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Journal articles on the topic 'Médicaments – Prescription'

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Lafortune, Denis, and Marion Vacheret. "La prescription de médicaments psychotropes aux personnes incarcérées dans les prisons provinciales du Québec." Dossier : Santé mentale et justice 34, no. 2 (February 5, 2010): 147–70. http://dx.doi.org/10.7202/039130ar.

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Abstract:
Dans cet article, les auteurs tentent de mieux cerner la pratique de la prescription de médicaments psychotropes auprès des personnes incarcérées dans les prisons provinciales du Québec. Bien que la prescription de ces médicaments s’avère le « traitement psychiatrique » le plus utilisée, rares sont les études qui portent sur sa prévalence. L’étude porte sur un échantillon de 671 personnes détenues, soit 500 hommes et 171 femmes. Globalement, 40,3 % des incarcérés ont reçu au moins une ordonnance de médicament psychotrope dans la période comprise entre 2002 et 2007. Les résultats démontrent que les femmes sont plus susceptibles d’avoir fait usage de médicaments que les hommes. Les personnes incarcérées ayant reçu au moins une prescription sont en moyenne plus âgés que les autres. Une majorité d’ordonnances a été émise par des omnipraticiens et les cas de polypharmacie sont nombreux. Sur une période de cinq ans, la classe de médicaments la plus prescrite est celle des anxiolytiques/hypnotiques, suivie des antidépresseurs et des antipsychotiques. Les auteurs concluent qu’il faudra analyser davantage les facteurs associés à la prescription de cette classe de médicaments auprès des personnes criminalisées.
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Leclere, A., A. Egron, C. Caty-Villa, and L. Parneix-Sédiey. "Interventions pharmaceutiques dans un centre hospitalier spécialisé en santé mentale : impact sur la prise en charge médicamenteuse." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S160. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.323.

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Abstract:
L’équipe pharmaceutique analyse et valide quotidiennement les prescriptions médicales. Elle rédige à l’attention des prescripteurs des interventions pharmaceutiques (IPs) codifiées selon la classification de la Société française de pharmacie clinique. L’objectif de l’étude est de mesurer l’impact de la validation pharmaceutique sur la prise en charge médicamenteuse des patients tant sur le plan psychiatrique que somatique. Une analyse rétrospective des IPs entre octobre 2014 et avril 2015 a permis de recenser et de comparer les différents types d’interventions (traitements psychiatriques et somatiques) et de suivre leur devenir (acceptation/refus, choix thérapeutiques). Sur la période considérée, 2194 IPs sur les 8745 prescriptions médicales analysées ont été relevées : 56 % concernant la prise en charge somatique et 44 % les médicaments à visée psychiatrique. Le taux d’acceptation des IPs ciblant les médicaments somatiques et psychiatriques s’est élevé de façon similaire à près de 70 %, entraînant majoritairement une modification de la prescription. L’analyse du type d’IP révèle que la proposition de substitution d’un médicament hors livret thérapeutique prédomine (somatique : 43 %, psychiatrique : 31 %), suivie de la demande d’optimisation des modalités d’administrations (14 % versus 18 %). La différence apparaît sur le troisième item : réévaluation d’une durée de prescription trop longue pour les médicaments somatiques (12 %) et adaptation de posologies supra thérapeutiques (10 %) pour les médicaments psychiatriques. L’analyse détaillée du type d’IPs et de leur devenir permet de proposer aux prescripteurs des outils d’optimisation de la prise en charge médicamenteuse, psychiatrique et somatique, et aux pharmaciens de privilégier certains axes de communication, comme la diffusion de fiches d’équivalences thérapeutiques. Elle conforte le rôle d’expert du pharmacien auprès du prescripteur, renforce la prévention des erreurs médicamenteuses et nourrit la réflexion sur l’efficience des prescriptions. Une communication annuelle du bilan des IPs aux médecins valorise l’intérêt de cette collaboration.
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De Beaurepaire, R., L. Andreoli, M. Gaudoneix, and P. Beauverie. "Résultats de l’analyse des prescriptions en psychiatrie publique hospitalière : la place des prescriptions hors AMM." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 91. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.245.

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Abstract:
ObjectifAnalyser les prescriptions en psychiatrie publique hospitalière.MéthodesAnalyse un jour donné des prescriptions psychiatriques et somatiques pour les indications, posologie, durée de traitement et schéma thérapeutique. Interrogation individuelle des prescripteurs pour les prescriptions hors autorisation de mise sur le marché (hors AMM).RésultatsCinq mille quatre-vingt-six lignes de prescription relevées pour 495 patients, avec globalement 34 % de prescriptions hors AMM (médicaments psychiatriques : 43,5 % ; médicaments somatiques : 22,7 %). Médicaments psychiatriques : 22,3 % de prescriptions hors AMM pour l’indication, 13,1 % pour la posologie, 4,5 % pour la durée de traitement et 6,2 % pour le schéma thérapeutique. Médicaments somatiques : respectivement 4,5, 14,9, 4,8 et 12,5 %.ConclusionsLes pourcentages se rapportant aux indications des médicaments psychiatriques sont nettement inférieurs à ceux publiés dans la littérature (les autres chiffres sont nouveaux). Certaines prescriptions hors AMM apparaîssent potentiellement justifiées au vu des données de la littérature, d’autres non.
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Ferguson, Joyce Ann. "Patient Age as a Factor in Drug Prescribing Practices." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 9, no. 3 (1990): 278–95. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980800010710.

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Abstract:
RÉSUMÉCette étude, qui repose sur les données tirées du sondage national effectué aux Etats-Unis en 1985 sur les soins médicaux ambulatoires, examine le rapport entre l'âge du patient et la prescription de médicaments, mesurée selon la nature inappropriée des ordonnances et leur volume. On a substitué l'expression “ordonnance potentiellement indésirable” à l'expression “ordonnance inappropriée” parce que le fait de disposer de renseignements d'ordre médico-social limités sur le patient, et done d'une connaissance insuffisante de ses antécédents risque, au moment de prescrire un médicament, de rendre le jugement indûment simplifié et critique. Les catégories suivantes ont été établies en ce qui concerne la prescription potentiellement indésirable: 1) plus d'un médicament appartenant à la même catégorie, 2) des catégories de médicaments à ne pas combiner, 3) des medicaments n'assurant qu'un traitement suboptimal et 4) des médicaments et des diagnostics incompatibles. Sur 67 médicaments génériques represéntant 13 catégories de médicaments étudiées, 242 produits ont été prescrits à un échantillon de 33 574 patients âgés de 45 ans ou plus. On a constaté que l'ordonnance potentiellement indésirable était un problème courant quelle que soit la discipline médicale et le sexe du patient, mais qu'il existait un rapport avec l'âge du patient. La consultation d'un médicin généraliste a un effet défavorable plus marque chez les patients âgés, et il en est de même pour la consultation d'un medecin dans les régions non métropolitaines pour ce groupe de personnes.
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Tamblyn, Robyn, and Robert Perreault. "Prescription Drug Use and Seniors." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 19, S1 (2000): 143–75. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980800014690.

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Abstract:
RÉSUMÉL'augmentation des dépenses de médicaments a placé les aîné(e)s sous les feux de la réforme de santé puisqu'ils en sont les plus grands consommateurs. On pourrait apporter des modifications substantielles à la consommation de médicaments presents, ce qui rehausserait les bienfaits des traitements et en minimiserait les effets négatifs, surtout chez les aîné(e)s. On documente ici un bon nombre de problèmes, notamment la surconsommation et la sous-consommation des médicaments, les erreurs d'ordonnances, la conformité au traitement et les médicaments inutilement coûteux. On a démontré l'efficacité de certaines éléments à l'égard de certains aspects du problème; qu'on cite simplement les politiques reliées au système de soins de santé, les interventions de certains médecins et de pharmaciens d'hôpitaux, les aides à la prise de dècisions et à la conformité aux traitements. Il faut mettre en place l'intégration des principales politiques et des interventions en une solution globale visant une meilleure utilisation des médicaments. Elle pourrait se composer des éléments suivants: (1) la révision des politiques de relations entre l'industrie pharmacologique et le secteur de la santé; (2) l'établissement de règlements d'expérimentation des médicaments chez les aînés avant leur approbation; (3) un institut du consommateur servant de ressource centrale objective aux demandes de renseignements des patients et de système d'appui aux décisions; (4) des systèmes intégrés d'information clinique à l'appui des systèmes de gestion des ordonnances et de la fourniture des médicaments et de la gestion des médicaments et des maladies à l'intention des pharmaciens et des médecins de premier recours; (5) une réforme de la formation médicale et de l'octroi des permis.
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Aina, I. O., and Y. T. Israel-Aina. "Psychotropic Medication Usage for Psychiatric Emergencies in a Tertiary Health Care Centre in Nigeria." Research Journal of Health Sciences 8, no. 3 (October 9, 2020): 183–89. http://dx.doi.org/10.4314/rejhs.v8i3.4.

