibiliser la classe politique marocaine. Sous la pression du mouvement du 20 février 2011, impulsé par le printemps arabe, le roi Mohamed VI a entrepris une nouvelle réforme constitutionnelle. Cette dernière a suscité beaucoup d’espoir quant à une vraie transition démocratique mais la déception fut grande au vu des avancées et des constances dont elle était porteuse. En effet, la nouvelle constitution a consacré, comme à l’accoutumée, la prééminence de l’institution monarchique dans le système politique marocain. Le Maroc de Mohamed VI a certes évolué vers un système moins autoritaire, néanmoins, il est loin d’être une monarchie constitutionnelle, démocratique, parlementaire et sociale
The Moroccan political system is characterized by its complexity and specificity. It is a system that tries to reconcile, on the one hand, religious legitimacy and, on the other hand, modern institutions. Hassan II, dedicated craftsman of a democracy Moroccan-style, used this specificity to refute the accusations of international organizations and Western countries about violations of human rights, considering that a universal system of Government would only be possible if men and morals were similar the world over. At the end of the 1980s, pressed by internal social movements on the one hand and an international environment conducive to a democratic opening and respect for human rights on the other hand, the monarchy had undertaken an institutional and constitutional opening while still attempting to manage the design and the consequences of this process. These controlled openings finally resulted in the undermining of the Moroccan political class. Under the pressure of the protest of February 20, 2011, spurred by the Arab spring, King Mohamed VI launched a new constitutional reform. This initiative raised high hopes of a true democratic transition but disappointment was great when considering the advances and stumbling blocks which it carried with it. Indeed, the new Constitution endorsed, as usual, the primacy of the institution of the Monarchy in the Moroccan political system. Mohamed VI’s Morocco has certainly evolved toward a less authoritarian system, nevertheless, it is far from a constitutional, democratic, parliamentary or social monarchy
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Benbounou, Abdellatif. "La doctrine politico-juridique des mouvements islamistes au Maroc à l'épreuve de la participation politique : cas du Mouvement de l'Unicité et de la Réforme, de l'Alternative Civilisationnelle et du Mouvement pour la Oumma (1970-2015)." Rouen, 2016. http://www.theses.fr/2016ROUED007.

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Abstract:
Cette étude a pour objectif de démontrer le processus d'évolution ainsi que la transformation doctrinale des mouvements islamistes marocains issus de la Jeunesse Islamique (la Chabiba islamiya). Nous avons choisi d'étudier la doctrine des trois mouvements islamistes fondamentaux à l'épreuve de leur participation politique. Nous traiterons donc du Mouvement de l'Unicité et de la Réforme (MUR) et de son aile politique le PJD (Parti de la Justice et développement), de l'Alternative Civilisationnelle et du Mouvement pour la Oumma (MPO). Ces trois mouvements ont fait un effort considérable qui a abouti à une révision de leur idéologie politique en vue de trouver une place au sein du champ politique marocain, parmi d'autres acteurs politiques. Les principes de l'Islam sont la référence de ces trois mouvements, auxquels l'Alternative Civilisationnelle a ajouté la sagesse humaine. La représentation du rapport du politique et du religieux a connu une évolution. Les leaders de ces mouvements opèrent une distinction théorique entre le domaine religieux et le domaine politique, mais en pratique leur participation politique n'est pas totalement protégée de tout acte d'instrumentalisation de la religion à des fins politiques. L'institution califale est considérée comme une expérience historique. Donc l'Etat est une institution civile qui veille au service de la nation. Choura est un principe qui n'est pas contraire à la démocratie. Cette dernière garantit le pluralisme politique et le respect des droits de l'homme avec cependant, certaines réserves. La charia ne devient plus un enjeu d'application car sa finalité est en compromis avec les règles du droit positif. Le MUR et son aile politique, le PJD, avaient déjà légalisé leur situation. Le PJD est reconnu comme un parti politique officiel et principal de la carte partisane marocaine. La limite de leur revendication politique et le contexte politique qu'a traversé le pays durant les événements du printemps arabe, a conduit le PJD à exercer le pouvoir en dirigeant le gouvernement sous l'orientation de la nouvelle Constitution de 2011. Malgré la reconnaissance récente du parti de l'Alternative Civilisationnelle, issu d'une association qui porte la même nomination, ce courant a été radié de la liste des partis politiques du fait de sa position politique d'une part, et du fait que la carte politique partisane ne garantit pas encore l'existence de ce mode du courant islamiste unificateur, d’autre part. Le MPO a développé une doctrine politique réformiste, mais sa recherche d'une reconnaissance officielle par le régime n'a pas abouti. La tentative de création d'un parti politique autonome sous la nomination « Parti de la Oumma » a fini par une interdiction issue du Ministère de l'Intérieur et motivée par une décision judiciaire
This study aims at showing the evolution process and the transformation of doctrines of the Moroccan Islamic movements originating from Islamic youth (the chabiba islamiya). We decided to study the doctrines of three fundamental Islamic movements through the trials of their political participation. Thus, we will discuss the Reform and Uniqueness Movement (RUM) and its political wing the PJD (Party of Justice and Development), the civilizational alternative and the Movement for the Ummah (MFU). These three movements made a substantial effort which resulted in a revision of their political ideology in order to position themselves within the Moroccan political sphere, amongst other political actors. The principles of Islam are taken as a reference for these three movements, to which the Civilizational Alternative added the Human wisdom. The representation of the relationship between politics and religion has evolved. The leaders of these movements draw a theoretical distinction between the religious field and the political one; nonetheless, in practical terms, their political participation is not completely protected from an instrumental use of religion for political purposes. The caliphate institution is considered as a historical experience. Thus, the State is a civil institution in the service of the nation. Choura is a principle not contrary to democracy. The latter ensures political pluralism and respect for Human rights although there are some reservations. The application of the Charia is not the challenge anymore because its purpose is compromised by the rules of the positive law. The RUM and its political wing, the PJD, have already legalized their situation. The PJD is recognized as the official and main party of Morocco’s partisan political landscape. The limit to their political demand and the political context of the country during the Arab spring events, lead the PJD to exercise power by running the government under the guidance of the new constitution of 2011. Despite the recent recognition of the Civilizational Alternative, as an association having the same name, this association has been removed from the list of recognized political parties due to its political position, and the fact that the political parties map does not ensure the existence of this Islamic unifying current. The MPO (Mouvement for Oummah) has developed a reforming political doctrine, but its quest to get an official recognition from the regime did not succeed. The attempt at creating an autonomous political party named “Ummah Party” has been concluded by a ban from the Ministry of the Interior and supported by a judicial decision
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Faraj, Abdelwaheb. "Les relations hispano-marocaines depuis l'indépendance du Maroc." Institut du droit de la paix et du développement (Nice), 1986. http://www.theses.fr/1986NICE0030.

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Bousdraoui, Najia. "Les fondements de l'Etat au Maroc (1666-1860)." Paris 1, 1988. http://www.theses.fr/1988PA010270.

