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Journal articles on the topic 'Médiation – États-Unis – États'

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Rioux, Jean-Sébastien, and Sandra Pabón Murcia. "L’implication des tierces parties durant les crises internationales en Amérique latine de 1947 à 1994." Études internationales 33, no. 1 (April 12, 2005): 5–29. http://dx.doi.org/10.7202/704380ar.

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Abstract:
De longue date, la soi-disant zone d'influence créée par les États-Unisd'Amérique en Occident est prise pour acquis ; on croit que l'hégémonie des États-Unis n'y rencontre aucune barrière. Conséquemment, des organisations internationales telles les Nations Unies (ONU) et des organisations régionales telle l'Organisation des États américains (OÉA) ne devraient posséder aucun véritable pouvoir dans la médiation de conflits dans cette sphère d'influence états-unienne. Cependant, dans cette étude, nous avons observé que, durant la seconde moitié du vingtième siècle, les crises internationales d'Amérique latine avaient pour caractéristique une plus grande incidence d'activités d'organisations globales qu'on aurait pu croire quoique les interventions onusiennes ne furent pas aussi efficaces à apaiser les conflits que les interventions de I'OÉA et des États-Unis. Comment pouvons-nous expliquer cette activité importante d'organisations globales à la lumière de cette supposée hégémonie des États-Unis sur le territoire et quels facteurs peuvent affecter l'efficacité de sa médiation en Amérique latine ? Quelles leçons pouvons-nous tirer de ces découvertes qui pourraient être appliquées à d'autres aires de conflit à moyen ou long terme ? Les résultats de cette étude pourraient servir de leçon pour d'autres organisations régionales et appuient l'idée d'une « division des tâches » entre l'ONU et les organisations de sécurité régionales pour la gestion des conflits.
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Helly, Denise. "Immigrants aux États-Unis, au Canada et au Québec. Un schéma." I. Nationalité et citoyenneté à l’épreuve du pluriculturalisme, no. 21 (November 17, 2015): 35–42. http://dx.doi.org/10.7202/1034075ar.

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Abstract:
Il existe dans les sociétés modernes deux logiques pour rendre compte de la place et de l’identité des individus, et subséquemment pour penser l’intégration des immigrants. L’une, ethnique, érige en critère de similitude et de rassemblement une culture dite communautaire et historique et, ainsi, distingue, au sein de la population nationale, des sous-ensembles de personnes; l’autre, étatique, définit chaque résident du territoire national selon un critère juridique, soit les droits du citoyen. La première logique tente d’évacuer toute médiation de l’État dans la constitution de l’entité collective, sécrétant la notion de groupes culturels, tandis que la seconde impose cette médiation, créant la catégorie « étrangers ».L’apparition et la force de ces deux logiques relèvent de l’histoire de la formation des États démocratiques, et cette différente historique engendre deux acceptions de la culture dans ses rapports avec le politique. Nous tentons de définir ces acceptions et les voyons à l’oeuvre dans les sociétés américaine et québécoise.
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Héritier, Stéphane, and Caroline Moumaneix. "Protection et gestion dans les parcs nationaux canadiens et états-uniens." Cahiers de géographie du Québec 51, no. 143 (October 12, 2007): 155–76. http://dx.doi.org/10.7202/016598ar.

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Abstract:
Résumé Depuis 1872 (création du parc national de Yellowstone) pour les États-Unis et 1885 (création du parc national de Banff) pour le Canada, les deux grands États d’Amérique du Nord ont, chacun, développé un système de parcs nationaux comptant aujourd’hui 100 parcs et accueillant près de 100 millions de visiteurs par an. Ils participent ainsi d’un vaste système touristique – organisé à différentes échelles – qui s’appuie sur la valorisation de la nature, des phénomènes géologiques et géomorphologiques, mais également sur la médiation des rapports entre les sociétés passées et cette nature (à travers des pratiques d’interprétation). Territoires convoités par des activités concurrentes, les parcs sont, depuis l’origine, un sujet d’enjeux particulièrement intenses entre différentes composantes de la société qui, chacune, revendiquent des usages spécifiques. Ces tensions contribuent à produire, à imposer ou à légitimer, selon les cas, des réglementations destinées à réguler les pratiques et les usages de l’espace dans les parcs (stratégies spatiales, stratégies de gestion ou de contrôle des flux, etc.)
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Hanrahan, Mairéad. "Le cru et les cuisses : écrire à l’adresse de l’Amérique." Études françaises 51, no. 1 (February 9, 2015): 29–42. http://dx.doi.org/10.7202/1028518ar.

