To see the other types of publications on this topic, follow the link: Métabolites secondaires.

Journal articles on the topic 'Métabolites secondaires'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the top 50 journal articles for your research on the topic 'Métabolites secondaires.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Browse journal articles on a wide variety of disciplines and organise your bibliography correctly.

1

Kouamé, Thomas Konan, Sorho Siaka, Amian Brise Benjamin Kassi, and Yaya Soro. "Détermination des teneurs en polyphénols totaux, flavonoïdes totaux et tanins de jeunes feuilles non encore ouvertes de Piliostigma thonningii (Caesalpiniaceae)." International Journal of Biological and Chemical Sciences 15, no. 1 (April 21, 2021): 97–105. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v15i1.9.

Full text
Abstract:
Les jeunes feuilles non encore ouvertes de Piliostigma thonningii sont expressément utilisées par des tradipraticiens de Côte d’Ivoire pour la prise en charge de diverses pathologies. La présente étude visait à déterminer les teneurs en polyphénols totaux, en flavonoïdes et en tanins condensés d’extraits et de fractions de ces jeunes feuilles non encore ouvertes. Leurs métabolites secondaires ont été extraits par macération dans un mélange éthanol-eau (70/30 : v/v) avec un rendement de 36%. Le fractionnement successif de l’extrait hydroalcoolique obtenu par l’hexane, le dichlorométhane, l’acétate d’éthyle, l’éthanol et l’eau a donné des rendements variant de 5,55 à 33,33%. Le dosage des polyphénols totaux, des flavonoïdes et des tanins condensés a donné des teneurs variant entre 0,23 ± 0,05 et 146,67 ± 4,25 mg EAG/g d’extrait sec, entre 5,33 ± 0,62 et 112,11 ± 0,83 mg EQ/g d’extrait sec et entre 23,33 ± 0,94 et 38,33 ± 0,47 mg EAT/g d’extrait sec respectivement. De façon générale, l’extrait hydroalcoolique et la fraction à l’acétate d’éthyle sont les plus riches en métabolites secondaires, en polyphénols, en flavonoïdes et en tanins condensés.Mots clés : Piliostigma thonningii, rendements, polyphénols totaux, flavonoïdes, tanins.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Koto-Te-Nyiwa Ngbolua, Jean-Paul. "Bio-activité et Etude phytochimique des extraits des Feuilles de Jatropha podagrica Hook. et de Euphorbia hirta L. (Euphorbiaceae)." Revue Congolaise des Sciences & Technologies 3, no. 4 (December 31, 2024): 571–86. https://doi.org/10.59228/rcst.024.v3.i4.123.

Full text
Abstract:
La drépanocytose est une pathologie génétique qui se caractérise par la présence des érythrocytes dans le sang contenant l'hémoglobine S. En Afrique, cette hémoglobinopathie est la première maladie génétique par le nombre des malades. En République démocratique du Congo, 2% de la population sont malades et la majorité de ces malades meurent avant l’âge de cinq ans lorsqu’ils ne sont pas pris en charge médicalement et ceux qui survivent présentent cependant une atteinte au niveau de certains organes vitaux, qui réduit considérablement leur espérance de vie. Les extraits d’anthocyanes et méthanoliques de Jatropha podagrica et Euphorbia hirta ont été utilisées dans cette étude et ont permis d’évaluer les activités antifalcémiante et antibactérienne. Aussi, différents métabolites secondaires ont été déterminés par chromatographie sur couche mince. Leur profil phytochimique reste dominé par divers métabolites secondaires tels que les coumarines, les flavonoïdes, les acides phénoliques et les terpénoïdes. Quant à la composition minérale, les résultats ont montré de divers éléments, à savoir le calcium, le fer, le sodium et le magnésium. L'activité antibactérienne des extraits de Jatropha podagrica et Euphorbia hirta a été intéressante vis-à-vis des souches bactériennes testées. Les extraits de ces plantes ont montré également de bonnes activités antifalcémiante liées à leurs compositions phytochimiques. Les résultats de l'étude in silico sur l'activité antifacémiante ont confirmé les expériences in vitro. Tous ces résultats constituent des preuves scientifiques validant l'utilisation de ces plantes médicinales pour la gestion de la drépanocytose en RDC.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Hoste, Hervé, Denis Gautier, Laurence Sagot, Barbara Fança, and Vincent Niderkorn. "Des plantes bioactives pour répondre aux nouvelles attentes de l’élevage des Ruminants." Le Nouveau Praticien Vétérinaire élevages & santé 12, no. 48 (2021): 23–29. http://dx.doi.org/10.1051/npvelsa/48023.

Full text
Abstract:
Face à l’expansion et à la rapidité d’apparition des résistances aux anthelminthiques de synthèse dans les populations de nématodes gastro-intestinaux chez les ovins et les caprins, il est indispensable d’explorer l’intérêt de solutions représentant des alternatives aux molécules antiparasitaires de synthèse. Parmi les options explorées pour développer le concept de gestion intégrée des nématodes parasites, l’emploi de plantes bioactives, comme le sainfoin ou la chicorée, présente l’intérêt d’avoir des effets bénéfiques sur les plans nutritionnels, sanitaires ainsi qu’environnementaux. Ces plantes contenant des métabolites secondaires répondent donc par plusieurs aspects aux attentes de l’agroécologie.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Bernard-Dagan, C. "Les substances de réserve du Pin maritime: Rôle éventuel des métabolites secondaires." Bulletin de la Société Botanique de France. Actualités Botaniques 135, no. 1 (January 1988): 25–40. http://dx.doi.org/10.1080/01811789.1988.10826883.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Arpin, N., and M. L. Bouillant. "Métabolites secondaires fongiques : diversité de structures mais unité de fonction, la protection." Cryptogamie. Mycologie 9, no. 3 (1988): 267–76. http://dx.doi.org/10.5962/p.354277.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Bouyahya, A., A. Et-Touys, A. Khouchlaa, A. El-Baaboua, A. Benjouad, S. Amzazi, N. Dakka, and Y. Bakri. "Notes ethnobotaniques et phytopharmacologiques sur Inula viscosa." Phytothérapie 16, S1 (December 2018): S263—S268. http://dx.doi.org/10.3166/phyto-2019-0157.

Full text
Abstract:
Inula viscosa (L.) (synonyme de Dittrichia viscosa (L.) Greuter) est une plante médicinale très utilisée dans la médecine populaire pour soigner différentes pathologies. Elle appartient à la famille des Asteraceae et est largement répandue au Maroc et dans le monde. Les études effectuées sur cette plante ont montré qu’elle est riche en métabolites secondaires tels que les acides phénoliques, les flavonoïdes et les composés terpénoïdes. Ces composés sont doués de propriétés antibactériennes, antitumorales, antifongiques, anti-inflammatoires et autres. Le criblage bioguidé des extraits d’Inula viscosa a permis d’identifier et d’isoler des molécules bioactives telles que l’inuviscolide, la tomentosine et la fokiénol qui pourraient avoir des applications thérapeutiques diverses.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Gérardin, Pauline, Clément Fritsch, Sylvain Cosgun, Maree Brennan, Stéphane Dumarçay, Francis Colin, and Philippe Gérardin. "Effet de la hauteur de prélèvement sur la composition quantitative et qualitative des polyphénols de l’écorce d’Abies alba Mill." Revue forestière française 72, no. 5 (October 31, 2020): 411–23. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2020.5338.

Full text
Abstract:
L’écorce de résineux, cultivés dans un but commercial, est une source potentielle précieuse de métabolites secondaires tels que les polyphénols. Les tannins, qui font partie des polyphénols présents dans l’écorce, sont utilisés dans la fabrication d’adhésifs et de résines, mais également en tant qu’agent de tannage, antibactérien, antifongique, antitermite et antioxydant. Peu d’informations existent à propos du rendement et de la composition des extraits d’écorce en fonction de la hauteur de l’échantillon prélevé dans le tronc ainsi qu’en fonction de la présence ou l’absence de branches. Cette étude a pour but d’examiner la variabilité des métabolites secondaires présents dans l’écorce d’Abies alba à la fois en fonction de la hauteur de l’échantillon prélevé dans un arbre, mais également la variabilité présente à des hauteurs spécifiques entre plusieurs arbres. La finalité de cette étude est de déterminer quelle fraction d’écorce contient le plus d’extractibles chez cette essence. Pour cela, huit arbres ont été sélectionnés dans lesquels un maximum de treize disques a été coupé tout le long du tronc. Ces échantillons ont été prélevés en bas du tronc à une hauteur de 30 cm du sol puis à différentes hauteurs Ces différentes hauteurs ont été choisies pour des raisons industrielles (hauteur limite pour le bois d’œuvre ou pour l’utilisation industrielle) mais également pour des raisons physiologiques (hauteur à la base du houppier, hauteur de la première branche verte…). Les échantillons prélevés ont été broyés puis extraits avec un mélange eau/éthanol (1 :1, v/v) en réalisant une extraction accélérée à chaud et sous pression. Une première étude quantitative est réalisée pour connaître la quantité d’extractibles totale présente dans l’écorce. La seconde étude est qualitative, afin de connaître quels types d’extractibles sont présents dans ces écorces. Ces extraits ont donc été examinés par chromatographie liquide couplée à un spectromètre UV-visible et un spectromètre de masse .Les résultats ont montré que la composition de l’extrait total d’écorce augmente en même temps que la hauteur dans le tronc. La proportion la plus élevée en composés polyphénoliques se trouve dans la section inférieure sous la couronne.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Bouyahya, A., Y. Bakri, A. Et-Touys, A. Talbaoui, A. Khouchlaa, S. Charfi, J. Abrini, and N. Dakka. "Résistance aux antibiotiques et mécanismes d’action des huiles essentielles contre les bactéries." Phytothérapie 16, S1 (December 2018): S173—S183. http://dx.doi.org/10.3166/phyto-2019-0147.