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Abstract:
Remontant plus loin que les bornes chronologiques fixées, à l'étude du type de makhzen ("etat") inaugure par la dynastie des sharifs alaouites, l'Islam, "sacre historique" ("religion et monde", "religion et cité") est un facteur constitutif de la société marocaine et, une condition principale de toute entreprise politique. Religion, l'Islam est "imaginaire social". Imbriquant spirituel et temporel au fondement de tout pouvoir, il instaure les hiérarchies légitimes entre individus et groupes d'individus. Le savoir religieux et les liens de parenté avec le prophète opèrent les distinctions : noblesse de naissance (sharif arabes), noblesse acquise (berbères, arabes, andalous, moriscos, hornacheros). L'imposition du monothéisme musulman en tribu, substitue et ou surimpose un nouvel ordre socio-politique dans lequel des chefferies religieuses participent à la légitimité et ou à la délégitimité du makhzen. Sans exclure la dimension des conditions matérielles, le processus de la formation du centre étatique marocain est marque par le modèle de "l'idéal historique concret" des musulmans : l'état médinois. Référent des noblesses d'essence et des élites religieuses, il est "projet axial" de la transformation de la société tribale en société monothéiste, régit par un pouvoir central, légitime en "imaginaire religieux" dès lors qu'avec l'action des sharifs alaouites, l'allégeance au makhzen est reconnaissance de la légitimité spirituelle des sultans : le spirituel, "violence sans violence" au fondement du pouvoir dans la société marocaine avant l'impact des "situations coloniales".
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El, Alami Ahmed. "Le Maroc de 1961 à 1971 à travers le discours du roi Hassan II : esquisse d'une thématisation." Toulouse 1, 1996. http://www.theses.fr/1996TOU10030.

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Abstract:
« Le Maroc de 1961 à 1971 à travers les discours du roi Hassan II » est un regard analytique sur la première décennie du règne du successeur de Mohammed V. Dans un pays où la monarchie règne et gouverne, le roi est à la fois "monarque constitutionnel" et "ombre de Dieu sur terre" c'est-à-dire "commandeur des croyants " (amir al-muminine). Tradition et modernité, politique et religieux sont au cœur des questions de philosophie politique et des perspectives de développement. À partir du projet constitutionnel avorté de 1908 et jusqu'à la constitution éphémère de 1970 et les tentatives de putsch militaires, nous essayons de situer et de comprendre l'essentiel du débat national marocain sur les problématiques suivantes : le pouvoir constituant entre la monarchie et le peuple, du principe de l'assemblée constituante à la rédaction royale de la constitution en passant par le conseil constitutionnel désigné. Les élections, leur régularité - ou plutôt irrégularité -, le poids réduit des "élus" et le cercle vicieux de la contestation permanente des opérations électorales. Les libertés publiques - politiques, syndicales et religieuses -, la séparation des pouvoirs et le statut " hors séparation" de la monarchie. La stabilité telle qu'elle se traduit par la gestion de la marge démocratique types de scrutin et de multipartisme, état d'exception, constitution de 1970. . . ), du principe constitutionnel des "frontières authentiques" (Mauritanie, Tindouf, 'Abadia, Sebta. . . ), des rapports avec la force publique et du mode de développement socio-économique. La dimension culturelle du développement, la philosophie et les engagements fermes du roi en vue de stopper le processus de paupérisation et de repartition de plus en plus injuste du gâteau national, (réforme agraire, socialisme islamique, arabisation. . . Etc. ). Pour bien saisir la portée de la vision royale, nous l'avons entouré comme il se doit de celle de l'élite marocaine représentée par 'a. El-Fassi, h. El-Wazzani, m. Ben Barka. . . , sans oublier les pères de la résistance : Ma El-'Aynayn, 'Abd Al-Karim Al-Khattabi et Moha ou Hammou Zayani. .
“Morocco from 1961 until 1971 through the speeches of king Hassan II” is an analytical view on the first decade of the reign of the successor of Mohammed V. In a country where monarchy reigns and governs, the king is at the same time “a constitutional monarch” ; and “god's shadow on earth”, that is to say : “commander of believers” (ameer al-moomeneen). Tradition and modernity, politics and religion are in the heart of the questions concerning political philosophy and development perspectives. From the constitutional abortive plan of 1908 until the ephemeral constitution of 1970 and the attempts of military putsch, we try to situate and understand the essential part of the Moroccan national debate on the following issues : - the constituent power between monarchy and people, from the principle of the constituent assembly to the royal drafting of the constitution, by the way of the designated constitutional council - elections, their regularity - or rather irregularity - the reduced weight of the elected representatives ; and the vicious circle of the permanent contesting of election operations - public freedom - political, trade-unionist and religious - the separation of powers and the beyond separation ; status of monarchy - stability as it is expressed by the management of the democratic margin (types of ballet and of multipartism, state of exception, the constitution of 1970. . . ), of the constitutional principle of authentic frontiers ; (Mauritany, Tindouf, 'Abadia, Ceuta. . . ), of "the relationship with the public force and of the mode of socio-economic development - the cultural dimension of development, the king's philosophy and firm agreements in view to stop the process of pauperization and of more and more unjust sharing of the national loot (agrarian reform, Islamic socialism, arabization. . . Etc). In order to grasp the scope of the royal vision we have surrounded it by the vision of the Moroccan elite represented by : 'a el fassl, h. Ei-Wazzami, m. Ben Barka. . . , without forgetting the fathers of resistance : Ma El-'Aynayn, 'Abd Al-Karim, Al-Khattahi and Moha or Hammou Zayani. . . It's all Morocco in motion, seeking a synthesis and its trajectory towards the heights of the XXIst century. .
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Belhaj, Saif Mohammed Rachid. "La politique scolaire du protectorat français au Maroc (1912-1940)." Paris 5, 1994. http://www.theses.fr/1994PA05H078.

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Abstract:
L'école coloniale implantée au Maroc a été nettement marquée par les choix idéologiques du maréchal Lyautey, premier résident à Rabat. Trois grands principes ont été définis : - le principe de la "différence" qui, au nom de la reconnaissance et du respect des différences culturelles, ethniques, raciales et religieuses, a consisté à créer des écoles spécifiques pour chacune des populations scolaires : écoles européennes ; écoles franco-israélites et écoles franco-arabe ; - le principe de la "différenciation" qui, inspiré d'une certaine représentation que l'on se faisait de la société marocaine et des stratégies coloniales de Lyautey (gouverner avec le mandarin), a présidé à l'ouverture d'écoles indigènes distinctes en fonction de l'appartenance sociale des publics (écoles des fils de notables vs écoles des enfants du peuple) ou en fonction de l'origine ethnique (arabe vs berbère) ; - le principe d'une "évolution lente" qui veut que l'école réservée aux marocains ne leur confère pas trop de valeurs et évite d'en faire des déclassés. L'analyse et l'interrogation d'un ensemble de données (discours, enquêtes, etc) ont montré les manières dont furent appliqués ces principes
The colonial school introduced in morocco has been clearly marked by the marechal Lyautey's ideological choice. Three essential principle were defined : - principle of "difference" that consisted to create specific schools for every school public : European school, franco-jewish school and franco-arabic school ; - principle of "differenciation" that distinguished on one hand between schools reserved for the sons of the leading citizens and populars schools and, on the other hand, between barbers and Arabs ; - principle of "lingering evolution" : the schooling of natives has not to confer more values to his public and to turn out soured elements. The analysis and questioning of several data have shown that these principles had been effectively applied
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Drissi, Nour Badraoui. "Les institutions politico-administratives marocaines et leur restructuration au début du Protectorat Français." Nancy 2, 1993. http://www.theses.fr/1993NAN20010.

