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Journal articles on the topic 'Médecine – Terminologie'

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Sournia, Jean-Charles. "Les phases évolutives du vocabulaire médical français." Meta 39, no. 4 (September 30, 2002): 692–700. http://dx.doi.org/10.7202/004202ar.

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Abstract:
Résumé Les termes relatifs au corps humain, à ses organes, à la santé et à la maladie ont évolué au cours des siècles, le vocabulaire a subi des phases d'enrichissement et d'appauvrissement. Un vocabulaire « vulgaire » existait avant que les médecins s'expriment en français entre eux, par l'oral et par l'imprimé, c'est-à-dire avant le XVI e siècle. Après la Renaissance ce vocabulaire populaire s'est enrichi de termes savants, pour devenir le seul instrument de communication entre professionnels. L'accroissement net du XVI e s'est ralenti au siècle suivant. Au XVIII e , caractérisé par la multiplication des théories interprétatives de la maladie, les médecins ont eu besoin de nombreux termes abstraits, alors que les chirurgiens précisaient leur gestuelle avec des termes concrets. La médecine de la fin du XIX e et du XX e s'est enrichie du vocabulaire des nombreuses sciences qu'elle a utilisées. Les phases évolutives de la terminologie ne sont pas parallèles à celles de l'efficacité de la médecine. L'appréciation de ces phases est partiellement subjective, car les dictionnaires ne rendent pas un compte exact de l'utilisation réelle des termes, les études diachro-niques quantitatives ne sont sans doute pas possibles. Au cours des siècles l'imagination terminologique des médecins a été considérable, mais une néologie trop féconde a entraîné de rapides désuétudes, le « déchet » a été important.
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Burnier, Isabelle, Diane Bouchard-Lamothe, and Manon Tremblay. "Enseigner les habiletés de l’entrevue médicale à l’aide de patients simulés tuteurs : données d’un projet pilote." Pédagogie Médicale 19, no. 4 (November 2018): 161–69. http://dx.doi.org/10.1051/pmed/2019024.

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Abstract:
Contexte : L’enseignement et l’apprentissage des habiletés cliniques à l’aide des patients simulés (PS) est une méthode fréquemment utilisée en médecine. Pour répondre aux difficultés de recrutement de médecins tuteurs, les PS peuvent aussi être impliqués comme formateurs pour les examens physiques ou comme examinateurs pour les examens sommatifs. But : Ce projet pilote vise à examiner l’utilisation de patients simulés comme tuteurs (PST) dans les cliniques simulées pour l’apprentissage de l’anamnèse. Méthodes : Une étude multicas comportant la mise en situation dans les cliniques simulées de 5 PST ayant reçu une formation de 9 h a été réalisée auprès de 20 étudiants en première année de médecine. Au total, 59 questionnaires remplis par les étudiants, les PST et la chercheure principale compilent les scores à propos de l’habileté à consigner les données de l’anamnèse et à offrir de la rétroaction constructive et descriptive à l’étudiant. Résultats : La rétroaction formative donnée par les PST se révèle descriptive et constructive. Le manque de maîtrise de la terminologie médicale chez les PST ressort de l’étude comme une faiblesse qui limite l’interaction. Conclusion : Le PST peut agir comme tuteur à condition de recevoir une formation pratique plus approfondie mettant l’accent sur la rétroaction formative et sur la terminologie médicale. Sa participation devrait être limitée aux séances axées sur la communication. Les résultats suggèrent comme piste de recherche que la validité de la performance des PST soit comparée à celle des médecins tuteurs.
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3

Balliu, Christian. "Les traducteurs : ces médecins légistes du texte." Meta 46, no. 1 (October 2, 2002): 92–102. http://dx.doi.org/10.7202/001961ar.

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Abstract:
Résumé La médecine est une science plurimillénaire soumise à l'évolution de l'histoire. Son discours, dont la terminologie, ne peut donc échapper à l'influence de ses utilisateurs successifs. Le traducteur médical devra donc être conscient que le sociolecte médical n'est pas alimenté par une terminologie objective et rigoureuse, mais qu'il est assujetti à une instabilité aussi synchronique que diachronique.
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Balliu, Christian. "La didactique de la traduction médicale, deux ou trois choses que je sais d’elle." Meta 50, no. 1 (March 31, 2005): 67–77. http://dx.doi.org/10.7202/010658ar.

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Abstract:
Résumé La médecine est une science ancienne, soumise à l’évolution de l’histoire. Son discours, dont la terminologie, ne peut donc échapper à l’influence de ses utilisateurs successifs. La didactique de la traduction médicale devra donc prendre en compte que le sociolecte médical n’est pas alimenté par une terminologie objective et rigoureuse, mais qu’il est assujetti à une instabilité aussi synchronique que diachronique.
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5

Als, C. "Réflexions concernant la terminologie de médecine nucléaire." Médecine Nucléaire 32, no. 8 (August 2008): 397–98. http://dx.doi.org/10.1016/j.mednuc.2008.06.004.

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Paquet, Marilène. "Les clés de l’interprétation des biopsies hépatiques." Le Nouveau Praticien Vétérinaire canine & féline 20, no. 83 (May 2023): 10–14. http://dx.doi.org/10.1051/npvcafe/2023019.

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Abstract:
Les pathologies hépatiques sont nombreuses en médecine vétérinaire et font partie des difficultés diagnostiques rencontrées chaque semaine en médecine des animaux de compagnie. La biopsie hépatique est un outil diagnostique qui nécessite un travail pluridisciplinaire dans lequel beaucoup d’efforts et de ressources sont déployés. Malheureusement, le rapport de biopsie est habituellement écrit dans une terminologie descriptive et diagnostique qui peut être ardue à comprendre et parfois même décevante pour le vétérinaire en clinique. De plus, les attentes du clinicien en médecine envers le rapport d’histopathologie sont parfois trop élevées ou mal orientées. Cet article vise à fournir quelques outils et lignes directrices afin de faciliter l’interprétation du rapport et permettre une meilleure compréhension de l’histopathologie des biopsies hépatobiliaires.
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Balliu, Christian. "«Mais vous nous faites une belle grippe !». De quelques enjeux enfouis de la traduction du discours médical." Équivalences 49, no. 1 (2022): 5–24. http://dx.doi.org/10.3406/equiv.2022.1598.

