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1

Leduc, François. "Les médecines douces : alternatives ou compléments à la médecine traditionnelle." Dossier : La psychosomatique 11, no. 2 (June 8, 2006): 160–74. http://dx.doi.org/10.7202/030356ar.

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Abstract:
Résumé La médecine officielle, telle que nous la connaissons maintenant, date d'environ cent cinquante ans. Parallèlement, la véritable médecine traditionnelle est celle dont les origines se perdent dans la nuit des temps. Nous avons assisté depuis plus d'un siècle à des jeux de pouvoirs très importants de la part des médecins formes en faculté universitaire dans une orientation allopathique afin que des lois restrictives sanctionnent leur contrôle et leur quasi-monopole dans la dispensation des soins de santé. Il est donc normal d'être surpris face à d'autres types de médecine qui s'avèrent elles aussi efficaces dans Ie traitement de la maladie et dans le maintien de la santé. Cela demande d'abord une clarification de certains mots clés : médecine douce, médecine traditionnelle, médecine holistique, médecine officielle. Sept grandes idées animent l'approche holistique et cinq grands courants thérapeutiques s'y rattachent : l'énergétique chinoise, l'homéopathie, l'ostéopathie, les stratégies énergétiques et les stratégies psychologiques. Au delà d'informations descriptives, des indications sont proposées pour s'y retrouver quant à leur valeur scientifique et leur valeur de vérité. Enfin, l'application des médecines douces est envisagée dans les centres hospitaliers, en considérant les besoins de la population, l'organisation législative et réglementaire et la compétence des professionnels impliqués.
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2

Lardry, Jean-Michel. "Médecine, médecine douce et bien-être : enfin complémentaires ?" Kinésithérapie, la Revue 9, no. 92-93 (August 2009): 13–14. http://dx.doi.org/10.1016/s1779-0123(09)74691-1.

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3

Cousteau, Jean-Pierre. "Le sport est-il une médecine douce?" La Revue de Médecine Interne 8, no. 4 (September 1987): 343–44. http://dx.doi.org/10.1016/s0248-8663(87)80002-4.

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4

Bauhofer, Ulrich, and Guillaume Robin. "L’ayurvéda - une médecine douce pour une époque bruyante." Allemagne d'aujourd'hui N° 229, no. 3 (2019): 146. http://dx.doi.org/10.3917/all.229.0146.

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5

Martel, Paul. "Le cadre juridique des médecines douces." III. Contrôles, ouvertures, no. 24 (November 10, 2015): 99–107. http://dx.doi.org/10.7202/1033942ar.

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Abstract:
Au Québec comme dans bien d’autres pays (y compris la France et la Belgique), le cadre juridique qui régit la médecine confère aux médecins un monopole en matière de santé et rend les médecines « douces » illégales. Ce monopole, dont la portée est examinée, brime le droit de la population de disposer librement de sa santé et de chercher remède à ses maux ailleurs que dans la médecine allopathique, souvent inefficace. En tentant vainement d’interdire les médecines douces plutôt que de les réglementer, le cadre juridique ne protège pas le public contre les thérapeutes incompétents ou profiteurs, et le prive de l’information qui lui permettrait de reconnaître les thérapies et les thérapeutes bénéfiques. Une réforme s’impose, dont les principes directeurs sont suggérés.
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Gascon, Alain. "Ethiopie : la « médecine douce » fédérale (Ethiopia : Federalism as a « Soft Medicine »)." Bulletin de l'Association de géographes français 86, no. 2 (2009): 185–96. http://dx.doi.org/10.3406/bagf.2009.2664.

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7

Pépin, Michèle. "Le rituel thérapeutique dans le contexte de la massothérapie." II. Autres corps, autres sens, no. 24 (November 10, 2015): 73–80. http://dx.doi.org/10.7202/1033939ar.

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Abstract:
Le propos de cet article est d’aller au coeur de l’intervention en massothérapie telle qu’elle se pratique depuis une dizaine d’années au Québec, et de montrer que cette modalité thérapeutique est beaucoup plus qu’un adjuvant aux désordres musculo-squelettiques. Sans lui attribuer une portée essentiellement psychologique, l’auteure définit la massothérapie comme faisant partie des psychothérapies à implication corporelle, c’est-à-dire des thérapies qui sont centrées sur le corps du patient, et dans lesquelles le thérapeute s’intéresse aussi à ce qui se produit dans son propre corps. L’accent est mis sur ce qui advient au corps et sur les caractéristiques propres au contexte thérapeutique de la massothérapie, comme la nudité, l’intimité et la promotion de l’écoute des messages émis par le corps. Ces caractéristiques font de cette pratique une forme puissante de médecine douce, parce qu’elle « soumet » son utilisateur à un habitus et à des valeurs le plus souvent étrangers à la relation au corps et à soi-même qui prévaut en Occident.
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8

Pictet, Jean. "La première Convention de Genève." Revue Internationale de la Croix-Rouge 71, no. 778 (August 1989): 289–93. http://dx.doi.org/10.1017/s0035336100017287.

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Abstract:
Dans l'antiquité, quelques grands capitaines se faisaient accompagner de leur médecin personnel. Les Romains avaient au moins un médecin par cohorte (c'est-à-dire 500 ou 600 hommes), et la légion, qui comptait dix cohortes, possédait un «medicus legionis», sans doute une sorte de chef de santé. Lors des Croisades, le sultan Salah-El-Dine donna l'exemple de l'humanité en autorisant les médecins du parti adverse à venir soigner les chrétiens prisonniers et à s'en retourner ensuite à travers les lignes. Des médecins arabes ont soigné Saint Louis. Mais il faut attendre le XVIe siècle pour qu'un Service de santé commence à s'organiser dans les armées d'Europe. Il restait encore d'une tragique insuffisance.
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9

LEBEAU, J.-P. "Sachs et Sackett." EXERCER 31, no. 167 (November 1, 2020): 387. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2020.167.387.

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Abstract:
Il y a un peu plus de 20 ans, attiré tant par la curiosité et que par le dédommagement promis, j’avais loué pour quelques jours mon cabinet de jeune médecin généraliste récemment installé à Vendôme à l’équipe du réalisateur Michel Deville, qui y avait tourné quelques scènes de l’adaptation du roman de Martin Winckler « la maladie de Sachs », avec Albert Dupontel dans le rôle éponyme1. De cette expérience enrichissante à double titre, j’ai gardé en précieux souvenir un ordonnancier édité pour le film au nom du Docteur Bruno Sachs, médecin généraliste... Curieusement, c’est à la même époque que je me passionnais pour le modèle de démarche décisionnelle proposé par Sackett qui commençait à faire les gros titres du BMJ, tant par sa pertinence pour l’exercice de la médecine que par son impertinence – et celle de ses promoteurs – vis-à-vis du mandarinat médical et universitaire de l’époque2. L’evidence-based medicine envoyait au placard la médecine fondée sur la parole des Maîtres, et – au grand dam de ces derniers – remplaçait la vérité révélée par les niveaux de preuves. Je me souviens à l’époque des difficultés que nous avions à expliquer à nos confrères dubitatifs en quoi ce modèle aux apparences froidement scientifiques ne s’opposait en aucun cas à l’humanisme inhérent à l’exercice de la médecine générale, dont Martin Winckler proposait avec Bruno Sachs un archétype. Il nous semblait, et il nous semble encore, que c’est même là le coeur de notre métier : exercer une profession profondément humaine et sociale tout en fondant sa démarche décisionnelle sur des bases scientifiques. C’est d’autant plus vrai aujourd’hui, quand ces bases se sont élargies à d’autres sciences que la biologie, la pharmacologie et les biostatistiques, pour accueillir l’ensemble des sciences humaines et sociales. Les difficultés à faire adopter le modèle n’ont pas complètement disparues, mais ont surtout laissé la place à celles liées à son implémentation dans la pratique et donc à son apprentissage. « Déjà vu » aujourd’hui : dans le même numéro d’exercer, Rémy Boussageon fait le point sur l’evidence-based medicine et son utilisation raisonnée en médecine générale, tandis que Lise Journet et Camille Rendu nous proposent de réfléchir sur les représentations sociales du médecin généraliste à travers une typologie des médecins généralistes imaginés et décrits par les auteurs romanesques du siècle passé3,4. En point d’orgue, Léa Ceysson nous rapporte les difficultés rencontrées par les étudiants dans une situation emblématique de cet équilibre instable : l’hésitation vaccinale5. C’est un hasard, sans doute, que cette nouvelle coïncidence, mais qui vient néanmoins confirmer à quel point notre métier est à l’interface entre sciences et humanité, et à quel point l’exercer nous oblige à toujours plus explorer et toujours mieux maitriser la rencontre entre Sachs et Sackett.
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Sournia, Jean-Charles. "Les phases évolutives du vocabulaire médical français." Meta 39, no. 4 (September 30, 2002): 692–700. http://dx.doi.org/10.7202/004202ar.

