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Dissertations / Theses on the topic 'Mélanome – Thérapeutique'

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Delyon, Julie. "PDE4 : cible thérapeutique dans le mélanome cutané." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2017. http://www.theses.fr/2017USPCC312/document.

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Abstract:
Le mélanome cutané métastatique était un cancer au pronostic particulièrement péjoratif, jusqu’au développement récent de 2 classes pharmacologiques: l’immunothérapie, pour tous les mélanomes, et les thérapies ciblées, principalement pour les mélanomes porteurs de la mutation BRAF (50% des mélanomes cutanés). Mais l’apparition de résistance, et l’absence de thérapies ciblées sur les mélanomes non mutés BRAF, incitent à rechercher de nouvelles cibles thérapeutiques. Notre travail portait sur l’étude in vitro de la phosphodiestérase de type 4 (PDE4), une enzyme régulant la voie de l’AMPc, principale voie de différenciation mélanocytaire. L’objectif était d’évaluer le rôle de PDE4 dans le mélanome, et l’effet de son inhibition par des molécules pharmacologiques déjà disponibles sur le marché.Dans une première partie, nous avons étudié le rôle de PDE4 dans les cellules de mélanomes mutés sur BRAF. Nous avons montré que l’isoforme PDE4D5 est surexprimée dans le mélanome, et régule l’invasion cellulaire par un mécanisme faisant intervenir la focal adhesion kinase, FAK. Dans les tumeurs nous avons observé une association entre le niveau d’expression de PDE4D5 et le degré d’invasion du mélanome.Dans une seconde partie, nous avons étudié l’effet de l’inhibition de PDE4 sur la prolifération cellulaire. Nous avons montré que la croissance des cellules de mélanome muté BRAF cultivées sous forme de mélanosphères, enrichies en cellules initiatrices de tumeurs, est réduite en présence d’inhibiteurs de PDE4. De plus les lignées BRAF muté résistantes aux inhibiteurs de BRAF gardent une sensibilité aux inhibiteurs de PDE4. Ces résultats, et ceux de l’équipe établis dans le mélanome muté sur RAS, corroborent l’hypothèse que PDE4 pourrait être une cible thérapeutique d’intérêt dans le traitement du mélanome métastatique<br>Metastatic melanoma was associated with a pejorative prognosis, until the recent development of 2 pharmacological classes: immunotherapy for all types of melanomas and targeted therapies, mainly for melanomas carrying the BRAF mutation (50% of skin melanomas). However, the emergence of resistance, and the absence of targeted therapies to treat non-mutated BRAF melanomas, prompt further research to study new therapeutic targets.Our work focused on the in vitro study of phosphodiesterase type 4 (PDE4), an enzyme regulating the cAMP pathway, the main pathway controlling melanocyte differentiation. The objective was to evaluate the role of PDE4 in melanoma and the effect of its inhibition by already available pharmacological molecules.First, we studied the role of PDE4 in BRAF mutated melanoma cells. We found that the PDE4D5 isoform is overexpressed in melanoma cells, and regulates cell invasion through a mechanism involving a focal adhesion kinase (FAK). We observed in tumor samples an association between the level of expression of PDE4D5 and the degree of invasion by melanoma cells.Second, we studied the effect of PDE4 inhibition on cell proliferation. We found that the proliferation of BRAF mutated melanoma cells grown as melanospheres, enriched with tumor-initiating cells, is reduced in the presence of PDE4 inhibitors. In addition, mutated BRAF strains resistant to BRAF inhibitors remain sensitive to PDE4 inhibitors. These results corroborate the hypothesis that PDE4 could be a potential target in the treatment of metastatic melanoma
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Quillien, Véronique. "Vaccination thérapeutique dans le mélanome à l'aide de cellules dendritiques." Rennes 1, 2006. http://www.theses.fr/2006REN1B093.

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Abstract:
Durant les années 90, la découverte chez l'homme d'antigènes de tumeur et de techniques d'obtention de cellules dendritiques (DCs) conduisait aux 1ers essais de vaccination par des DCs chargées d'antigènes. A cette époque le Centre Eugène Marquis de Rennes développait des thérapies cellulaires utilisant des macrophages autologues. Ces travaux allaient valider diverses techniques, comme les procédés de culture cellulaire, les injections intra-lymphatiques ou le suivi des cellules radiomarquées qui allaient être repris dans un essai clinique utilisant des DCs chez 14 patients atteints d'un mélanome métastatique. Lors de cet essai, rapporté dans ce travail, les DCs étaient préparées à l'aide du VacCell processor (IDM), maturées une nuit en présence de Ribomunyl° et d'interféron-gamma, puis pulsées avec les peptides Melan-A et/ou NA-17A. Les DCs étaient injectées à intervalle mensuel, par voie intra-lymphatique (injection 1) et intra-ganglionnaire (injections 2 et 3). Le marquage préalable des DCs à l'111In-oxine a montré que la voie intra-lymphatique permettait d'acheminer un nombre précis de DCs dans plusieurs ganglions, contrairement à la voie intra-ganglionnaire plus aléatoire. De nombreuses DCs matures, synthétisant de fortes quantités d'IL-12p70, étaient présentes dans les préparations. Cependant, aucune réponse clinique objective n'a été observée, bien qu'une réponse immunologique ait été initiée chez environ la moitié des patients. Ces résultats incitent à proposer des approches de nouvelle génération combinant la vaccination à des thérapies bloquant les effets indésirables, en particulier ceux liés à l'activation de cellules suppressives.
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Marquette, Amélie. "Signalisation et oncogenèse dans le mélanome." Thesis, Paris Est, 2009. http://www.theses.fr/2009PEST0079.

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Abstract:
Le mélanome, la tumeur cutanée la plus agressive, est devenu un problème majeur de santé publique dans de nombreux pays. Diagnostiqué précocement, il peut être traité par excision chirurgicale, mais le pronostic pour les mélanomes plus avancés est très mauvais car cette tumeur est résistante à toutes les thérapies utilisées à ce jour. Dans le but de développer de nouvelles thérapies pour traiter cette tumeur, nous étudions les voies de signalisation qui jouent un rôle prépondérant dans la prolifération, la survie et la différenciation des mélanocytes et des mélanomes. Il s’agit de la voie des MAPK, la voie PI3K et la voie de l’AMP cyclique (AMPc). Nous avons tout d’abord démontré que certaines phosphodiestérases (PDE ; les inhibiteurs physiologiques de la voie de l’AMPc) sont surexprimées dans les lignées de mélanomes et inhibent ainsi la différenciation de ces cellules. La surexpression des PDEs est nécessaire à la transformation des mélanocytes par l’oncogène Ras alors que la réactivation de la voie de l’AMPc dans les lignées de mélanome inhibe leur prolifération. Ces données suggèrent qu’une stratégie thérapeutique qui aurait pour objectif de stimuler la différenciation des mélanomes en réactivant la voie de l’AMPc pourrait permettre d’inhiber leur prolifération. Nous avons par ailleurs montré que la protéine kinase B-Raf, qui est fréquemment mutée dans les mélanomes, était cependant inactivée dans les mélanomes contenant une mutation de Ras. Nous avons démontré que cette inhibition était due à une régulation négative de B-Raf par son substrat Erk. En effet, Erk phosphoryle B-Raf sur sa partie amino-terminale pour empêcher son interaction avec Ras. Ce mécanisme de régulation négative de B-Raf force ces lignées de mélanomes à utiliser l’isoforme C-Raf. Ce travail a des conséquences sur le traitement du mélanome. En effet, si B-Raf n’est pas utilisé pour l’activation de la voie des MAPK dans les mélanomes mutés N-Ras, les inhibiteurs de B-Raf en développement clinique seront inefficaces dans ces cancers. Nous avons par ailleurs démontré qu‘un inhibiteur des kinases B-Raf et C-Raf, en développement clinique (Sorafenib), induisait l’activation de ces kinases par hétérodimérisation en régulant leur phosphorylation. Ces résultats mettent en évidence de nouveaux mécanismes de régulation des proto-oncogènes B-Raf et C-Raf qui pourraient jouer un rôle important dans la résistance des mélanomes aux inhibiteurs de Raf qui sont actuellement en développement clinique<br>Melanoma, the most aggressive skin tumor, has become a major public health problem in many countries. Diagnosed early, it can be treated by surgical excision, but the prognosis for advanced melanoma is very poor because the tumor is resistant to all therapies used today. In order to develop new therapies to treat this tumor, we study the signaling pathways that play a major role in the proliferation, survival and differentiation of melanocytes and melanoma. These are the MAPK, PI3K pathway and the cyclic AMP (cAMP). We first demonstrated that some phosphodiesterases (PDEs; physiological inhibitors of cAMP pathway) are overexpressed in melanoma lines and thus inhibit the differentiation of these cells. Overexpression of PDEs is necessary for melanocyte transformation by oncogenic Ras when the reactivation of the cAMP pathway in melanoma lines inhibits their proliferation. These data suggest a therapeutic strategy that would aim to stimulate the differentiation of melanoma by reactivating the cAMP pathway could help to inhibit their proliferation. We have also shown that the protein kinase B-Raf, which is frequently mutated in melanoma, however, was inactivated in melanomas containing a mutation of Ras. We demonstrated that this inhibition was due to a downregulation of B-Raf by Erk substrate. Indeed, Erk phosphorylates B-Raf on its amino-terminal to prevent its interaction with Ras. This negative regulatory mechanism of B-Raf melanoma is forcing these lines to use isoform C-Raf. This work has implications for the treatment of melanoma. Indeed, if B-Raf is not used for the activation of MAPK in N-Ras mutated melanoma, the B-Raf inhibitors in clinical development will be ineffective in these cancers. We also demonstrated that a kinase inhibitor of B-Raf and C-Raf, which is in clinical development (Sorafenib), induces the activation of these kinases by heterodimerization in regulating their phosphorylation. These results reveal new mechanisms of regulation of proto-oncogene B-Raf and C-Raf, which could play an important role in the resistance of melanoma to Raf inhibitors, which are currently in clinical development
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Donnou, Emmanuelle. "Description d'une approche thérapeutique de précision dans le mélanome métastatique : utilisation d'oligonucléotides antisens." Thesis, Rennes 1, 2016. http://www.theses.fr/2016REN1B053.

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Abstract:
Le mélanome cutané est la forme la plus mortelle des cancers cutanés, due à une dissémination métastatique importante. La prise en charge thérapeutique du stade métastatique a été révolutionnée il y a cinq ans avec les autorisations de mise sur le marché des thérapies ciblées (inhibiteurs des kinases BRAF V600- et de MEK) et des immunothérapies (anticorps monoclonaux anti-CTLA-4, anti-PD1, anti-PD-L1). Malgré la prolongation de la survie des patients, le développement de résistances aux inhibiteurs de BRAF, la toxicité et le faible taux de réponse aux immunothérapies sont problématiques. Pour ces raisons, l'identification de nouvelles cibles thérapeutiques reste une priorité. Notre équipe a récemment identifié une fonction non-codante d'un ARN messager (ARNm). Cet ARNm présente un mécanisme original d'éponge à microARN (miARN) impliqué dans le développement du mélanome. L'ARNm est stabilisé par la fixation d'un miARN sur des éléments de reconnaissance (MRE) non-canoniques, situés au sein de la séquence de l'ARNm. Une fois séquestré sur ces MRE non-canoniques, ce miARN ne peut plus exercer son activité suppresseur de tumeur. En particulier, il ne peut plus réguler post-transcriptionnellement l'expression d'une protéine impliquée dans la prolifération cellulaire. Nous avons démontré, dans le contexte du mélanome métastatique, que cet ARNm éponge est une cible thérapeutique pertinente. L'approche thérapeutique repose sur l'utilisation d'oligonucléotides antisens (ASO) qui masquent les sites de séquestration du miARN, c'est-à-dire les MRE non-canoniques, dans le but de libérer le miARN de l'éponge et de restaurer ses fonctions de régulation. Nous avons fait la preuve de concept du mode d'action de ces ASO et de leurs effets biologiques. Nous avons démontré que ces ASO diminuent la densité cellulaire in vitro et ralentissent la croissance tumorale dans un modèle murin de xénogreffe de cellules de mélanome ainsi que dans un modèle murin de xénogreffes de tumeurs dérivées de patients (PDX). Cette approche thérapeutique est innovante d'une part dans l'usage qui est fait des ASO, et d'autre part dans le concept de libération de miARN d'une éponge, qui permet de restaurer une régulation cellulaire post-transcriptionnelle anti-proliférative. Cette approche est spécifique de la présence de l'éponge et n'a pas d'équivalence en oncologie ni dans aucune autre pathologie<br>Cutaneous melanoma is the most deadly form of skin cancer, due to major metastatic spread. Therapeutic care of metastatic stage has been revolutionized five years ago with the approvals of targeted therapies (BRAF V600- and MEK kinases inhibitors) and immunotherapies (monoclonal antibodies directed against CTLA-4, PD1 and PD-L1). Patients overall survival is now prolonged, but resistances to kinases inhibitors, low response rate to immunotherapies, and systemic toxicities are problematic. For these reasons, it remains necessary to identify new therapeutic targets. Our team has recently identified a non-coding function of a messenger RNA (mRNA). This mRNA acts as a microRNA (miRNA) sponge and is implicated into melanoma burden. This mRNA is stabilized by the binding of a miRNA onto non-canonical recognition elements (MREs), located within mRNA sequence. When sequestered on these non-canonical MREs, this miRNA cannot exert its tumor suppressor function. In particular, it cannot anymore post-transcriptionally regulate the expression of a protein implicated into cell proliferation. We demonstrated, in the context of metastatic melanoma, that this sponge mRNA is a relevant therapeutic target. The therapeutic approach uses oligonucleotides antisens (ASO) to mask sequestration sites, which are non-canonical MREs, in the objective to free miRNAs from the sponge and to restore its functions. We made the proof of concept of the molecular mechanism and the biological effects of ASOs. We demonstrated that these ASOs decrease cell density in vitro and slow down tumor growth in a melanoma xenograft mouse model and in a patient-derived xenograft melanoma mouse model. This is a very innovative therapeutic approach by the way we use ASO, and on the concept of liberating miRNA from sponge sequestration, in order to reset a post-transcriptional anti-proliferative cellular regulation. This approach is specific for the sponge and has no equivalence in oncology
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Blanc, Valéry-Emmanuel. "Modifications biologiques dans le mélanome malin." Paris 5, 1995. http://www.theses.fr/1995PA05P027.

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Prouteau, Anaïs. "Les mélanomes muqueux canins comme modèle génétique et thérapeutique des mélanomes muqueux humains." Thesis, Rennes 1, 2020. http://www.theses.fr/2020REN1B024.

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Abstract:
Ma thèse s’inscrit dans le cadre de l’oncologie comparée et a porté sur l’étude génétique du mélanome muqueux (MM) chez le chien qui développe spontanément des mélanomes buccaux, fréquents dans certaines races et particulièrement sévères. Ils constituent de bons modèles naturels pour les MM humains, rares et très agressifs L’analyse par séquençage d’exome de 70 cas de MM canin par l’équipe a permis d’identifier des altérations géniques somatiques récurrentes. J’ai d’abord travaillé sur les amplifications focales des chromosomes canins CFA30 et CFA10 sur une cohorte de 73 cas de MM canins. J’ai montré que ces altérations étaient présentes dans la moitié des cas et que l’amplification du CFA 30 avait une valeur pronostique péjorative. Nous avons montré que ces gènes amplifiés étaient surexprimés et avaient un rôle dans la prolifération cellulaire. Le séquençage de génomes entier de 4 lignées cellulaire canines a montré que ces amplifications focales signaient des réarrangements chromosomiques complexes, à l’instar de ce qui est observé dans les MM humains. En parallèle, l’analyse transcriptomique de 32 cas de MM canins nous a permis de distinguer deux sous-groupes moléculaires : l’un caractérisé par la surexpression de gènes de l’immunité et l’autre par la surexpression d’oncogènes comme TERT et MITF. De plus, ces deux groupes se distinguent par leur leur type de variants structuraux, plus nombreux dans le second groupe. Ces résultats suggèrent l’utilisation de l’immunothérapie et de thérapies ciblées respectivement. Ces travaux ont permis de mieux caractériser les MM canins sur le plan génétique et ouvrent des perspectives thérapeutiques profitant à la recherche translationnelle en médecine humaine et vétérinaire pour les mélanomes non liés aux UV<br>My PhD is in the frame of the comparative oncology field about the genetic study of mucosal melanoma (MM) in dogs, that spontaneously develop oral melanoma, frequent in some breed and severe. Thus, it constitutes a good natural model for human MM that is rare and very aggressive. The exome sequencing analysis of 70 canine MM cases by the team allowed to identify recurrent somatic alterations. I first focused on amplifications on canine chromosome (CFA) 10 and 30. On a cohort of 73 cases, I showed that the amplification of CFA 30 had a prognostic value. We showed that amplified genes were also overexpressed and had a role on tumour cell proliferation. The whole genome sequencing of canine cell lines showed that those amplifications signed complex chromosomal rearrangements, as it is seen in human MM. In the same time, the transcriptomic analysis of 32 canine MM samples showed the existence of two molecular subgroups: the first characterized by the overexpression of genes related to immune microenvironment, and the second by overexpression of oncogenes like TERT and MITF. Moreover, those groups differ in their structural variants content, more important in the second one. Those results suggest the use of different therapies, immunotherapy and targeted therapy respectively. This work allowed to better characterize genetics of canine MM and opens therapeutic perspectives to benefit human and veterinary oncology for non UV-induced melanomas
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Touati, Laurence. "Stade ganglionnaire régional des mélanomes des membres inférieurs : curage inguinal thérapeutique versus curage inguino-iliaque thérapeutique." Bordeaux 2, 1997. http://www.theses.fr/1997BOR23012.

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Vercellino, Laetitia. "Contribution de différents biomarqueurs à l’élaboration d’une stratégie thérapeutique dans le mélanome BRAF muté." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2017. http://www.theses.fr/2017USPCC323/document.

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Abstract:
Le mélanome métastatique est resté longtemps synonyme de pronostic catastrophique en raison de la faible efficacité des traitements disponibles. Depuis quelques années, de nombreuses innovations thérapeutiques ont révolutionné la prise en charge de ces patients, avec l’autorisation de mise sur le marché de traitements modulateurs de l’immunothérapie d’une part et de thérapies ciblant la voie des MAP kinases destinées aux patients porteurs de la mutation BRAF (présente dans environ 50% des mélanomes) d’autre part.Les inhibiteurs de BRAF et de MEK sont à l’origine de réponses spectaculaires, mais le contrôle de la maladie est généralement limité dans le temps, avec l’apparition de résistances au traitement entraînant une progression de la maladie. Etablir des stratégies thérapeutiques permettant de retarder ou de contourner ces résistances s’avère donc primordial. Pour ce faire, des biomarqueurs ou outils prédictifs de la réponse, in vitro et in vivo, peuvent contribuer à mieux stratifier les patients, et personnaliser leur prise en charge.Dans une première partie, nous avons comparé l’apport respectif d’un traceur de prolifération cellulaire, la 18F-FLT, et du traceur de consommation de glucose le 18F-FDG, dans l’évaluation thérapeutique d’une xénogreffe de mélanome BRAF muté traité par un inhibiteur de BRAF. Nous avons confirmé la place prépondérante du 18F-FDG, et étayé l’intérêt des index volumiques pour le suivi thérapeutique, notamment avec la 18F-FLT.Dans une seconde partie nous avons évalué in vivo la capacité d’un schéma d’administration intermittente à retarder l’apparition de résistance par rapport à un schéma d’administration continue dans des xénogreffes BRAF mutées traitées par une combinaison d’inhibiteurs BRAF/MEK. Dans nos modèles expérimentaux, il ne semblait pas y avoir de supériorité de l’administration intermittente. Toutefois nos expérimentations n’ont pas permis de trancher de façon formelle la question.Dans une troisième partie, nous avons voulu reproduire le schéma d’administration intermittent ex vivo en utilisant la technique d’histocultures. Nous avons par ailleurs évalué la possibilité pour des histocultures issues de tumeurs de patients de prédire la réponse aux thérapies ciblées chez ces mêmes patients. Les histocultures semblent un outil fiable pour guider les choix thérapeutiques. La documentation des modifications génétiques et de l’hétérogénéité moléculaire du mélanome pourrait également inciter à adapter la stratégie en fonction de l’agressivité présumée du mélanome chez un patient donné<br>Metastatic melanoma has long been synonymous of dismal prognosis, due to the weak efficacy of available treatments. Numerous therapeutic innovations have profoundly modified the management of these patients, with marketing authorizations of therapies targeting the MAP Kinases pathway for patient with BRAF mutated melanoma (about 50% of patients) on the one hand and immune checkpoint inhibitors on the other hand.BRAF and MEK inhibitors result in dramatic responses, but disease control is generally short-lived, with onset of drug resistance leading to disease progression. Designing therapeutic strategies allowing delaying or bypassing this resistance phenomenon is of primary importance. Thus, in vitro and vivo biomarkers or tools predictive of response could help stratifying patients, and personalize each patient’s management.In the first part, we compared the respective value of a proliferation tracer, 18F-FLT, and of the glucose consumption tracer, 18F-FDG for therapeutic evaluation of a BRAF mutated melanoma xenograft, treated by a BRAF inhibitor. We confirmed the predominant role of 18F-FDG, and backed up the potential interest of volumetric parameters for therapeutic follow-up, especially with 18F-FLT.In a second part we assessed in vivo the ability of an intermittent schedule to delay resistance onset, compared with a continuous schedule in BRAF mutated xenografts treated by a BRAF/MEK inhibitors combination. In our experimental models, there did not seem to be any superiority for the intermittent schedule. However our experiments did not allow us to draw any final conclusions on the subject.In a third part, we tried to reproduce ex vivo the intermittent schedule with histocultures device. We also assessed the possibility for histocultures with patient derived tumours to predict response to targeted therapies in the same patients. Histocultures appear as a relevant tool to guide therapeutic choice. Determination of genetic modifications and molecular heterogeneity may also prompt tailoring therapeutic strategy depending on the supposed aggressiveness of a melanoma in a given patient
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Cerezo, Michaël. "Effets des antidiabétiques et de leurs dérivés sur le mélanome." Electronic Thesis or Diss., Nice, 2014. http://www.theses.fr/2014NICE4059.

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Abstract:
Le mélanome représente 8000 nouveaux cas par an et plus d'un millier de décès. Dés l'apparition de métastases, le pronostic devient très mauvais en raison de l'inefficacité de tous les traitements. Enfin, bien que des résultats encourageants aient été obtenus récemment avec des thérapies ciblées, ces réponses restent insuffisantes. L'identification de nouvelles molécules candidates est donc un élément essentiel pour le traitement du mélanome. Pendant la 1ère partie de ma thèse, je me suis intéressé à la metformine. Nous avons observé une diminution de l’invasion des cellules de mélanome dépendante de l'activation de l’axe AMPK/ p53 en réponse à la metformine. Ainsi, nous avons démontré pour la 1ère fois que la metformine peut être utilisée pour inhiber l'invasion des cellules de mélanome. Ensuite, je me suis intéressé à d'autres antidiabétiques, les TZD. Grâce à un criblage structure / activité, nous avons identifié une nouvelle molécule, le HA15, dérivé des TZD et ayant une très forte activité anti-mélanome. Nous avons montré que le HA15 induit un stress du RE (UPR), par l'intermédiaire de la protéine chaperon Bip, conduisant à l'activation de l'apoptose et de l'autophagie, entraînant ainsi la mort des cellules. Cette étude a permis d’identifier une nouvelle molécule efficace contre le mélanome et renforce l'idée que l'UPR pourrait être une cible thérapeutique pour le traitement du mélanome<br>Melanoma accounts for 8000 new cases each year and more than a thousand deaths. If diagnosed early enough, wide surgical excision may be sufficient to treat. However, at the onset of metastasis, the prognosis becomes very bad due to the ineffectiveness of all treatments. Finally, although encouraging results were recently obtained with B-Raf inhibitors and immunotherapy, these responses are insufficient. So identification of new candidate molecules is an essential element for melanoma treatment. During the first part of my PhD, I was interested in metformin, the most commonly used molecule for the treatment of type 2 diabetes mellitus. It had been shown in our laboratory that metformin reduces melanoma cells viability in vitro and in vivo. Melanoma is a highly metastatic cancer, so I focused on the potential effect of metformin on melanoma cells invasion. We observed a decrease of melanoma cells invasion dependent on the activation of AMPK / p53 axis in vitro and in vivo. So we have shown for the first time that metformin can be used to inhibit melanoma cells invasion.During the second part of my PhD, I have been interested in other antidiabetic drugs, thiazolidinediones (TZD). Through a structure / activity screening we identified a molecule, HA15, derived from TZD and having a very strong anti-melanoma activity in vitro and in vivo. We showed that HA15 induced unfolded protein response (UPR), via the chaperone protein Bip, leading to autophagy and apoptosis activation, and resulting in cell death. This study identified a new molecule potentially effective against melanoma and reinforces the idea that UPR could be a therapeutic target for melanoma treatment
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Weidmann, Cindy. "Caractérisation des mécanismes moléculaires à potentiel thérapeutique dans la progression métastatique du mélanome uvéal." Doctoral thesis, Université Laval, 2017. http://hdl.handle.net/20.500.11794/35053.

