Academic literature on the topic 'Mélèze laricin'

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Journal articles on the topic "Mélèze laricin"

1

Pâques, LE, and C. Périnot. "Performance à 25 ans de quelques provenances de mélèze laricin (Larix laricina (Du Roi) Koch) sur sols hydromorphes." Annales des Sciences Forestières 51, no. 4 (1994): 357–72. http://dx.doi.org/10.1051/forest:19940402.

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2

Payette, Serge, and Roxane Lajeunesse. "Les combes à neige de la rivière aux Feuilles (Nouveau-Québec) : indicateurs paléoclimatiques holocènes." Géographie physique et Quaternaire 34, no. 2 (January 28, 2011): 209–20. http://dx.doi.org/10.7202/1000398ar.

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Abstract:
L’analyse des sols et de la végétation de ces milieux a permis de situer leur origine et leur évolution au cours du Néoglaciaire. La présence de macrorestes fossiles (charbons de bois, cônes calcinés d’épinette noire Picea mariana (Mill)) BSP et de mélèze Larix laricina (DuRoi) K. Koch, fragments de bois) indique que les combes à neige viennent de milieux anciennement boisés. La disparition du couvert forestier se serait produite à la suite de feux survenant au cours de périodes climatiques froides inhibant toute régénération forestière. Les combes à neige sont ainsi la réponse à des périodes de détérioration climatique qui se sont manifestées quelque temps après 2600, 2200, 1600-1400, 1000-900 et 500-300 ans BP. Quelques combes à neige apparues tôt au Néoglaciaire auraient connu une régression autour de 1300-1200 ans BP (sous réserve), grâce à un réchauffement climatique ayant favorisé une certaine réafforestation. L’apparition et l’expansion graduelles des combes à neige aux dépens du couvert forestier de 2600 ans BP jusqu’à nos jours suggèrent que le refroidissement climatique, bien que persistant, n’était pas de grande amplitude; les feux auraient servi la plupart du temps d’amorce à l’expansion du couvert de neige. Les combes à neige situées à proximité de formations arborescentes ont subi un envahissement de mélèzes entre 1940 et 1970, corrélé avec le réchauffement climatique du XXe siècle. Depuis 1970, un renversement de la tendance climatique est survenu et est caractérisé par la mortalité d’au moins 17 % de la population de mélèzes des combes à neige. Cette mortalité est étroitement reliée à l’intense reprise des processus périglaciaires dans les combes. Finalement, l’apparition toute récente de grandes coulées de gélifiluction sur les versants enneigés a eu pour conséquence de détruire la végétation des bas-versants et favoriser la formation de nouvelles combes à neige.
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3

Godmaire, Anne, and Serge Payette. "Dynamique spatio-temporelle d’une bande forestière près de la limite des forêts, rivière aux Feuilles, Nouveau-Québec." Géographie physique et Quaternaire 35, no. 1 (January 25, 2011): 73–85. http://dx.doi.org/10.7202/1000379ar.

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Abstract:
La répartition spatiale des individus vivants et morts des populations de mélèzes (Larix laricina (DuRoi) K. Koch) et d’épinettes noires (Picea mariana (Mill.) BSP.) d’une bande forestière a permis de préciser leur comportement depuis 1550 ans BP. L’influence des conditions climatiques et des feux sur ces populations forestières a pu être déterminée. La fluctuation du succès de régénération et celle de la répartition spatiale des individus des cinq dernières décennies sont attribuables aux conditions climatiques. Deux feux récents, il y a 100 ans et 160 ans, ont influencé en partie le patron de répartition ainsi que le succès de colonisation des individus plus âgés. Ces feux ont restreint les populations arborescentes à une dépression topographique humide en plus d’affecter la structure des populations. Les différents horizons de charbons de bois détectés sur le site (1550 ± 130 ans BP, 1170 ± 100 ans BP, 640 ± 80 ans BP) ainsi que leur répartition indiquent que les feux ont exercé une influence sur l’importance du couvert forestier. Avant 1550 ans BP, la bande forestière occupait une surface plus grande qu’actuellement. Après le feu de 1170 ans BP, un changement dans la fréquence et le comportement des feux associé aux manifestations du pergélisol pendant cette période suggèrent un refroidissement climatique Finalement, les fluctuations spatiales des populations sont reliées aux changements du climat depuis 1550 ans BP, mis en évidence par l’absence ou le succès de la régénération après feu du mélèze et de l’épinette noire.
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4

Myre, R., and C. Camiré. "Distribution de P, K, Ca, Mg, Mn et Zn dans la tige des mélèzes européen et laricin." Annales des Sciences Forestières 51, no. 2 (1994): 121–34. http://dx.doi.org/10.1051/forest:19940203.