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Abstract:
Résumé Les termes relatifs au corps humain, à ses organes, à la santé et à la maladie ont évolué au cours des siècles, le vocabulaire a subi des phases d'enrichissement et d'appauvrissement. Un vocabulaire « vulgaire » existait avant que les médecins s'expriment en français entre eux, par l'oral et par l'imprimé, c'est-à-dire avant le XVI e siècle. Après la Renaissance ce vocabulaire populaire s'est enrichi de termes savants, pour devenir le seul instrument de communication entre professionnels. L'accroissement net du XVI e s'est ralenti au siècle suivant. Au XVIII e , caractérisé par la multiplication des théories interprétatives de la maladie, les médecins ont eu besoin de nombreux termes abstraits, alors que les chirurgiens précisaient leur gestuelle avec des termes concrets. La médecine de la fin du XIX e et du XX e s'est enrichie du vocabulaire des nombreuses sciences qu'elle a utilisées. Les phases évolutives de la terminologie ne sont pas parallèles à celles de l'efficacité de la médecine. L'appréciation de ces phases est partiellement subjective, car les dictionnaires ne rendent pas un compte exact de l'utilisation réelle des termes, les études diachro-niques quantitatives ne sont sans doute pas possibles. Au cours des siècles l'imagination terminologique des médecins a été considérable, mais une néologie trop féconde a entraîné de rapides désuétudes, le « déchet » a été important.
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Bubien, Y. "Hôpital 2,0 : du virtuel au réel." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S74. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.342.

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Abstract:
L’hôpital de demain sera 2,0 ou ne sera pas. Derrière ce constat prospectif et déterminé, il y a une réalité indéniable prenant ses racines dès à présent : la santé est déjà connectée et elle le restera. À l’heure des objets connectés, des patients connectés, des prémices de la médecine 2,0 et du big data, il faut dès aujourd’hui nous préparer à repenser nos façons de « panser ». Montres, bracelets, smartphones, balances, fourchettes, piluliers, vêtements ou même brosses à dents, pour chaque instant de votre journée, il y a un objet de santé connecté. Les objets de santé connectés sont en passe de révolutionner le quotidien mais aussi bientôt la conception du soin. Ainsi, d’après un sondage publié par l’institut Odoxa, 81 % des médecins estiment que « la santé connectée est une opportunité pour la qualité des soins » et 91 % jugent qu’elle est « une opportunité pour améliorer la prévention » des maladies. L’enjeu pour l’hôpital de demain est de s’adapter aux changements sociologiques de notre époque. La révolution numérique qui « digitalise » les modes d’interaction entre les patients et les établissements de santé (facebook, twitter, les objets connectés…) ne doit pas faire peur. Bien au contraire, elle doit être une opportunité pour adopter de nouveaux modèles de prise en charge sans doute moins unilatéraux et plus coopératifs. Ces nouvelles organisations devront être capables de mettre à profit les informations recueillies pour le médecin, mais aussi de pouvoir réceptionner de façon sécurisée et adaptée les données d’objets de santé connectés, en dehors de son enceinte. Le marché des big data est aujourd’hui dominé par les grands groupes américains comme google, par les mathématiciens, les informaticiens, les financiers. C’est aux hospitaliers et surtout aux médecins de reprendre la main pour façonner l’hôpital de demain à leur image, au service des patients et des citoyens.
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Thompson, James M., and Graham Dodd. "Ruralizing the Canadian Triage and Acuity Scale." CJEM 2, no. 04 (October 2000): 267–69. http://dx.doi.org/10.1017/s148180350000734x.

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Abstract:
SOMMAIRE: L’échelle canadienne de triage et de gravité (ÉTG) a été introduite dans les années 90 et est rapidement en voie de devenir la norme canadienne de triage. Mais depuis 1997, moment où l’Institut canadien d’information sur la santé a commencé à promouvoir l’ÉTG, certains médecins de campagne ont manifesté leurs préoccupations, signalant l’existence de d’autres systèmes de triage et mettant en doute l’efficacité de l’ÉTG dans les milieux ruraux. Les médecins des milieux ruraux soulèvent divers points: une perception de la complexité de l’ÉTG, un délai de réponse apparemment court pour l’évaluation par le médecin (et les ramifications médico-légales de la définition de ces délais), et une validation inadéquate de l’ÉTG dans les milieux ruraux. Le présent article explore l’historique de cette controverse et ébauche des solutions possibles. Les auteurs concluent que l’ÉTG est un outil malléable qui peut être «adapté» aux milieux ruraux et qu’il permettra par la suite d’améliorer les soins aux patients et les conditions de travail des infirmières et des médecins de ces milieux.
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Abom, Benkt. "Le médecin de famille et le patient suicidaire." Santé mentale au Québec 19, no. 2 (September 11, 2007): 163–74. http://dx.doi.org/10.7202/032319ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Comme base de discussion, nous survolons rapidement les études portant sur les possibilités d'intervention et de prévention du suicide et des tentatives de suicide dans un contexte de pratique générale. L'objectif principal du présent article est de discuter des différentes façons d'améliorer la capacité des médecins de famille à reconnaître et à intervenir face à des signes suicidaires chez le patient. Un résumé des articles importants déjà publiés en Suède par Rutz et son équipe démontre clairement l'importance de la formation sur les désordres dépressifs et sur les problèmes connexes. L'importance des habiletés communicationnelles du médecin dans cette situation clinique ne fait aucun doute mais cet aspect n'a jamais fait l'objet d'études approfondies et nous en touchons brièvement.
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GOCKO, X. "EXERCER ET LA DIALECTIQUE." EXERCER 33, no. 188 (December 1, 2022): 435. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2022.188.435.

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Abstract:
Dans ce numéro, vous allez découvrir deux articles sur le score calcique alias CAC (coronary artery calcium) : l’avis du conseil scientifique (CS) du CNGE (mai 2022), qui recommande de ne pas utiliser le score calcique en routine compte tenu de l’absence de bénéfice clinique démontré1, et l’article didactique de Guineberteau et al. qui conclut à des « données encourageantes » et à un CAC qui « pourrait devenir un outil supplémentaire pour guider l’intervention médicamenteuse et non médicamenteuse chez les patients considérés comme à risque cardiovasculaire intermédiaire »2. Malgré cette opposition apparente, les deux équipes partagent certaines analyses. Par exemple, un CAC = 0 est associé à un risque d’événement cardiovasculaire à dix ans très faible1,2. La différence principale réside dans l’apport du CAC par rapport aux équations de risque cardiovasculaire (RCV) comme SCORE2. Le CS du CNGE juge les bénéfices mineurs et pointe du doigt les risques avec « les difficultés d’accès à l’imagerie, les coûts, le risque de radiations ionisantes, les incidentalomes, la surmédicalisation et l’anxiété liée à la surveillance »1. Guineberteau et al. se veulent rassurants quant aux radiations ionisantes (équivalent d’une mammographie) et réclament des « essais randomisés pour évaluer son impact sur les prescriptions des médecins et surtout sur la morbimortalité cardiovasculaire des patients »2. Cette controverse existe aussi outre-Atlantique. L’American College of Cardiology et l’American Heart Association recommandent l’utilisation du CAC chez les adultes asymptomatiques de plus de 40 ans présentant un RCV intermédiaire à dix ans, mais pas chez les patients présentant un RCV faible ou élevé, car il est peu probable qu’il modifie la prise en charge thérapeutique chez ces patients. L’US Preventive Services Task Force ne recommande pas l’utilisation de ce score, à cause du risque de surmédicalisation et du manque d’essais cliniques randomisés. L’expression du doute en consultation est parfois difficile pour les usagers de la santé, les patients et les soignants. Les conflits décisionnels peuvent apparaître comme un obstacle à la décision médicale partagée. La publication de ces deux articles nous rappelle l’importance du doute en science et la force de la controverse, véritable pivot d’intelligibilité, qui nous pousse à sortir du confort de l’ombrelle des certitudes. Les lecteurs pressés (dont je fais régulièrement partie) et peu habitués à lire le doute, peuvent préférer la simplicité avec un encadré coloré dont l’esthétisme est souvent proportionnel au processus de simplification. Plonger dans les données est aussi difficile qu’une introspection… Et pourtant… Le développement de l’expertise en médecine générale passe par cette plongée… Si le médecin généraliste reste en surface, il endosse l’identité professionnelle de bobologue-adresseur souvent jugé inutile par les usagers et les tutelles. L’expertise en médecine générale permet de limiter le conflit décisionnel inhérent aux controverses parfois médiatisées et de garantir un processus de décision partagée prenant en compte l’expression des doutes, des a priori des interlocuteurs. À propos de décision partagée, après la thèse du CS du CNGE, l’antithèse de Guineberteau et al., la revue exercer et ses lecteurs attendent la synthèse, dialectique oblige… Cette synthèse pourrait s’enrichir non seulement de la confrontation des points de vue des deux équipes, mais aussi de celle d’usagers de la santé, d’économiste de la santé, de sociologue, d’éthicien, à même de tracer les avantages et limites de la médecine 4 P : personnalisée, préventive, prédictive et participative.
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Collin, Johanne. "Entre l’arbre et l’écorce : l’évolution de la profession de pharmacien au Québec aux XIXe-XXe siècles." Canadian Bulletin of Medical History 38, S1 (November 1, 2021): S143—S174. http://dx.doi.org/10.3138/cbmh.530-042021.