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Abstract:
Cet article a pour objet d’étude les deux textes que Genet a écrits lors de la Convention nationale démocrate de 1968, « Les membres de l’Assemblée » et « Un salut aux cent mille étoiles ». Il est axé sur la question de l’adresse : non seulement Genet s’adresse-t-il dans ces textes explicitement, au vocatif, aux Américains, mais c’est l’occasion insolite de pouvoir s’adresser directement à eux qui l’a convaincu d’aller aux États-Unis. Quelque directe que semble être l’adresse, ce sont des textes écrits, adressés à un lecteur et non à un auditeur, qui en plus étaient destinés dès l’origine à la traduction. Il s’agit alors d’une adresse « directe » aux Américains marquée doublement par l’indirection, par la médiation. Le rapport hostile de Genet à son nouvel ennemi de choix est caractérisé par une crudité manifeste qui atteint une violence extrême dans le deuxième article. En explorant le soin avec lequel Genet cible son destinataire américain, l’article dégage la façon dont son écriture, avec toute l’adresse qui lui est particulière, combine cette crudité avec une grande subtilité.
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Lepage, Mahigan. "Michon et Bergounioux lecteurs de Faulkner." Études françaises 43, no. 1 (August 22, 2007): 123–38. http://dx.doi.org/10.7202/016301ar.

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Abstract:
Pierre Michon et Pierre Bergounioux, écrivains français qu’on a souvent comparés, n’ont de cesse de dire leur admiration pour William Faulkner. À la faveur de la parution, en 2002, de « L’éléphant », un court texte de Michon intégré au recueil Corps du roi, et de Jusqu’à Faulkner, un essai biographique de Bergounioux, la présente étude entend analyser la référence à l’écrivain américain chez les deux Français. Prenant acte de l’insistance de Michon et de Bergounioux sur l’ancrage de Faulkner dans le sud des États-Unis, nous nous proposons d’envisager cette référence comme un cas particulier de transfert culturel, afin de saisir le triple processus de sélection, de médiation et de réception du modèle (biographique et littéraire) étranger. Ainsi, en tant que Limousins, Michon et Bergounioux choisissent Faulkner parce que son origine géographique et culturelle — le Sud — leur apparaît d’emblée familière (sélection). Or, entre le Sud du premier xxe siècle et la France d’aujourd’hui, les textes littéraires faulknériens ont subi des transformations significatives : les traducteurs ont eu tendance à se focaliser sur le tragique (au détriment du comique) et surtout à gommer le vernaculaire et les dialectes du Sud au profit d’une prose française policée et intellectualisée (médiation). Du coup, le Faulkner que Michon et Bergounioux reçoivent, c’est un paysan parlant comme un Parisien, et l’écrivain américain devient le modèle par excellence des deux Limousins (réception). À en croire Michon et Bergounioux, ce n’est rien de moins qu’une parole d’écrivain qui leur a ainsi été donnée, celle-là même qui, en retour, leur permet maintenant d’écrire sur Faulkner.
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Peynaud, Caroline. "Définition et explication dans la presse généraliste aux États-Unis : de la médiation du discours expert à la création d’un intertexte médiatique." ASp, no. 65 (March 1, 2014): 21–43. http://dx.doi.org/10.4000/asp.4186.

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Guibault, Jean. "Les moyens alternatifs de résolution de conflits en matière civile et commerciale dans une perspective de réforme du Code de procédure civile." Les Cahiers de droit 40, no. 1 (April 12, 2005): 75–90. http://dx.doi.org/10.7202/043531ar.

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Abstract:
Dans un contexte social où l'accessibilité à la justice est de plus en plus remise en question, les solutions alternatives aux litiges dans les affaires civiles et commerciales sont proposées comme approches pour remédier aux problèmes. Les résultats obtenus dans de nombreux dossiers et l'expérience favorable vécue par de nombreuses entreprises, tant aux États-Unis qu'au Canada, sont des plus encourageants. À la lumière de ces expériences et consciente du coût et des délais supportés par tout justiciable qui soumet son différend à la Cour supérieure, cette dernière, de concert avec le Barreau du Québec et le ministère de la Justice, a conduit un projet pilote dans le district de Montréal de janvier 1995 à mai 1998. C'est ainsi qu'une offre de médiation a été transmise aux avocats représentant les parties dans une série de causes de longue durée (trois jours et plus) en matière civile et commerciale. L'intérêt, les résultats favorables et la satisfaction exprimée par la grande majorité des justiciables qui ont accepté de participer au projet ont incité les membres d'un comité tripartite, magistrature, Barreau et ministère de la Justice, à recommander au ministre la mise en place d'un programme permanent pour l'ensemble du Québec. Plusieurs conditions se doivent cependant d'être respectées pour qu'un tel processus produise les résultats escomptés et les solutions alternatives ne doivent pas être considérées comme une panacée des nombreux problèmes rencontrés par les justiciables qui ont recours aux tribunaux.
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Zolberg, Vera L. "La persistance de l’exclusion : les musées d’art et les artistes." Articles, no. 16 (April 19, 2011): 105–22. http://dx.doi.org/10.7202/1002131ar.