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Abstract:
La traduction médicale appartiendrait à ce que l’on appelle communément la traduction des textes de spécialité. Ceux-ci recourent à une terminologie particulière, différente de la langue générale et caractérisée par une dénotation censée avaliser la scientificité du propos. Pourtant, la médecine est une science humaine et cette étude tentera de montrer que le discours médical est en réalité un sociolecte, souvent connoté, à la terminologie imprécise, voire inexacte. Il véhicule de nombreux enjeux, parfois étrangers à la science médicale elle-même, dont le traducteur devra prendre pleinement conscience pour rendre «ce que le texte fait».
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Kepka, S., T. Marx, and T. Desmettre. "Le drainage thoracique aux urgences dans la prise en charge d’un épanchement pleural non traumatique." Annales françaises de médecine d’urgence 9, no. 4 (July 2019): 261–68. http://dx.doi.org/10.3166/afmu-2019-0178.

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Abstract:
Le drainage thoracique est un geste classique en médecine d’urgence. En dehors du traumatisé thoracique, les indications de drainage thoracique aux urgences sont essentiellement le pneumothorax spontané primitif ou secondaire et les épanchements pleuraux liquidiens en cas d’épanchement parapneumonique compliqué. La technique doit être connue des médecins urgentistes qui sont confrontés à la prise en charge initiale de ces patients. Le matériel de drainage ou « drainage pleural catheter », selon la terminologie proposée par Baumann, regroupe l’ensemble des matériels de thoracocentèse laissés en place au décours du geste. Il existe une multiplicité de matériel à disposition des cliniciens qui permettent de réaliser un drainage thoracique et le choix dépend de l’indication. Les drains classiques avec mandrin sont utilisés dans le cas des épanchements liquidiens. Les drains percutanés, moins invasifs, sont préférentiellement choisis pour un épanchement gazeux. Les complications associées à ces dispositifs sont différentes selon le type du drain. Les recommandations préconisent le recours à des drains de petits calibres et vont dans le sens de méthodes de moins en moins invasives, notamment dans le cas des pneumothorax. Les modalités de transport des patients drainés sont également importantes à connaître pour la prise en charge des patients avec un drain thoracique. La possibilité d’un traitement ambulatoire en cas de pneumothorax spontanés avec un mini-drain relié à une valve de Heimlich® (Vigon, Écouen, France) ou le recours à un drain tunnélisé en cas de pleurésie récidivante constituent des options intéressantes en médecine d’urgence.
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Charlet, Jean, Audrey Baneyx, Olivier Steichen, Iulian alecu, Christel Daniel-Le Bozec, Cédric Bousquet, and Marie-Christine Jaulent. "Utiliser et construire des ontologies en médecine. Le primat de la terminologie." Techniques et sciences informatiques 28, no. 2 (February 2009): 145–71. http://dx.doi.org/10.3166/tsi.28.145-171.

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GAY, B., S. GILBERG, P.-L. DRUAIS, M.-H. CERTAIN, and P. FRAPPE. "Développer les soins de santé primaires, un enjeu stratégique." EXERCER 31, no. 161 (March 1, 2020): 133–35. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2020.161.133.

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Abstract:
Les soins de santé primaires souffrent en France d’une considération limitée, alors que leur reconnaissance internationale est bien établie. Dans une perspective d’équité, ils répondent à la majorité des besoins de santé de la population. Leur périmètre est clairement défini : ils impliquent les médecins généralistes et les autres professionnels de santé de proximité. Leur efficience est démontrée, y compris dans les pays développés : amélioration de la santé de la population et réduction des inégalités sociales de santé. L’intention politique semble actuellement plus favorable au développement des soins de santé primaires dans le système de santé français. Des initiatives de territoire comme les maisons de santé pluriprofessionnelles, les équipes de soins primaires, les communautés professionnelles territoriales de santé, se mettent en place et pourraient constituer un levier de progression. Il faut encore une démarche globale pour recentrer le système de santé sur les soins de santé primaires. Il faut aussi s’accorder sur la terminologie commune la plus consensuelle de soins de santé primaires afin de faciliter cette évolution. Les enjeux sont stratégiques pour le système de santé, pour la médecine générale, mais aussi pour les patients.
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Stehlin, F. "Intérêts de l’application du concept canguilhemien de NORMATIVITE au champ de la psychiatrie." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 88. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.236.

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Abstract:
L’objet du travail est de montrer l’intérêt d’une application à la psychiatrie du concept de normativité, développé initialement dans le cadre général de la médecine par G. Canguilhem. Méthodologiquement, c’est une recherche de philosophie appliquée. La médecine recourt à diverses disciplines pour produire des déterminations à sa pratique, – d’où la terminologie plurielle et équivoque de « sciences médicales ». Il n’est donc pas illégitime, à certaines conditions, de produire une recherche philosophique sur la médecine. À partir d’une lecture de Canguilhem, nous avons tâché d’expliciter le concept de normativité en ce qui concerne la maladie dans sa dimension organique. Ce concept détermine la nature de la différence axiologique entre le normal et le pathologique. En introduisant les notions de valeur et de finalité, il se montre fécond à orienter la pratique clinique médicale, par-delà les objectivations scientifiques et technologiques. Nous avons proposé d’appliquer ce concept à la notion de maladie mentale. Les résultats de cette application montrent que la maladie mentale relève d’une même logique que celle de la maladie organique, ce qui permet de garantir la place de la psychiatrie dans le champ de la médecine. Néanmoins, cette logique n’opère pas dans le même contexte. À partir d’une même normativité, organisme et psychisme apparaîssent comme les deux modes d’individualisation de l’être humain : d’abord dans l’environnement naturel (champ de lois) par le caractère générique d’espèce, ensuite, dans un monde social et culturel (champ de normes) par le caractère particulier de la personnalité. De cette double détermination impliquant les rapports, répulsifs ou propulsifs, de l’individu normatif au milieu, il découle une définition plurivoque mais synthétique de la maladie et de la santé. La spécificité de la psychiatrie peut être alors précisée. Dans cette perspective, se dégage un programme de philosophie appliquée à la psychiatrie, à la médecine et à leurs rapports.
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PENTELIUC-COTOŞMAN, Luciana. ""LE LANGAGE DU SECTEUR DE LA BEAUTÉ : UN DÉFI POUR LE TRADUCTEUR SPÉCIALISÉ"." Professional Communication and Translation Studies 15, no. 2022 (2022): 119–32. http://dx.doi.org/10.59168/okvu9286.