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Abstract:
Dans l’historiographie québécoise, l’histoire de la pharmacie et des pharmaciens se situe en quelque sorte entre l’histoire de la médecine, des médecins et de la santé, d’un côté, et l’histoire du petit commerce et de la consommation de l’autre. Sans doute trop hybride pour s’inscrire fermement dans l’un ou l’autre de ces champs d’études, elle n’a que très peu attiré l’attention des historiens à ce jour. Cette hybridité n’en demeure pas moins fascinante. Non seulement est-elle au cœur de la trajectoire et de l’évolution de la pharmacie au Québec, mais elle met en évidence de manière explicite le fait que santé, médicament et consommation sont historiquement étroitement liés. Après avoir brossé le contexte qui mène à une importante enquête menée en 1899, l’article déroulera le fil rouge de cette tension entre commerce et profession du milieu du XIXe siècle jusqu’à la crise économique et identitaire à laquelle feront face les pharmaciens dans les années 1960 et 1970.
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Capron, Loïc. "Un miroir du mépris : Guy Patin contre Théophraste Renaudot (1638-1648)." Acta Universitatis Lodziensis. Folia Litteraria Romanica, no. 15 (December 30, 2020): 123–37. http://dx.doi.org/10.18778/1505-9065.15.09.

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Abstract:
De 1638 à 1648, tout a opposé les deux médecins parisiens Théophraste Renaudot (1586-1653) et Guy Patin (1601-1672) : empirisme contre dogmatisme, paracelsisme contre galénisme, arrivisme politique contre mépris de la cour royale, Université de Montpellier contre Faculté de médecine de Paris… Sans doute attisé par leur ancienne camaraderie, leur duel a produit un foisonnement de libelles, auxquels s’ajoutèrent procès et pieds de nez dans un déchaînement réciproque de haine et de dédain. En 1643, après la mort de Richelieu et de Louis XIII, Patin pouvait impunément injurier son ennemi désarmé ; en disgrâce à la cour, Renaudot dut s’avouer vaincu. À la fin du XIXe siècle s’engagea une joute posthume entre les deux ennemis : Patin pour ses Lettres caustiques (rééditées en 1846) et Renaudot pour son invention du journalisme en France (La Gazette créée en 1631). L’opinion plaça le journaliste sur un piédestal et le fit jouir d’une immense célébrité en attachant son nom à celui d’un prix littéraire (1926).
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Parlow, Simon. "Going Blind in Nepal." University of Ottawa Journal of Medicine 6, no. 1 (May 11, 2016): 53–55. http://dx.doi.org/10.18192/uojm.v6i1.1387.

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Abstract:
Following two months of backpacking in Southeast Asia, I arrived in Nepal in August 2014 for a much anticipated three-week global health elective in emergency medicine. Before I finished my first day, however, my trip took an unexpected turn; I began to experience a serious medical problem and was forced to seek immediate treatment. I was suddenly transformed from an enthusiastic student to a reluctant patient in a country whose medical system is very different from that of my own. This unfortunate circumstance did, however, allow me to learn about Nepalese medicine in ways that I never would have been able to as a medical student, and the lessons that I learned will undoubtedly help me in my future career. Suite à deux mois de voyage en Asie du Sud-Est, je suis arrivé au Népal en août 2014 où j’ai fait un stage de trois semaines en méde­cine d’urgence. Suite à ma première journée de stage, j’ai dû me chercher un traitement médical pour un problème sérieux. J’ai été transformé d’étudiant enthousiaste en patient inquiet dans un pays où le système médical est très différent du mien. Mon expérience comme patient et étudiant en médecine au Népal m’a permis d’apprendre beaucoup au sujet de la médecine népalaise. Les leçons apprises dans ce pays étranger vont sans doute aider dans ma future carrière en tant que médecin.
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LEBEAU, J.-P., and X. GOCKO. "ENCORE !?" EXERCER 32, no. 170 (February 1, 2021): 51. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2021.170.51.

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Abstract:
Encore des vaccins ? Et en plus pas seulement des vaccins contre la COVID : il y a aussi un article sur le vaccin antivariolique, alors qu’on ne le fait plus depuis quarante ans ! exercer serait devenue « la revue francophone d’histoire de la médecine » ? On n’en a pas déjà assez avec l’actualité ? Et en même temps, la vaccination a joué un rôle majeur dans l’allongement de l’espérance de vie1. Elle est une des interventions en médecine qui présente le meilleur rapport coût-efficacité1. Aucun médicament n’a sauvé autant de vies et souvent de très jeunes vies. L’hésitation vaccinale, en revanche, a été considérée en 2019 comme une des dix plus grandes menaces pour la santé de l’humanité2. En ce sens, il relève sans aucun doute de la mission des soignants de lutter contre elle. A priori, nous pourrions considérer que ce n’est pas un adversaire très habituel : son vecteur, s’il existe, n’est pas identifié, nous n’enseignons pas sa physiopathologie, ce n’est même pas vraiment une maladie... Pourtant, en y réfléchissant bien, ces caractéristiques n’ont en réalité rien d’inhabituel : ce sont aussi celles de l’inobser-vance du patient, ou encore de l’inertie du médecin, et finalement de la plupart des défauts de soins et de suivi. Il y a donc fort à parier qu’il faut fourbir contre l’hésitation vaccinale les mêmes armes que contre tous ces maux qui viennent mettre à mal en pratique l’efficacité théorique de nos interventions. La première de ces armes est la connaissance la plus vaste possible et la compréhension la plus précise possible des mécanismes subtils et intimes qui amènent l’individu à l’hésitation vaccinale. C’est tout l’intérêt d’une recherche historique qui s’intéresse à la naissance de l’hésitation vaccinale, jumelle de la vaccination3. La deuxième arme est la maîtrise des données scientifiques, qui vont fonder un discours de professionnel de soins4,5. L’approche scientifique impose au médecin généraliste une analyse critique de l’actualité. L’approche centrée sur le patient et la décision partagée lui supposent une capacité de reconnaître l’individu et sa subjectivité. Or, cette subjectivité est inscrite dans un contexte historique, culturel et institutionnel, et, à ce titre, les valeurs et préférences du médecin et celles du patient se rencontrent. Ces valeurs partagées et ces regards critiques parfois divergents sont conditionnés par des facteurs historiques, psychologiques, sociaux et contingents6. Mais alors, exercer serait plutôt la revue de l’esprit critique et de l’approche compréhensive ? À vous de nous dire…
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Lalli, Pina. "La « communication » écologique des médecines douces." I. Trajectoires et réseaux de significations, no. 24 (November 10, 2015): 51–56. http://dx.doi.org/10.7202/1033936ar.

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Abstract:
Dans ce texte, l’auteure montre, à partir de l’analyse de témoignages de malades recueillis en entrevue, que le recours aux médecines douces exprime en premier lieu une « demande de protection », protection contre la menace du désordre que représente la maladie, le symptôme privé de sens. Ce dernier devient en fait le signe de la rupture de l’alliance nature-culture. À cet égard, le nouveau thérapeute occupe la place de l’intermédiaire devant garantir l’exercice du rituel nécessaire pour rétablir les liens entre la nature et la culture. C’est en ce sens que le discours des malades fait ressortir, en second lieu, une exigence de communication avec la nature. Enfin, en dernier lieu, le recours aux médecines douces témoigne de l’existence d’une logique fonctionnant sur le mode symbolique du bouc émissaire, tel que le décrit René Girard.
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Saillant, Francine, and Anne Quéniart. "Médecines douces. Quêtes, trajectoires, contrôles." International Review of Community Development, no. 24 (1990): 5. http://dx.doi.org/10.7202/1033931ar.