Full text
Abstract:
L’augmentation de la résistance des bactéries aux antibiotiques est un problème mondial sérieux qui a orienté la recherche pour l’identification de nouvelles biomolécules avec une large activité antibactérienne. Les plantes et leurs dérivés, tels que les huiles essentielles (HE), sont souvent utilisés dans la médecine populaire. Dans la nature, les HE jouent un rôle important dans la protection des plantes. Elles contiennent une grande variété de métabolites secondaires capables d’inhiber ou de ralentir la croissance des bactéries. Les HE et leurs constituants ont des mécanismes d’action variés et très ciblés, touchant en particulier la membrane cellulaire et le cytoplasme, et dans certains cas, changeant complètement la morphologie cellulaire, voire l’expression des gènes. Dans cette brève revue, nous décrivons les mécanismes de résistance des bactéries aux antibiotiques et les modalités d’action antibactérienne des HE.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Hervé Narcisse, Bayaga, Guedje Nicole Marie, Tabi Omgba Yves, Pola Yissibi Emilienne, Njinkio Nono Borgia Legrand, Assong Elombat Danielle Cynthia, Fokunang charles, and Ntsama Essomba Claudine. "Pouvoir antibactérien des extraits aqueux et hydroéthanolique du mélange d’écorces de tronc d’Albizia gummifera (J.F. Gmel.) C.A. Sm et Spathodea campanulata P.Beauv." Journal of Applied Biosciences 154 (October 31, 2020): 15881–87. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.154.5.

Full text
Abstract:
Objectifs : Ce travail avait pour but de déterminer les grands groupes de métabolites secondaires et évaluer le pouvoir antibactérien in vitro des extraits aqueux et hydro-éthanolique d’une recette traditionnelle à base du mélange d’écorces de tronc d’Albizia gummifera et Spathodea campanulata. Méthodologie et Résultats : La recette a été préparée selon les indications des tradithérapeutes. Le screening phytochimique des extraits aqueux et hydro-éthanolique a révélé la présence de métabolites secondaires: polyphénoles, flavonoïdes, coumarines, tanins, glycosides cardiaques, bétacyanes, saponosides et alcaloides. La détermination des Concentrations Minimales Inhibitrices (CMI), par la technique de macrodilution en milieu liquide a établi le pouvoir antibactérien des extraits vis-à-vis de Staphylococcus aureus ATCC BAA-977 (CMI comprises entre 0,78 et 6,25 mg/mL) et Escherichia coli ATCC 25922 (CMI supérieures à 100 mg/mL). Conclusion et application des résultats : Les résultats obtenus de cette étude suggèrent que les métabolites secondaires présents dans les extraits aqueux et hydro-éthanolique du mélange d’écorces de tronc d’Albizia gummifera et Spathodea campanulata avaient des propriétés antibactériennes sur les deux souches testées, particulièrement sur Staphylococcus aureus ATCC BAA-977. Ces résultats justifient l’usage médicinal de cette recette par les tradithérapeutes dans le traitement des plaies infectées à Akonolinga. Cependant, il serait important de mener des études de toxicité, indispensables à la formulation d’un Médicament Traditionnel Amélioré (MTA) avec pour but de contribuer à la valorisation de notre médecine et pharmacopée traditionnelles. Mots clés : Composition phytochimique, pouvoir antibactérien, Albizia gummifera, Spathodea campanulata Bayaga et al., J. Appl. Biosci. 2020 Pouvoir antibactérien des extraits aqueux et hydro-éthanolique du mélange d’écorces de tronc d’Albizia gummifera (J.F. Gmel.) C.A. Sm et Spathodea campanulata P.Beauv 15882 Antibacterial effect of aqueous and hydro-ethanolic extracts of the mixture of trunk bark of Albizia gummifera (J.F. Gmel.) C.A. Sm and Spathodea campanulata P. Beauv ABSTRACT Objectives: The objectives of this work was to determine groups of secondary metabolites and to assess in vitro antibacterial activity of aqueous and hydro-ethanolic extracts of a traditional recipe based on the mixture of trunk bark of Albizia gummifera and Spathodea campanulata. Methodology and Results: The recipe was prepared according to the instructions of traditional healers. The phytochemical screening of the aqueous and hydro-ethanolic extracts of this recipe revealed the presence of several families of chemical compounds like : polyphenols, flavonoïdes, coumarines, tannins, cardiac glycosides, betacyanes, saponosides et alcaloides with antibacterial potential. The determination of the Minimum Inhibitory Concentrations (MIC), by the technique of macro-dilution in liquid medium, made it possible to evaluate the antibacterial activities of the extracts. These different extracts inhibited the visible bacterial growth of Staphylococcus aureus ATCC BAA-977 (MIC between 0.78 and 6.25 mg/mL) and Escherichia coli ATCC 25922 (MIC greater than 100 mg/mL). Conclusion and application of results: These results suggest that the aqueous and hydro-ethanolic extracts for the antibacterial activity observed against the two strains of the species tested and particularly against Staphylococcus aureus ATCC BAA-977. Thus, these results would justify the empirical medicinal use of this recipe by traditional therapists in Akonolinga and therefore constitutes a potential candidate for toxicity studies, essential for the formulation of an Improved Traditional Medicine (MTA) in order to contribute to the enhancement of our traditional medicine and pharmacopoeia. Keywords: phytochemical composition, antibacterial power, Albizia gummifera, Spathodea campanulata.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Maguirgue, Kakesse, Honoré Wangso, Jacques-Brice S. Oksom, Issakou Bakaranga-Via, Ngam-Asra Nadjioroum, and Brahim Boy Otchom. "Evaluation phytochimique, potentiels antioxydants et anti-inflammatoiresin vitro des extraits des feuilles de Commelina benghalensis Linn. (Commelinaceae)." International Journal of Biological and Chemical Sciences 16, no. 6 (March 9, 2023): 2673–84. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v16i6.17.

Full text
Abstract:
Les radicaux libres étant impliqués dans la genèse de plusieurs maladies, l’intérêt scientifique porté à la recherche d’antioxydants naturels à partir des plantes médicinales a considérablement augmenté ces dernières années. La présente étude vise à déterminer les métabolites secondaires sur la base des réactions de coloration et/ou de précipitations, doser quantitativement ces métabolites secondaires. Les feuilles de Commelina benghalensis ont été utilisées pour les différents tests. Les métabolites secondaires ont été dosés par les méthodes qualitatives et quantitatives. L’activité antiradicalaire a été évaluée par les tests de réduction du DPPH (2, 2-diphenyl-l-picrylhydrazyl) et de l’ABTS (acide 2,2’-azino-bis-(3-éthylbenzothiazoline-6-sulfonique)). Le pouvoir réducteur vis-à-vis de l’ion ferrique a été également évalué. Les potentiels anti-inflammatoires ont été évalués par la méthode d’inhibition de la dénaturation de l’albumine, l’inhibition de l’hémolyse induite par la chaleur, l’inhibition de l’activité de la protéinase et celle de la lipo-oxygénase. Les tests ont mis en évidence la présence des flavonoïdes, des phénols, des anthraquinones et les glycosides (forte concentration), des saponines (concentration modérée), et alcaloïdes (assez présents) et une absence des tanins et des terpénoïdes. Le dosage quantitatif a mis en évidence une dominance des polyphénols totaux (74,13mgEAG/g d’extrait) et des flavonoïdes (61,27mgER/g d’extrait). L’extrait a montré une importante activité antioxydante à piéger le radical libre DPPH (PI = 65,03%) et à réduire le fer ferrique Fe3+ en fer ferreux Fe2+ (PI = 50,68%). Le présent travail a également prouvé l’activité anti-hémolytique (126,79±1,28 pour l’extrait aqueux contre 82,49±1,35 pour le Diclofenac) et anti-dénaturante des protéines des différents extraits des feuilles de C. benghalensis (62,32±1,02 pour l’extrait aqueux contre 53,29±0,46 pour le Diclofenac). L’activité antioxydante et anti-inflammatoire de l’extrait aqueux des feuilles de Commelina benghalensis mise en évidence dans cette étude pourrait justifier l’utilisation de cette plante dans le soin de l’hypertension artérielle. As free radicals are involved in the genesis of several diseases, scientific interest in the search for natural antioxidants from medicinal plants has increased considerably in recent years. The present study aims to determine the secondary metabolites on the basis of staining and/or precipitation reactions, to quantitatively assay these secondary metabolites. The leaves of Commelina benghalensis were used for the different tests. The secondary metabolites were determined by qualitative and quantitative methods. The free radical scavenging activity was evaluated by DPPH (2, 2-diphenyl-l-picrylhydrazyl) and ABTS (2,2'-azino-bis-(3-ethylbenzothiazoline-6-sulfonic acid) reduction tests.) The reducing power towards ferric ion was also evaluated. Anti-inflammatory potentials were evaluated by the method of inhibition of albumin denaturation, inhibition of heat-induced hemolysis, inhibition of proteinase activity and lipo-oxygenase activity. The tests showed the presence of flavonoids, phenols, anthraquinones and glycosides (high concentration), saponins (moderate concentration), and alkaloids (quite present) and an absence of tannins and terpenoids. The quantitative assay showed a dominance of total polyphenols (74.13mgEAG/g extract) and flavonoids (61.27mgER/g extract). The extract showed significant antioxidant activity in scavenging DPPH free radical (PI = 65.03%) and reducing ferric iron Fe3+ to ferrous iron Fe2+ (PI = 50.68%). The present work also proved the anti-hemolytic (126.79±1.28 for aqueous extract versus 82.49±1.35 for Diclofenac) and protein denaturant activity of the different extracts of C. benghalensis leaves (62.32±1.02 for aqueous extract versus 53.29±0.46 for Diclofenac). The antioxidant and anti-inflammatory activity of the aqueous extract of the leaves of Commelina benghalensis highlighted in this study could justify the use of this plant in the care of arterial hypertension.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
11