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5

Marguerie, Dominique, Yves Bégin, and Luc Cournoyer. "Distinction anatomique du bois du mélèze (Larix laricina [Du Roi] K. Koch), de l'épinette blanche (Picea glauca [Moench.] Voss), et de l'épinette noire (Picea mariana [Mill.] B.S.P.), en vue de l'analyse des macrorestes." Géographie physique et Quaternaire 54, no. 3 (October 2, 2002): 317–25. http://dx.doi.org/10.7202/005653ar.

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Abstract:
Résumé Quatre-vingt-quatre spécimens de bois de conifères récoltés sur un vaste territoire dans le nord-est de l'Amérique du Nord ont servi à définir de nouveaux critères de distinction anatomique entre Picea mariana, Picea glauca et Larix laricina. En plus des critères habituellement décrits dans la littérature, l'état de surface du torus des ponctuations aréolées des trachéides longitudinales chez Larix laricina est présenté comme un excellent élément de détermination, facilement accessible. La distinction entre Picea glauca et P. mariana peut être faite par l'examen de la sériation des ponctuations des trachéides des rayons ligneux. Une classification dichotomique des croisements des cellules dans les rayons sur la base de la dominance de l'unisériation ou de la bisériation des ponctuations des trachéides de rayon est proposée comme méthode de distinction des espèces en plus d'autres caractères reconnus dans la littérature. Ainsi, chez Picea mariana, plus de 69 % des trachéides radiales sont à dominante bisériée et seulement 28 % chez Picea glauca. En présence de lots de macrorestes ligneux subfossiles gorgés d'eau ou carbonisés où seule la présence de ces deux espèces d'épinettes est possible, ces méthodes simples d'identification ouvrent de nouvelles perspectives dans le domaine de la recherche paléoécologique des milieux boréaux nord-américains.
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6

Richard, Pierre J. H., Alayn Larouche, and Michel A. Bouchard. "Âge de la déglaciation finale et histoire postglaciaire de la végétation dans la partie centrale du Nouveau-Québec." Géographie physique et Quaternaire 36, no. 1-2 (November 29, 2007): 63–90. http://dx.doi.org/10.7202/032470ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ L'analyse poliinique, l'analyse macrofossile, ainsi que la datation au radiocarbone de quatre carottes de sédiments lacustres postglaciaires, ont permis d'établir l'âge minimal de la déglaciation et l'histoire postglaciaire de la végétation dans la partie centrale du Nouveau-Québec, où ont persisté quelques-uns des derniers lambeaux de la calotte glaciaire wisconsinienne au Québec. La déglaciation s'est échelonnée entre 6200 ans BP, qui représente l'amorce de la stagnation finale au sud-ouest de la ligne de partage glaciaire terminale, et 5600 ans BP, qui représente l'âge minimal de la fusion finale de la glace, en terre haute, au nord-est de la ligne de partage. Le délai entre la disparition de la glace et l'accumulation des premiers sédiments organiques datables dans les petits lacs a été très court. La colonisation végétale fut immédiate, relativement massive, tant par les arbres et les arbustes que par les plantes herbacées. L'aulne crispé (Alnus crispa) et le mélèze (Larix laricina) dominèrent au début, mais toutes les autres espèces d'arbres étaient déjà présentes. Une taïga à épi-nette noire (Picea mariana) beaucoup plus dense qu'aujourd'hui a occupé le paysage entre 5500 et 4400 ans BP environ. Le principal trait de l'histoire postglaciaire de la végétation est l'ouverture généralisée de la couverture arbo-réenne et arbustive, qui s'amorce vers 4700 à 4300 ans BP reflétant sans doute l'avènement d'un climat plus froid. La seule indication d'une éventuelle fluctuation climatique est représentée par deux périodes de plus grande abondance du bouleau blanc, entre 5750 et 4750 ans et entre 3600 et 2500 ans enregistrées en un site de la région.
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Dissertations / Theses on the topic "Mélèze laricin"

1

Warren, Emile. "Phylogéographie du mélèze laricin (Larix laricina [Du roi] K. Koch) en Amérique du Nord." Master's thesis, Université Laval, 2015. http://hdl.handle.net/20.500.11794/25906.