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Abstract:
La réalité à laquelle sont confrontés les artistes fait partie de ces controverses du milieu des arts qui bravent les limites de sa propre sphère pour déborder sur la société en général en captant l’attention du public. Bien qu’ils jouent un rôle central dans le processus de la création artistique, les artistes sont loin d’occuper une position de force dans la mise en scène de cette production. Au contraire, ils sont de simples pions dans le jeu des grandes institutions, des marchands, des critiques et des autres joueurs du milieu des arts auxquels ils sont confrontés. Aux États-Unis en particulier, la plupart des artistes, à l’exception des rares « vedettes », sont à la merci de pouvoirs sur lesquels ils n’ont à peu près pas de contrôle. À la lumière d’une réflexion sur les relations entre les musées américains et les artistes vivants — tant dans l’histoire qu’à l’heure actuelle — l’auteure tente de démontrer que les artistes et les musées, y compris ceux qui se spécialisent en art contemporain, communiquent rarement directement. De façon générale, leurs rapports s’établissent à travers la médiation de collectionneurs et de critiques. Les rapports qu’entretiennent les musées avec les communautés d’artistes sont habituellement tendus. Ces tensions peuvent être décelées à travers les positions que prennent les musées envers les artistes contemporains et leurs oeuvres. Elles permettent de comprendre pourquoi les artistes ne forment que rarement des communautés qui durent et elles soulèvent des questions concernant la possibilité d’un art autonome. Finalement, l’émergence de certains types de communautés d’artistes pourrait conduire à la remise en question des paradigmes actuels de l’art.
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Odin, Roger. "Quête des origines et cinéma." Protée 32, no. 1 (July 25, 2005): 59–65. http://dx.doi.org/10.7202/011026ar.

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Abstract:
Résumé Reconnu comme l’une des figures marquantes du cinéma indépendant américain actuel, Alan Berliner est un émigré de troisième génération : son grand-père a quitté Rigrod (Pologne) pour les États-Unis au début du siècle. Avec Nobody’s Business (1996), Berliner tente d’en savoir plus sur l’histoire de sa famille à travers un entretien musclé avec son père Oscar. L’objectif de cet article est de mettre en évidence les différents types de médiations convoqués lors de la quête identitaire dans un contexte d’immigration, ainsi que les médiations utilisées dans la relation film/ spectateurs pour communiquer une telle expérience : Nobody’s Business a su, en effet, trouver une solution pour parler de problèmes intimes en évitant les pièges de la communication de l’intimité.
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Lessard, Claude. "Le débat américain sur la certification des enseignants et le piège d’une politique éducative « evidence-based »." Dossier thématique 32, no. 1 (August 31, 2006): 31–52. http://dx.doi.org/10.7202/013475ar.

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Abstract:
Résumé Une démarche de type « evidence-based policy » implique que soient mis en place des dispositifs de compilation de la recherche existante, un concept et des indicateurs de qualité de la recherche, et une compréhension ou une interprétation de ce que la recherche « dit » ou ne « dit pas ». Dans le cas des sciences humaines et sociales, cela est loin d’être évident, non seulement à cause des médiations idéologiques, mais aussi à cause de la difficulté des consensus sur des indicateurs de qualité de la recherche et du caractère incertain et incomplet du savoir des sciences sociales. Le présent article analyse le vif débat, présentement en cours aux États-Unis, à propos de la certification des enseignants du primaire et du secondaire.
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Batut-Lucas, Katia. "John Hagee, dirigeant du groupe chrétien sioniste américain, Christians United For Israel." Hors-thème 22, no. 2 (March 17, 2016): 229–52. http://dx.doi.org/10.7202/1035693ar.

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Abstract:
Cet article porte sur John Hagee et son parcours pour devenir le dirigeant du groupe chrétien sioniste le plus grand et le plus médiatisé aux États-Unis et dans le monde, le Christians United For Israel (CUFI). Depuis 2006, ce pasteur s’est fait connaître du grand public à cause de son soutien inconditionnel à l’État hébreu. Comment Hagee en est-il arrivé à créer le plus grand groupe de pression chrétien sioniste qui existe de nos jours ? Comment est-il devenu l’ami d’Israël et ce chef de file si remarqué ? De quel milieu évangélique est-il issu ? Cet article veut ainsi comprendre comment un pasteur évangélique est devenu une figure politique médiatisée et comment il a pu rallier bon nombre d’évangéliques à le suivre dans son activisme pro-Israël. Hagee est une figure charismatique. Notre méthodologie se fonde sur des études de terrain, des entretiens et des observations.
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Paquet, Suzanne. "Figures et territoires du désert australien : un paysage duel." Cahiers de géographie du Québec 51, no. 142 (June 6, 2007): 29–46. http://dx.doi.org/10.7202/015895ar.