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Abstract:
À travers l'étude de l'esprit des reformes qui s'appliquèrent aux institutions marocaines et modifièrent en conséquence le statut de ceux qui en étaient les représentants, ce travail vise à évaluer l'œuvre accomplie en ce domaine par les autorités du protectorat français au Maroc, entre 1912 et 1925. Les autorités du protectorat, qui voulaient, pour différentes raisons, doter le Maroc d'une administration "moderne", durent pour cela introduire les reformes qui leur parurent nécessaires conformément aux exigences des règles de l'organisation administrative moderne. Pour donner à ce travail la perspective historique et culturelle sans laquelle l'appréhension de l'impact de ces réformes ne pourrait être pleinement saisie, une présentation du patrimoine institutionnel de l'empire chérifien a été longuement développée. Ainsi, certains aspects significatifs, trouvant leurs racines dans le droit musulman et la tradition marocaine, ont été analysés en fonction de leur résistance à une volonté politico-idéologique hexogène. L’analyse de l'héritage institutionnel, dont le dessein est de faciliter la compréhension des rouages du système administratif chérifien et du fonctionnement de l'administration précoloniale, a également pour ambition de mieux faire percevoir l'effet des reformes du protectorat sur la société marocaine. Enfin, la référence au passé culturel, politique et administratif de l'empire chérifien vise à montrer en quoi les éléments concernés de la société marocaine ont pu être influences dans leurs fondements et leur identité par l'entreprise de reforme
Through the study of the spirit of the reforms applied to Moroccan institutions which consequently modified the status of those who were their representatives, this work aims at evaluating what has been done in this field by the French protectorate authorities in morocco between 1912 and 1925. In order to introduce reforms which, for different reasons, seemed necessary to establish 'modern' administration in morocco, the French protectorate authorities had to act according to requirements prevailing in modern administrative organization. In order to give this work a historical and cultural perspective without which the apprehension surrounding these reforms could not be fully grasped, a presentation of the institutional patrimony of the Cherifian Empire has been developed at length. Thus, certain significant aspects rooted in Islamic law and Moroccan tradition have been analysed in relation to their resistance vis-a-vis the hexogeneous political and ideological will. Similarly, the analysis of the institutional heritage whose aim is to facilitate the comprehension of the cherifian administrative system and the functioning of pre-colonial administration, also aims at understanding the perception of the protectorate's reforms in Moroccan society. Finally, the reference to the cherifian kingdom's cultural, political and administrative past aspires to show how the concerned elements of Moroccan society have been influenced in their foundations and identity by the protectorate's undertaking of administrative reforms
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Houdaïgui, Rachid El. "Le système décisionnel marocain et la gestion de la politique étrangère sous le règne de Hassan II." Toulouse 1, 2000. http://www.theses.fr/2000TOU10019.

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Abstract:
Comment le roi Hassan II arrivait-il depuis l'indépendance à produire ses choix diplomatiques dans un contexte marqué simultanément par la dynamique concurrentielle des autres acteurs nationaux, la fragilité de la position géopolitique et les contraintes de l'ordre mondial ? En cas de crise nationale à dimension internationale ou encore en cas de conflit régional et mondial, comment le palais arrivait-il à gérer ces moments de tensions ? Ces questions soulèvent avec acuité ce que nous appelons le cheminement complexe de la production de la politique étrangère. Les meilleurs moments pour vérifier les caractéristiques de ce cheminement sont les crises, car c'est à ce moment qu'apparaissent les vrais enjeux et les intentions des acteurs nationaux, c'est à cet instant aussi que l'on peut mesurer la liberté d'action du principal décideur, le roi, et d'autres prétendants à l'élaboration de la décision, les partis politiques, le patronat et les O. N. G. Nationales. Les nombreuses crises auxquelles sont confrontées les hautes sphères de l'État marocain depuis l'indépendance montrent souvent un chef d'État pris en tenaille ; d'un côté, il tient à maîtriser la stabilité du système politique face aux partis du mouvement national qui sont souvent critiques à l'égard de la politique étrangère et qui n'attendent que l'occasion pour s'affirmer. Et de l'autre, faire en sorte que la position diplomatique adoptée soit au diapason de ses engagements internationaux notamment vis-à-vis de ses amis qui garantissent à leur tour, en contrepartie de son soutien, l'équilibre régional au Maghreb.
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Bouterfas, Ali. "Les idées et la pratique constitutionnelle de Hassan II." Paris 5, 2010. http://www.theses.fr/2010PA05D003.

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Abstract:
L'objet de cette recherche porte sur la formulation des idées constitutionnelles de Hassan II, présentées d'une part de façon implicite, à travers l'héritage immédiat, qui sous-tend un contexte idéologique, religieux et historico-politique, et d'autre part d'une façon plus explicite par un ensemble de discours de nature programmatique, dans lesquels il est possible d'extraire des principes juridiques et des normes de droit constitutionnel. Nous avons tenté de démontrer dans un premier temps la complexité de la relation entre le Souverain Hassan II et le poids des conventions issues des normes coraniques d'organisation du pouvoir politique, et des modes de dévolution du pouvoir royal, ainsi que l'importance du rôle de son Prédécesseur, Mohammed V, dans la formulation préliminaire de la problématique du pouvoir royal face aux partis nés dans le contexte de l'indépendance du Maroc. La conceptualisation des idées hassaniennes sur la constitution est aussi tributaire de sa formation intellectuelle acquise en droit public français, et dont il tirera ses premiers repères pour introduire en terre marocaine, les exigences d'une réorientation de la destinée politique du pays en direction de la création d'un Etat-nation de droit, d'essence occidentale. Nous avons ainsi pu décrypter à travers un appareû de discours des idées concernant d'une part l'idéologie sous-jacente du pouvoir royal face aux institutions d'un Etat moderne, incarnée dans une certaine vision de la démocratie; puis les diverses vues de Hassan II s'agissant de la théorie de la séparation des pouvoirs, de son mode de dévolution constitutionnalisé, et de la place des divers organes de pouvoir dans l'Etat. L'analyse des différentes constitutions de 1962 à 1996 et de leur pratique par le souverain chérifien a aussi permis de dégager de façon synchronique l'approche par Hassan II de la constitutionnalisation progressive du pouvoir royal face aux revendications des partis de la Koutla nationale puis démocratique, en soulevant les questions pertinentes concernant les réformes parlementaires, et de la fonction gouvernementale. En définitive, les idées constitutionnelles de Hassan II ont mûri jusqu'à instituer une forme originale d'organisation du pouvoir, alliant des traits spécifiques de la tradition chérifienne et alaouite, à une réinterprétation du rôle de l'Etat et de ses organes de pouvoir dans une architecture juridique ou prime l'institution royale
The purpose of this research focuses on the formulation of constitutional ideas of Hassan II, presented firstly through inheritance which underlies the ideological, religious and historical-political context; secondly in a more explicit set of pragmatic nature of discourse in which it is possible to extract legal principles and norms of constitutional law. We showed in the first instance the complex relationship between the Supreme Hassan II and the influence of conventions emanating from Koranic norms on organizing political power, patterns of devolution of royal power and the role of Mohammed V, his predecessor. The conceptualizations of Hassan's ideas on the constitution were influenced by his studies in French public law. Hassan II introduced in Morocco demands for a reorientation of the political destiny of the country towards the creating of a nation-state law derived essentially from Western nations. We have been able to decipher through speech ideas the underlying ideology of royal power against the institutions of a modern state, embodied in a certain vision of democracy. Furthermore, various views of Hassan II with regards to the doctrine of separation of powers, its mode of devolution, and the role of various bodies of power in the state can also be observed. Analysis of the 1962 to 1996 constitutions and its practice by the Moroccan king have also provided guidance on a synchronic approach by Hassan II of gradual constitutionalisation of royal power against the claims of the National Democratic Koutla by raising the relevant issues concerning the parliamentary reforms and governance. Ultimately, the constitutional ideas of Hassan II have matured to establish an original form of organizing power, combining specific features of the tradition and Shereefian Alawite and a reinterpretation of the role of the state and its organs of power in a legal system which favors royal institution
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Azzouzi, Abdelhak. "Autoritarisme et aléas de la transition politique dans les pays du Maghreb : les trajectoires comparées du Maroc, de l'Algérie et de la Tunisie." Toulouse 1, 2005. http://www.theses.fr/2005TOU10062.