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Abstract:
Hautement valorisé par la société contemporaine, le secteur de la beauté est en pleine expansion. Le dynamisme de ce domaine interdisciplinaire, ouvert à la recherche scientifique et tourné toujours davantage vers la médecine, la pharmacologie et la chimie, se reflète également dans son langage spécifique, qui mélange les codes et couvre un registre varié d’usages allant de l’ultra-scientifique à l’ultra-vulgarisé, ainsi que dans sa terminologie composite, épatante, foisonnante, marquée par une néologie incessante. Le présent article se propose d’éclairer les problèmes de traduction spécifiques posés par la variété des textes spécialisés du domaine de l’esthétique et de la cosmétologie, et par ce biais de montrer que la pratique traductive, dans ce secteur notamment, doit être envisagée comme une tâche complexe, exigeant de la part du traducteur spécialisé une approche multi-compétences et des solutions globales, les seules qui puissent couvrir les différents aspects terminologiques, sémantiques, sémiotiques, communicationnels et marketing qui se combinent dans le discours multidimensionnel caractéristique du domaine de la beauté.
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Breault, Chantale, Marie-Julie Béliveau, Fannie Labelle, Florence Valade, and Natacha Trudeau. "Le trouble développemental du langage (TDL) : mise à jour interdisciplinaire." Neuropsychologie clinique et appliquée 3, Fall 2019 (2019): 64–81. http://dx.doi.org/10.46278/j.ncacn.20190717.

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Abstract:
Bien que le trouble développemental du langage (TDL) soit fréquent (7,58 %; Norbury et al., 2016) et ait des impacts perdurant jusqu'à l’âge adulte (Feeney, Desha, Khan, Ziviani, & Nicholson, 2016), il est beaucoup moins connu que d’autres problématiques telles que le trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) ou le trouble du spectre de l’autisme (TSA). L’inconstance des définitions selon les domaines (p. ex., médecine, éducation, psychologie, orthophonie) pourrait partiellement expliquer cette méconnaissance (Bishop, 2017). Depuis peu, une terminologie et une démarche menant au diagnostic de TDL font l’objet d’un consensus international multidisciplinaire, et ce, grâce au projet CATALISE (Bishop, Snowling, Thompson, Greenhalgh, & CATALISE-consortium, 2016, 2017). Le but de cet article est de présenter une mise à jour des enjeux et des connaissances actuelles liés au TDL en s’intéressant aux changements d’appellation et de critères initiés par le projet CATALISE. Pour les professionnels et chercheurs œuvrant dans le domaine, il s’agit d’une occasion de réfléchir aux besoins des personnes vivant avec un TDL.
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Balliu, Christian. "Le traducteur, le médecin et le patient." Traduction 55, no. 1 (April 30, 2010): 15–22. http://dx.doi.org/10.7202/039598ar.

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Abstract:
Résumé Le texte médical est d’apparence scientifique et semble se caractériser par le recours aux termes. En réalité, la subjectivité y est omniprésente et se traduit par le recours aux mots, qui sont les véritables enjeux de la traduction. La terminologie ne pose pas de problème particulier au traducteur, toute l’information étant disponible grâce aux grandes banques de données documentaires, au multimédia en général et aux réseaux d’informateurs. Ce sont les mots qui véhiculent le vrai sens du texte et qui constituent un véritable défi pour le traducteur. Les termes, quant à eux, sont des leurres scientifiques qui cachent des objectifs qui le sont moins, comme la quête d’une reconnaissance scientifique, la course aux crédits de recherche ou le positionnement d’un laboratoire. D’autre part, le caractère impersonnel d’un texte médical spécialisé, qui en garantirait le caractère objectif, est de plus en plus contestable, à cause de l’importance qu’ont pris l’immunologie et la psychiatrie dans la médecine contemporaine. Ces dernières décennies, l’immunologie et la psychiatrie ont mis en avant une conception du patient qui prend en compte le psychologique dans l’analyse des troubles physiologiques. De la sorte, le discours médical réhabilite aussi le sujet à la première personne, même si sa présence reste latente dans le texte.
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Chukwu, Uzoma. "Science, dénomination et partage du pouvoir : le cas des éponymes." Meta 41, no. 4 (September 30, 2002): 590–603. http://dx.doi.org/10.7202/002242ar.

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Abstract:
Résumé Si le recours à l'éponyme est un procédé de formation de termes très productif dans certains domaines, il reste néanmoins un phénomène très peu étudié par les linguistes et, plus particulièrement, les terminologues qui semblent renvoyer la balle à la logique. D'autre part, à en juger par les invectives fréquentes contre les éponymes, ils n'ont, dans l'ensemble, pas bonne presse chez les utilisateurs de la langue. Cependant, envisagée par rapport à des domaines particuliers, la situation paraît beaucoup plus nuancée. En médecine, par exemple, ils rencontrent beaucoup d'hostilité parce qu'ils sont perçus comme des facteurs perturbateurs de la terminologie du domaine, pour l'essentiel transparente puisque largement fondée sur la composition savante. En histoire naturelle, ils sont plutôt bien intégrés et forment même l'ossature du système binominal de Linné, alors qu'en physique (et en mathématiques), ils ne semblent pas susciter de sentiment particulier. Mais si le procédé se maintient dans ce climat a priori défavorable, c'est d'abord parce qu'il étend considérablement la capacité de dénomination des langues naturelles en mettant à leur disposition tout le répertoire des patronymes en nombre quasi illimité. Son maintien s'explique aussi par le fait qu'il participe au processus de régulation interne de la science en permettant à celle-ci de reconnaître les mérites des siens.
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Ferney, Pauline, François Clauss, Damien Offner, and Delphine Wagner. "Intérêt prophylactique et thérapeutique des chewing-gums sans sucre en orthodontie. Une étude menée auprès de professionnels de santé et de patients." L'Orthodontie Française 88, no. 3 (September 2017): 275–81. http://dx.doi.org/10.1051/orthodfr/2017020.