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Abstract:
Résumé La capacité d’action ou la fonction opératoire de l’art au regard des constructions identitaires issues des représentations territoriales est examinée suivant l’exemple de certaines zones désertiques dont les représentations se constituent à partir d’images plutôt que par les discours et les récits. En effet, si pour les habitants de l’Australie de même que pour ceux des États-Unis le centre désertique de leur pays respectif, dès sa conquête au XIXe siècle, se révèle et s’éprouve comme un site fondamental de leur identité, c’est notamment grâce à des figures iconiques et à leur circulation. Et dans le cas de l’Australie, le désert tient encore aujourd’hui une place centrale dans les conceptions identitaires nationales. Observant les déplacements des images et des artefacts ainsi que ceux des acteurs comme autant de médiations et de translations entraînant des déplacements de sens, l’on peut comprendre de quelle façon s’est élaborée l’image du désert et comment celui-ci est devenu la figure et le site d’une identité double, ou éventuellement partagée, pour les Australiens aborigènes et les Australiens blancs.
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Roberge Van Der Donckt, Julia. "Guerres culturelles et musées d’art aux États-Unis : le cas de Hide/Seek: Difference and Desire in American Portraiture." Muséologies 6, no. 1 (July 31, 2012): 35–53. http://dx.doi.org/10.7202/1011531ar.

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Abstract:
Ne faisant pas exception à la résurgence épisodique de conflits idéologiques émanant des guerres culturelles américaines, les institutions artistiques constituent des arènes de prédilection pour l’émergence de certaines polémiques. Dans son article, Julia Roberge Van Der Donckt transpose la théorie sociologique de l’acteur-réseau aux disciplines de la muséologie et de l’histoire de l’art pour faire l’étude de la controverse qui entoura le retrait de l’oeuvre A Fire in My Belly de l’artiste américain David Wojnarowicz alors qu’elle était présentée à la National Portrait Gallery de Washington (DC), dans le cadre de l’exposition Hide/Seek: Difference and Desire in American Portraiture. À l’aide de cet exemple, l’auteure démontre comment la multiplication des interactions entre certains acteurs peut constituer une chaîne de médiations qui influence et façonne une situation tout en menant parfois à l’émergence, l’escalade, puis l’apaisement d’une polémique. L’analyse de cet épisode rend également compte des conséquences fondamentales que génère la recrudescence des guerres culturelles américaines sur la sphère muséale, dont la vulnérabilité du financement public des musées, la censure, la création réactionnaire de modes de diffusions artistiques alternatifs et la remise en question de l’indépendance des musées quant à la présentation et à l’authenticité de leurs contenus d’exposition.
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Rosenbaum, Stephen A. "UNE PROCÉDURE EN DIFFICULTÉ: A BLUEPRINT FOR RESOLVING “SPECIAL” EDUCATION DISPUTES THROUGH A QUASI-INQUISITORIAL ADMINISTRATIVE PROCESS." Windsor Yearbook of Access to Justice 32, no. 2 (October 1, 2015): 115. http://dx.doi.org/10.22329/wyaj.v32i2.4684.