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Abstract:
Background:This study documented the usage of psychotropics in patients presenting with psychiatric emergencies. The usage of psychotropic medications has to do with the prescription pattern of the clinicians in any setting. Materials & Methods: A retrospective study carried out at the University of Benin Teaching Hospital Case notes of patients who presented withpsychiatric emergencies were retrieved, data extracted and analyzed. Results: A total of one hundred and fourteen patients were studied over a 10 year period. Most patients (82.5%) were diagnosed with psychotic disorders. Antipsychotics accounted for 67.5% of all prescriptions. Chlorpromazine was the most commonly prescribed oral psychotropic (22.8%). Mood stabilizers were 12.3% while antidepressants were 12.3% of all prescriptions. Parenteral psychotropics were used more as combination (60.5%) than as single parenteral medication (14.0%). Commonest combination of parenteral psychotropic was Chlorpromazine and Diazepam. Long-acting medications commonly used were Fluphenazine Decanoate (20.8%) and Flupenthixol Decanoate (17.4%). Conclusion: Oral antipsychotics were more prescribed with Chlorpromazine and Haloperidol as commonest. Amitriptylline was the commonest antidepressant prescribed while Chlorpromazine and Diazepam were the commonest parenteral psychotropic used. Fluphenazine Decanoate and Flupenthixol Decanoate were the commonest long-acting parenteral medications prescribed Keywords: Psychotropics, prescription pattern, psychiatric emergency, Nigeria. French title: L'utilisation de médicaments psychotropes pour les urgences psychiatriques dans un tertiaire centre de soins de santé au Nigéria Contexte général de l'étude : Les médicaments psychotropes sont des médicaments utilisés pour traiter les troubles mentaux. L'utilisation de médicaments est liée au modèle de prescription des cliniciens dans n'importe quel contexte. Ainsi, cette étude a documenté l'utilisation des psychotropes chez les patients présentant des urgences psychiatriques.Matériaux et méthodes de l'étude : Étude rétrospective qui a été effectuée à l'unité des accidents et d'urgence de l'Université du Bénin Centre hospitalier universitaire, Ville Bénin. Les notes de cas des patients qui ont présenté des urgences psychiatriques ont été récupérées, les données extraites et analysées.Résultats de l'étude : Cent quatorze patients ont été étudiés. La plupart des patients (82,5%) ont reçu un diagnostic de troubles psychotiques. Les antipsychotiques représentaient 67,5% de toutes les ordonnances. La chlorpromazine était le psychotrope oral le plus couramment prescrit (22,8%). Les stabilisateurs de l'humeur représentaient 12,3% tandis que les antidépresseurs représentaient 12,3% de toutes les ordonnances. L'antidépresseur le plus couramment prescrit était l'amitriptylline. Les psychotropes parentéraux ont été plus utilisés en association (60,5%) qu'en médicament monoparental (14,0%). L'association la plus courante de psychotropes parentéraux était la chlorpromazine et le diazépam dans 55,7% des cas. Les médicaments à action prolongée couramment utilisés étaient le décanoate de fluphénazine (20,8%) et le décanoate de flupenthixol(17,4%).Conclusion: Les antipsychotiques oraux étaient plus prescrits, la chlorpromazine et l'halopéridol étant les médicaments les plus couramment utilisés. L'amitriptylline est l'antidépresseur le plus courant, tandis que la chlorpromazine et le diazépam étaient les psychotropes parentéraux les plus couramment utilisés. Le décanoate de fluphénazine et le décanoate de flupenthixol étaient les médicaments parentéraux à action prolongée les plus couramment prescrits. Mots-clés : Psychotropes, utilisation, e psychiatrique Mergency, Nigéria
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Lexchin, Joel. "Réglementation pharmaceutique au Canada et prescription inadéquate de médicaments : le cas des psychotropes dans les années 60 et au début des années 70." Dossier : Médicaments psychotropes : aspects psychosociaux 22, no. 1 (June 12, 2008): 283–300. http://dx.doi.org/10.7202/502107ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Le processus d'approbation des médicaments joue un rôle déterminant dans la façon dont les médicaments sont prescrits au Canada. Cet article examine la nature de la réglementation du processus d'approbation, les décisions qui en découlent, la manière dont ces dernières s'expriment dans la publicité pharmaceutique, et l'impact ultime de ces facteurs sur la prescription des psychotropes en général, et plus particulièrement, des benzodiazépines. Un grand nombre de preuves empiriques portent à croire que les benzodiazépines ont été approuvées à la suite d'essais cliniques inadéquats, entraînant la prescription de ces médicaments pour des états où ils s'avéraient inefficaces et ce, sans tenir compte de certaines mesures de sécurité importantes. Ces déficiences du processus de réglementation ont été amplifiées dans la publicité s'adressant aux médecins, contribuant ainsi à une prescription inappropriée dans quatre cas : la prescription pour des problèmes d'ordre psychosocial, la prescription excessive pour la somatisation, pour les femmes et pour les troubles d'anxiété. Le processus d'approbation présente encore plusieurs lacunes et elles continueront de se manifester par une prescription inadéquate de psychotropes et d'autres médicaments.
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Galéra, C., J. B. Pingault, G. Michel, M. Bouvard, M. Melchior, B. Falissard, R. E. Tremblay, and S. M. Côté. "Facteurs cliniques et sociaux associés à la prescription de médicaments ciblant le TDA/H dans la cohorte québécoise ELDEQ." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S10. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.037.

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Abstract:
ContexteL’influence de la comorbidité psychiatrique et de l’environnement social sur la prescription médicamenteuse du trouble déficit de l’attention/hyperactivité (TDA/H) reste mal comprise.ObjectifÉvaluer l’effet des facteurs comportementaux et sociaux sur la prescription de médicaments ciblant le TDA/H.MéthodesLes données de la cohorte de naissance Étude Longitudinale du Développement des Enfants du Québec (ELDEQ) ont été analysées par des modèles de survie avec variables dépendantes du temps. L’échantillon (n = 1920) a été évalué de l’âge de 5 mois à 10 ans. Des mesures des symptômes psychiatriques de l’enfant et des variables de l’environnement social étaient disponibles pendant tout le suivi de la cohorte et ont permis d’étudier les facteurs comportementaux et sociaux associés à la prescription de médicaments ciblant le TDA/H.RésultatsDe l’âge de 3,5 ans à 10 ans, 0,2 à 8,6 % des enfants de l’échantillon ont été exposés à des médicaments ciblant le TDA/H. L’hyperactivité-inattention était le facteur le plus fortement associé à cette exposition (hazard ratio [HR] = 2,75, IC95 % 2,35–3,22). Parmi les variables sociales étudiées, un bas niveau éducatif maternel augmentait le risque d’usage de médicament (HR = 2,09, IC95 % 1,38–3,18) alors que le statut d’immigrant diminuait ce risque (HR = 0,40, IC95 % 0,17–0,92).ConclusionsAu-delà des symptômes du TDA/H, la probabilité de recevoir un traitement pour le TDA/H était influencée par des variables sociales et non par d’autres variables cliniques ou par les pratiques parentales. Ces résultats soulignent la nécessité d’améliorer les interventions globales du TDA/H, notamment les interventions psychoéducatives.
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Le Heuzey, MF. "Prescription des médicaments psychotropes chez l'enfant." Journal de Pédiatrie et de Puériculture 8, no. 3 (January 1995): 169–72. http://dx.doi.org/10.1016/s0987-7983(95)80100-6.

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Bégué, D. "La prescription de médicaments hors AMM." Médecine & Droit 2003, no. 60 (May 2003): 85–94. http://dx.doi.org/10.1016/s1246-7391(03)00040-x.

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Bégué, D. "La prescription de médicaments hors AMM." Annales de Chirurgie Plastique Esthétique 49, no. 1 (February 2004): 49–60. http://dx.doi.org/10.1016/j.anplas.2003.12.007.