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Abstract:
Objectif : L’objectif de cette étude est d’évaluer le niveau de connaissances des professionnels de santé bucco-dentaire et des patients au sujet du rôle prophylactique et thérapeutique de la consommation des chewing-gums sans sucre. Matériels et Méthodes : Une étude transversale monocentrique de perception portant sur le niveau d’information relatif aux effets de la consommation des chewing-gums sans sucre a été menée auprès de 135 patients adolescents, âgés de 11 à 17 ans, porteurs d’un dispositif orthodontique fixe et traités au sein de l’Unité Fonctionnelle d’Orthopédie Dento-Faciale du pôle de Médecine et de Chirurgie Bucco-dentaires des Hôpitaux Universitaires de Strasbourg, et de 34 praticiens au sein de l’Unité Fonctionnelle d’Orthopédie Dento-Faciale et d’Odontologie Pédiatrique. Les données ont été recueillies entre mai 2016 et juillet 2016. Deux questionnaires distincts, à la terminologie adaptée, ont été élaborés pour chacune des deux populations, ils abordent les mêmes thématiques. Résultats : La majorité des individus des deux populations étudiées pensent que la consommation de chewing-gum sans sucre entraîne un risque accru de décollement ou de fracture de l’appareil orthodontique et qu’elle ne permet pas une diminution de la douleur orthodontique. Discussion : Nos résultats corroborent le fait que les connaissances, le plus souvent acquises de façon empirique, sont à l’encontre des données de la littérature actuelle. L’évaluation du niveau de connaissance prouve qu’il existe un réel déficit d’information quant aux intérêts prophylactiques de la consommation des chewing-gums sans sucre chez les patients porteurs d’un dispositif orthodontique. Conclusions : Cette étude met en évidence le besoin de campagnes d’information et de prévention bucco-dentaire destinées aussi bien aux professionnels de santé qu’au grand public portant sur les intérêts prophylactiques et antalgiques des chewing-gums sans sucre dans le cadre des traitements orthodontiques.
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Gateaux-Mennecier, Jacqueline. "Représentations psychologiques et régulation sociale au XIXe siècle. l' «arriération», de l'asile à l'institution scolaire/[nineteenth century notions of psychology and social order : "backwardness", from asylum toeducational institution]." Sociétés contemporaines 13, no. 1 (January 1, 1993): 179–90. http://dx.doi.org/10.3917/soco.p1993.13n1.0179.

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Abstract:
Résumé Le questionnement porte sur l'évolution conceptuelle relative à l 'enfance anormale entre la fin du XIXème siècle et le début du XXème siècle et sur les conditions d'élaboration du concept d'arriération, interprétation psychologique de certaines difficultés scolaires. Cette dernière notion, en usage dans le champ médical est transposée à cette période, de l 'institution asilaire à l'institution scolaire ; mais le concept ne recouvre plus les mêmes réalités au cours de ce déplacement institutionnel. La symétrie terminologique entre l' «arriéré» de l'asile, où la médecine mentale est focalisée sur l'organicité des troubles mentaux, et l'«arriéré »de l 'école, enfant en marge des prescriptions normatives de cette institution, n 'est pas neutre idéologiquement. L'analyse socio-génétique de cette désignation (à laquelle se substitueront les notions de «débilité légère» et «déficience intellectuelle légère») montre qu'elle est le résultat d 'une construction idéologique ; traduction individualisée d 'un rapport interactionnel et conflictuel (l'indiscipline, la déviance), elle est le masque psychologique de phénomènes sociologiques liés au processus acculturatif. Cette élaboration s'inscrit dans une période marquée par l'eugénisme tendanciel des médecins aliénistes, par le darwinisme social, dérivation politique d 'une théorie scientifique et cristallisation des catégories dépensée d 'une bourgeoisie inquiète devant les «irritantes questions sociales» évoquées par A. Binet, et auxquelles de nombreux acteurs sociaux et politiques souhaiteraient porter «remède».
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Tomczyk, Martyna, Armelle Jacquet-Andrieu, Marie-France Mamzer, Sadek Beloucif, and Marcel-Louis Viallard. "Sédation en médecine palliative : pour une nécessaire clarification terminologique et conceptuelle." Médecine Palliative : Soins de Support - Accompagnement - Éthique 15, no. 4 (September 2016): 175–92. http://dx.doi.org/10.1016/j.medpal.2016.02.007.

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Percivalle, Alain. "Pour l’enseignement d’une éthique médicale." Revue française d'éthique appliquée N° 15, no. 1 (May 24, 2024): 80–97. http://dx.doi.org/10.3917/rfeap.015.0081.

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Abstract:
Si la pertinence et la nécessité d’enseigner l’éthique médicale sont reconnues tant sur le plan sociétal qu’à l’université, sa mise en œuvre et son interprétation varient et il existe même une confusion concernant les terminologies et les concepts utilisés. Tous s’entendent pour affirmer que l’éthique médicale doit éviter tout moralisme et favoriser la réflexion et la délibération. Il est cependant important de définir les compétences « relationnelles » attendues chez les médecins et leur rapport avec l’éthique. Dans ce sens les émotions et les sentiments peuvent être considérés comme des ressources nécessaires pour développer la sensibilité éthique des étudiants et on peut penser ici tout particulièrement à la compassion. Cette place donnée à l’affect en éthique telle que Ricœur l’a souligné, comme la question de la finalité en philosophie morale, permet de convoquer le paradigme de l’éthique des vertus comme cadre suffisamment adéquat en vue de définir des objectifs pédagogiques dans ce domaine. La vertu est ici définie comme un habitus opératif acquis par répétition d’actes de qualité. Les vertus de justice, de prudence, de patience comme celle du courage sont nécessaires à l’exercice de la médecine dans une acception qui ne s’arrête pas au traitement de la pathologie et à la réduction du malade à l’organe. Sous un certain rapport, l’éthique des vertus rejoint l’approche par compétences, où la compétence est définie comme une capacité d’agir adéquatement en situation, l’éthique étant ici le critère de cette adéquation. Si les dispositifs pédagogiques pour enseigner l’éthique sont variés et somme toute complémentaires, dans la perspective d’un enseignement à « être éthique en situation » la simulation en santé apparaît comme un moyen pour les étudiants d’investiguer tout à la fois leurs émotions et leurs sentiments, de développer un esprit critique sur des situations complexes et de faire l’apprentissage d’un travail de pensée collective. Le débriefing joue ici un rôle essentiel, encourageant la réflexivité et une recherche de consensus au-delà des divergences cognitives. La posture de l’enseignant dans ce cadre d’apprentissage très interactif est également cruciale, en mettant l’accent sur l’égalité et l’émancipation.
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Morana, Hilda C. P. "Subtypes of Antisocial Personality Disorder and the Implications for Forensic Research: Issues in Personality Disorders Assessment." Rorschachiana 23, no. 1 (January 1999): 90–117. http://dx.doi.org/10.1027/1192-5604.23.1.90.

