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Journal articles on the topic 'Maximum d'entropie sur la moyenne'

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Pugnet, Lilian, Luciano Lourenço, and João Rocha. "L’ignition des feux de forêt par l’action de la foudre au Portugal de 1996 à 2008." Territorium, no. 17 (August 10, 2010): 57–70. http://dx.doi.org/10.14195/1647-7723_17_6.

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Abstract:
Une étude des incendies de forêt causés par la foudre est présentée pour le Portugal, de 1996 à 2008. A l’aide des données de tous les feux de foudre enregistrés sur cette période, une analyse de la répartition spatiale et temporelle, de ces phénomènes, a été effectuée. Les informations sur les feux de foudre ont été couplées à celles sur l’activité des décharges électriques atmosphériques (DEA) et aux conditions météorologiques. La moyenne mensuelle montre un maximum d’activité des DEA de Mai à Septembre, alors que le minimum d’activité est observé en Janvier et Décembre. Il existe une forte corrélation entre l’activité des DEA et la répartition des feux de foudre.
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Chappaz, R., G. Brun, and G. Olivar. "Contribution à l'étude du régime alimentaire, de la croissance et de la fécondité de la perche (Perca fluviatilis L.) dans un lac oligotrophe de région tempérée." Revue des sciences de l'eau 2, no. 1 (April 12, 2005): 95–107. http://dx.doi.org/10.7202/705025ar.

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Abstract:
La retenue de Sainte-Croix sur te Verdon, mise en eau il y a dix ans, est un lac oligotrophe monomictique chaud de 2 200 ha de surface et de 80 m de profondeur maximum (profondeur moyenne 50 m). Une vidange hivernale partielle en abaisse le niveau de 8 à 16 m selon les années. La température dans l'épilimnion varie de 7 °C en février à 22 °C en juillet, avec une moyenne de plus de 900 degrés/jours au-dessus de 14 °C. Les perches introduites depuis la mise en eau, se nourrissent des plus gros planctontes (Cladocères et Copépodes), des larves benthiques de divers insectes (Chironomides, Ephémères) ainsi que d'alevins. Malgré des conditions thermiques favorables, la croissance des perches est lente en raison de la faible densité des proies et de la concurrence avec des Cyprinidae planctonophages, ablettes et gardons, très bien représentés dans la retenue. La maturité sexuelle est atteinte au terme de ta première année pour la majorité des mâles, la seconde année seulement pour 60 % des femelles. Mesurée sur 15 femelles de 14 à 40 cm, la fécondité variant de 2 500 à 50 000 ovules, est faible.
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Ondo, Benjamin Obiang, Sylvie Carole Ondo Ntyam, and Richard Jules Priso. "Effet de la phytoaccumulation du plomb, du fer et du zinc sur deux Poacées dans la zone de Kribi et de ses environs." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 6 (October 7, 2020): 2257–66. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i6.26.

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Abstract:
Le défi de préservation de la biodiversité reste pertinent en zones côtières notamment à Kribi, où la démographie galopante s’accompagne d’un accroissement notable des polluants. Pour appréhender les effets des métaux lourds dans le métabolisme de quelques macrophytes de Kribi, 4 sites de collecte des échantillons ont permis d’identifier deux Poacées, Panicum maximum et Echinochloa colona. Avec une température moyenne d’eau de 25,25 ± 0,17 °C, n = 16; l’on constate la sensibilité thermique des feuilles de E. colona par rapport à P. maximum. Le site kribi plus acide (pH = 4,16 ± 0,02) contient aussi plus de plomb (1,04 ± 0,01 mg/l). Corrélée au taux de chlorophylle et au nombre de feuilles de P. maximum, la quantité de chlorophylle accumulée et le nombre de feuilles diminuent avec l’augmentation du plomb. Ce métal provoque la chlorose foliaire, des lésions nécrotiques et le dessèchement du feuillage pour ces deux Poacées. Le fer s’observe plus dans le cours d’eau Bidou et augmente avec le taux de chlorophylle de P. maximum. La variation moyenne du zinc dans l’étude est de 0,11 mg/l. L’accumulation du zinc empêche le développement de feuilles de P. maximum. Mots clés: Chlorophylle, Kribi, métaux lourds, Poacées, polluants. English Title: Effect of phytoaccumulation of lead, iron, zinc on Poaceae in Kribi and its surroundingsThe challenge of preserving biodiversity in the context of modernization of industries remains relevant in coastal areas, especially in Kribi, where demography is galloping while pollutants increase. To control the effects of heavy metals in the metabolism of some macrophytes in Kribi, four sample collection sites were identified with two Poaceae, Panicum maximum and Echinochloa colona. With an average water temperature of 25.25 ± 0.17 °C, n = 16; the thermal sensitivity of E. colona leaves is found in relation to P. maximum. The more acidic Kribi site (pH = 4.16 ± 0.02) also contains more lead (1.04 ± 0.01 mg/l). Correlated with chlorophyll and leaves of P. maximum, the amount of chlorophyll accumulated and the number of leaves decrease with increasing lead. This metal causes leaf chlorosis, necrotic lesions, yellowing and foliage drying, for these two Poaceae. Iron is observed more in Bidou stream and increases with maximum P. chlorophyll. The average variation of zinc in the study is 0.11 mg / l and the accumulation of zinc prevents the development of P. maximum leaves. Keywords: Chlorophyll, heavy metals, Kribi, Poaceae, pollutants.
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Marchane, Ahmed, Lionel Jarlan, Lahoucine Hanich, and Abdelghani Boudhar. "Caractérisation de l'enneigement sur l'atlas marocain par le capteur MODIS et relation avec le climat (période 2000-2011)." Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection, no. 204 (April 8, 2014): 13–22. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2013.18.

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Abstract:
Dans le Sud de la Méditerranée, de nombreux bassins versants sont caractérisés par un fonctionnement pluvio-nival où une partie des ressources en eau est stockée en hiver sous forme de neige en montagne alors que la zone de consommation se situe en plaine souvent dominée par l'agriculture irriguée. L'objectif de ce travail est double : (1) évaluer les capacités de la télédétection visible/proche infrarouge pour caractériser la variabilité interannuelle de l'enneigement sur l'Atlas marocain comme alternative aux données in situ éparses sur ces zones difficiles d'accès ; (2) identifier les déterminants climatiques qui gouvernent cette variabilité. Dans cet objectif, nous avons analysé plus de 10 ans d'acquisitions journalières issues du capteur MODIS (produits MOD10A1). Dans un premier temps, nous nous sommes attachés à corriger les produits bruts contaminés par la couverture nuageuse à l'aide de méthodes de filtrage basées sur le voisinage spatial et temporel et nous les avons confrontées à des mesures d'équivalent en eau de la neige mesurée à la station nivale de l'Oukamaïden, près de Marrakech, entre 2009 et 2011. Dans un deuxième temps, nous avons caractérisé la variabilité interannuelle à l'aide d'indicateurs saisonniers: enneigement maximum et moyen, et date des premières neiges. Enfin, nous avons mis en évidence une relation significative entre la valeur de l'oscillation Nord Atlantique (ONA) moyenne sur le mois de mars et l'enneigement maximum. Nous montrons également qu'il existe une relation significative entre les anomalies de températures de surface de l'Atlantique équatorial et tropical à la fin de l'été et l'enneigement maximum rencontré sur l'Atlas marocain l'hiver suivant. Ces résultats ouvrent des perspectives pour la prévision saisonnière de l'enneigement sur la région.
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Cantat, Olivier, and Alexandre Follin. "Les singularités thermiques d’un espace périurbain dans une agglomération de dimension moyenne : le cas de Caen durant l’hiver 2018/2019." Climatologie 17 (2020): 3. http://dx.doi.org/10.1051/climat/202017003.

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Abstract:
L’analyse comparative des données météorologiques de la station rurale de Carpiquet avec une station expérimentale en périphérie de la ville de Caen a permis de montrer la présence en hiver d’un léger îlot de chaleur péri-urbain (ICPU) (moyenne de +0,4°C). Il est caractérisé par un maximum d’intensité en fin d’après-midi et début de soirée (+0,8°C) et des écarts faibles le reste du temps. Derrière cette image moyenne, une analyse du continuum temporel au pas de temps journalier puis horaire a mis en exergue des comportements différenciés selon les types de temps. Le caractère le plus original des résultats est la présence certes rare, mais significative en termes d’intensité, d’un îlot de fraîcheur péri-urbain (IFPU). Il se forme de nuit par temps clair et calme et se prolonge dans la matinée, jusqu’à présenter un maximum d’intensité vers 9 h UTC. Cette inversion par rapport au schéma classique de fonctionnement des îlots de chaleur urbain (ICU) s’explique par un mode d’occupation du sol favorable à la formation d’une poche froide par rayonnement nocturne, favorisée par l’absence totale de vent (effet de barrage du bâti et de la végétation) et par la faible densité urbaine, alors que sur la campagne ces mécanismes de refroidissement sont atténués par la persistance d’un léger flux. Cet IFPU résiste et s’intensifie en début de matinée, jusqu’à temps que le soleil et la turbulence de l’air ne viennent échauffer et disperser cette pellicule d’air froid plus dense. Ici, les conditions stationnelles semblent donc primer sur les effets purement urbains car l’agglomération de Caen ne présente pas une masse suffisante pour créer une « bulle chaude » jusque dans ses quartiers périphériques quand un type de temps radiatif s’impose.
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Hatungumukama, G., P. L. Leroy, and J. Detilleux. "Influence des facteurs non génétiques sur la production laitière journalière des vaches Frisonnes à la station de Mahwa (sud du Burundi)." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 61, no. 1 (January 1, 2008): 45. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10011.

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Abstract:
Entre 1991 et 2003, 75 650 données sur la production laitière journalière de vaches Frisonnes de la station de Mahwa ont été collectées pour étudier les effets de la durée de lactation, de l’âge au vêlage, de l’année et du mois de lactation, et de la parité sur cette production. Les données ont été analysées à l’aide d’un modèle linéaire (procédure GLM de SAS). Tous les facteurs ont influencé significativement la production laitière (P < 0,001). La moyenne générale a été de 8,71 l/jour. La production laitière a suivi la courbe théorique de lactation avec un pic de lactation de 11,48 ± 0,20 l/jour au 15e jour de lactation. L’âge au vêlage a influencé la production, avec des coefficients de régression linéaire et quadratique de –0,26 l/mois et 0,0052 l/mois² en première parité, de 0,49 l/mois et –0,0056 l/mois² en deuxième parité, et de –0,22 l/mois et 0,0013 l/mois² en troisième (et plus) parité. La production laitière a diminué au cours des années de lactation avec la chute la plus importante en 1993. Elle a atteint un minimum en 1995 avec 6,91 ± 0.17 l/jour et un maximum en 1991 avec 15,55 ± 0,45 l/jour. Elle a été significativement plus élevée en février (9,75 ± 0,13 l/jour) au milieu de la saison pluvieuse qu’en septembre (7,60 ± 0,13 l/jour) en fin de saison sèche. La moyenne des moindres carrés pour la production laitière journalière a été respectivement de 11,47 ± 0,30, 5,23 ± 0,09, et 10,11 ± 0,06 l/jour en première, deuxième et troisième (et plus) lactation.
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Tisserand, Jean-Christian. "Le jeu de l’ultimatum, une méta-analyse de 30 années de recherches expérimentales." Articles 92, no. 1-2 (May 11, 2017): 289–314. http://dx.doi.org/10.7202/1039879ar.

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Abstract:
Le jeu de l’ultimatum recense sans nul doute l’une des plus larges littératures expérimentales de ces trois dernières décennies. Dans cet article, nous nous intéressons aux décisions des joueurs dans le jeu de l’ultimatum ainsi qu’aux variables explicatives susceptibles d’influencer la somme offerte. Nous réalisons une méta-analyse portant sur un total de 97 observations du jeu simple de l’ultimatum recueillies à travers 42 articles publiés entre 1983 et 2012. Alors que la prédiction théorique annonce que les offres du jeu de l’ultimatum devraient être nulles, nos résultats mettent en évidence que ce choix procure un gain espéré de 7,69 % de la somme en jeu pour le proposant. Alors que le gain espéré du proposant est à son maximum lorsque ce dernier offre 40 % de la somme à partager, la moyenne pondérée des offres formulées par les proposants de notre échantillon d’études s’établit à 41,04 %. Parmi les variables explicatives étudiées, seul le fait d’être un étudiant en économie présente un impact significatif sur les sommes offertes. Ce résultat va dans le sens de l’étude menée par Carter et Irons (1991).
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Bencherif, Kada, and Houari Tadj. "Approche d'estimation du volume-tige de peuplements forestiers par combinaison de données Landsat et données terrain Application à la pineraie de Tlemcen-Algérie." Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection, no. 215 (August 16, 2017): 3–11. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2017.360.