Full text
Abstract:
Le mélanome uvéal, qui origine de la transformation anormale des mélanocytes de l’uvée, et représente la tumeur intraoculaire la plus fréquente chez l’adulte. Plus de 40% des patients ne ressentent ni douleur, ni troubles visuels lors du développement de la tumeur oculaire, ce qui explique le dépistage tardif de ce cancer et la présence de métastases au foie lors du diagnostic initial dans près de la moitié des cas. Une méta-analyse a souligné l’inefficacité des thérapies disponibles étant donné le peu d’études cliniques de phase III complétées dans les 30 dernières années pour traiter le mélanome uvéal métastatique. L’objectif général de mon projet de doctorat consistait à caractériser des mécanismes moléculaires à potentiel thérapeutique dans la progression des métastases du mélanome uvéal qui pourraient être ciblés pour traiter les patients ayant reçu un mauvais pronostic. Mon premier objectif consistait à caractériser les effets de la répression pharmacologique du récepteur 2B de la sérotonine (HTR2B) dans les cellules cancéreuses métastatiques du mélanome uvéal. Nous avons démontré que l’antagoniste sélectif PRX-08066 réduit la viabilité des cellules du mélanome uvéal et la population en mitose et altère leur potentiel d’auto-renouvellement et de migration avec une sensibilité variable d’une lignée à l’autre. De plus, nous avons observé une diminution de la phosphorylation de kinases des voies de signalisation classiquement activées par HTR2B, ainsi que des kinases β-caténine, PYK2 et STAT5 dans les cellules traitées. Mon second objectif consistait à caractériser le profil d’hydroxyméthylation (5-hmC) de l’ADN durant la progression du mélanome uvéal. Nous avons montré une réduction du niveau global de 5-hmC dans les lignées cancéreuses du mélanome uvéal comparativement à la choroïde et aux mélanocytes. De plus, nos analyses ont révélé une diminution de l’expression de l’enzyme IDH1 dans les cellules cancéreuses et une seule lignée comportait une mutation dans ce gène. Mon troisième objectif consistait à tester différents taux d’oxygène (3% vs 21%O2) pour la culture in vitro des lignées mélanocytaires. Nous avons démontré que la morphologie des mélanocytes et leur pigmentation sont légèrement changées lorsqu’exposés à 3% O2 comparativement aux cellules cancéreuses. De plus, leur temps de doublage était significativement plus rapide dans ces conditions. Le profilage génique des mélanocytes choroïdiens n’a pas révélé une longue liste de transcrits considérablement dérégulés entre les deux concentrations d’oxygène : seul le transporteur de lactate MCT4 était dérégulé de manière significative à 3% O2 chez tous les donneurs. Mes travaux de doctorat ont donc permis l’avancement des connaissances sur le promoteur de métastases HTR2B de la signature moléculaire pronostique, l’hydroxyméthylation de l’ADN et l’hypoxie dans le mélanome uvéal, ce qui contribuera au développement d’une thérapie adjuvante ou épigénétique pour améliorer la survie des patients.<br>Uveal melanoma (UM) originates from the abnormal transformation of uveal melanocytes and is the most common intraocular tumor in adults. More than 40% of patients do not experience pain or visual disturbances during the development of their ocular tumor, which explains the late detection of this cancer in nearly half of the cases, and the presence of liver metastases at the initial diagnosis. A meta-analysis highlighted the ineffectiveness of available therapies given the limited number of phase III clinical studies completed in the past 30 years to treat metastatic UM. The general objective of my PhD project was to characterize molecular mechanisms with therapeutic potential in the metastatic progression of UM that could be targeted to treat patients with poor prognosis. My first objective was to characterize the effects of the pharmacological repression of the serotonin 2B receptor (HTR2B) in metastatic UM cells. We demonstrated that the selective antagonist PRX-08066 reduces both the viability of UM cells and the population in mitosis, and alters their potential for self-renewal and migration, with an interindividual variability in sensitivity. In addition, we observed a decrease in the phosphorylation of kinases of the signaling pathways classically activated by HTR2B, as well as new targets such as β-catenin, PYK2 and STAT5 in the treated cells. My second objective was to characterize the DNA hydroxymethylation profile (5-hmC) during UM progression. We have shown a reduction in the overall level of 5-hmC in UM cell lines compared to choroid and uveal melanocytes. Furthermore, our analyzes revealed a decrease in the expression of the IDH1 enzyme in UM cells and only one UM cell line showed a mutation in this gene. My third objective was to test different levels of oxygen (3% vs 21% O2) for the in vitroculture of melanocytic lines. We showed that the morphology of melanocytes and their pigmentation are slightly changed when exposed to 3% O2compared to UM cells. Moreover, their doubling time was significantly faster under these conditions. The gene profiling of choroidal melanocytes did not reveal a long list of significantly deregulated transcripts between both oxygen concentrations : only the lactate transporter MCT4 was significantly deregulated in all donors at 3% O2. My doctoral work enabled the advancement of knowledge on the HTR2B metastasis promoter from the prognostic molecular signature, DNA hydroxymethylation and hypoxia in UM, which will contribute to the development of an adjuvant or epigenetic therapy to improve patient survival.
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Migault, Mélodie. "La séquestration de microARN dans le mélanome métastatique : du mécanisme moléculaire au candidat thérapeutique." Thesis, Rennes 1, 2017. http://www.theses.fr/2017REN1B014/document.

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Abstract:
Les microARN (miARN) sont de petits ARN non-codants dont la principale fonction est de réprimer l’expression génique en s’hybridant par complémentarité de séquence à leurs cibles ARN. L’activité des miARN est également régulée par leurs cibles qui entrent en compétition pour leur liaison. Certains de ces ARN compétiteurs endogènes (ARNce) résistent à la répression induite par le miARN et vont alors les séquestrer. Ils sont appelés éponges à miARN. La dérégulation des réseaux d’ARNce et des éponges à miARN est impliquée dans des processus pathologiques tels que le cancer. Au cours de ma thèse, nous nous sommes intéressés à la séquestration des miARN dans le mélanome cutané. Le mélanome provient de la transformation maligne du mélanocyte, une cellule spécialisée dans la production de pigment. S’il n’est pas pris en charge à temps, des métastases apparaissent et se disséminent rapidement dans l’organisme (ganglions, foie, poumons, cerveau, etc.). Des solutions thérapeutiques existent mais une faible proportion de patients y répondent de manière efficace nécessitant de nouvelles stratégies de traitement. Nous avons mis en évidence que l’ARN messager (ARNm) de TYRP1, gène spécifiquement exprimé dans le mélanocyte et donc le mélanome, porte le rôle d’éponge à miARN dans le mélanome métastatique. Ce rôle est indépendant de la fonction protéique de TYRP1. Nous avons déterminé que l’ARNm de TYRP1 séquestre le suppresseur de tumeurs miR-16 via des sites de liaison (MRE-16) non-canoniques. Les MRE-16 non-canoniques permettent à l’ARNm de TYRP1 de ne pas être dégradé par le miR-16 et le rendent donc plus stable dans la cellule de mélanome. La majorité du pool de miR-16 est ainsi séquestrée et ne peut donc plus réprimer ses cibles intervenant dans la prolifération cellulaire et la croissance tumorale in vivo. Afin de remettre en activité le miR-16 au sein de la cellule de mélanome, nous avons utilisé la technologie du « target site blocker » (TSB), un oligonucléotide antisens modifié ayant une forte stabilité et affinité pour sa cible. Le TSB, spécifique du MRE-16 de l’ARNm de TYRP1, entre en compétition pour la liaison à l’ARNm de TYRP1 avec le miR-16 pour permettre sa libération et son action sur ses cibles effectrices. Nous avons montré in vitro et in vivo via un modèle murin de xénogreffe de tumeur dérivée de patient que la stratégie du TSB est efficace contre le mélanome métastatique. Ces travaux ont permis l’identification d’un nouveau mécanisme oncogénique basé sur la séquestration de miARN et proposent une nouvelle stratégie de thérapie ciblée contre le mélanome métastatique<br>MicroRNAs (miRNAs) are small non-coding RNAs. They fine tune gene-expression through specific complementary interaction with their RNA targets. The miRNA repressive function towards a given RNA is highly regulated and in part dependent on the abundance of its other targets competing for miRNA’s binding. Some of these competing endogenous RNAs (ceRNAs) can resist to miRNA-mediated RNA decay thereby sequestering miRNAs. They are named miRNA sponges. Deregulation of ceRNAs and miRNA sponges networks are implicated in many pathologic processes including cancer. My PhD work focused on miRNA sequestration in cutaneous melanoma. Melanomas arise from the malignant transformation of melanocytes; the skin-cell specialized in pigment production. Most melanoma undergoes metastatic evolution, with metastatic cells spreading rapidly in the entire organism (lymph node, liver, lungs, brain, etc.). Early and complete resection of primary in situ melanoma is thus determinant for patient outcome. Since 2010, potent therapeutic options have been developed. Unfortunately, patients ultimately develop resistance while some are non-responders. There is thus an urgent need to develop new therapeutic strategies to treat metastatic melanoma. We have identified that the Tyrosinase Related Protein 1 (TYRP1) mRNA function as a miRNA sponge. TYRP1 is specifically expressed in the melanocytic lineage. TYRP1 mRNA governs melanoma growth endorsing thereby a non-coding function. We demonstrated that TYRP1 mRNA sequesters the tumor suppressor miR-16 via non-canonical miRNA binding sites (MREs-16). Non-canonical miR-16 binding lacks mRNA decay function favoring TYRP1 mRNA stability and miRNA sequestration. Sequestered miR-16 can no more repress its canonical targets involved in cell proliferation and tumor growth. To reset miR-16’s activity and block melanoma growth, we used “Target Site Blocker” (TSB). TSBs are modified antisense oligonucleotides with enhanced stability and affinity to its target. We designed a TSB, named TSB-T3, overlapping specially TYRP1 non-canonical MRE-16. We first showed that TSB-T3 binds to TYRP1 mRNA and competes with miR-16. Freed miR-16 binds to its canonical targets inducing their decay. TSB-T3 blocks melanoma cell growth in vitro and in vivo, using patient-derived tumor xenograft. We thus showed for the first time that TSB’s strategy redirecting a tumor suppressor miRNA is a potent tool to monitor metastatic melanoma growth. Together my PhD work brings out a new oncogenic mechanism based on miRNA sequestration and proposes an original strategy of targeted therapy against metastatic melanoma
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Rivollier, Julie. "Synthèse de nouveaux composés hétérocycliques et leur application potentielle comme anti-cancéreux cutanés." Strasbourg, 2009. http://www.theses.fr/2009STRA6276.

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Abstract:
Le mélanome malin est une maladie grave qui peut toucher l’ensemble de la population. Même si les campagnes de prévention des risques liés au soleil se multiplient, les comportements sont difficiles à changer. C’est pourquoi le nombre de cas de mélanomes malins augmente chaque année. Cette maladie est traitée par simple excision chirurgicale si elle est détectée à temps. Cependant, la forte propension de ce cancer à se propager en fait une cible des traitements plus invasifs comme la radiothérapie, l’immunothérapie et la chimiothérapie. Malgré l’évolution constante du nombre de cas de mélanomes et du taux de mortalité lié à ce dernier, les molécules utilisées en chimiothérapie pour le traitement du mélanome ne sont pas adaptées à cette maladie. Ce ne sont que des solutions palliatives et le taux de mortalité reste très élevé. Ces travaux de thèse, réalisés dans le cadre d’un contrat CIFRE avec la société NOVALIX, ont eu pour objet principal, la synthèse de composés susceptibles d’être actifs sur le mélanome malin. Nous avons ainsi synthétisé des molécules de type imidazotriazinone fonctionnalisés en un nombre d’étapes limité, des molécules de type pyrazolodiazépane fonctionnalisés avec une synthèse en 10 étapes transposables sur des quantités importantes et des molécules de type tetrahydropyrazolopyridine. Une étude de méthodologie a également été réalisée sur le dernier type de composés. Des tests d’activités biologiques d’une dizaine des composés synthétisés, ont été réalisés sur des lignées de mélanomes malins et ont montré une activité très intéressante d’une famille de molécules sur ce type de lignée cancéreuse<br>Malignant Melanoma is a serious disease that can affect each part of the population. Despite several prevention campaigns, behaviors toward sun are difficult to change. That is why the number of cases of malignant melanoma increases each year. When this disease is detected early, it can be treated by a simple chirurgical excision. However, this cancer tends to spread and make it to be a target for much invasive treatment such as radiotherapy, immunotherapy or chemotherapy. In spite of the increasing number of malignant melanoma and of the mortality rate due to the disease, none of the molecules used in chemotherapy are efficient toward this cancer. Indeed, these molecules are only palliatives measures making the mortality rate to stay high. The aim of this PhD work, done thanks to the financial support of NOVALIX, was to synthesize molecules that could show activities on malignant melanoma cells. So, different types of molecules have been synthesized, some imidazotriazinones in a limited number of steps, compounds of pyrazolodiazepane type in a 10 steps pathway and tetrahydropyrazolopyridine compounds. A methodology study had even been done on the last compounds. Biological assays have been done for about ten compounds and the results put the emphasis on the fact that a family of molecules shows interesting activity on malignant melanoma cells
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Landras, Alexandra. "Evaluation d'une nouvelle stratégie d'inhibition d'EMMPRIN dans le mélanome : vers une nouvelle stratégie thérapeutique ciblée." Thesis, Université de Paris (2019-....), 2020. http://www.theses.fr/2020UNIP7180.

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Abstract:
Le mélanome est une tumeur maligne du système pigmentaire de la peau et son incidence est en constante augmentation dans le monde. Malgré le progrès thérapeutique et le développement des thérapies ciblées (mélanomes mutés BRAF) et de l’immunothérapie, son pronostic reste mauvais notamment pour les formes mutées NRAS et celles résistantes à ces traitements. L’apparition de cette résistance est l’un des problèmes majeurs dans le traitement des patients atteints de mélanome, et le développement de nouvelles stratégies thérapeutiques est nécessaire pour les contrer. CD147 est une glycoprotéine transmembranaire surexprimée dans de nombreux types de cancers, dont le mélanome, et sa surexpression est associée au mauvais pronostic. CD147 joue un rôle dans l’invasion, dans l’angiogenèse et dans le métabolisme cellulaire. Notre équipe a récemment mis en évidence un nouveau rôle de CD147, celui d’être un corécepteur du principal récepteur de l’angiogenèse, le VEGFR-2. L’objectif de ce travail est, l’évaluation du potentiel de l’inhibition de l’interaction CD147/VEGFR-2, comme piste thérapeutique dans le traitement des mélanomes. Cette étude a permis le design d’un peptide (CD147i) potentiellement inhibiteur de cette interaction et l’évaluation de ses effets antitumoraux. Nous avons pu montrer que CD147i entrainait dans les cellules de mélanomes mutées NRAS, une diminution des propriétés malignes in vitro et de la croissance tumorale in vivo via un mécanisme impliquant la voie de signalisation STAT3. De plus, dans des modèles de xénogreffes dérivées de mélanomes de patients, mutées NRAS, et résistants au MEK inhibiteur (MEKi), l’association CD147i/MEKi permet de les sensibiliser, entrainant une diminution de la prolifération cellulaire, ex vivo ainsi qu’une régression de la croissance tumorale, in vivo.Ces résultats permettent de valider l’intérêt du ciblage de l’interaction CD147/VEGFR-2 dans le mélanome, et apportent la preuve du concept de l’efficacité de CD147i dans le traitement des mélanomes mutés NRAS, en particulier, ceux résistants aux MEKi<br>Melanoma is a malignant tumor of the pigmentary system of the skin and its incidence is steadily increasing worldwide. Despite therapeutic progress and the development of targeted therapies and immunotherapy, its prognosis remains poor, especially for the NRAS mutated forms, and those resistant to these treatments. The emergence of resistance with current treatments is one of the major problems in the treatment of melanoma patients, and the development of new therapeutic strategies is necessary to counter this resistance.CD147 is a transmembrane glycoprotein overexpressed in many types of cancer including melanoma, and its overexpression is associated with poor prognosis. CD147 plays a role in invasion, angiogenesis, and cell metabolism. Our team recently demonstrated a new role for CD147, to be a coreceptor of the main angiogenesis receptor, VEGFR-2. The objective of this work is to evaluate the inhibition of CD147/VEGFR-2 interaction, as a potential therapeutic strategy in melanoma treatment. This study enabled the design a peptide (CD147i) potentially inhibitor of this interaction and the evaluation of its anti-tumor effects. We have been able to show that CD147i induces in NRAS mutated melanoma cells, a decrease of malignant properties in vitro, and tumor growth in vivo, through a mechanism involving STAT3 signaling pathway. In addition, in xenograft models derived from NRAS mutated patient’s melanomas, resistant to MEK inhibitor (MEKi), CD147i/MEKi association makes these tumors sensitive, leading to a decrease in cell proliferation ex vivo as well as tumor growth regression in vivo.These results validate the interest of targeting CD147/VEGFR-2 interaction in melanoma, and provide proof of concept of the efficacy of CD147i in the treatment of NRAS mutated melanomas, in particular those resistant to MEKi
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Farres-Mohty, Anne-Marie. "Effets immunomodulateurs du traitement par interféron-alpha chez des patients atteints de mélanome." Aix-Marseille 2, 2007. http://www.theses.fr/2007AIX20651.

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Rouanet, Jacques. "Radiothérapie interne du mélanome métastatique pigmenté : mécanismes et associations." Electronic Thesis or Diss., Université Clermont Auvergne‎ (2017-2020), 2019. http://www.theses.fr/2019CLFAS033.

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Abstract:
La radiothérapie interne vectorisée ou RIV consiste à adresser spécifiquement un isotope radioactif aux tumeurs grâce à un vecteur spécifique. Dans le cas du mélanome, le vecteur utilisé pour la RIV peut être un anticorps ciblant des antigènes de surface ou la mélanine, des analogues peptidiques capables de se fixer sur des récepteurs tumoraux (comme le récepteur à la melanocyte-stimulating hormone) ou des petites molécules se liant à la mélanine (dérivées des benzamides). Ainsi, notre équipe travaille sur cette dernière stratégie depuis 15 avec la molécule phare [ 131 I]ICF01012. De nombreuses études précliniques ont permis un essai clinique de phase I, MELRIV1, qui est ouvert depuis juillet 2019 (NCT03784625). En parallèle de cet essai,nous avons poursuivi la caractérisation préclinique des effets d’[ 131 I]ICF01012 en monothérapie et en association avec les traitements actuels du mélanome, dans la perspective d’essais cliniques de phase II.Ce travail est divisé en deux axes :1) étudier les effets de la RIV par [ 131 I]ICF01012 sur les principaux mécanismes impliqués dans la progression du mélanome : la dissémination métastatique et la pseudo-transition épithélio-mésenchymateuse, l’activation de la voie des MAPK et l’échappement à la réponse immunitaire antitumorale ;2) évaluer des combinaisons d’[ 131 I]ICF01012 avec les traitements actuels du mélanome métastatique : thérapies ciblant la voie des MAPK et inhibiteurs de checkpoints immunitaires.Pour le premier axe, grâce à un modèle de sphéroïdes, nous avons montré que la RIVpar [ 131 I]ICF01012 modifiait l’expression de gènes et de protéines impliquées dans la pTEM et pouvait donc permettre de limiter la dissémination métastatique. Ces modifications s’accompagnaient également d’une différentiation des cellules de mélanome, associée à l’induction d’une pigmentation. Nous avons également mis en évidence, dans les sphéroïdes BRAF et NRAS mutés, une activation de la voie des MAPK dans les suites de la RIV, qui peut traduire l’installation d’une radiorésistance. L’association de la RIV aux inhibiteurs de MEK dans le modèle de sphéroïdes a démontré la possibilité d’utiliser ces molécules pour radiosensibiliser les cellules de mélanome présentant une activation constitutionnelle de la voie des MAPK avec une augmentation majeure de l’apoptose. Nous avons également montré l’impact d’[ 131 I]ICF01012 sur la dissémination métastatique par voie hématogène, notamment, par ciblage des cellules circulantes, et par voie lymphatique, par diminution du nombre de métastases ganglionnaires. Nous avons également montré in vitro et in vivo la très grande radiosensibilité de la lignée NRAS 1007, qui présente une mutation Q61K du gène NRAS.Pour la deuxième partie, le modèle murin syngénique B16F10 a permis de montrer que les effets immunitaires de la RIV s’appuient sur le déclenchement d’une mort immunogénique,permettant la mise en place d’une réponse immunitaire adaptative et le recrutement de cellules T cytotoxiques au sein de la tumeur. Cependant, la mise en place de cette réponse s’accompagnait aussi du recrutement de lymphocytes T régulateurs, qui peuvent contribuer à l’échappement de la tumeur à la réponse immunitaire. L’association de la RIV aux inhibiteurs de checkpoints immunitaires a permis de montrer que la mise en place de la tolérance immunologique était un phénomène majeur induit [ 131 I]ICF01012 alors que l’épuisement des cellules T semblait plus anecdotique. De plus, nous avons montré dans notre modèle, que la réduction de la tolérance immunologique par un anticorps anti-CTLA-4 conduisait à un accroissement de l’épuisement des cellules T. Nous avons également obtenu des résultats très prometteurs en termes de survie, notamment pour l’association de la RIV avec un anticorps anti-CTLA-4, qui conduisait à un allongement significatif de la survie par rapport aux monothérapies,sans augmentation de la toxicité. (...)<br>Targeted radionuclide therapy (TRT) is a therapeutic strategy which consists in specificallyaddressing a radionuclide to tumor by targeting, through a specific vector. For melanoma TRT,the vector could be an antibody targeting surface antigens or melanin, a peptidomimetic ableto bind to receptors (i.e. the melanocyte-stimulating hormone receptor) or some smallmolecules which specifically bind to melanin (benzamides). Our research is focused on the latterclass with the lead molecule [ 131 I]ICF01012 developed in our unit for 15 years. Promisingpreclinical studies have resulted in a phase I clinical trial, MELRIV1, opened since July 2019(NCT03784625). In line with this trial, we pursued the preclinical characterization of [ 131 I]ICF01012effects in monotherapy and in combination with current melanoma treatments.We then defined two main axes:1) [ 131 I]ICF01012 impact on main mechanisms involved in melanomagenesis: metastaticdissemination and epithelial-mesenchymal-like transition, activation of the MAPK pathway andescape from anti-tumor immune response;2) [ 131 I]ICF01012 combination with current treatments: potential benefit assessmentIn the first axis, we developed a spheroid model and showed that [ 131 I]ICF01012 alteredthe expression of genes and proteins involved in pTEM and could therefore limit metastaticdissemination. These modifications brought also melanoma cell differentiation and induction ofpigmentation. Importantly, we showed the efficiency of [ 131 I]ICF01012 on metastaticdissemination by hematogenous route, targeting circulating cancer cells, and by lymphaticroute, decreasing number of lymph node metastases. We also demonstrated in vitro and in vivothe very high radiosensitivity of Q61K mutated NRAS 1007 cells. We also demonstrated, in themutated BRAF and NRAS spheroids, an activation of the MAPK pathway following TRT irradiation,traducing radioresistance appearance.For the second part, combination of TRT with MEK inhibitors in the spheroid modeldemonstrated the possibility of using these molecules to radiosensitize melanoma cells withconstitutional activation of the MAPK pathway. This radiosensitization lead to a major increase ofapoptosis. In the B16F10 syngeneic mouse model, we showed that TRT immune effects rely onimmunogenic cell death initiation, leading to adaptive immune response and cytotoxic T cellrecruitment. These mechanisms come with recruitment of regulatory T-cells which can contributeto tumor escape from immune response. Combination of TRT with immune checkpoint inhibitorsevidenced that immunological tolerance was a major induced mechanism following[ 131 I]ICF01012 irradiation while T-cell exhaustion appeared as a minor phenomenon. In addition,we were able to show that the reduction of immunological tolerance by an anti-CTLA-4antibody increases T-cell exhaustion. Furthermore, TRT combined with immune checkpointinhibitors, especially with anti-CTLA-4, led to a significant increase of survival compared tomonotherapies, with no increase of toxicity.Taken together, these results confirm the potential role of TRT using [ 131 I]ICF01012 in themanagement of metastatic melanoma. Notably, association with inhibitors of checkpointsinhibitors appears to be very promising for further clinical trials following the Phase I trial of[ 131 I]ICF01012
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Biber, Pierric. "Implication des enzymes de déubiquitination dans la progression et la réponse thérapeutique des mélanomes." Electronic Thesis or Diss., Université Côte d'Azur, 2022. http://theses.univ-cotedazur.fr/2022COAZ6024.