Full text
Abstract:
Nous analysons 22 cas diagnostiqués comme Trouble de la Personnalité Antisociale poursuivis en justice et bénéficiaires de l’aide légale. Le diagnostic repose sur les critères stricts de la CIM-10 (F60.2) et du DSM-IV (301.7). Tous ces cas sont issus de l’expertise réalisée à l’Institut de Médecine Sociale et de Criminologie de l’état de Sao Paulo (IMESC) qui visait à évaluer leur état mental. L’expertise comprenait une évaluation psychiatrique et le test du Rorschach. D’autres tests psychologiques, des évaluations neurologiques et autres examens complémentaires ont été effectués à la demande. Les procédures judiciaires concernaient toutes des actes criminels. Toutefois on trouve des différences importantes quant à la potentialité criminelle. Ce fait, ainsi que d’autres éléments issus des dossiers, nous a persuadé que non seulement l’on se trouvait devant des potentialités criminelles distinctes mais qu’en outre que d’importantes différences dans la personnalité étaient en jeu, qui ne peuvent être appréhendées par les critères diagnostiques couramment utilisés pour le Trouble de la Personnalité Antisociale. En corrélant ces item avec la dynamique psychique donnée par le Rorschach et inférée des anamnèses des sujets, nous avons trouvé dans notre échantillon quatre sous-types bien distincts de Trouble de la Personnalité Antisociale, pour lesquels nous avons gardé la terminologie psychiatrique classique, et qui ne peuvent être considérés simplement comme des variantes individuelles. Cela ne veut pas dire, compte tenu des limitations de notre échantillon, qu’il ne pourrait exister d’autres sous-type. Dans le groupe diagnostiqué comme Trouble de la Personnalité Antisociale, nous avons trouvé les quatre sous-types suivants: instabilité (8 cas), caractère pervers (7 cas), explosivité (5 cas) et asthénie (2 cas). Bien que nous n’ayons pas procédé à des analyses statistiques, cette étude qualitative représente le point de départ d’une ligne d’investigation que les auteurs ont l’intention de poursuivre concernant le problème des troubles spécifiques de la personnalité. L’analyse porte sur les données démographiques, l’histoire personnelle, les antécédents, les épisodes cliniques, l’histoire des faits incriminés et l’âge auquel ils ont été commis, ainsi que sur les item diagnostiques. Les résultats du Rorschach sont présentés dans des tableaux et interprétés en référence à l’échantillon composé de 10 sujets non consultants qu’utilise Silveira (23) pour la standardisation du Rorschach à la population brésilienne. Dans la conclusion générale, nous mettons l’accent sur les aspects de la dynamique complexe du psychisme qui ont trait à la répercussion. L’un de ces aspects concerne des modalités particulières de la perception et de la pensée. L’autre aspect est lié à l’assertion donnée dans la définition du Trouble de la Personnalité Antisociale à la CIM-10: “incapacité de se conformer aux normes et règles sociales et aux obligations sociales.” En ce qui concerne le type d’infraction, nous avons observé que (1)dans le type explosif, ce sont les atteintes physiques et l’alcoolisation qui prédominent; (2)dans le caractère pervers, on trouve surtout des homicides (y compris attaque à main armée), utilisation de cannabis et absence de troubles épileptiformes, ainsi que des traumatismes accidentels; (3)on trouve une plus grande variété d’actes criminels ainsi que des addictions à la cocaïne dans le type instable. Les troubles associés à l’épilepsie prédominent dans les types antisocial et instable. Les auteurs estiment que les résultats de la présente étude intéressent les procédures épidémiologiques, d’expertise et de traitement, notamment en ce qui concerne les conséquences judiciaires et les possibilités de réhabilitation psychosociale des personnes qui présentent un Trouble de la Personnalité Antisociale.
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Le Bras, Anatole. "Portrait de groupe." L'Histoire N° 503, no. 1 (January 1, 2023): 66–71. http://dx.doi.org/10.3917/histo.503.0066.

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Abstract:
Aliéné Du latin alienare , « rendre autre, étranger ». Le terme se substitue, au xix e siècle, à celui d’« insensé ». Dans le droit fil de la philosophie des Lumières, il désigne l’altérité qui s’insinue chez le sujet sans annihiler complètement sa raison. Dès lors, la folie n’est plus un mal incurable. Le terme « aliéniste » est remplacé au, xx e siècle, par celui de « psychiatre » pour désigner le médecin des maladies mentales. Asile En 1838, sous l’impulsion de l’aliéniste Esquirol, une loi oblige chaque département à se doter d’ « un établissement public spécialement destiné à recevoir et à soigner les aliénés » . Cet hôpital spécial est appelé « asile » (évoquant un lieu de charité) jusqu’à ce que la terminologie administrative remplace, en 1937, ce terme par celui d’« hôpital psychiatrique ».
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Hayden, Deborah. "The lexicon of pulmonary ailment in some medieval Irish medical texts." Zeitschrift für celtische Philologie 66, no. 1 (December 1, 2019): 105–30. http://dx.doi.org/10.1515/zcph-2019-0005.

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Abstract:
Résumé Le terme loch tuile ne se trouve pas dans les sources lexicographiques qui ont été publiées jusqu’à présent pour les langues gaéliques. Il est utilisé, cependant, pour faire référence à la maladie pulmonaire dans des manuscrits médicaux irlandais copiés pendant les quinzième et seizième siècles, dans un cas comme glose interlinéaire sur le texte juridique en vieil-irlandais connu sous le nom de Bretha Déin Chécht (‘Les jugements [du médecin mythologique] Dían Cécht’). Il s’agit dans cet article d’examiner quelques attestations de ce terme et de ses dérivés, en faisant appel à textes qui se trouvent dans quatre manuscrits différents. La discussion vise alors à élucider quelques aspects de la terminologie médicale gaélique pendant l’époque médiévale, et aussi à faire des observations préliminaires sur les liens qui auraient existé entre les manuscrits en question.
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Graveleau, Sara, Geoffrey Williams, and Alina Villalva. "Les arbres du Brésil dans deux dictionnaires historiques : Le Dictionnaire universel de Basnage et le Vocabulario de Bluteau." Tradterm 40 (December 22, 2021): 95–128. http://dx.doi.org/10.11606/issn.2317-9511.v40p95-128.

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Abstract:
Publié en 1701, la version du Dictionnaire universel de Furetière révisée par l’émigré protestant Henri Basnage de Beauval contient de nombreuses mentions de la flore et de la faune brésiliennes, ce qui peut parait surprenant dans un dictionnaire de français. L’explication de cette singularité lexicographique se trouve dans le fait que Basnage a fait appel à un expert en histoire naturelle, le Dr. Régis, médecin huguenot réfugié à Amsterdam. Régis a créé des entrées très détaillées à partir de nombreuses sources en botanique et de récits des voyageurs de l’époque. L’approche qu’il propose dans ces entrées est véritablement encyclopédique. Dans ce texte, nous analysons les entrées concernant des arbres du Brésil afin de retrouver l’ensemble des textes sources employés par Régis. Nous comparons les entrées du Dictionnaire universel avec l’autre grand dictionnaire encyclopédique de l’époque, le Vocabulario portugais compilé par Bluteau (1712-1728). Les sources utilisées par Bluteau nous permettent quant à elles de mieux comprendre les descriptions de la flore brésilienne à une époque où la classification des plantes restait à faire et où la terminologie botanique était encore balbutiante.
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Bălă, Laurențiu. "La Métaphore de l’Alcool dans l’argot roumain." Acta Universitatis Lodziensis. Folia Litteraria Romanica, no. 14 (December 30, 2019): 33–45. http://dx.doi.org/10.18778/1505-9065.14.04.