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Abstract:
Une approche méthodologique s'appuyant sur la combinaison de données satellitaires et données de terrain est proposée pour l’estimation du volume-tige de peuplements forestiers hétérogènes ou peu homogènes. L'objectif est d'évaluer la disponibilité forestière, en inventoriant moins de 1% de la surface étudiée et avec une erreur max. de 15%. L'approche consiste en la réalisation de trois étapes principales : i) Analyse de la variance sur le volume-tige, ii) classification des données satellitaires et iii) Désignation et inventaire des pixels-échantillons. L'analyse et le calcul de la variance permet d'orienter les calculs du volume en fonction de sa variabilité dans les différentes strates de la forêt alors que la classification des données satellitaires vise à obtenir une stratification de la forêt. La troisième étape consiste en la sélection de pixels-échantillons sur l'image classifiée puis la géolocalisation, l'installation et le cubage des placettes-terrain correspondantes (même dimension spatiale que le pixel de l'image utilisée). Appliquée sur une futaie peu homogène de pin d'Alep (forêt de Tlemcen, Nord-Ouest algérien), l'approche a permis d'estimer un volume global sur pied du peuplement égal à 30 595 m3 m3±15.6% et ce en inventoriant 0.4% seulement de la surface totale. L'analyse de variance sur 12 placettes-échantillons a mis en évidence le caractère peu homogène de la forêt et la faible variabilité du volume-tige. Cependant, Elle fait apparaître aussi que la stratification apporte une légère amélioration à la précision (15.6%) contre 17.6% sans stratification. La classification supervisée d'une image Landsat (Mai 2002) par la méthode du maximum de vraisemblance (précision moyenne de 96%) a permis de stratifier la zone étudiée en six classes (forêt très dense, forêt dense, forêt claire, matorral, herbacées, autres). Pour chaque strate de forêt, le cubage complet de 4 placettes-échantillons comparables en dimension au pixel (30m—30m), a fourni le volume-tige moyen par pixel alors que la généralisation de celui-ci à l'ensemble des pixels a permis de déterminer le volume total de chaque strate. Vu les confusions générées par la classification supervisée au profit des objets pistes, routes et matorral, le volume global a été revu à la baisse (taux de réduction de 10%) et la valeur du volume total corrigé était de 27 535 m3±15.6%, une erreur, bien que non conforme à celle exigée par l'aménagement forestier (max ±10%), s'approche de celle généralement admise (une moyenne de ±15%) pour certains inventaires simplifiés.
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Zahar, Y., and J. P. Laborde. "Une méthode stochastique pour la prédétermination des fluctuations probables des durées de service des réservoirs collinaires en Tunisie." Revue des sciences de l'eau 11, no. 1 (April 12, 2005): 25–42. http://dx.doi.org/10.7202/705295ar.

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Abstract:
Un modèle de génération stochastique de pluies est couplé ˆ un modèle de calcul de l'index de leurs érosivités, dérivé de l'Equation Universelle de l'Erosion des Sols (USLE). Le premier fonctionne au pas de temps de 30mn, il est calé sur une série pluviographique de 15 ans de la Tunisie centrale. Le second modèle fonctionne par calcul automatique des cumuls et moyennes de l'érosivité des pluies générées. En mode opérationnel, ces deux modèles sont exploités pour simuler les aléas de l'envasement annuel des réservoirs collinaires de la zone aride et semi-aride de la Tunisie : le bassin versant est considéré comme une "boite noire" où l'agressivité climatique est la principale variable (quelques pluies extrêmes font l'essentiel de l'érosion), les autres facteurs sont considérés constants durant la durée de service du réservoir. Nous observons sur trois bassins versants répartis du nord au sud de la frange comprise entre 500mm et 250mm (de pluie moyenne annuelle), que la distribution annuelle des index d'érosivité des pluies peut être assimilée ˆ la distribution des transports solides. Sur l'un de ces bassins versants (OUED EL HISSIANE : 15,9 ) nous observons également que les valeurs extrêmes de l'érosion sont proportionnelles aux valeurs extrêmes de l'index d'érosivité des pluies. Seulement l'automne et le printemps sont des saisons érosives. Dans le cas de petits bassins versants non-jaugés, comme ceux pour l'aménagement de réservoirs collinaires, le générateur nous permet de constituer des chroniques d'érosivité de pluie. Si on considère que les autres paramètres sont constants, ce modèle nous aide à déterminer les intervalles de confiance de durées de service probables. Une analyse de sensibilité par la modification des paramètres du générateur (nombre d'épisodes, hauteur de pluie, maximum et durée d'averse etc ...) valide la méthodologie. De même une analyse régionale montre les faibles fluctuations des résultats sur l'étendue aride et semi-aride de la Tunisie. Ces deux résultats nous ont conduit à proposer un abaque régional de prédétermination des fluctuations probables des durées de service des réservoirs collinaires, compte tenu de la connaissance préalable de la durée de service moyenne probable. Cette méthode directement opérationnelle peut être utilisée pour l'aménagement, la planification, et la gestion des réservoirs collinaires. Elle améliore les études de faisabilité, notamment lorsqu'on la couple aux calculs économiques.
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COLLEAU, J., S. FRITZ, F. GUILLAUME, A. BAUR, D. DUPASSIEUX, L. JOURNAUX, A. EGGEN, and D. BOICHARD. "Simulation des potentialités de la sélection génomique chez les bovins laitiers." INRA Productions Animales 28, no. 3 (January 13, 2020): 251–58. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2015.28.3.3030.

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Abstract:
Cet article présente une simulation de sélection génomique dans une grande population de bovins laitiers en comparaison à un programme basé sur le testage des taureaux sur descendance. L’accroissement de progrès génétique est maximum (au moins 80% sans augmentation de coût) quand les pères à taureaux, dont les effectifs sont en forte augmentation, sont sélectionnés uniquement sur information génomique, sans testage sur descendance. Avec ce nombre élevé de pères à taureaux, les coefficients de consanguinité et de parenté diminuent, contrairement à ce qu’on aurait pu craindre compte tenu du raccourcissement de l’intervalle entre générations. Au niveau des éleveurs, la recommandation est de choisir les taureaux d’insémination de service (pères des femelles) en nombre suffisant dans l’ensemble des nombreux pères à taureaux génomiques, en opposition complète avec la pratique générale qui, jusqu’en 2009, consistait au contraire à sélectionner un nombre relativement réduit de taureaux de service parmi les taureaux testés et un nombre encore plus faible de pères à taureaux parmi les taureaux de service. Ces résultats, obtenus en 2009, ont jeté les bases de la gestion des populations bovines laitières en France en sélection génomique, mais ils restent tout à fait d’actualité aujourd’hui. Il est en effet essentiel pour la durabilité de la sélection et de la production que le nombre efficace de reproducteurs soit élevé pour limiter l’augmentation de la consanguinité. L’observation des premières années d’application montre que ces préconisations sont relativement bien suivies en moyenne.
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Volk, C., and J. C. C. Joret. "Paramètres prédictifs de l'apparition des coliformes dans les réseaux de distribution d'eau d'alimentation." Revue des sciences de l'eau 7, no. 2 (April 12, 2005): 131–52. http://dx.doi.org/10.7202/705193ar.

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Abstract:
L'isolement sporadique de coliformes sur certains réseaux de distribution en période chaude et en absnce de tout épisode décelable de contamination (défaut de traitement, post-contamination) laisse supposer que la présence de ces germes dans l'eau pourrait être associée à la présence d'un biofilm important à la surface des canalisations. Cette hypothèse a pu être vérifiée lors de cette étude, réalisée sur différents réseaux de la banlieue parisienne. Ce travail a mis en évidence une relation entre la fréquence d'observation des coliformes sur les sites du réseau et le dépassement de seuils critiques pour quatre paramètres: - le niveau de salissure bactériologique de l'eau évalué par le dénombrement de la flore bactérienne planctonique totale par microscopie en épifluorescence - la température - la consommation de matière organique biodégradable (CODB) - la concentration en chlore libre résiduel. Le degré d'exposition des sites d'un réseau de distribution a pu être estimé par comptabilisation des dépassements des seuils critiques pour ces quatre paramètres. Trois niveaux de risques croissants (sans risque, faiblement exposé et exposé) ont été établis correspondant à des fréquences de plus en plus importantes d'apparition des coliformes sur les sites du réseau de distribution. Pour une semaine donnée, le calcul de la moyenne des dépassements simultanés des seuils critiques enregistrés sur l'ensemble des sites a permis de définir quatre niveaux de risques moyens d'apparition des coliformes sur l'ensemble des sites (minimum, non négligeable, critique et maximum) en relation avec des observations de coliformes de plus en plus fréquentes sur le réseau. Il a aussi été possible de définir un taux de chlore à appliquer sur un site afin de diminuer le niveau de contamination bactérienne de l'eau et par conséquent réduire le risque d'apparition des coliformes sur ce site.
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Ndjadi, Serge S., Léonard E. Ahoton, Roger V. Kizungu, Aliou Saidou, Yannick Mugumaarhahama, Arsène C. Mushagalusa, Francine B. Safina, and Gustave N. Mushagalusa. "Évaluation de la durabilité des exploitations maraîchères au Sud-Kivu (Est de la République Démocratique du Congo)." Cahiers Agricultures 30 (2021): 15. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2020050.

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Abstract:
Le maraîchage est actuellement un secteur où certaines pratiques d’agriculture moderne comme la culture pure et l’utilisation des produits de synthèse se développent, mais sont de plus en plus questionnées. L’évaluation de la durabilité de ces pratiques n’a pas encore fait l’objet d’études dans les régions montagneuses du Sud-Kivu, à l’Est de la République démocratique du Congo. Pour y remédier, la durabilité de 368 unités de production maraîchère choisies de manière aléatoire et stratifiée a été évaluée grâce à l’outil « Indicateur de la durabilité de la production maraîchère » (IPDM). Les résultats obtenus font ressortir trois types d’exploitations dont 44 % sont de grande taille, 52 % de taille moyenne et 5 % de petite taille. Il a été constaté que, sur un maximum de 100 points possibles, les exploitations de petite taille obtiennent des scores de durabilité de 60 %, 53 % et 57 % sur les trois dimensions respectives de la durabilité : agroécologique, socio-territoriale et économique. Sur toutes ces dimensions, les grandes exploitations n’atteignent pas 50 %. Ces résultats montrent que les grandes exploitations, plus modernes, sont cependant moins durables. Afin de pérenniser le maraîchage au Sud-Kivu, il apparaît donc nécessaire de promouvoir l’intensification écologique, la diversification intégrée et la promotion des intrants locaux auprès des différents types d’exploitation, et en particulier des plus grandes, engagées dans des techniques intensives mais peu durables.
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Bonaudo, Thierry, Yvonnick Le Pendu, Philippe Chardonnet, and Ferran Jori. "Chasse de subsistance sur un front pionnier amazonien : le cas d’Uruará." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 54, no. 3-4 (March 1, 2001): 281. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9786.

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Abstract:
La chasse, bien qu’interdite, est largement pratiquée par les populations rurales installées le long de la route transamazonienne. En 1997, un diagnostic de cette chasse de subsistance a été réalisé dans la commune d’Uruará au Brésil. Les trois techniques de chasse couramment utilisées ont été la battue, l’affût et le piège. Chacune a permis d’exploiter préférentiellement un type de gibier. Malgré l’emploi de techniques de chasse rudimentaires, 62 p. 100 des sorties ont été fructueuses. Le rayon d’action maximum d’un chasseur a été de cinq kilomètres autour de son domicile, ce qui a délimité un territoire de chasse de 80 km². Le nombre d’espèces exploitées a été faible : le paca (Agouti paca), les cervidés (Mazama sp.) et le pécari à collier (Tayassu tajacu) ont fourni plus de 70 p. 100 de la viande de chasse. Le Mazama rouge (Mazama americana), espèce favorite, et le paca ont subi la plus forte pression de chasse. En plus d’un rôle social et ludique, la chasse a une réelle importance alimentaire. La consommation moyenne de viande de gibier a varié de 36 à 45,9 g par individu par jour (soit 13,1 à 16,7 kg par individu par an) respectivement selon l’origine citadine ou rurale des chasseurs. L’activité cynégétique n’a pas semblé être le facteur essentiel de la perte de biodiversité qui serait plutôt liée à la transformation de l’écosystème forestier en zones agricoles : les habitats sont morcelés, engendrant une diminution de la biodiversité. La gestion participative de la faune et le développement de nouvelles activités telles que l’élevage d’animaux sauvages peuvent participer à la conservation des ressources naturelles.
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Barcelo, A., and J. Coudray. "Nouvelle carte des isohyètes annuelles et des maxima pluviométriques sur le massif du Piton de la Fournaise (Ile de la Réunion)." Revue des sciences de l'eau 9, no. 4 (April 12, 2005): 457–84. http://dx.doi.org/10.7202/705262ar.

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Abstract:
L'implantation de douze pluviographes, de 220 à 2490 mètres d'altitude, dans des sites difficilement accessibles des versants sud et est du massif du Piton de la Fournaise à la Réunion, apporte de nouveaux éléments pour le tracé des isohyètes annuelles. Un pluviographe situé à 1600 mètres d'altitude, à l'amont d'un alignement orienté sud-nord dans la zone du Baril sur la planèze sud-est du Volcan, a enregistré une précipitation annuelle supérieure à 18 000 mm en 1993. Dans cette zone, les cartes d'isohyètes moyennes inter-annuelles admises jusqu'alors présentaient des lames d'eau de lordre de 5000 à 6000 mm.an-¹. Les enregistrements obtenus en 1994 puis en 1995 sur le même pluviographe et sur des stations situées à l'est du massif à 1400 et à 1940 mètres d'altitude confirment qu'une très forte pluviométrie affecte cette zone. Une couche d'inversion thermique est fréquemment observée par ballon-sondage entre 2000 et 2500 mètres d'altitude, principalement en hiver austral. Cette inversion est l'une des causes principales de la présence d'une zone de maximum pluviométrique située entre 1400 et 1940 mètres d'altitude sur les planèzes du Volcan. Selon la position de l'inversion, la Réunion est soit dans la situation des îles très hautes, avec des sommets émergeant des nuages, soit dans la situation des îles hautes, pour lesquelles les précipitations sont fortes près des sommets. Les fortes pentes des versants du massif et la présence de grands encaissements contribuent également à expliquer l'emplacement de la zone de maximum pluviométrique et les lames d'eau importantes qui y sont enregistrées. Une nouvelle carte des isohyètes annuelles est proposée pour prendre en compte les nouvelles données. Une zone de maximum pluviométrique définie par l'isohyète 12 000 mm de moyenne annuelle est localisée entre 1300 et 1800 mètres d'altitude, localement jusqu'à 2000 m, sur le versant oriental du massif exposé aux vents dominants. De part et d'autre de cette zone la pluviométrie diminue: les lames d'eau moyennes annuelles décroissent jusqu'à 4000 mm au niveau de la mer, elles représentent 7000 mm au sommet à 2632 mètres d'altitude. L'atténuation rapide des précipitations sur les versants nord-ouest et sud-ouest est liée au changement de l'orientation des versants par rapport aux flux générateurs de précipitations mais sans doute également à l'influence de grandes discontinuités topographiques orientées perpendiculairement aux vents dominants.
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Yo, Tiémoko, Didier Bouchel, and J. Kouao Brou. "Effet de différents niveaux de complémentation d'une ration de fourrage vert (Panicum maximum) par de la graine de coton mélassée sur la croissance de taurillons Baoulé en post-sevrage." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 43, no. 4 (April 1, 1990): 529–34. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8785.