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Abstract:
La structure des populations du mélèze laricin (Larix laricina [Du roi] K. Koch) a été étudiée à l’aide de polymorphismes de l’ADN mitochondrial et chloroplastique. Deux populations, situées en Alaska et au Labrador, étaient génétiquement distinctes des autres, suggérant l'existence de refuges glaciaires nordiques à ces endroits. La répartition spatiale des haplotypes a révélé un clivage génétique entre deux groupes de populations occupant l’est et l’ouest de l'aire de répartition. Ce patron témoignerait de la présence de deux lignées glaciaires génétiquement distinctes provenant d’autant de refuges localisés au sud de l'inlandsis Laurentidien. L’analyse des données polliniques a permis de corroborer la présence de refuges glaciaires au sud-ouest des Grands Lacs et à l’ouest des Appalaches, en plus des possibles refuges en Alaska et au Labrador. La haute différenciation génétique propre aux populations de l’ouest pourrait être la conséquence d’une forte compétition interspécifique lors de la recolonisation postglaciaire de cette région.
Geographical population structure of the North American larch, Larix laricina [Du roi] K. Koch was studied using mitochondrial and chloroplast DNA polymorphisms. Some populations from Alaska and Labrador were genetically differentiated from neighboring populations, suggesting that these two regions served as glacial refugia. The spatial distribution of haplotypes revealed a cleavage between eastern and western populations, which are probably representative of two distinct glacial lineages that expanded from the south of the ice sheet following the last glacial maximum. Mapped pollen records helped inferring the putative location of glacial refugia south-west of the Great Lakes, west of the Appalachians, as well as in Alaska and Labrador. High population differentiation among western populations likely indicates that interspecific competition was strong during the postglacial colonization of the region.
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Dufour, Tremblay Geneviève. "Dynamique de la limite altitudinale des arbres à l'Est du Québec Subarctique : Analyse écologique de deux espèces conifériennes (Picea mariana et Larix laricina)." Thesis, Université Laval, 2012. http://www.theses.ulaval.ca/2012/29250/29250.pdf.

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Caron, Catherine. "Le phénomène de boisement des tourbières : l'exemple de la tourbière de la base de plein air de Sainte-Foy, Québec." Master's thesis, Université Laval, 2021. http://hdl.handle.net/20.500.11794/69717.

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Abstract:
Plusieurs tourbières ombrotrophes des régions tempérées sont présentement caractérisées par un processus de densification rapide de leur couverture forestière. Au Québec, ce phénomène implique diverses espèces, autant conifériennes qu'à feuillage décidu. La présente étude visait à documenter le boisement de la tourbière de la base de plein air de Sainte-Foy, située au sein d'un paysage semi-urbain de la ville de Québec, qui montre un important déploiement du mélèze laricin et de l'érable rouge. Les principaux objectifs étaient de caractériser la dynamique contemporaine du couvert forestier à l'aide d'analyses dendrométriques, dendrochronologiques et de photographies aériennes, et de reconstituer l'évolution à long terme (plusieurs millénaires) des espèces arborescentes via la conjugaison de l'identification botanique de pièces de bois préservées dans la tourbe et de l'analyse macrofossile. L'hypothèse qui a été testée est que la flore de la tourbière a toujours comporté des espèces arborescentes conifériennes mais de façon éparse. La constitution d'une couvert forestier dense et mixte serait un phénomène récent, associé à des perturbations anthropiques. Le couvert végétal s'est modifié rapidement depuis 1970, d'abord par la formation d'un mélèzin. Le mélèze étant présentement incapable de se régénérer, il est progressivement supplanté par l'érable rouge. Cette dynamique récente fait suite à plusieurs millénaires durant lesquels la tourbière a toujours présenté une physionomie arbustive et où les arbres étaient présents de façon éparse. La densification du couvert forestier fut causée par les activités humaines en périphérie de la tourbière (agriculture, construction d'une gare de triage) qui ont eu pour effet de réduire sa superficie et de l'assécher. L'érable rouge domine maintenant la régénération au sol et devrait, à plus ou moins long terme, devenir l'espèce dominante pour former une érablière rouge sur tourbe.
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