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Abstract:
Les trois pays du Maghreb (Maroc, Algérie, Tunisie) illustrent la perspective indéterminée des trajectoires de la démocratisation. Ils présentent des similarités et des contrastes dont la pertinence scientifique et académique s’impose d’emblée et engendre une curiosité de celui qui s’inscrit dans une approche comparative. L’objectif de cette étude est de comprendre la longévité des autoritarismes maghrébins alors que paradoxalement, des politiques de « démocratisation » et de « libéralisation » ont été initiées et orientées dans les trois pays tantôt de façon similaire tantôt de façon contradictoire. Le maintien des régimes maghrébins, de même que le développement des politiques de « démocratisation » et de « libéralisation » ont largement contribué à étendre l’assiette des pouvoirs en place, c’est-à-dire, à accroître leur légitimité, alors que la « démocratie » est devenue le mot d’ordre à la fois des gouvernants autoritaires et de leurs opposants. Ces derniers finissent par ne plus se démarquer du régime et participent aux règles du jeu politique tracé par le pouvoir. Cependant, ces « transitions » semblent se présenter comme des cas « atypiques » prévus par les "democratization studies" dans la mesure où l’impulsion du changement provient toujours de l’ancien régime, c’est-à-dire les régimes autoritaires en place depuis fort longtemps. Néanmoins, ces mesures d’ouverture sont, à la fois, un processus d’« institutionnalisation » et de « légitimation » dans un espace temps comme elles sont « incertaines » dans la mesure où les gouvernants sont amenés à mettre en place des procédés politiques « démocratiques » qui imposent des contraintes et représentent alors des risques pour les régimes autoritaires eux-mêmes
The three Maghreb countries (Morocco, Algeria, Tunisia) illustrate the indeterminate perspective of the trajectory of democratization. They present similarities and contrasts whose scientific and academic relevance are immediately visible and generate the curiosity of those who use a comparative approach. The objective of this study is to understand the longevity of Maghrebin authoritarianism whereas, paradoxically, the policies of “democratization” and “liberalization” are initiated and oriented in the three countries sometimes in a similar manner and sometimes in a contradictory manner. The hold of the Maghrebin regimes, as well as the development of the policies of “democratization” and “liberalization,” have largely contributed to the expansion of the powers in place, to increase their legitimacy, whereas “democracy” has become the slogan of the authoritarian rulers and their opponents. The latters end up no longer distancing themselves from the regime and participate in the rules of the political game delineated by those in power. However, these “transitions” appear to be “atypical” cases envisaged by the democratization studies in so far as the impulse to change always originates from the “ancient regime” the authoritarian regimes in place for a long time. Nevertheless, these measures of openness are, at the same time, a process of “institutionalization” and “legitimization” in time as they are “uncertain” in as much as the rulers are called to put in place the “democratic” political process that imposes constraints and so represent risks for the authoritarian regimes themselves
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El, Achouri Mohammed Fouad. "La notion de démocratie au Maroc : essai d'analyse des discours du Trône, 1962-1995." Toulouse 1, 1998. http://www.theses.fr/1998TOU10044.

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Abstract:
Le but de cette étude est de mettre en relief les conséquences juridiques, politiques et sociales de la conciliation entre deux types de légitimités d'origines distinctes voire opposées, à savoir la légitimité monarchique et la légitimité démocratique. Pour réussir la conciliation de ces deux types de légitimités, religieuse et laïque, le roi Hassan II va user de tous les moyens qu'il possède pour vider les principes fondateurs, les moyens de contrôles entre autres, de l'une et de l'autre de toute leur substance. Le roi se lance, d'abord, en quête des moyens lui permettant de légitimer ses comportements et de les ériger, ensuite, en institution. Il en résulte une notion particulière de démocratie. La séparation des pouvoirs, l'opposition, les élections, l'alternance, la monarchie constitutionnelle, etc. . . Prendront une notion propre au particularisme marocain, au dépend de l'idéal démocratique et de la connotation d'origine. Le souci de conserver la suprématie de l'institution monarchique et la domination, la récupération voire la création des élites a contrarie considérablement tout projet de développement politique, social et économique. Les graphiques, qui représentent l'évolution des différentes dimensions de la démocratie dans le discours du Trône, nous permettent d'illustrer et de suivre l'évolution du processus démocratique au Maroc. Notre étude ne se limite pas a l'analyse des discours royaux, mais elle essaie de les confronter a la réalité quotidienne.
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Jemaï, Mohamed. "La représentation socio-politique au niveau local au Maroc et la problématique modernité-tradition : terrain d'illustration, la ville d'Oujda." Paris 8, 1997. http://www.theses.fr/1997PA081208.

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Abstract:
La representation socio-politique traditinnelle au niveau local au maroc a ete tres affecte, depuis l'independance (1956), par l'importation de differentes institutions et techniques modernes de representation. De meme que la societe dans son ensemble a connu des bouleversements tres importants. Ces deux realites sont saisies a travers et dans le cadre de la problematique de la modernite et de la tradition. L'objectif de ce travail tente, au dela d'une description portant toute a la fois sur l'evolution des institutions de representation, des acteurs (elites) et de leur environnement multidimentiennel, de demontrer comment et pourquoi, le traditionalisme s'est impose comme la synthese du rapport de la modernite et de la tradition, comme un systeme socio-culturel regissant la realite, mais surtout comment il s'entretient et se manifeste dans les differents domaines de la vie sociale, politique et economique
The traditionnal and socio-political representation of morroco at a local level has been much affected since independance (1956) by the importation of different modern and technical institutions of representation. As wel as society, as a whole, has wittenessed a lot of important changes. . Those tow realities have been understood considered through and whit in the realm of the problematic of modernity and tradition. The aim of this study is not only a descrition but also deals with the evolution of the representative institutions, the elites and their multidimentionnal environment ; in order to demonstrate how and why traditionalism imposed itself to link tradition and modernity, as a socio-cutural system ruling upon reality, but moreover, how it works and links the various fields of social political and economical life
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Felhi, Jamaleddine. "Les partis socialistes marocains depuis 1975." Nancy 2, 1985. http://www.theses.fr/1985NAN20011.