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Abstract:
Soixante-quatre taurillons Baoulé âgés de 10 mois et demi et pesant en moyenne 99 kg ont été répartis en quatre lots et maintenus en stabulation durant 78 jours. Tous les lots ont reçu comme aliment de base du Panicum maximum distribué à l'auge. En outre, les lots 2, 3 et 4 ont reçu comme complément, respectivement, 1, 1,5 et 2 kg par jour d'un concentré de 75 p. 100 de graines de coton et 25 p. 100 de mélasse. L'augmentation des quantités de concentré distribuées entraîne une diminution des quantités de fourrage volontairement ingérées qui passent de 2,45 kg MS/100 kg de poid vif pour le lot 1 à, respectivement, 1,9, 1,52, 1,31, pour les lots 2, 3 et 4. Les GMQ (- 63, 123, 176 et 250 g/j) augmentent avec le niveau de complémentation. Toutefois, la différence entre les lots 2 et 3 n'est pas significative. Aucun signe d'intoxication par le gossypol n'a été observé sur les animaux recevant de la graine de coton. Une étude économique succincte montre que ce concentré est bien valorisé.
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SAUVANT, D., F. MESCHY, and D. MERTENS. "Les composantes de l’acidose ruminale et les effets acidogènes des rations." INRAE Productions Animales 12, no. 1 (February 23, 1999): 49–60. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1999.12.1.3854.

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Abstract:
L’état d’acidose ruminale latente constitue une des préoccupations majeures de la nutrition moderne des animaux ruminants. En effet, l’accroissement des potentiels de production a entraîné l’apport de rations plus concentrées en énergie. De ce fait, le rumen de ces animaux doit traiter des quantités accrues de matières organiques fermentescibles et les fermentations plus intenses consécutives entraînent un état d’acidose aux effets zootechniques défavorables : interactions digestives négatives, dégradation du taux butyreux du lait, pathologies digestives et métaboliques... L’état d’acidose est également atteint car la sécrétion salivaire qui recycle les tampons ruminaux est insuffisante par rapport aux acides organiques produits par les fermentations. L’état d’acidose est apprécié à travers la mesure du pH de la panse. On estime que le pH moyen au cours d’une journée ne doit pas être inférieur à une valeur approximative de 6,25. Les recherches ont permis de montrer que de nombreuses caractéristiques des rations présentaient une influence sur le pH ruminal. Si on se réfère à la valeur seuil moyenne minimale de 6,25, il est possible de définir des limites pour les différentes caractéristiques mesurées sur les rations. Certaines limites recommandées se présentent sous forme de minima&nbsp;; ainsi on estime qu’il faut au minimum 35 % de NDF/MS, 25 % de NDF de fourrage/MS, 2,5 mm de taille moyenne des particules de la ration ou 40 % de la MS sous forme de particules de taille supérieure à 2 mm. On sait en outre que l’indice de mastication de la ration doit être supérieur à 40 min/kg MS ingérée. Il existe également des recommandations de seuil maximum à ne pas dépasser. Ainsi la proportion d’aliments concentrés doit rester inférieure à environ 45 %/MS, celle d’amidon à 25 %/MS et celle d’amidon dégradable dans le rumen à 20 %/MS. D’autre part, il est connu que les niveaux élevés d’ingestion vont de pair avec un transit plus rapide et un pH plus faible, ainsi le pH moyen passe en dessous du seuil de 6,25 lorsque la MS ingérée excède environ 2,5 % du poids vif. Enfin les rations peu mastiquées sont ingérées rapidement et sont, de ce fait, acidogènes. On estime ainsi que chez le bovin la vitesse moyenne d’ingestion doit être inférieure à 50 g/min pour que les fermentations ruminales soient normales. En cas de risque avéré d’acidose, il est recommandé d’apporter des substances tampons à la ration, à une dose de l’ordre de 1 à 2 % de la MS ingérée. En conclusion, il est important de chercher à mieux caractériser les rations et aliments offerts aux ruminants en prenant en compte des critères " sécuritaires " en plus des paramètres classiques de valeur nutritive. Un exemple de méthode de prévision du pH à partir de tels critères est présenté.
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Nameche, T., and J. L. Vassel. "Bilan thermique sous climat tempéré des lagunes aérées et naturelles." Revue des sciences de l'eau 12, no. 1 (April 12, 2005): 65–91. http://dx.doi.org/10.7202/705344ar.

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Abstract:
Un modèle décrivant la température d'équilibre des lagunes a été développé, tenant compte des différents flux de chaleur que celles-ci échangent avec l'air et le sol environnant. Six composantes différentes ont été inclues dans le calcul de ce bilan thermique: radiation solaire, évaporation, convection, rayonnement atmosphérique, rayonnement de la surface du plan d'eau, échange via les parois en contact avec le sol. Le modèle ainsi obtenu a été testé avec efficacité sur deux lagunes aérées et une lagune naturelle situées sous climat tempéré ; sa précision sur l'estimation des températures d'équilibre étant de l'ordre de 0.7 °C. Des simulations en continu ont également pu être effectuées au moyen d'une variante dynamique, tenant compte de l'inertie thermique qu'entraîne le volume des bassins. Quelle que soit la saison envisagée, la principale forme d'apport de chaleur est représentée par la radiation solaire tandis que la dissipation d'énergie se partage entre les flux d'évaporation et la balance des deux flux de rayonnement. Les bassins échangeraient en moyenne plus de 250 W/m2 ; le maximum de transfert de chaleur correspondant au printemps et à la période estivale. Enfin, l'analyse de sensibilité du modèle nous a permis de mettre en évidence la contribution de chacun des termes intervenant dans le calcul de ce bilan thermique et de révéler sa dépendance vis-à-vis principalement de la température d'entrée, du rayonnement solaire et de la température de l'air.
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Chatonnet, Pascal, Jean-Noël Boidron, and Monique Pons. "Incidence du traitement thermique du bois de chêne sur sa composition chimique. 2e partie : évolution de certains composés en fonction de l'intensité de brûlage." OENO One 23, no. 4 (December 31, 1989): 223. http://dx.doi.org/10.20870/oeno-one.1989.23.4.1722.

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Abstract:
<p style="text-align: justify;">Au-delà de son action de cintrage, le chauffage du bois de chêne provoque une thermodégradation de certains de ses composants. Les auteurs étudient l'influence de l'intensité de brûlage du bois de chêne sessile <em>Quercus sessilis</em> sur certains composés extractibles. Afin de se rapprocher des conditions d'extraction par un vin, le bois brûlé à différents degrés est placé au contact d'une solution hydroalcoolique modèle.</p><p style="text-align: justify;">La thermolyse des principaux polymères pariétaux du bois, produit de nombreux composés volatils et odorants (aldéhydes furaniques, phénols volatils, aldéhydes phénols, phényl cétones). La concentration en β-méthyl-y-octalactone augmente notablement avec le chauffage du bois et simultanément les tanins hydrolysables sont en partie dégradés.</p><p style="text-align: justify;">La chauffe légère ne produit que de faibles variations. La chauffe moyenne correspond au maximum de synthèse de la majorité des composés aromatiques étudiés. A partir et au-delà de la chauffe forte, les réactions de thermodégradation, mais très vraisemblablement aussi une modification de la structure de la lignine vers une forme moins réactive, entraînent une diminution de l'ensemble des composés extractibles.</p>
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Ben Hamouda, M., and M. Rekik. "contrôle de croissance des ovins allaitants en Tunisie. ii. Perte de précision sur le calcul des performances à âge type selon un protocole simplifié alternatif au protocole officiel." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 65, no. 1-2 (January 1, 2012): 41. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10131.

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Abstract:
Les performances à âge type P10 (poids à 10 jours), P30, P70, GMQ10/30 (gains moyens quotidiens entre 10 et 30 jours) et GMQ30/70 de 9 642 agneaux de race Barbarine ont été calculées selon le protocole conventionnel « F2 », ou un protocole simplifié, basé sur l’ajustement de la fonction von Bertalanffy à deux pesées à 42 jours d’intervalle, la première ayant lieu entre 2 et 60 jours après la naissance de l’agneau, et un poids à la naissance réel (PNR : contrôlé à la naissance), fixé, le même pour tous les agneaux (PNF = 3,4 kg) ou estimé en fonction de la première pesée (P) et l’intervalle entre la naissance et la première pesée (D) [PNE = 2,71009 + 0,208313 P – 0,00578 P (60 – D) + 0,00016 P (60 – D)2]. La perte de précision moyenne associée au calcul des poids à âge type a été élevée pour P10 (40 à 45 p. 100), modérée pour P30 (6 à 7 p. 100) et faible pour P70 (2 à 3 p. 100). La perte de précision associée au GMQ10/30 a été inférieure à celle déjà admise par le protocole conventionnel pour un intervalle entre la naissance et le premier contrôle compris entre 15 et 45 jours (15 p. 100 au maximum), et du même ordre entre 7 et 15 jours d’intervalle (20 p. 100 au maximum). Ces résultats ont permis de proposer la simplification du protocole F2 à deux ou trois pesées et un poids à la naissance. La première pesée devrait être retardée jusqu’à 46 jours après la naissance alors que l’intervalle entre contrôles successifs peut varier entre 30 et 40 jours, en fonction de la perte de précision pouvant être tolérée sur l’estimation des performances à âge type.
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Richard, Didier, Hubert Guérin, Dominique Friot, and N. Mbaye. "Teneurs en énergies brute et digestible de fourrages disponibles en zone tropicale." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 43, no. 2 (February 1, 1990): 225–31. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8858.

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Abstract:
L'énergie brute (EB) de divers fourrages d'origine tropicale a été mesurée sur les fourrages suivants : Brachiaria mutica en vert en en foin, Chloris gayana en foin, Panicum maximum en vert (var. K187 B, var. T58) et en foin (var. C1), Stylosanthes guyanensis, tapis herbacé de pâturages sahéliens, pailles de mil, de riz et de sorgho, fanes d'arachide et de niébé. La teneur moyenne en EB de ces aliments est de 4182 kcal/kg MS (de 3431 à 4587) et de 4672 kcal/kg MO (de 4442 à 5018). La répartition des fourrages en cinq groupes permet d'obtenir une relation précise entre les teneurs en EB et en MAT exprimées par rapport à la matière organique (ETR = 39 kcal/kg MO, r = 0,89, n = 139). La digestibilité de l'énergie (DE) de divers fourrages a été mesurée au cours de 62 essais. Elle est comprise entre 35 et 78 p. 100 (45 et 65 p. 100 pour 74 p. 100 des fourrages) . Une relation très étroite est observée entre la DE et la DMO (ETR = 0,8, r = 0,996). La teneur en énergie digestible des fourrages varie entre 1560 et 3315 kcal/kg MS.
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Bodji, N. C. "Influence de la hauteur et du rythme de coupe sur la survie et la production fourragère de Cajanus cajan CIAT 18700." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 50, no. 4 (April 1, 1997): 309–12. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9562.

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Abstract:
Trois niveaux de coupe (50, 75 et 100 cm du sol) et l'exploitation des repousses à 4, 8 et 12 semaines d'âge en saison des pluies, ainsi qu'à 6 et 12 semaines en saison sèche, ont été testés sur une culture de Cajanus cajan. Cette expérimentation a permis de prouver l'influence de la hauteur de coupe et du rythme d'exploitation sur la biomasse foliaire de cette espèce ligneuse d'une part et sur la survie de la culture d'autre part. En saison des pluies, les rendements en matière sèche obtenus avec l'exploitation des repousses à 75 et 100 cm du sol étaient équivalents (p > 0,05). Toutefois, ils étaient supérieurs à ceux enregistrés avec la coupe à 50 cm (p < 0,05). En outre, la quantité de matière sèche des repousses de 8 semaines était plus élevée que celle à 4 et 12 semaines (p < 0,001) : l'estimation du rendement des repousses de 12 semaines a coïncidé avec le développement des organes de reproduction (fleurs et fruits) de la plante qui s'est accompagné d'une importante chute de feuilles. En saison sèche, le maximum de rendement en matière sèche a été obtenu à 12 semaines pour la coupe à hauteur de 100 cm du sol (en moyenne 400 kg.ha-1). Cette valeur était nettement inférieure à celle de la saison des pluies (3,5 t.ha-1). Par ailleurs, l'exploitation de Cajanus cajan à hauteur de 50 cm du sol a entraîné une mortalité élevée (25 %). Une bonne survie de la culture de Cajanus cajan CIAT 18 700 a été constatée lorsque la coupe était faite à 75 ou 100 cm (respectivement 4 et 9 % de plants morts seulement).
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Sana, Youssoufou, Jacob Sanou, Salam Richard Kondombo, Louis Sawadogo, and Chantal Kabore-Zoungrana. "Optimisation de l'utilisation du Panicum maximum C1 Aeschynomene histrix, Stylosanthès hamata et, Arachis pintoï sur les performances zootechniques des lapins." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 5 (September 14, 2020): 1633–45. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i5.12.