YIANNIKOURIS, A., and J. P. JOUANY. "Les mycotoxines dans les aliments des ruminants, leur devenir et leurs effets chez l’animal." INRAE Productions Animales 15, no. 1 (February 12, 2002): 3–16. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2002.15.1.3683.

Full text
Abstract:
Les mycotoxines sont des métabolites secondaires sécrétés par des moisissures appartenant principalement aux genres Aspergillus, Penicillium et Fusarium. Elles sont produites sur une large variété de denrées alimentaires avant, pendant et après récolte. En raison de la diversité de leurs effets toxiques et de leurs propriétés synergiques, les mycotoxines présentent un risque pour le consommateur d’aliments contaminés. Le métabolisme des mycotoxines est complexe et comprend plusieurs voies de bioactivation et de détoxication régies par des mécanismes de biotransformation résultant de l’action d’enzymes de l’hôte et de la flore microbienne présente dans le tube digestif. Une partie des toxines ou de leurs métabolites peut se fixer dans les tissus biologiques ; la majorité est éliminée par voie urinaire, fécale et lactée. Des différences de sensibilité sont observées entre espèces animales. Chez les ruminants, la toxicité se manifeste généralement par des troubles chroniques légers et n’aboutit que rarement à la mort. Une diminution de l’ingestion et des performances zootechniques est généralement observée. Le problème de la présence éventuelle de résidus toxiques se pose pour les produits animaux destinés à la consommation humaine (lait, viande, abats). La réduction des risques passe par un contrôle de la contamination fongique des végétaux résultant de la maîtrise des méthodes de culture, de récolte et de conservation, par des techniques d’élimination des toxines sur l’aliment contaminé, et par une réduction de leur biodisponibilité dans le tractus digestif des animaux par l’emploi d’adsorbants.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
12

ARCHIMÈDE, H., D. BASTIANELLI, M. BOVAL, G. TRAN, and D. SAUVANT. "Ressources tropicales : disponibilité et valeur alimentaire." INRAE Productions Animales 24, no. 1 (March 4, 2011): 23–40. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.1.3235.

Full text
Abstract:
La disponibilité et les facteurs de variation de la valeur alimentaire des ressources végétales tropicales et des sous-produits de l’agro-industrie sont présentés dans cette synthèse. Les ressources alimentaires utilisées sont très variées (herbes, arbres fourragers, céréales, tubercules, coproduits de culture, sous-produits de l’agro-industrie) à l’image de la grande diversité des systèmes de production plus ou moins intensifiés, avec un niveau d’intégration variable des cultures et de l’élevage. Les matières premières peuvent être identiques à celles utilisées dans les zones tempérées (soja, maïs), notamment dans les ateliers modernes. Elles peuvent aussi se singulariser par leur origine botanique (sorgho, tubercules, fourrages, arbres fourragers), leur composition (présence fréquente de métabolites secondaires) et les traitements technologiques (coproduits d’industries agroalimentaires artisanales) qu’elles ont pu subir. Il y a une grande variabilité de la valeur alimentaire intra et inter-ressources. Quelle que soit l’espèce animale considérée, des ressources aux valeurs énergétiques élevées similaires ou proches d’homologues tempérés sont disponibles. Les nombreuses ressources «protéiques» ont en revanche des valeurs qui ne « rivalisent » qu’exceptionnellement avec le soja. Des stratégies particulières d’utilisation de certaines ressources sont nécessaires du fait de la présence de métabolites secondaires aux activités antinutritionnelles. En intra-ressource, les variabilités induites par la gestion (âge du fourrage, mode d’alimentation…) et la technologie utilisée (élimination de facteurs antinutritionnels, mode d’extraction, usinage des grains de céréales) qui affectent aussi bien la valeur énergétique que protéique, sont souvent supérieures à celles résultant de la génétique. Des ressources de bonne valeur alimentaire sont donc disponibles en zone tropicale à condition d’y appliquer la bonne gestion et de choisir l’espèce animale adéquate pour leur valorisation. L’information accumulée sur la valeur alimentaire des ressources tropicales est abondante. L’accès aux données n’est pas toujours aisé du fait des stratégies de publication souvent ciblée sur l’échelle régionale. L’information peut être partielle (certains critères de la composition chimique). Les résultats peuvent être fortement liés au contexte dans lequel ces données ont été produites ce qui limite leur généralisation. Une étape importante pour l’avenir serait le regroupement de ces données avec la perspective de dégager des lois générales tel que permet de l’envisager le projet en cours de tables de valeur alimentaire (AFZ-INRA-CIRAD).
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
13

Najjaa, Hanen, Sami Zouari, Ingrid Arnault, Jacques Auger, Emna Ammar, and Mohamed Neffati. "Différences et similitudes des métabolites secondaires chez deux espèces du genreAllium, Allium roseumL. etAllium ampeloprasumL." Acta Botanica Gallica 158, no. 1 (January 2011): 111–23. http://dx.doi.org/10.1080/12538078.2011.10516259.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
14

Hanfer, Mourad, Hichem Mezdour, Souad Ameddah, and Ahmed Menad. "Valproïc acid and its relationship with onset of hepatotoxicity in patients." Batna Journal of Medical Sciences (BJMS) 3, no. 1 (June 29, 2016): 39–44. http://dx.doi.org/10.48087/bjmsra.2016.3107.

Full text
Abstract:
L’acide valproïque (AVP) est un médicament largement utilisé comme antiépileptique dans le traitement de formes variées d’épilepsies partielles ou généralisées. Cependant, il existe de nombreux effets secondaires inhérents à son métabolisme qui peuvent provoquer une toxicité hépatique qui se manifeste par une stéatose chez les patients subissant un traitement chronique ou prenant des doses excessives. Selon la littérature, l’incidence des atteintes hépatiques liées à l’AVP est de 0,01 %. Cette incidence a augmenté en raison de la plus grande utilisation de ce médicament. L’AVP est presque uniquement métabolisé par le foie qui est l’organe cible dominant de sa toxicité. Sa biotransformation est très complexe et conduit à la production de plus de 50 métabolites différents. L’AVP subit une β-oxydation dans les mitochondries des hépatocytes qui peut provoquer un déséquilibre de l'état énergétique de la cellule et aboutir à un déficit énergétique, une stéatose et la mort cellulaire.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
15

García-Quintana, H. G., A. Reyes, M. Polette, and M. Aguilar. "Essai de métabolites secondaires des espèces natives de Senecio, Myzodendron et Flotowia, sur des populations bactériennes." Zentralblatt für Veterinärmedizin Reihe B 26, no. 5 (May 13, 2010): 427–29. http://dx.doi.org/10.1111/j.1439-0450.1979.tb00833.x.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
16

Ekanem, N. J., U. A. Inyang, and K. Ikwunze. "Chemical composition, secondary metabolites and nutritive value of elephant-ear tree (Enterolobium cyclocarpum (Jacq.) Griseb): A review." Nigerian Journal of Animal Production 49, no. 2 (March 8, 2022): 277–86. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v49i2.3489.