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Purper-Ouakil, D. "Les psychotropes en pédopsychiatrie : comment les utiliser ? Quels référentiels ?" European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 90. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.241.

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Abstract:
Les besoins spécifiques de la population pédiatrique en termes d’indication et de surveillance des psychotropes sont étayés par des données issues de la recherche préclinique et clinique. Cependant, la recherche en psychopharmacologie pédiatrique est un domaine de développement récent ayant bénéficié de mesures incitatives législatives tant en Europe qu’aux États-Unis concernant l’usage des médicaments chez l’enfant et l’adolescent. Les modalités de prescription des psychotropes en pédiatrie, longtemps extrapolées à partir des données obtenues chez l’adulte, commencent donc à être basées sur des essais menés en population pédiatrique. Cette communication se propose de faire un état des lieux des pratiques de prescription des médicaments psychotropes chez l’enfant et l’adolescent, du cadre réglementaire (en évoquant notamment les prescriptions hors autorisation de mise sur le marché) et des spécificités pédiatriques des indications et de la surveillance des principales classes de psychotropes. Elle permettra une comparaison des données pharmacoépidémiologiques françaises avec celles d’autres pays européens en termes de prévalence globale de prescription et de profil de prescription des différentes classes de psychotropes. Elle illustrera également, à l’aide d’exemples concrets issus de projets de recherche collaboratifs, les enjeux d’avenir en psychopharmacologie pédiatrique afin que nos pratiques de prescription soient étayées par des données scientifiques prenant en compte les aspects développementaux. Ces enjeux ne sont pas uniquement scientifiques mais concernent plus largement la politique de santé, les représentations sociales et la communication avec les usagers et le grand public autour de la prescription de psychotropes en population pédiatrique.
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Guan, Qi, Wayne Khuu, Diana Martins, Mina Tadrous, Maria Chiu, Minh T. Do, and Tara Gomes. "Évaluation des premiers effets du retrait des opioïdes à forte concentration sur les schémas de prescription en Ontario." Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 38, no. 6 (June 2018): 291–98. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.38.6.07f.

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Introduction Le 31 janvier 2017, l’Ontario a retiré le fentanyl, l’hydromorphone et la morphine à forte concentration des médicaments remboursables par les programmes publics de médicaments s’ils sont prescrits par des médecins en soins non palliatifs. Nous avons voulu évaluer les premiers effets de cette politique sur les schémas de prescription et déterminer si ces effets variaient en fonction du type de prescripteur ainsi que du type d’opioïdes et de leur concentration. Méthodologie Nous avons mené une étude transversale représentative de la population auprès de patients nécessitant des soins palliatifs et des soins non palliatifs à qui du fentanyl, de l’hydromorphone ou de la morphine couverts par les programmes publics de médicaments de l’Ontario avaient été prescrits entre le 1er janvier 2014 et le 31 juillet 2017. Pour chacun des mois de la période à l’étude, nous avons calculé le nombre total de patients ayant reçu des opioïdes à forte concentration (réparti par type de prescripteurs) ainsi que le volume total de chaque médicament délivré (réparti par concentration). Nous avons utilisé des modèles autorégressifs à moyennes mobiles intégrés (ARMMI) interventionnels pour évaluer les effets des changements apportés par la politique sur les habitudes de prescription. Résultats Entre décembre 2016 et juillet 2017, le nombre total de patients ayant reçu des opioïdes à forte concentration remboursés par le régime public a diminué de 98 % pour l’ensemble des prescripteurs, passant de 5 930 à 133. La nouvelle politique a entraîné une baisse substantielle du volume total des trois opioïdes délivrés, soit de 20 374 621 à 16 952 097 mg (p $lt; 0,01) pour l’hydromorphone, de 40 644 190 à 33 555 480 mg (p $lt; 0,03) pour la morphine et de 9 604 913 à 5 842 405 mcg/h (p $lt; 0,01) pour le fentanyl. Dans le cas du fentanyl et de l’hydromorphone, cette diminution a dans l’ensemble coïncidé avec une augmentation du nombre d’opioïdes à faible concentration délivrés. Conclusion Le retrait des opioïdes à forte concentration a sensiblement réduit le nombre de patients à qui ces médicaments ont été prescrits, ainsi que le volume total d’opioïdes à action prolongée délivrés en Ontario dans le cadre du régime public de médicaments. D’autres études devraient être menées pour en examiner les effets sur les patients.
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Guillaume, J. C. "Règles de prescription des médicaments en 2007." Annales de Dermatologie et de Vénéréologie 134, no. 12 (December 2007): 913–15. http://dx.doi.org/10.1016/s0151-9638(07)78250-9.

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Graham, Kathryn, Virginia Carver, and Pamela J. Brett. "Alcohol and Drug Use by Older Women: Results of a National Survey." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 14, no. 4 (1995): 769–91. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980800016457.

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Abstract:
RésuméL'utilisation et la prédiction de la consommation de drogues et d'alcool chez les femmes de 65 ans et plus ont été étudies au moyen de données tirées de l'Enquête nationale sur l'alcool et les autres drogues (1989). L'utilisation est la même que celles obtenues d'enquêtes antérieures; c'est-à-dire que les femmes plus âgées consomment moins d'alcool, fument moins et utilisent moins de drogues illégales que les autres groupes d'âge et de sexe. Également concordants avec d'autres études, le taux de consommation de médicaments psycholeptiques avec prescription médicale est plus élevé chez les femmes âgées qu'au sein de tout autre groupe. Des analyses bivariées ont démontré une relation significative entre certaines variables sociales et démographiques, et la consommation de drogues et d'alcool. La consommation d'alcool était le fait de personnes célibataires, jeunes, non pratiquantes, en bonne santé et fumant. La consommation de tabac est plus importante chez les personnes plus jeunes, non pratiquantes, en moins bonne santé, bénéficiant moins de soutiens sociaux, consommant de l'alcool et utilisant des médicaments psycholeptiques sous prescription médicale. L'utilisation de ces médicaments (partitulièrement les somnifères) était plutôt le fait de femmes veuves, plus âgées, devotes, en moins bonne santé, ayant un niveau de scolarité moins élevé et un revenu moins élevé, devant faire face à des situations très stressantes, bénéficiant moins de soutien social, fumant et consommant d'autres médicaments psycholeptiques sous prescription médicale. L'analyse des données, réalisée au moyen d'une analyse de composantes principales, a révélé deux dimensions concordantes de la consommation de drogues et d'alcool chez les femmes âgées: une plus grande religiosité associée à une moindre consommation de tabac et d'alcool d'une part et, d'autre part, la consommation de médicaments psycholeptiques de prescription médicale de toutes sortes. Ces résultats sont discutés en fonction de l'utilisation prévue des femmes âgées de demain et du besoin de mieux comprendre le contexte social de la consommation de drogues et d'alcool chez les femmes âgées, où la consommationm d'alcool va de légère à modéreé, mais où le taux de consommation de médicaments psycholeptiques sous prescription medicale est plus élevé qu'au sein de tout autre groupe d'âge et de sexe.
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Dina, O. A., and R. O. A. Arowolo. "Quelques considérations sur l’emploi et la fourniture des médicaments vétérinaires au Nigeria." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 44, no. 1 (January 1, 1991): 29–31. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9210.

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Abstract:
Les mauvaises conditions d'emploi des produits vétérinaires au Nigéria sont générales, que les médicaments soient administrés sous contrôle ou hors prescription, avec des doses insuffisantes ou pour des traitements incomplets. Les résistances thérapeutiques et les intoxications sont les conséquences habituelles de cet état de choses. Les ruptures de stocks, les répartitions inégales, la prédominance des médicaments falsifiés ou périmés sont les problèmes les plus fréquemment rencontrés dans la fourniture des médicaments vétérinaires. Ceci résulte d'une mauvaise coordination au sein des services et à l'absence de politique nationale en la matière. Les solutions vont de la restructuration et de la réhabilitation des services concernés à la dotation de fonds adéquats pour faire face aux achats, en passant par la création de fonds de roulements autogérés, la privatisation partielle, la fabrication et une législation appropriée pour la pharmacopée vétérinaire. Ces propositions devraient conduire à la suppression des goulets d'étranglement dans l'approvisionnement comme dans les conditions de répartition, la distribution, la prescription et l'emploi des médicaments. Des projections et une planification doivent également être réalisées en vue de la fabrication locale des médicaments réservés aux maladies animales
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Briet, J., H. Javelot, and J. L. Vailleau. "Échelle d’imprégnation anticholinergique : mise au point d’une nouvelle échelle incluant les molécules françaises, et application en psychiatrie." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S154—S155. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.311.