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Abstract:
Notre article vise à traiter le champ lexical de l’alcool, extrêmement riche dans tout argot, donc dans l’argot roumain aussi. Sans prétendre à être exhaustif, chose pratiquement impossible dans les conditions d’une véritable pléthore de terminologies véhiculées dans ce domaine, nous nous arrêterions à une série de métaphores désignant l’alcool, les plus connues mais surtout les plus surprenantes. Ces métaphores et constructions métaphoriques prouvent que l’inventivité des utilisateurs d’argot est inépuisable. Ainsi, grâce à l’idée profondément enracinée dans la pensée populaire des Roumains, que l’alcool est un médicament, ce que nous avons appelé la « métaphore médicale » est très bien représentée dans l’argot roumain (par exemple, doctorie (de docteur ‘docteur’, ‘médecin’ + suf. -ie) signifie ‘boisson spiritueuse’). Religieux, surtout au niveau déclaratif, les Roumains utilisent également le vocabulaire religieux pour employer des mots auxquels ils attribuent… une signification alcoolique : agheasmă (< sl. agiazma ou ngr. αγιασμα – agiásma) ‘eau bénite’ signifie également ‘boisson spiritueuse’ et fait partie de la « métaphore religieuse ».
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HERSART DE LA VILLEMARQUE, A., J. BERTIN, C. JOUAULT, S. DEPLACE, and C. PERDRIX. "PRISE EN CHARGE DES VULVODYNIES EN SOINS PRIMAIRES. UNE AIDE AU DIAGNOSTIC." EXERCER 35, no. 208 (December 1, 2024): 466–72. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2024.208.466.

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Abstract:
Contexte. Selon les études, entre 3,1 et 15 % des femmes souffrent de vulvodynie. Reconnue comme première cause de dyspareunie chez les femmes états-uniennes non ménopausées, cette pathologie est méconnue du monde médical et à ce jour sans traitement bénéficiant d’un niveau de preuve fort. Objectif. L’objectif de ce travail était de formuler des recommandations consensuelles d’aide au diagnostic et au traitement des vulvodynies, à l’intention des médecins généralistes, à partir d’une méthode Delphi. Méthodes. Ce travail a été construit en deux parties : une revue narrative de la littérature, puis une recherche de consensus suivant la méthode Delphi. L’outil soumis aux experts a été créé à partir d’une revue systématique de la littérature internationale publiée en février 2016, complétée par une recherche bibliographique. La méthode Delphi a ensuite été appliquée avec deux tours de questionnaires et une participation de 28 experts. Une mise à jour bibliographique a été réalisée jusqu’en janvier 2023. Résultats. Sur les 52 propositions soumises initialement, 15 n’ont pas été jugées consensuelles. Elles ont été inclues et reformulées dans un second questionnaire de 26 propositions, qui a abouti à l’obtention d’un avis convergent global et à la finalisation de la fiche. Les principales propositions consensuelles ont permis de clarifier la définition, le diagnostic et les thérapeutiques médicamenteuses et non médicamenteuses. Conclusion. Les principaux biais de notre travail, inhérents à la méthode utilisée, ont été compensés par l’implication et la motivation des experts sollicités et l’esprit critique des analystes tout au long de la procédure. Les notions ayant prêté à discussion concernaient surtout la terminologie, les antécédents et facteurs psychosociaux à rechercher, la démarche de l’examen clinique, l’intérêt des examens complémentaires, les indications des différents traitements et la place de la vestibulectomie. L’outil créé est un support utilisable et adaptable en consultation de soins premiers, autour d’une prise en soins centrée sur la patiente (approche centrée, globalité, complexité). Une évaluation de l’impact de cette fiche sur les pratiques des médecins généralistes dans la prise en charge des inconforts vulvaires chroniques reste à conduire.
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Balliu, Christian. "Le nouveau langage de la médecine : une affaire de socioterminologie." Recherches terminologiques (cédérom) 50, no. 4 (February 4, 2009). http://dx.doi.org/10.7202/019909ar.

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Abstract:
Résumé La médecine est une discipline plurimillénaire profondément ancrée dans l’histoire. Il n’est donc pas étonnant que le langage de la médecine — et par conséquent sa terminologie — ait toujours été influencé par ses utilisateurs. Le traducteur médical doit prendre conscience que le sociolecte médical, loin de reposer sur une terminologie rigoureuse et objective, est soumis à des variations tant synchroniques que diachroniques.
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Fortin, Sylvie. "Maladie." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.100.