Full text
Abstract:
Enterolobium cyclocarpum is naturally found in the tropical region and it is a fast growing tree. It is a browse plant that is available all year round. The leaves, seeds, pods and fruits of Enterolobium cyclocarpum are rich in chemical composition such as protein and in secondary metabolites. The secondary metabolites or anti-nutritional factors have both beneficial and detrimental effects. The chemical composition, anti-nutritional factors and nutritive value of Enterolobium cyclocarpum leaves, pods, seeds and fruits were examined in this review. Enterolobium cyclocarpum is rich in: crude protein (10.40 in seeds to 22.50 in leaves), crude fibre (3.10 in leaves to 63.50 in seeds), ether extract (2.21 to 11.00 in leaves), ash (4.40 – 11.80), nitrogen free extract (51.40 – 70.04), neutral detergent fibre (51.4 – 63.94) and acid detergent fibre (31.90 – 42.99).The variations in values could be attributed to soil type, climatic conditions, stage of growth and methods of analyses. The leaves, pods seeds, and fruits of Enterolobium cyclocarpum are rich in the macro minerals (calcium, phosphorus, magnesium and potassium and sodium), micro minerals (zinc, manganese, copper and iron) and vitamins (vitamins A, C, D and E) and some are present within the range needed for normal physiological functions of ruminant animals. Secondary metabolites present in Enterolobium cyclocarpum in varying quantities are tannins, saponins, oxalate, phytate, hydrocyanic acid, trypsin inhibitors and alkaloids. Enterolobium cyclocarpum have been identified as the highest poisonous plants, with the fruits being the most toxic that can cause photosensitization. Preservation methods such as toasting, ensiling and sun drying drastically reduced these to beneficial and tolerable levels. These metabolites such as saponins have been reported to reduce the numbers of protozoa in the short run (12 – 14 days) and also favour moderate methane production. Acceptability of Enterolobium cyclocarpum by ruminants is dependent on types of forages offered and previous experience while low to moderate digestibility have been reported in vitro and in vivo. Depending on processing or preservation methods and levels of inclusion in the diets, Enterolobium cyclocarpum have no deleterious effect on growth performance and carcass characteristics of ruminant animals. Enterolobium cyclocarpum se trouve naturellement dans la région tropicale et c'est un arbre à croissance rapide. C'est une plante à brouter disponible toute l'année. Les feuilles, lesgraines, les gousses et les fruits d'Enterolobium cyclocarpum sont riches en composition chimique comme les protéines et en métabolites secondaires. Les métabolites secondaires ou facteurs anti-nutritionnels ont à la fois des effets bénéfiques et néfastes. La composition chimique, les facteurs anti-nutritionnels et la valeur nutritive des feuilles, des gousses, des graines et des fruits d'Enterolobium cyclocarpum ont été examinés dans cette revue. Enterolobium cyclocarpum est riche en : protéines brutes (10,40 dans les graines à 22,50 dans les feuilles), fibres brutes (3,10 dans les feuilles à 63,50 dans les graines), extrait d'éther (2,21 à 11,00 dans les feuilles), cendres (4,40 - 11,80), extrait sans azote (51.40 – 70.04), fibre au détergent neutre (51.4 – 63.94) et fibre au détergent acide (31.90 – 42.99). Les variations de valeurs peuvent être attribuées au type de sol, aux conditions climatiques, au stade de croissance et aux méthodes d'analyse. Les feuilles, les graines de gousses et les fruits d'Enterolobium cyclocarpum sont riches en macro-minéraux (calcium, phosphore, magnésium et potassium et sodium), en micro-minéraux (zinc, manganèse, cuivre et fer) et en vitamines (vitamines A, C, D et E) et certains sont présents dans la plage nécessaire aux fonctions physiologiques normales des ruminants. Les métabolites secondaires présents dans Enterolobium cyclocarpum en quantités variables sont les tanins, les saponines, l'oxalate, le phytate, l'acide cyanhydrique, les inhibiteurs de la trypsine et les alcaloïdes. Enterolobium cyclocarpum a été identifié comme la plante la plus toxique, les fruits étant les plus toxiques pouvant provoquer une photosensibilisation. Les méthodes de conservation telles que le grillage, l'ensilage et le séchage au soleil les ont considérablement réduits à des niveaux bénéfiques et tolérables. Il a été rapporté que ces métabolites tels que les saponines réduisaient le nombre de protozoaires à court terme (12 à 14 jours) et favorisaient également une production modérée de méthane. L'acceptabilité d'Enterolobium cyclocarpum par les ruminants dépend des types de fourrages offerts et de l'expérience antérieure, tandis qu'une digestibilité faible à modérée a été signalée in vitro et in vivo. Selon les méthodes de transformation ou de conservation et les niveaux d'inclusion dans les régimes alimentaires, Enterolobium cyclocarpum n'a aucun effet délétère sur les performances de croissance et les caractéristiques de la carcasse des ruminants.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
17

Ekanem, N. J., U. A. Inyang, and K. Ikwunze. "Chemical composition, secondary metabolites and nutritive value of elephant-ear tree (Enterolobium cyclocarpum (Jacq.) Griseb): A review." Nigerian Journal of Animal Production 49, no. 2 (March 8, 2022): 1–9. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v49i2.3439.

Full text
Abstract:
Enterolobium cyclocarpum is naturally found in the tropical region and it is a fast growing tree. It is a browse plant that is available all year round. The leaves, seeds, pods and fruits of Enterolobium cyclocarpum are rich in chemical composition such as protein and in secondary metabolites. The secondary metabolites or anti-nutritional factors have both beneficial and detrimental effects. The chemical composition, anti-nutritional factors and nutritive value of Enterolobium cyclocarpum leaves, pods, seeds and fruits were examined in this review. Enterolobium cyclocarpum is rich in: crude protein (10.40 in seeds to 22.50 in leaves), crude fibre (3.10 in leaves to 63.50 in seeds), ether extract (2.21 to 11.00 in leaves), ash (4.40 – 11.80), nitrogen free extract (51.40 – 70.04), neutral detergent fibre (51.4 – 63.94) and acid detergent fibre (31.90 – 42.99).The variations in values could be attributed to soil type, climatic conditions, stage of growth and methods of analyses. The leaves, pods seeds, and fruits of Enterolobium cyclocarpum are rich in the macro minerals (calcium, phosphorus, magnesium and potassium and sodium), micro minerals (zinc, manganese, copper and iron) and vitamins (vitamins A, C, D and E) and some are present within the range needed for normal physiological functions of ruminant animals. Secondary metabolites present in Enterolobium cyclocarpum in varying quantities are tannins, saponins, oxalate, phytate, hydrocyanic acid, trypsin inhibitors and alkaloids. Enterolobium cyclocarpum have been identified as the highest poisonous plants, with the fruits being the most toxic that can cause photosensitization. Preservation methods such as toasting, ensiling and sun drying drastically reduced these to beneficial and tolerable levels. These metabolites such as saponins have been reported to reduce the numbers of protozoa in the short run (12 – 14 days) and also favour moderate methane production. Acceptability of Enterolobium cyclocarpum by ruminants is dependent on types of forages offered and previous experience while low to moderate digestibility have been reported in vitro and in vivo. Depending on processing or preservation methods and levels of inclusion in the diets, Enterolobium cyclocarpum have no deleterious effect on growth performance and carcass characteristics of ruminant animals. Enterolobium cyclocarpum se trouve naturellement dans la région tropicale et c'est un arbre à croissance rapide. C'est une plante à brouter disponible toute l'année. Les feuilles, lesgraines, les gousses et les fruits d'Enterolobium cyclocarpum sont riches en composition chimique comme les protéines et en métabolites secondaires. Les métabolites secondaires ou facteurs anti-nutritionnels ont à la fois des effets bénéfiques et néfastes. La composition chimique, les facteurs anti-nutritionnels et la valeur nutritive des feuilles, des gousses, des graines et des fruits d'Enterolobium cyclocarpum ont été examinés dans cette revue. Enterolobium cyclocarpum est riche en : protéines brutes (10,40 dans les graines à 22,50 dans les feuilles), fibres brutes (3,10 dans les feuilles à 63,50 dans les graines), extrait d'éther (2,21 à 11,00 dans les feuilles), cendres (4,40 - 11,80), extrait sans azote (51.40 – 70.04), fibre au détergent neutre (51.4 – 63.94) et fibre au détergent acide (31.90 – 42.99). Les variations de valeurs peuvent être attribuées au type de sol, aux conditions climatiques, au stade de croissance et aux méthodes d'analyse. Les feuilles, les graines de gousses et les fruits d'Enterolobium cyclocarpum sont riches en macro-minéraux (calcium, phosphore, magnésium et potassium et sodium), en micro-minéraux (zinc, manganèse, cuivre et fer) et en vitamines (vitamines A, C, D et E) et certains sont présents dans la plage nécessaire aux fonctions physiologiques normales des ruminants. Les métabolites secondaires présents dans Enterolobium cyclocarpum en quantités variables sont les tanins, les saponines, l'oxalate, le phytate, l'acide cyanhydrique, les inhibiteurs de la trypsine et les alcaloïdes. Enterolobium cyclocarpum a été identifié comme la plante la plus toxique, les fruits étant les plus toxiques pouvant provoquer une photosensibilisation. Les méthodes de conservation telles que le grillage, l'ensilage et le séchage au soleil les ont considérablement réduits à des niveaux bénéfiques et tolérables. Il a été rapporté que ces métabolites tels que les saponines réduisaient le nombre de protozoaires à court terme (12 à 14 jours) et favorisaient également une production modérée de méthane. L'acceptabilité d'Enterolobium cyclocarpum par les ruminants dépend des types de fourrages offerts et de l'expérience antérieure, tandis qu'une digestibilité faible à modérée a été signalée in vitro et in vivo. Selon les méthodes de transformation ou de conservation et les niveaux d'inclusion dans les régimes alimentaires, Enterolobium cyclocarpum n'a aucun effet délétère sur les performances de croissance et les caractéristiques de la carcasse des ruminants.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
18