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Abstract:
In this essay, disability practitioner and scholar Stephen Rosenbaum proposes a radical change in the United States administrative adversarial adjudicatory process for resolution of “special” education disputes between educators and students with disabilities, looking for inspiration in part to Canada and the Commonwealth’s use of an inquisitorial approach. Typically, the dispute is over whether the students—termed “les enfants en difficulté” in French-speaking Canada—are receiving an appropriate array of instructional interventions and services. Adversarial adjudication has had many critics over the years. Asking a judge to weigh the parent (or student’s) preferred options under the U.S. Individuals with Disabilities Education Act [IDEA] against those of the school administration may not be the optimal method for designating a pupil’s educational program—nor a good use of time and money. The author’s blueprint calls for replacing the IDEA due process hearing with another model in instances where the family and school authorities disagree about the components of a student’s instructional program. Under current law, the hearing is typically conducted by an administrative jurist in which the parties present evidence, expert testimony and argument, if they have been unable to resolve their disagreement at a school-based team meeting, mediation or some other informal conference. In the proposal presented here, disagreements would instead be reviewed by a “special master” whose expertise is in education or disability rather than law. Through a process of problem-solving or “active adjudication,” the master (or “independent educational reviewer”) would attempt to quickly resolve the dispute over appropriate placement, instructional strategies and/or services. The master could hold a conference, conduct a hearing or brief investigation, receive more documents, consult with experts or correspond in some other mode with the parties. The master’s determination would be subject to judicial review in limited circumstances. Dans le présent essai, Stephen Rosenbaum, avocat et universitaire spécialisé en matière d’éducation et de la situation de handicap, s’inspire en partie de l’approche inquisitoire suivie au Canada et au Commonwealth pour proposer une modification radicale du processus contradictoire qu’utilisent les instances administratives américaines pour résoudre les différends opposant les éducateurs et les élèves avec les incapacités intellectuelles ou psycho-sociales. Habituellement, le différend porte sur la question de savoir si les élèves, appelés « les enfants en difficulté » dans le Canada francophone, reçoivent un éventail approprié de services d’aide et d’intervention en matière d’éducation. Le processus contradictoire a été décrié à maintes reprises au fil des années. Demander au juge de soupeser les options que privilégient les parents (ou les élèves) en application de la loi des États-Unis intitulée Individuals with Disabilities Education Act [IDEA] par rapport à celles de l’administration scolaire n’est peut-être pas la meilleure façon de procéder pour élaborer le programme d’éducation d’un élève, et ne représente pas non plus une bonne utilisation des ressources.L’auteur propose de remplacer l’audience équitable prévue par l’IDEA par un autre processus dans les cas où la famille et les autorités scolaires ne s’entendent pas sur le contenu du programme d’éducation d’un élève. Selon la loi actuellement en vigueur, l’audience est habituellement conduite par un juriste administratif devant lequel les parties présentent des éléments de preuve, des témoignages d’expert et des arguments, si elles ont été incapables de régler leur différend lors d’une rencontre, d’une séance de médiation ou d’une autre conférence informelle avec une équipe pluridisciplinaire de l’école. Dans le modèle proposé ici, les désaccords seraient plutôt examinés par un « special master » (conseiller spécial) qui serait spécialisé en matière d’éducation ou de la situation de handicap plutôt qu’en droit. Dans le cadre d’un processus axé sur la résolution de problèmes ou sur l’« arbitrage actif », le conseiller (ou l’« examinateur pédagogique indépendant ») s’efforcerait de régler rapidement le différend au sujet du placement ou des services ou stratégies pédagogiques qui conviennent. Le conseiller pourrait tenir une conférence, conduire une audience ou une brève enquête, recevoir d’autres documents, consulter des experts ou correspondre d’une autre manière avec les parties. La décision du conseiller serait susceptible de contrôle judiciaire dans des circonstances restreintes.
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Simard, Augustin. "La raison d'État constitutionnelle." Canadian Journal of Political Science 45, no. 1 (March 2012): 163–84. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423912000200.

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Abstract:
ResuméCet article examine la façon dont les constitutionnalistes allemands ont cherché à tirer leçon de l'échec de la République de Weimar, ainsi que le rôle de repoussoir que cette référence traumatique a joué dans la mise en place d'une compréhension «robuste» et «défensive» de la démocratie libérale dès les années 1930. À partir des réflexions de quelques juristes émigrés aux États-Unis, il distingue trois programmes concurrents : celui de l'antiextrémisme, qui trouve son origine dans l'antipositivisme weimarien; celui de la «démocratie militante» (Karl Loewenstein); et celui de la «dictature constitutionnelle» (Carl J. Friedrich). Au sein de chacun, la confrontation avec Carl Schmitt revêt une importance décisive, en dépit de son caractère parfois implicite et médiatisé. Éclairer ces échanges permet de juger dans quelle mesure les régimes démocratiques post-1945 ont intégré les idées de Schmitt.AbstractThis paper explores the lessons drawn by German constitutional scholars from the breakdown of the Weimar Republic, and how this traumatic experience became a starting point at the end of the 1930s for a new conception of democracy both liberal and robust (or “defensive”). Emigré constitutional scholars devised three distinctive versions of this “democratic robustness”: an “anti-extremist” (which originated in Weimar legal antipositivism); a “militant democracy” (first exposed by Karl Loewenstein); and a “constitutional dictatorship” (Carl J. Friedrich, Frederick W. Watkins). At the heart of each one lies a decisive debate with Carl Schmitt, even if implicit or diffracted. By reconstructing these debates one can appreciate to what extent postwar constitutional democracies have incorporated Schmitt's ideas.
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Auger, Reginald, and Allison Bain. "Anthropologie et archéologie." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.030.