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Abstract:
Au Burkina Faso l’alimentation des animaux pendant la saison sèche constitue le premier contraint du développement de l’élevage. Cette étude a pour but d’évaluer l’effet d’une alimentation à base de Panicum maximum C1, Aeschynomene histrix, Stylosanthès hamata, Arachis pintoï sur les performances zootechniques des lapins. Le dispositif expérimental a été réalisé sur la Station de Recherche de Farako-Bâ. Au total, neuf (9) lapins mâles (Oryctolagus cuniculus L.) âgés de dix (10) semaines et pesant en moyenne (790 ± 39,04g) chacun, ont été répartis dans 3 cages de volume: 42 cm x 63 cm x 39 cm soit un volume de 103194 cm3 chacune. Ces lapins ont été répartis en trois (3) lots de trois (3) lapins chacun. Les lots ont reçu les rations suivantes: la ration1du lot1(R1L1) était composée de l’aliment Panicum maximum C1, Aeschynomene histrix ; la ration 2 (R2L2), Panicum maximum C1, Stylosanthès hamata et la ration 3 (R3L3), Panicum maximum C1, Arachis pintoï. A chaque ration on a ajouté du son de maïs et de riz et du sel. Les lapins nourris à la ration R3L3, ont eu un gain moyen journalier de 9,13±4,33 g/j contre 8,51±2,22g/j pour R1L1 8,90±3,33g/j pour R2L2. Une différence non significative (p > 0,05) est observée entre les trois rations. La ration R3L3 donne de bonnes performances zootechniques et constitue un atout économique pour les cunicultures.Mots clés : lapins, rations, gain moyen quotidien, alimentation English title: Optimization of the use of Panicum maximum C1 and Aeschynomene histrix, Stylosanthes hamata and, Arachis pintoï on the zootechnical performance of rabbitsIn Burkina Faso feeding animals during the dry season is the main constraint on livestock development. This study aims to evaluate the effect of a diet based on Panicum maximum C1, Aeschynomene histrix, Stylosanthès hamata, and Arachis pintoï on the zootechnical performance of rabbits. The experimental device was carried out at the Farako-Bâ Research Station. A total of nine (9) male rabbits (Oryctolagus cuniculus L.) aged ten (10) weeks and weighing on average (790 ±39,04g) each, were distributed in three volume cages: 42 cm x 63 cm x 39 cm, each having a volume of 103194 cm3. These rabbits were divided into three (3) lots of three (3) rabbits each. The lots received the following rations: ration1 of Lot 1(R1L1) consisted of the food Panicum maximum C1 and Aeschynomene histrix; ration 2 (R2L2), Panicum maximum C1 and Stylosanthès hamata and ration 3 (R3L3), Panicum maximum C1, Arachis pintoï. Corn and rice bran and salt was added to each ration. Rabbits fed R3L3, had an average daily gain of 9,13±4,33 g/d compared to 8,51±2,22g/d for R1L1 and 8,90±3,33g/d for R2L2. There was no difference between the three rations (p > 0.05) but the R3L3 ration provides good zootechnical performance and is an economic asset for cuniculture.Keywords: Rabbits, rations, average daily gain, feed.
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Nguimalet, Cyriaque Rufin. "Changements enregistrés sur les extrêmes hydrologiques de l’Oubangui à Bangui (République centrafricaine) : analyse des tendances." Revue des sciences de l’eau 30, no. 3 (March 28, 2018): 183–96. http://dx.doi.org/10.7202/1044246ar.

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Abstract:
Principal affluent septentrional du Congo, l’Oubangui à Bangui a un bassin transfrontalier, s’étendant en RDC (République démocratique du Congo) sur 499 000 km2. Quatre variantes du climat tropical humide influencent son régime selon un gradient pluviométrique sud-nord (1 600-1 000 mm) mais la soudano-guinéenne prédomine sur la majeure partie du bassin. Cet article caractérise les fluctuations des débits (Q) extrêmes (crues et étiages) de l’Oubangui et les tendances enregistrées dans le temps, au regard de la variabilité hydrologique notée depuis 1971. Des données de débits moyens journaliers extrêmes, maximum (Qmax) et minimum (Qmin) sur la période 1911-2014, ont été utilisées. Des tests statistiques (indices d’irrégularité R, recherches des tendances et changements de dates d’apparition des crues et étiages, etc.) leur ont été appliqués pour identifier parmi les périodes hydroclimatiques dans le bassin de l’Oubangui, laquelle détermine l’instabilité et/ou la stabilité du régime de ces extrêmes hydrologiques. Ainsi, les Qmax et Qmin ont connu une période de stabilité grossière, relayée par une baisse relativement plus sévère sur les Qmin (R = 0,64) que sur les Qmax (R = 0,56). Cette tendance est confirmée sur l’évolution du coefficient A (R = 0,56), alors que les indices d’irrégularité R ordinaire (R = 0,51) et décennal (R = 0,83), et le coefficient de tarissement (R = 0,59) présentent des degrés relatifs de hausse ou de sécheresse hydrologique sur l’Oubangui à Bangui. La corrélation Qmax/Qmin montre une tendance moyenne à la hausse (R = 0,51), laquelle ferait noter que la faible réduction des Qmax équilibre la baisse accentuée des Qmin. En effet, cette dégradation hydrologique est diversement notable sur l’Oubangui : 16 % de réduction sur les Qmax depuis 1975 contre 47 % sur les Qmin depuis 1982. Ceci confirme en outre l’ampleur de la sécheresse actuelle, tarissant ou disparaissant de sous-affluents. Aussi, les dates de crue sont elles passées d’octobre (1911-2014) à novembre (1971-2014) et celles d’étiage de mars-avril (1911-2014) à avril (1971-2014). Les crues d’inondation se réduisent aussi au profit des crues moyennes et des étiages de plus en plus prononcés. Cela est établi par les ruptures (segmentation de Hubert) montrant une baisse sur les Qmax (R = 0,84) et Qmin (R = 0,81). Dans ce contexte, une exacerbation de ces tendances positives ou négatives (baisse des crues et étiages, et/ou sévérité des étiages) engendrera de notables impacts sociétaux à Bangui et le long de ce corridor fluvial.
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Nasri, S., J. M. Lamachère, and J. Albergel. "Impact des banquettes sur le ruissellement d'un petit bassin versant." Revue des sciences de l'eau 17, no. 2 (April 12, 2005): 265–89. http://dx.doi.org/10.7202/705534ar.

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Abstract:
Dans le milieu aride et semi-aride tunisien, les aménagements de conservation des eaux et du sol jouent un rôle important dans la collecte et le stockage sur les versants des eaux de ruissellement. Cependant l'impact de ces aménagements sur les écoulements reste mal connu. Pour évaluer l'impact de banquettes à rétention totale à l'échelle d'un bassin versant situé au centre de la Tunisie, en zone semi-aride, nous nous proposons dans cet article d'utiliser le modèle géomorphologique H2U, fonction de transfert basée sur la répartition des chemins de l'eau à la surface du bassin. Pour la reconstitution des crues, ce modèle a été couplé à une fonction de production qui définit la pluie nette (lame ruisselée) à partir de la hauteur précipitée sur le bassin versant. Entre juillet 96 et juillet 97, le bassin versant d'El Gouazine (18,1 km2) a été aménagé en banquettes à rétention totale. La longueur moyenne de ces banquettes est d'environ 100 m pour une hauteur moyenne de 1,50 m. L'écartement moyen entre les banquettes est de 25 m. La superficie aménagée sur le bassin versant est de 783 hectares, soit 43 % de sa superficie. Cet aménagement a intéressé principalement les terres de culture et une partie des parcours dégradés transformés à cette occasion en terres de culture. Dès lors, sur ce bassin, les eaux de ruissellement sont interceptées par ces levées de terre et elles n'atteignent l'oued principal qu'après avoir rempli les fossés créés en amont des banquettes. Avant l'aménagement en banquettes, le coefficient de ruissellement global du bassin versant était de l'ordre de 7 à 8 % pour les hauteurs de pluie inférieures à 20 mm et compris entre 20 et 30% pour les hauteurs de pluie supérieures à 20 mm. Les pluies d'automne (septembre - octobre) présentaient les coefficients de ruissellement les plus forts car elles sont caractérisées par des intensités très élevées et les sols ne sont pas encore couverts par les végétations naturelles et cultivées. Ils présentent alors des croûtes de battance qui limitent l'infiltration des eaux de ruissellement. Le calage du modèle H2U (fonctions de transfert et de production associée) sur 12 crues avant aménagement a fourni une pluie d'imbibition initiale de 10 mm, une intensité limite pour l'apparition de ruissellement de 3,6 mm.h-1, un coefficient de ruissellement efficace de 42 % et un temps moyen de parcours de l'ordre de 40 minutes. Le modèle a été par la suite validé pour la crue du 20 septembre 1995. Les critères d'ajustement sont bons pour le calage et pour la validation. Le critère de Nash appliqué aux débits ruisselés est de 0,62 à 0,96 pour le calage et de 0,96 pour la validation. Après l'aménagement, les pluies enregistrées n'ont engendré qu'un faible ruissellement : un coefficient de ruissellement compris entre 1 à 3% pour les pluies de 30 à 50 mm, un coefficient de ruissellement de 9% pour une pluie de 80 mm (24 septembre 1998). L'utilisation du modèle H2U nous a permis d'évaluer l'impact des banquettes en comparant directement les crues observées avec aménagement et les crues reconstituées par le modèle sans aménagement. Ainsi la pluie du 24 septembre 1998, de fréquence décennale, a-t-elle engendré un ruissellement 4 fois plus faible avec l'aménagement en banquettes, un débit maximum 8 fois plus faible et un temps de réponse 4 fois plus fort. Malgré son extension limitée à 43 % de la surface du bassin d'El Gouazine, l'aménagement anti-érosif en banquettes joue donc un rôle très important sur la rétention des eaux de ruissellement, au point de limiter considérablement, de 50 à 80 %, les apports dans la retenue du petit barrage collinaire. Il convient donc de trouver, pour chaque bassin versant de la dorsale tunisienne, une solution optimale à l'aménagement des terres cultivées sur les versants tout en conservant des apports suffisants aux lacs collinaires pour subvenir aux besoins en eau des cultures irriguées. Pour caler le modèle H2U et sa fonction de production sur des bassins versants aménagés, une meilleure analyse du fonctionnement hydrologique d'un système de banquettes en cascade semble donc nécessaire.
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Desquesnes, Marc, Jean-François Michel, Stéphane De La Rocque, Philippe Solano, Leopold Millogo, Zakaria Bengaly, and I. Sididé. "Enquête parasitologique et sérologique (Elisa-indirect) sur les trypanosomoses des bovins dans la zone de Sidéradougou, Burkina Faso." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 52, no. 3-4 (March 1, 1999): 223–32. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9667.

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Abstract:
Une enquête parasitologique et sérologique sur les trypanosomoses des bovins a été réalisée dans le secteur nord de la zone de Sidéradougou (Burkina Faso), en novembre et décembre 1997. Partant d'un recensement terrestre exhaustif, un millier de bovins ont été examinés sur la base d'un échantillonnage stratifié aléatoire. L'âge et la race des animaux, la nature et la date du dernier traitement trypanocide ont été enregistrés. Les examens parasitologiques ont été effectués par la méthode du "buffy coat", la mesure de l'hématocrite a été recueillie et les tests Elisa-indirect ont été réalisés dans trois systèmes différents, avec sensibilisation des plaques par les antigènes solubles de Trypanosoma vivax, T. brucei ou T. congolense (type savane). La technique parasitologique a fourni 5,3 % d'échantillons positifs, dominés par l'espèce T. congolense. Les examens sérologiques ont indiqué une séroprévalence de 81,7 % (± 2,4 %) les trois tests confondus et, sur la base des résultats chez les animaux âgés d'un an, une incidence annuelle moyenne de 52 % (± 11 %). L'étude du score maximum de positivité aux trois tests a permis d'estimer les séroprévalences par espèce à 79 % pour T. vivax, 3 % pour T. brucei, et 28 % pour T. congolense. L'analyse des données sérologiques et parasitologiques, selon la date du dernier traitement trypanocide indiqué par l'éleveur, montre que ces traitements ont peu d'effet sur le taux de portage des anticorps et des parasites, ce dernier est présumé assez proche de la séroprévalence observée. La méthode du "buffy coat" est insuffisamment sensible pour mesurer la prévalence des infections dans ce type de situation enzootique, mais, associée à la valeur de l'hématocrite, elle a permis d'estimer l'importance des cas de trypanosomose maladie à environ 15 %. Les trypanosomoses bovines demeurent une préoccupation majeure de l'élevage dans la zone agropastorale de Sidéradougou. elles sévissent de manière enzootique avec une prédominance nette des infections par T. vivax, une prévalence et un impact clinique élevés de T. congolense. Les données générées par cette enquête seront intégrées dans un système d'information géographique (Sig) mis en place dans la zone pour l'évaluation du risque trypanosomien.
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Lassoued, N., and M. Rekik. "Variations saisonnières de l’oestrus et de l’ovulation chez la chèvre locale Maure en Tunisie." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 58, no. 1-2 (January 1, 2005): 69. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9942.

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Abstract:
Un total de 22 chèvres Maures tunisiennes ont permis de caractériser les variations saisonnières des activités d’oestrus et d’ovulation sur une période de 14 mois. Durant la période expérimentale, les chèvres ont été maintenues non gravides. Elles ont été conduites sur des parcours naturels et ont reçu un apport constant en concentré de 200 g par chèvre et par jour. En outre, elles ont été exposées à une photopériode naturelle et maintenues en présence continue des boucs. Des boucs munis de tabliers ont été utilisés pour la détection biquotidienne du comportement d’oestrus, alors que l’examen de l’activité ovarienne a été réalisé par des endoscopies mensuelles. Au cours de la saison sexuelle, qui s’est étendue de septembre à mars, 80 p. 100 des chèvres ont montré un comportement d’oestrus au moins une fois et 53 p. 100 de la totalité des cycles oestriens ont été accompagnés d’ovulation. Cette saison a précédé une période d’inactivité sexuelle de mars à août. L’incidence des cycles oestriens anormaux de courte durée a été plus élevée vers la fin de la saison sexuelle. Pendant le mois de septembre, 86 p. 100 des chèvres ont montré un comportement d’oestrus. La même distribution saisonnière a été aussi observée pour l’activité cyclique ovarienne. La proportion de femelles ovulant pendant la saison sexuelle a augmenté progressivement à partir du mois de septembre pour atteindre un maximum de 100 p. 100 en décembre et a commencé ensuite à baisser pour atteindre un minimum de 14 p. 100 au mois de mars. La valeur moyenne du taux d’ovulation a été de 1,51 ± 0,29, atteignant un maximum de 1,94 ± 0,74 au début de la saison sexuelle en septembre et un minimum de 1,25 ± 0,50 à la fin de cette saison, au mois de mars. Le taux d’ovulation a été nul entre les mois d’avril et d’août inclus. L’écart entre le début et la fin de la saison sexuelle a été significativement différent (P < 0,05). En conclusion, les chèvres locales en Tunisie, sous un milieu semi-aride, ont un rythme reproductif saisonnier.
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Rakotondraompiana, Solofo, Heninjara Narovana Hasina Andriamanantena, Solofoarisoa Rakotoniaina, and Samuel RAZANAKA. "Répartitions spatiale et temporelle des feux à Madagascar." Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection 223 (May 18, 2021): 38–58. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2021.520.