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KAPASSI, A., M. FERRY, G. IBANEZ, A. SOARES, G. AVENIN, and J. CHASTANG. "Vécu par les étudiants en médecine de l’enseignement en médecine générale dans le deuxième cycle." EXERCER 31, no. 165 (September 1, 2020): 329–30. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2020.165.329.

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Abstract:
Contexte : La médecine générale n’est implantée que depuis peu dans l’enseignement du second cycle des études de médecine. Objectif : Explorer le vécu et les attentes des étudiants sur l’enseignement de la médecine générale au cours du second cycle. Méthode : Étude qualitative, avec des entretiens semi-dirigés, conduite entre août et décembre 2015 auprès d’étudiants du diplôme de formation approfondie en sciences médicales (DFASM 1, 2 et 3). Les entretiens ont été poursuivis jusqu’à suffisance des données. Après transcription, une analyse descriptive et thématique a été réalisée. R ésultats : Douze étudiants ont participé à l’étude. Plusieurs objectifs ont été proposés pour l’enseigne-ment de la médecine générale par les étudiants : la préparation aux épreuves classantes nationales, la découverte de la médecine générale et l’opportunité de pourvoir à un manque ressenti dans l’enseigne-ment médical. Ces différentes opinions sont le fait de plusieurs facteurs : le vécu difficile de l’externat, avec une tension émotionnelle des étudiants palpable lors des entretiens ; un enseignement exhaustif et paradoxalement perçu comme insuffisant pour la pratique ; une perception confuse de la médecine géné-rale ; une place non définie de l’enseignement de la médecine générale au sein des études de médecine. Conclusion : Il n’existe aucun enseignement théorique de médecine générale admis au sein du deuxième cycle. D’autres études pourraient poursuivre l’analyse des différents objectifs possibles pour construire un enseignement harmonieux de la médecine générale au second cycle à l’échelle nationale.
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Frullani, Yannick. "Les douze orientations de la médecine thermale." Actualités Pharmaceutiques 51, no. 513 (February 2012): 18–29. http://dx.doi.org/10.1016/s0515-3700(12)71145-x.

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Fortin, Andrée. "Médecines douces en capsules. De quelques publicités." I. Trajectoires et réseaux de significations, no. 24 (November 10, 2015): 33–41. http://dx.doi.org/10.7202/1033934ar.

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Abstract:
Dans une perspective de sociologie de la science, il s’agit de cerner les enjeux cognitifs et sociaux liés à l’exercice des médecines douces. Le principal est celui de l’autonomie conceptuelle : du point de vue cognitif, les praticiens se « bricolent » une vision du monde, une vision scientifique du corps et de la santé; du point de vue social, ils tentent d’acquérir de l’autonomie professionnelle, à la fois dans l’exercice de leur activité thérapeutique en tant que telle et par rapport à d’autres professions et corporations du secteur de la santé. Pour accéder au discours de ces praticiens, on a procédé à une analyse de contenu des annonces publiées dans une revue consacrée à ces nouvelles médecines, le Guide Ressources. Il en ressort que, des nombreuses virtualités du mouvement — narcissisme ou nouveau rapport social à la nature —, il est encore difficile de cerner laquelle l’emportera; mais tout gravite autour de l’autonomie.
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Schwartz, Daniel. "Peut-on évaluer les médecines douces ?" Sciences sociales et santé 4, no. 2 (1986): 75–88. http://dx.doi.org/10.3406/sosan.1986.1034.

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Ninot, Grégory. "100 médecines douces validées par la science." Hegel N° 2, no. 2 (June 10, 2022): 180a. http://dx.doi.org/10.3917/heg.122.0180a.

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Healy, Margaret. "Paracelsian Medicine and Female Creativity: Aemilia Lanyer's Salve Deus Rex Judaeorum." Renaissance and Reformation 36, no. 2 (October 26, 2013): 75–103. http://dx.doi.org/10.33137/rr.v36i2.20168.

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Abstract:
Par l’entremise du paradigme de la médecine alchimique introduit par Paracelse et sa transmission dans la culture anglaise du début du dix-septième siècle, cet article montre comment le recueil de poésie de Aemilia Lanyer, Salve Deus Rex Judaeorum (1611), exalte sa mécène, Lady Margaret Clifford, en tant que guérisseuse ayant regénéré son âme par l’alchimie spirituelle. On y montre comment Lanyer exploite adroitement les représentations positives de la médecine paracelsienne de la nature féminine par rapport à l’art masculin. Elle défend ainsi sérieusement la cause du potentiel féminin de créativité et construit sa propre persona de créatrice douée, mais socialement compromise, d’une poésie guérisseuse par la grâce spéciale de la nature et les puissances célestes de Dieu.
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Bouychou, Mathilde. "Médecines douces en assistance médicale à la procréation." Soins Pédiatrie/Puériculture 40, no. 311 (November 2019): 44–46. http://dx.doi.org/10.1016/j.spp.2019.09.012.

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Calmant-Gourdiole, Brigitte. "Entre transhumanisme et médecines douces, quels soins demain ?" Oxymag 30, no. 156 (September 2017): 1. http://dx.doi.org/10.1016/j.oxy.2017.08.001.

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PESQUEIRA, F., C. RENOUX, and D. MALLET. "DEVELOPPEMENT DE LA COMPETENCE "RELATION, COMMUNICATION, APPROCHE CENTREE PATIENT" EN STAGE DANS UNE STRUCTURE DE SOINS PALLIATIFS." EXERCER 33, no. 180 (February 1, 2022): 88–94. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2022.180.88.

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Abstract:
Contexte. La compétence « relation, communication, approche centrée patient » a une place centrale dans l’exercice de la médecine générale, mais son apprentissage est souvent complexe. En DES de médecine générale, les internes peuvent effectuer un stage de 6 mois dans une structure de soins palliatifs au titre du stage libre. En 2018, une étude qualitative a montré une progression perçue par les étudiants dans leur compétence relationnelle en suggérant une transférabilité possible dans l’exercice de la médecine générale. Objectif. Identifier selon les étudiants de médecine générale les éléments d’amélioration de la compétence « relation, communication, approche centrée patient » au cours d’un stage en soins palliatifs. Méthode. Étude qualitative par entretiens semi-dirigés jusqu’à saturation des données : retranscription écrite intégrale avec anonymisation, analyse thématique de contenu, débat contradictoire de l’analyse entre 2 chercheurs et thématisation continue au fur et à mesure des entretiens. Résultats. Douze entretiens ont été réalisés. Une progression de la compétence « relation, communication, approche centrée patient » était décrite par le développement d’habiletés communicationnelles, un investissement dans la relation générant des émotions et une reconnaissance de l’altérité du patient. Un plus grand recours à la compétence relationnelle et une pratique renforcée de la collégialité en médecine générale étaient rapportés, malgré la contrainte temporelle. Cet apprentissage était favorisé par une démarche pédagogique adaptée au lieu de stage et articulée avec la pédagogie du DUMG. Conclusion. De nombreuses initiatives sont déjà prises pour faciliter l’acquisition de la compétence relationnelle et communicationnelle par les étudiants. L’enjeu est de poursuivre l’investissement dans la formation avec une pluralité de propositions adaptées aux apprenants et aux formateurs.
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Sévigny, Odile, Anne Quéniart, Abby Lippman, Salinda Hess, and Patrick Chabot. "L’évaluation des soins holistiques." Lien social et Politiques, no. 75 (May 11, 2016): 57–62. http://dx.doi.org/10.7202/1036291ar.

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Abstract:
L’intégration des médecines alternatives au système officiel de soins représente un enjeu important. L’un des facteurs considérés par les autorités québécoises compétentes au moment de prendre une décision à cet égard sera sans aucun doute l’efficacité des médecines alternatives, c’est-à-dire leur capacité d’améliorer et de maintenir la santé de façon sûre. Ce texte décrit les étapes d’une recherche qui consistait à évaluer des articles sur l’efficacité de certains soins alternatifs, articles publiés en anglais ou en français depuis 1975. La sélection des articles et le choix et l’utilisation de la grille d’évaluation sont présentés de manière détaillée. En dernier lieu, la question de la fiabilité et de la validité des articles, qui est au coeur du débat sur l’efficacité thérapeutique des médecines alternatives, est analysée.
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Sévigny, Odile, Anne Quéniart, Abby Lippman, Salinda Hess, and Patrick Chabot. "L’évaluation des soins holistiques." III. Contrôles, ouvertures, no. 24 (November 10, 2015): 109–14. http://dx.doi.org/10.7202/1033943ar.