Bashige, V. C., A. S. Bakari, B. J. Kahumba, and J. B. S. Lumbu. "Activité antioxydante de 53 plantes réputées antimalariques en République Démocratique du Congo." Phytothérapie 19, no. 5-6 (October 2021): 355–71. http://dx.doi.org/10.3166/phyto-2021-0274.

Full text
Abstract:
Objectif : Cette étude vise à identifier des groupes phytochimiques et à évaluer l’activité antioxydante de 53 plantes utilisées en médecine traditionnelle à Bagira dans le traitement de la malaria. Méthode : Le criblage phytochimique s’est effectué par des réactions classiques en solution, et l’activité antioxydante a utilisé la méthode in vitro au DPPH. Résultats : Le criblage chimique a permis d’identifier des métabolites secondaires à potentiel à la fois antimalarique et antioxydant comme des coumarines, des saponines, des stéroïdes, des tanins et des terpénoïdes dans plus de 70 % des plantes. Le criblage antioxydant a révélé pour la première fois l’activité antioxydante de 17 plantes parmi lesquelles Dalbergia katangensis, Dialium angolense et Solanecio cydoniifolius avec des CI50 inférieures ou égales à 1,6 μg/ml présentent les activités antioxydantes les plus élevées de la série. Conclusion : Cette étude montre que parmi les plantes réputées antimalariques à Bagira (RDC) plusieurs possèdent un pouvoir antioxydant et contiennent des groupes présumés à la fois antioxydants et antimalariques. Elle suggère que les études ultérieures se poursuivent en vue d’isoler les composés responsables de l’activité prouvée.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
19

Hosni, H., A. Salama, A. Abudunia, Y. Cherrah, A. Ibrahimi, and K. Alaoui. "Toxicité aiguë, cytotoxicité et effet antiradicalaire de l’extrait méthanolique des feuilles de l’asphodèle, Asphodelus microcarpus." Phytothérapie 18, no. 5 (July 2, 2019): 284–90. http://dx.doi.org/10.3166/phyto-2019-0136.

Full text
Abstract:
Asphodelus microcarpus(A.m.) est une plante largement utilisée en médecine traditionnelle marocaine pour ses propriétés médicinales qui restent variées et générales. Une extraction des principes actifs contenus dans les feuilles d’A.m. a été réalisée par macération à froid au méthanol. L’extrait obtenu a fait l’objet d’une étude in vitro de cytotoxicité qui a révélé un effet cytotoxique sur un modèle de cellules myéloïdes d’origine humaine (IC50 = 7,81 μg/ml). Par ailleurs, l’évaluation de l’extrait quant à son activité antioxydante par la méthode du réactif DPPH s’est révélée positive (IC50 = 310 μg/ml), et l’étude de sa toxicité aiguë in vivo sur un modèle animal (souris Swiss) lui confère une totale innocuité (DL50 > 5 000 mg/kg). Ces études ont été complétées par un criblage phytochimique afin de mettre en évidence les familles de métabolites secondaires majoritaires identifiées ici comme des anthracénosides, tannins et phénols ; les alcaloïdes sont peu présents. Ainsi, la faible toxicité in vivo et l’éventuel pouvoir antiprolifératif de l’extrait fixe d’A.m. in vitro justifieraient son évaluation future sur différents modèles tumoraux.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
20

Andary, Claude, Damien Longepierre, Kiet Le Cong, Sovanmoly Hul, Alba Zaremski, and Georges Michaloud. "Study of a chemotaxonomic marker able to identify the genus Aquilaria (Thymelaeaceae)." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 341 (July 20, 2019): 29. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.341.a31744.

Full text
Abstract:
Le genre Aquilaria Lam. (Thymelaeaceae) comprend 21 espèces d’arbres (The Plant List, 2013) et se trouve principalement en Asie du Sud-Est. Lorsque l’arbre est infecté (champignons, bactéries), son bois devient brunâtre ou noirâtre (appelé bois d’agar) en raison de la sécrétion d’une oléorésine en réaction à l’infection. La résine est très parfumée et a été recherchée et utilisée pendant des siècles par les bouddhistes, les hindous et les musulmans pour faire de l’encens pour les cérémonies religieuses. Cette oléorésine se trouve principalement dans les espèces du genre Aquilaria, mais aussi dans quelques espèces des genres Gyrinops Gaertner et Gonystylus Teijsmann & Binnendijk. Il est difficile de faire la distinction entre ces espèces, et ce manque de connaissances taxonomiques a conduit à une surutilisation des arbres, mettant en danger ces espèces endémiques inscrites à l’Annexe II de la CITES. Nous avons utilisé la chimiotaxonomie comme outil de discrimination pour analyser les molécules polyphénoliques, métabolites secondaires, qui sont connus pour agir comme marqueurs taxonomiques dans d’autres plantes. En utilisant une technique d’analyse simple, efficace et peu coûteuse (chromatographie bidimensionnelle en couche mince), nous avons trouvé la même molécule polyphénolique dans les six espèces du genre Aquilaria étudiées, qui a été identifiée comme mangiférine par analyse colorimétrique et chromatographique en comparaison avec la mangiférine de contrôle. Au cours de ces analyses, nous avons trouvé une relation entre les genres Aquilaria et Gyrinops (botaniquement démontrée) par l’existence occasionnelle de mangiférine chez trois espèces du genre Gyrinops. Nous avons également constaté qu’un laps de temps de cent-quarante ans entre deux échantillons d’herbier de la même espèce n’avait pratiquement aucun effet sur la concentration de mangiférine dans la plante. Ces travaux ont montré les mérites de la chimiotaxonomie dans la recherche de marqueurs taxonomiques et l’originalité de l’analyse colorimétrique d’un métabolite de plante chromatographié en couche mince.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
21

ZIMMER, N., and R. CORDESSE. "Influence des tanins sur la valeur nutritive des aliments des ruminants." INRAE Productions Animales 9, no. 3 (June 17, 1996): 167–79. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1996.9.3.4044.

Full text
Abstract:
Les tanins sont des métabolites secondaires importants dans le règne végétal. Ils s’intègrent dans la défense des végétaux contre les herbivores, en particulier pour les plantes se développant dans les zones difficiles. La structure chimique de ces polyphénols leur confère une capacité très développée à se fixer sur toutes sortes de molécules, essentiellement les protéines. Ces interactions faisant intervenir les différents types de liaison possibles sont dépendantes de nombreux facteurs liés au milieu et à la structure des molécules réactantes (importance de la présence de proline chez les protéines). Ces aspects biochimiques permettent de se rendre compte de l’incidence et de la complexité des actions des tanins dans l’alimentation. La principale conséquence chez les ruminants est une diminution de la dégradation des protéines alimentaires dans le rumen, mais aussi une perturbation des activités microbiennes (rumen, caecum), une diminution de l’ingestion et même une toxicité. Les herbivores adaptés à une alimentation riche en tanins ont su développer des mécanismes de protection, en particulier la synthèse de protéines salivaires riches en proline “neutralisant” les tanins ingérés. Le tannage des protéines alimentaires par les tanins naturels est un débouché potentiel en alimentation des ruminants.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
22

MAGNIN, Michel, A. TRAVEL, J. D. BAILLY, and P. GUERRE. "Effets des mycotoxines sur la santé et les performances des volailles." INRA Productions Animales 29, no. 3 (December 12, 2019): 217–32. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2016.29.3.2961.