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Abstract:
Le mélanome est la cause majoritaire de décès associés aux cancers de la peau. Sa forte hétérogénéité, son haut potentiel métastatique et sa capacité de résistance au traitement expliquent cette agressivité. Malgré l'apparition des thérapies ciblées inhibant la voie oncogénique BRAF/MEK et des immunothérapies dont les résultats sont impressionnants à court-terme, de nombreux patients sont en échec thérapeutique. En effet la plasticité des cellules de mélanome est responsable de la mise en place rapide de programmes d'adaptation au traitement. Parmi eux, se trouve la capacité de rigidifier la matrice extracellulaire (MEC) qui est lue par la cellule à l'aide du mécanosenseur YAP. Celui-ci engage un programme transcriptionnel renforçant cette rigidification. Par conséquent, une boucle d'amplification positive s'installe ce qui aboutit à un échappement thérapeutique mécano-dépendant des cellules de mélanome. L'identification de nouveaux acteurs de cette boucle et leur ciblage pourrait constituer une nouvelle approche pour lutter contre la résistance thérapeutique. L'activation aberrante de voies oncogéniques ou de résistance au traitement implique la surexpression de protéines et déstabilise ainsi l'homéostasie protéique. Cette dernière est assurée par l'activité protéolytique du système ubiquitine protéasome. En opposition, les déubiquitinases (DUBs) clivent le signal ubiquitine d'adressage à la dégradation pour stabiliser leur substrat. Dans de nombreux cancers, ces enzymes sont détournées afin de moduler des voies oncogéniques impliquées dans la prolifération, l'invasion et/ou la résistance au traitement. Dans ce contexte, les DUBs sont des candidates idéales pour trouver de nouveaux acteurs de la mécanorésistance du mélanome.Pour les identifier, nous avons couplé une culture de cellules de mélanome sur des matrices de collagène de différentes rigidités avec une technique biochimique d'étiquetage de l'activité des DUBs. En y associant la protéomique quantitative nous avons identifié USP9X dont l'activité est augmentée avec la rigidification de la matrice. Des analyses in silico additionnelles révèlent que YAP appartient à l'interactome de USP9X et montrent une corrélation entre l'expression de USP9X et la signature transcriptionnelle de YAP dans le mélanome. Nous avons donc fait l'hypothèse que l'activité DUB de USP9X stabilise YAP dans le mélanome. En accord avec celle-ci, nous avons montré que la déplétion et le ciblage pharmacologique de USP9X diminuent l'expression de YAP au niveau protéique sans impacter son messager. A l'inverse, la déplétion de l'E3 ligase βTRCP augmente le niveau protéique de YAP. De plus à l'aide d'une technique biochimique nous avons observé une accumulation de la forme polyubiquitinée de YAP sous inhibition combinée de USP9X et du protéasome. Ceci indique que l'activité de USP9X empêche la dégradation de YAP par le protéasome. Nous avons aussi observé que le ciblage de USP9X empêche la mise en place de programmes induits par la rigidification de la matrice comme la translocation nucléaire de YAP, la migration cellulaire et l'invasion. Nous avons généralisé ces observations dans d'autres types de cellules tumorales et dans les fibroblastes associés au cancer, suggérant une large action de USP9X dans la régulation des voies de mécanotransduction tumorale via YAP. Enfin, dans un modèle de mélanome murin syngénique, nous avons montré que le ciblage de USP9X améliore l'efficacité des inhibiteurs de BRAF/MEK, contrecarre le remodelage du collagène induit par les médicaments et retarde la récidive tumorale.Ces travaux révèlent que la mécano-activation de USP9X stabilise l'oncoprotéine YAP, permettant ainsi la mise en place de la boucle d'amplification positive entre YAP et la rigidification de la MEC et donc l'échappement thérapeutique du mélanome. Par conséquent nous proposons que USP9X constitue une «mécano-DUB » ainsi qu'une cible thérapeutique pertinente dans le mélanome métastatique réfractaire<br>Melanoma is the deadliest skin cancer due to its heterogeneity, high metastatic potential and propensity to form resistance. Despite the current therapies, including targeted therapies against BRAF/MEK oncogenic pathway and immunotherapies, most of patients are still prone to therapeutic failure. Melanoma cell high plasticity is to blame for the rapid onset of therapeutic resistance through adaptation programs. One such program is the ability of melanoma cells to induce extracellular matrix (ECM) stiffening. This ECM remodeling will then be converted into a transcriptional program by the YAP mechanosensor that will promote a feed-forward mechanical loop leading to increase stiffess and therapy resistance. Identification and targeting of new actors of this loop of mechanoresistance can represent new opportunities to fight treatment resistance. Abnormal activation of such oncogenic pathway implicated in resistance often result in protein overexpression leading to proteostasis imbalance. To prevent this, cancer cells rely on the proteolytic activity of the ubiquitin-proteasome system on one hand. On the other hand, deubiquitinases (DUBs) contribute to proteostasis by removing ubiquitin from proteasome's substrates thus stabilizing them. In cancers, DUBs can be hijacked to modulate oncogenic pathways, enhancing cell proliferation and/or invasion. In this context DUBs can be ideal candidate to find new actors of melanoma mechanoresistance.To identify DUBs involved in melanoma mechanotransduction, we used cell lines cultivated on collagen matrices with various stiffnesses combined with an activity-based ubiquitin probe for profiling DUB activity. Using this approach and quantitative proteomic, we identified USP9X as a DUB whose activity is increased by collagen stiffness. In silico analysis further revealed that YAP belongs to the USP9X interactome and showed a correlation between USP9X expression and YAP transcriptional signature in melanoma. We thus hypothesized that USP9X regulates YAP levels in melanoma cells through its DUB activity. Consistently, siRNA-mediated depletion and pharmacological inhibition of USP9X decreased YAP expression at protein but not mRNA levels. Conversely knockdown of the YAP E3 ligase βTRCP increased YAP protein expression. A GST-TUBE pulldown approach revealed that combined USP9X and proteasome inhibition increased YAP poly-ubiquitination, indicating that USP9X deubiquitinates YAP to prevent its proteasomal degradation. In line with a role of USP9X in mechanotranduction upstream of YAP, USP9X targeting was found to impair stiffness-induced responses including YAP nuclear translocation and transcriptional activity, cell migration and invasion. Interestingly, we also show that the relationship between YAP and USP9X can be found in other tumor cell types, as well as in cancer-associated fibroblasts (CAFs), suggesting a broad action of USP9X in regulating tumorigenic mechanical pathways through YAP stabilization. Finally, in a melanoma syngeneic mouse model, targeting USP9X enhances BRAF/MEK inhibitor efficacy, counteracts drug-induced collagen remodeling and delays tumor relapse.Overall, our results reveal an original role of USP9X in melanoma invasiveness and mechanoresistance through stiffness-dependent stabilization of YAP. We therefore propose USP9X as a “mechano-DUB” as well as a promising therapeutic target in refractory metastatic melanoma
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Delmas, Audrey. "Rôle de la petite GTPase RhoB dans la résistance des mélanomes aux thérapies ciblées." Toulouse 3, 2013. http://thesesups.ups-tlse.fr/2465/.

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Abstract:
La prise en charge des mélanomes métastatiques a été récemment révolutionnée par la mise sur le marché du Vemurafenib, un inhibiteur de l'oncogène BRAFV600E. Cependant, l'efficacité de ce traitement est limitée par l'apparition rapide de résistances encore mal comprises. Ce travail doctoral a conduit à l'identification d'une nouvelle voie de résistance à cet inhibiteur ainsi qu'aux inhibiteurs de MEK, autre classe d'inhibiteurs nouvellement utilisée dans les mélanomes. En réponse à l'inhibition de la voie Ras/Raf/MEK/ERK (MAPK) par les inhibiteurs de B-Raf ou de MEK, c-Jun est surexprimé et activé, conduisant à la surexpression de la petite GTPase RhoB par activation transcriptionnelle dépendante de la boite iCCAAT de son promoteur. RhoB ainsi induite favorise la survie cellulaire en présence des inhibiteurs via l'activation de la voie AKT. L'inhibition de cette voie c-Jun/RhoB/AKT, par des ARNs interférents ou des inhibiteurs d'AKT potentialise l'efficacité des inhibiteurs de B-Raf et de MEK en induisant l'apoptose. En conclusion, nous avons mis en évidence l'implication de la voie c-Jun/RhoB/AKT dans la résistance au Vemurafenib et démontré l'activité synergique de l'association d'un inhibiteur d'AKT au Vemurafenib. Enfin, nos travaux amènent les arguments moléculaires soutenant le développement des associations d'inhibiteurs de B-RAF/MEK et d'AKT actuellement en cours d'essais cliniques<br>Melanoma treatment recently met a breakthrough with the approval of Vemurafenib, a BRAFV600E inhibitor. However, its efficiency is limited as patients rapidly develop resistances still misunderstood. This project reveals an original pathway involved in resistance to Vemurafenib and also to MEK inhibitors, another new therapeutic class approved in melanoma. In response to Ras/Raf/MEK/ERK pathway inhibition by B-Raf or MEK inhibitors, c-Jun is overexpressed and activated leading to RhoB overexpression by an iCCAAT box-dependent transcriptional activation. Induced RhoB favors cell survival in response to these inhibitors in an AKT-dependent manner. Inhibition of the c-Jun/RhoB/AKT pathway with siRNA or AKT inhibitors potently increases B-Raf and MEK inhibitors efficiency through apoptosis triggering. In conclusion, we identified for the first time the involvement of the c-Jun/RhoB/AKT pathway in Vemurafenib resistance and demonstrated the synergism of the Vemuranib/AKT inhibitor association. In fact, we demonstrated, at molecular level, the relevance of current clinical evaluation of B-Raf/MEK and AKT inhibitors association
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Jaune, Emilie. "Développement préclinique d’un nouveau composé anti-mélanome : activation des voies AMPK et p53 pour induire la mort des cellules de mélanome." Electronic Thesis or Diss., Université Côte d'Azur (ComUE), 2018. http://www.theses.fr/2018AZUR4022.

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Abstract:
200 000 nouveaux cas de mélanome et 65 000 décès sont dus à ce cancer de la peau chaque année. Le mélanome représente donc un véritable problème de santé publique. Actuellement, plus de 50 % des patients sont toujours en échec thérapeutique malgré le développement des thérapies ciblées et des immunothérapies, et il est donc nécessaire de créer de nouvelles thérapies contre ce cancer.Dans notre laboratoire, nous avons montré que la Metformine, un antidiabétique, induit la mort des cellules de mélanomes par autophagie et apoptose. De plus, ce composé inhibe les capacités invasives de ces cellules. Un essai clinique a été effectué au CHU de Nice sur l’effet de la Metformine sur des mélanomes métastatiques mais les résultats ont été plutôt décevants. De ce fait, et en collaboration avec l’institut de chimie de Nice, notre équipe a développé des composés dérivés de la Metformine et a identifié le CRO15. Durant ma thèse, j’ai d’abord déterminé que CRO15 possédait diminuait la viabilité des cellules de mélanomes par différents mécanismes moléculaires. Tout d’abord, l’activation de la voie AMPK, comme ce qui est observée avec la Metformine, mais également l’inhibition de la kinase MELK, un oncogène très souvent surexprimé dans le cadre du mélanome. L’inhibition de MELK par CRO15 est responsable de l’activation de la voie p53. Ces deux voies, AMPK et p53, augmentent l’expression de REDD1 qui active alors les processus d’autophagie et d’apoptose pour induire la mort des cellules de mélanomes. Finalement, j’ai pu montrer que le CRO15 est également capable d’induire une diminution de la croissance tumorale de mélanomes dans différents modèles de souris<br>Every year, 200 000 new cases of melanoma and 65 000 deaths occur as a result of skin cancer, making melanoma a real public health problem. Currently, more than 50 % of patients fail treatment despite new targeted therapies and immunotherapies being developed. As a result, there is an urgent need to develop new anti-melanoma compounds to treat this aggressive disease. In our laboratory, we shown Metformin, an antidiabetic, to induce melanoma cell death by autophagy and apoptosis. Furthermore, this compounds inhibits invasive capability of these cells. A clinical trial has been performed in collaboration with the Nice hospital looking at Metformin’s effects on metastatic melanoma treatment, however these results have been disappointing. In this context, and in collaboration with the chemical institute of Nice, our team developed new Metformin-derived compounds and identified CRO15 as a promising new lead. During my PhD, I determined that CRO15 decreases melanoma cells viability by different molecular mechanisms. First, just like Metformin, CRO15 activates AMPK pathway, however it also inhibits MELK kinase activity, a protein described as an oncogene in melanoma. This inhibition is responsible for p53 activation. The two pathways, AMPK and p53, lead to increased REDD1 expression which involves autophagy and apoptosis to induce melanoma cell death. Finally, I shown that CRO15 decreases melanoma tumoral volume in different mice models. These promising results highlight a novel compound that can now be investigated for its potential use in clinic
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Cerezo, Michaël. "Effets des antidiabétiques et de leurs dérivés sur le mélanome." Thesis, Nice, 2014. http://www.theses.fr/2014NICE4059.

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Abstract:
Le mélanome représente 8000 nouveaux cas par an et plus d'un millier de décès. Dés l'apparition de métastases, le pronostic devient très mauvais en raison de l'inefficacité de tous les traitements. Enfin, bien que des résultats encourageants aient été obtenus récemment avec des thérapies ciblées, ces réponses restent insuffisantes. L'identification de nouvelles molécules candidates est donc un élément essentiel pour le traitement du mélanome. Pendant la 1ère partie de ma thèse, je me suis intéressé à la metformine. Nous avons observé une diminution de l’invasion des cellules de mélanome dépendante de l'activation de l’axe AMPK/ p53 en réponse à la metformine. Ainsi, nous avons démontré pour la 1ère fois que la metformine peut être utilisée pour inhiber l'invasion des cellules de mélanome. Ensuite, je me suis intéressé à d'autres antidiabétiques, les TZD. Grâce à un criblage structure / activité, nous avons identifié une nouvelle molécule, le HA15, dérivé des TZD et ayant une très forte activité anti-mélanome. Nous avons montré que le HA15 induit un stress du RE (UPR), par l'intermédiaire de la protéine chaperon Bip, conduisant à l'activation de l'apoptose et de l'autophagie, entraînant ainsi la mort des cellules. Cette étude a permis d’identifier une nouvelle molécule efficace contre le mélanome et renforce l'idée que l'UPR pourrait être une cible thérapeutique pour le traitement du mélanome<br>Melanoma accounts for 8000 new cases each year and more than a thousand deaths. If diagnosed early enough, wide surgical excision may be sufficient to treat. However, at the onset of metastasis, the prognosis becomes very bad due to the ineffectiveness of all treatments. Finally, although encouraging results were recently obtained with B-Raf inhibitors and immunotherapy, these responses are insufficient. So identification of new candidate molecules is an essential element for melanoma treatment. During the first part of my PhD, I was interested in metformin, the most commonly used molecule for the treatment of type 2 diabetes mellitus. It had been shown in our laboratory that metformin reduces melanoma cells viability in vitro and in vivo. Melanoma is a highly metastatic cancer, so I focused on the potential effect of metformin on melanoma cells invasion. We observed a decrease of melanoma cells invasion dependent on the activation of AMPK / p53 axis in vitro and in vivo. So we have shown for the first time that metformin can be used to inhibit melanoma cells invasion.During the second part of my PhD, I have been interested in other antidiabetic drugs, thiazolidinediones (TZD). Through a structure / activity screening we identified a molecule, HA15, derived from TZD and having a very strong anti-melanoma activity in vitro and in vivo. We showed that HA15 induced unfolded protein response (UPR), via the chaperone protein Bip, leading to autophagy and apoptosis activation, and resulting in cell death. This study identified a new molecule potentially effective against melanoma and reinforces the idea that UPR could be a therapeutic target for melanoma treatment
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Lecacheur, Margaux. "Le rôle de la mécanotransduction dans la plasticité, la progression et la résistance thérapeutique du mélanome." Electronic Thesis or Diss., Université Côte d'Azur, 2021. http://www.theses.fr/2021COAZ6026.

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Abstract:
Le mélanome est le cancer cutané le plus agressif à cause de son importante hétérogénéité, son fort potentiel métastatique et sa résistance thérapeutique. Malgré les thérapies actuelles (thérapies ciblant la voie BRAF/MEK et immunothérapies), de nombreux patients sont encore en échec thérapeutique à cause de l’émergence rapide de résistances. L’hétérogénéité intra-tumorale et la plasticité des cellules de mélanomes participent à la résistance thérapeutique. La plasticité des cellules de mélanome correspond à leur capacité à osciller entre différents phénotypes cellulaires, du plus différencié, exprimant le marqueur mélanocytaire MITF, au plus dédifférencié, créant l’hétérogénéité tumorale. Cette plasticité phénotypique peut être induite par les thérapies ciblées. Dans ce contexte, l’acquisition d’un phénotype dédifférencié mésenchymateux a également été décrite comme un mécanisme d’échappement thérapeutique. La capacité des cellules cancéreuses à disséminer et à résister aux traitements repose sur leur pouvoir d’adaptation à l’écosystème tumoral. Au sein d’une tumeur, la cellule cancéreuse interagit avec un environnement complexe composé de cellules stromales et de la matrice extracellulaire (MEC). La MEC, principalement produite par les fibroblastes, est un réseau dynamique en constant remodelage ayant des propriétés physico-chimiques qui influencent l’architecture des tumeurs. Les cellules cancéreuses sont capables de percevoir la tension matricielle et d’y répondre par un processus appelé mécanotransduction. Plusieurs études ont montré le rôle de la rigidité de la MEC dans la progression et la réponse thérapeutique de différents cancers. Toutefois, l’impact de la rigidité matricielle et le rôle de la mécanotransduction dans la biologie des mélanomes sont peu connus.Mon projet de thèse a consisté à étudier l'influence des modifications de la rigidité matricielle tumorale dans la progression, la plasticité cellulaire et la résistance des mélanomes aux thérapies ciblées.Dans un premier temps, j’ai montré que les thérapies ciblant la voie BRAF/MEK stimulent in vitro et in vivo la production et l'assemblage, par les cellules de mélanome, d'une MEC riche en collagène qui contribue à une rigidification de la tumeur et à l'échappement thérapeutique. Dans un deuxième temps, j’ai analysé la réponse des cellules de mélanome aux changements de rigidité de la MEC, rencontrés par la cellule tumorale au cours de sa progression métastatique et en réponse aux thérapies ciblées. J’ai pu mettre en évidence que les cellules de mélanome qui présentent un phénotype dédifférencié mésenchymateux développent une mécano-addiction se traduisant par une augmentation de leur prolifération, de leur migration/invasion et de leur résistance thérapeutique sur un support rigide. De façon intéressante, j’ai identifié les récepteurs aux collagènes à domaine discoïdine DDR1 et DDR2 comme responsables de ce mécano-phénotype, via l’activation dépendante du cytosquelette d’actomyosine du mécano-senseur transcriptionnel YAP. Ces travaux de thèse ont permis de montrer le rôle des DDR dans la mécanotransduction et la progression du mélanome et dévoiler une nouvelle vulnérabilité des cellules tumorales dédifférenciées. A terme, ils pourraient conduire au développement de nouvelles stratégies thérapeutiques ciblant le dialogue entre le mélanome et son microenvironnement matriciel<br>Melanoma is the most aggressive and deadliest form of skin cancer due to its heterogeneity, high metastatic potential, and therapeutic resistance. Despite existing therapies, including targeted therapies against the BRAF/MEK pathway or immunotherapies, patients may still undergo therapeutic failure. This occurs in part due to the onset of resistance to therapies. Melanoma intra-tumoral heterogeneity and melanoma cell plasticity contribute to therapeutic resistance. Melanoma cell plasticity is the ability of cells to switch between different cell phenotypes. For example, melanoma cells can switch from a differentiated state, where they express the melanocytic marker MITF, to a more dedifferentiated state, thereby creating tumor heterogeneity. This cell plasticity can be induced by targeted therapies. In this context, the acquisition of a dedifferentiated mesenchymal phenotype has also been described as an escape mechanism in response to therapies. The ability of cells to disseminate and to resist treatment is based on their ability to adapt to their microenvironment. Within the tumor, tumor cells interact with a complex environment composed of stromal cells and extracellular matrix (ECM). The ECM, mainly produced by fibroblasts, is a dynamic web that is constantly remodeled and its physiochemical properties can influence tumor architecture. Tumor cells can sense the tension from the ECM and respond to it by a process called mechanotransduction. Previous studies have shown the role of ECM stiffening in the progression and therapeutic resistance of several solid cancers. However, the role of ECM stiffening and the role of mechanotransduction in melanoma is not fully understood. My thesis project investigated the influence of ECM stiffening modifications on melanoma progression, plasticity and resistance to targeted therapies. In the first part of my thesis, results showed that targeted therapies against the BRAF/MEK pathway stimulate in vitro and in vivo melanoma cells to produce and assemble a collagen rich ECM that contributes to tumor stiffening and therapeutic escape. In the second part of my thesis, we analyzed melanoma cell response to substrate stiffness modifications, which melanoma cells might encounter during disease progression and in response to targeted therapies. We demonstrated that melanoma cells harboring a differentiated mesenchymal-like phenotype are more sensitive to changes in ECM stiffness, as depicted by an increase in their proliferation, migration/invasion and resistance to therapy on a stiff substrate. Interestingly, we identified that the collagen receptors DDR1 and DDR2 are responsible for this mechanophenotype, through the activation of the mechanosensory protein YAP, which was dependent on the actomyosin cytoskeleton. This work highlights the role of DDR in melanoma mechanotransduction and progression and unveils a novel weakness of dedifferentiated cells. This work could therefore lead to future developments of new therapeutic strategies that target the interaction between melanoma cells and their ECM microenvironment
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Krossa, Imene. "Étude des mécanismes moléculaires impliqués dans le mélanome oculaire : recherche de cibles thérapeutiques." Electronic Thesis or Diss., Université Côte d'Azur, 2023. http://www.theses.fr/2023COAZ6047.