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Abstract:
Cette publication participe à la compréhension de la dégradation de l’environnement à Madagascar. Spécifiquement, il s’agit d’analyser la distribution spatiale et temporelle des feux à Madagascar et d’identifier les facteurs à l’origine des feux. Les données fournies par le capteur MODIS sur l’ensemble du territoire de Madagascar pour les années 2014 à 2018 sont utilisées. Les résultats obtenus indiquent une certaine stabilité des points de feux actifs observés à Madagascar pendant la période 2014 à 2018, sauf pour l’année 2016, année de forte sécheresse mondiale. Les feux brûlent en moyenne une superficie de 3 757 792 ha par an. La majorité de ces feux est observée pendant la saison sèche et leur maximum en nombre et en superficie est atteint aux mois de septembre et octobre. Au premier abord, les feux couvrent la quasi-totalité du pays. Toutefois, les analyses spatiales et temporelles montrent que les points de feu sont regroupés en agrégats d’ordre 1, 2, 3 ou 4. Les agrégats indiquent les zones où l’on retrouve une concentration de points de feux. Les régions contenant des agrégats d'ordres supérieurs sont les plus exposées. Ce sont des zones auxquelles il est nécessaire d’accorder une attention particulière. Les résultats de l’analyse par permutation spatio-temporelle indiquent que les feux proches dans l’espace le sont aussi dans le temps. La répartition des agrégats par rapport aux pistes et aux villages démontre que les feux se propagent essentiellement à proximité des lieux habités et des voies d’accès.
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Lauvergne, J. J., P. Souvenir Zafindrajaona, F. Minvielle, Daniel Bourzat, and Voumparet Zeuh. "Un gène de réduction de la longueur des cornes de la chèvre au Nord Cameroun et au Tchad." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 46, no. 4 (April 1, 1993): 645–50. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9421.

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Abstract:
Les histogrammes des longueurs des cornes de deux populations de chèvres femelles adultes (39 au Nord Cameroun et 51 au Tchad) présentant un aspect plurimodal ont été soumis à une analyse qui a permis d’isoler 3 sous-populations de moyenne respectivement m1 = 16,00 ± 0,80 cm, m2 = 10,70 ± 1,70 cm et m3 = 4,60 ± 0,80 cm pour le Nord Cameroun, et m1 = 21,60 ± 2,60 cm, m2 = 14,80 ± 1,80 cm et m3 = 6,00 ± 0,00 cm pour le Tchad. Les deux populations semblent porter le même mutant de réduction de la longueur des cornes, provisoirement considéré comme autosomal à dominance intermédiaire et à pénétrance totale ou sub-totale. L’effet moyen de substitution de l’allèle muté par l’allèle sauvage est de 5,80 ± 0,45 cm au Nord Cameroun et de 7,18 ± 0,70 cm au Tchad, avec un rapport de réduction de 0,73, très proche de celui qui affecte la hauteur au garrot quand on passe du Tchad au Nord Cameroun (0,75). Le gène muté a été appelé HRr (reduced) au locus HR (Horn Reduction), l’allèle sauvage wild ayant pour symbole HR+. La fréquence q du gène muté a été estimée par le maximum de vraisemblance, en même temps que le coefficient de sélection s de l’hétérozygote, dans l’hypothèse où les coefficients qui affectent les homozygotes sont nuls. Par itération on obtient q =0,44 et s = 2,40. La supériorité des hétérozygotes sur les 2 homozygotes est donc très forte et on est en présence d’une situation d’équilibre stable où q prend une valeur proche de la valeur 0,50 attendue si les deux coefficients de sélection des homozygotes sont égaux.
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Govare, Étienne, and Pierre Gangloff. "Les Dépôts lacustres d’obsturation de Saint-Placide, Charlevoix, Québec." Géographie physique et Quaternaire 45, no. 2 (December 13, 2007): 141–54. http://dx.doi.org/10.7202/032857ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ À l'ouest de Baie-Saint-Paul (Charlevoix), Ia vallée du bras du Nord-Ouest de la rivière du Gouffre est colmatée par plus de 120 m de sédiments wisconsiniens. À la base, les Dépôts lacustres d'obturation de Saint-Placide se composent de sables sous-aquatiques surmontés de 60 m de rythmites. Celles-ci contiennent des blocs glaciels, des lentilles de diamicton et des niveaux de plications syngénétiques attribuables à un environnement proglaciaire. Malgré leur puissance, les rythmites correspondent à une palynozone unique: une toundra arbustive dominée par Betula glandulosa, Alnus crispa et des Graminées. Quelques rares diatomées d'eau douce et l'altitude élevée (300 m) du toit des rythmites font supposer une origine lacustre. Compte tenu de sa situation physiographique dans une vallée ouverte sur le moyen estuaire du Saint-Laurent, le paléolac résulte d'un barrage glaciaire dont la localisation reste incertaine. Un till de fusion, de 20 m d'épaisseur moyenne, surmonte les Dépôts lacustres d'obturation de Saint-Placide. Le till s'épaissit localement en une moraine et peut atteindre 52 m d'épaisseur. Il se compose d'un diamicton interstratifié de quelques lits de sable et mis en place par un écoulement glaciaire en provenance du nord. Les Dépôts lacustres d'obturation de Saint-Placide et le till qui les recouvre sont interprétés comme étant deux membres d'une même formation corrélative au Stade de Trois-Rivières. Les Dépôts lacustres d'obturation de Saint-Placide constituent le début du stade; le till de fusion et la moraine en marquent la fin. Le maximum glaciaire du Stade de Trois-Rivières, dans la coupe étudiée, se traduirait par une lacune sédimentaire, voire une érosion du sommet des rythmites.
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Ritchie, James C. "Comparaison entre la végétation du Mackenzie et du Nord québécois à l’Holocène." Géographie physique et Quaternaire 41, no. 1 (December 18, 2007): 153–60. http://dx.doi.org/10.7202/032672ar.

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Abstract:
RÉSUMÉLe Québec-Labrador et la région de la vallée inférieure du Mackenzie ont en commun quelques traits phytogéographiques, mais leur histoire végétale postglaciaire est largement différente. Les caractéristiques structurales et floristiques de la toundra arbustive, de la toundra forestière et de la taïga se ressemblent fortement. On trouve aussi des clones disjoints et isolés de Populus balsamifera dans les deux régions. Les bioclimats sont différents sous quelques rapports, notamment les précipitations annuelles, les caractéristiques de la couverture de neige, le régime annuel des températures et la saison de croissance. Toutefois, le déroulement et la chronologie de la déglaciation ont été les facteurs qui ont déterminé les différences les plus importantes entre les deux régions en ce qui a trait à l'histoire de la végétation. La région occidentale, libérée des glaces vers 15 000 BP, a été dominé par une toundra herbeuse pendant les deux millénaires qui ont suivi. Vers 13 000-12 000 BP, les toundras arbustives (Betula glandulosa, Ericales, Salix) se sont étendues, puis les forêts de Populus, d'abord, et de Picea, ensuite, se sont succédé de 10 000 à 9000 BP. Au début de l'Holocène, la moyenne de rayonnement solaire estival a atteint son maximum et la limite septentrionale de la zone forestière s'est déplacée au nord. Par la suite, vers 6000-4000 BP, l'aulne (Alnus) s'est établi et la pessière a laissé place à une toundra arbustive, et ce, jusqu'à nos jours. Par contre, la partie centrale du Nouveau-Québec est demeurée englacée jusque vers 6500 BP et la colonisation initiale a été remplacée par les arbres (Picea, Larix) et les arbustes (Alnus). Les différences entre les deux régions s'expliquent par l'âge de la déglaciation, l'influence de la calotte résiduelle sur le climat, la proximité du stock floristique disponible et les voies de migration des plantes.
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Nkana, J. Gwladys Kontchiachou, Nathalie Ngouopo Mweugang, Soh Bah Germanus, Yam Alphonsius Semi, Paulette Ntsafack, Chistian Awantu, Christophe Temoa Wangba, Marie Noel Bertine Noumbissi, France Gina Tobou Djoumessi, and Emile Miégoué. "Effet de quelques légumineuses fourragères sur la reproduction, la croissance et la carcasse chez les cochons d’inde (Cavia porcellus L.)." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 2 (May 12, 2020): 600–612. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i2.23.

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Abstract:
Malgré l’importance de la caviaculture en milieu rural, la maîtrise de l’alimentation des cochons d’inde reste encore un handicap à cet élevage. C’est ainsi qu’entre octobre 2018 et mars 2019, un essai a été mené à la Ferme d’Application et de Recherche (FAR) de l’Université de Dschang en vue d’évaluer l’effet de quelques légumineuses fourragères comme source de protéine dans la ration sur les performances de production du cochon d’Inde. Pour cet essai, 56 cochons d’Inde de 5 mois d’âge de race locale pesant en moyenne 450 ± 50 g nés à la FAR ont été utilisés. En effet, 48 femelles repartis en quatre lots ont été mises en croisement avec 2 mâles par lot pendant une période de 31 jours selon un dispositif factoriel. Les animaux de chaque lot recevaient la graminée ad libitum associé à 20 g/j/animal de l’aliment composé contenant ou non une légumineuse. Les résultats montrent que les tailles de la portée sont restées comparables entre les traitements. Les taux de mortalité pré et post-sevrage (15,38% et 9,10%) ainsi que le poids des cochonnets à 8 semaines les plus élevés ont été enregistrés avec la ration contenant Arachis glabrata. A la naissance et au sevrage, le poids moyen le plus élevé des cochonnets a été obtenu avec la ration contenant Desmodium intortum. Les gains de poids des cochonnets sont restés comparables entre les traitements. Les rations contenant les légumineuses ont donné des rendements carcasses, le poids du foie et celui du cæcum significativement plus élevé. Compte tenu du coût de production, les légumineuses de cette étude peuvent être utilisées comme des sources de protéine de choix pour l'amélioration des performances de production des cobayes en milieu paysan.Mots clés : Arachis glabrata, Calliandra calothyrsus, Desmodium intortum, Panicum maximum, Performances de production. Enlgish Title: Effect of some legumes forages on reproduction, growth and carcass of Guinea pigs (Cavia porcellus L.)Despite the importance of caviaculture in rural landscape, cavie’s feeding remains a handicap for this breeding. Thus, between October 2018 and March 2019, experiments were conducted at the Teaching and Experimental Farm of University of Dschang on the evaluation of some leguminaceous plants as protein source in the diet on production performances of Guinea pig. A total of 56 adults Guinea pigs of about 5 months and 450 ± 50 g were used for the experiments. Females were first put in breeding with 8 males for a period of 31 days and then organized in a completely randomized design of four groups of 12 females each. Each group received Panicum maximum ad libitum and 20 g DM/day/animal of a diet corresponding to the group. Mains results of this study showed that no significant difference (P > 0.05) has been noticed for mean litter size. Total mortality rate was 8.33 for diet containing Calliandra calothyrsus. No mortality was registered for others groups. High pre-weaning and post-weaning mortality (15.38 and 9.10%) was obtained with treatment based on Arachis glabrata. From birth to 8th week of age, no significant difference (P > 0.05) was observed between average live weights. Total and daily weight gains remain comparable (P > 0.05) in weaning and in post-weaning whatever the diet. Results for carcass evaluation showed that diet containing these plants as sources of protein has permitted to obtain the highest values. The same result was observed with the liver weight and cæcum. Considering the low production cost, legumes plants appear to be good protein sources for the improvement of production performances of the guinea pigs in small farmer environment. Keywords : Arachis glabrata, Calliandra calothyrsus, Desmodium intortum, Panicum maximum, production performances.
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LÉCRIVAIN, E., and G. JANEAU. "Mortalité néonatale d’agneaux nés en plein air sans aide de l’éleveur." INRAE Productions Animales 1, no. 5 (December 12, 1988): 331–38. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1988.1.5.4468.

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Abstract:
L’agnelage en plein air intégral a été observé pendant 4 années dans un troupeau d’une cinquantaine de brebis Lacaune élevées sur le Causse du Larzac (Aveyron). Le taux de mortalité des agneaux à 48 h s’élève à 24 %. Dans ces conditions, 33,5 % de cette mortalité sont attribués à des causes physiques ou biologiques relatives aux mères et aux nouveau-nés, 38,5 % au comportement des mères et 12 % aux rigueurs des conditions météorologiques, 16 % des causes de mortalité restent inconnues. Parmi les 38,5 % des causes de mortalité dues au comportement des mères, le non isolement pre-partum occasionne 7 % de mortalité ; cette cause de mortalité affecte plutôt les agneaux des femelles primipares qui, s’éloignant en moins grand nombre que les femelles multipares pour mettre bas, sont dérangées par la présence du troupeau au moment de la reconnaissance de leur agneau. Par contre, le comportement d’isolement expose les nouveau-nés à la prédation et/ou favorise leur disparition, provoquant 5 % de mortalité. Cette cause de mortalité affecte plutôt les agneaux nés de femelles multipares (puisqu’elles s’isolent plus que les femelles primipares) ainsi que ceux des portées doubles. Enfin 26,5 % de la mortalité due au comportement des mères résultent de troubles de comportement maternel qui conduisent au rejet-abandon des nouveau-nés ; cette cause de mortalité concerne 8 fois plus les agneaux des femelles primipares. La mortalité moyenne due aux conditions météorologiques est de 12 %. En fait ce taux de mortalité est très variable, il fluctue selon les années en fonction des aléas climatiques entre 0 et 27 %. Ainsi, même si par vent fort ( ≥ 3 m/s), plus de la moitié des brebis se réfugient, pour mettre bas à l’abri, dans des zones arbustives, cette utilisation d’abris ne suffit pas à protéger les nouveau-nés lorsque ce vent fort est accompagné de pluies intenses. C’est ainsi que le taux de mortalité dû aux intempéries triple les années où sont réunies un maximum de conditions climatiques rigoureuses.
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Trimoulinard, A., C. Tessier, L. Atiana, and E. Cardinale. "Salmonelles et saucisses à la Réunion." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 67, no. 3 (June 30, 2015): 115. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10165.