Full text
Abstract:
Les mycotoxines sont des métabolites secondaires produits par des champignons, qui peuvent être présents sur une large variété de cultures et en particulier les céréales. Leur maitrise est considérée comme un enjeu majeur dans le monde agricole en raison de leurs effets nocifs sur la santé des Hommes et des animaux. Bien que plus de 400 mycotoxines aient été identifiées, seules quelques-unes sont préoccupantes en production avicole. L’Union Européenne applique ou recommande des teneurs maximales pour certaines mycotoxines dans les matières premières et les aliments pour volailles, afin de protéger les animaux et le consommateur humain. L’objectif de cette revue, est de présenter les effets d’expositions aiguës ou réitérées aux mycotoxines, sur la santé et les performances dans les principales espèces avicoles. Cette analyse est notamment réalisée, lorsque cela a été possible, en comparant les effets observés lors d’études récentes aux seuils réglementés/recommandés au niveau européen. Une attention particulière a été portée sur l’importance des facteurs d’espèces et stades de productions, quant à la sensibilité aux différentes toxines. Le dernier paragraphe est consacré à l’analyse des données disponibles en cas de multi-contaminations en termes d’effets additifs, synergiques ou antagonistes.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
23

Masengo, Colette, and Jean-Paul Ngbolua. "Evaluation in silico de l’activité anti-drépanocytaire de quelques composés de l’huile essentielle de Lippia multiflora Moldenke (Verbenaceae)." Revue Congolaise des Sciences & Technologies 2, no. 3 (February 1, 2022): 424–29. http://dx.doi.org/10.59228/rcst.023.v2.i3.47.

Full text
Abstract:
Dans le contexte de la drépanocytose, une maladie génétique affectant les globules rouges, la recherche de traitements alternatifs est cruciale. L'objectif de cette étude est d'utiliser des simulations informatiques pour prédire l'efficacité de certains composés de Lippia multiflora dans la lutte contre cette hémoglobinopathie. La méthodologie utilisée repose sur des techniques de modélisation moléculaire et de simulation in silico. Dix molécules de la plante ont été sélectionnées et leurs structures tridimensionnelles construites. Ensuite, des simulations de docking moléculaire ont été effectuées pour évaluer l'affinité de liaison entre ces métabolites secondaires et l’hémoglobine S. Les résultats révèlent que quatre composés chimiques de Lippia multiflora (cycloeucalenol, luteolin, verbascoside et zitosterin) présentent une affinité prometteuse avec la protéine cible, suggérant un potentiel anti-drépanocytaire de la plante. Cependant, des études expérimentales ultérieures sont nécessaires pour valider ces prédictions (efficacité potentielle) afin de confirmer l’efficacité réelle de cette plante médicinale. Cette approche in silico ouvre ainsi la voie à une présélection plus rapide et économique de plantes médicinales prometteuses pour le développement futur de traitements contre la drépanocytose. Mots clés: Modélisation moléculaire, medecine alternative, Lippia multiflora, drépanocytose, République démocratique du Congo
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
24

Benamara, D., Z. Benamara, and S. Benamara. "Bénéfices santé des infusions végétales dans le traitement des pathologies à virus : aspects pratiques et théoriques concernant la Covid-19 (synthèse bibliographique)." Phytothérapie 19, no. 3 (June 2021): 134–41. http://dx.doi.org/10.3166/phyto-2021-0284.

Full text
Abstract:
Ces dernières années, le pouvoir thérapeutique des plantes et des aliments végétaux a fait l’objet de nombreuses études. C’est le cas des infusions végétales (IV). Cependant, à notre connaissance, peu de données sont disponibles sur les aspects théoriques et pratiques soutenant les bénéfices des IV, en particulier dans le contexte du nouveau coronavirus (Covid-19). Dans le présent article, cette problématique a été discutée, considérant une IV comme à la fois un processus d’extraction et une solution chimique complexes, cette dernière étant en fait un extrait végétal aqueux. Dans le cas particulier de la lutte contre les infections grippales, la réactivité des huiles essentielles (HES), fraction volatile des IV chaudes, peut s’expliquer par leurs affinités chimiques avec la cible virale ou autres. Il est évident que la phase liquide (extrait aqueux) est plus riche en molécules bioactives que la phase vapeur. Cependant, il existe des métabolites secondaires non volatils qui sont moins cités comme composants des IV. C’est le cas des lectines, glycoprotéines largement répandues dans le règne végétal et ayant une activité antivirale démontrée. Ainsi, la description de ces concepts pourrait contribuer un tant soit peu à mettre en lumière les bienfaits pour la santé des IV dans le contexte de la Covid-19.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
25

Eddine, Laib Djamel, Benzehra Abdelmadjid, Rahmani Youcef, Boulaouad Belkacem Aimene, and Akkal Salah. "L’emploi de l’extrait du champignon endophyte Aspergillus niger isolé à partir des feuilles du ricin commun Ricinus communis L. (Euphorbiaceae, Malpighiales) comme agent de lutte biologique contre le criquet migrateur Locusta migratoria L. (Oedipodinae, Acrididae)." Journal of Applied Biosciences 170 (February 28, 2022): 17720–38. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.170.5.

Full text
Abstract:
Objectifs : Évaluer l'activité insecticide de l'extrait du champignon endophyte Aspergillus niger. Méthodologie et Résultats : Pour évaluer l'activité insecticide, dix concentrations (de 0,2 à 2 g/ L) de l'extrait fongique ont été appliqués par contact et par ingestion contre Locusta migratoria L. Pour connaitre la nature des métabolites secondaires responsables de l’activité insecticide des analyses chimiques, infrarouge à réflexion totale atténuée par transformée de Fourier de l'extrait fongique et un GC-MS-MS des hyphes du champignon et de l'extrait fongique ont été effectués. Un test d’inhibition d’Acétyl cholinestérase par l’extrait fongique a été effectué afin de connaitre le mode d’action ou l’effet d’extrait sur le système nerveux des insectes traités. La concentration la plus efficace contre les insectes est de 2 g/L, avec un taux de mortalité maximum de 86,95%et 100% pour les traitements par contact et ingestion, respectivement. L'analyse chimique de l'extrait fongique a révélé la présence de polyphénols, d'alcaloïdes, de terpénoïdes et de saponines comme métabolites responsables de ces activités. L'analyse FTIR-ATR de l'extrait fongique a révélé la présence de groupes alcool, nitro, imine, alcyne et hydroxyle. L'analyse GC-MS des hyphes et de l’extrait fongique a révélé la présence des volatiles insecticides Hexahydro-1H-cyclopenta [c] isoxazole-4, 5,6-triol, 2, 3, 4,4a, 5, 6, 7,8-octahydro-1H -naphtalène-1,8a-diol et acide propanoïque 2-éthyl-3-hydroxyhexyle. A 4 μg/mL l’extrait fongique est doté d’une activité inhibitrice d’Acétylcholinestérase maximale de 73,91 %. Conclusions et application des résultats : l’extrait du champignon endophyte d’Aspergillus niger constitue une bonne source de métabolites secondaires volatiles et non-volatiles à activité insecticide et peut être utilisé comme insecticide de contact ou ingestion contre L. migratoria. 17720 Laib et al., J. Appl. Biosci. Vol : 170, 2022 L’emploi de l’extrait du champignon endophyte Aspergillus niger isolé à partir des feuilles du ricin commun Ricinus communis L. comme agent de lutte biologique contre le criquet migrateur Locusta migratoria L. Mots clés : Activité insecticide, champignons endophytes, Locusta migratoria, Aspergillus niger, GC-MS-MS, FTIR-ATR. ABSTRACT Objectives: Evaluate the insecticidal activity of the extract obtained from the endophytic fungus, Aspergillus niger. Methodology and Results: Ten concentrations of 0.2 to 2 g/L of the fungal extract were applied by contact against Locusta migratoria L. To find out the nature of the secondary metabolites responsible for the insecticidal activity, we carried out chemical analysis, an infrared analysis with total reflection attenuated by transform Fourier of the fungal extract, and GC-MS-MS analysis for both colony and fungal extract. To reveal the effect of the extract on the nervous system of the treated insects, we carried out an acetyl cholinesterase inhibition test. The most effective concentration against the insects was 2 g/L, with a maximum mortality rate of 86, 95%and 100% for L. migratoria upon contact and ingestion treatments, respectively. Chemical analysis of the fungal extract revealed the presence of polyphenols, alkaloids, terpenoids, and andsaponins asthe metabolites responsible for these activities. The FTIR-ATR of the fungal extract revealed the presence of alcohol, nitro, imine, alkyne, and hydroxyl groups. Specifically, GC-MS analysis of both colony and fungal extract revealed the presence of the insecticidal volatiles Hexahydro-1Hcyclopenta [c] isoxazole-4,5,6-triol ,2,3,4,4a, 5,6,7,8-octahydro-1H-naphthalene-1,8a-diol and Propanoic acid 2-ethyl-3-hydroxyhexyl.Moreover, we found that at a concentration of 4 μg/mL, the fungal extract had a maximum inhibitory capacity of Ache of 73.11%. Conclusions and application of findings: the endophytic fungus A. niger is a good source of volatile and non-volatile secondary metabolites with insecticidal activity against L. migratoria. Keywords: Insecticidal activity, endophytic fungi, Locusta migratoria, Aspergillus niger, GCMS-MS, FTIR-ATR.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
26

Franck Mignanwandé, Zinsou, Armelle Sabine Yélignan Hounkpatin, Roch Christian Johnson, Delphin Anato, Wilfrid Hinnoutondji Kpètèhoto, and Madjid Olatoundé Amoussa. "Etudes ethnomédicinale, phytochimie et activité antioxydante de Crateva adansonii DC (Capparidaceae) dans les communes de Cotonou et de Dassa-Zoumè au Benin." Journal of Animal & Plant Sciences 46, no. 1 (October 31, 2020): 8071–89. http://dx.doi.org/10.35759/janmplsci.v46-1.2.