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Abstract:
Le mélanome uvéal représente le cancer intraoculaire le plus fréquent chez l’adulte. Malgré un traitement réussi des tumeurs primaires par chirurgie ou proton thérapie, les métastases se développent chez 50% des patients principalement au foie. Les mélanomes uvéaux métastatiques sont hautement réfractaires aux thérapies existantes. Seule l’immunothérapie par tebentafusp permet d’augmenter la survie des patients avec un mélanome uvéal métastatique, mais ce traitement est limité aux patients HLA-A*02:01 positifs. Il faut donc trouver un traitement efficace pour la majorité des patients. Au stade métastatique, 80% des patients meurent dans un délai d’un an. Il faut donc comprendre les mécanismes moléculaires impliqués dans le mélanome uvéal métastatique pour identifier des cibles thérapeutiques efficaces. Afin de découvrir des cibles pertinentes, nous avons réalisé un crible CRISPR/Cas9 en lien avec une dérégulation majeure observée dans le mélanome uvéal métastatique chez l’homme. Nous avons identifié un candidat intéressant dont l’inhibition freine la prolifération des cellules de mélanome uvéal métastatique. Ce candidat pourrait donc représenter un nouveau marqueur pronostique et/ou une nouvelle cible thérapeutique pertinente pour le traitement du mélanome uvéal métastatique<br>Uveal melanoma is the most common primary intraocular cancer in adults. Despite successful treatment of primary tumors through surgery or radiotherapy, metastases develop in 50% of patients, primarily within the liver. Metastatic uveal melanoma is highly refractory to current therapies. Tebentafusp is the only immunotherapy that has increased the survival of metastatic uveal melanoma patients, but it is limited to HLA-A*02:01 positive patients. Therefore, an effective treatment needs to be found for the majority of patients. At the metastatic stage, 80% of patients die within a year. Thus, understanding the molecular mechanisms involved in metastatic uveal melanoma is crucial for identifying effective therapeutic targets. To discover relevant targets, we have conducted a CRISPR/Cas9 screen linked to a major dysregulation observed in metastatic uveal melanoma in humans. We have identified an interesting candidate whose inhibition slows the proliferation of metastatic uveal melanoma cells. This candidate could represent a new prognostic marker and/or a relevant therapeutic target for metastatic uveal melanoma treatment
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Leclerc, Justine. "Rôle de MITF et du métabolisme des sphingolipides dans le mélanome cutané." Electronic Thesis or Diss., Université Côte d'Azur (ComUE), 2019. http://theses.univ-cotedazur.fr/2019AZUR4012.

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Abstract:
Le mélanome dérive des mélanocytes qui sont responsables de la couleur de la peau. C’est la forme la plus mortelle de cancer de la peau, représentant seulement 5% de ces cancers mais entraînant plus de 80% des décès par cancers cutanés. Le pronostic du mélanome métastatique reste sombre. En effet, ces dernières années les thérapies ciblées et immunothérapies ont émergées et ont permis d’augmenter pour la première fois la survie. Malgré tout, plus de 50% des patients ne répondent pas à ces traitements ou y deviennent résistants. Le facteur de transcription MITF (MIcrophthalmia-associated Transcription Factor) est un acteur clé de la plasticité phénotypique des cellules de mélanome qui est impliquée dans les mécanismes de résistance. C’est pourquoi, il est nécessaire de continuer à comprendre les mécanismes moléculaires du développement et de la progression du mélanome et notamment le fonctionnement de MITF. Les cellules cancéreuses présentent des dérégulations métaboliques, mais dans le mélanome, le métabolisme des lipides reste méconnu. Les sphingolipides représentent un groupe de lipides bioactifs qui exercent un rôle structurel, mais aussi de transduction du signal et de régulation de processus biologiques importants tels que l’apoptose, la sénescence, la survie, l’inflammation et la migration. Par conséquent, comprendre les mécanismes moléculaires impliqués dans la régulation des sphingolipides et cibler les enzymes impliquées dans ce contrôle pourraient offrir de nouvelles cibles thérapeutiques. Une étude a montré que la céramidase acide ASAH1 (N-Acylsphingosine Amidohydrolase 1), une enzyme localisée aux lysosomes et jouant un rôle clé dans le métabolisme des sphingolipides, présente la plus forte expression dans le mélanome comparée à d’autres types de cancers. Au cours de ma thèse, je me suis intéressée à l’étude du rôle d’ASAH1 dans le mélanome. De façon intéressante, mes travaux ont identifié l’existence de deux groupes de cellules de mélanome, exprimant un fort ou un faible niveau d’ASAH1. De plus, l’analyse de bases de données publiques a montré que l’expression d’ASAH1 était corrélée avec celle de MITF. J’ai montré qu’ASAH1 agit comme un rhéostat du changement phénotypique des cellules de mélanome. La faible expression d’ASAH1 induit l’activation de la cascade de signalisation intégrines V-5-FAK et un comportement invasif. De plus, j’ai identifié ASAH1 comme une nouvelle cible de MITF, impliquant ainsi pour la première fois MITF dans la régulation du métabolisme des sphingolipides. D’autre part, afin de déterminer si l’axe SK1/S1P/S1PR pouvait jouer un rôle dans la résistance, nous avons étudié l’expression des S1PRs dans plusieurs lignées de mélanome sensibles ou résistantes au PLX4032, et modulé l’expression de deux enzymes (SK1 et SPL) de l’axe du métabolisme des sphingolipides. Nos résultats ont révélé que le traitement au PLX4032 induisait une forte diminution d’expression des S1PR1/3 dans les cellules sensibles uniquement. L’augmentation du ratio céramide/S1P par approche génétique ou pharmacologique permet la diminution d’expression des S1PR ainsi que l’inhibition de la croissance tumorale. Cet effet est associé à une diminution d’expression de MITF et BCL2. De plus, l’ABT-737 potentialise l’activité anti-tumorale observée lorsqu’on bloque les enzymes produisant la S1P dans les cellules de mélanome résistantes. Nos résultats indiquent que le ciblage de l’axe S1P/S1PR apporte de nouvelles options thérapeutiques pour les patients atteints de mélanome métastatique en récidive après un traitement par l’inhibiteur de BRAF. En conclusion, mes résultats offrent de nouveaux indices concernant l'implication du métabolisme des sphingolipides dans la transition phénotypique et la résistance des cellules de mélanome à des thérapies ciblées<br>Melanoma derives from melanocytes that are responsible for skin pigmentation. It’s the deadliest form of skin cancer, as it accounts for more than 80% of total deaths by cutaneous cancer despite representing only 5% of them. The prognosis of metastatic melanoma remains poor. Indeed, targeted therapies and immunotherapies were developed over the last few years, allowing an increase of patient’s survival for the first time. However, more than 50% of patients are unresponsive or become resistant to these treatments. The transcription factor MITF (MIcrophthalmia-associated Transcription Factor) is a key actor of the phenotypic plasticity of melanoma cells that is involved in resistance mechanisms. Therefore, it is necessary to better understand the molecular mechanisms involved in the development and progression of melanoma, and especially which role MITF is playing in those mechanisms. Cancer cells present metabolic alterations, but in melanoma the role of lipid metabolism remains poorly investigated. Sphingolipids represent a group of bioactive lipids that exert a structural role but also allow signal transduction and regulation of important biological processes such as apoptosis, senescence, survival, inflammation and migration. Therefore, understanding the molecular mechanisms involved in sphingolipids regulation and targeting enzymes playing a role in this control might offer new therapeutic targets for melanoma. A study showed that acid ceramidase ASAH1 (N-Acylsphingosine Amidohydrolase 1), an enzyme localized in lysosomes and playing a key role in sphingolipid metabolism, is highly expressed in melanoma compared to other types of cancers. During my PhD, I focused my work on the role of ASAH1 in melanoma. Interestingly, I identified two types of melanoma cells, expressing high or low levels of ASAH1. Moreover, analysis of public databases showed that ASAH1 expression is correlated to MITF expression. I demonstrated that ASAH1 acts as a rheostat of the phenotypic switch in melanoma cells. Low expression of ASAH1 induces activation of integrin V-5-FAK signaling cascade and triggers an invasive phenotype. Furthermore, I identified ASAH1 as a new target of MITF, involving for the first time MITF in regulation of sphingolipid metabolism. On the other hand, in order to determine if SK1/S1P/S1PR axis could play a role in resistance, we studied S1PRs expression in several PLX4032-sensitive or resistant melanoma cell lines, then we modulated expression of two key enzymes (SK1 and SPL) of this metabolic axis. Our results showed that PLX4032 treatment induces a strong decrease of S1PR1/3 expression in sensitive cells only. Increasing ceramide/S1P ratio by genetic or pharmacological approach triggers the decrease of S1PR expression and inhibition of tumor growth. This effect is associated with a decrease of both MITF and BCL2 expressions. Moreover, ABT-737 potentiates the anti-tumoral activity seen when S1P-producing enzymes are blocked in resistant melanoma cells. Our results indicate that targeting the S1P/S1PR axis brings new therapeutics options to patient with a recurrent metastatic melanoma after BRAF-inhibitor treatment. To conclude, my results offer new clues regarding the involvement of the sphingolipid metabolism in the phenotypic switch and resistance of melanoma cells to targeted therapies
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Segaoula, Zacharie. "Pertinence et validations préclinique et clinique du modèle spontané canin de mélanome dans le développement thérapeutique en oncologie." Thesis, Lille 2, 2017. http://www.theses.fr/2017LIL2S004/document.

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Abstract:
En recherche et développement pharmaceutiques un candidat thérapeutique doit passer plusieurs barrières précliniques afin de déterminer certains paramètres pharmacocinétiques et pharmacodynamiques avant toute administration à l’homme. Malgré les efforts investis en R&amp;D ces dernières années, l’industrie du médicament a souffert d’un ralentissement dans le développement de nouvelles molécules innovantes. Car avant sa mise sur le marché, tout candidat doit justifier de la sécurité liée à son utilisation mais aussi de sa balance bénéfice/ risque. Les modèles standards utilisés en développement en oncologie ne sont pas assez prédictifs et bien souvent non-adaptés, avec une niche tumorale inexistante. C’est pourquoi il est aujourd’hui essentiel de travailler sur des systèmes plus sensibles et mimant plus fidèlement la pathologie humaine afin d’obtenir des médicaments plus efficaces et moins toxiques pour une meilleure prise en charge. L’utilisation du modèle spontané de cancers comme approche prédictive en oncologie comparée a été rapportée par plusieurs équipes à travers le monde. En effet, les fortes similitudes au niveau histologique, moléculaire et clinique rapportées entre les tumeurs humaines et canines, font de ce modèle un allié essentiel pour l’optimisation du développement pharmaceutique chez l’homme ayant un bénéfice réciproque à la fois à la médecine humaine et vétérinaire.Chez l’homme, les mélanomes constituent l’une des formes les plus agressives des cancers cutanés. Ils représentent 4 à 11% des néoplasies cutanées et seulement 2% des cancers de l’épiderme. Ce sont des tumeurs très immunogènes et de très mauvais pronostic au stade métastatique contribuant au développement d’une réponse immunitaire anti-tumorale bien souvent responsable d’échappements et de résistances au traitement. Et malgré l’amélioration de 50 à 80% de la survie globale à 5 ans ces vingt dernières années, son incidence ne cesse d’augmenter et environ 7000 cas sont rapportés chaque année en France avec plus de 75% de décès liés à ces tumeurs.Bien que rares, ces tumeurs représentent 7% des cancers diagnostiqués chez le chien et environ 160000 cas sont recensés chaque année au niveau mondial. Sa localisation est buccale dans plus de 50% des cas. C’est aussi l’un des cancers les plus agressifs chez le chien, avec une survie globale post-opératoire de 173 jours associé à des métastases ganglionnaires et pulmonaires le plus souvent.Le but de ce travail a été la validation préclinique et clinique du modèle tumoral spontané canin dans la compréhension des mécanismes de cancérogenèse, de dormance tumorale et de développement thérapeutique. Validation préclinique, dans un premier temps via le développement et la caractérisation de modèles cellulaires et murins de mélanomes canins. Puis, dans un second temps, la validation clinique par le biais d’essais thérapeutiques chez le patient chien.A partir de prélèvements issus de deux profils cliniques distincts, deux lignées cellulaires de mélanome canin ont été développées et caractérisées sur le plan pharmacologique, génomique et fonctionnel. Une liste d’altérations génétiques a été établie sur ces deux profils en accord avec la littérature et présentant des points communs avec la pathologie humaine. De plus, il est bien établi que l’hétérogénéité tumorale est responsable de résistances au traitements conduisant aux rechutes, c’est pourquoi nous nous sommes par la suite intéressés à l’étude des populations souches tumorales au sein de notre modèle et à l’identification de marqueur permettant le ciblage de ces cellules pouvant contribuer ainsi à l’avancement de l’enrichissement de l’arsenal thérapeutique oncologique.En conclusion, le patient chien est doté d’un système immunitaire intact et d’une niche tumorale complète, constituant ainsi un système in-vivo très intéressant pour l’homme, pouvant contribuer à avancer la recherche et améliorer grandement nos connaissances sur cette pathologie<br>Pharmaceutical development is a long and fastidious process. In fact, each drug candidate has to meet with a certain safety criteria list, pharmacokinetic and pharmacodynamics profiles need to be determined prior to first use in humans and market approval.For years, the pharmaceutical industry has been suffering from a lack of innovative molecules and thus despite the efforts and cost increases in R&amp;D programs. And most novel drug candidates entering clinical trials fail to reach approval, largely because preclinical models used in development do not provide adequate information about their efficacy or toxicity. That’s why; more predictive models of efficiency in oncology, shaping more precisely the human pathology are needed.The study of novel drug candidates in dogs with naturally occurring tumors allows drug assessment in neoplasms sharing many fundamental features with its human counterparts, and thus provides an opportunity to answer questions guiding the cancer drug development path in ways not possible in more conventional models. Moreover, the strong homologies in clinical presentation, morphology, and overall biology between dogs and their human counterparts make companion animals a good model to investigate tumor process from ætiology to tailored treatments.The aim of this project was to validate the canine spontaneous tumor model, by combining preclinical and clinical approaches, in the comprehension of the underlying mechanisms of cancer from carcinogenesis to drug resistance and tumor dormancy and also the discovery of new tools essential for the prediction, diagnosis clinical follow-up and treatment.Metastatic melanoma is one of the most aggressive forms of cutaneous tumors in humans. It constitutes 4 to 11% of skin malignancies and only 2% of the cancers of the epidermis. These highly immunogenic tumors hold a severe prognosis when metastasized and contribute to an immune anti-tumor reaction which could potentially lead to immune escape and resistance to most standard treatment protocols. And even if the 5-year survival has been improved to 50 – 80% over the past decades, its incidence is still in the rise with 7000 cases and 75% related deaths reported every year in France.In dogs, melanomas are one of the most frequently diagnosed malignancies of the oral cavity. These cancers account for 7% of all malignant tumors in dogs and 160000 reported every year worldwide. It also constitutes one of the most aggressive metastasizing tumors with a median post-surgery survival rate of 173 days.We developed and characterized immunucytochemically, pharmacologically and genomically two canine melanoma cell lines from naturally occurring dog tumors with distinct clinical profiles. A list of genetic alterations of these two profiles has also been established and is in accordance with the published literature, presenting same features as human tumors. And because tumor heterogeneity is responsible of resistance to treatment and relapse, we isolated and investigated cancer stem cell populations in our cell line models in order to identify the linked biomarkers which may constitute future potential targets for the expansion of the oncological therapeutic panel.In conclusion, due to its intact immune system, tumor niche and also because it shares the same environment as we do, the canine patient represent a promising opportunity in the advancement of cancer research, the acceleration of translation process and the setting up of more effective and less toxic molecules with dual benefits for the human and veterinary medicine toward better patient care
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Guerreschi, Pierre. "Place des modèles murins dans la compréhension et l'adaptation de la prise en charge thérapeutique du mélanome métastatique." Phd thesis, Université du Droit et de la Santé - Lille II, 2013. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01002671.

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Le traitement du mélanome métastatique est longtemps resté cantonné à quelques chimiothérapies cytotoxiques à efficacité limitée. Récemment, le développement des immunothérapies et des thérapies ciblées a constitué une avancée majeure dans la prise en charge du mélanome. La découverte de mutations oncogéniques sur les voies de signalisation de la cellule tumorale a permis de définir de nouvelles cibles pour le développement d' inhibiteurs pharmacologiques. Parmi ces mutations, la mutation BRAF V600E est présente dans 50% des mélanomes. Une des molécules anti-BRAF développée est le vémurafenib. L'efficacité de cette molécule a permis l'allongement de la durée de survie des patients en situation métastatique de 6 à 8 mois. Malheureusement, malgré la réponse initiale, l'échappement est la règle. Les mécanismes moléculaires responsables de la résistance acquise aux inhibiteurs de BRAF sont multiples et conduisent à l'activation de nombreuses voies de signalisation pour suppléer l'inhibition de BRAF. Actuellement la prise en charge des patients résistants aux inhibiteurs de BRAF n'est pas codifiée et s'avère complexe étant donné la multiplicité des mécanismes d'échappement. Dans le cadre de cette nouvelle approche de médecine personnalisée, de nouveaux outils doivent être développés dans le but (i) de tester l'efficacité de nouvelles molécules et (i) de tenter de prédire l'efficacité/la résistance des différents traitements disponibles. L'un de ces outils sont les xénogreffes de tumeurs issues directement des patients (Patient Derived Tumor Xenograft ou PDTX) ou " avatars ". Mon travail a consisté à mettre en place ce type d'outil pour répondre aux questions suivantes : Les modèles animaux développés sont-ils un bon modèle préclinique translationnel ? Permettent-ils d'étudier les modes d'action des nouvelles thérapies ciblées et d'explorer leurs mécanismes de résistance ? Si tel est le cas, peuvent-ils prédire une réponse clinique ? Différents modèles murins de xénogreffes de mélanome ont été mis au point et exploités. Des cellules tumorales puis des fragments de tumeurs ont été greffées en sous-cutané chez la souris immunodéficiente SCID. Les tumeurs ont été caractérisées en histologie et en biologie moléculaire pour montrer leur stabilité dans le modèle. Après plusieurs passages dans différentes générations de souris, les tumeurs conservent leurs mutations particulières. Par ailleurs différents traitements ont été administrés et la réponse à différentes stratégies thérapeutiques a été évaluée. Ce modèle nous a permis de valider l'efficacité des thérapies ciblées antiBRAF (vémurafenib) mais aussi d'autres approches visant les particularités métaboliques du mélanome. Le modèle avatar a permis de tester in vivo une association thérapeutique innovante qui associe un accélérateur de la phosphorylation mitochondriale, le DCA, et une molécule pro-oxydante, l'elesclomol, confirmant l'effet synergique obtenu in vitro. Par ailleurs l'elesclomol a pu être testé in vivo sur une tumeur devenue résistante à l'inhibiteur de BRAF, le vemurafenib. En outre, le modèle avatar constitue un bon modèle préclinique permettant d'aider directement le clinicien dans ses choix thérapeutiques. En effet nous avons réalisé une PDTX tout au long de l'évolution métastatique d'une patiente. Cette PDTX a permis de tester l'efficacité du vemurafenib et de réintroduire ce traitement à la patiente qui a pu bénéficier d'une amélioration clinique notable. 7 autres PDTX de patients ont été développées permettant de renforcer le modèle et de suivre de manière personnalisée le traitement de ces patients.Grâce à ce travail, nous définissons la place que peuvent prendre les avatars dans la prise en charge actuelle du mélanome métastatique. Ces modèles donnent une réponse précoce quant à leur résistance et aux alternatives thérapeutiques de seconde ligne.
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Hémon, Patrice. "Lag-3 : une cible thérapeutique dans les pathologies inflammatoires et tumorales cutanées." Paris 7, 2010. http://www.theses.fr/2010PA077096.

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Abstract:
LAG-3 (Lymphocyte Activation Gene-3) est une protéine exprimée à la surface des cellules T activées qui se lie avec une haute affinité aux molécules du complexe majeur d'histocompatibilité de classe II (CMH II). Associé au complexe CD3 du récepteur des lymphocytes T (TCR), LAG-3 est considéré comme un corécepteur indépendant, contrôlant la fonction des cellules T en régulant négativement les signaux de transduction induits par le TCR. Nous avons étudié l'expression et le rôle de LAG-3 dans une pathologie tumorale, le mélanome (4% des cancers cutanés mais responsable de 75% des décès), et une pathologie inflammatoire, le psoriasis. (1). II existe une expression anormale des molécules du CMH II dans plus de 40 % des mélanomes primaires et près de 70% des mélanomes métastatiques, clairement associée à un mauvais pronostic. Notre étude démontre que l'interaction entre LAG-3 et le CMH II permet une inhibition de la réponse immunitaire et induit une résistance à l'apoptose des cellules tumorales via l'activation des voies de signalisation MAPK/Erk et PI3K/Akt. Dès lors, l'utilisation d'un anticorps bloquant anti-LAG-3 devrait permettre d'augmenter l'efficacité des chimiothérapies dans les mélanomes qui présentent des métastases CMH IL (2) L'analyse de l'expression de LAG-3 sur les cellules T infiltrant la peau lésée de patients atteints de psoriasis montre une forte expression de cette molécule sur les lymphocytes T CD4 détectés dans le derme. L'utilisation d'un anticorps cytotoxique dans le psoriasis devrait favoriser l'élimination de cet acteur cellulaire majeur dans la boucle de régulation complexe établie entre kératinocytes, cellules dendritiques et cellules T<br>LAG-3 (Lymphocyte Activation Gene-3) is a protein expressed on activated T cells' surface that binds the major histocompatibility complex class II (CMH II) with high affinity. Associated with the CD3 complex of the lymphocyte T cell receptor (TCR), LAG-3 is considered as an independent co-receptor that controls the function of T cells by negatively regulating the transduction signals induced by the TCR. We have studied the expression and the role of LAG-3 in a malignant disease: the melanoma (corresponding to 4% of cutaneous cancers but responsible for 75% of deaths associated with those cancers), as well as in an inflammatory pathology: the psoriasis. (1) there is an abnormal expression of CMH II molecules in more than 40% of primary melanomas and in about 70% of metastatic melanomas, clearly associated with poor prognoses. Our study demonstrates that the interaction between thé LAG-3 molecule and the CMH II allows a partial inhibition of the immune response and causes résistance of the tumor cells to drug- and Fas-induced apoptosis through the activation of the MAPK/Erk and PI3K/Akt signaling pathways. Then, the use of an anti-LAG-3 blocking antibody should permit an increase in the effectiveness of chemotherapies treating melanomas that present CMH II-positive metastasis. (2)The analysis of the expression of LAG-3 on T cells that infiltrate lesional skin of psoriatic patients shows a strong expression of this molecule on T CD4+ lymphocytes detected in the dermis. The use of a cytotoxic antibody in the psoriasis should support the elimination of that cellular actor in the complex regulation loop established between keratinocytes, dendritic cells and T cells
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Pandiani, Charlotte. "Étude et identification des états transcriptionnels dans le mélanome uvéal primaire." Electronic Thesis or Diss., Université Côte d'Azur, 2020. http://www.theses.fr/2020COAZ6012.