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Abstract:
Les Réunionnais consomment beaucoup de viande de volaille et de porc, et les saucisses 100 p. 100 volaille et 100 p. 100 porc figurent parmi les particularités notables de la cuisine locale. Une enquête chez les professionnels de la charcuterie et des analyses bactériologiques ont permis de déterminer les facteurs qui pouvaient favoriser la contamination de ces produits à l’étape de la vente. Au total 203 échantillons de saucisses de porc et de volaille ont été prélevés dans 67 points de vente (supermarchés ou hyper-marchés, épiceries, et boucheries-charcuteries), tirés aléatoirement sur l’ensemble de l’île de la Réunion. A partir d’analyses bactériologiques, les prévalences de Salmonella spp. et de Campylobacter spp. ont été déterminées ainsi que les sérotypes majeurs de Salmonella ; la population de Salmonella dans les saucisses de volaille et de porc a aussi été quantifiée. Les analyses bactériologiques ont été réalisées selon les normes européennes. Les pratiques à risque conduisant à une contamination des produits consommés ont été identifiées à partir d’une enquête d’observation relative aux pratiques de vente et d’un modèle linéaire généralisé sous une loi binomiale. Des prévalences faibles de Salmonella spp. ont été observées pour les lots de saucisses et pour les points de vente. Salmonella spp. n’a été détectée que dans 11,8 p. 100 de ces échantillons (95 p. 100 intervalle de confiance = 7,8–17,3). Cette prévalence était différente en fonction du type de point de vente et des caractéristiques de la saucisse (tableau I) : les saucisses de porc, les saucisses fumées et les saucisses « fraiches » (reconstituées à partir de viande congelée-décongelée) ont été plus contaminées (test Z, p < 0,001).Les sérovars détectés selon les lots de saucisses ont été S. Typhimurium (4,92 p. 100), S. London (2,46 p. 100), S. Derby (1,98 p. 100), S. Newport (0,99 p. 100), S. Blockley (0,49 p. 100) et S. Weltevreden (0,49 p. 100). La moyenne de population de Salmonella spp. par échantillon a été de 72,9 bactéries/g avec un minimum de 6,00 bactéries/g et un maximum de 380 bactéries/g, soit des niveaux largement en deçà de la dose infectieuse. La vente de saucisses dans un sac en plastique (odds ratio [OR] = 26,63), dans un emballage en papier (OR = 9,00) et l’absence de lutte contre les rongeurs (OR = 5,42) ont été corrélées positivement au risque de contamination par Salmonella spp. Une surface de vente importante (> 250 m²) (OR = 0,99) a diminué ce risque. Un pourcentage des lots de saucisses a été contaminé par Campylobacter spp. Aucun facteur de risque ou de protection vis-à-vis de Campylobacter n’a été déterminé car la prévalence a été trop faible pour l’associer à des pratiques de fabrication des saucisses. Le risque pour le consommateur reste limité puisque les saucisses sont bien cuites dans les carrys et autres plats traditionnels. Les gérants des points de vente peuvent donc accentuer leurs efforts, d’une part, en utilisant des détergents et des désinfectants pour le nettoyage des vitrines et, d’autre part, en lavant régulièrement les vêtements de travail du personnel. Il importe enfin d’assurer des formations de base en hygiène pour le personnel. Les gérants doivent également insister sur leur méthode de conditionnement. Même si des salmonelles et des campylobacters sont régulièrement identifiés en élevage (1, 2), les prévalences et les doses observées à la mise en marché ne risquent pas de provoquer de gastro-entérites chez le consommateur.
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Tenero, David M., David E. Martin, Bernard E. Ilson, Duane A. Boyle, Steven C. Boike, Alison M. Carr, David E. Lundberg, and Diane K. Jorkasky. "Effect of Ranitidine on the Pharmacokinetics of Orally Administered Eprosartan, an Angiotensin II Antagonist, in Healthy Male Volunteers." Annals of Pharmacotherapy 32, no. 3 (March 1998): 304–8. http://dx.doi.org/10.1345/aph.17188.

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Abstract:
OBJECTIVE: To assess the effect of ranitidine on the pharmacokinetics of eprosartan in healthy male volunteers. DESIGN: Single-center, randomized, open-label, two-period, period-balanced, crossover study. PATIENTS: Seventeen healthy men aged 19 to 43 years. INTERVENTION: In each period (separated by a ≥7 d washout), subjects received a single 400-mg oral dose of eprosartan alone, or a single oral dose of eprosartan 400 mg and ranitidine 150 mg on day 4 after 3 days of ranitidine 150 mg twice daily. Serial pharmacokinetic samples were obtained for up to 24 hours following eprosartan dosing. MAIN OUTCOME MEASURES: Plasma and urine eprosartan concentrations during each treatment session. RESULTS: Eprosartan maximum concentration (Cmax), the AUC from time zero to the last quantifiable concentration (AUC0-t), and renal clearance (Clr) values were approximately 7%, 11%, and 4% lower, respectively, when administered with ranitidine compared with eprosartan alone. The 95% CIs for the ratio of eprosartan plus ranitidine compared with eprosartan alone were 0.81 to 1.07, 0.77 to 1.03, and 0.64 to 1.43, for Cmax, AUC0-t, and Clr, respectively, indicating no statistically significant difference between regimens. CONCLUSIONS: Repeated doses of ranitidine did not have a marked effect on the single-dose pharmacokinetics of eprosartan. OBJETIVO: Evaluar el efecto de ranitidina en la farmacocinética de eprosartan en pacientes voluntarios saludables. DISEÑO: Centro sencillo, estudio randomizado, rotulación abierta, dos períodos, período cruzado balanceado. PACIENTES: Díecisiete hombres saludables entre 19 a 43 años. INTERVENCIÓN: En cada período (separado por 7 d o más sín medicamento), los pacientes recibieron una dosis oral de eprosartan 400 mg solamente, o una dosis oral eprosartan 400 mg y ranitidina 150 mg 2 veces al día. Muestras en serie sobre la farmacocinética fueron obtenidas hasta 24 horas después de la dosis de eprosartan. MEDICIÓN DE RESULTADOS: Concentraciones en plasma y orina de eprosartan durante cada período de tratamiento. RESULTADOS: Los valores promedio de concentración máxima (Cmax), ABC0-t, y depuración renal (Clr) de eprosartan fueron aproximadamente 7%, 11%, y 4% más bajo, respectivamente, comparado con eprosartan sólo. En intervalos de un 95% de confianza, la razón de eprosartan y ranitidina comparado con eprosartan sólo fueron 0.81 a 1.07, 0.77 a 1.03, y 0.64 a 1.43 para Cmax, ABC0-t, y Clr, respectivamente, indicando que no hay diferencia estadística entre ambos régimenes. CONCLUSIONES: Dosis repetidas de ranitidina no producen un efecto marcado en la farmacocinética de eprosartan en dosis sencillas. OBJECTIF: Évaluer l'effet de la ranitidine sur la pharmacocinétique de l'éprosartan chez des volontaires sains. DEVIS EXPÉRIMENTAL: Étude à échantillonagealéatoire, ouverte, en chassécroisé comprenant deux périodes, et réalisée dans un seul établissement. PATIENTS: Dix-sept hommes sains, âgés entre 19 et 43 ans. INTERVENTION: Dans chaque période (séparée par 7 j de sevrage thérapeutique), les volontaires reçurent soit une dose unique de 400 mg d'éprosartan, ou une dose unique de 400 mg d'éprosartan et 150 mg de ranitidine au jour 4, suivant l'administration de 150 mg de ranitidine aux 12 heures les 3 premiers jours. Plusieurs échantillons pharmacocinétiques furent obtenus durant les 24 heures suivant l'administration d'éprosartan. MESURES DE L'ÉFFET: Concentrations urinaires et plasmatiques d'éprosartan durant chacune des deux périodes de traitement. RÉSULTATS: Quand l'éprosartan fut administré avec la ranitidine, la concentration maximale, la surface sous la courbe, et la clairance rénale d'éprosartan étaient en moyenne approximativement 7%, 11%, et 4% inférieures, respectivement, aux valeurs obtenues avec l'éprosartan administré seul. Aucune différence statistiquement significative n'a été observée entre l'éprosartan administré avec la ranitidine et l'éprosartan seul. Les intervalles de confiance à 95% pour les rapports des valeurs entre les deux groupes sont pour la concentration maximale 0.81 à 1.07, la surface sous la courbe 0.77 à 1.03, et la clairance rénale 0.64 à 1.43. CONCLUSIONS: L'administration de doses répétées de ranitidine n'a pas démontré d'effet marqué sur la pharmacocinétique d'une dose unique d'éprosartan.
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GUYOMARD, H., B. COUDURIER, and P. HERPIN. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 22, no. 3 (April 17, 2009): 147–50. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.3.3341.