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Abstract:
L’intégration des médecines alternatives au système officiel de soins représente un enjeu important. L’un des facteurs considérés par les autorités québécoises compétentes au moment de prendre une décision à cet égard sera sans aucun doute l’efficacité des médecines alternatives, c’est-à-dire leur capacité d’améliorer et de maintenir la santé de façon sûre. Ce texte décrit les étapes d’une recherche qui consistait à évaluer des articles sur l’efficacité de certains soins alternatifs, articles publiés en anglais ou en français depuis 1975. La sélection des articles et le choix et l’utilisation de la grille d’évaluation sont présentés de manière détaillée. En dernier lieu, la question de la fiabilité et de la validité des articles, qui est au coeur du débat sur l’efficacité thérapeutique des médecines alternatives, est analysée.
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Perrin, Céline, and Nicole Poteaux. "Comment favoriser l’engagement dans les tâches pédagogiques du clinicien enseignant de médecine d’urgence ?" Pédagogie Médicale 20, no. 1 (2019): 13–22. http://dx.doi.org/10.1051/pmed/2020001.

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Abstract:
Contexte : La naissance récente de la médecine d’urgence comme spécialité place le clinicien enseignant de médecine d’urgence au centre des enjeux de l’enseignement clinique de sa spécialité. Une formation aux compétences requises par cet enseignement pourrait ne pas suffire s’il ne rencontre pas les conditions d’engagement dans les tâches pédagogiques sur le terrain. But : Identifier les leviers et les freins de l’engagement dans les tâches pédagogiques du clinicien enseignant de médecine d’urgence, selon le modèle « exigences-ressources » de l’engagement. Méthodes : Douze cliniciens enseignants du Département Hospitalo-Universitaire de Médecine d’Urgence du Centre Hospitalier Universitaire de Nice ont participé à un entretien en re-situ subjectif suivant l’enregistrement vidéo en perspective subjective d’un dispositif pédagogique en milieu clinique. Les verbatims obtenus par la retranscription des entretiens ont été analysés selon une approche interprétative et confrontés à une grille d’analyse thématique. Résultats : L’analyse des entretiens a permis de caractériser l’activité pédagogique mise en œuvre et d’identifier cinq ressources qui la soutiennent, et cinq exigences qui lui font obstacle et peuvent conduire à son abandon pur et simple. Elle a aussi porté l’emphase sur l’intérêt pédagogique de la méthode de recueil, génératrice de rétro-action équilibrée et centrée sur le clinicien enseignant. Conclusion : Favoriser l’engagement dans les tâches pédagogiques nécessite d’identifier des axes d’action prioritaires et réalisables. L’entretien en re situ subjectif, en permettant l’analyse du point de vue du clinicien enseignant pendant l’activité pédagogique, serait un moyen d’approcher cet objectif.
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GARNOTEL, H., M. FERRY, G. IBANEZ, S. DUVERNE, M. ROZES, and J.-S. CADWALLADER. "POINT DE VUE DES MEDECINS GENERALISTES SUR LE RECUEIL DE LA SITUATION SOCIALE DES PATIENTS DANS LES DOSSIERS MEDICAUX." EXERCER 32, no. 172 (April 1, 2021): 148–54. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2021.172.148.

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Abstract:
Introduction. La réduction des inégalités sociales de santé est un objectif de la stratégie nationale de santé 2018-2022. Des recommandations récentes ont invité les médecins généralistes à recueillir seize indicateurs sociaux dans les dossiers médicaux informatisés des patients. Objectif. Analyser le point de vue des médecins généralistes à la suite d’un tel recueil. Méthodes. Une étude qualitative a été menée auprès de médecins généralistes ayant participé à l’étude RECOTest (Île-de-France et Pays de la Loire) entre février 2017 et août 2018. Une analyse thématique d’entretiens semi-dirigés a été réalisée avec triangulation partielle par deux chercheurs. L’étude a été déclarée à un comité d’éthique et à la Commission nationale de l’informatique et des libertés. Ré sultats. Douze entretiens ont été menés. Le recueil des indicateurs sociaux dans les dossiers médicaux présentait des intérêts permettant d’améliorer les pratiques en soins primaires. Certains indicateurs sociaux ont été considérés comme « très utiles » (couverture maladie, profession), d’autres « utiles » selon le contexte. Plusieurs facteurs en limitaient l’intérêt, et des difficultés étaient rapportées. Les médecins ont décrit des adaptations possibles en termes d’accès à la santé et dans les domaines de la vie socio-affective du patient, de sa vie professionnelle et financière et de son habitat. Conclusion. Les médecins de cette étude étaient favorables à un recueil standardisé de données sociales qui leur permettait d’adapter leurs pratiques et possiblement de contribuer à la diminution des inégalités sociales de santé. Afin de mieux répondre aux besoins des médecins, une deuxième version des recommandations est en cours d’élaboration.
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Vicari, Fernand. "À propos des médecines dites : alternatives, complémentaires, douces, parallèles, etc." Hegel N° 3, no. 3 (2012): 59. http://dx.doi.org/10.4267/2042/48251.

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BRUEL, S., A. GAGNEUX-BRUNON, R. CHARLES, X. GOCKO, and E. BOTELLO-NEVERS. "DEVELOPPEMENT DES VACCINS ET STRATEGIES VACCINALES CONTRE LA COVID-19 : DES DONNEES POUR UNE DECISION PARTAGEE." EXERCER 32, no. 169 (January 1, 2021): 26–32. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2021.169.26.

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Abstract:
La population a de nombreuses questions sur les vaccins contre la COVID-19. Informer les médecins généralistes et les autres vaccinateurs permet de fournir aux usagers du système de santé des informations claires et fiables, supports d’une décision partagée. Ces professionnels constituent le rempart contre l’hésitation vaccinale de la population, mais peuvent se laisser contaminer par le doute s’ils ne disposent pas d’un argumentaire solide pour répondre aux interrogations des patients.
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Pachoud, B., P. M. Llorca, I. Salmona, and J. B. Trabut. "La décision médicale partagée en psychiatrie : quelle utilité ?" European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S39. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.111.

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Abstract:
La pratique de la décision médicale partagée est désormais entrée dans l’usage dans les disciplines médicales pour lesquelles les choix thérapeutiques sont complexes, lourds de conséquences et d’enjeux (vitaux, de qualité de vie…), et exigent par conséquent la prise en compte des préférences et valeurs des patients. Devenue un critère de qualité de soin, elle fait l’objet de recommandations de la part des tutelles . En psychiatrie, cette approche, qui transforme la relation médecin–malade, est encore peu revendiquée dans notre pays, et son intérêt sans doute encore sous-estimé. Elle suscite pourtant un intérêt croissant dans de nombreux pays, étant l’expression d’une médecine qui n’est plus seulement centrée sur la maladie, mais désormais aussi sur la personne et sur son devenir. Restaurer la personne dans une posture active de gestion de sa maladie, de reprise d’un contrôle sur sa vie, devient dès lors un objectif majeur, exigeant de valoriser ses compétences et de promouvoir – jusque dans le soin – ses capacités de choisir, de décider et d’agir. Dans le même esprit, en psychiatrie, le recours aux « directives anticipées » concernant la conduite à tenir en cas de rechute, illustre ce souci d’associer la personne aux décisions relatives à son traitement, y compris en période de crise, pour établir une relation de partenariat plutôt que d’assistance. L’enjeu est non seulement une meilleure acceptation et observance des choix thérapeutiques, mais un soutien au processus d’autonomisation et de rétablissement de la personne. Des études montrent que la majorité des patients souhaitent être associés aux décisions concernant leur traitement et de nombreux travaux s’attachent à favoriser l’identification des préférences, valeurs et attentes des patients et à soutenir la mise en œuvre de cette pratique en santé mentale [3,4].
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MacFarlane, John. "Les miasmes, les microbes et les médecines. La diffusion des idées anciennes et nouvelles dans l’Union médicale du Canada : le cas de la fièvre typhoïde (1872-1900)." Scientia Canadensis 26 (June 18, 2009): 59–77. http://dx.doi.org/10.7202/800443ar.

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Abstract:
Résumé Les dernières décennies du 19e siècle sont connues comme une période de transition importante dans le monde médicale. Les nouvelles découvertes ont révolutionné la façon de voir et de combattre les maladies. Les microbes, pas les miasmes, furent la cause des maladies, qui furent contrôlé plus avec les mesures sanitaires pour la prévention, que par les traitements miraculeuses. En dépouillant les articles sur la fièvre typhoïde dans la revue l’Union médicale du Canada entre 1872 et 1900 on constate que les médecins acceptaient rapidement quelques innovations importantes. Par contre, en ce qui concerne les innovations où leurs anciennes affirmations furent mises en doute, ou leur popularité auprès de la population mis en péril, certains médecins démontraient une hésitation d’accepter ces avances. Cette étude présente la coexistence des idées nouvelles avec des idées plus anciennes, qui continuaient à être diffusé, parfois des années après des découvertes importantes. Nous verrons comment ils furent finalement gagné aux idées nouvelles.
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Corvol, Pierre, Pascal Griset, and Céline Paillette. "L’épidémiologie entre le terrain des épidémies et l’approche populationnelle, XIX-XXe siècle." médecine/sciences 35, no. 11 (November 2019): 886–90. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2019243.