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Abstract:
Dans les milieux biomédicaux contemporains, la maladie existe à la suite d'un diagnostic. Certains la présentent comme l’envers de la santé (physique), d’autres diront qu’elle prend appui sur des mondes biologiques, certes, mais aussi juridiques, politiques, technologiques (Lock et Nguyen 2010; Fassin 2000). La « bonne santé » donne lieu à des connotations positives alors que la maladie renvoie davantage au désordre, voire même à l’irresponsabilité individuelle, à l’échec (Massé 2007). Sans diagnostic, le mal-être existe, mais est relégué à un espace trouble, reconnu par certains, ignoré par d’autres. Les maux qui ne trouvent pas d’ancrage (cellule, organe, système) sont dits « fonctionnels » et souvent délaissés. Maux, maladie ou malades? Pour Canguilhem (2011 [1966]), la maladie prend comme point de départ l’expérience individuelle. Le Conflit des médecines (LeBlanc 2002) ne surgit-il pas lorsque la maladie est détachée du malade et que la médecine s’éloigne des sujets souffrants pour investir les possibles de la maladie? Marc Augé (1986) insiste sur la dimension sociale de la maladie; l’expérience de la maladie est à la fois intime, individuelle et sociale. Elle est l’ « exemple concret de liaison entre perception individuelle et symbolique sociale » (p.82). La maladie est aussi ancrée dans un corps souffrant, par-delà la douleur (Marin et Zaccaï-Reyner 2013). C’est dire que, selon le système médical dans lequel s’inscrit le malade, les mises en scène de la maladie, son dévoilement, son expérience, sa guérison prendront un éventail de sens et de formes. Pour sa part, François Laplantine (1986) distingue deux types de médecines, celles centrées sur le malade (et qui embrassent des systèmes de représentation commandés par un modèle relationnel pensé à la fois en termes physiologiques, psychologiques, cosmologiques et sociaux) et celles sur la maladie (où la maladie est pensée en elle-même et où les dimensions physiques prédominent). Ce faisant, la maladie exprimera tantôt une rupture, un déséquilibre avec son environnement (modèle relationnel), tantôt une atteinte d’un système, d’un locus avant tout corporel, physique (modèle ontologique). Les anthropologues anglo-saxons, dont Arthur Kleinman (et al. 1978) et Byron Good (1994) proposent une déclinaison de la maladie qui fait place à une triple terminologie. En tant que « disease », elle devient un phénomène (dysfonction) biologique (organes et systèmes) observé et objectivé, emblématique du modèle biomédical. Quant aux dimensions relationnelles et sociales de la maladie, elles se déclinent selon les vocables « illness » et « sickness ». Le premier renvoie plus spécifiquement à l’expérience (subjective) humaine de la maladie, la maladie comme vécue, alors que le second inscrit la maladie comme phénomène social. Or, comme le rappelle Young (1982), l’expérience de la maladie (illness) peut exister sans qu’une dysfonction ait été identifiée (disease). Dans cette perspective, la notion de maladie évoque aussi celle d'un état socialement dévalué par-delà toute maladie (disease) reconnue. Quant à la notion de sickness, elle se veut englobante et comprend à la fois dysfonction et subjectivité. Cette sickness est un phénomène social où le rôle du malade et les attentes de la société à son égard, envers la maladie et le thérapeutique de manière générale, sont construits selon un ensemble de paramètres (Benoist 1983). Fassin (1996) insiste particulièrement sur les relations de pouvoir inscrites au cœur même de la maladie. La maladie exprime ces rapports de pouvoir dans le corps, à travers les différences entre les individus face aux risques de l’existence et aux possibilités de se soigner… qui sont autant de façons d’inscrire physiquement l’ordre social. Et, de fait, dans les sociétés contemporaines, les taux de morbidité et de mortalité sont les plus élevés dans les échelons les moins favorisés de la population. Dans le contexte d’une médecine du Nord, de l’Ouest, occidentale ou biomédecine (les appellations sont nombreuses), la maladie est un espace névralgique où se concentrent le soin, le curatif, le palliatif, l’aigu, la chronicité. Elle est aussi souffrance, relation d’aide, technique, savoirs, incertitudes, morale, éthique. Elle est contrôle, abandon, espoir, chute et rechute. La maladie traverse les âges, les contrées – certaines plus propices que d’autres à sa genèse et à son maintien. Puis, par-delà toute tentative de synthèse, Godelier (2011) rappelle que, quel que soit le milieu et le système d’interprétation interpelé, les représentations et interprétations de la maladie se déclinent selon quatre paramètres et sur les liens entre ces paramètres : identifier la nature de la maladie à partir de symptômes au moyen d’une taxinomie, repérer la cause de cette altération d’état, identifier « l’agent » ayant participé à ce changement, cerner pourquoi cette maladie survient (pourquoi moi?). Corin, Uchôa et Bibeau (1992) écriront pour leur part que, malgré la diversité des contextes, la maladie se laisse cerner par un ensemble de variables sémiologiques, interprétatives et d’ordre pragmatique. À partir d’un registre de signes, elle est créatrice de sens qui donne lieu à un éventail de pratiques, insécables de l’histoire personnelle et du contexte social. Il n’en reste pas moins que la maladie se transforme. La biomédecine nord-américaine foisonne, les recherches se multiplient, les possibles tout autant. Cette médecine culmine en urgence, la maladie dans sa forme aiguë est souvent matée. « On ne meurt plus », affirment de nombreux cliniciens (Fortin et Maynard 2012). La maladie chronique fleurie (truffée d’épisodes aigus), elle est très souvent multiple (Nichter 2016). La notion de maladie est en plein mouvement et pose de nouveaux défis pour sa prise en charge (l’organisation du travail) au sein des familles, au sein des milieux de soins, pour le malade. Ce travail est constitué d’actes de soins et de toutes autres tâches associées à l’accompagnement du malade et les relations sociales qui en découlent. Diagnostic et pronostic ne sont qu’un point de départ pour de nouvelles trajectoires (Strauss 1992) où la vie et la maladie s’entrelacent. La chronologie de la maladie s’est modifiée au fil des découvertes scientifiques et celles-ci foisonnent. Dans ses travaux sur cette phase liminale de soins, Isabelle Baszanger (2012 : 871) réitère la question « When is the battle over? ». Cette interrogation est devenue centrale alors que la maladie s’inscrit dans une temporalité mixte d’urgences et de quotidienneté, de « viscosité et d’intensité différentes » (Meyers 2017 : 75). Les possibles sont au premier plan et l’espoir s’en trouve nourri d’une chance, même infime, de vaincre la maladie. Espoir d’une vie à venir, quelle que soit cette vie (Mattingly 2010). La chronicité de maladies hier mortelles transforme le projet thérapeutique et la vie de celles et ceux qui la côtoient. Les mots de Canguilhem (2011 [1966] : 122) n’en résonnent que davantage : « La maladie n’est pas une variation sur la dimension de la santé; elle est une nouvelle dimension de la vie ».
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Sanchez, Adeline. "La création lexicale en médecine médiévale : l’exemple des traductions françaises du Lilium medicinae de Bernard de Gordon, conservées dans les manuscrits français 1288, 1327 et 19989 de la Bibliothèque nationale de France." ELAD-SILDA, no. 1 (May 1, 2018). http://dx.doi.org/10.35562/elad-silda.261.

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Abstract:
Nous nous intéressons aux procédés de traduction et à la création lexicale dans les traductions françaises du XVe siècle d’une œuvre de médecine, le Lilium medicinae de Bernard de Gordon. Dans ces témoins se pose la question de la formation d’un lexique de spécialité, qui s’inscrit déjà dans une forme d’héritage, du fait de traductions médicales antérieures. La question de la rareté de certains termes (le cas de rempe), mais aussi la nécessité de recourir à une pluralité terminologique, développant parfois à l’outrance les cas de synonymie (le cas des causes) sont donc au cœur de nos réflexions, d’autant plus que cette médecine en français est contrainte par la tradition scolastique qui privilégie la diffusion du savoir en latin et pose la question du caractère parfois éphémère de ses créations lexicales françaises.
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Papadaniel, Yannis. "Mort." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.020.