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Mohsen-Finan, Khadija. "Fonctions et enjeux du conflit du Sahara occidental : conflit régional et politiques intérieures." Paris, Institut d'études politiques, 1995. http://www.theses.fr/1995IEPP0010.

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Abstract:
En liaison avec les problèmes de frontières, de souveraineté et d'hégémonie qui ont divisé le Maghreb, le conflit du Sahara occidental est devenu au fil des ans un véritable enjeu de politique inter-maghrébine d'abord, mais aussi à l'intérieur de chacun des pays concernés ou intéressés, un sujet de démarcation et de positionnement politique. Cette dimension à la fois régionale et nationale du conflit saharien constitue la pierre angulaire de ce travail qui a pour principal objet d'appréhender cette guerre dans son aspect fonctionnel agissant comme rouage de la politique régionale, sa résonnance sur les politiques nationales du Maroc, de l'Algérie et de la Mauritanie ; le Polisario tenant, lui, par la force des choses, un rôle particulier. Il s'agit donc d'une analyse en termes de relations régionales ou internationales qui s'attache à mettre en avant les facteurs idéologiques et hégémoniques inhérents au conflit. Aujourd'hui, le discours sur ce conflit paraît limite à l'éventualité d'une consultation référendaire qui constituerait une issue définitive à cette guerre. Depuis 1988, nous vivons une période de "ni paix ni guerre", qui permet au protagonistes de ne pas entrer de plein pied dans l'après-conflit. Cette appréhension à affronter cette période devant succéder au conflit, montre que la guerre a bien créé une sorte de "système" qui permet un équilibre régional et national que personne ne veut rompre
The Western Sahara conflict became, within the past years, a real stake between the North African countries political relationships on the one hand, and inside every concerned country of the region, on another hand. This work, in its two dimensional aspects - regional and national demonstrates how this war interfered and reacted with the regional politics together with major reactions on the national politics of Morocco and Algeria, and to a lesser degree, Mauritania. The Polisario having a specific role in this analysis. One major aspect of this war is also the utilization of the notion of referendum for political reasons by all sides
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Zair, Tarik. "La gestion décentralisée du développement économique au Maroc." Toulouse 1, 2006. http://www.theses.fr/2006TOU10001.

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Abstract:
Essai de mise en forme d’un État minimal, la décentralisation territoriale est admise aujourd’hui comme une recette inéluctable du développement local. Au Maroc, l’option en faveur des collectivités locales, en tant qu’acteurs économiques, est le résultat d’une “nécessité utilitaire” qui s’est imposée au pouvoir central. L’État vise, par son biais, à occulter son incapacité à sortir le pays de ses crises économiques et à rendre ainsi responsables les pouvoirs décentralisés des échecs éventuels. La gestion décentralisée du développement économique révèle une multitude de contraintes juridiques que les réformes de 2002 n’ont pas pu surmonter. Les cadres institutionnels et territoriales décentralisés s’avèrent inadaptés. La répartition des compétences économiques s’est faite au détriment des autonomies locales. Le caractère spécifique de la compétence économique favorise les contraintes normatives qui s’imposent aux pouvoirs décentralisés. La politisation accrue du développement local l’a certainement fragilisé. La divergence des intérêts en présence s’est faite au détriment de la clarté indispensable à la réussite économique. Le développement a pris, par conséquent, une dimension redistributive et non créatrice de richesses. La mise en œuvre de la politique décentralisée de développement, malgré sa diversité, s’est traduite par des carences apparentes. La planification du développement local et sa gestion témoignent des difficultés à articuler les deux. L’effectivité d’une politique décentralisée de développement est tributaire de l’amélioration des ressources consacrées au développement local ainsi que du dépassement des lacunes méthodologiques
Attempt to shapeg a minimal State, the territorial decentralization is considered nowadays as on inevitable way to reach the local development. In Morocco, the option in favour of the local authorities, as economic agents, is the result of an “utilitarian necessity” which imposed itself on the central power. The State aims at hiding its inability to get the country out of its economic crises and to make responsible the decentralized power responsible for possible failures. Decentralized management of the economic development disclose a large amount of legal constraints that the reforms of 2002 were not able to overcome. Decentralized institutional and territorial frameworks turn out to be ill-adapted. The distribution of the economic skills was done at the expense on the local autonomies. The specific character of the economic skill favours the normative constraints which impose themselves on the decentralized powers. The growing politicization of the local development has probably weakened it. The difference of interest involved was done at the expense of the clarity which is necessary to the economic success. Thus, the development has taking a redistributive dimension and has not created wealth. The application of decentralized politic of development, in spite of its variety, resulted in visible shortcomings. The planning of the local development and its management show the difficulties to connect the two. The effectiveness of a decentralized politic of development is dependent on the improvement of the ressources devoted to the local development and on the overcoming of methodological gaps
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Darhouani, Lahcen. "Le rôle de l'État et l'impact du contexte islamique sur l'évolution du Crédit populaire du Maroc, 1961-1995." Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 1997. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk3/ftp04/mq31703.pdf.

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Hannoun, Azedine. "L'ambivalence des stratégies marocaines sur le problème du Sahara occidental." Perpignan, 2006. http://www.theses.fr/2006PERP0731.

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Abstract:
Cette étude se propose d'analyser la politique marocaine concernant le problème du Sahara occidental. Elle essaie de répondre à certaines interrogations liées notamment à la spécificité d'un problème qui dure depuis plus de trente ans et qui conditionne la vie politique interne ainsi que la politique étrangère marocaine. La politique marocaine à l'égard de ce problème est fractionnée dans le temps en trois stratégies en fonction du changement des objectifs poursuivis. Dans le cadre de ces trois stratégies, on pourrait relever une certaine ambivalence dans l'attitude marocaine qui trouve son origine dans la nature complexe du conflit. L'instrumentalisation par le pouvoir marocain de la cause de la marocanité du Sahara à partir des années 70 a fait qu'elle s'identifie à l'institution monarchique. La question du « Sahara marocain » devient ainsi sacrée sur le plan interne au même titre que l'islam et la personne du roi. D'autant plus, qu'elle suscite une unanimité au sein de la société et un consensus parmi les forces politiques du pays, devenant ainsi un levier de la légitimité de la monarchie. Cependant, l'inscription à partir des années 60 du territoire dans l'agenda de décolonisation des Nations Unies en tant que territoire non autonome impliquant l'application du principe du droit des peuples à l'autodétermination va mettre le Maroc dans l'obligation d'adapter son attitude pour éviter que le problème du Sahara ne devienne pas un facteur d'isolement et de marginalisation sur la scène régionale et internationale. Toute la politique saharienne du Maroc se résume en fait à une recherche d'équilibre entre d'une part, la nécessité de garder l'unanimité sur le plan interne autour de la marocanité du Sahara : levier de légitimation du pouvoir et de cohésion nationale ; et d'autre part, la nécessité de trouver des soutiens à l'extérieur pour éviter que l'action des « ennemis » ne nuise pas trop à la place du pays dans le concert des nations
This thesis proposes analysing the Moroccan policy towards the problem of the Western Sahara. It tries to answer to some questions about the specificity of the problem which last since thirty years ago and which govern the political life and the Moroccan foreign policy. The Moroccan policy towards this problem is divided in the time to tree strategies according to the objectives changes. As part of these tree strategies, we can notice certain ambivalence In the Moroccan attitude which finds its origin in complicated nature of the conflict. The question of the “Moroccan Sahara” became sacred in the internal level like the Islam and the person of the king. It arouses the unanimity within the society and the consensus among the political groups; It became equally the lever of the monarchy's legitimacy. However, the inscription of the territory in the UN's diary of decolonisation as a non self-governing territory obliged Morocco to adapt its attitude in order to avoid that the Sahara's problem become a factor of isolation and marginalization above the regional and international level. All the Morocco's Saharan policy sum up in a research of a balance between a necessity to keep the unanimity in the internal level about the “Moroccan Sahara”, moreover the necessity to find supports in abroad
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Yakhlef, Mohamed M. B. L. "La municipalité de Fez à l'époque du Protectorat (1912-1956)." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 1990. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/213108.