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Abstract:
L’émergence d’une épidémiologie moderne est fréquemment associée au basculement de la discipline, d’une science des épidémies vers une science des populations. L’avènement et le développement d’une épidémiologie fondée sur une approche statistique et mathématique n’exclut cependant pas la persistance d’une épidémiologie sur le terrain des épidémies, dans le sillage de l’hygiène publique et de la bactériologie triomphante du tournant des XIXe et XXe siècles. De plus, l’histoire de l’épidémiologie ne saurait être cantonnée à une histoire de savoirs scientifiques ou de savoir-faire techniques et organisationnels. Elle doit intégrer, plus sans doute encore que d’autres branches de la médecine, les dimensions économiques et politiques qui participèrent à l’institutionnalisation et au développement de la discipline et à son inscription dans les processus de décision.
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HAMEDI SANGSARI, G., F. ABRAMOVICI, and L.-B. JAUNAY. "Intérêt de l’hypnose dans les troubles du sommeil chronique, chez des médecins généralistes hypnothérapeutes." EXERCER 31, no. 166 (October 1, 2020): 349–55. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2020.166.349.

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Abstract:
Introduction. L’insomnie chronique affecte 15,8 % des 15-85 ans. Les soins actuellement recommandés comprennent la prescription d’hypnotiques pour une durée courte. Les thérapies cognitivo- comportementales sont le traitement non médicamenteux de première intention dans l’insomnie chronique. L’hypnothérapie peut être une alternative. Objectif. Explorer l’intérêt et l’usage de l’hypnose pour traiter les troubles du sommeil chroniques du point de vue de médecins généralistes hypnothérapeutes. Méthodes. Étude qualitative phénoménologique auprès de médecins généralistes libéraux d’Île-de-France formés à l’hypnose. Des entretiens semi-directifs enregistrés ont été réalisés jusqu’à obtention de la saturation des données. Une analyse thématique du verbatim a été effectuée jusqu’à l’émergence d’un arbre de thèmes et de sous-thèmes. Résultats. Quatorze médecins (deux femmes et douze hommes) ont été interrogés. Les troubles du sommeil étaient rarement le motif premier de venue des patients en hypnothérapie. Il n’y avait pas de techniques spécifiques pour le soin des insomnies. Néanmoins, les patients déclaraient régulièrement avoir observé une amélioration de leur sommeil, que la prise en charge soit spécifique ou non. Le marqueur d’efficacité recherché par les médecins était principalement la diminution ou l’arrêt des médicaments hypnotiques. Ils se disaient satisfaits des résultats, mais remarquaient des difficultés d’évaluation. L’hypnose avait une place importante dans leur pratique et leur donnait l’impression d’entraîner des changements positifs dans leur vie professionnelle et dans leur vie personnelle. Les contraintes de temps et financières induites par le manque de reconnaissance de la pratique étaient les principaux freins exprimés. Conclusion. L’hypnose permettrait une approche globale dont les bénéfices dépassent la simple question de l’efficacité vis-à-vis de la plainte du patient. Des études quantitatives pourraient être menées pour objectiver ces constats.
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TYRANT, J., P. GIRARD, C. NICOLOTTO, and Y. GABOREAU. "EDUCATION INTERPROFESSIONNELLE DES ETUDIANTS EN SANTE. ETUDE OBSERATIONNELLE EN FRANCE EN 2017." EXERCER 32, no. 171 (March 1, 2021): 136–37. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2021.171.136.

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Abstract:
Introduction : Les pratiques collaboratives interprofessionnelles en santé permettent une meilleure qualité des soins et une réduction des coûte de santé. Ces pratiques nécessitent le développement de programmes d’éducation dédiés en formation initiale. L’objectif de ce travail était de faire un état des lieux des programmes d’éducation interprofessionnelle (EIP) existants dans les 36 UFR de médecine en France en 2017 pour les étudiants en profession de santé. Matériel et méthode : Ce travail était une étude descriptive transversale des programmes d’EIP. Les données étaient recueillies par courriel ou téléphone auprès d’un référent dans chaque UFR (Unité de Formation et de Recherche) de médecine durant l’année 2017. Résultats : Les programmes d’EIP à destination des professionnels de santé étaient proposés par 15 des 36 universités répondantes. Dix dataient de moins de cinq ans. L’EIP concernait douze filières mais peu de programmes associaient plus de deux filières. Les objectifs pédagogiques étaient de développer les pratiques collaboratives interprofessionnelles, découvrir le métier de l’autre, explorer les représentations, promouvoir la complémentarité et le rôle de chacun et améliorer la communication. Les formats et outils étaient divers. Discussion et perspectives : L’EIP se développent en France depuis 5 à 10 ans mais est proposée dans moins de la moitié des universités. Ces programmes ont pour but de répondre à l’évolution organisationnelle du système de santé dans le contexte épidémique des maladies chroniques. Ce travail met en évi-dence la nécessité d’initier, développer et d’évaluer les programmes d’EIP en France.
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Canuel, M., and G. Lebel. "Épidémiologie de la rhinite allergique au Québec d'après une enquête populationnelle de 2008." Maladies chroniques et blessures au Canada 34, no. 2/3 (July 2014): 179–84. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.34.2/3.11f.

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Abstract:
Introduction Notre étude avait pour objectif d'estimer la prévalence des symptômes et du diagnostic médical de la rhinite allergique (RA) chez les personnes âgées de 15 ans et plus au Québec. Méthodologie L'Enquête québécoise sur la santé de la population de 2008 a fourni les données de la prévalence des symptômes de RA et de la proportion de RA diagnostiquée par un médecin au cours de la vie. La prévalence des symptômes a été définie comme la proportion d'individus qui, en l'absence de rhume ou de grippe, ont eu des symptômes nasaux et oculaires au cours des 12 mois précédant l'enquête. Résultats La prévalence des symptômes de RA a été estimée à 17 %, dont 9 % de personnes n'ayant pas reçu de diagnostic. La RA était moins fréquente chez les répondants de 65 ans et plus (12 %) et elle était plus répandue chez les femmes (19 %) que chez les hommes (15 %). La proportion de RA diagnostiquée par un médecin au cours de la vie a été estimée à 17 %. Conclusion La RA est fréquente au Québec. En effet, environ une personne sur six en éprouve les symptômes. Cette maladie est sous-diagnostiquée et sans doute aussi sous-traitée.
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Sébastia, Brigitte. "Le passage des frontiÈres de mÉdecines pas trÈs douces : prévenir l'innocuité ou préserver l'authenticité ?" Revue d'anthropologie des connaissances 5, 1, no. 1 (2011): 71. http://dx.doi.org/10.3917/rac.012.0071.

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Svezozarova, Natalia. "Fonctions et moyens de l’intonation de phrase : spécialisation ou interaction." Cahiers du Centre de Linguistique et des Sciences du Langage, no. 43 (November 5, 2015): 121–34. http://dx.doi.org/10.26034/la.cdclsl.2015.593.

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Abstract:
L’intonation de phrase est sans aucun doute une des composantes les plus riches du langage en capacités expressives. Notre pratique langagière quotidienne en témoigne, puisqu’on constate qu’une grande quantitéd’information est contenue non pas dans les paroles, mais dans l’intonation avec laquelle celles-ci sont prononcées. En témoigne également l’intérêt que portent au discours oral les linguistes et les chercheurs actifs dans d’autres domaines (psychologues, physiologistes et médecins). Cependant, ce moyen naturel et universel de communication possède une organisation si complexe que sa description scientifique n’a pas encore acquis la même précision et la même formalisation que les autres composantes du langage. Ce fait explique l’existence de différences significatives entre les intonations propres aux différentes langues ainsi qu’entre celles d’une seule et même langue.
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Jamoulle, Marc. "Commentary on the article by Pizzanelli." Revista Brasileira de Medicina de Família e Comunidade 9, no. 31 (December 27, 2013): 177–79. http://dx.doi.org/10.5712/rbmfc9(31)865.