Full text
Abstract:
Crateva adansonii constitue l’une des espèces prisées au sein de la population béninoise pour ses nombreuses vertus thérapeutiques et nutritionnelles. La présente étude intitulée a été initiée pour garantir et promouvoir une meilleure utilisation de Crateva adansonii dans le traitement des maladies. L’étude ethnomédicinale a été réalisée au moyen des interviews semi structuré auprès des herboristes et des consommateurs de Cotonou et de Dassa. Le screening phytochimique a été effectué par chromatographie sur couche mince (CCM) doublé du dosage spectrophotométrique des métabolites secondaires. Les méthodes FRAP et DPPH ont servi à la détermination du pouvoir antioxydant et la CI 50% a été calculée. Les enquêtés ethnomédicinales ont montré que Crateva adansonii s’utilise au Bénin aussi bien à des fins thérapeutiques, alimentaire que médico-magique. La forme galénique de ses organes les plus utilisées (tiges feuillées) est la décoction par voie orale. La phytochimie a révélé, en plus des principaux groupes phytochimiques (composés phénoliques, composés azotés, composés stéroïdes et terpénoïdes et mucilages), la présence des huiles essentielles, des lignanes et des pigments anthocyaniques. Dans la gamme de concentrations utilisées (0,23 – 30 µg.ml-1), le pouvoir antioxydant de l’extrait varie de 5 – 58% (méthode DPPH) et de 23,01 à 34,06mMolEAA/g (méthode FRAP). Quant au dosage des métabolites secondaires, l’extrait éthanolique de Crateva adansonii renferme respectivement 12,85 mg Eq Cat/100 mg de tannins totaux, 29,64 mg Eq Quer/100 mg de flavonoïdes totaux et 3,51 mg Eq ac. Galic/100 mg de phénoliques totaux. Mignanwandé et al., 2020 Journal of Animal & Plant Sciences (J.Anim.Plant Sci. ISSN 2071-7024) Vol.46 (1): 8071-8089 https://doi.org/10.35759/JAnmPlSci.v46-1.2 8072 ABSTRACT Crateva adansonii is one of the species prized by the Beninese population for its many therapeutic and nutritional benefits. This titled study was initiated to ensure and promote better use of Crateva adansonii in the treatment of diseases. The ethnomedicinal study was carried out through semi-structured interviews with herbalists and consumers in Cotonou and Dassa. The phytochemical screening was carried out by thin layer chromatography (TLC) coupled with the spectrophotometric assay of the secondary metabolites. The FRAP and DPPH methods were used to determine the antioxidant power and the IC 50% was calculated. Ethnomedicinal surveys have shown that Crateva adansonii is used in Benin for therapeutic, nutritional and medico-magical purposes. The dosage form of its most widely used organs (leafy stems) is the oral decoction. Phytochemistry revealed, in addition to the main phytochemical groups (phenolic compounds, nitrogen compounds, steroid and terpenoids compounds and mucilages), the presence of essential oils, lignans and anthocyanin pigments. In the range of concentrations used (0.23 - 30 µg.ml-1), the antioxidant power of the extract varies from 5 - 58% (DPPH method) and from 23.01 to 34.06 mMolEAA / g (FRAP method). As for the determination of secondary metabolites, the ethanolic extract of Crateva adansonii contains respectively 12.85 mg Eq Cat / 100 mg of total tannins, 29.64 mg Eq Quer / 100 mg of total flavonoids and 3.51 mg Eq ac. Galic / 100 mg total phenolics.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
27

TRAORE, A., H. TOURE, A. BARRY, and D. DIARRA. "Contamination des Laits Importés au Mali par l’Aflatoxine M1." International Journal of Progressive Sciences and Technologies 38, no. 2 (May 30, 2023): 452. http://dx.doi.org/10.52155/ijpsat.v38.2.5366.

Full text
Abstract:
Au Mali l’insuffisance de données scientifiques sur la contamination du lait par les aflatoxines a motivé la conduite de la présente étude. Les aflatoxines sont des métabolites secondaires synthétisés par des souches d'As. flavus, Asp. Parasiticus et Asp. Nomius. Aspergillus flavus produit principalement l’Aflatoxine B1 et B2. AFM1 est retrouvée dans le lait des mammifères lorsque ceux-ci ont ingéré des aliments contaminés par l’Aflatoxine B1. L’hépatotoxité est la caractéristique majeure de l’aflatoxine B1. AFM1 est reclassée par l'Agence Internationale pour la Recherche sur le Cancer de l'Organisation Mondiale de la Santé pour être dans le groupe 1 au lieu du groupe 2 considéré moins toxique. Contribuer à la connaissance de la qualité sanitaire du lait importé au Mali et conduire une évaluation des risques liés à l’Aflatoxine M1. Etude transversale et descriptive par sondage aléatoire simple. Un total de 150 échantillons de laits a été récolté dans le District de Bamako en 2015.La détermination des teneurs du lait en Aflatoxine M1 a été effectuée par Immunoafinité /HPLC INF selon la norme ISO 14501au CARSO-Laboratoire Santé Environnement Hygiène de Lyon en 2016.Les résultats ont montré que tous les 150 échantillons analysés sont contaminés par l’Aflatoxine M1 avec des taux allant de 30 à100 ng/Kg.Cepandant les taux de contamination étaient inférieures à la norme requise par le Codex Alimentarius qui est de l’ordre de 500ng/Kg. Les acteurs impliqués dans la sécurité sanitaire des aliments aux Mali sont interpellés pour prise de disposition.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
28

Bailly, Jean-Denis. "Les mycotoxines émergentes et ré-émergentes en France." Le Nouveau Praticien Vétérinaire élevages & santé 9, no. 37 (2017): 20–27. https://doi.org/10.1051/npvelsa/37020.

Full text
Abstract:
Les mycotoxines sont des métabolites secondaires toxiques produits par certaines espèces fongiques au cours de leur développement. A l’heure actuelle, sept composés ou familles font l’objet de valeurs seuils fixées par la réglementation européenne. Ces toxines sont celles qui peuvent contaminer directement les aliments destinés à l’homme et que l’on peut retrouver dans les céréales, les fruits secs, les épices, … Malgré cette réglementation, les mycotoxines posent un certain nombre de questions : - Est-ce que d’autres toxines que celles réglementées peuvent avoir un effet sur la santé des hommes ou des animaux ? Ainsi, la mise en évidence de toxines dites masquées ou modifiées, qui sont présentent dans les aliments en même temps que les toxines “natives”pose la question de la pertinence des valeurs seuils fixées jusqu’à présent. De même, l’analyse des aliments montre la présence fréquente d’autres toxines pour lesquelles les données toxicologiques sont encore très parcellaires. - Est-il possible que la répartition actuelle des toxines (nature et distribution géographique) change en lien avec les changements climatiques ? Il est désormais acquis que les changements climatiques en cours auront un impact direct sur la répartition des mycotoxines, entraînant notamment l’apparition de toxines dans des zones jusque-là considérées comme indemnes. A l’heure actuelle, l’émergence possible de l’aflatoxine B1 en Europe préoccupe beaucoup les autorités sanitaires. Il est aussi probable que des changements dans les pratiques agricoles puissent avoir un impact sur la nature et la fréquence de contamination des aliments pour animaux.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
29

FARRUGGIA, A., B. MARTIN, R. BAUMONT, S. PRACHE, M. DOREAU, H. HOSTE, and D. DURAND. "Quels intérêts de la diversité floristique des prairies permanentes pour les ruminants et les produits animaux ?" INRAE Productions Animales 21, no. 2 (June 23, 2008): 181–200. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2008.21.2.3391.