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Abstract:
Le mélanome uvéal (MU) est la tumeur intraoculaire la plus fréquente chez l’adulte. C’est une tumeur agressive qui dérive de la transformation maligne des mélanocytes. Les traitements du MU primaire reposent sur des techniques de radiothérapies, et sur la chirurgie. Malgré le succès du traitement primaire, plus de 50% des patients développent des métastases qui vont principalement envahir le foie, suggérant l’existence d’une sous-population cellulaire, responsable de la dissémination métastatique. Il n’existe aujourd’hui aucun traitement systémique pour soigner le MU métastatique. A ce stade, 80% des patients meurent dans un délai de 1 an. Il est donc capital de mieux comprendre la biologie du MU, afin de découvrir de nouvelles cibles thérapeutiques et ainsi, à terme, pouvoir proposer un traitement efficace aux patients. L’hétérogénéité intra-tumorale est reconnue pour être impliquée dans la résistance aux traitements et la dissémination métastatique dans de nombreux cancers, mais n’a encore jamais été démontrée dans le MU. Au cours de ma thèse, grâce au séquençage à l’échelle de la cellule unique, nous avons démontré l’existence d’une hétérogénéité intra-tumorale aux niveaux génomique et transcriptomique dans des MU primaires. Nous avons mis en évidence une nouvelle signature, associée à un mauvais pronostic, comprenant des gènes n’ayant encore jamais été décrits dans le MU. Nous avons également identifié trois états transcriptionnels distincts, exprimés par différentes sous populations cellulaires, associés à la différenciation cellulaire, à la prolifération ou à l’invasion. La signature génique que nous avons établie est fortement associée à l’état transcriptionnel invasif, et des cellules exprimant cette signature ont été détectées au sein de chacune des tumeurs analysées, même dans celles classées de bon pronostic par les pathologistes. Cette découverte peut avoir un impact capital sur le pronostic et le suivi des patients. Grâce à nos analyses bio-informatiques, nous avons identifié le facteur de transcription HES6 comme nouveau marqueur de mauvais pronostic du MU. L’expression hétérogène de HES6 au sein des tumeurs, même celles classées de bon pronostic, a été validée par des expériences de RNAscope. J’ai montré que l’inhibition d’expression de HES6 entraine une diminution de la prolifération, de la migration, et de l’invasion dans des lignées de MU primaires, et du développement métastatique in vivo, dans un modèle d’embryon de poulet. De plus, l’inhibition de HES6 bloque aussi la prolifération et la migration des cellules de MU métastatiques. L’ensemble de mes résultats met en évidence le rôle essentiel de HES6 dans la progression du MU, et fait de HES6 une nouvelle cible pour bloquer la croissance et les capacités motiles des cellules de MU<br>Uveal melanoma is an aggressive and deadly neoplasm, which develops from melanocytes in the choroid. Treatments of primary UM treatments rely on radiotherapy techniques and surgery. Despite successful treatment of the primary tumor, metastases, that display a pronounced liver tropism, develop in 50% of patients. This implies the existence of a cellular subpopulation, that disseminate early during tumor progression dissemination. Currently, there is no systemic treatment for metastatic UM. At this stage, 80% of patients die within one year. It is therefore essential to better understand the biology of UM, in order to discover new therapeutic targets and, ultimately, to develop effective treatments. Intra-tumor heterogeneity is known to be involved in metastatic spread and treatment resistance in many cancers, yet its role in UM remains to be elucidated. During my thesis, through single cell sequencing, we demonstrated the existence of intra-tumor heterogeneity at genomic and transcriptomic levels in primary UM. We highlighted a new gene signature, associated with a poor prognosis, including genes that have never been reported in the UM. We also identified three distinct transcriptional cell states, associated with cell differentiation, proliferation or invasion. The invasive transcriptional state strongly associates with the poor prognosis gene signature that we have established. Cells expressing this signature were detected within all six tumors that we analyzed, even in those classified by pathologists as of good prognosis. These observations can have a major impact on patients’ prognosis and follow-up. Through our bioinformatics analysis, we identified the transcription factor HES6 as a new marker of poor prognosis in UM. Heterogeneous expression of HES6 in tumors, even in those classified as of good prognosis, was validated by the RNAscope approach. We showed that the inhibition of HES6 expression leads to decrease in proliferation, migration, and invasion of primary UM cell lines, and metastatic development in vivo, in a chicken embryo model. In addition, HES6 inhibition also impairs the proliferation and migration of metastatic UM cell lines, suggesting that HES6 has also a critical role in the metastatic settings. Together, my findings highlight the essential role of HES6 in the progression of UM, and identify HES6 as new target to prevent UM growth and motile ability
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Le, Gallo Matthieu. "Immunothérapie antitumorale : production de lymphocytes T spécifiques d’antigènes de tumeur au moyen de cellules présentatrices d’antigènes génétiquement modifiées." Rennes 1, 2008. http://www.theses.fr/2008REN1S048.

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Abstract:
L'immunothérapie par stimulation des lymphocytes T spécifiques d'antigènes de tumeur constitue une approche très prometteuse pour le traitement des cancers. Notre travail a porté sur la vectorisation de l'antigène de tumeur NY-ESO-1 dans les DC, à l'aide d'un vecteur synthétique du groupe des lipophosphoramides cationiques, le KLN-5. Nous avons dans un premier temps déterminé les conditions optimales de transfection. Nous avons montré que la protéine NY-ESO-1 est synthétisée dans les DC transfectées, clivée en peptides puis chargée sur les molécules de classe I et finalement présentée aux lymphocytes T de façon efficace. L'activation d'un clone spécifique de l'épitope de classe II a aussi été obtenue, mais reste à confirmer. Dans le seconde partie de notre travail, nous avons utilisé des cellules présentatrices d'antigène artificielles (CPAA), modifiées pour exprimer de façon stable un complexe HLA-peptide, ainsi que les molécules humaines de costimulation B7. 1, ICAM-1, et LFA-3, afin de stimuler in vitro des lymphocytes T cytotoxiques, spécifiques de l'antigène NY-ESO-1. Nous avons pu détecter la présence de lymphocytes T CD8⁺ spécifiques dans la population stimulée par les CPAA exprimant le peptide NY-ESO-1 par marquage tétramère. En conclusion, ce travail nous a permis d'évaluer deux méthodes en vue d'activer des lymphocytes T in vitro. L'utilisation de vecteurs synthétiques pour modifier génétiquement les DC semble être une voie prometteuse pour générer une réponse polyclonale T CD8⁺ et T CD4⁺ contre des antigènes de tumeurs. Enfin, les CPAA représentent un système alternatif de production de lymphocytes T spécifique d'antigènes de tumeurs à visée d'immunothérapie adoptive<br>Genetic modification of human monocyte-derived dendritic cells (DCs) with tumor-associated antigen (TAA) cDNA sequences is a promising strategy for immunotherapy of cancer. As an alternative to the commonly used viral vectors, a nonviral gene transfer method based on the use of the lipophosphoramide transfection reagent KLN-5 was investigated. We first determined the optimum conditions for transfection. The NY-ESO-1 TAA coding gene was found efficiently transfected in DCs as shown by tumor antigen mRNA expression analysis. Antigen processing and presentation of the immunodominant epitope in the HLA-A2 context was demonstrated by specific activation of a NY-ESO-1 CD8+ T cell clone. A NY-ESO-1 specific CD4+ T clone activation was also observed but remains to be confirmed. In the second part of our work, artificial APC (AAPC) were used to stimulate NY-ESO-1 specific cytotoxic T cells (CTL). The CPAA are derived from mouse fibroblasts, retrovirally transduced to stably express a HLA-peptide complex, and the B7. 1, ICAM-1, and LFA-3. Stimulation experiments were performed on naive T cells. NY-ESO-1 specific CD8⁺ T cells were detected by tetramer staining when stimulated with the AAPC expressing NY-ESO-1. But we were not able to detect INF-γ production when CTL were stimulated with NY-ESO-1 expressing cells. In conclusion, in this work we have evaluated two T cell activation methods. The synthetic vector KLN5 represents an attractive nonviral agent to generate a T CD8⁺ and T CD4⁺ response against TAA, even if the ability to prime a naïve T cell response remains to be shown. And finally, AAPC are useful to study T cell activation and to induce antigen-specific T cells for clinical purposes
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Lachaud, Sophie. "Régulation de l'expression de PD-L1 dans le mélanome : identification de cibles thérapeutiques au moyen d’un crible génétique pour traiter le mélanome cutané TIE1 Regulates PD-L1 Expression in Melanoma." Thesis, université Paris-Saclay, 2020. http://www.theses.fr/2020UPASL065.

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Abstract:
Le mélanome cutané est une tumeur qui se développe à partir de cellules épidermiques appelées mélanocytes. Bien qu’il ne représente qu’environ 1% des cancers cutanés, le mélanome est responsable de 75% des décès dus aux cancers de la peau. L’agressivité du mélanome est liée à son très fort potentiel métastatique et une fois qu’il est disséminé les chances de survie diminuent dramatiquement. Le traitement par chirurgie est efficace lorsque le diagnostic est précoce. Mais, dans les cas de mélanomes non résécables ou métastatiques, les traitements offerts aux patients étaient jusqu’à récemment très limités.L’arrivée des immunothérapies pour le traitement des stades avancés du mélanome a suscité beaucoup d’espoirs. Ces anticorps monoclonaux agissent en stimulant le système immunitaire afin d’éliminer des cellules cancéreuses. Les plus récents et les plus efficaces sont ceux qui ciblent l’axe “programmed cell death protein 1” (PD-1/PD-L1). Le rôle principal de du point de contrôle immunitaire PD-1 est de limiter l’activité des cellules T périphériques lors d’une réponse immunitaire. En effet, l’activation des cellules T par l’interaction des TCR avec des complexes CMH/peptides spécifiques conduit à la sécrétion d’IFNγ. Ces cytokines vont stimuler l’expression de PD-L1 et PD-L2 à la membrane plasmique des cellules environnantes. Lorsque PD-1 est engagé par PD-L1, son ligand prédominant, il s’ensuit un signal qui inhibe des lymphocytes T CD8+. Cette boucle d’autorégulation atténue ainsi la réponse des cellules T et limite l'ampleur des lésions tissulaires pouvant être entraînées par une réponse immunitaire excessive. Certaines cellules cancéreuses, dont le mélanome qui est très immunogène, sont capables de mettre à profit ce système en surexprimant PD-L1 pour inhiber les fonctions effectrices et la prolifération des lymphocytes T CD8+ et ainsi échapper au système immunitaire. En empêchant l’interaction de PD-1 avec PD-L1, les anticorps monoclonaux dirigés contre l’un ou l’autre des partenaires conduisent à une restauration, au moins partielle, de l’activité des cellules T contre les cellules cancéreuses et conduit ainsi à une régression tumorale. La plupart des mélanomes expriment un niveau basal de PD-L1 faible, qui est fortement augmentée par l’IFNγ;, produit notamment par les lymphocytes T CD8+. Par conséquent, on peut supposer qu’en prévenant l’expression de PD-L1 induite par IFNγ, il est possible de prolonger la réponse des lymphocytes T effecteurs et de limiter ainsi la progression tumorale à la manière des anti-PD-1/PD-L1.Mon projet de thèse a eu pour but d’identifier les régulateurs positifs de l’expression de PD-L1 à la membrane plasmique des mélanomes par une méthode de crible génétique, en restreignant notre étude aux gènes pertinents d’un point de vue thérapeutique. Ce crible qui repose sur une librairie de shARN ciblant les gènes codant pour des protéines dont l’inhibiteur est déjà connu ou ayant une structure ou une activité qui permet le développement d’un inhibiteur pharmacologique. L’analyse des cribles par bioinformatique a permis d’identifier de nouveaux régulateurs positifs de l’expression de PD-L1 à la membrane plasmique qui pourront servir de cibles pharmacologiques pour de nouvelles thérapies visant à prévenir l’expression de PD-L1 dans les mélanomes<br>Cutaneous melanoma arises from melanocytes, the pigment-producing cells of the skin. is responsible for approximately 75% of deaths due to skin cancers. This tumor account for approximately 1% of cutaneous melanoma, but is responsible for 75% of deaths due to skin cancer. Its aggressiveness is coming from its highly metastatic potential and once it is disseminated, chances of survival decrease drastically. Treatment by surgery is efficient when it is diagnosed early. Though, until recently, for metastatic or unresectable melanoma, treatments were quite limited.The arrival of immunotherapies to treat advanced melanoma arouse a lot of hope. These monoclonal antibodies boost the immune system in order to kill cancer cells. The most recent and efficient are the ones targeting the programmed cell death protein 1 or its ligand (PD-1/PD-L1). The main role of PD-1 immune checkpoint is to limit the activation of engaged peripheral T cells. Indeed, the activation of T cells by the interaction of its TCR with MHC/peptide complexes leads to IFNγ; secretion. This cytokine will induce the expression of PD-L1 and PD-L2 at the plasma membrane of surrounding cells. The engagement of PD-1 with its main ligand PD-L1 leads to the inhibition of CD8+ T lymphocytes. This feedback loop attenuates T-cell responses and limits the extent of immune-mediated tissue damage that can happen with an excessive immune response. Some cancer, including melanoma which is highly immunogenic, escape the immune system by taking advantage of this mechanism to overexpress PD-L1 and inhibit effector functions and proliferation of CD8+ T lymphocytes. Immunotherapies targeting PD-1 or PD-L1 with monoclonal antibodies were then deployed to disrupt the interaction between the two partners and restore, at least partially, T-cell activity against cancer cells and drive to tumor regression. Most of the time, basal PD-L1 expression in melanoma is low and is strongly increased by IFNγ, produced by immune cells like CD8+ T lymphocytes. Thus, preventing IFNγ-induced PD-L1 expression would restore the effector functions of LT CD8+ and avoid tumor progression as anti-PD-1/PD-L1.This aim of my thesis project was to make use of a genetic screen to identify positive regulators of the expression of PD-L1 at the plasma membrane of melanoma with a genetic screen by focusing on druggable genes. This screen was based on a shRNA library targeting genes coding for a protein for which an inhibitor already exists or harboring a structure or an activity that could lead to drug development. The bioinformatic analysis led to the identification of new regulators that positively regulate PD-L1 at the plasma membrane of melanoma that could serve as therapeutic targets for melanoma treatment
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Joseph-Pietras, Débora. "Etude in vitro et in vivo des relations entre cellules présentatrices d'antigènes (CPA) et cellules de mélanome résistant dans un système murin. Recherche de stratègies d'immunothérapie cellulaire utilisant les CPA pour induire et renforcer l'action anti-tumorale du système immunitaire." Reims, 2006. http://www.theses.fr/2006REIMS018.

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Abstract:
Dans le souci de lutter contre le mélanome, nous avons utilisé des cellules mononucléées murines du sang périphérique (pbmcs), et démontré leur activité anti-tumorale in vitro contre des cellules de mélanome murin b16 résistantes à la doxorubicine (b16r). Cependant, leur utilisation in vivo ne ralentit pas le développement tumoral. Leur sensibilisation préalable avec des lysats de cellules b16r conduit à un léger ralentissement de la croissance tumorale, sans amélioration de la survie des souris. Nous avons montré que les injections intra-tumorales (i. T. ) de dcs naïves ralentissent le développement tumoral, mais n’améliorent pas la survie des animaux par rapport aux témoins. La sensibilisation préalable des dcs avec des cellules tumorales cytostatiques permet, quand elles sont injectées à proximité de la tumeur, une régression de celle-ci, et augmente le temps moyen de survie des souris. Administrées à distance de la tumeur, leur efficacité est minorée par rapport aux injections i. T. , mais reste supérieure à celle des dcs naïves. Les cellules spléniques des souris traitées dès l’induction tumorale par des injections de dcs sensibilisées exercent une activité cytolytique contre les b16r, supérieure a celle de souris témoins. De plus, il est possible d’induire une protection efficace et durable de l’animal vis-a-vis des cellules b16r par administration préventive de dcs sensibilisées. Ces résultats mettent en évidence le rôle important des dcs sensibilisées dans l’établissement d’une immunité anti-tumorale spécifique, et permettent d’envisager leur utilisation comme traitement adjuvant à d’autres thérapies deja existantes<br>To develop a strategy against melanoma, we used murine peripheral blood mononuclear cells (pbmcs) against doxorubicin-resistant b16 murine melanoma cells. Pbmcs exhibited an anti-tumor effect in vitro but did not induce the inhibition of tumor growth in vivo. Although lysate-pulsed pbmcs induced a weak slowing down of tumor growth, mice survival was not modified. We showed that intra-tumoral (i. T. ) injections with unstimulated dcs slowed down tumor development, but did not increase survival of animals. Dcs pulsed with cytostatic tumor cells induced tumor regression when injected close to the tumor, and increased survival time in mice compared to untreated mice. When injected far from the tumor, their efficacy was reduced, but remains superior to unstimulated dcs. We observed that spleen cells of mice treated with pulsed dcs from tumor cells injection exerted a cytolytic activity against b16r cells upper than the control mice. Furthermore, an efficient and long-lasting protection of mice against b16r cells can be induced by preventive injections with pulsed dcs. These results show the relevant role of dcs in a specific anti-tumor immunity establishment. Consequently, dcs pulsed with cytostatic tumor cells could be used in addition to other treatments and improve their clinical outcomes
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Malissen, Nausicaa. "L'expression d'HVEM est complémentaire à celle de PD-L1 dans le mélanome à la fois en terme d'expression et de régulation et est un facteur de mauvais pronostic faisant d'HVEM une cible thérapeutique potentielle dans le mélanome." Thesis, Aix-Marseille, 2018. http://www.theses.fr/2018AIXM0127.

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Abstract:
HVEM est une molécule exprimée à la surface des mélanomes (M) qui pourrait contribuer à la croissance tumorale en se liant à BTLA, un co-récepteur inhibiteur exprimé par les lymphocytes T infiltrants les tumeurs (TILs). Nos objectifs étaient 1-d’explorer la valeur pronostique de l’expression d’HVEM par les M; 2-de confirmer l’existence d’une interaction HVEM/BTLA in vivo à l’interface mélanome-TILs; 3- de comprendre les mécanismes de régulation d’HVEM..Méthodes: L’expression d’HVEM a été analysée par immunohistochimie et corrélée à la survie globale des patients. Ces résultats ont été renforcés par l'étude de données transcriptomiques du TCGA. L’analyse de l’expression d’HVEM à la surface des cellules de M et de BTLA à la surface des TILs a été réalisée par cytométrie en flux et co-immunoflorescence afin de confirmer l’existence d’interactions HVEM-BTLA in vivo. Enfin, les mécanismes de régulation d’HVEM ont été explorés par des analyses bio-informatiques couplées à des techniques de siRNA.Résultats : Les patients ayant une expression élevée d’HVEM par leur M avaient une survie globale significativement plus réduite que ceux ayant une expression faible d’HVEM à la fois en immunohistochimie (p= 0,0124) et en transcriptomique (p=0,0282).D’un point de vue mécanistique: HVEM exprimé par les M interagissait avec BTLA exprimé par les TILs et l’expression d’HVEM n’était ni liée au statut mutationnel, ni induite par l’interféron gamma . Nous avons également montré que les gènes co-exprimés avec HVEM formaient une signature d’agressivité et que MITF contrôlait l’expression d’HVEM.Conclusion : HVEM ou BTLA pourraient être des cibles thérapeutiques de choix dans le M<br>Purpose: Upon engagement with HVEM, BTLA triggers inhibitory signals in T cells. Using melanoma, we correlated HVEM expression with clinical outcomes and confirmed the occurrence of HVEM-BTLA interaction inside melanoma. Moreover, we determined regulatory mechanisms accounting for the complementary pattern of expression we observed for HVEM and PD-L1.Experimental design: HVEM expression levels were analyzed by immunohistochemistry in melanoma metastases and correlated with overall survival (OS). Coincident expression of HVEM and its ligand BTLA was studied in tumor cells and tumor-infiltrated-lymphocytes (TILs) by flow cytometry and co-immunofluorescence. Candidate genes controlling HVEM expression on melanoma were defined by bioinformatics studies and validated by siRNA.Result: Patients with high HVEM expression on melanoma cells had a significantly poorer OS than those with a low expression as documented by immunohistochemistry (p=0.0124) and TCGA (p=0.0282). From a mechanistic point of view, we showed (1) that HVEM expressed at the surface of melanoma cells interacts with BTLA expressed by TILs, (2) that HVEM expression is neither linked to the melanoma mutational status nor inducible by IFN 3) that genes co-expressed with HVEM are associated with an aggressive gene signature, and (4) that MITF controls HVEM expression.Conclusion: In contrast to PD-L1, HVEM expression is constitutive and correlated with the expression of genes involved in aggressive features. Therefore, high HVEM expression on melanoma cells is a pejorative prognostic marker, substantiating the use of checkpoint inhibitors directed at HVEM and BTLA in the treatment of melanoma
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Le, Coz Vincent. "Rôle du facteur de croissance IGF-1 (Insulin-Like Growth Factor-1) sur le caractère souche du mélanome métastatique : vers une nouvelle cible thérapeutique contre la dissémination et la résistance aux traitements." Thesis, Université Paris-Saclay (ComUE), 2016. http://www.theses.fr/2016SACLS298.

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Abstract:
Le mélanome métastatique représente le plus mortel des cancers cutanés par sa forte résistance aux thérapies conventionnelles. Les cellules initiatrices de tumeurs (CIT) sont présentes dans de nombreux cancers dont le mélanome. Ces cellules, capables de s’autorenouveller, sont à l’origine de la récidive tumorale et des métastases représentant une cible pour le développement de nouveaux traitements. Les CIT sont confinées dans un microenvironnement tumoral dans lequel des facteurs sécrétés tels que l'Insulin-Like Growth Factor-1 (IGF-1) et le Transforming growth factor (TGF-β) favorisent la transition épithéliomésenchymateuse (TEM), un processus clef lié à l’émergence des CIT. En utilisant des cellules de mélanome métastatique, nous avons montré qu’une inhibition d’IGF-1 induit une diminution de la tumorigénicité des cellules en diminuant la capacité des B16-F10 à former des métastases pulmonaires. Outre son action sur la prolifération cellulaire, IGF-1 est impliqué dans le processus de TEM favorisant les propriétés migratoires et invasives des cellules B16-F10. Par ailleurs, IGF-1 joue un rôle majeur dans le maintien des CIT expliquant la forte résistance des mélanomes aux thérapies conventionnelles. Des expériences préliminaires suggèrent que ces activités induites par IGF-1 pourraient être médiées en partie par le facteur TGF-β, un facteur clef de la TEM. D'autres résultats confortent cette hypothèse en montrant une implication directe du TGF-β dans le caractère souche des cellules B16-F10. Ces travaux montrent que l’inhibition de la voie IGF-1/IGF-1R dans le microenvironnement tumoral pourrait être une bonne stratégie pour le développement de traitements anti-tumoraux contre le mélanome<br>Metastatic melanoma is arguably the most virulent among human cancers, owing to its propensity to metastasize, and its resistance to conventional therapies. Like in many other cancers, tumor stem cells or tumor initiating cells (TIC), have been identified in melanoma. These cells have the unique ability to self-sustain and renew the tumor and thus represent an interesting target for the development of new therapeutic strategies. TIC are nested in a confined microenvironment where secreted-factors such as Insulin-Like Growth Factor- 1 (IGF-1) and transforming growth factor (TGF-β) promote epithelialmesenchymal transition (EMT), a key process in stemness features acquisition. In this context, we investigated the effects IGF-1 on TIC behavior. Using B16-F10 metastatic melanoma cell line, we show that IGF-1 downregulation curbs lung metastasis suggesting that IGF-1 plays a direct role in the intrinsic tumorigenic potential of these cells.markers associated with an increased expression of the epithelial marker E-cadherin and of the major regulator of melanocyte differentiation MITF. Most importantly, IGF-1 inhibition sharply decreased stemness features, reducing the expression of key stem markers and functional characteristics of MIC. This was associated with an important sensitivity to mitoxantrone treatment. Interestingly, our preliminary data suggest the EMT key component, TGF-β, conveys IGF-1-mediated effects. Indeed, TGF-β directly affects B16-F10 stemness phenotype and markers. In summary, we show that the IGF-1/IGF-1R nexus represents an interesting target for the development of novel therapeutic strategies against metastatic melanoma
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Garandeau, David. "Rôle du métabolisme de la sphingosine 1-phosphate dans la résistance thérapeutique des cellules de mélanome aux inhibiteurs de BRAF." Thesis, Toulouse 3, 2016. http://www.theses.fr/2016TOU30134.