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Abstract:
Les parcours sinueux qu’ont suivis l’anthropologie et l’archéologie en Amérique du Nord depuis une cinquantaine d’années démontrent des intérêts convergents pour la connaissance et l’explication du comportement humain et cela avec des méthodes de recherche de plus en plus divergentes. L’anthropologie qui a émergé des milieux intellectuels aux États-Unis au XIXe siècle avait pour origine l’intérêt pour la compréhension des populations autochtones de l’Amérique; de cet intérêt pour l’humain, se sont développés des outils pour comprendre le comportement qui se cachait derrière le geste posé. Dès le début, l’anthropologue s’intéressait aux comportements et l’archéologue documentait les traces du geste posé. De cette proximité entre l’anthropologie et l’archéologie qui s’est concrétisée par la création du Bureau of American Ethnology à la fin du XIXe siècle, il était naturel de placer la formation en archéologie au sein de départements d’anthropologie dans les universités aux États-Unis et au Canada. Malgré l’apparence initiale d’un champ unifié et d’un terrain partagé entre l’anthropologie et l’archéologie, la pratique s’est transformée pour devenir tout autre au fil des ans. Au milieu du XXe siècle, l’archéologie commence à remettre en question sa relation avec les interprétations fonctionnalistes des anthropologues (Trigger 2006 : 363-372). La première figure à souligner le problème de l’inéquation entre les résultats de la recherche archéologique et la théorie en anthropologie fut Walter Taylor (1948) dans son livre A Study of Archaeology. Taylor, le relativiste, exposa son penchant pour le particularisme historique dans une approche qu’il identifie comme étant conjonctive; pour ce chercheur iconoclaste, l’historiographie comptait pour beaucoup. L’approche conjonctive consistait à établir des corrélations entre différents types de données dans des contextes historiques et culturels spécifiques afin de faire le pont entre des particularités historiques (les collections archéologiques) et des données anthropologiques. La méthodologie qu’il proposait impliquait la vérification d’hypothèses par l’analyse de la composition et de la structure des collections archéologiques. L’objectif central de cette approche visait à mettre de l’avant des études contextuelles détaillées qui permettraient d’adapter des hypothèses générales sur la culture à des données spécifiques. Dans sa formulation de l’approche conjonctive en archéologie et la vérification d’hypothèses, Taylor reconnaissait qu’une réflexion critique était nécessaire puisque l'archéologue travaillait dans le présent. En dépit de la richesse des collections archéologiques et constatant le danger qui planait sur l’archéologie si nous avions continué à publier des listes d’attributs de nos objets au lieu d’interpréter la culture matérielle comme étant la trace du comportement humain, dans un geste de médiation entre l’anthropologie et l’archéologie, Binford (1962) publiait son article portant le titre Archaeology as Anthropology. Comme il le signale dans son introduction son article qui faisait suite à un ouvrage venant d’être publié par Willey et Phillips (1958) où l’on mentionne clairement que l’archéologie américaine « c’est de l’anthropologie ou rien du tout ». Ce geste d’éclat dans une période charnière de l’enseignement de l’archéologie dans les universités nord-américaines allait donner naissance à un nouveau paradigme que l’on appela la New Archaeology aussi connue sous le nom d’archéologie processuelle. Un tel changement de paradigme venait en contradiction avec les pratiques européennes en matière d’archéologie préhistorique, notamment celles de l’École de Bordeaux et de François Bordes, son membre le plus influent, qui avait réussi à imposer sa vision sur le sens de la variabilité des outils en pierre du paléolithique moyen (Bordes 1961; 1984). Dans sa thèse de doctorat intitulée The Bordes-Binford Debate: Transatlantic Interpretive Traditions in Paleolithic Archaeology, Melissa C. Wargo (2009) présente une analyse en profondeur des modes de pensée qui diffèrent entre l’Europe et l’Amérique du Nord. Essentiellement, le raisonnement traditionnel voulait que l’apparition d’une nouvelle culture archéologique (de nouveaux types) puisse signifier la manifestation d’un nouveau groupe de personnes, un groupe ethnique détectable avec les outils de l’archéologie. C’est ce que nous apprenions à la lecture des travaux de François Bordes sur les changements technologiques observés au paléolithique moyen. Lorsque Binford est parvenu à étudier les mêmes collections, il proposa des interprétations toutes autres. Ainsi, alors que pour Bordes, des outils différents représentent des groupes différents; si l’ensemble de l’assemblage ne peut être attribué à un groupe avoisinant, peut-être alors que certains éléments peuvent l’être. Et si de tels parallèles peuvent être établis, l’approche de Bordes a pour corollaire que c’est là le lieu d’origine de la population à l’étude et que nous serions en présence d’une diffusion de traits culturels à partir de la migration d’un groupe ethnique. Pour Binford, la différence dans la composition des assemblages devrait plutôt être interprétée comme étant le résultat d’adaptations; pour ce chercheur, les assemblages archéologiques sont des coffres d’outils adaptés pour une fonction particulière. Nonobstant la grande quantité de statistiques accumulées, Binford, de son propre aveu, admit qu’il fut incapable d’expliquer ce qu’elles signifiaient. En