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Oujjate, Abdeljalil. "La problématique de la démocratisation au Maroc depuis l'indépendance." Thesis, Paris 2, 2011. http://www.theses.fr/2011PA020099.

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Abstract:
Depuis l’indépendance du Maroc (2 mai 1956), la monarchie va réussir à instaurer un régime absolu de droit divin. En concomitance, elle va amorcer plusieurs processus qui visent, selon elle, à démocratiser les institutions politiques du Royaume. Le successeur du Roi Mohamed V son fils aîné le Roi Hassan II va aider à l’affirmation de cette monarchie absolue. Cette consolidation va apparaître dans la Constitution de 1962, puis à partir des pratiques institutionnelles qui donnent l’impression que tout marche selon l’ordre donné par l’institution monarchique ou par le Roi/l’Emir des croyants. L’instauration de l’état d’exception en 1965, après une courte expérience constitutionnelle, va plonger le Maroc dans une dictature qui n’a fait autre chose que dégrader les liens entre l’Etat/makhzen et le peuple. A l’issue du consensus national autour du Sahara occidental, le Roi amorce un processus d’ouverture limité qui ne va rien changer aux équilibres politiques du pays et qui était largement éclaboussé par le trucage électoral. Or, plusieurs facteurs d’ordre national et international vont pousser le régime à se libéraliser – et pas forcément à se démocratiser – à partir des années 1990. L’arrivée du Roi Mohamed VI au pouvoir va donner un nouveau souffle à cette politique de libéralisation. Toutefois, aucune diminution des pouvoirs du Roi n’a été réalisée, et ce jusqu’au 1er juillet 2011 qui marque un changement important après l’adoption de la nouvelle Constitution du Royaume. A travers ce qui précède, l’étude cherche à éclaircir la réalité politique complexe du Maroc, cerne les obstacles qui empêchent celui-ci de faire son entrée dans le monde démocratique, et cela avant d’aborder les solutions à la problématique posée
Since the independence of Morocco (May 2nd, 1956), monarchy will succeed in establishing an absolute system of divine right. In concomitance, it will initiate several processes which aim, according to him, to democratize the political institutions of the Kingdom. The King Hassan II, successor and elder son of the King Mohammed V, will help with the assertion of this absolute monarchy. This consolidation will appear in the Constitution of 1962, then from the institutional practices which give the impression that everything works according to the order given by the monarchical institution or by the king/Emir of the believers. The introduction of the state of exception in 1965, after a short constitutional experiment, will plunge Morocco in a dictatorship which degrade the relationship between the State/Makhzen and the people. At the conclusion of the national consensus around the Western Sahara, the King starts a limited opening process that will not change the political balances of the country and which was largely splashed by the electoral special effects. However, several factors of internal and international order will urge the system to liberalize - and not inevitably to become more democratic - as from the years 1990. The arrival of King Mohammed VI will give a new breath to this politics of liberalization. However, no reduction in the powers of the King was carried out, until July 1st 2011 after the adoption of the new Constitution of the Kingdom
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Agrour, Rachid. "Le mouvement hibiste et les tribus berbères de l'Anti-Atlas : une histoire de la périphérie (sud-ouest marocain) face au pouvoir central (1910-1934)." Paris 1, 2009. http://www.theses.fr/2009PA010566.

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Abstract:
Cette étude vise à comprendre les évènements qui ont permis à Moulay Hmed Hiba, fils d 'un marabout beydan, Ma El Aïnin, de se faire proclamer sultan en 1912, une première fois a Tiznit, la seconde a Marrakech, et d'avoir ainsi donné naissance à un mouvement qui pendant plus de vingt ans (1912-1934) symbolisera pour ces populations berbères la résistance à l'avancée inéluctable des troupes coloniales françaises. Ce mouvement hibiste, qui embrasa donc un temps tout Ie Sud marocain, du Haouz de Marrakech aux rives asséchées de la Saguia El Hamra, se réduisit au fil des revers militaires et politiques comme une peau de chagrin pour, très vite, se limiter aux montagnes refuges des tribus berbères de I' Anti-Atlas. Avec I' irruption de Moulay Hmed Hiba au sein des tribus, les petits chefs locaux trouvent une nouvelle légitimité de leur pouvoir fragile avec I'obtention de dahir octroyé généreusement par Ie nouveau sultan. Quand El Hiba se réfugie à Kerdous (Ida Oubaaqil) ces calds hibistes jouent leur rôle administratif avec plus ou moins de réussite. Ils détournent systématiquement à leur profit les prélèvements canoniques pour n'en faire parvenir qu'une infime partie au légitime receveur. II faut souligner ici Ie rôle central du cald de Lakhsas (El Madani Akhsassi) dans Ie soutient a Moulay Hmed Hiba, ainsi qu'à son successeur Merebbi Rebbo, et dans l'organisation des tribus de l' Anti-Atlas face au « Makhzen des Français ».
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Mouhib, Leila. "Les politiques européennes de promotion de la démocratie: une analyse des rôles du Parlement et de la Commission dans les cas tunisien et marocain, 2006-2012." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2013. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/209503.

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Abstract:
Partant du constat de la constitution de la promotion de la démocratie comme enjeu des relations internationales et de politique étrangère, la présente recherche s’interroge sur les politiques menées en la matière par l’Union européenne dans le cadre des relations avec ses voisins méditerranéens, particulièrement le Maroc et la Tunisie. L’analyse se concentre sur l’Instrument européen pour la démocratie et les droits de l’homme, sur la période 2007-2012.

L’objectif est de comprendre et d’expliquer les pratiques des différents groupes d’acteurs impliqués dans ces politiques, au sein de la Commission (DG Relex/SEAE, DG Devco, délégations) et du Parlement (sous-commission DROI).

La position défendue est la suivante :les pratiques européennes de promotion de la démocratie au Maroc et en Tunisie sont fonction de l’identité des groupes institutionnels qui les mettent en œuvre. Pour chaque groupe institutionnel, peuvent être mis en évidence des normes, intérêts et ressources qui contribuent à défendre et renforcer l’identité institutionnelle. Dès lors, des pratiques qui peuvent paraître incohérentes au premier abord (pourquoi agir au Maroc et pas en Tunisie ?pourquoi créer l’IEDDH et, parallèlement, évincer l’objectif de promotion de la démocratie de la coopération bilatérale avec la Tunisie ?) prennent tout leur sens lorsqu’on parvient à restituer la fonction sociale qu’elles assurent.