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Abstract:
Le traitement du mélanome métastatique a été révolutionné par le développement de thérapies ciblées, qui ont montré un bénéfice significatif sur la survie globale. En particulier, l'inhibition de la sérine-thréonine kinase BRAF, mutée dans 60% des mélanomes, par le Vémurafénib (PLX4032), a montré un gain de survie de 6 à 8 mois comparée à la chimiothérapie de référence, la Dacarbazine. Cependant, une très faible proportion de patients répond sur le long terme. En effet, la majorité des patients développent un échappement thérapeutique dans un délai médian de 6 mois. Des mécanismes cellulaires ont été mis en évidence dans l'apparition de cette résistance acquise, notamment l'implication de MITF, un facteur de transcription majeur des mélanocytes, ainsi que des modifications de l'expression de plusieurs membres de la famille de Bcl-2. Cependant, une meilleure compréhension des mécanismes de résistance aux thérapies anti-BRAF semble essentielle, tout comme l'utilisation de nouvelles approches thérapeutiques combinées afin d'optimiser l'efficacité des traitements et la durée du bénéfice clinique. Notre groupe a récemment identifié des altérations du métabolisme du céramide et de l'un de ses dérivés, la Sphingosine 1-phosphate (S1P), dans les cellules de mélanome humain comparé à des mélanocytes sains. En effet, nous avons montré que la S1P lyase (SPL), qui dégrade irréversiblement la S1P est sous exprimée. Au contraire, l'expression de la sphingosine kinase 1 (SK1), qui produit la S1P, est augmentée dans les cellules de mélanome, conséquence directe de la mutation BRAF. Ces perturbations ont pour effet d'augmenter les niveaux de S1P. Ce lysophospholipide favorise la survie cellulaire ainsi que la résistance vis-à-vis d'agents thérapeutiques dans diverses cellules tumorales. L'objectif de cette thèse a été d'évaluer si le métabolisme de la S1P peut moduler la résistance acquise des cellules de mélanome humain aux inhibiteurs de BRAF. Nous avons montré que la surexpression de la SPL ou l'inhibition pharmacologique de la SK1 (SKI-I) sensibilise les mélanomes métastatiques à l'apoptose induite par la thérapie ciblée. Ce phénomène est associé à une diminution de MITF et de l'une de ses cibles directes, la protéine anti-apoptotique Bcl-2. La diminution d'expression protéique de MITF peut être réversée par un traitement de S1P exogène. De plus, nous avons montré pour la première fois une augmentation de l'expression des récepteurs 1 et 3 à la S1P (S1PR1 et S1PR3), dans les cellules de mélanome présentant une résistance acquise au PLX4032. Ces modifications sont associées à l'expression accrue de MITF. La surexpression de la SPL, le traitement par le SKI-I ou par des inhibiteurs ciblant les S1PR1 et S1PR3, surmonte la résistance acquise de ces cellules au PLX4032 via la diminution d'expression des S1PRs, de MITF, et de Bcl-2. Par conséquent, en contrôlant l'expression de protéines clés de la survie et de la résistance, le métabolisme de la S1P représente une nouvelle approche thérapeutique pour améliorer l'efficacité des thérapies ciblées<br>The treatment of metastatic melanoma has changed considerably in recent years with the development of targeted therapies, which have shown a significant benefit in overall survival. In particular, the inhibition of the frequently mutated serine-threonine kinase BRAF, by Vemurafenib (PLX4032) showed that survival rates increase by 6 to 8 months compared to standard chemotherapy, Dacarbazine. However, a very small proportion of patients will respond to the long term, and the majority of patients relapses in a median of 6 months. Cellular mechanisms have been identified in the appearance of this acquired resistance, including the involvement of MITF, a major transcription factor of melanocytes, as well as changes in the expression of several members of Bcl-2 family. However, a better understanding of these mechanisms seems essential, as is the use of new therapeutic strategies to optimize treatment efficacy and duration of clinical benefit. Our group recently showed some alterations of ceramide metabolism and its derivative sphingosine 1-phosphate (S1P) in human melanoma cells compared to healthy melanocytes. For instance, S1P lyase (SPL), which degrades S1P, is under-expressed. Conversely, sphingosine kinase 1 (SK1), which produces S1P, is over-expressed in tumor cells, as a direct result of BRAF mutation. These alterations increases the levels of S1P. This lysophospholipid promotes cell survival and the resistance to therapeutic agents in a variety of tumor cells. This PhD project aimed at defining whether S1P metabolism could modulate the resistance of human melanoma cells to PLX4032. Here, we show that SPL overexpression or pharmacological inhibition of SK1 by SKI-I sensitizes metastatic melanoma cells to PLX4032-induced apoptosis. This phenomenon is associated with a decreased expression of the master regulator of melanocyte differentiation MITF as well as its direct cellular target Bcl-2. The decrease in MITF protein can be reversed by treating cells with exogenous S1P. Interestingly, we also report for the first time an increased expression of SK1 as well as the S1P receptors, S1PR1 and S1PR3, in melanoma cells with acquired resistance to PLX4032 as compared to sensitive counterparts. These modifications are associated with high expression of MITF. Overexpression of SPL, treatment with SKI-I or antagonists of S1PR1 ans S1PR3, strongly overcomes acquired resistance to PLX4032 through a decrease in the expression of S1PR, MITF as well as Bcl-2. Thus, by controlling the expression of key proteins in melanoma cell survival and resistance, S1P metabolism could represent a new therapeutic approach to enhance the effectiveness of targeted therapies
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Rouaud, Florian. "Implication du facteur de transcription E2F1 dans le mélanome." Electronic Thesis or Diss., Nice, 2015. http://www.theses.fr/2015NICE4130.

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Abstract:
Le mélanome est le cancer cutané le plus meurtrier. Il est issu de la transformation maligne des mélanocytes et se dissémine rapidement dans l'organisme sous forme de métastases. A ce stade, ce cancer est réfractaire à pratiquement toutes les thérapies. Ainsi, l'identification de nouvelles cibles thérapeutiques est donc incontournable pour la mise en place de biothérapies spécifiques dans le mélanome. Dans ce contexte, nous nous sommes intéressés au facteur de transcription E2F1 qui joue un rôle prépondérant dans le cycle cellulaire. Plus récemment, il lui a été identifié divers rôles dans les fonctions cellulaires. Ainsi, nous avons cherché à caractériser son implication dans le mélanome. Nous avons observé que E2F1 est faiblement exprimé dans les cellules saines de la peau. En revanche, elle est fortement exprimée dans le mélanome, et est corrélée à un mauvais pronostic clinique. Ainsi, nous avons montré que son inhibition réduisait la viabilité de cellules de mélanomes in vitro et in vivo dû à un arrêt du cycle cellulaire de la sénescence et d'une apoptose. Ces processus semblent être dépendants de la voie p53. Ce travail a permis de caractériser E2F1 comme une potentielle cible thérapeutique dans le mélanome non muté p53. En parallèle, nous avons initié une collaboration avec le Dr Slama-Schwok dont l'étude portait sur un composé appelé NS1, un inhibiteur de la NO-Synthase. Ce composé présente une activité anti-mélanome in vitro. En effet, il induit un stress du réticulum endoplasmique lui même conduisant à une autophagie partielle et une mort des cellules par apoptose. Ce projet ouvre de nouvelles perspectives pour le traitement du mélanome métastatique<br>Melanoma is the most deadly form of skin cancer. It originates from malignant transformation of melanocytes and quickly disseminates as metastasis through the body. At this stage, this cancer is refractory to almost all therapies. Thus, new therapeutic target identification is needed for setting up specific biotherapies against melanoma. In this context, we focused on E2F1 transcription factor which plays a critical role in cell cycle. Recently, it was also implicated in several cell functions. So we aimed at characterizing its implication in melanoma. We observed that E2F1 is weakly expressed in normal skin cells. On the contrary, it is strongly expressed in melanoma and its expression correlates with a bad clinical prognosis. We also showed that E2F1 inhibition decreased melanoma cell viability in vitro and in vivo, as a result of cell cycle arrest, senescence and apoptosis. These processes seem to depend on p53 pathway. With this work we characterized E2F1 as a potential therapeutic target in non-mutated p53 melanoma. In parallel, we initiated a collaboration with Dr Slama-Schwok for studying NS1 compound, a NO-synthase inhibitor. This compound presents an in vitro anti-melanoma activity. Indeed, it induces endoplasmic reticulum stress, which leads to partial autophagy and cell death by apoptosis. This work opens new perspectives for metastatic melanoma treatment
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Jaune, Emilie. "Développement préclinique d’un nouveau composé anti-mélanome : activation des voies AMPK et p53 pour induire la mort des cellules de mélanome." Thesis, Université Côte d'Azur (ComUE), 2018. http://www.theses.fr/2018AZUR4022.

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Abstract:
200 000 nouveaux cas de mélanome et 65 000 décès sont dus à ce cancer de la peau chaque année. Le mélanome représente donc un véritable problème de santé publique. Actuellement, plus de 50 % des patients sont toujours en échec thérapeutique malgré le développement des thérapies ciblées et des immunothérapies, et il est donc nécessaire de créer de nouvelles thérapies contre ce cancer.Dans notre laboratoire, nous avons montré que la Metformine, un antidiabétique, induit la mort des cellules de mélanomes par autophagie et apoptose. De plus, ce composé inhibe les capacités invasives de ces cellules. Un essai clinique a été effectué au CHU de Nice sur l’effet de la Metformine sur des mélanomes métastatiques mais les résultats ont été plutôt décevants. De ce fait, et en collaboration avec l’institut de chimie de Nice, notre équipe a développé des composés dérivés de la Metformine et a identifié le CRO15. Durant ma thèse, j’ai d’abord déterminé que CRO15 possédait diminuait la viabilité des cellules de mélanomes par différents mécanismes moléculaires. Tout d’abord, l’activation de la voie AMPK, comme ce qui est observée avec la Metformine, mais également l’inhibition de la kinase MELK, un oncogène très souvent surexprimé dans le cadre du mélanome. L’inhibition de MELK par CRO15 est responsable de l’activation de la voie p53. Ces deux voies, AMPK et p53, augmentent l’expression de REDD1 qui active alors les processus d’autophagie et d’apoptose pour induire la mort des cellules de mélanomes. Finalement, j’ai pu montrer que le CRO15 est également capable d’induire une diminution de la croissance tumorale de mélanomes dans différents modèles de souris<br>Every year, 200 000 new cases of melanoma and 65 000 deaths occur as a result of skin cancer, making melanoma a real public health problem. Currently, more than 50 % of patients fail treatment despite new targeted therapies and immunotherapies being developed. As a result, there is an urgent need to develop new anti-melanoma compounds to treat this aggressive disease. In our laboratory, we shown Metformin, an antidiabetic, to induce melanoma cell death by autophagy and apoptosis. Furthermore, this compounds inhibits invasive capability of these cells. A clinical trial has been performed in collaboration with the Nice hospital looking at Metformin’s effects on metastatic melanoma treatment, however these results have been disappointing. In this context, and in collaboration with the chemical institute of Nice, our team developed new Metformin-derived compounds and identified CRO15 as a promising new lead. During my PhD, I determined that CRO15 decreases melanoma cells viability by different molecular mechanisms. First, just like Metformin, CRO15 activates AMPK pathway, however it also inhibits MELK kinase activity, a protein described as an oncogene in melanoma. This inhibition is responsible for p53 activation. The two pathways, AMPK and p53, lead to increased REDD1 expression which involves autophagy and apoptosis to induce melanoma cell death. Finally, I shown that CRO15 decreases melanoma tumoral volume in different mice models. These promising results highlight a novel compound that can now be investigated for its potential use in clinic
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Scandolera, Amandine. "Ciblage thérapeutique du complexe récepteur de l'élastine dans le cadre de l'invasion tumorale. Aspects mécanistiques et impact de l'âge." Thesis, Reims, 2015. http://www.theses.fr/2015REIMS002/document.

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Abstract:
L'élastine est la protéine de la matrice extracellulaire responsable de l'élasticité des tissus. Elle est synthétisée en abondance dans les tissus soumis à de fortes contraintes mécaniques tels que la peau, les poumons, et les artères. Ce biopolymère présente une demi-vie longue de 70 ans et est par conséquent sujet aux altérations liées à l'âge. De plus, l'élastine est dégradée lors de la progression tumorale, notamment celle du mélanome. Sa dégradation entraîne la libération de peptides dérivés de l'élastine (EDP) dotés d'activités biologiques propres et pouvant être impliqués dans l'invasion tumorale (prolifération, angiogenèse, sécrétion de protéases, invasion, survie). Nous avons été les premiers à démontrer que les EDP sont capables de fortement promouvoir le développement de mélanome in vivo dans un modèle murin au travers de l'augmentation de la prolifération et de l'invasion des cellules tumorales impliquant la collagènase-1 ou MMP-1. Ces données suggèrent ainsi que le récepteur de ces peptides, le complexe récepteur de l'élastine (CRE), pourrait constituer une cible thérapeutique innovante afin de lutter contre ce cancer pour lequel un manque flagrant de thérapies efficientes prévaut à l'heure actuelle. Dans le cadre de cette étude, nous avons développé différentes stratégies thérapeutiques basées sur le ciblage du récepteur CRE. Nous démontrons pour la première fois que le ciblage thérapeutique du CRE permet de limiter de manière efficace la progression du mélanome in vitro et in vivo dans un modèle murin. De plus, le vieillissement étant un des facteurs de risque majeur du mélanome, nous avons évalué l'impact de l'âge du stroma sur les effets des EDP et le développement tumoral associé<br>Elastin is the extracellular matrix protein responsible for tissue elasticity. It is abundant in tissues experiencing important mechanical constraints such as skin, lungs and arteries. This biopolymer possesses a half-life of 70 years and, consequently, it is subjected to age-related alterations. Moreover, elastin is degraded during tumor progression, notably that of melanoma. Its degradation results in the release of elastin-derived peptides (EDP) which possess their own biological activities that can be linked to tumor invasion (proliferation, angiogenesis, proteases secretion, invasion, survival). We have been the first to show that EDP can promote melanoma development in an in vivo mouse model by raising the proliferation and invasion of tumor cells through collagenase-1 (MMP-1) up-regulation. These data thus suggest that the receptor for these peptides, the elastin receptor complex, could constitute a novel therapeutic target to fight against this type of cancer for which no therapies are efficient now. In this study, we have developed therapeutic strategies targeting the ERC complex. We show for the first time that the therapeutic targeting of the ERC could efficiently limit melanoma progression in an in vitro and in vivo murine model. Additionally, as aging is one of melanoma major risk factors, we have evaluated the impact of stromal age on EDP effects and the associated tumor development
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Bats, Marie-lise. "Bases cellulaires et moléculaires du rôle de la Sphingosine 1-phosphate dans la progression et la résistance du mélanome cutané." Toulouse 3, 2014. http://www.theses.fr/2014TOU30034.

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Abstract:
Le mélanome métastatique est considéré comme un des cancers les plus agressif et chimiorésistant chez l'Homme. Malgré les avancées dans la compréhension de la biologie et de la génétique du mélanome, les thérapies systémiques s'avèrent inefficaces pour combattre ce cancer très invasif. De nombreux arguments renforcent la notion que le microenvironnement tumoral jouerait un rôle clé dans la progression de cette tumeur. C'est pourquoi la définition des mécanismes moléculaires qui régissent le dialogue bidirectionnel entre les cellules malignes et le stroma tumoral semble indispensable à la découverte de nouvelles cibles thérapeutiques anti-mélanome. La première étape de notre travail s'est concentrée sur le rôle de la Sphingosine 1-phosphate (S1P), un sphingolipide bioactif décrit dans le cancer pour ses effets pro-migratoire et anti-apoptotique, dans les interactions mélanome-stroma. Par analyse transcriptomique, nous avons mis en évidence que l'expression la Sphingosine kinase 1 (SK1), l'enzyme qui produit la S1P, était augmentée dans des lignées de mélanome humain comparées à des mélanocytes sains. Cette augmentation, confirmée in situ dans des tissus de patients atteints de mélanome, était la conséquence directe de l'activation de ERK dans les cellules mutées pour BRAF ou NRAS. Bien que les modifications de l'expression de SK1 n'aient pas affecté la migration des cellules de mélanome, celle-ci a été stimulée par la modulation des enzymes du métabolisme de la S1P dans des fibroblastes dermiques co-cultivées avec les cellules tumorales. De plus, l'incubation de ces fibroblastes avec du milieu conditionné issu de cellules de mélanome surexprimant SK1 a conduit à leur différenciation en myofibroblastes, capables de produire des métalloprotéases matricielles et de sécréter de la S1P. Des expériences de tumorigenèse in vivo ont montré que l'absence de S1P dans le microenvironnement limitait la formation de tumeurs mélaniques chez les souris. De plus, la croissance tumorale locale et les métastases étaient considérablement augmentées par la co-injection de fibroblastes cutanés sauvages par rapport à des fibroblastes issus de souris Sphk1-/-. L'ensemble de nos résultats démontre que l'axe SK1/S1P pourrait contrôler les interactions entre le mélanome et son microenvironnement, soulignant l'intérêt de cibler la SK1 en thérapeutique. Notre équipe avait précédemment montré que l'expression de la S1P Lyase, l'enzyme responsable de la dégradation irréversible de la S1P, était fortement diminuée dans des cellules de mélanome comparée à des mélanocytes sains. La deuxième partie de notre travail s'est donc intéressée au rôle de cette enzyme dans la régulation de la réponse du mélanome au traitement par la dacarbazine (DTIC), un agent alkylant utilisé en 1ère ligne dans la prise en charge des mélanomes avancés. Nous avons montré que l'inhibition de l'expression de la S1P Lyase par siRNA augmentait la résistance au DTIC. A l'inverse sa surexpression sensibilisait les cellules de mélanome à l'apoptose en diminuant l'expression des membres anti-apoptotiques et à l'inverse en augmentant celle des membres pro-apoptotiques de la famille de Bcl-2. De plus, nous avons observé que le traitement des cellules de mélanome avec l'ABT-737, un inhibiteur de Bcl-2, s'accompagnait d'une action cytotoxique synergique avec les effets sensibilisants de la S1P Lyase en réponse au DTIC. De façon intéressante, la surexpression de la S1P Lyase stimulait l'expression de p53, via la régulation négative d'un de ses régulateurs clés, Mdm4. Les A375 surexprimant la S1P Lyase présentaient également une expression diminuée pour MITF (Microphthalmia-associated transcription factor), régulateur majeur de la mélanogenèse et de la progression du mélanome, également connu pour induire la transcription de Bcl-2. Enfin, la S1P Lyase activait PTEN par diminution de sa phosphorylation. En contrôlant l'expression de protéines clés dans la régulation des voies apoptotiques, la S1P Lyase pourrait donc être une nouvelle cible thérapeutique permettant d'améliorer la prise en charge des malades atteints de mélanome, notamment ceux qui développent des résistances aux thérapies émergentes<br>Metastatic melanoma is considered to be one of the most aggressive and treatment-resistant human cancer. Despite advances in the understanding of tumor biology and genetics of melanoma, until recently systemic therapy was ineffective against this invasive cancer. Many evidences support the notion that the adjacent microenvironment plays a key role in the progression of this tumor. Defining the molecular signals that control the bidirectional dialogue between malignant cells and the surrounding stroma is crucial for efficient targeted therapy. The first part of our work aimed at defining the role of sphingosine-1-phosphate (S1P), a bioactive sphingolipid that promotes tumor cell migration and survival, in melanoma-stroma interactions. Transcriptomic analysis of human melanoma cell lines showed an increased expression of sphingosine kinase-1 (SK1), the enzyme that produces S1P, as compared to normal melanocytes. Such an increase was also observed by immunohistochemistry in melanoma specimens as compared to nevi, and occurred downstream of ERK activation due to BRAF or NRAS mutations. Importantly, migration of melanoma cells was not affected by changes in SK1 in tumor cells but was stimulated by comparable modifications of S1P-metabolizing enzymes in co-cultured dermal fibroblasts. Reciprocally, incubation of fibroblasts with the conditioned medium from SK1-expressing melanoma cells resulted in their differentiation to myofibroblasts, increased production of matrix metalloproteinases, and enhanced SK1 expression and activity. In vivo tumorigenesis experiments showed that the lack of S1P in the microenvironment prevented the development of orthotopically injected melanoma cells. Finally, local tumor growth and dissemination were enhanced more efficiently by co-injection of wild-type skin fibroblasts than by fibroblasts from Sphk1-/- mice. Altogether, our findings demonstrate that SK1/S1P can modulate the communication between melanoma cells and dermal fibroblasts, pointing out the relevance of SK1 as a potential therapeutic target in melanoma progression. Moreover, we previously reported that S1P Lyase expression, the enzyme responsible for irreversible degradation of S1P, was down-regulated in human skin melanoma cells as compared to normal melanocytes. The second part of our work aimed at defining the effect of S1P Lyase on the response of melanoma cells to antitumor therapies. Here we showed that disruption of S1P Lyase by siRNA enhanced resistance of A375 melanoma cells to Dacarbazine (DTIC), the common chemotherapy used to treat advanced melanoma. In contrast, we reported increased apoptosis in melanoma cells expressing S1P Lyase, as a consequence of increased expression of pro-apoptotic and decreased anti-apoptotic members of the Bcl-2 family. Moreover, S1P Lyase-induced cell death was enhanced in tumor cells treated by the Bcl-2 antagonist ABT-737 suggesting that S1P Lyase could act as a new regulator of Bcl-2-mediated cell survival in melanoma. Interestingly, S1P Lyase overexpression was also associated with an increased expression of p53 as a consequence of the downregulation of its key regulator Mdm4. Furthermore, A375 cells overexpressing S1P Lyase exhibited a decreased expression of Microphthalmia-associated transcription factor (MITF), one of the master regulators of melanogenesis and melanoma progression, also known to up-regulate Bcl-2 transcription. Finally, S1P Lyase promoted PTEN activation by decreasing its phosphorylation. By controlling the expression of key proteins in the regulation of apoptotic pathways, SPL could be a new target to improve the efficacy of anti-melanoma therapies
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Bonet, Caroline. "Contrôle de la sénescence des cellules de mélanome : implication de la kinase Aurora B et du facteur de transcription MITF." Nice, 2012. http://www.theses.fr/2012NICE4100.