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Abstract:
Les médicaments présentant des propriétés anticholinergiques sont susceptibles d’entraîner des effets indésirables périphériques ou centraux. Plusieurs échelles ont été développées dans le but d’évaluer le potentiel anticholinergique des médicaments. Ces échelles ne contiennent pas les molécules françaises habituellement utilisées en psychiatrie, sont validées sur des populations âgées, et s’intéressent pour la plupart aux effets anticholinergiques centraux et non périphériques. L’objectif de notre travail était d’élaborer une nouvelle échelle (échelle d’imprégnation anticholinergique) contenant les molécules françaises et de la valider chez des patients de psychiatrie, en se basant sur les médicaments prescrits pour corriger les effets indésirables anticholinergiques périphériques. Nous avons attribué à 130 molécules un score de 1 à 3 selon leur potentiel anticholinergique, à partir des données de la littérature et d’avis d’experts. Au total, 7278 prescriptions de patients hospitalisés un jour donné en psychiatrie dans 34 établissements français ont été analysées. Nous avons relevé l’âge, le sexe, les médicaments anticholinergiques prescrits en systématique et « si besoin », et les médicaments prescrits pour corriger la xérostomie et la xérophtalmie ainsi que les laxatifs. Les médicaments les plus prescrits sont la cyamémazine et la tropatépine (respectivement 20 % et 19 % des prescriptions systématiques). Ces molécules n’existaient pas dans les précédentes échelles publiées et présentent un fort potentiel anticholinergique (3 dans l’échelle d’imprégnation anticholinergique). La proportion de patients ayant un score supérieur à 5 d’après l’échelle d’imprégnation anticholinergique est significativement plus élevée chez les patients prenant des laxatifs et des correcteurs de xérostomie, témoins de la survenue d’effets indésirables anticholinergiques périphériques. L’évaluation des effets centraux comporterait un biais important chez les patients de psychiatrie, ce qui explique pourquoi nous avons validé l’échelle d’imprégnation anticholinergique à partir des effets périphériques. Nous avons réalisé une première description des pratiques de prescription d’anticholinergiques en psychiatrie en France, à l’aide d’une échelle plus complète et plus adaptée.
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Olivier, Catherine. "Le financement de la haute technologie dans le système de santé : le cas de la pharmacogénomique." Dossier : La bioéthique 2, no. 2 (April 13, 2018): 15–26. http://dx.doi.org/10.7202/1044646ar.

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Abstract:
L’exercice d’allocation de ressources en santé, relevant du Ministère de la santé, se voit fortement influencé autant par les besoins variés de la population que par les exigences des intervenants en santé. Quel rôle ces différents intérêts peuvent-ils jouer dans l’intégration de nouvelles technologies dans la distribution des soins de santé ? La pharmacogénomique, branche émergente de la pharmacologie intégrant les données issues du projet génome humain au processus de développement du médicament, est perçue comme une technologie qui permettrait de personnaliser la médecine. Son intégration aux processus de développement ou de prescription de médicaments promet de minimiser l’apparition d’effets secondaires néfastes découlant de la prise de médicaments. Serait-il alors judicieux pour le gouvernement du Québec, considérant la conjoncture actuelle d’allocation de ressources, d’investir dans la pharmacogénomique en tant que nouvel outil de développement du médicament ou nouveau mode pronostic de médication pour sa population ? Nous aborderons cette question à l’aide de critères de sélection dictés par Caulfield et ses collaborateurs (2001)[1] pour évaluer la pertinence de l’investissement public dans la mise sur pied d’un test génétique, soit l’acceptabilité, l’utilité, la non-malfaisance et la présence d’un bénéfice clair – à coût raisonnable – pour la population. La génomique avoisinant la génétique, ces facteurs s’avèrent applicables dans notre discussion.
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Kennedy, Courtney C., George Ioannidis, Lehana Thabane, Jonathan D. Adachi, Denis O’Donnell, Lora M. Giangregorio, Laura E. Pickard, and Alexandra Papaioannou. "Osteoporosis Prescribing in Long-Term Care: Impact of a Provincial Knowledge Translation Strategy." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 34, no. 2 (April 8, 2015): 137–48. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980815000057.

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Abstract:
RÉSUMÉCette étude décrit les tendances de prescrire avant et après la mise en œuvre d'une stratégie provinciale visant à améliorer la prévention de l'ostéoporose et de la fracture dans les foyers de soins de longue durée (SLD) de l'Ontario. Les données ont été obtenues à partir d'une pharmacie qui a fourni pour 10 centres de SLD en 2007 et 166 foyers en 2012. Nos analyses ont utilisés la régression linéaire multiple et pondérée pour examiner les changements dans les niveaux ou les taux de prescriptions dans les établissements pour la vitamine D, le calcium et les médicaments pour l'ostéoporose de 2007 à 2012. Après cinq ans, l'augmentation des taux estimés pour la prescription de vitamine D, calcium et les médicaments pour l'ostéoporose, respectivement, était de 38,2 pour cent, 4 pour cent et 0,2 pour cent. Bien que l'étude n'a pas évalué la causalité, les résultats suggèrent que les activités à grande échelle dans le transfert des connaissances ont effectué des taux ameliorés de la prescription de vitamine D, bien que des efforts continus sont nécessaires pour cibler les foyers don’t les capacités de traduire les connaissances en pratique sont faibles.
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Bouvenot, Gilles. "La prescription des médicaments chez la personne âgée." Bulletin de l'Académie Nationale de Médecine 196, no. 4-5 (April 2012): 1031–35. http://dx.doi.org/10.1016/s0001-4079(19)31763-7.

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Ballantyne, Peri J., Raza M. Mirza, Zubin Austin, Heather S. Boon, and Judith E. Fisher. "Becoming Old as a ‘Pharmaceutical Person’: Negotiation of Health and Medicines among Ethnoculturally Diverse Older Adults." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 30, no. 2 (May 25, 2011): 169–84. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980811000110.

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Abstract:
RÉSUMÉParce que la prescription et l’utilisation des médicaments sont devenus un aspect normatif des soins de santé pour les personnes âgées, nous cherchons à comprendre comment les individus gérer l’utilisation des médicaments d’ordonnance dans le contexte du vieillissement. Nous soutenons que, pour ceux qui sont ambulatoires, l’utilisation de médicaments est susceptible d’être influencée par des considérations ethno-culturelles en matière de la santé et des expériences avec d’autres approches aux soins de santé. En conséquence, nous avons méné une étude qualitative, avec des entrevues en profondeur, sur un échantillon diversifié de personnes âgées afin d’identifier leurs perceptions et utilisations de médicaments. Nos conclusions dépeignent les personne âgées comme des agents actifs – qui s’appuient sur une vie d’expérience et de connaissances – qui prennent la responsabilité de l’adhésion (our non-adhésion) aux médicaments et leurs effets liés sur leur propre corps. Nous représentons la personne âgée comme une « personne pharmaceutique » dont les expériences du vieillissement sont inextricablement liée à la négociation des soins de santé dépendent sur les médicaments.
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Falissard, B., H. Verdoux, C. Galéra, Y. Moride, and M. Tournier. "Médicaments psychotropes chez l’enfant et l’adolescent." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S9. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.035.