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Abstract:
L’être humain, pense-t-on communément, est le seul être vivant à avoir conscience de sa finitude. D’un point de vue anthropologique, il serait plus juste de s’en tenir au fait que les humains sont les seuls êtres vivants à pouvoir envisager la mort et l’anticiper même lorsque cette dernière ne les menace pas. Cette conscience induit un chassé-croisé entre résignation face à l’inéluctable et une aspiration à une vie éternelle après la mort. La mort semble ainsi marquée du sceau d’un paradoxe que les êtres humains ne peuvent résoudre autrement que par le recours à l’imaginaire. L’anthropologie, avec le concours de l’histoire, s’est longtemps attachée à décrire la variété des mythes et de rites autour de la mort. Elle a ainsi démontré le peu d’accord existant d’une époque à une autre, ainsi qu’entre sociétés, ou entre religions. Les territoires de « la vie après la mort » sont situés dans des mondes souterrains, dans les cieux ou encore sur terre selon la façon dont les défunts décédés et les survivants les ont accompagnés. L’inhumation, l’incinération et la conservation des ossements sont tantôt prescrites, tantôt proscrites. Les conceptions de la bonne « mort » oscillent, quant à elles, entre différentes figures. Parmi d’autres : la figure antique du soldat, tel Achille, mort au combat (voir Vernant 1989), celle du mourant contemporain acceptant son sort dans la dignité (Castra 2003), ou celle d’un individu, qui après le jugement divin, peut jouir d’une vie éternelle et sereine (Le Goff 1981). A ces idéaux correspondent également des figures négatives dont dépend le statut du défunt condamné à l’errance, ou à la damnation de sa descendance. Les anthropologues ne se sont toutefois pas contentés de compiler les différentes pratiques autour du mourir. Très tôt – le texte fondateur de Robert Hertz (1905) en constitue le modèle – ils se sont donnés pour tâche de saisir les composantes élémentaires des ritualités funéraires : traitement du cadavre ; transfiguration du corps puis de l’esprit dirigé dans un « ailleurs » après une suite d’épreuves ; temporalité du deuil étalée sur des cycles mensuels voire annuels. Des désaccords subsistent sur le statut de cette ritualité – quant à savoir notamment si elle constitue le point d’origine des religions. Ces réflexions ont cependant en commun de désigner les rites funéraires comme objet principal de l’anthropologie de la mort. Dans le prolongement, les travaux centrés sur la société contemporaine soulignent la dilution de la ritualité, recourant à une terminologie plutôt radicale : l’absence de ritualité commune en Occident serait la marque d’un déni ou, à tout le moins, d’une mise à distance croissante de la mort (pour Thomas 1975 ou pour Ariès 1975 dans une veine plus historique) et aboutirait à un rapport à la mort aseptisé. Ces propositions ont été nuancées par des auteurs comme Déchaux (2000), en France, ou Kellehear (1984), Walter (1994) et Seale (1998) et) au Royaume-Uni. Ces auteurs démontrent comment, avec la sécularisation progressive de la société, le rapport contemporain à la mort est placé sous le sceau de l’intime : les individus sont libres de se façonner en privé la « fiction » de leur choix avec l’inconvénient majeur qu’ils ne trouvent que peu l’occasion de la partager et de la faire reconnaître socialement. Ces approches ont le mérite de rompre avec une association par trop mécanique entre mort et tabou : l’absence d’un code commun en matière de mort ne signifie pas que ces codes n’existent pas à une échelle individuelle et intime où chacun mélange à sa guise les références et les traditions religieuses (c’est ainsi que dans les sociétés occidentales des agences rituelles voient le jour, offrant contre rétribution des « rites sur mesure »). Au-delà de leur nuance respective, ces travaux reposent sur une définition particulière de l’objet « mort ». Cette définition induit que toutes les activités qui se déploient à son entour, ne semblent compréhensibles qu’au prisme d’un schéma "réactif", impliquant une neutralisation : la mort crée un trouble et la vocation de toute symbolique serait d’y répondre et d’en diminuer la portée. Dans sa thèse de doctorat qu’il a mené au Ghana, Jack Goody (1962) a étudié la posture ambivalente dans laquelle se retrouvent les héritiers immédiatement après le décès de leurs aïeux : à la fois endeuillés mais objectivement récompensés par le gain de richesses matérielles et symboliques. Adaptant à l’anthropologie des préceptes issus de la psychanalyse, Goody illustre de façon plus générale comment le rapport des humains avec la mort est partagé entre chagrin et intérêt. Cet intérêt n’est pas nécessairement soumis à la logique réactive du deuil mais s’inscrit dans un registre particulier qui oppose – parfois – ceux qui partent et ceux qui restent. Par extension, on peut tirer de la réflexion de Goody la conclusion suivante. Au gré des situations, le rapport à la mort peut revêtir des formes singulières : l’indifférence, lorsque l’on apprend qu’un quidam que l’on ne connaît pas est décédé ; l’affliction la plus durable lors de la perte d’un être cher ; ou encore l’intérêt attisé par le gain que l’on peut en tirer (le mobile d’un crime, en définitive). La finitude humaine est donc envisagée différemment selon le type de liens qui unit le défunt à ceux qui lui survivent. Il existe dans un même espace social une pluralité de rapports possibles à la mort, dont la neutralisation est une occurrence parmi d’autres. Pour des raisons morales, ces rapports se jouent souvent dans une certaine oblicité – à travers les non-dits, les silences ou les euphémismes – bien illustrée dès 1968 par Glaser et Strauss. L’anthropologie contemporaine s’intéresse désormais aux possibilités et orientations de la médecine moderne qui appréhende la mort comme la maladie dont il faut guérir : atténuation de la souffrance morale et physique lors d’une maladie incurable ; assistance au suicide ; éradication du vieillissement et perfectibilité du corps humain dans le passage à une société « post-mortelle » (Lafontaine 2008). La mort n’est plus appréhendée au prisme de sa seule dimension funéraire, mais à travers les tentatives bien réelles dans lesquelles se lancent les humains pour contrer son inéluctabilité. A ces travaux s’ajoutent des analyses (Esquerre 2011) sur la façon dont les restes humains se retrouvent au centre des préoccupations collectives : régulation étatique face à l’intensification de la crémation ; restitution de restes humains autochtones à leur patrie d’origine ; régime d’humanité variable selon qu’il s’agit d’abattre un animal de compagnie ou un animal « comestible » (Remy 2009) ; scandales autour de charniers – que l’on croyait révolus en Europe – et des crimes contre l’humanité dont ils sont la preuve (Claverie 2011). Autant de phénomènes dont l’analyse démontre que, loin d’être refoulée, la problématique de la mort se déploie dans des processus sociaux contemporains et pluriels.
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