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Abstract:
Le mélanome est une tumeur hautement agressive, dont l’incidence est en forte augmentation depuis ces dernières décennies, ce qui en fait un important problème de santé publique. Le fort potentiel métastatique du mélanome implique une éradication chirurgicale précoce afin d’éviter la dissémination des cellules tumorales qui deviennent alors hautement résistantes à tous types de traitements. Grâce à une meilleure compréhension des mécanismes moléculaires de pathogénie, des nouveaux traitements de thérapie ciblée ont pour la première fois permis d’augmenter la survie des patients atteints de mélanome métastatique. Cependant, malgré l’espoir énorme que suscitent ces traitements, il y a encore de nombreux patients qui ne répondent pas et la guérison parfois incomplète est souvent suivie de rechutes fatales. Dans une première partie de ma thèse, j’ai montré que la kinase Aurora B est contrôlée par la voie MAPK/ERK, dérégulée dans 80% des cas de mélanomes, et que son inhibition par un nouvel inhibiteur plus spécifique de cette kinase conduit à la mise en place d’un programme de sénescence et à la mort des cellules de mélanome par de la catastrophe mitotique. Le Vémurafénib qui inhibe la forme oncogénique BRAFV600E, mutée dans 50% des cas de mélanomes, augmente la survie des individus atteints de mélanomes métastatiques mais ce traitement est suivi de rechutes très rapides. L’enjeu actuel est donc de trouver de nouvelles cibles afin d’éviter les résistances et de prolonger les effets du Vémurafénib. J’ai montré que les mélanomes résistants au Vémurafénib sont sensibles à la mort cellulaire induite par l’inhibiteur d’Aurora B. Ainsi, la kinase Aurora B semble être une cible prometteuse dans le traitement du mélanome et également chez les patients développant des résistances au Vémurafénib. Dans une deuxième partie de la ma thèse je me suis intéressée au facteur de transcription MITF. MITF, dont l’isoforme M est restreinte au lignage mélanocytaire est un facteur de transcription qui joue un rôle important dans la tumorigenèse. Nous avons montré au laboratoire que l’invalidation de MITF par la technique de l’interférence à l’ARN engage une voie de réponse de dommage de l’ADN et la mise en place d’un programme de sénescence cellulaire qui peut être considéré comme une barrière anti-tumorale. Cette étude a révélé comment MITF contrôle la prolifération et supprime la sénescence des cellules mélanocytaires. De plus, le laboratoire a identifié une mutation de MITF qui change le glutamate en position 318 en lysine (E318K). Cette mutation affecte un site de sumoylation et prédispose au mélanome et au cancer du rein. Ce mutant de MITF contrôle un répertoire de gènes différent de la forme sauvage. L’objectif de mon travail a été de mieux comprendre comment le mutant exerce ces activités pro-tumorales en focalisant mes recherches sur le contrôle du programme de sénescence. Dans ce contexte, j’ai montré que ce mutant de MITF induit un dépassemen de la sénescence induite par des agents chimiothérapeutiques (AZD1152, Hydroxyurée, Fotémustine) mais également par l’oncogène BRAF. La sénescence induite dans les cellules contrôle a été caractérisée par l’augmentation de l’activité de la β-galactosidase, des dommages de l’ADN et une augmentation des marqueurs de la sénescence, phénomènes absents dans les cellules exprimant la mutation. De plus, j’ai montré que les cellules exprimant la forme mutée de MITF surexpriment le facteur de transcription FOXM1 et que l’inhibition de FOXM1 restaure la sénescence induite par l’AZD1152. Ces résultats confirment le rôle de MITF dans le contrôle de la sénescence dans les cellules mélanocytaires et montrent que la forme mutée E318K de MITF entraîne un dépassement du programme de sénescence et favorise le développement du mélanome<br>Metastatic melanoma is an aggressive tumor with almost no effective treatment options. Therefore, a better understanding of the molecular mechanisms underlying melanoma disease will be essential for new advances in melanoma therapy. I showed that the kinase Aurora B is regulated by the MAPK/ERK signaling pathway, deregulated in 80% of melanoma. I showed that Aurora B inhibition triggers senescence entry, characterized by a growth arrest and the death of melanoma cells. Vemurafenib, an inhibitor of BRAF mutated melanoma which occurs in approximately 50% of cases, increases the overall survival of individuals but this treatment induces resistance. In this context, I showed that melanoma cells resistant to Vemurafenib’s effect are sensitive to the Aurora B inhibitor. Collectively, my results indicate that the inhibition of the kinase Aurora B might be a promising strategy for the treatment of metastatic melanoma. On the other hand, my project aims to investigate the role of the transcription factor MITF. We have shown that the invalidation of MITF triggers senescence. In addition, we have identified a mutation in MITF that affects a sumoylation site and predisposes to melanoma. The objective was to understand the molecular mechanisms by which this mutant of MITF exerts its pro-tumoral activity. I showed that MITF prevents senescence entry of melanoma cells mediated by different pro-oncogenic drugs and oncogenes and in several melanoma cell lines. My results confirm the role of MITF in controlling senescence in melanocyte ells, and indicate how MITF, that overrides the senescence, could favor melanoma development
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Caudron, Anne. "Rôles de EMMPRIN et de DDR-1 dans la progression des mélanomes : évaluation d'une nouvelle cible tumorale." Sorbonne Paris Cité, 2015. http://www.theses.fr/2015USPCC185.

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Abstract:
Le mélanome est un cancer dont l'incidence et le taux de mortalité augmentent tous les ans. Le pronostic reste défavorable pour les cancers au stade métastatique, malgré l'apparition de nouvelles thérapeutiques tels que les thérapies ciblées anti-BRAF ou anti-MEK. Le processus métastatique est lié à l'invasion et à l'angiogenèse tumorales, facilité par la dégradation de la matrice extracellulaire par des protéases telles que les métalloprotéinases matricielles (MMPs) et les sérines protéases (uPA, plasmine). La glycoprotéine EMMPRIN/CD147 surexprimée à la surface des cellules de nombreux cancers induit la synthèse des MMPs, régule le système uPA/uPAR, et active le VEGFR¬2 indépendamment de son ligand le VEGF. Dans ce travail, nous avons montré à partir d'une étude en immunohistochimie sur une cohorte de 200 mélanomes que l'expression de EMMPRIN dans les tumeurs de mélanome est corrélée à l'indice de Breslow, et est associée au risque d'apparition d'une métastase à distance, au stade AJCC, à la survie sans récidive et à la survie globale des patients. EMMPRIN constitue ainsi un biomarqueur pronostique intéressant, complémentaire aux marqueurs pronostiques déjà connus tels que l'indice de Breslow, de Clark et l'ulcération. Dans notre démarche de compréhension des mécanismes de régulation de l'interaction tumeur/stroma, nous nous sommes intéressés à DDR-1, un récepteur à tyrosine kinase spécifique au collagène, dont la surexpression rapportée dans différents types de cancers est associée au pouvoir invasif et métastatique. Toutefois, dans le mélanome, son rôle n'a pas encore été décrit. Nos travaux ont montré que l'expression de DDR-1 est associée à l'épaisseur tumorale et à la diminution de la survie globale des patients atteints de mélanome. In vitro, l'inhibition de l'expression de DDR-1 est associée à une diminution de la migration et de la survie des cellules de mélanome démontrant ainsi l'implication de DDR-1 dans la progression tumorale du mélanome. La compréhension du mécanisme d'activation de DDR-1 nous a permis d'identifier EMMPRIN comme acteur de cette régulation indépendamment de MT1-MMP, connue comme régulateur négatif de l'activation de DDR-1. Une interaction EMMPRIN/DDR-1 pourrait expliquer ce mécanisme d'activation. L'étude moléculaire de ce mécanisme permettrait de développer une stratégie de blocage de cette interaction ainsi que de l'activation de DDR-1. Les résultats de ce travail apportent des éléments nouveaux dans la validation de EMMPRIN et DDR-1 comme cibles thérapeutiques dans le mélanome<br>Incidence and mortality of melanoma are increasing every year. Melanoma prognosis remains unfavorable for metastatic disease, despite the emergence of new targeted therapies such as anti-BRAF or anti-MEK. The metastatic process is related to tumoral invasion and angiogenesis, facilitated by the degradation of extracellular matrix by proteases such as matrix metalloproteinases (MMPs) and serine proteases (uPA, plasmin). EMMPRIN/CD147 glycoprotein, overexpressed on many cancers surface, induces the synthesis of MMPs, regulates the uPA/uPAR system and activates VEGFR-2 in a VEGF independent manner. In this work, we showed from an immunohistochemistry study on a cohort of 196 melanomas that the expression of EMMPRIN in melanoma tumors correlates with the Breslow index, and is associated with distant metastases, AJCC stage, disease-free survival and overall survival. Thus, EMMPRIN constitutes an interesting prognostic biomarker, complementary to Breslow index, Clark level and ulceration status. To understand the regulatory mechanisms of tumor/stroma interaction, we are interested in DDR-1, a tyrosine kinase receptor specific to collagen, whose overexpression reported in different types of cancers is associated with invasiveness and metastasis. However, in melanoma, the role of DDR-1 has not yet been described. Our work has shown that DDR-1 expression is associated with tumor thickness and a decreased overall survival in melanoma patients. In vitro, the inhibition of DDR-1 expression is associated with a decrease in the migration and survival of melanoma cells demonstrating the involvement of DDR-1 in melanoma progression. Understanding the DDR-1 activation mechanism has allowed us to identify EMMPRIN as an actor in this regulation regardless of MT1-MMP, known as negative regulator of DDR-1 activation. A EMMPRIN/DDR-1 interaction could explain the mechanism of activation. The molecular study of this mechanism would develop a blocking strategy of this interaction as well as the DDR-1 activation
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Spasojevic, Caroline. "Validation de la protéine Kinase D1 comme facteur pronostique et cible thérapeutique dans le cancer du sein triple négatif et analyse de son rôle dans le maintien du phénotype mésenchymateux dans le mélanome." Thesis, Université Paris-Saclay (ComUE), 2017. http://www.theses.fr/2017SACLS404/document.

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Abstract:
PKD1 est une sérine-thréonine kinase codée par le gène PRKD1. Elle appartient à la famille des protéines kinase D (PKD). La famille des PKD comprend également deux autres membres, PKD2 et PKD3 qui partagent une grande similarité structurale avec PKD1. Certaines études suggèrent que la PKD1 est impliquée dans de nombreuses voies oncogéniques telles que MAPK, NF-κB, HDAC ... Les données préliminaires de notre équipe avait montré que PKD1 est fortement exprimée dans les lignées cellulaires de mélanome ayant un phénotype mésenchymateux. Nous avons également montré que PKD1 participe à l’indépendance vis-à-vis des oestrogènes dans le cancer du sein et que la forte expression des transcrits PRKD1 était associée à une moins bonne survie dans les tumeurs traitées au Tamoxifène. L'objectif de ma thèse est d'analyser le rôle de la PKD1 dans le maintien du phénotype mésenchymateux dans le mélanome et de déterminer si PKD1 pourrait être un facteur pronostique et une cible thérapeutique pertinente pour certaines sous-populations de cancer du sein. Nous avons analysé les marqueurs moléculaires impliqués dans le phénotype mésenchymateux et épithélial (cadhérine, β-caténine ...) ainsi que les caractéristiques fonctionnelles des cellules de mélanome ayant un phénotype mésenchymateux après inhibition pharmacologique de PKD1. Les résultats ont montré que l'inhibition de PKD1 induit une réversion du phénotype mésenchymateux vers un phénotype pseudo-épithélial moins agressif. L'expression de PRKD1, PRKD2 et PRKD3 a été analysée par RT-qPCR dans 527 tumeurs de sein. Nous avons montré que les niveaux plus élevés d'ARNm de PRKD1 étaient associés à un mauvais pronostic dans la population globale de cancer du sein et plus particulièrement dans les tumeurs ERα- et les tumeurs triples négatives. Nous avons criblé des inhibiteurs pharmacologiques de PKD1 en collaboration avec la société pharmaceutique AB Science, et nous avons évalué l'activité anti-tumorale de plusieurs d’entre eux in vitro dans la lignée cellulaire de cancer du sein triple négative MDA-MB-436 et in vivo dans un modèle de PDX (xénogreffe dérivée du patient) de cancer du sein triple négatif. L’inhibition pharmacologique de PKD1 ou à l’aide de siRNA a réduit la capacité des cellules MDA-MB-436 à former des colonies. L'inhibition pharmacologique de PKD1 a également réduit la croissance tumorale in vivo dans le modèle de PDX. Finalement, nous avons analysé l'expression de PRKD1 dans différentes cohortes multi-cancers. Nos résultats ont montré qu'une forte expression de PRKD1 est retrouvée dans le mélanome et le glioblastome. En conclusion, les résultats ont montré que PKD1 pourrait être une cible thérapeutique pertinente pour le mélanome, le cancer du sein et le glioblastome<br>PKD1 is a serine-threonine kinase encoded by the PRKD1 gene. It belongs to the protein kinase D (PKD) family. The PKD family also includes PKD2 and PKD3 which share a high structural similarity with PKD1. Some studies suggest that PKD1 is involved in many oncogenic pathways such as MAPK, NF-κB, HDAC... Recent data from our group showed that PKD1 is more expressed in melanoma cell lines with mesenchymal phenotype compared to melanoma cell lines with epithelial phenotype. We also showed that PKD1 participates in the development and/or maintenance of the estrogen-independent phenotype in breast cancer, and that high PKD1 mRNA levels were associated with a worse outcome in tamoxifen-treated tumors. The objective of my thesis is to analyze the role of PKD1 in the maintenance of mesenchymal phenotype in melanoma and to determine whether PKD1 could be a prognostic factor and/or a therapeutical target for the treatment of breast cancer subpopulations. We analyzed molecular markers involved in mesenchymal and epithelial phenotype (cadherin, β-catenin …) and the functional characteristics of mesenchymal melanoma cells after PKD1 pharmacological inhibition. Results suggest that PKD1 inhibition induced a mesenchymal to epithelial like transition in these melanoma mesenchymal cell lines. In addition, the expression of PRKD1, PRKD2 and PRKD3 was analyzed by RT-qPCR in 527 breast cancers. We showed that higher PRKD1 mRNA levels were associated with a lower metastasis-free survival in the overall breast cancer population. PRKD1 prognostic value was even stronger in ERα- and in triple negative tumors. Then, we tested PKD1 inhibitors in collaboration with the AB Science pharmaceutical company. We assessed the anti-tumoral activity of PKD1 inhibitors in vitro in TNBC (triple negative breast cancer) cell lines and in vivo in a TNBC PDX (patient derivated xenograft) model. PKD1 pharmacological inhibition or depletion by siRNA reduced colony forming units in MDA-MB-436 TNBC cells. PKD1 pharmacological inhibition also reduced tumor growth in vivo in TNBC PDX model. Following those results, we analyzed PRKD1 expression in different multi-cancer cohorts. Our results showed that higher PRKD1 expression is found in melanoma and glioblastoma. In conclusion, results showed that PKD1 could participate in the maintenance of mesenchymal phenotype in melanoma. And that PKD1 could be an interesting therapeutic target in melanoma, breast cancer and glioblastoma
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Pottier, Anaïs. "Étude de l’implication de la protéine matricellulaire SPARC et des fibroblastes du microenvironnement lymphatique dans la résistance thérapeutique des mélanomes." Electronic Thesis or Diss., Nice, 2015. http://www.theses.fr/2015NICE4051.

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Abstract:
Le mélanome est le cancer de la peau le plus dangereux : il est capable de métastaser rapidement vers les ganglions et les viscères, et est réfractaire aux chimio/radiothérapies. De nouvelles thérapies ciblant la kinase BRAFV600 retrouvée dans 60% des mélanomes ont montré des effets spectaculaires en termes de survie globale et sans progression de la maladie. L’efficacité de ces thérapies est compromise par l’apparition fréquente de résistances. Les cellules cancéreuses sont ancrées au sein d’un microenvironnement avec lequel elles interagissent. Elles profitent de facteurs solubles du stroma et de l’adhésion à la matrice extracellulaire (MEC) pour survivre face aux thérapies. La protéine matricellulaire SPARC orchestre les interactions entre les cellules saines ou cancéreuses et leur microenvironnement. Absente dans les mélanocytes, son expression est initiée et augmentée dans les mélanomes, corrélée à la progression tumorale et à un mauvais pronostic clinique. Lorsqu’elle est sécrétée par les cellules de mélanome, elle active la kinase AKT, déstabilise le suppresseur de tumeur p53 et favorise la prolifération/survie tumorale. Nous avons montré que le module SPARC/AKT est un nouveau déterminant de la résistance innée ou acquise des mélanomes mutés BRAFV600 aux anti-BRAF, et mis en évidence l’intérêt du ciblage de SPARC en combinaison avec des anti-BRAF ou -MEK pour optimiser/restaurer la sensibilité des mélanomes à ces inhibiteurs. Nous avons aussi montré que les fibroblastes ganglionnaires ont des caractéristiques de fibroblastes activés, et confèrent une résistance aux anti-BRAF aux cellules de mélanomes en générant une MEC permissive à laquelle elles adhérent<br>Melanoma is the most dangerous form of skin cancer due to its high metastatic potential and its resistance to both classical chemo- and radiotherapies. New targeted therapies directed against the V600E oncogenic form of BRAF found in about 60% of patients have demonstrated spectacular efficacy both in terms of progression free and overall survival. However most patients invariably relapse after a few months due to resistance mechanisms. Cancer cells are anchored and interact constantly with their microenvironment. Both soluble factors and the extracellular matrix produced by stromal cells have been shown to contribute to cancer cell resistance to therapies. SPARC is a matricellular protein that orchestrates interactions between normal and/or cancer cells and their microenvironment. While it is absent in melanocytes, SPARC expression increases in melanoma and is correlated with both tumoral progression and a bad prognosis. When SPARC is secreted by melanoma cells, it activates the AKT kinase, destabilizes the p53 tumor suppressor and promotes proliferation and survival. Here we identify the couple SPARC/AKT as a new actor contributing to both innate and acquired resistance to BRAFV600E inhibitors. In addition, we demonstrate that targeting SPARC in melanoma cells increases their sensitivity to both BRAF and MEK inhibitors. Finally we show that lymph node fibroblasts share features of activated fibroblasts and confer resistance to BRAF inhibitors to melanoma cells through the production of a permissive extracellular matrix
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Rouaud, Florian. "Implication du facteur de transcription E2F1 dans le mélanome." Thesis, Nice, 2015. http://www.theses.fr/2015NICE4130.

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Abstract:
Le mélanome est le cancer cutané le plus meurtrier. Il est issu de la transformation maligne des mélanocytes et se dissémine rapidement dans l'organisme sous forme de métastases. A ce stade, ce cancer est réfractaire à pratiquement toutes les thérapies. Ainsi, l'identification de nouvelles cibles thérapeutiques est donc incontournable pour la mise en place de biothérapies spécifiques dans le mélanome. Dans ce contexte, nous nous sommes intéressés au facteur de transcription E2F1 qui joue un rôle prépondérant dans le cycle cellulaire. Plus récemment, il lui a été identifié divers rôles dans les fonctions cellulaires. Ainsi, nous avons cherché à caractériser son implication dans le mélanome. Nous avons observé que E2F1 est faiblement exprimé dans les cellules saines de la peau. En revanche, elle est fortement exprimée dans le mélanome, et est corrélée à un mauvais pronostic clinique. Ainsi, nous avons montré que son inhibition réduisait la viabilité de cellules de mélanomes in vitro et in vivo dû à un arrêt du cycle cellulaire de la sénescence et d'une apoptose. Ces processus semblent être dépendants de la voie p53. Ce travail a permis de caractériser E2F1 comme une potentielle cible thérapeutique dans le mélanome non muté p53. En parallèle, nous avons initié une collaboration avec le Dr Slama-Schwok dont l'étude portait sur un composé appelé NS1, un inhibiteur de la NO-Synthase. Ce composé présente une activité anti-mélanome in vitro. En effet, il induit un stress du réticulum endoplasmique lui même conduisant à une autophagie partielle et une mort des cellules par apoptose. Ce projet ouvre de nouvelles perspectives pour le traitement du mélanome métastatique<br>Melanoma is the most deadly form of skin cancer. It originates from malignant transformation of melanocytes and quickly disseminates as metastasis through the body. At this stage, this cancer is refractory to almost all therapies. Thus, new therapeutic target identification is needed for setting up specific biotherapies against melanoma. In this context, we focused on E2F1 transcription factor which plays a critical role in cell cycle. Recently, it was also implicated in several cell functions. So we aimed at characterizing its implication in melanoma. We observed that E2F1 is weakly expressed in normal skin cells. On the contrary, it is strongly expressed in melanoma and its expression correlates with a bad clinical prognosis. We also showed that E2F1 inhibition decreased melanoma cell viability in vitro and in vivo, as a result of cell cycle arrest, senescence and apoptosis. These processes seem to depend on p53 pathway. With this work we characterized E2F1 as a potential therapeutic target in non-mutated p53 melanoma. In parallel, we initiated a collaboration with Dr Slama-Schwok for studying NS1 compound, a NO-synthase inhibitor. This compound presents an in vitro anti-melanoma activity. Indeed, it induces endoplasmic reticulum stress, which leads to partial autophagy and cell death by apoptosis. This work opens new perspectives for metastatic melanoma treatment
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Pottier, Anaïs. "Étude de l’implication de la protéine matricellulaire SPARC et des fibroblastes du microenvironnement lymphatique dans la résistance thérapeutique des mélanomes." Thesis, Nice, 2015. http://www.theses.fr/2015NICE4051/document.

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Abstract:
Le mélanome est le cancer de la peau le plus dangereux : il est capable de métastaser rapidement vers les ganglions et les viscères, et est réfractaire aux chimio/radiothérapies. De nouvelles thérapies ciblant la kinase BRAFV600 retrouvée dans 60% des mélanomes ont montré des effets spectaculaires en termes de survie globale et sans progression de la maladie. L’efficacité de ces thérapies est compromise par l’apparition fréquente de résistances. Les cellules cancéreuses sont ancrées au sein d’un microenvironnement avec lequel elles interagissent. Elles profitent de facteurs solubles du stroma et de l’adhésion à la matrice extracellulaire (MEC) pour survivre face aux thérapies. La protéine matricellulaire SPARC orchestre les interactions entre les cellules saines ou cancéreuses et leur microenvironnement. Absente dans les mélanocytes, son expression est initiée et augmentée dans les mélanomes, corrélée à la progression tumorale et à un mauvais pronostic clinique. Lorsqu’elle est sécrétée par les cellules de mélanome, elle active la kinase AKT, déstabilise le suppresseur de tumeur p53 et favorise la prolifération/survie tumorale. Nous avons montré que le module SPARC/AKT est un nouveau déterminant de la résistance innée ou acquise des mélanomes mutés BRAFV600 aux anti-BRAF, et mis en évidence l’intérêt du ciblage de SPARC en combinaison avec des anti-BRAF ou -MEK pour optimiser/restaurer la sensibilité des mélanomes à ces inhibiteurs. Nous avons aussi montré que les fibroblastes ganglionnaires ont des caractéristiques de fibroblastes activés, et confèrent une résistance aux anti-BRAF aux cellules de mélanomes en générant une MEC permissive à laquelle elles adhérent<br>Melanoma is the most dangerous form of skin cancer due to its high metastatic potential and its resistance to both classical chemo- and radiotherapies. New targeted therapies directed against the V600E oncogenic form of BRAF found in about 60% of patients have demonstrated spectacular efficacy both in terms of progression free and overall survival. However most patients invariably relapse after a few months due to resistance mechanisms. Cancer cells are anchored and interact constantly with their microenvironment. Both soluble factors and the extracellular matrix produced by stromal cells have been shown to contribute to cancer cell resistance to therapies. SPARC is a matricellular protein that orchestrates interactions between normal and/or cancer cells and their microenvironment. While it is absent in melanocytes, SPARC expression increases in melanoma and is correlated with both tumoral progression and a bad prognosis. When SPARC is secreted by melanoma cells, it activates the AKT kinase, destabilizes the p53 tumor suppressor and promotes proliferation and survival. Here we identify the couple SPARC/AKT as a new actor contributing to both innate and acquired resistance to BRAFV600E inhibitors. In addition, we demonstrate that targeting SPARC in melanoma cells increases their sensitivity to both BRAF and MEK inhibitors. Finally we show that lymph node fibroblasts share features of activated fibroblasts and confer resistance to BRAF inhibitors to melanoma cells through the production of a permissive extracellular matrix
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Haller, Alexandre. "Characterization of long non-coding RNA LENT, a potential therapeutic target in cutaneous melanoma." Electronic Thesis or Diss., Strasbourg, 2024. http://www.theses.fr/2024STRAJ025.