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Abstract:
L’usage des médicaments psychotropes chez les enfants et les adolescents est à la fois croissant et controversé. La controverse naît de la méconnaissance du ratio bénéfices–risques dans cette population, plus vulnérable aux effets indésirables tels que les troubles métaboliques induits par les antipsychotiques, moins sensible à l’efficacité pharmacologique de certains médicaments comme les antidépresseurs, et d’un usage hors indication extensif mais parfois incontournable. Cette session propose d’étudier l’utilisation et l’impact des psychotropes chez les enfants et les adolescents, sujet peu souvent abordé, à travers trois études de cohorte. La première a été menée en France sur une base de données de l’assurance maladie entre 2006 et 2013 chez les sujets âgés de moins de 25 ans (n = 252 656). La prévalence de l’utilisation des antipsychotiques reste stable dans cet échantillon, mais la prescription des antipsychotiques de seconde génération augmente dans le temps. Lors d’une analyse écologique, les disparités territoriales d’offre de soins ont un impact sur la fréquence de prescription des antipsychotiques. La deuxième étude s’intéresse également à l’influence de l’environnement social et de la comorbidité psychiatrique sur la prescription médicamenteuse du trouble déficit de l’attention/hyperactivité (TDA/H), dans la cohorte de naissance québécoise ELDEQ (n = 1920). La probabilité que les enfants de 3,5 à 10 ans reçoivent un traitement pour le TDA/H est liée à des variables sociales et non à des variables cliniques autres que le TDA/H ou aux pratiques parentales. Une dernière étude a été conduite pour comparer le risque de conduites suicidaires chez les enfants (10–14 ans) et les adolescents (15–19 ans) traités par antidépresseurs en fonction de la classe thérapeutique, sur les bases de données de l’Assurance maladie du Québec (n = 28 200) et de la Colombie Britannique (n = 51 868). Ce risque est réduit avec les tricycliques, ce qui peut être lié à un biais de confusion par indication.
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Benmebarek, Zoubir, and Hanane Benaldjia. "Outpatient Psychotropic Drugs Prescription in El Madher Psychiatric Hospital Batna: a three months cross sectional study." Batna Journal of Medical Sciences (BJMS) 3, no. 1 (June 29, 2016): 2–8. http://dx.doi.org/10.48087/bjmsoa.2016.3102.

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Abstract:
Objectifs : Décrire et analyser les modalités de prescription de psychotropes chez des patients suivis en ambulatoire à l’hôpital psychiatrique. Méthodes : Etude descriptive transversale sur la prescription de psychotropes chez 509 patients, suivis à la consultation externe de l’EHS (Etablissement hospitalier spécialisé) psychiatrique d’El Madher, durant une période de trois mois (du 10 février 2015 au 10 Mai 2015). Résultats : Sexe ratio H : F 3,1 : 1. Age moyen : 40,7 ans, 67% avaient des antécédents d’hospitalisation. Les troubles avaient duré plus de 5 ans pour 69,7% des patients. Le diagnostic le plus fréquent était la schizophrénie (64,2%) suivi par les troubles anxieux (11,1%), les troubles bipolaires (3,7%) et les troubles dépressifs (2,9%). Uniquement 10,6% des patients étaient sous monothérapie ; le nombre moyen de médicaments par patient était de 2,8. Les antipsychotiques étaient les médicaments les plus prescrits (88,2%) suivis des anxiolytiques (38,3%) puis des antidépresseurs (26,5%). Un antiparkinsonien de synthèse est retrouvé chez 26,1% des cas et un thymorégulateur chez 16,6%. Les neuroleptiques à action prolongés étaient prescrits chez 19,1% de patients. Les antipsychotiques de première génération étaient prescrits chez 85,6% des patients schizophrènes et les antipsychotiques de seconde génération chez 62,1%. La majorité des patients recevaient une bithérapie antipsychotique (65%). Comparés aux tricycliques, les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine étaient plus prescrits dans les troubles dépressifs (60% vs 40%) et les troubles anxieux (54,4 % vs 36,8%). Les thymorégulateurs étaient prescrits dans les troubles bipolaires dans 63,1% des cas et dans la schizophrénie dans 13,7%. Les benzodiazépines étaient associées aux antidépresseurs dans les troubles dépressifs dans 86,7% des cas et dans les troubles anxieux dans 93%. Conclusions : On note une tendance vers la prescription des nouveaux médicaments antipsychotiques et antidépresseurs. La polymédication reste élevée. Il y a une utilisation importante de benzodiazépines dans les troubles anxieux et les troubles dépressifs.
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Bakchine, S. "Prescription initiale hospitalière ou prescription initiale de spécialiste ? Les médicaments à réserve hospitalière." Revue Neurologique 168 (April 2012): A210. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2012.01.547.

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Autret-Leca, Élisabeth, Lamiae Bensouda-Grimaldi, and Annie-Pierre Jonville-Béra. "De l'évaluation à la prescription des médicaments en pédiatrie." Enfances & Psy 25, no. 1 (2004): 81. http://dx.doi.org/10.3917/ep.025.0081.

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Le Moigne, Philippe. "La prescription des médicaments psychotropes : une médecine de l'inaptitude ?" Déviance et Société 27, no. 3 (2003): 285. http://dx.doi.org/10.3917/ds.273.0285.

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Raucoules, M., JF Quaranta, P. Staccini, F. Sanderson, S. Rabarijoana, S. Dumas, and D. Grimaud. "Évaluation de la prescription des médicaments dérivés du sang." Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation 15, no. 6 (January 1996): 974. http://dx.doi.org/10.1016/0750-7658(96)84727-7.

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Bala, Sharmin S., Timothy F. Chen, and Prasad S. Nishtala. "Reducing Potentially Inappropriate Medications in Older Adults: A Way Forward." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 38, no. 4 (March 27, 2019): 419–33. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980819000084.

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Abstract:
RÉSUMÉLa réduction des médicaments potentiellement inappropriés (MPI) chez les personnes âgées est un enjeu important selon de nombreux cliniciens et chercheurs à travers le monde, car ces médicaments accroissent significativement la morbidité et la mortalité dans la population plus âgée. La prévalence des MPI est un problème répandu malgré l’existence de plusieurs critères explicites et implicites de réduction des MPI chez les personnes âgées, les plus courants étant les critères de Beers, les critères STOPP/START et plusieurs critères nationaux spécifiques. Cette revue non systématique visait à examiner les critères de référence pour la réduction des MPI et à clarifier le rôle de certaines mesures, dont la déprescription, pour optimiser la prescription des médicaments chez les personnes âgées. Des recherches par mots-clés et termes MeSH ont été menées dans des bases de données électroniques. Les nombreux critères disponibles ont chacun leurs avantages et inconvénients. La déprescription, qui vise à réduire l’utilisation des MPI, a considérablement gagné en importance dans les initiatives associées à l’amélioration des pratiques de prescription. La déprescription est une approche méthodique qui implique l’arrêt graduel, éclairé et individualisé des médicaments inappropriés, avec un suivi rigoureux des patients pour assurer la détection d’événements indésirables ou de symptômes de rebond. Une approche combinée centrée sur le patient et le soignant favorise la collaboration entre les prescripteurs et les pharmaciens afin de réduire le nombre de MPI chez les personnes âgées.
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Ducousso-Lacaze, Alain. "Filiation et consommation de medicaments psychotropes." Revista Latinoamericana de Psicopatologia Fundamental 5, no. 3 (September 2002): 44–55. http://dx.doi.org/10.1590/1415-47142002003004.

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Abstract:
A partir de deux entretiens semi-directifs l’auteur présente certains aspects des résultats d’une recherche clinique réalisée avec des patients de l’hôpital général consommant des médicaments psychotropes. Il s’agit de mette en évidence comment, pour certains patients, la consommation et la prescription prennent un sens par rapport aux enjeux de la filiation narcissique. Les analyses cliniques portent essentiellement sur la fonction de support imaginaire de la transmission que peuvent revêtir les médicaments ainsi que leur rôle dans les conflits entre appartenance et différenciation à l’égard du groupe familial.
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Keddad, Abdellatif, Hocine Gacem, Amine Aissaoui, and Miloud Kaddar. "Drug-drug interactions in pharmacies: retrospective analysis of 2801 prescriptions." Batna Journal of Medical Sciences (BJMS) 2, no. 2 (December 30, 2012): 133–36. http://dx.doi.org/10.48087/bjmsoa.2015.2207.