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Abstract:
Peu après l’accouchement de son cinquième enfant ma soeur a consulté son gynécologue. Elle sentait une masse dans son sein et était inquiète. Il l’a rassuré. Elle l’a cru. On était en Espagne, dans les années 80. Ma soeur était avocate et mère de famille. Une femme très occupée. Elle a fait confiance à son docteur. C’était un mauvais docteur. 15 ans plus tard elle mourrait de cachexie cancéreuse après d’innombrables radiothérapies, chimiothérapies, examens diagnostiques et complications en tout genre, entourée de ses enfants et dans la souffrance.Quand on est médecin praticien soi-même et qu’on travaille avec ce souvenir on est très sensibilisé et on cherche par tous les moyens d’éviter à ses propres patients de vivre un calvaire aussi affreux. J’étais très organisé dans ma pratique professionnelle. Nous apprenions aux femmes l’autopalpation, nous avions un échéancier pour les prévenir de faire leur mammographie de dépistage et nous étions satisfaits de trouver de temps en temps un cancer peu évolué, gardant l’impression d’avoir sauvé un patiente qui nous le rendait bien.La Belgique n’a pas de système de santé organisé et le dépistage se faisait et se fait encore de façon pittoresque et épisodique. L’état ou les hôpitaux ou quelques médecins de famille organisés lancent des campagnes qui sensibilisent toujours les mêmes femmes et en « sauvent » quelques-unes, fiers d’avoir mis en place un système de médecine dit préventive.Ce système ne prévient rien du tout et le taux de mortalité par cancer du sein n’a pas changé pendant toutes ses années. On recrute plus tôt, allongeant la période de conscience de la présence du mal. Les cancers fulgurants tuent toujours aussi vite et nous laissent démunis.Dans son article “Principios Éticos y Prevención Cuaternaria: ¿es posible no proteger el ejercicio del principio de autonomía?” le confrère Pizzanelli fait état d’un projet de dépistage systématique dont son pays, l’Uruguay, envisage de se doter, avec une contrainte d’obligation et de risque de perdre l’emploi pour les femmes qui le refuserait.Au moment où dans le monde entier, des voix s’élèvent contre le dépistage de masse, ou les médecins généralistes tentent de s’organiser pour identifier et accompagner les femmes porteuses de risque, des politiques, certainement emportés par leur désir de bien faire et probablement seulement de faire, proposent de mettre en place un système coercitif et obsolète. Cette attitude est politiquement risquée, éthiquement injustifiable et scientifiquement dépassée.Politiquement risquée parce qu’elle va engager des sommes importantes du budget de la santé dans une suffusion administrative (prévenir, en santé publique, c’est d’abord organiser) et dans des investissements majeurs pour du matériel couteux. En même temps s’installera un climat de contrôle et de suspicion qui ne peut que nuire à la convivialité d’une société.Ethiquement injustifiée parce que la maladie et la mort sont de l’ordre de l’intime et du symbolique et que la décision d’examiner un corps pour le savoir ou non malade n’appartient qu’à la personne elle-même et non à la société. Contrôler le corps est une main mise inacceptable sur le devenir humain et revient à assimiler la maladie à une tache ou une faute que le corps social s’autorise à châtier.Scientifiquement obsolète parce qu’on sait maintenant que le soi-disant dépistage ne met à jour que des cancers lents, qui n’auraient probablement pas tué la personne et qui rate les cancers rapides qui eux sont de toute façon mortels. Cette attitude repose sur une croyance d’après-guerre et son vocabulaire militaire. Combattre le cancer et croire qu’en arrivant plus tôt on pouvait le vaincre a été le leitmotiv de toutes les campagnes de masse depuis lors.On sait maintenant que les humains vivent avec le cancer, qu’ils arrivent parfois à s’en défendre et qu’ils ne meurent pas tous. On sait aussi que certaines femmes sont plus à risque que d’autres et qu’une écoute attentive et un relevé minutieux de leur histoire familiale permet de dégager des groupes à risque qu’il est bon de conseiller. Mais investir dans la communication n’a pas la même visibilité ni le même rendement qu’investir dans la technologie et il faudra beaucoup de courage aux politiques pour décider d’investir dans un système de première ligne performant et bien géré qui permettra de mettre la connaissance des grands nombres au sein des consultations individuelles des acteurs de soins primaires.Le Dr Pizzanelli est un collègue courageux. Il dit tout haut ce que beaucoup pensent tout bas et il doit être soutenu, pas ses pairs d’abord dans son pays, et par tous les collègues du monde qui pensent que la science c’est aussi cultiver le doute et se méfier de ses propres erreurs.
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Maffesoli, Michel. "L’écologisation du monde social." I. Trajectoires et réseaux de significations, no. 24 (November 10, 2015): 25–32. http://dx.doi.org/10.7202/1033933ar.

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Ce texte porte sur la naturalisation du social. Ce phénomène, constant durant la modernité, a une visibilité qui tend à s’accroître durant la période postmoderne. Il s’apparente au processus d’écologisation du monde social, par lequel la nature n’est plus considérée comme objet à exploiter mais plutôt comme partenaire du processus global d’existence. Cette sensibilité particulière se traduit par une sorte de communion avec la nature et avec les autres, par la mise en commun d’expériences et d’émotions collectives et quelque peu grégaires. La naturalisation du social se diffuse dans l’ensemble du social, touchant toutes les sphères des manières de vivre : nourriture, pratiques de santé (médecines douces), sexualité, vêtement. Il s’agit bien d’une nouvelle sensibilité, qui éclipse entièrement la dichotomie classique nature-culture, objectif-subjectif, et qui invite à une perspective holiste du rapport social contemporain.
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GOCKO, X. "UNE HESITATION CONJOINTE." EXERCER 32, no. 171 (March 1, 2021): 99. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2021.171.99.

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Abstract:
Un couple consulte son médecin généraliste. L’entrée en matière est directe : « Docteur, mon épouse ne veut pas se faire vacciner… Moi, je vais me faire vacciner, surtout pour elle, elle est à risque. Dites-lui, docteur… » Cette patiente de 79 ans est traitée par une trithérapie pour une hypertension. Elle a changé ses habitudes de vie depuis plusieurs années afin d’équilibrer son diabète. « Dites-lui, docteur, qu’ils vont l’intuber si elle l’attrape… » Il a douze ans de moins qu’elle et n’a qu’une monothérapie, pour son hypertension… Après avoir rappelé les facteurs associés à la gravité de la COVID-19, le médecin demande à la patiente ce qui la fait hésiter. La patiente répond de manière laconique : « rien en particulier, mais les vaccins… ». Une reformulation simple en écho obtient : « ils ont été développés rapidement… ». Le médecin rappelle brièvement pourquoi et comment la production de ces vaccins a été accélérée1. Le mari demande alors au médecin : « vous les faites, les vaccins ? ». Le médecin explique qu’il disposait jusqu’à présent de dix doses du vaccin ChAdOx1 par semaine. Il explique que d’autres vaccins sont et seront disponibles dans les jours et semaines à venir. Il explique aussi que les pharmaciens vont pouvoir désormais vacciner. Il demande aussi à ce couple ce qu’ils savent de ce vaccin. Le mari explique que ce vaccin est « moins bon » que celui à ARN, et son épouse ose : « il y a beaucoup d’effets indésirables ». Le médecin présente alors la balance bénéfice/risque de ce vaccin de manière complète, en laissant la porte ouverte aux questions2. Il rappelle que, même si la comparaison est tentante, en l’absence de comparaison directe, il n’est pas possible d’affirmer qu’un vaccin est supérieur à l’autre2. La question des variants surgit alors, et cette fois elle est posée par le couple. Le mari : « de toute façon, avec les variants… » ; l’épouse : « les vaccins marchent encore moins ». Le médecin explique alors que pour le moment le variant d’intérêt majoritaire en France est le variant dit anglais. Il explique que des signaux écossais issus d’une étude de cohorte prospective en temps réel portant sur 5,4 millions de personnes laissent à penser que les vaccins sont efficaces sur ce variant3. Lors des consultations conjointes, le médecin généraliste réalise trois consultations : celles de chacun des deux protagonistes et celle du couple. L’approche phénoménologique de Camia et Bénédini permet de comprendre la dynamique des couples4. Ces auteurs nous expliquent que le « je » devient « nous ». La retraite agit comme une rupture d’un habitus social, et cette reconstruction autour de la maladie chronique explique la crainte de la mort de l’autre. L’hésitation vaccinale demande des compétences communicationnelles mais aussi de disposer de données autour de la vaccination. Par exemple, savoir que l’analyse globale de la tolérance du ChAdOx1 est rendue difficile par la multiplicité des placebos (vaccin antiméningococcique, soluté physiologique, ou succession des deux). L’article de Pouchain et al. exprime les résultats en termes de nombre de sujets à vacciner afin d’éviter les présentations réductrices (95 % pour le Cominarty et 60 % pour le ChAdOx1) et une comparaison scientifiquement incorrecte2. La revue exercer permet de comprendre et de répondre aux questions des patients. La rédaction d’exercer remercie tous les auteurs et relecteurs qui nous ont permis de répondre aux questions générées par la COVID-19 depuis une année. Parmi ces auteurs, la rédaction remercie affectueusement Denis Pouchain, ancien rédacteur en chef de la revue.
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Ninot, Grégory. "Intervention non-médicamenteuse INM : un concept pour lever les ambiguïtés sur les médecines douces et complémentaires." Hegel N° 1, no. 1 (2018): 2. http://dx.doi.org/10.4267/2042/65110.