d’autres mots, il avait beaucoup d’information sur le présent mais ne pouvait l’expliquer par manque d’analogie avec le passé. En dépit de ces différences d’opinion, l’utilité de la typologie de Bordes réside dans le fait qu’elle fournissait un langage descriptif; cette typologie a cependant été par la suite rejetée par certains chercheurs qui considéraient que la définition des types de François Bordes était inadéquate parce que trop subjective. Pire encore, Bordes a été accusé d’incorporer dans ses interprétations des hypothèses non vérifiées sur les capacités cognitives des hominidés durant le paléolithique moyen. De nos jours, nos analyses de la technologie visent à remplacer cette approche typologique de Bordes par une méthode s’appuyant sur la combinaison d’attributs dont la description porte davantage sur le comportement. De toute évidence, le débat entre le promoteur de la New Archaeology et la figure de proue de l’archéologie française et son approche taxonomique en pierre a permis de mettre en évidence un malaise profond sur la façon dont le passé devrait être interprété. Ce débat est aussi emblématique de traditions scientifiques différentes entre l’Europe et l’Amérique du Nord. C’est dans ce contexte intellectuel que sont nés des départements d’anthropologie associant l’anthropologie culturelle, l’anthropologie biologique, la linguistique et l’archéologie. Ces quatre champs sont apparus à des moments bien précis de l’histoire des universités nord-américaines mais de nos jours, la réalité de l’anthropologie est devenue beaucoup plus complexe (Bruner 2010). Un étudiant en archéologie peut avoir des besoins de formation en géographie, en histoire, en géologie, en botanique, en biologie, en ethnohistoire, en systèmes d’information géographique, en informatique, etc. alors qu’un étudiant en anthropologie pour atteindre un niveau de compétence élevé pourrait avoir besoin de formation en histoire, en science politique, en sociologie, en art, en littérature, en théorie critique, etc. Malgré que les besoins aient grandement changé depuis la création des départements d’anthropologie, les structures académiques sont demeurées statiques. La protection des départements d’anthropologie dans leur configuration actuelle des quatre champs relève le plus souvent des politiques universitaires. Ainsi, même si les professeurs étaient d’accord qu’il serait intellectuellement plus profitable de scinder ces gros départements, la question de diviser les départements d’anthropologie en unités plus petites qui feraient la promotion de l’interdisciplinarité dans les sciences humaines et sociales n’est pas envisagée dans la plupart des universités nord-américaines (Smith 2011). Au milieu de cette tourmente, se sont développés un certain nombre de départements et de programmes d’archéologie en Amérique du Nord. De là est née une discipline émancipée du joug des structures trop rigides et se donnant un ensemble de méthodes de recherche qui lui étaient propres. La trajectoire conceptuelle empruntée par ceux-ci a permis de remonter au-delà du geste et de la parole en retenant une classe cohérente de concepts explicatifs développés, certes en anthropologie, mais raffinés et adaptés au contact de l’archéologie et d’autres disciplines en sciences humaine et sociales et sciences de la nature. Cette indépendance intellectuelle de l’anthropologie s’est notamment affirmée par des collaborations entre l’archéologie et la philosophie des sciences (Kelly et Hanen 1988; Salmon 1982; Wylie 2002; Wylie et Chapman 2015). La croissance de l’intérêt pour les explications processuelles des données archéologiques chez plusieurs archéologues nord-américains fut motivée par le fait que les néo-évolutionistes en anthropologie mettaient trop l'accent sur les régularités dans les cultures. Les concepts utilisés en archéologie processuelle exerçaient une influence significative sur notre discipline et l’adoption de cette approche théorique était d’autant plus attrayante car les variables proposées se présentaient comme des causes majeures de changements culturels et relativement accessibles à partir des vestiges archéologiques. Cette approche s'intensifia et donna de nouvelles directions aux tendances déjà présentes en archéologie préhistorique. Dans ce changement de paradigme qui donna naissance au courant de la Nouvelle Archéologie en Amérique du Nord et à un moindre degré au Royaume-Uni, l’accent était placé sur la vérification d’hypothèses sur les processus culturels comme outils d’explication du passé. De la position qu’elle occupait comme l’un des quatre sous-champs de l’anthropologie ou encore, de celle de servante de l’histoire, l’archéologie est devenue l’un des plus vastes champs du monde académique (Sabloff 2008 : 28). En plus d’avoir trouvé son ancrage théorique dans les sciences sociales et humaines, l’archéologie, attirée par les techniques et méthodes fraie régulièrement avec les sciences physiques et les sciences de la nature. En se donnant ses propres méthodes de collecte et d’analyse pour l’examen de cultures distinctes et en poursuivant avec des comparaisons interculturelles, la discipline cherchait à mieux comprendre les cultures qui se sont développées à travers le temps et l’espace. Puisque l’objet d’étude de l’archéologie porte sur les traces de groupes humains dans leur environnement naturel et leur univers social, les questions qu’elle se pose sont fondamentales à l’histoire de l’humanité et pour répondre à de telles questions elle s’est dotée de méthodologies d’enquête qui lui sont propres. L’utilisation