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Abstract:
Introduction : les risques liés aux médicaments sont relativement élevés et constituent un sujet de préoccupation majeure dans les soins médicaux. Une grande partie des événements iatrogènes médicamenteux sont évitables et surviennent surtout au stade de prescription dont une grande partie est causée par les interactions. L’objectif de l’étude est d’estimer la prévalence des interactions et de les décrire selon le niveau de contrainte, par type de prescripteur et par secteur d’activité. Matériels et méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective incluant toutes les ordonnances comportant au moins deux médicaments, archivées au niveau d’une officine pharmaceutique de la ville de Batna de juillet 2013 à juillet 2014 dans le cadre du tiers payant. Les données ont été recueillies et enregistrées sur fichier Excel. La recherche des interactions s’est faite sur Thériaque®. Résultats : 2801 ordonnances ont été analysées dont 1973 (70,44%) provenaient du secteur privé. L’étude a totalisé 11 329 lignes de prescription avec une moyenne de 4,04 lignes par ordonnance avec des extrêmes allant de 2 à 14 lignes. 39,3% des prescriptions étaient rédigées par des médecins généralistes, majoritairement du secteur privé (55,4%). On a recensé 1987 interactions (0,71 interaction par ordonnance) avec une nette prédominance du secteur privé (76,6%). 94,5% étaient de niveau à prendre en compte et précaution d’emploi et seulement 5,08% d’associations déconseillées et 0,45% contre-indiquées. Enfin, l’analyse statistique a révélé que le nombre de lignes est un facteur de risque de survenue des interactions.
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Grabenstein, John D. "Should Vaccines Require a Prescription?" Annals of Pharmacotherapy 32, no. 4 (April 1998): 495–500. http://dx.doi.org/10.1345/aph.17313.

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Abstract:
OBJECTIVE: To review the rationale for requiring prescriptions to control vaccine access, in contrast to other medications. DATA SOURCES: Literature on immunization delivery and health-service barriers was reviewed via MEDLINE search and relevant textbooks. Additional literature was obtained from reference lists of pertinent articles. DATA SYNTHESIS: Society controls access to medications to protect consumers. Many medications have changed from prescription-only to over-the-counter (OTC) status. No parenteral drug has been switched, although insulin has long had OTC status. Limiting access to vaccines has advantages in record-keeping, storage, injection quality, and response to anaphylactic reactions. These advantages are outweighed by 600 000 people who will die over the next decade for lack of pneumococcal and influenza immunizations. Physicians see most of those who die of these diseases, but many neglect to vaccinate them. Three options are offered to expand access to these vaccines. The most feasible one involves expanding prescribing authority for pneumococcal and influenza vaccines to all licensed healthcare professionals and paraprofessionals with physiologic and pharmacologic expertise to responsibly vaccinate. Community pharmacies offer advantages as immunization delivery sites, in terms of proximity, hours of operation, and knowledge of people at highest risk. Expanded professional training can ensure high levels of public safeguards while expanding immunization delivery. CONCLUSIONS: Society decides the controls needed to protect the health of the people. If society restricts vaccine access too severely, people die needlessly. Increasing prescribing authority for pneumococcal and influenza vaccines to more health professionals will save many lives. OBJETIVO: Discutir argumentos a favor y en contra de requerir una receta como método de control de acceso a las vacunas. FUENTES DE INFORMACIÓN: Se realizó una búsqueda bibliográfica en MEDLINE y se revisaron libros de texto para obtener literatura relacionada a la inmunización y las barreras para obtener servicios de salud. Se obtuvo literatura adicional de las listas de referencias de manuscritos relacionados al tema. SÍNTESIS: La sociedad controla el acceso a medicamentos con el propósito de proteger a los consumidores. Muchos medicamentos que anteriormente sólo se podían obtener con receta médica shora se pueden obtener sin receta. Ningún medicamento que se administra por la vía parenteral se puede obtener sin receta con excepción de la insulina. Limitar el acceso a las vacunas tiene como ventajas un mayor control sobre el mantenimiento de expedientes, el almacenaje, la calidad del producto, y la respuesta a reacciones anafilácticas. Por otro lado, 600 000 personas morirán en la próxima década por no haber recibido inmunización contra neumococos y la influenza. Los proveedores de servicios de salud ven a muchos de los pacientes que mueren como consecuencia de estas enfermedades, pero muchos se niegan a vacunarlos. Se ofrecen tres opciones para expandir el acceso a estas vacunas: (1) otorgar autoridad de prescribir las vacunas a otros profesionales de la salud, (2) autorizar la venta de vacunas sin receta pero únicamente si son dispensadas y administradas por un farmacéutico con adiestramiento, y (3) autorizar la venta de las vacunas sin receta y confiar que el mercado limite su distribución únicamente en farmacias, tal como ocurre con insulina. La opción más viable tiene que ver con otorgar autoridad de prescribir vacunas contra neumococos e influenza a todos los profesionales y para-profesionales de la salud con conocimiento fisiológico y farmacológico suficiente para responsablemente vacunar. Las farmacias de comunidad ofrecen ventajas como lugares donde se podría vacunar a las personas en términos de proximidad, horario de operación, y conocimiento de las personas en alto riesgo. Para salvaguardar la seguridad pública ante la expansión en los servicios de inmunización es necesario asegurar que los ofrecimientos de adiestramiento profesional serán ampliados. CONCLUSIONES: La sociedad decide los controles necesarios para proteger la salud de las personas. Si la sociedad limita el acceso a las vacunas, algunas personas morirán innecesariamente. El aumentar la autoridad para prescribir vacunas contra neumococos y la influenza a un mayor número de profesionales de la salud salvará muchas vidas. OBJECTIF: Examiner la nécessité d'obtenir les prescriptions afin de contrôler l'accès aux vaccins contrairement à d'autres médicaments. REVUE DE LITTÉRATURE: La documentation scientifique concernant la distribution des vaccins et les normes du réseau de la santé ont été revisées à l'aide d'une recherche informatisée MEDLINE et de livres de références sur le sujet. De la documentation additionnelle a été obtenue des bibliographies provenants de manuscrits pertinents. RÉSUMÉ: La société contrôle l'accès aux médicaments dans le but de protèger le public. Plusieurs médicaments sont passés du statut de médicaments prescrits à celui de médicaments de vente libre (MVL). Aucun produit parentérale n'a changé de statut, quoique l'insuline a depuis longtemps un statut de MVL. L'accès limité aux vaccins facilite la tenue de livres, les conditions d'entreposage, la qualité de l'injection et la réponse à des réactions anaphylactiques. Ces avantages s'opposent cependant au fait que 600 000 individus mourront dans la prochaine décennie par manque d'immunisation contre le pneumocoque ou l'influenza. Les médecins voient la majorité de ces patients qui décéderont suite à ces troubles, mais plusieurs négligent de les vacciner. Trois options sont offertes pour accroître l'accès à ces vaccins. L'option la plus praticable implique d'élargir l'autorité en matière de prescriptions pour les vaccins contre le pneumocoque et l'influenza à tous les professionnels et paraprofessionnels licenciés de la santé avec expérience physiologique et pharmacologique afin de vacciner de façon responsable. Les pharmacies communautaires offrent des avantages comme sites de distribution des vaccins en terme de proximité, heures d'ouverture et connaissance des patients à risques plus élevés. Une formation plus étendue des professionnels peut assurer une protection accrue du public tout en élargissant la distribution des vaccins. CONCLUSIONS: La société décide des contrôles nécessaires à la protection de la santé du public. Si la société restreint l'accès aux vaccins trop sévèrement, des gens décèdent inutilement. Accroître l'autorité de prescrire les vaccins contre le pneumocoque et l'influenza à plus de professionnels de la santé pourrait sauver des vies.
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Autret-Leca, E., L. Bensouda-Grimaldi, C. Le Guellec, and A. P. Jonville-Béra. "L'enfant et les médicaments : application à la prescription en pédiatrie." Archives de Pédiatrie 13, no. 2 (February 2006): 181–85. http://dx.doi.org/10.1016/j.arcped.2005.10.023.

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Préville, Michel, Cindy Bossé, Helen-Maria Vasiliadis, Philippe Voyer, Claudine Laurier, Djamal Berbiche, Guiilhème Pérodeau, et al. "Correlates of Potentially Inappropriate Prescriptions of Benzodiazepines among Older Adults: Results from the ESA Study." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 31, no. 3 (July 17, 2012): 313–22. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980812000232.