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Tamai, Irene Y., Laurence Z. Rubenstein, Karen R. Josephson, Joyce A. Yamauchi, Brenda R. Morand, and Ina Lukosevicius. "Impact of Computerized Drug Profiles and a Consulting Pharmacist on Outpatient Prescribing Patterns: A Clinical Trial." Drug Intelligence & Clinical Pharmacy 21, no. 11 (November 1987): 890–95. http://dx.doi.org/10.1177/106002808702101109.

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Abstract:
The effects of computerized drug profiles and clinical pharmacist consultation in the internal medicine clinics at a Veterans Administration hospital were studied. Population included patients (n = 512) and physicians (n = 35) of three internal medicine clinics during an eight-week period. The first four weeks were the preintervention period. The second four weeks were the intervention period in which a clinical pharmacist attended one clinic (A) and provided drug profiles on all patients. Two other clinics (B and C) served as controls. During the intervention, patients in clinic A experienced a significant reduction in prescribing problems as identified by the pharmacist: 49 percent of patients before the intervention versus 9.4 percent after the intervention (p < 0.001). Patients in clinic B had no significant change in prevalence in the number of problems identified (39 versus 40 percent; NS), and patients in clinic C had a significant but less dramatic decrease (35 versus 22 percent; p < 0.05). The proportion of patients in clinic A with net decrease in the number of prescribed medications rose from 7.1 to 34.9 percent (p < 0.001), with a mean decrease of 0.3 medications per patient. No significant differences in number of prescribed medications were noted in clinics B or C. Accuracy of physician medication charting improved for patients in clinic A from 54 percent of charts with accurate drug lists before the intervention to 78.3 percent after the intervention (p < 0.001). No significant improvements were noted for clinics B and C. These results suggest that computerized drug profiles together with clinical pharmacist consultation can improve prescribing practices in a hospital outpatient department. Extracto Los autores estudiaron el efecto de proveer perfiles de medicamentos computerizados y consulta por un farmaceútico clínico en las clínicas de medicina interna de un hospital de la Administración de Veteranos. La población incluyó 512 pacientes y 35 médicos de tres cl***inicas de medicina interna durante un período de ocho semanas. Las primeras cuatro semanas fue el período de pre-intervención. Las siguientes cuatro semanas fue el período de intervención en el cual un farmaceútico clínico asistió a una clínica (A) y proveyó perfiles de medicamentos para todos los pacientes, mientras otras dos clínicas (B y C) sirvieron de control. Durante la intervención los pacientes en la clínica A experimentaron una reducción significativa en los problemas de prescripción según identificados por el farmaceútico: 49 por ciento de los pacientes antes de la intervención versus 9.4 por ciento después de la intervención. Los pacientes en la clínica B no experimentaron un cambio significativo en la prevalencia del número de problemas identificados. Los pacientes en la clínica C tuvieron una disminución significativa, pero menos dramática. La proporción de pacientes en la clínica A con una disminución neta en el número de medicamentos prescritos aumentó de 7.1 por ciento a 34.9 por ciento con una disminución media de 0.3 medicamentos por paciente. No se observó una diferencia significativa en el número de medicamentos prescritos en las clínicas B y C. La precisión de las notas de medicamentos del médico mejoraron para los pacientes en la clínica A. No se observó una mejoría significativa en las clínicas B y C. Estos resultados sugieren que los perfiles de medicamentos computerizados en adición a consulta por un farmaceútico clínico pueden mejorar los patrones de prescripción en un departamento para pacientes ambulatorios de un hospital. Resume L'étude analyse l'impact de fournir le dossier-médicament des patients et de consulter avec un pharmacien clinique en médecine interne à l'hôpital Veterans Administration. Cinq cent douze sujets ont participé ainsi que les médecins (n = 35) de trois cliniques en médecine interne pendant une période de huit semaines. Les quatre premières semaines constituaient la période pré-intervention. Pendant les dernières quatre semaines (période d'intervention), le pharmacien clinique a participé aux activités d'une clinique (A) et a fourni les dossiers-médicaments pour tous les patients, alors que les deux autres cliniques (B et C) ont servi de contrôle. Lors de la période d'intervention, il y a eu une baisse significative pour ce qui est des problèmes de prescription pour les patients de la clinique A (basé sur le critère modifié de King et Cheung): 49 pour cent des patients avant l'intervention versus 9.4 pour cent après (p < 0.001). Les patients de la clinique B n'ont eu aucun changement significatif dans la fréquence du nombre de problèmes identifiés (39 vs. 40 pour cent; NS), et les patients de la clinique C ont vu une réduction significative mais moins dramatique (35 vs. 22 pour cent; p < 0.05). La proportion de patients de la clinique A avec une baisse dans le nombre de médicaments prescrits est passé de 7.1 à 34.9 pour cent (p < 0.001), avec une réduction moyenne de 0.3 médicaments par patient. Aucune différence n'a été notée pour le nombre de médicaments prescrits dans les cliniques B ou C. La précision avec laquelle le médecin a complété les dossiers s'est ameliorée pour les patients de la clinique A allant de 54 pour cent des dossiers ayant une liste correcte de médicaments avant l'intervention à 78.3 pour cent après l'intervention (p < 0.001). Aucune amélioration significative n'a été observée pour les cliniques B et C. Ces résultats démontrent que les dossiers-médicaments de patients ainsi que les consultations par le pharmacien clinique peuvent améliorer les habitudes de prescription d'un département de cliniques externes d'un hôpital.
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ROY, C. "La place du vétérinaire en milieu de montagne : évolution et futur." INRAE Productions Animales 27, no. 1 (April 2, 2014): 41–48. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.1.3053.

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Abstract:
En France, les vétérinaires praticiens bien qu’exerçant tous la même profession n’exercent pas tous le même métier : on peut opposer notamment les vétérinaires des villes à ceux des campagnes. Pour ces derniers, des différences apparaissent aussi selon leur domicile professionnel. En montagne notamment, il existe des contraintes particulières pour l’exercice de la médecine et de la chirurgie des animaux qui sont décrites dans cet article. Ces zones sont victimes d’une intense désertification qui concerne aussi et malheureusement les vétérinaires. En réponse à cette situation, les vétérinaires ont dû s’adapter pour maintenir une offre de service aussi efficace et performante qu’en ville ou qu’en zone de plaine pour les éleveurs et les propriétaires d’animaux de compagnie. Le recrutement de jeunes vétérinaires est devenu essentiel à la survie des entreprises vétérinaires et donc pour le réseau sanitaire. En effet, la veille sanitaire permise par ces structures est très importante en montagne, sans doute plus qu’ailleurs étant donné les risques sanitaires liés à l’élevage dans ces régions. Les éleveurs, devenus très performants ici comme en plaine, exigent les meilleurs soins et conseils de la part de leur vétérinaire traitant. Mais l’implication du vétérinaire de montagne va bien souvent au-delà d’un simple contrat de soin et nécessite de sa part un investissement personnel particulier.
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Geoffroy, P. A. "Les objets connectés sont-ils le futur de la sémiologie psychiatrique ?" European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S78. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.353.

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Les objets connectés de santé se multiplient et sont utilisés très largement par le grand public. Ils font maintenant partie de notre quotidien et constitue un enjeu économique majeur. Ces outils peuvent être des applications mobiles ou des objets connectés, comme des bracelets de type actimètre, podomètre, des tensiomètres, des capteurs de fréquence cardiaque, etc. [1,2]. Le traitement des données issues de ces objets connectés est-il possible à visée médicale ? S’il ne fait aucun doute que ces objets facilitent l’accès au soin, leur intérêt sémiologique et leur efficacité thérapeutique n’est que trop rarement testé scientifiquement . Cette communication évaluera les bénéfices en santé que les médecins peuvent attendre de ces objets connectés [1,4]. L’utilisation de ces objets devra répondre à des impératifs d’efficacité en matière de santé individuelle et globale, mais aussi à des impératifs éthiques, de protection des données recueillies et de sûreté sanitaire. Cette nouvelle aire de l’e-santé se traduira par le développement nécessaire de nouveaux algorithmes de dépistage, de diagnostic et de décisions thérapeutiques.
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