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Abstract:
Le mélanome est le plus agressif des cancers de la peau, représentant 1 % des cancers cutanés mais responsable de la plupart des décès liés à ces cancers. Les mélanomes métastatiques sont traités par immunothérapie ou par une inhibition ciblée de MAPK. Néanmoins, la résistance primaire ou acquise met les chercheurs au défi de trouver de nouvelles thérapies. Dans ce contexte, le laboratoire d’accueil a identifié une série de longs ARNs non-codants (LncRNA) spécifiques du mélanome. Mon projet concerne le lncRNA LENT (LncRNA Enhancer of Translation) fortement exprimé dans les mélanomes par rapport aux autres cancers ou tissus. LENT est régulé par le facteur de transcription MITF et exprimé dans les cellules de mélanome mélanocytiques. Le silencing de LENT inhibe la prolifération des mélanomes et induit l’apoptose. La purification de LENT couplée à la spectrométrie de masse a révélé une interaction sélective avec la résolvase DHX36 qui régule la traduction d’ARNm et se localise aux mitochondries dans les cellules de mélanome. La délétion de LENT module l’association de nombreux ARNm avec DHX36 et les polysomes, modulant leur traduction. Cette délétion promeut la mitophagie et réduit la capacité de réponse au stress des cellules de mélanome, entrainant leur mort. LENT représente ainsi une nouvelle cible thérapeutique pour traiter le mélanome cutané<br>Melanoma is the most aggressive form of skin cancers, accounting for 1% of all cutaneous cancers, but is responsible for the majority of deaths from these cancers. Metastatic melanoma is treated with immunotherapy or targeted MAPK inhibition. However, primary or acquired resistance is challenging researchers to find new therapies. In this context, the host laboratory has identified a series of melanoma-specific long non-coding RNAs (lncRNAs). My project concerns the lncRNA LENT (LncRNA Enhancer of Translation), which is highly expressed in melanoma compared with other cancers or normal tissues. LENT is regulated by the transcription factor MITF and expressed in melanocytic melanoma cells. Silencing of LENT inhibits melanoma proliferation and induces apoptosis. Purification of LENT coupled to mass spectrometry revealed a selective interaction with the G quadruplex resolvase DHX36 which regulates mRNA translation and localizes to mitochondria in melanoma cells. LENT deletion modulates the association of many mRNAs with DHX36 and polysomes, modulating their translation. This deletion promotes mitophagy and reduces the stress response capacity of melanoma cells, leading to their death. LENT therefore represents a new therapeutic target for treating cutaneous melanoma
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Rousset, Marine. "Etude des déterminants de l’efficacité et la toxicité des inhibiteurs de kinase utilisés dans le traitement du mélanome métastatique." Thesis, Bordeaux, 2018. http://www.theses.fr/2018BORD0266.

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Abstract:
Le traitement par BRAF-inhibiteur (BRAFi) et MEK-inhibiteur (MEKi) en association a permis d’améliorer significativement la survie des patients atteints de mélanome métastatique muté BRAFV600. Cette mutation est présente chez 50 % des patients. Les BRAFi et MEKi sont des inhibiteurs de protéines kinase, dont le métabolisme fait intervenir le CYP 3A4, à l’origine de grandes variabilités des concentrations plasmatiques inter-patients pour une même dose administrée. La moitié des patients répondent au traitement, et 90% des patients présentent des effets indésirables, nécessitant une diminution de la posologie dans 33% des cas. Dans ce contexte, nous avons décrit les effets indésirables de chacun des BRAFi et MEKi et, pour ceux qui sont dose-dépendants, nous avons cherché à établir un lien entre concentration plasmatique et survenue d’effet indésirable. Grace à la mise au point d’une méthode analytique en chromatographie liquide couplée à la spectrométrie de masse, nous avons mesuré prospectivement les concentrations plasmatiques des BRAFi et MEKi chez les patients bordelais. Ces données permis de définir un seuil de toxicité de 48 ng/ml pour le dabrafenib. La définition de ce seuil constitue une étape essentielle à la conduite d’une étude randomisée visant à évaluer l’intérêt du suivi thérapeutique pharmacologique<br>The combination of BRAF-inhibitors (BRAFi) and MEK-inhibitors (MEKi) has significantly improved the survival of patients with metastatic melanoma with BRAFV600 mutation. About 50% of patients harbour BRAFV600 mutation. BRAFi and MEKi are kinase inhibitors, metabolized by CYP 3A4, responsible for large between-patients variability in plasma concentrations for the same administered dose. About half of patients respond to treatment, and 90% of patients present adverse drug reactions (ADR), requiring dose reduction in 33% of cases. In this context, we described ADR profiles of each of the BRAFi and MEKi in the global pharmacovigilance database, and for ADR that are dose-dependent; we looked for the link between plasma exposure to the drug and the occurrence of ADR. Using the assay method developed, we prospectively measured the plasma concentrations of BRAFi and MEKi in Bordeaux patients, which allowed us to define a toxicity threshold of 48 ng / ml for dabrafenib. This work allowed to deepen the knowledge on the profiles and the occurrence of the ADR for each BRAFi and MEKi. The definition of a toxicity threshold for dabrafenib is a prerequisite for a randomized study to evaluate the value of therapeutic drug monitoring
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Khier, Sonia. "Etude Préclinique de Nouveaux Dérivés Imidazoquinoxaliniques, EAPB0203 et EAPB0503, Actifs sur les Mélanomes." Montpellier 1, 2009. http://www.theses.fr/2009MON13510.

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Abstract:
Parmi les cancers de la peau, les mélanomes sont ceux qui entraînent le plus de décès. Actuellement l’arsenal thérapeutique permettant de traiter efficacement les patients à un stade avancé et/ou inopérables de la maladie est limité. De nouvelles stratégies thérapeutiques doivent donc être développées. La recherche et le développement de nouveaux dérivés imidazoquinoxalines (Imiqualines), qui font l’objet de ma thèse, s’inscrit dans cette démarche. Après une présentation épidémiologique et clinique du mélanome, des différentes voies moléculaires impliquées dans cette pathologie, ainsi que des nouvelles stratégies thérapeutiques développées pour son traitement, nous aborderons la partie expérimentale. Dans la première partie, j’exposerai la stratégie de synthèse qui nous a permis d’obtenir les imidazo[1,2-a]quinoxalines têtes de séries, EAPB0203 et EAPB0503, ainsi que leurs métabolites, puis je présenterai les résultats des tests d’activité in vitro et in vivo réalisés sur ces molécules. La deuxième partie concerne les méthodes de dosages mises au point et validées afin de quantifier les composés étudiés dans différentes matrices biologiques. Ces méthodes ont été validées selon les critères recommandés par la FDA et l’Union Européenne. La démarche qualité adoptée ici est fondamentale pour la validation des résultats des études qui seront menées par la suite in vitro et in vivo. La dernière partie de cette thèse concerne les études de toxicité ainsi que les études d’absorption, distribution, métabolisme et élimination qui ont été réalisées chez le rat. Je terminerai par une discussion-conclusion et donnerai quelques perspectives.
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Fourcade, Julien. "Mécanismes d'immunosuppression induits par la tumeur chez les patients porteurs de mélanome." Thesis, Aix-Marseille, 2012. http://www.theses.fr/2012AIXM5019.

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Abstract:
Les lymphocytes T cytotoxiques (CTLs) présents au niveau des tumeurs reconnaissent des antigènes présentés par les cellules cancéreuses, mais ne parviennent pas à induire le rejet de ces tumeurs chez les patients cancéreux. Cette observation a amené les immunologistes à étudier les différents mécanismes d'immunosuppression induits par les tumeurs qui permettent aux cellules cancéreuses d'échapper à la reconnaissance et à la destruction immunitaires. L'un des mécanismes contribuant à la résistance des tumeurs aux réponses immunitaires est le recrutement de lymphocytes T CD4+ régulateurs (Tregs). Les Tregs s'accumulent au niveau des sites tumoraux et jouent un rôle important dans la suppression des réponses immunitaires dirigées contre les cellules tumorales. Dans ce travail de thèse, nous rapportons que des épitopes tumoraux dérivés des protéines NY-ESO-1 et TRAG-3 stimulent à la fois des lymphocytes T CD4+ auxiliaires (Th) et des Tregs chez des patients porteurs de mélanome. Grâce à une analyse clonotypique, nous démontrons que, contrairement aux cellules CD4+ Th, les TCR des Tregs dirigés contre NY-ESO-1 et TRAG-3 sont retrouvés à la fois dans le répertoire des Tregs naturels (CD4+CD25high) et dans celui des cellules T CD4+ classiques/Th (CD4+CD25-), au niveau des PBMCs des patients. Cette observation suggère que le recrutement des Tregs spécifiques d'antigènes tumoraux se fait en partie par la conversion des cellules T CD4+ classiques suite à leur stimulation chronique par des antigènes de tumeurs<br>Cytotoxic T lymphocytes (CTLs) present in tumors recognize tumor antigens presented by cancer cells but fail to induce tumor rejection in patients. This observation has led immunologists to study the different mechanisms of tumor-induced immunosuppression that allow cancer cells to escape from recognition and destruction by the immune system. One of the mechanisms contributing to tumor resistance to immune responses is the recruitment of CD4+ regulatory T cells (Tregs). Tregs accumulate at tumor sites and play an important role in suppressing immune responses against tumor cells. In this thesis, we report that tumor epitopes derived from the proteins NY-ESO-1 and TRAG-3 stimulate both CD4+ T helper cells (Th) and Tregs in patients with metastatic melanoma. Through clonotypic analysis, we show that, within PBMCs of melanoma patients, tumor antigen-specific Tregs, but not Th cells, share a common TCR usage with naturally-occuring Tregs (CD4+CD25high) and Th cells (CD4+CD25-), suggesting that their recruitment occurs through the peripheral conversion of CD4+CD25- T cells upon chronic antigen exposure. The second part of this thesis consists of the study of inhibitory receptors expressed by CTLs directed against tumor antigens which, upon engagement by their ligands presented on the surface of tumor cells, activate negative regulatory pathways. Here, we report that tumor-induced CTLs directed against a peptide derived from NY-ESO-1 in melanoma patients upregulate the expression of the inhibitory receptors PD-1, Tim-3 and BTLA. Additionaly, the co-expression of PD-1 with Tim-3 and/or BTLA defines populations of dysfunctional tumor antigen-specific CTLs
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Jardet, Claire. "Développement d’un modèle humain de mélanome ex vivo basé sur l’implantation de sphéroïdes dans des explants de peau." Thesis, Toulouse 3, 2016. http://www.theses.fr/2016TOU30282.

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Abstract:
Le mélanome métastatique est le cancer de la peau le plus agressif. Bien que son taux d’incidence soit inférieur à 1%, plus de 75% des décès associés à un cancer de la peau lui sont attribués. Au cours des dernières années, de nouvelles stratégies thérapeutiques ont permis d’améliorer la survie des patients. Cependant, des mécanismes de résistance à ces traitements se développent dans la majorité des cas, conduisant à une phase de rechute, et une survie à 5 ans inférieure à 20%. Des modèles d’étude expérimentaux sont nécessaires afin de comprendre les mécanismes impliqués dans l’apparition de ces résistances et développer de nouvelles stratégies thérapeutiques. Différents modèles in vitro sont actuellement utilisés pour le développement de drogues anti-tumorales, tels que celui du sphéroïde. Bien qu’il permette de reproduire l’organisation tridimensionnelle d’une tumeur, l’absence de microenvironnement tumoral empêche l’étude des interactions entre les cellules tumorales et celui-ci alors que ces facteurs jouent un rôle primordial dans la croissance tumorale et le développement de métastases. Dans ce contexte, mes travaux ont porté sur le développement et la caractérisation d’un modèle ex vivo de mélanome humain complet permettant l’étude de l’évolution d’une tumeur dans le tissu sain et l’évaluation de composés pharmacologiques. Les travaux réalisés ont tout d’abord conduit au développement d’un modèle de cancer cutané basé sur la combinaison d’un modèle de sphéroïde de lignée cellulaire de mélanome humain et du modèle de peau humaine ex vivo NativeSkin®, développé par la société Genoskin. Une procédure a été développée et validée pour permettre l’implantation reproductible d’un sphéroïde dans le derme des explants de peau. Parallèlement, j’ai développé une approche d’imagerie in situ par microscopie à feuille de lumière après transparisation des modèles. J’ai également développé une stratégie d’analyse d’images permettant la caractérisation quantitative de l'évolution du sphéroïde implanté en 3 dimensions et de suivre la dispersion des cellules du tumorales au sein de l’explant de peau. La caractérisation histologique du modèle implanté a révélé de façon très inattendue une perte progressive de l’intégrité du sphéroïde après implantation, associée à une diminution rapide de la prolifération des cellules le constituant et l’apoptose massive des cellules situées à sa périphérie. Ce phénomène a été observé de façon similaire lors de l’implantation de sphéroïdes produits à partir de différents types cellulaires. Afin de comprendre ces résultats, j’ai étudié l’implication potentielle de différents paramètres dans l’induction de la mortalité cellulaire observée tels que les conditions d’implantation, les facteurs synthétisés par le modèle et la contrainte mécanique exercée par le derme. Les résultats obtenus suggèrent que les facteurs sécrétés par les modèles après implantation du sphéroïde ont un effet antiprolifératif sur les sphéroïdes de mélanome et qu’ils induisent la mortalité des cellules situées à sa périphérie. Par ailleurs, l’application d’une contrainte mécanique extérieure sur les sphéroïdes de mélanome entraîne la perte de la cohésion de leur structure. Enfin, l’implantation de sphéroïdes dans le derme de biopsies de peau préalablement desséchées, induisant une perte de la viabilité cellulaire, a conduit à des résultats opposés à ceux observés avec de la peau normale : la structure des sphéroïdes reste cohésive et la prolifération des cellules est maintenue en périphérie du sphéroïde sans qu’aucune apoptose massive ne soit observée. L'ensemble de ces travaux semble suggérer que la mortalité du sphéroïde pourrait être, en partie, la conséquence d’une contrainte mécanique exercée par la peau sur le sphéroïde et/ou de facteurs produits par la peau durant sa culture. Ces données ouvrent des perspectives intéressantes dans le domaine de l’ingénierie tissulaire pour l’évaluation pharmacologique de composés thérapeutiques<br>Malignant melanoma is the most aggressive form of skin cancer. Although it only occurs in less than 1%, it is responsible for more than 75% of skin cancer-related deaths. Furthermore, melanoma incidence has constantly increased during the last decades. New therapies such as targeted therapy and immunotherapy have emerged over the past years, significantly improving the overall survival rates of patients with advanced melanoma stages. However, resistance to those treatments develops in most cases, leading to relapse with a 5-years survival of those patients under 20%. Experimental models are needed in order to better understand the molecular events underlying these resistance mechanisms, and to develop new therapeutic strategies. MultiCellular Tumor spheroid is an increasingly recognized 3D in vitro model for pharmacological evaluation. Although this model accurately reproduces the 3D architecture, cell-cell interaction and cell heterogeneity found in microtumor in vivo, spheroids lack tumor-microenvironment interactions, which play a key role in tumor growth and metastasis development. In this context, the aim of my project was to develop and characterize a fully ex vivo human melanoma model for the study of tumor growth within the skin and the evaluation of antitumor drugs. Our approach relies on the combination of human melanoma cell lines grown in Multicellular Tumor Spheroids and the NativeSkin® model, an ex vivo human skin model produced by the biotechnology company Genoskin. Hence, I developed and validated a method to reproducibly implant one spheroid into the dermal compartment of skin explants cultured ex vivo. In parallel I have developed in situ imaging strategies based on light-sheet microscopy (SPIM, “Selective Plane Illumination Microscopy”) after optical clearing of the implanted skin biopsies. I also developed analytic methods to allow for the quantitative characterization of the spheroids evolution in 3 dimensions as well as tumor cells dispersal within the dermis of skin explants. Histological characterization of the implanted models over time revealed a progressive loss of the spheroids integrity after implantation associated with a rapid decrease in cell proliferation and massive apoptosis of the cells located in the peripheral layers. These results were shared by implanted spheroids made from different cell types. Further experiments were conducted in order to better understand these results and evaluate the impact of different parameters on the implanted microtumors viability such as the implantation procedure conditions, factors synthesized by the model after spheroid implantation and external mechanical stress. Results suggest that factors produced by the implanted models have an antiproliferative effect on melanoma spheroids and induce mortality in the peripheral layers of the spheroids. Moreover, results show that mechanical stress applied on melanoma spheroids induces loss of their cohesion. Finally, implantation of spheroids within the dermis of previously dessicated biopsies for 7 days, causing loss of skin cells viability, led to opposite results than in normal skin: spheroids maintain both a cohesive structure and proliferation in the peripheral cells without any massive apoptosis. Overall, this work led to the validation of a methodology to reproducibly implant spheroids into an ex vivo skin explant and the setup of an optical clearing technique necessary for in situ imaging of the implanted spheroid. Histological characterization unexpectedly revealed spheroids cells death following their implantation. Results suggest that this mortality could be partly related to mechanical stress exerted on the spheroids by the skin and/or by factors produced by the skin during culture. These data open new perspectives in the research field of tissue engineering for antitumoral pharmacology
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Van, Goietsenoven Gwendoline. "Caractérisation des propriétés anticancéreuses in vitro et in vivo de la narciclasine au sein de modèles expérimentaux de mélanomes murins et humains." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2012. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/209665.

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Le mauvais pronostic associé aux mélanomes est dû aux taux de réponses très faibles de ces cancers à la radiothérapie et à la chimiothérapie, cette résistance provenant essentiellement de la résistance des mélanomes aux stimuli pro-apoptotiques qui représentent la majorité de l’arsenal anticancéreux actuel.<p>Les plantes de la famille des Amaryllidaceae ont été utilisées dans la médecine traditionnelle à travers le monde notamment pour le traitement des tumeurs. Il s’est avéré que les composés responsables de l’activité anticancéreuse de ces traitements traditionnels étaient des alcaloïdes, dont les isocarbostyriles. Nous avons voulu caractériser les propriétés anticancéreuses de la narciclasine, un isocarbostyrile, in vitro et in vivo, et étudier son mécanisme d’action antitumoral dans des cellules de mélanome.<p>Nous avons tout d’abord analysé l’activité inhibitrice de croissance in vitro de ces composés et nous avons observé que l’activité de ces produits était indépendante du caractère résistant ou non des lignées cancéreuses aux stimuli pro-apoptotiques. De plus, à l’exception de la pseudolycorine, ces composés ont une activité cytostatique au niveau de la croissance des cellules cancéreuses. <p>Nous avons ensuite identifié le facteur d’élongation eEF1A, une GTPase, comme étant une cible potentielle de la narciclasine. De nombreux effets biologiques exercés par la narciclasine (inhibition de la synthèse protéique, désorganisation du cytosquelette d’actine, etc…) peuvent s’expliquer grâce à cette cible. Des travaux antérieurs à ma thèse mais auxquels j’ai participé, suggéraient déjà l’implication d’autres GTPases appartenant à la famille des Rho GTPases comme pouvant être également des cibles de la narciclasine. Nous avons également identifié au cours de notre travail de thèse d’autres GTPases, telle que Rac1, comme étant des cibles de la narciclasine. Nous avons toutefois observé que certaines GTPases telles que Ran ne semblaient pas être des cibles de la narciclasine lorsque celle-ci exerce ses effets antitumoraux. Ainsi, si de nombreuses GTPases semblent être des cibles privilégiées de l’action antitumorale de la narciclasine, toutes les GTPases ne le sont pas. Nous avons observé en fait que la narciclasine n’entre pas en compétition avec le GDP / GTP au sein de la poche GTP du facteur d’élongation eEF1A. <p>Des études d’activité in vivo réalisées par notre groupe, soit antérieures à mon travail de thèse (gliomes, cancer du poumon NSCLC), soit au cours de ma thèse (mélanomes), ont montré que la narciclasine à des doses non toxiques (administrations chroniques de 1 mg/kg par voie orale ou par voie intraveineuse) apporte un bénéfice thérapeutique dans différents types de modèles de cancers (gliomes, mélanomes, cancers NSCLC) à conditions que les cellules tumorales soient greffées de manière orthotopique au sein du cerveau de souris immunodéficientes. Ces mêmes cancers s’avèrent insensibles à ces doses non toxiques de narciclasine lorsque les cellules sont greffées en dehors du cerveau chez la souris immunodéficiente. <p>L’ensemble de nos résultats suggèrent que la narciclasine pourrait devenir un nouvel outil dans le combat contre les cancers cérébraux primaires et secondaires, les métastases cérébrales constituants un problème d’importance pour des cancers tels que les mélanomes, les cancers du poumon, les cancers du sein, les cancers rénaux et les cancers colorectaux. Les cancers primaires du cerveau représentent environ 5% de l’ensemble des cancers solides de l’adulte et jusqu’à 20-30% chez l’enfant. Les métastases cérébrales, dont principalement les métastases cérébrales de mélanomes, représentent également environ 5% de l’ensemble des cancers solides de l’adulte.<br>Doctorat en Sciences biomédicales et pharmaceutiques<br>info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Millet, Antoine. "Synthèse et optimisation de nouveaux dérivés anti-mélanome 4-phényl-2-aminothiazole ciblant GRP78 pour contourner les mécanismes de résistances." Thesis, Université Côte d'Azur (ComUE), 2016. http://www.theses.fr/2016AZUR4084.

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Abstract:
Depuis 2011, pas moins de 7 nouvelles thérapies ont été acceptées pour le traitement du mélanome métastatique. Ces nouvelles thérapies, composées de 4 inhibiteurs de B-Raf et MEK et de 3 anticorps, ont amélioré significativement la durée de vie des patients. Néanmoins, la forme résistante de la maladie est toujours problématique et aucun traitement à l’heure actuelle ne permet d’éradiquer la maladie. Dans ce contexte, ces travaux présentent la synthèse et la caractérisation de nouveaux dérivés 4-phényl-2-aminothiazole, actifs contre les formes résistantes du mélanome. 3 points structuraux clés ont été modulés : les extrémités (position 2 du thiazole et positions 3 et 4 du noyau phényle) et le coeur bis-aryle du squelette. Les analogues synthétisés ont été évalués sur des cellules A375 de mélanome pour étudier les relations structure-activités de cette nouvelle série de dérivés. Des dérivés jusqu’à 10 fois plus actifs que le hit initial ont été développés. La cible moléculaire de cette nouvelle série a été identifiée et le mode d’action caractérisé. Il s’agit de GRP78, une protéine chaperonne dont l’inhibition provoque un fort niveau d’activation de la voie de l’unfolded protein response, menant à la mort cellulaire par un mécanisme concomitant d’apoptose et d’autophagie. Ce mode d’action innovant permet à cette série d’être active contre plusieurs formes de cancers (mélanome, pancréas, LMC, colon etc.) indépendamment du statut mutationnel. A l’issue de ces travaux, un potentiel candidat clinique a été identifié et pourrait être évalué ultérieurement pour le traitement de cancers résistants et agressifs<br>Since 2011, 7 new anti-melanoma therapies have been approved. They are composed of 4 B-Raf or MEK inhibitors and 3 antibodies, and allowed considerable improvements in the patients’ life span. Nevertheless, the treatment of the resistant form of the melanoma is still an unmet challenge. In this context, this manuscript reports the synthesis and the characterization of new 4-phenyl-2-aminothiazole derivatives active against resistant melanoma. We focused our attention on the modification of the position 2 of the thiazole, the positions 3 and 4 of the phenyl ring, and finally the bis-aryl core. Several derivatives were synthetized and assessed against A375 melanoma cells to depict the structure-activity relationship studies of this new series. Thus, we succeeded in a 10-fold improvement in cytotoxic activity against cancer cells compared with the initial hit, reaching a 0.5 μM EC50 against A375 cell line. Strikingly, lead derivative exerted strong in vivo anti-tumoral activity in mice tumor xenograft experiments. This new series of compound inhibits GRP78, a chaperone protein, resulting in the strong activation level of unfolded protein response and leading to cell death by concomitant apoptotic and autophagy mechanisms. This innovative mode of action confers to our compounds a high cytotoxic activity on various cancer cells (melanoma, pancreatic, CML, colon etc.), regardless to their mutational status. Ultimately, we found a potential clinical candidate that could embody a new solution for the treatment of resistant and aggressive forms of cancer
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Haddaoui, Hayat. "Le mélanome malin : aspects physiopathologiques et thérapeutiques." Paris 5, 1994. http://www.theses.fr/1994PA05P122.

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