Doctorat en Sciences politiques et sociales
info:eu-repo/semantics/nonPublished

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Dadi, Soumaya. "La Constitution marocaine du 29 juillet 2011 : rénovation institutionnelle et promotion des libertés." Thesis, Paris 5, 2014. http://www.theses.fr/2014PA05D003.

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Abstract:
D’une portée inédite dans le voisinage maghrébin et arabe, à un moment crucial de l’évolution du monde arabo-musulman, la réforme constitutionnelle globale annoncée par SM le Roi Mohammed VI à la nation le 9 mars 2011, constitue l’aboutissement d’un processus de réformes économiques, politiques et sociales entamé depuis la fin des années 90. Fruit d’une démarche participative inédite dans l’histoire du Maroc, la constitution adoptée par référendum trois ans auparavant a jeté les bases d’une nouvelle phase dans le processus de consolidation d’un modèle démocratique marocain. Cette démarche, a été saluée par l’ensemble de la communauté internationale, l’estimant un pas important dans le développement politique en cours au Maroc, et une preuve significative de l’engagement de toutes les forces vives de la nation au projet de société porté par la nouvelle loi fondamentale. La nouvelle constitution est basée sur plusieurs fondements majeurs, qui concernent la séparation et l’équilibre des pouvoirs, la consolidation de l’Etat de droit, l’élargissement du champ des libertés individuelles et collectives, le renforcement du système des droits de l’Homme. Elle consacre pour la première fois, la reconnaissance de la composante culturelle amazighe, la volonté d’ériger la justice en un pouvoir indépendant. Elle prévoit également le renforcement du statut du premier ministre qui devient chef du gouvernement, la mise en place et la constitutionnalisation des instances en charge de promotion des droits de l’Homme et de la bonne gouvernance. En dehors de ces grands sujets, la nouvelle loi est riche de plusieurs dispositions qui touchent aux fondements de la société marocaine et à son insertion dans le concert des pays modernes et démocratiques. Elle ouvre de nouvelles perspectives, et va au-delà des aspirations exprimées, il s’agit d’une véritable révolution dans la vie politique du pays et un point de départ d’une ère nouvelle. Ce travail vise à montrer que la présente réforme n’est pas conjoncturelle ou due à un facteur unique, ce formidable sursaut de réforme n’est guère une affaire de circonstance, appelée désormais printemps arabe. Cette évolution constitutionnelle qui s’inscrit dans la stabilité du régime, semble démontrer sa maturité politique à travers son choix de mettre en œuvre de nouveaux mécanismes. Il s’agit donc d’un contexte institutionnel nouveau mais qui a pour objectif essentiel de consolider tous les acquis démocratiques qui ont été concrétisé tout au long de l’histoire contemporaine du Maroc et que nous nous proposons d’étudier. La nouvelle loi vient confirmer une fois encore l’exception du modèle marocain et son caractère singulier qui s’articule notamment autour d’une scène politique active et dynamique, puisant sa force d’une monarchie constitutionnelle, vieille de plusieurs siècles. Son exception est en fait un particularisme, une singularité due à la nature monarchique du régime et aux spécificités propres du Royaume, qui font que le changement ne s’opère pas par les mêmes canaux et ne s’exprime pas de la même façon
In an unprecedented scope in the Maghreb and Arab neighborhood, at a crucial moment in the evolution of the Arab-Muslim world, the comprehensive constitutional reforms announced by HM King Mohammed VI to the nation on 9 March 2011, is the culmination of a process of economic reforms, political and social begun since the late 90s. Fruit unprecedented participatory approach in the history of Morocco, the constitution adopted by referendum three years ago laid the foundations of a new phase in the process of consolidation of a Moroccan democratic model. This approach was welcomed by the entire international community, considering an important step in policy development underway in Morocco, and a significant proof of the commitment of all forces of the nation to the project company carried by the new constitution. The new constitution is based on several major foundations, which concern the separation des powers, consolidating the rule of law, expanding the scope of individual and collective freedoms, strengthening the system of human rights. It enshrines for the first time, the recognition of the Amazigh cultural component, the desire to build justice in an independent power. It also provides for strengthening the status of the Prime Minister is head of government, the establishment and entrenchment of bodies responsible for promoting human rights and good governance. Apart from these major issues, the new law is rich with several provisions affecting the foundations of Moroccan society and its insertion in the concert of modern and democratic country. It opens new perspectives, and goes beyond the aspirations expressed; it is a revolution in the political life of the country and a starting point of a new era. This work aims to show that this reform is not cyclical or due to a single factor, great burst of reform is hardly a matter of fact, now called the Arab Spring. This constitutional change that is part of the regime's stability seems to show political maturity through his choice to implement new mechanisms. It is therefore a new institutional context but essential objective to consolidate all the democratic gains that have been materialized throughout the modern history of Morocco and we propose to study. The new law confirms once again the exception of the Moroccan model and its singular character that revolves around a particularly active and dynamic political scene, drawing its strength from a constitutional monarchy, centuries old. His exception is actually a particularism, a singularity due to the nature of the monarchical regime and the specificities of the Kingdom, which make the change does not take place through the same channels and is not expressed in the same way
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Bin, Saoud Fahad bin Saoud bin Abdallah. "Le poids géopolitique de la mer Rouge : de la crise de Suez de 1956 à 1999." Paris 4, 2000. http://www.theses.fr/2000PA040008.

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Abstract:
La thèse comporte 559 pages de dimension A4, écrites avec le caractère 12, times new roman (normal). Elle contient une préface, une introduction et quatre parties principales : au niveau de la première partie de la thèse (quatre chapitres), l'auteur étudie les bases naturelles, humaines, économiques et politiques du poids géopolitique de la mer Rouge. Dans la deuxième partie de la thèse (deux chapitres), l'auteur traite de la rivalité internationale et régionale sur la mer Rouge, au moment où il consacre la troisième partie (quatre chapitres) à l'étude du poids géopolitique de la mer Rouge dans le concept des grandes puissances et des états riverains, ainsi que dans celui du conflit arabo-israélien. Dans cette partie, l'auteur parle également de la situation juridique de la mer Rouge durant la période couverte par l'étude. L'auteur réserve la quatrième partie de son travail (subdivisée en deux sous-parties) à une conclusion dans laquelle il donne sa propre vision des perspectives d'avenir pour la mer rouge, en se basant pour ce faire sur les données historiques et contemporaines aux niveaux régional et international. L'auteur termine sur une conclusion, des recommandations et une bibliographie. Enfin, la thèse comporte 50 cartes, 4 figures et 42 tableaux.
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Mazih, Benboucetta Bouchra. "Les émissions culturelles à la Télévision Marocaine : quel statut dans une démocratie en devenir ?" Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2015. http://www.theses.fr/2015PA030023.