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Abstract:
RÉSUMÉLes données de l’étude ESA ont été appariées aux données d’utilisation des services médicaux et pharmaceutiques de la Régie d’assurance maladie du Québec pour documenter la prescription potentiellement non appropriée de benzodiazépines chez les personnes âgées. Nos résultats indiquent que 32% des répondants ont pris une dose journalière moyenne de 6.1 mg de l’équivalent diazépam pour une durée moyenne de 205 jours par année. Nos résultats indiquent aussi que presque la moitié, 48% des utilisateurs de benzodiazépines, ont reçu au moins une prescription de benzodiazépine potentiellement non appropriée pendant les 12 mois qui précédaient l’étude. Près de 23% des consommateurs ont reçu au moins une prescription concomitante de Bzs et d’un autre médicament pouvant résulter en une interaction sérieuse. De plus, les personnes âgées de 75 ans et plus avaient plus de chances de recevoir une Bz pour une longue période de temps que les personnes âgées de 65-74 ans. Cette étude a montré que la durée d’utilisation des benzodiazépines augmentait avec le nombre de prescripteurs et avec le nombre de pharmacies consultées pendant l’année. Le nombre de pharmacies utilisées a aussi été associé avec la présence d’une ordonnance non appropriée de benzodiazépines pendant la même année. Nos résultats plaident en faveur d’un système de santé plus intégré, incluant une révision régulière des médicaments pris par les personnes âgées.
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Renaud, A., C. Wattecamps, S. Blondiaux, C. Moens, and E. Zawadzki. "Dispensation nominative automatisée des médicaments en EPSM : évaluation du motif de non administration de son impact coût." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 647–48. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.014.

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Abstract:
Dans le cadre de la sécurisation du circuit du médicament, l’établissement s’est doté d’un automate de dispensation. Il permet de faire une dispensation journalière individuelle des formes sèches prescrites en systématique. Chaque jour, une bande de sachet par patient est produite (1 sachet = 1 spécialité et 1 horaire). Nous avons évalué la part des traitements non administrés et leur impact économique. Les 16 unités de soins conservent les sachets non administrés. La pharmacie les collecte. Une base de données Excel est incrémentée pendant un mois : nombre de sachets et contenus. Une cause probable de non administration est recherchée via le Pharma. L’outil statistique de l’automate indique le nombre de sachets fabriqués sur la période. Le coût unitaire des médicaments est extrait du logiciel Pharma. Les coûts humain et en consommables ne sont pas traités.4,12 % des sachets sont rendus, ce qui représente 3,94 % du coût global journalier (16,03 €/j). Les principaux motifs sont les sorties/permissions (47 %), une utilisation de la dotation (19 %), une modification de prescription (15 %) ou la prescription non conditionnelle des hypnotiques et anxiolytique au coucher (14 %). Les classes médicamenteuses retrouvées sont les antipsychotiques (21 %), les anxiolytiques (21 %), les hypnotiques (11 %), les normothymiques (7 %) et les antidépresseurs (5 %). Parmi les autres, on retrouve majoritairement des correcteurs, des médicaments à visée cardiovasculaires et des vitamines. Extrapolés sur un an, le coût des retours représente 0,79 % du budget annuel de la pharmacie. Cette part a pu être partiellement diminuée par :– une communication efficace et constante avec les services afin d’anticiper les sorties et permissions des patients ;– la sensibilisation des médecins à prescrire en si besoin les prises du soir ;– un rappel des horaires de production Bien que l’impact économique soit faible, la sensibilisation de l’ensemble des acteurs doit donc être poursuivie.
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Bouchard, Rachel, and Denis Lafortune. "Perceptions des éducateurs quant à la prise de médicaments psychotropes par les adolescents placés en centres jeunesse dans la région montréalaise." Drogues, santé et société 5, no. 1 (November 28, 2006): 105–37. http://dx.doi.org/10.7202/014304ar.

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Abstract:
Résumé Dans la région montréalaise, trois études de prévalence montrent que de 20 à 36 % des mineurs hébergés en centre de réadaptation reçoivent une médication psychotrope. Compte tenu du faible taux d’observance du traitement susceptible d’être remarqué chez cette clientèle suivie en contexte d’autorité, du manque de connaissances quant au rôle et aux attentes des intervenants psychosociaux lorsqu’il y a prescription, et de la valeur symbolique du médicament qui risque d’influencer le déroulement et l’issue du traitement, une étude exploratoire basée sur dix-neuf entretiens semi-directifs a été conduite. Elle vise à recueillir les perceptions des éducateurs à qui on a confié la prise en charge de jeunes placés ayant une prescription. Les résultats indiquent que, désormais, la prise de médicaments psychotropes par les adolescents s’inscrit couramment dans la démarche générale de rééducation et de relation d’aide. Les grandes attentes des éducateurs par rapport à la possibilité d’obtenir une meilleure disponibilité des jeunes sur les plans cognitif et émotionnel en témoignent. Par ailleurs, les relations entre le jeune, le médecin et l’intervenant psychosocial, mais aussi avec la famille et le groupe de pairs viennent moduler les comportements d’observance. Le souci de responsabiliser les jeunes et leurs parents apparaît constant dans le propos des éducateurs.
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El Alaoui, Mustapha Zine, Alexandre Guy, Loubna Khalki, Youness Limami, Ali Benomar, Nabil Zaid, Yahia Cherrah, Hassan Mekhfi, Rachida Cadi, and Younes Zaid. "Antiplaquettaires actuels, en cours de développement et cibles thérapeutiques." médecine/sciences 36, no. 4 (April 2020): 348–57. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2020061.

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Abstract:
Les maladies cardiovasculaires (MCV) sont la première cause de mortalité dans le monde. Les plaquettes jouent un rôle majeur dans le développement de ces maladies et la mise au point d’antiplaquettaires efficaces constitue une priorité dans le cadre de la lutte contre la mortalité liée aux MCV. L’aspirine et les médicaments de la famille des thiénopyridines sont les agents antiplaquettaires les plus utilisés actuellement. Ces médicaments ciblent des voies de signalisation impliquées dans l’initiation de l’agrégation, exerçant ainsi un effet antiplaquettaire modéré. D’autres médicaments aux effets plus importants, comme les molécules dirigées contre le récepteur GPIIb/IIIa, inhibent l’agrégation plaquettaire indépendamment de la voie de signalisation initiant l’activation plaquettaire, mais ils sont associés à des complications hémorragiques majorées. Étant données les caractéristiques spécifiques de chacun de ces agents antiplaquettaires, leur prescription nécessite de prendre en compte le type d’évènement cardio-vasculaire, l’âge et les comorbidités du patient traité et, bien sûr, les effets secondaires hémorragiques potentiels de la molécule qui est prescrite. Apparaît donc la nécessité de mettre au point de nouvelles molécules ayant un effet plus ciblé, gardant une efficacité optimale, mais permettant une réduction du risque hémorragique qui constitue la principale limite des médicaments antiplaquettaires.
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Sanogo, M., A. A. Oumar, S. Maiga, S. M. Coulibaly, A. Dembele, M. Harama, and B. Koumare. "Prescription des médicaments essentiels génériques dans une commune rurale du Mali." Le Pharmacien Hospitalier 44, no. 4 (December 2009): 181–85. http://dx.doi.org/10.1016/j.phhp.2009.10.009.

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Gardette, V., P. Cestac, C. Cantet, E. Reynish, M. Lapeyre-Mestre, S. Andrieu, and B. Vellas. "Comparaison européenne de la prescription de médicaments spécifiques antidémentiels : l’étude ICTUS." Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 57 (October 2009): S92. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2009.07.003.

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39

Lafuente-Lafuente, Carmelo, Elena Paillaud, and Joël Belmin. "Prescription des médicaments chez les personnes âgées : des améliorations sont nécessaires." La Presse Médicale 42, no. 2 (February 2013): 168–70. http://dx.doi.org/10.1016/j.lpm.2012.12.001.

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40

Seigneur, E. "Prescription des médicaments psychotropes en oncologie pédiatrique : enjeux, spécificités et recommandations." Psycho-Oncologie 12, no. 2 (June 2018): 131–37. http://dx.doi.org/10.3166/pson-2018-0036.

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41

Bouvenot, Gilles, Jean Sassard, and Jean-Louis Montastruc. "Pour une utilisation optimale des associations fixes de médicaments. Recommandations de prescription." Bulletin de l'Académie Nationale de Médecine 201, no. 1-3 (January 2017): 41–44. http://dx.doi.org/10.1016/s0001-4079(19)30486-8.

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Pilorge, C., and J. Rochut. "Effet de la densité des médecins généralistes sur la prescription de médicaments." Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 63 (March 2015): S20. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2015.01.044.

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Chaby, G., L. Valeyrie-Allanore, T. A. Duong, B. Lebrun-Vignes, B. Milpied, B. Sassolas, F. Tetart, P. Wolkenstein, O. Chosidow, and L. Fardet. "Toxidermies sévères liées à une prescription inappropriée des médicaments : étude nationale rétrospective." Annales de Dermatologie et de Vénéréologie 144, no. 12 (December 2017): S54. http://dx.doi.org/10.1016/j.annder.2017.09.028.