d’équipements sophistiqués pour déterminer la composition chimique des résidus lipidiques incrustés sur un outil en pierre taillée ou encore, les recherches sur la composition physico-chimique de la pâte d’une céramique sont des techniques visant à répondre à des questions d’ordre anthropologique. Le quand et le comment du passé sont relativement faciles à identifier alors que pour découvrir le pourquoi l’archéologue fait souvent appel à l’analogie ethnographique, une méthodologie issue de l’insatisfaction des archéologues à l’endroit des travaux en anthropologie culturelle (David et Kramer 2001). Une autre méthodologie est celle de l’archéologie expérimentale qui s’intéresse à la fabrication et à l’usage des outils (Tringham 1978), méthode similaires à celle de l’ethnoarchéologie. L’expérimentation à partir d’outils fabriqués par le chercheur et les banques de données provenant d’expérimentations contrôlées servent alors d’éléments de comparaison pour interpréter la forme des assemblages archéologiques (Chabot et al. 2014) est au centre de la méthode préconissée. Le développement de l’ethnoarchéologie durant les années 1970 aurait inspiré Binford (1981) lorsqu’il mit de l’avant l’utilisation de théories de niveau intermédiaire pour établir un lien entre ses données archéologiques et les théories de niveau supérieur sur le comportement. Sa décision semble avoir reposé sur les développements de l’approche ethnoarchéologique et ses propres terrains ethnoarchéologiques chez les Nunamiut de l’Alaska (Binford 1978). D’autres orientations théoriques ont vu le jour au cours des années 1960–1970 et ont fait la distinction entre différentes approches matérialistes par rapport à des schémas évolutionnistes antérieurs. Par exemple, Leslie White (1975) adopta une forme de déterminisme technologique très étroit qui reflétait une croyance en la technologie comme source de progrès social. Julian Steward (1955) envisagea un déterminisme écologique moins restrictif alors que Marvin Harris (1968) y voyait un déterminisme économique encore plus large. Pour ces quelques positivistes le rôle que l’archéologie se devait de jouer était d’expliquer la culture matérielle du passé. Quant à l’archéologue Lewis Binford (1987), il soutenait que l’étude des relations entre le comportement humain et la culture matérielle ne devrait pas être le rôle central de l’archéologie puisque selon lui, les données ne contiendraient aucune information directe sur les relations entre le comportement humain et la culture matérielle. Dorénavant, les données archéologiques se devaient d’être comprises par elles-mêmes, sans avoir recours à des analogies ethnographiques. Cette dernière approche voulait clairement établir de la distance entre l’archéologie, l’anthropologie culturelle, l’ethnologie et peut-être les sciences sociales en général ; son mérite était peut-être, justement, d’éviter les réductionnismes et les analogies rapides entre explications anthropologiques et assemblages archéologiques. Dans la même veine, d’autres remises en question sont apparues durant les années 1980 avec les travaux d’Ian Hodder (1982; 1985) sur la validité des certitudes positivistes qui avaient été le fonds théorique et empirique des adeptes de la New Archaeology. Depuis cette réflexion sur l’essence même de l’archéologie, Hodder a reconnu qu’une position critique est fondamentale face à l’objet d’étude; naquit alors le courant théorique post-processuel en archéologie. Dans son cheminement pour découvrir la signification des vestiges qu’elle étudie, l’archéologie post-processuelle s’appuie sur des études détaillées permettant d’adapter des hypothèses générales sur la culture à des données spécifiques en exploitant la diversité des sources; cette direction du courant post-processuel en archéologie porte le nom d’archéologie contextuelle. Comme tout changement de paradigme apporte avec lui son lot de détracteurs, l’archéologie post-processuelle a été immédiatement accusée d’une trop grande subjectivité interprétative voire, de déconstructionisme. Les autres orientations placées sous le label archéologie post-processuelle incluent : le structuralisme, le néo-marxisme, l’archéologie cognitive, la phénoménologie, et d’autres encore Ainsi l’individu, l’agent ou l’acteur et son intentionnalité devrait être au centre des interprétations dans la théorie post-processuelle. Nous pouvons conclure que l’examen de la relation entre l’anthropologie et l’archéologie en Amérique du Nord a permis de constater que, depuis ses débuts, l’archéologie dans cette région du monde a vécu une liaison relativement tumultueuse avec l’anthropologie. Cette condition, souvent problématique, a vu naître, au Canada d’abord, des groupuscules d’archéologues avec des intérêts divergents qui se sont distanciés des paradigmes qui dominaient les départements d’anthropologie pour former des départements d’archéologie ou des programmes d’archéologie autonomes des programmes d’anthropologie. Sur les chemins empruntés ces nouveaux départements sont entrés en relation avec les départements de sciences naturelles, notamment, la géographie, avec laquelle les archéologues ont partagé un ensemble de concepts et de méthodes. Il en a résulté un enseignement de l’archéologie nettement interdisciplinaire et faisant appel à des méthodes quantitatives pour comprendre la culture matérielle dans son environnement naturel et expliquer son milieu culturel à partir de concepts empruntés aussi bien aux sciences humaines qu’aux sciences naturelles.
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