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Abstract:
L’objectif principal de ce travail est de vérifier si le statut de la culture à la télévision nationale pourrait être un indicateur sur la mise en place d’un processus démocratique au Maroc. La réforme de l’audiovisuel constitue un prétexte pour observer la portée des discours réformistes, surtout quand ils sont annoncés par des régimes autoritaires. Comme nous voulons aborder un aspect spécifique d’une politique sectorielle, il serait utile de l’intégrer dans le climat global où elle évolue. En s’intéressant au passé colonial du pays, nous comprendrons les fondements du régime marocain ainsi que les relations qu’il entretient avec les différentes composantes du paysage politique.Les relations entre la monarchie et la religion, la politique et les médias, et le peuple marocain, contribueront à exposer la problématique du nouveau rôle que les réformes jouent dans la réaffirmation des régimes autoritaires. Les élections de 2011 ont permis l’accès des islamistes au gouvernement. L’élaboration des cahiers des charges de l’audiovisuel public par le ministère de tutelle provoquera un affrontement avec les vrais détenteurs de pouvoir sur ce domaine. Grâce aux conditions de la mise en application de ces textes, nous verrons comment les enjeux politiques influencent les décisions des différents acteurs, car nous souhaitons participer à poser un regard différent sur les démarches de modernisation d’un pays comme le Maroc
This paper primarily seeks to verify whether the status of culture on Moroccan national television could be an indicator of the implementation of a democratic process in Morocco. Audiovisual reform is a pretext for observing the scope of reformist discourse, especially when such discourse is delivered by authoritarian regimes. As we intend to examine a specific aspect of policy in a given sector, it would be interesting to place it in the broader context in which it evolves. We shall take a close look at the country's colonial past to better understand the foundations of the Moroccan regime and the relations that it nurtures with the various stakeholders in the political landscape.We will use the relations between the monarchy and religion, politics and the media, and the Moroccan people to present the problematic of how authoritarian regimes now use reforms as a new way of reasserting their authority. The 2011 elections brought Islamists into the government. In the audiovisual sector, we can expect a confrontation between the true holders of power in this field and the ministry in charge of the sector when it comes to drafting the terms of reference for public radios and televisions. We shall examine how political stakes influence the decisions of the various professionals through the conditions for implementing these texts; for we wish to participate in viewing from a different angle, the modernization processes of a country such as Morocco
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Tarbouni, Younasse. "THE ARAB CENTURY opposing trajectories of Arab activism in MENA What has changed? the case of the Moroccan movement of February 20, 2011." Thesis, Paris Sciences et Lettres (ComUE), 2018. http://www.theses.fr/2018PSLEH014.

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Abstract:
En prenant le MF20 comme principale étude de cas , je plaide contre les affirmations du caractère nouveau, unique, fructueux, manqué ou achevé de ces mouvements arabes. Je passe en revue la première décennie du 21ème siècle et la déclaration de la Guerre contre le terrorisme (2003) comme déclencheurs de conflits socio-politiques déjà installés dans la région MENA. La deuxième décennie de ce siècle, à travers les soulèvements arabes, a seulement rendu visibles aux yeux du monde les transgressions des droits de l'homme et les atrocités prenant place au Moyen-Orient.Ces soulèvements ont rapidement été réduits à des soulèvements épisodiques. La troisième décennie semble malheureusement entre les mains des idéologues de droite qui s’opposent au multiculturalisme et à l'extrémisme religieux, et qui, de fait, réorientent le débat loin des problèmes sociaux en mettant en avant le récit « nous contre eux ». Pour ces raisons, je prétends que les soulèvements arabes sont loin d’être achevés ; ils n’ont fait que débuter. Contrairement au dessin qu’en fait Davis (2013), ils ne s’estompent pas pour disparaître complètement mais seulement pour revenir en force.L'analyse approfondie dans le projet de la saga des luttes de ces mouvements arabes avec les régimes autocratiques arabes, qui n’ont fait rien d’autre que mettre en place des réformes préventives, nécessite de notre part une attention particulière pour les décennies à venir. Même les cas dits « fructueux », notamment la Tunisie et le Maroc, indiquent que ce qui est célébré est en fait un état de stabilité temporaire qui cache des faiblesses majeures et alarmantes dans le cadre du changement social et de la justice sociale ; deux des principaux déclencheurs du soi-disant printemps arabe.Thomas Friedman fait appel à des détails historiques, dans son excellent article pour le New York Times, demandant à ce que l'expression « Printemps arabe » soit retirée et remplacée par la « Décennie arabe » d'Anthony Cordesman ou le « Quart de siècle arabe ». Je propose que nous nous situons au-delà, et que nous assistons en fait à un Siècle arabe en mutation.Si l’on se fie aux changements politiques récents dans le monde, il apparaît que les changements sociaux dans le monde arabe seront négligés pendant au moins une autre décennie. La montée au pouvoir de l’extrême-droite aux États-Unis et en Europe a déjà retiré l’accent des injustices sociales dans le monde arabe au profit de la question éternelle de l'islam et de l'extrémisme en Occident. Cela s'avère offrir une pause aux régimes autocratiques arabes qui utilisent cette ascension de l'islamophobie en Occident comme un argument unificateur qui distrait des injustices sociales au sein de leurs républiques et leurs royaumes. Ainsi, la lutte des citoyens arabes dans les états arabes pour la dignité sociale sera négligée jusqu'à ce que le récit revivifié du choc de l'islam et de l'Occident disparaisse
With the MF20 as the major Case Study , I argue against the claims of the newness, uniqueness, success and failure or finality of these Arab movements. I revisit the first decade of the 21st century and the declaration of War on Terrorism (2003) as one trigger of sociopolitical conflicts that were already entrenched in the MENA region. What we witnessed in the second decade of this century is that the Arab uprisings only exposed transgressions in human rights and atrocities in the Middle East to the world. These uprisings were hurriedly reduced to seasonal uprisings. The third decade unfortunately looks to be in the hands of right-wing ideologues standing against multiculturalism and stressing the fear of religious extremism to change the focus from social issues and force the narrative of us-against-them on the forefront. For these reasons, I claim, there is no finality to the Arab uprisings, they have just begun and they are not in a state of thaw as Davis (2013) depicts them, but they are in slumbering phase recouping for a stronger come back. The close analysis in the project of the saga of struggles of these Arab movements with the Arab autocratic regimes who engineered nothing but preemptive reforms, requires our close attention for the remaining decades in this 21st century. Even the so-called successful cases, Tunisia and Morocco, indicate that what is celebrated is a state of temporary stability with major and alarming short comings in social change and social justice; two of the main reasons of the so called Arab Spring. Thomas Friedman suggests great historical details, in his great piece for the New York Times, calling for the expression “Arab Spring” be retired and be replaced by Anthony Cordesman’s the “Arab Decade” or “Arab Quarter Century” . I claim we are beyond that, and that we are witnessing an Arab Century in movement.If the recent political changes around the world are any indication, social change in the Arab world will be overlooked for at least another decade. The rise of the extreme right to power in the US and in Europe has already shifted the focus from the social injustices in the Arab world to the everlasting issue of Islam and extremism in the West. This is proving to be a big break for Arab autocratic regimes, who are using this rise of Islamophobia in the West as a unifying argument that distracts from the social injustices within their republics and kingdoms. Thus, the struggle of Arab citizens within the Arab states for social dignity will be overlooked until the revived narrative of the clash of Islam and the West dies down
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