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Collin, Johanne. "Entre discours et pratiques les médecins montréalais face à la thérapeutique, 1869-1890." Revue d'histoire de l'Amérique française 53, no. 1 (October 2, 2002): 61–92. http://dx.doi.org/10.7202/005360ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Dans la perspective large de questionner les aspects sociaux et culturels du recours aux médicaments à différentes époques, cet article se penche sur l'usage de la thérapeutique dans la seconde moitié du XIXe siècle. Il vise à mieux cerner la place du médicament dans les pratiques de santé à une époque charnière du développement de la pharmacothérapie et notamment à scruter les pratiques médicales à cet égard. Qu'en est-il des attitudes des médecins québécois, et plus spécifiquement des médecins montréalais, face à la thérapeutique au cours des dernières décennies du XIXe siècle? Comment prescrivent-ils? Que prescrivent-ils? Comment se situe la réalité de leurs pratiques par rapport au discours médical qui a jusqu'ici constitué la principale source pour saisir l'utilisation de la thérapeutique au XIXe siècle? Ce sont les questions auxquelles nous cherchons réponse à travers l'analyse croisée de deux sources : l'ordonnancier d'un pharmacien montréalais (Henry R. Gray) qui témoigne des pratiques réelles et quotidiennes de prescription des médecins et la presse médicale montréalaise qui permet de retracer le discours médical sur l'usage de la thérapeutique entre 1869 et 1890.
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Aubin, H. J. "Comment conjuguer approche psychothérapique et nouveaux paradigmes pharmacologiques ?" European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 3. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.006.

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Abstract:
L’Agence européenne des médicaments a récemment approuvé la mise sur le marché du premier médicament visant la réduction de la consommation chez les personnes alcoolodépendantes. Jusque là, tous les médicaments proposés dans l’alcoolodépendance s’adressaient à des patients devant viser (implicitement ou explicitement) l’abstinence. Ce nouveau paradigme pharmacologique a évidemment un impact marqué sur l’approche psychothérapeutique des patients.Entretien motivationnelLe nouveau paradigme pharmacologique permet de renforcer l’idée que le choix de l’objectif du traitement (réduction ou abstinence) ne doit pas être imposé par le thérapeute, mais sera le fruit de l’interaction thérapeute-patient. Le respect du choix de l’objectif par le patient permet d’éviter le phénomène de « réactance psychologique », phénomène induit par la menace d’entraver la liberté d’action d’un individu. La réactance psychologique se manifeste par la tentative de restaurer cette liberté perdue. D’où des réactions paradoxales à la prescription de l’abstinence par le thérapeute.Thérapie cognitivo-comportementale de l’alcoolodépendanceLes programmes les plus classiquement proposés en France sont orientés vers l’abstinence. Les stratégies classiques de gestion du craving ou le développement d’un plan d’urgence pour faire face à un faux-pas sont typiquement adaptées à l’objectif de l’abstinence, mais pas à celui de la réduction. De nouveaux principes doivent être intégrés pour la réduction de la consommation d’alcool : définition de l’objectif de consommation (fréquence, quantité, situations), monitoring rigoureux, et stratégies de modération de la consommation (rythme, alternance avec boissons non alcoolisées,…). Finalement, alors que l’état d’esprit de la prise en charge est notablement modifié avec l’intégration du nouveau paradigme vers plus de souplesse et d’acceptation par le thérapeute, l’essentiel des composantes psychothérapiques reste similaire à l’approche classique orientée vers l’abstinence.
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Rouillard-Labbé, Lindy, and Valérie Scott*. "La constitutionnalité de l’interdiction de publicité directe des médicaments d’ordonnance." McGill Law Journal 54, no. 1 (October 1, 2009): 133–76. http://dx.doi.org/10.7202/038180ar.

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Abstract:
Résumé L’interdiction de publicité directe des médicaments d’ordonnance (PDMO) au Canada implique une confrontation entre d’une part, le droit des individus à l’information et la liberté d’expression des entreprises et d’autre part, la protection de la santé publique. Réagissant notamment au recours intenté en 2005 par CanWest Media Works (maintenant Canwest Media) devant la Cour supérieure de l’Ontario dans le but de faire déclarer inconstitutionnelle cette interdiction, les auteures soutiennent que l’interdiction de PDMO de la Loi sur les aliments et drogues et du Règlement sur les aliments et drogues (RAD) viole la liberté d’expression protégée par la Charte canadienne des droits et libertés, mais que cette violation est justifiée par l’article premier de la Charte. S’appuyant sur des positions théoriques, sur des études empiriques sur les effets de la PDMO et sur la jurisprudence pertinente en matière constitutionnelle, les auteures expliquent d’abord pourquoi elles interprètent le RAD comme interdisant toute PDMO, y compris les publicités de rappel. Concluant à une atteinte à la liberté d’expression, elles examinent ensuite cette atteinte et sa justification au regard de l’article premier de la Charte. Les auteures jugent que protéger les Canadiens contre les effets préjudiciables de la PDMO sur la santé publique est un objectif dont la réalité et l’urgence sont attestées par les résultats de plusieurs études. Ces dernières concluant, entre autres, à l’existence d’une corrélation entre la PDMO et l’augmentation des prescriptions des médicaments publicisés, les auteures estiment qu’il existe un lien rationnel entre l’interdiction de PDMO et l’objectif visant à prévenir l’influence de telles publicités sur la relation entre le patient et le médecin, l’acte de prescription et la santé du patient. Les auteures soutiennent finalement que la prohibition quasi absolue de publicité aux consommateurs reste une atteinte minimale, car aucune alternative ne permettrait d’atteindre l’objectif du législateur
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Michelon, H., J. Marcel, M. Coudert, M. Veyssiere, S. Krifi, K. Julliard, L. Pochat, C. Fernandez, M. Verny, and M. Antignac. "Prescription de médicaments génériques en sortie d’hospitalisation : évaluation dans un service de gériatrie." Le Pharmacien Hospitalier et Clinicien 47 (February 2012): S80. http://dx.doi.org/10.1016/j.phclin.2011.12.194.

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Maiga, D., A. Diawara, and M. D. Maiga. "Évaluation de la prescription rationnelle et de la dispensation des médicaments au Mali." Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 54, no. 6 (December 2006): 497–505. http://dx.doi.org/10.1016/s0398-7620(06)76749-9.

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Biclet, Philippe. "La prescription de médicaments n'ayant pas l'amm en France n'est pas nécessairement fautive." Médecine & Droit 2001, no. 47 (March 2001): 28. http://dx.doi.org/10.1016/s1246-7391(01)90009-0.

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Thoër, Christine, and Michèle Robitaille. "Utiliser des médicaments stimulants pour améliorer sa performance : usages et discours de jeunes adultes québécois." Drogues, santé et société 10, no. 2 (January 16, 2013): 143–83. http://dx.doi.org/10.7202/1013481ar.

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Abstract:
L’utilisation de médicaments stimulants par les étudiants pour améliorer la performance académique en l’absence de trouble de déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH) et hors du cadre de la prescription, est une pratique qui semble gagner en popularité auprès des étudiants américains. Cette recherche exploratoire basée sur des entrevues semi-dirigées réalisées auprès de 26 jeunes adultes québécois étudiants et travailleurs, âgés de 20 à 25 ans, visait à documenter l’usage de stimulants et à cerner les significations qu’ils construisent autour de ces utilisations. Nos résultats montrent qu’étudiants et travailleurs recourent aux stimulants pour augmenter leur concentration et leur capacité à rester alertes dans le but d’améliorer la qualité de leur travail et leur productivité. Les discours que construisent ces jeunes adultes autour de ces pratiques renvoient à trois problématiques : une faille personnelle, un déséquilibre perçu entre les ressources personnelles et les contraintes qu’impose l’environnement académique ou professionnel et une difficulté à concilier les engagements dans des rôles multiples. Le recours aux médicaments stimulants est ainsi présenté par les jeunes adultes comme une stratégie d’automédication ou comme une ressource pour favoriser l’adaptation aux exigences de l’environnement ou aux multiples engagements identitaires. Les médicaments stimulants sont perçus comme des produits efficaces et relativement sécuritaires, et leur utilisation pour améliorer la performance est jugée légitime puisqu’elle vise la réussite académique ou professionnelle.
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