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Abstract:
L’Agriculture Biologique (AB) se présente comme un mode de production agricole spécifique basé sur le respect d’un certain nombre de principes et de pratiques visant à réduire au maximum les impacts négatifs sur l’environnement. Elle est soumise à des interdictions et/ou des obligations de moyens, par exemple l’interdiction des Organismes Génétiquement Modifiés (OGM), des engrais de synthèse et des pesticides ou l’obligation de rotations pluriannuelles. Dans le cas de l’élevage, les critères portent sur l’origine des animaux, les conditions de logement et d’accès aux parcours, l’alimentation ainsi que la prévention et le traitement des maladies. Ainsi, la prévention des maladies est principalement basée sur l’utilisation de techniques d’élevage stimulant les défenses naturelles des animaux et, en cas de problème sanitaire, le recours à l’homéopathie ou à la phytothérapie ; l’emploi d’autres médicaments vétérinaires n’est pas exclu à condition de respecter des conditions réglementaires strictes1. L’AB s’inscrit dans des filières d’approvisionnement et de commercialisation incluant la transformation et la préparation des aliments, la distribution de gros et/ou de détail et le consommateur final. Dans tous les pays, agriculteurs, conditionneurs et importateurs doivent se conformer à des réglementations pour associer à leurs produits un étiquetage attestant de leur nature biologique. Les produits issus de l’AB sont certifiés et des mécanismes d’inspection assurent le respect des règlements. L’AB mondiale est aujourd’hui encore une activité marginale au regard des terres consacrées (moins de 2%), du nombre d’agriculteurs engagés ou des volumes concernés. Il s’agit toutefois d’une activité en forte croissance avec, par exemple, un triplement des surfaces mondiales dédiées entre 1999 et aujourd’hui. Le marché mondial des produits issus de l’AB était estimé à 25 milliards d’euros en 2006, soit deux fois plus qu’en 2000 (données IFOAM). La consommation est très fortement concentrée, à plus de 95% en Amérique du Nord d’une part, et en Europe de l’Ouest où les principaux marchés sont l’Allemagne, l’Italie, la France et le Royaume-Uni, d’autre part. Sur ces deux continents, les importations sont nécessaires pour pallier le déficit de l’offre domestique au regard de la demande intérieure. Ceci est particulièrement vrai en France. Selon le ministère en charge de l’agriculture (2009), «la demande [française] de produits issus de l’AB croît de 10% par an depuis 1999. Or, l’offre [nationale] de produits issus de l’AB est aujourd’hui insuffisante pour satisfaire cette demande croissante. Les surfaces des 11 970 exploitations agricoles françaises en AB ne représentent que 2% de la surface agricole. Par défaut d’organisation entre les producteurs et à cause de l’éparpillement des productions, une part significative des produits bio n’est pas valorisée». Et simultanément, 25% environ de la consommation française de produits bio est satisfaite par des importations. Cette situation a conduit le Ministre en charge de l’agriculture à proposer, dans le cadre du Grenelle de l’environnement, un plan visant le triplement à l’horizon 2012 des surfaces françaises en AB (6% de la surface agricole utile en 2012). Pour atteindre cet objectif, le plan inclut un soutien budgétaire à la structuration de la filière bio (sous la forme d’un fonds de structuration doté de 15 millions d’euros sur cinq ans), la mobilisation de la recherche (notamment sous la forme de crédits «recherche»), un soutien accru aux exploitations converties en AB (via le déplafonnement des 7 600 €/an/unité des aides agro-environnementales pour les exploitations en conversion vers l’AB et une augmentation de l’enveloppe dédiée, ainsi que la reconduction du crédit d’impôt en 2009, celui-ci étant par ailleurs augmenté) et enfin, l’obligation dès 2012 faite à la restauration collective de proposer dans ses menus 20% de produits issus de l’AB. Enfin, dans le cadre du bilan de santé de la Politique Agricole Commune (PAC) du 23 février 2009, une aide spécifique aux exploitations en AB d’un montant d’un peu moins de 40 millions d’euros a été adoptée. Le plan français en faveur de l’AB, popularisé sous le libellé «AB : objectif 2012», vise donc à développer la production domestique de produits issus de l’AB via la fixation d’un objectif quantitatif en termes de surfaces dédiées en jouant simultanément sur la demande (via une contrainte d’incorporation de produits issus de l’AB dans la restauration collective) et l’offre (via, de façon générale, un soutien augmenté aux exploitations en conversion vers l’AB et déjà converties à l’AB). Dans ce contexte, le comité éditorial de la revue Inra Productions Animales et la direction de l’Inra ont souhaité apporter un éclairage scientifique sur les acquis, les verrous et les perspectives en matière d’élevage AB. Ce numéro a été coordonné par J.M. Perez avec l’aide de nombreux relecteurs : que tous soient ici remerciés. Après une présentation du cahier des charges français et de la réglementation communautaire (Leroux et al), le numéro se décline en trois parties : une série d’articles sur différentes filières animales concernées (avicole, porcine, bovine allaitante, ovine allaitante), un focus sur deux approches à l’échelle des systèmes d’élevage (ovin allaitant et bovin laitier), et enfin des articles centrés sur les problèmes les plus aigus rencontrés dans le domaine de la gestion sanitaire et de la maitrise de la reproduction. L’article conclusif de Bellon et al fait le point sur les principales questions de recherche qui demeurent. En aviculture (Guémené et al), à l’exception de l’œuf, la production bio reste marginale, mais les filières sont bien organisées. Cette situation résulte d’une relative synergie avec les filières label rouge, avec lesquelles elles partagent plusieurs caractéristiques (types génétiques, longue durée d’élevage, parcours). Des difficultés multiples subsistent néanmoins. La production bio est pénalisée par le manque de poussins AB, des difficultés de maintien de l’état environnemental et sanitaire des parcours, la rareté de l’aliment bio et la difficulté d’assurer l’équilibre en acides aminés des rations (pas d’acides aminés de synthèse), élément susceptible d’expliquer la surmortalité constatée en pondeuse (liée à des problèmes comportementaux). Par suite, les performances sont inférieures à celles de l’élevage conventionnel (augmentation de la durée d’élevage et de l’indice de conversion) et l’impact environnemental, bien qu’amélioré quand il est rapporté à l’hectare, est moins favorable quand il est mesuré par unité produite, à l’exception notable de l’utilisation de pesticides. Prunier et al aboutissent aux mêmes conclusions dans le cas de la production de porcs AB. Relativement au conventionnel, les contraintes sont fortes sur le plan alimentaire (rareté de l’aliment AB, problème d’équilibre en acides aminés des rations) et de la conduite d’élevage (interdiction ou limitation des pratiques de convenance, âge des animaux au sevrage de 40 jours, difficultés de synchronisation des chaleurs et des mises bas, limitation des traitements vétérinaires). Ces contraintes et la grande diversité des élevages de porcs AB se traduisent par une forte variabilité des performances en termes de survie, reproduction, composition corporelle ou qualité des produits : autant de critères qu’il conviendra de mieux maîtriser à l’avenir pour assurer la pérennité de l’élevage porcin AB. Les performances zootechniques et économiques de l’élevage bovin allaitant bio sont abordées dans l’article de Veysset et al à partir d’un échantillon limité d’exploitations situées en zones défavorisées. Les caractéristiques des unités AB diffèrent peu de celles de leurs voisines en élevage conventionnel ; avec un chargement à l’hectare plus faible mais une plus grande autonomie alimentaire, les résultats techniques des élevages AB sont proches de ceux des élevages conventionnels et ce, en dépit d’une moindre production de viande vive par unité de bétail, en raison d’un cycle de production en moyenne plus long. Sur le plan économique, les charges plus faibles (pas de traitements antiparasitaires, pas de vaccinations systématiques) ne suffisent pas à compenser un moindre produit à l’hectare. Un verrou majeur est le déficit de gestion collective de la filière verticale (absence totale de débouché en AB pour les animaux maigres, en particulier) qui se traduit par un problème aigu de sous-valorisation puisque dans l’échantillon enquêté 71% des animaux sont vendus sans signe de qualité : nul doute qu’il s’agit là d’une priorité d’action. En élevage ovin (Benoit et Laignel), également sur la base d’un échantillon malheureusement restreint, les différences de performances techniques et économiques des élevages conventionnels versus bio varient sensiblement selon la localisation géographique, plaine ou montagne ; il est de ce fait difficile (et dangereux) de dégager des enseignements généraux valables pour l’élevage bio dans son ensemble. L’étude détaillée des adaptations des systèmes d’élevage aux potentialités agronomiques réalisée sur quatre fermes expérimentales montre néanmoins le rôle clé de la variable «autonomie alimentaire». Par suite, la situation économique des élevages ovins bio est plus difficile en zone de montagne où l’autonomie alimentaire, voire fourragère, est moindre (l’achat des aliments non produits sur l’exploitation représente 41% du prix de vente des agneaux dans l’échantillon enquêté). In fine, cela suggère que la variabilité des performances de l’élevage ovin bio, de plaine et de montagne, dépend plus du coût de l’aliment et de la valorisation des agneaux que de la productivité numérique. L’article de Benoit et al porte également sur l’élevage ovin biologique, plus précisément la comparaison de deux systèmes ovins allaitants AB différant par le rythme de reproduction des animaux. Cela montre que les performances de l’élevage ovin AB ne s’améliorent pas quand le rythme de reproduction est accéléré, le faible avantage de productivité numérique ne permettant pas de compenser l’augmentation des consommations d’aliments concentrés et la moindre qualité des agneaux. Au final, cela illustre la plus grande difficulté à piloter le système AB le plus intensif. L’article de Coquil et al relève aussi d’une approche systémique appliquée cette fois à l’élevage bovin laitier. Il porte sur l’analyse d’un dispositif original de polyculture-élevage mis en place à la Station Inra de Mirecourt reposant sur la valorisation maximale des ressources du milieu naturel et accordant une importance première à l’autonomie en paille et à la culture des légumineuses (protéagineux, luzerne). Le cheptel valorise les produits végétaux (prairies et cultures) et assure la fertilisation des parcelles en retour. L’autonomie alimentaire étant privilégiée, les effectifs animaux sont une variable d’ajustement, situation plutôt inhabituelle par comparaison avec des élevages laitiers conventionnels qui cherchent en premier lieu à maintenir les cheptels et les capacités de production animale. Les premiers retours d’expérience suggèrent une révision du dispositif en maximisant les synergies et les complémentarités plutôt que de considérer que l’une des deux activités, la culture ou l’élevage, est au service de l’autre. Cabaret et al proposent un éclairage sur les problèmes sanitaires en élevage biologique. Sur la base, d’une part, d’une analyse des déclaratifs des acteurs de l’élevage, et, d’autre part, d’évaluations aussi objectivées que possible, les chercheurs montrent qu’il n’y aurait pas de différence notable entre l’AB et le conventionnel sur le plan des maladies infectieuses et parasitaires (nature, fréquence). La gestion de la santé des cheptels AB repose davantage sur l’éleveur que sur les prescripteurs externes auxquels il est moins fait appel, et sur une planification sanitaire préalable privilégiant la prévention et une réflexion de plus long terme sur la santé globale du troupeau, l’ensemble des maladies qui peuvent l’affecter, etc. La planification n’est pas uniquement technique. Elle requiert aussi l’adhésion des éleveurs. De fait, l’enquête analysée dans cet article relative aux élevages ovins allaitants met en lumière l’importance de ces aspects individuels et culturels sur la gestion de la santé en élevage biologique. Les alternatives aux traitements anthelminthiques en élevage ruminant AB font l’objet de nombreux travaux (Hoste et al). Différents moyens de lutte contre les parasitoses sont mis en œuvre : gestion du pâturage de façon à limiter le parasitisme helminthique (rotations, mise au repos, assainissement), augmentation de la résistance de l’hôte (génétique, nutrition, vaccination), et traitements alternatifs des animaux infectés (homéopathie, phytothérapie, aromathérapie). Les protocoles d’évaluation objective de ces traitements alternatifs posent des problèmes méthodologiques non totalement résolus à ce jour. Mais traiter autrement, c’est aussi réduire le nombre de traitements anthelminthiques de synthèse via un emploi plus ciblé (saison, catégories d’animaux). Au total, de par la contrainte du cahier des charges à respecter, l’élevage biologique a recours à l’ensemble des moyens de lutte contre les maladies parasitaires. Dans le cadre de cette approche intégrée de la santé animale, l’élevage biologique peut jouer un rôle de démonstrateur pour l’ensemble des systèmes d’élevage concernés par le problème de la résistance et des alternatives aux anthelminthiques utilisés à grande échelle. Même si la réglementation n’impose pas de conduites de reproduction spécifiques en élevage AB, elle contraint fortement les pratiques, notamment l’utilisation des traitements hormonaux. L’impact de ces contraintes est particulièrement fort en élevage de petits ruminants (où le recours à des hormones de synthèse permet l’induction et la synchronisation des chaleurs et des ovulations) et en production porcine (où la synchronisation des chaleurs et des mises bas est très pratiquée). Néanmoins, Pellicer-Rubio et al rappellent que des solutions utilisées en élevage conventionnel peuvent également être mobilisées en élevage biologique, l’effet mâle et les traitements photopériodiques naturels notamment, et ce dans toutes les filières, en particulier celles fortement consommatrices de traitements hormonaux. De façon générale, les marges de progrès sont encore importantes et les solutions seront inévitablement multiformes, combinant diverses techniques selon une approche intégrée. Ici aussi, l’AB veut être valeur d’exemple, en particulier dans la perspective d’une possible interdiction des hormones exogènes en productions animales. L’article de Bellon et al conclut le numéro. Il met l’accent sur quatre thématiques prioritaires de recherche à développer, à savoir 1) la conception de systèmes d’élevage AB, 2) l’évaluation de l’état sanitaire des troupeaux et le développement d’outils thérapeutiques alternatifs, 3) la maîtrise de la qualité des produits et 4) l’étude des interactions entre élevage AB et environnement. A ces quatre orientations, on ajoutera la nécessité de recherches sur l’organisation des filières, la distribution, les politiques publiques, etc. dans la perspective de différenciation et de valorisation par le consommateur des produits issus de l’élevage biologique. Dans le droit fil de ces conclusions, l’Inra a lancé, ce printemps, un nouvel appel à projets de recherche sur l’AB dans le cadre du programme dit AgriBio3 (programme qui prend la suite de deux premiers programmes également ciblés sur l’AB). Les deux grandes thématiques privilégiées sont, d’une part, les performances techniques de l’AB (évaluation, amélioration, conséquences sur les pratiques), et, d’autre part, le développement économique de l’AB (caractérisation de la demande, ajustement entre l’offre et la demande, stratégie des acteurs et politiques publiques). Ce programme, associé à d’autres initiatives nationales (appel à projets d’innovation et de partenariat CASDAR du ministère en charge de l’agriculture) et européennes (programme européen CORE Organic en cours de montage, suite à un premier programme éponyme), devrait permettre, du moins nous l’espérons, de répondre aux défis de l’AB, plus spécifiquement ici à ceux de l’élevage biologique. Un enjeu important est aussi que les innovations qui émergeront de ces futurs programmes, tout comme des travaux pionniers décrits dans ce numéro, constituent une source d’inspiration pour faire évoluer et asseoirla durabilité d’autres formes d’élevage.
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Kennie, Natalie R., Brenda G. Schuster, and Thomas R. Einarson. "Critical Analysis of the Pharmaceutical Care Research Literature." Annals of Pharmacotherapy 32, no. 1 (January 1998): 17–26. http://dx.doi.org/10.1177/106002809803200101.

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Abstract:
OBJECTIVE To describe and evaluate published pharmaceutical care research and make recommendations to improve the quality of the literature. DATA SOURCES MEDLINE and International Pharmaceutical Abstracts using the key word “pharmaceutical care,” limited to research articles published January 1988–December 1996. STUDY SELECTION Articles that evaluated the provision of pharmaceutical care in a defined population. DATA EXTRACTION Citations (title and abstract) identified were reviewed. Articles potentially meeting the inclusion criteria were screened and scored according to the Pharmaceutical Care Research Checklist for the presence of criteria including pharmaceutical care process, methodology, and measures/outcomes. RESULTS A total of 979 citations were identified. Of 57 abstracts identified as potentially meeting the inclusion criteria, 43 articles were eliminated, 2 were rejected, and 12 were accepted for analysis. Deficiencies identified included: a lack of research in community practice (n = 2), randomized controlled trials (n = 3), workload measurement (n = 6), and patient satisfaction (n = 1). Scoring according to the Pharmaceutical Care Research Checklist also identified the following deficiencies (maximum Composite Criterion Score [CCS] of 24): description of population sample (CCS 17), dropouts (CCS 13), informed consent (CCS 8), pharmacist training/qualifications (CCS 9), instrument validity (CCS 10), structure criteria (CCS 4), patient outcomes (CCS 11), and economic outcomes (CCS 12). The mean total checklist score was 37 of 50 (range 31–46). CONCLUSIONS Few research studies have evaluated the provision of pharmaceutical care in a defined population. Deficiencies identified by low CCSs demonstrate the need for quality research design and a clear description of the pharmaceutical care process to evaluate the impact of pharmaceutical care. Recommendations for improvement in research design were made. OBJETIVO: Describir y examinar críticamente los estudios de investigación que se han publicado en atención farmacéutica y proveer recomendaciones para mejorar la calidad de la investigación y los artículos publicados. FUENTES DE INFORMACIÓN: Búsqueda principal fue en las bases de datos de MEDLINE e IPA. Se utilizó como palabra clave “pharmaceutical care” (cuidado farmacéutico) y se limitó a artículos de estudios de investigación en inglés publicados entre 1988–1996. SELECCIÓN DE ESTUDIOS: Artículos que evaluaron la provisión de atención farmacéutica en una población definida. Para inclusión, el estudio tenía que demostrar que el proceso de brindar atención farmacéutica cumplía con los criterios siguientes: (1) se establecía la relación farmacéutico-paciente para involucrar al paciente en las decisiones farmacoterapéuticas, (2) los resultados deseados se establecían en conjunto con el paciente, (3) se identificaban problemas farmacoterapéuticos, (4) se presentaban las recomendaciones farmacoterapéuticas al paciente y al médico, (5) se establecía un método de seguimiento del paciente, y (6) las intervenciones del farmacéutico se documentaban. MÉTODO DE EXTRACCIÓN DE INFORMACIÓN: Dos personas revisaron las citaciones identificadas. Los artículos de aquellas citaciones que parecían cumplir con los criterios de inclusión establecidos se analizaron utilizando el iustrumento Pharmaceutical Care Research Checklist creado con el propósito de formalmente evaluar la investigación en cuidado farmacéutico. En el instrumento se identifican 25 criterios a los cuales le asignan puntuación. Se incluyen criterios para objetivos del estudio, el proceso de brindar cuidado farmacéutico, metodología, medición de resultados y discusión de conclusiones, y limitaciones de la investigación. SÍNTESIS: Se identificaron 979 citaciones de las cuales 57 extractos parecían que los estudios cumplían los criterios de inclusión. Al revisar los artículos sólo 12 se aceptaron para análisis. Este análisis identificó deficiencias en: investigación de cuidado farmacéutico en farmacia comunitaria (n = 2), estudios con diseño de muestreo aleatorio y muestra de control (n = 3), medición de asignación de tareas (n = 6), y satisfacción de paciente (n = 1). Además, al examinar en el Pharmaceutical Care Research Checklist la puntuación compuesta por criterio (PCC máximo = 24) se encontraron omisiones comunes en metodología: descripción de la muestra (PCC = 17), explicación para pacientes que no completaron el estudio (PCC = 13), obtención de consentimiento del paciente para participar en el estudio (PCC = 8), y explicación de competencia profesional del farmacéutico (PCC = 9). Cinco de siete estudios que usaron instrumentos o cuestionarios para la colección de datos lo validaron (PCC = 10). Los doce estudios informaron medición de resultados de proceso (PCC = 24). Se identificó una PCC baja para el criterio de estructura (PCC = 4) y para medición de resultados en pacientes (PCC = 11) y económicos (PCC = 12). La media de puntuación total por estudio fue 37 de un máximo de 50 (fluctuó entre 31–46). CONCLUSIONES: Pocos estudios de investigación han evaluado la provisión de cuidado farmacéutico en una población definida. Los hallazgos de esta evaluación de los artículos publicados de estudios de investigación en la provisión de cuidado farmacéutico demuestran la necesidad de mejorar la calidad de los diseños de investigación y de una descripción clara del proceso de cuidado fârmacéutico para evaluar el impacto de cuidad farmacéutico y poder justificar el proveerlo en un sistema de salud con recursos escasos. Se presentan 15 recomendaciones con el propósito de mejorar la claidad de la investigación futura. OBJECTIF: Décrire et commenter les études publiés sur les soins pharmaceutiques et émettre des recommandations dans le but d'améliorer la qualité de cette littérature. REVUE DE LITTÉRATURE: Des recherches de type MEDLINE et IPA utilisant les mots clés “soins pharmaceutiques” furent effectuées pour des articles ayant été publiés de 1988–1996. SÉLECTION DES ÉTUDES: Les articles retenus furent ceux traitant des soins pharmaceutiques pour des populations définies. SÉLECTION DE L'INFORMATION: Des titres d'articles et des RÉSUMÉs furent révisés. Les articles qui semblaient rencontrer les critères d'inclusion furent examinés. Les articles furent notés selon la Pharmaceutical Care Research Checklist pour la présence de critères comme le processus de soins pharmaceutiques, la méthodologie, et les mesures/résultats. RÉSULTATS: Près de 979 documents furent identifiés. Des 57 Résumés identifiés comme rencontrant potentiellement les critères d'inclusion, 43 articles furent éliminés, 2 rejetés, et 12 acceptés aux fins d'analyse. Les lacunes identifiés incluaient: un manque de recherche en pharmacie communautaire (n = 2), études contrôlées randomisées (n = 3), mesure de la charge de travail (n = 6), et la satisfaction des patients (n = 1). La notation suivant la Pharmaceutical Care Research Checklist a aussi identifiée les lacunes suivants: (maximum Composite Criterion Score (CCS) = 24), description de l'échantillonnage de la population (CCS = 17), arrêts (CCS = 13), consentement (CSS = 8), qualifícations/ entraînement du pharmacien (CCS = 9), validité des instruments (CCS = 10), critères structurés (CCS = 4), résultats thérapeutiques (CCS = 11), et résultats économiques (CCS = 12). La moyenne du Total Checklist Score était de 37 sur 50 (intervalle de 31 à 46.) CONCLUSIONS Peu d'études ont évaluées la dispensation des soins pharmaceutiques chez une population définie. Les lacunes identifiées par le CCS démontrent le besoin pour une recherche avec des devis de qualité et une description claire du processus des soins pharmaceutiques pour permettre d'en évaluer l'impact. Des recommandations pour améliorer les devis des études furent faites.
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Bencherif, Kada, and Houari Tadj. "Approche d'estimation du volume-tige de peuplements forestiers par combinaison de données Landsat et données terrain." Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection, no. 215 (November 10, 2020). http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2017.343.

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Abstract:
Une approche méthodologique s'appuyant sur la combinaison de données satellitaires et données de terrain est proposée pour l’estimation du volume-tige de peuplements forestiers hétérogènes ou peu homogènes. L'objectif est d'évaluer la disponibilité forestière, en inventoriant moins de 1% de la surface étudiée et avec une précision max de 15%. L'approche consiste en la réalisation de trois étapes principales : i) Analyse de la variance sur le volume-tige, ii) classification des données satellitaires et iii) Désignation et inventaire des pixels-échantillons. L'analyse et le calcul de la variance permet d'orienter les calculs du volume en fonction de sa variabilité dans les différentes strates de la forêt alors que la classification des données satellitaires vise à obtenir une stratification de la forêt. La troisième étape consiste en la sélection de pixels-échantillons sur l'image classifiée puis la géolocalisation, l'installation et le cubage des placettes-terrain correspondantes (même dimension spatiale que le pixel de l'image utilisée). Appliquée sur une futaie peu homogène de pin d'Alep (forêt de Tlemcen, Nord-Ouest algérien), l'approche a permis d'estimer un volume global sur pied du peuplement égal à 30 595 m3 m3±15.6% et ce en inventoriant 0.4% seulement de la surface totale. L'analyse de variance sur 12 placettes-échantillons a mis en évidence le caractère peu homogène de la forêt et la faible variabilité du volume-tige. Cependant, Elle fait apparaître aussi qu'une stratification apporte une légère amélioration à la précision (15.6%) contre 17.6% sans stratification. La classification supervisée d'une image Landsat (Mai 2002) par la méthode du maximum de vraisemblance (précision moyenne de 96%) a permis de stratifier la zone étudiée en six classes (forêt très dense, forêt dense, forêt claire, matorral, herbacées, autres). Pour chaque strate de forêt, le cubage complet de 4 placettes-échantillons comparables en dimension au pixel (30m—30m), a fourni le volume-tige moyen par pixel alors que la généralisation de celui-ci à l'ensemble des pixels a permis de déterminer le volume total de chaque strate. Vu les confusions générées par la classification supervisée au profit des objets pistes, routes et matorral, le volume global a été revu à la baisse (taux de réduction de 10%) et la valeur du volume total corrigé était de 27 535 m3±15.6%, une précision, bien que non conforme à celle exigée par l'aménagement forestier (max ±10%), s'approche de celle généralement admise (une moyenne de ±15%) pour certains inventaires simplifiés.
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Liu, Melody. "A Parametric Study Of The Parameters Governing Flow Incidence Angle Tolerance For Turbomachine Blades." Journal of Student Science and Technology 10, no. 1 (August 19, 2017). http://dx.doi.org/10.13034/jsst.v10i1.129.

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Abstract:
Performance metrics quantifying the efficiency of various turbomachinery blades aid in the development of an optimal blade design. In this study, a metric was created to investigate the performance of 48 different compressor blades created with Octave and MISES software. Three input parameters were varied: leading edge radius, the location of maximum blade thickness, and the number of blades in a blade row. The objective was to determine which of these parameters most strongly affects the average loss and incidence range for the blade row. After a sensitivity analysis of the three input parameters was conducted, it was found that the number of blades had the largest effect on blade performance, followed by the leading edge geometry and lastly the location of maximum thickness. Les indicateurs de performance qui mesurent les ef cacités de plusieurs pales utilisées dans les turbomachines aident le développement d’une conception optimale des pales. Dans cet article, un indicateur a été créé pour étudier la performance de 48 pales de compresseurs axiaux différents qui ont été faites avec les logiciels Octave et MISES. Trois paramètres d’entrés ont été examinés : le rayon du bord d’attaque, l’endroit de l’épaisseur maximale de la pale et le nombre de pales dans la rangée. L’objectif était de déterminer lequel parmi ces paramètres a l’effet le plus important sur la perte moyenne et la gamme de l’incidence de la rangée de pales. Après une analyse de sensibilité des trois paramètres, les résultats ont montré que le nombre de pales dans la rangée a eu l’effet le plus important sur la performance des pales, suivie par la géométrie du bord d’attaque et en n l’endroit de l’épaisseur maximale.
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Baranski, Brittany, Jennifer Bolt, Lori Albers, Rabiah Siddiqui, Ali Bell, and William Semchuk. "Development of a Documentation Rubric and Assessment of Pharmacists’ Competency for Documentation in the Patient Health Record." Canadian Journal of Hospital Pharmacy 70, no. 6 (December 21, 2017). http://dx.doi.org/10.4212/cjhp.v70i6.1710.

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Abstract:
<p><strong>ABSTRACT</strong></p><p><strong>Background: </strong>Documentation of information in the health record by pharmacists is vital to patient care. Failure to document, or failure to document appropriately, may have negative effects on patients.</p><p><strong>Objectives: </strong>The primary objective was to determine pharmacists’ competency in 18 elements of chart note documentation at 2 tertiary care centres and 1 rehabilitation centre. The secondary objectives were to quantify the number of episodes of documentation by pharmacists, to characterize the clinical activities associated with this documentation, and to determine whether there were differences in level of competency according to years of hospital experience, additional clinical training, and note type.</p><p><strong>Methods: </strong>This study used prospective audit methodology. Notes documented during a 6-week study period (February to April 2015) were assessed using a rubric specifically created to evaluate 18 of the essential elements of documentation, as defined by the Canadian Society of Hospital Pharmacists. Four of the elements of chart note documentation were assessed on a yes/no basis, and Bloom’s taxonomy was used to define the level of competency for the other 14 elements. Values were assigned to each level and were then used to calculate mean scores.</p><p><strong>Results: </strong>A total of 115 pharmacist notes, created by 29 of the 35 pharmacists included in the study, were assessed. The mean competency score per pharmacist was 2.2 (standard deviation [SD] 0.3; maximum score 3). Elements of documentation with the highest level of competency were diplomatic tone, conciseness, and clarity; elements with the lowest level of competency were medication list, note title, monitoring, and drugrelated problem statements. The most frequent note types concerned drug-related problems (50 [43%]), pharmacokinetics (25 [22%]), and patient education (19 [17%]). Levels of competency were highest for notes related to patient education (mean 2.4, SD 0.2) and lowest for notes concerning drug-related problems (mean 2.1, SD 0.3) and notes providing clarification (mean 2.1, SD 0.3). The level of competency was not significantly affected by additional clinical training or years of hospital experience.</p><p><strong>Conclusions: </strong>Pharmacists in this study documented concisely, clearly, and in a diplomatic tone; however, there was room for improvement in the frequency and elements of chart note documentation in the patient health record.</p><p><strong>RÉSUMÉ</strong></p><p><strong>Contexte : </strong>La consignation d’information par les pharmaciens dans les dossiers de santé est essentielle aux soins des patients. Négliger de consigner l’information ou le faire inadéquatement peut avoir des effets négatifs pour les patients.</p><p><strong>Objectifs : </strong>L’objectif principal était de déterminer le niveau de compétence des pharmaciens en ce qui concerne 18 éléments de consignation aux dossiers médicaux de patients dans deux établissements de soins tertiaires et dans un établissement de réadaptation. Les objectifs secondaires étaient de quantifier le nombre de cas de consignation par les pharmaciens, d’offrir un portrait des activités cliniques associées à cette prise de notes et de déterminer s’il y avait des différences quant au niveau de compétence selon le nombre d’années d’expérience en hôpital, la formation clinique supplémentaire et le type de notes.</p><p><strong>Méthodes : </strong>La présente étude a employé l’audit prospectif comme méthodologie. Les notes consignées durant une période de 6 semaines (de février à avril 2015) ont été jugées à l’aide d’une grille conçue spécialement pour évaluer 18 des éléments essentiels de la prise de notes tels qu’ils sont définis par la Société canadienne des pharmaciens d’hôpitaux. Une évaluation dichotomique (soit oui soit non) a été utilisée pour quatre des éléments de la prise de notes et la taxonomie de Bloom a servi à définir le niveau de compétence pour les 14 autres éléments. Des valeurs ont été attribuées à chaque niveau et ont ensuite été utilisées pour calculer les scores moyens.</p><p><strong>Résultats : </strong>Au total, 115 notes rédigées par 29 des 35 pharmaciens vises par l’étude ont été analysées. Le score moyen de compétence par pharmacien était de 2,2 (écart-type de 0,3; score maximum de 3). Les éléments de la prise de notes présentant le niveau de compétence le plus élevé étaient : le ton diplomatique, la concision et la clarté. Les éléments affichant le plus bas niveau de compétence étaient : la liste des médicaments, le titre de la note, le suivi et l’énonciation des problèmes liés à la pharmacothérapie. Les types de notes les plus fréquents traitaient : de problèmes liés à la pharmacothérapie (50 [43 %]), de la pharmacocinétique (25 [22 %]) et des conseils aux patients (19 [17 %]). Les niveaux de compétence étaient plus élevés pour les notes à propos des conseils aux patients (moyenne de 2,4, écart-type de 0,2) et les niveaux étaient plus faibles pour les notes concernant les problèmes liés à la pharmacothérapie (moyenne de 2,1, écart-type de 0,3) et celles fournissant un éclaircissement (moyenne de 2,1, écart-type de 0.3). Le niveau de compétence n’était pas significativement influencé par une formation clinique supplémentaire ou les années d’expérience en hôpital.</p><p><strong>Conclusion : </strong>Les pharmaciens évalués dans la présente étude consignaient leurs notes de façon concise et claire sur un ton diplomatique. Par contre, il y avait lieu d’améliorer la fréquence et les éléments des notes consignées dans les dossiers médicaux des patients.</p>
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