Full text
Abstract:
Les prairies permanentes occupent environ un tiers de la surface agricole utile et présentent un grand potentiel de diversité biologique. L’élevage a de ce fait un rôle majeur à jouer dans la préservation de la biodiversité sur le territoire français. L’objectif de cette synthèse est d’aborder la question de la diversité floristique des prairies et de l’élevage en s’interrogeant sur l’intérêt de cette diversité construite par les éleveurs, pour les ruminants et les produits animaux. Une seule composante de la diversité biologique des prairies est prise en compte : la diversité floristique. Il est réalisé dans cette synthèse un état des connaissances pluridisciplinaires des effets de cette diversité sur la valeur nutritive des fourrages, l’ingestion des animaux, les caractéristiques sensorielles et nutritionnelles des produits laitiers et carnés, enfin sur deux aspects de la santé animale, la lutte contre les infestations par les strongles digestifs et la prévention des processus de peroxydation. Dans chacune des thématiques abordées, des effets liés à la composition botanique des prairies ont été mis en évidence, mais sans qu’il puisse être toujours fait la part entre les effets liés à la présence d’un grand nombre d’espèces dans la parcelle, les effets liés à la présence de certaines espèces et les effets liés au stade phénologique. Le rôle probable important des dicotylédones et notamment des légumineuses a été souligné à plusieurs reprises, en particulier du fait de leur plus grande teneur en métabolites secondaires que les graminées. Enfin, l’intérêt de fournir aux animaux des sources d’alimentation diversifiées a également été évoqué en particulier sur les aspects liés à l’ingestion et à la santé animale.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
30

Benhamou, Nicole, and Patrice Rey. "Stimulateurs des défenses naturelles des plantes : une nouvelle stratégie phytosanitaire dans un contexte d’écoproduction durable." Article de synthèse 92, no. 1 (September 25, 2012): 1–23. http://dx.doi.org/10.7202/1012399ar.

Full text
Abstract:
Après avoir été longtemps dépendante des pesticides, l’agriculture mondiale est aujourd’hui frappée par un courant qui favorise des pratiques plus durables et plus respectueuses de l’environnement. Pour répondre à ces nouvelles exigences, les agriculteurs doivent se tourner vers l’exploitation et la rentabilisation des ressources naturelles par le biais de pratiques agricoles combinant la performance et la protection des cultures à un moindre coût écologique. Dans ce contexte, le développement de molécules biologiques capables de stimuler les défenses naturelles des végétaux (SDN) est une stratégie qui attire de plus en plus l’attention. Une molécule SDN est un éliciteur susceptible de déclencher une série d’évènements biochimiques menant à l’expression de la résistance chez la plante. La perception du signal par des récepteurs membranaires spécifiques et sa transduction par diverses voies de signalisation conduisent à la synthèse et à l’accumulation synchronisée de molécules défensives parmi lesquelles certaines jouent un rôle structural alors que d’autres exercent une fonction antimicrobienne directe. Les barrières structurales contribuent à retarder la progression de l’agent pathogène dans les tissus de la plante et à empêcher la diffusion de substances délétères telles des enzymes de dégradation des parois ou des toxines. Les mécanismes biochimiques incluent, entre autres, la synthèse de protéines de stress et d’inhibiteurs de protéases ainsi que la production de phytoalexines, des métabolites secondaires ayant un fort potentiel antimicrobien. Les progrès remarquables accomplis ces dernières années en termes de compréhension des mécanismes impliqués dans la résistance induite chez les plantes se traduisent aujourd’hui par la commercialisation d’un nombre de plus en plus important de SDN capables de stimuler le « système immunitaire » des plantes en mimant l’effet des agents pathogènes.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
31

Simmen, Bruno, Laurent Tarnaud, Françoise Bayart, Annette Hladik, Anne-Laure Thiberge, Stéphanie Jaspart, Marc Jeanson, and André Marez. "Richesse en métabolites secondaires des forêts de Mayotte et de Madagascar et incidence sur la consommation de feuillage chez deux espèces de lémurs (Eulemur spp.)." Revue d'Écologie (La Terre et La Vie) 60, no. 4 (2005): 297–324. http://dx.doi.org/10.3406/revec.2005.1278.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
32

Dohou, Naima, Khalid Yamni, Najib Gmira, and Lalla Mina Idrissi Hassani. "Etude de polyphénols des feuilles d’une endémique ibéro marocaine, Thymelaea lythroides." Acta Botanica Malacitana 29 (December 1, 2004): 233–39. http://dx.doi.org/10.24310/abm.v29i0.7221.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉ: Etude de polyphénols des feuilles d’une endémique ibéro marocaine, Thymelaea lythroides. Thymelaea lythroides (Thyméléacées) est une endémique ibéro marocaine, largement répandue dans la région du Gharb (forêt de Mamora). Elle fait partie de la panoplie des plantes médicinales et aromatiques du Maroc. En raison du manque d’informations phytochimiques sur l’espèce, des études antérieures ont eu pour objet une recherche de l’activité antifongique de ses extraits et un screening phytochimique. Ce dernier a permis de mettre en évidence la richesse de la plante en différents métabolites secondaires. Aussi, le présent travail se propose d’étudier les polyphénols des feuilles de Thymelaea lythroides et spécialement les aglycones flavoniques et les anthocyanidines. L’étude a démontré l’existence de différentes molécules appartenant à la classe des flavonols, dont le kaempférol, et la quercétine, en plus de deux acides phénols, identifiés comme l’acide caféique et l’acide genticique et deux anthocyanidines : la delphinidine et la cyanidine.Mots clés. Thymelaea lythroides, Thyméléacées, Mamora, polyphénols.ABSTRACT. Study of polyphenols of the leaves of an ibero moroccan endemic, Thymelaea lythroides. Thymelaea lythroides (Thymelaeacees) is an endemic of the region of the Gharb (forest of Mamora). It is part of the panoply of the medicinal and aromatic plants of Morocco. Because of the lack of phytochemical informations on the species, some previous studies had for object a research of the antifungal activity of its extracts and a phytochemical screening. This last permitted to put in evidence the wealth of the plant in different secondary compounds. Thus, the present work intends to study the polyphenols of the leaves of Thymelaea lythroides and specially the flavonics aglycones and the anthocyanidins. The survey demonstrated the existence of different molecules belonging to the class of the flavonols, whose identification revealed the kaempferol and quercetine. In addition to two acidic phenols, identified as the cofeique acid and the genticique acidic and two anthocyanidins, the delphinidine and the cyanidine.Key words. Thymelaea lythroides, Thymelaeacees, Mamora, polyphenols.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
33

Rabot, Sylvie. "Le microbiote intestinal, facteur de vulnérabilité aux troubles anxieux et de l’humeur." Bulletin de l'Académie Vétérinaire de France 176, no. 1 (2023): 189–96. http://dx.doi.org/10.3406/bavf.2023.18276.

Full text
Abstract:
De nombreuses études sur modèles animaux montrent que le microbiote intestinal affecte les réponses émotionnelles au stress. Dans ce contexte, nous avons étudié les effets d’un métabolite produit par le microbiote intestinal à partir du tryptophane, l’indole. Chez des modèles animaux dont nous avons manipulé le microbiote pour qu’il produise ou non de l’indole, nous avons montré que cette molécule intensifie les comportements de type anxieux et dépressif. Son action s’exercerait par une activation du nerf vague et l’imprégnation du cerveau par des dérivés secondaires de l’indole, produits par le foie. Dans une cohorte humaine destinée à étudier les relations nutrition-santé, nous avons montré une association positive entre symptômes dépressifs et production d’indole par le microbiote. Ces travaux illustrent l’importance de prendre en compte les activités métaboliques du microbiote intestinal dans la physiopathologie des troubles anxieux et de l’humeur.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
34

di M’balu Joachim, Umba, Masimango N. Thaddée, and Mvumbi Lelo. "Inhibition du développement de l’Aspergillus flavus par l’acide acétique: Analyse de trois expériences réalisées à Kinshasa- RD Congo." Journal of Animal & Plant Sciences 45, no. 1 (July 31, 2020): 7809–21. http://dx.doi.org/10.35759/janmplsci.v45-1.5.

Full text
Abstract:
L’Aspergillus flavus est un champignon cosmopolite, très répandu dans la nature et susceptible de contaminer plusieurs aliments. C’est un champignon qui fait beaucoup parler de lui depuis qu’on a découvert qu’il secrète de métabolites hautement toxiques, les aflatoxines, cancérigènes et exerçant d’autres effets nuisibles sur la santé des hommes et des animaux. En effet, les aflatoxines sont de métabolites toxiques secondaires biosynthétisés par certaines souches de micromycètes, notamment Aspergillus flavus. (En fait le terme est un moyen mnémotechnique pour dire : toxines d’Aspergillus flavus).Elles sont produites lorsque les champignons se trouvent dans des conditions de forte humidité relative (80-90%) conjointement à une température élevée (20-30°C).Les dégâts imputables aux aflatoxines sont nombreux aussi bien sur le plan de la santé (humaine et animale) que sur l’économie. En considérant que les mycotoxines ne peuvent jamais être complètement absentes ou éliminées des denrées alimentaires, divers moyens de lutte biologique, chimique ou physique empêchant le développement du champignon produisant l’Aspergillus flavus ont été essayés. L’objectif de ce travail est de faire connaître trois expériences de lutte des aflatoxines par l’acide acétique et de comparer si les résultats obtenus avec les extraits de caieux d’Allium sativum et d’écorces racinaires de Diospyros heterosictricha utilisé comme biopesticides pour inhiber la croissance mycélienne d’Aspergillus flavus. Il ressort des analyses que l’acide acétique exerce effectivement un pouvoir inhibiteur à des pourcentages différents sur le développement de l’Aspergillus flavus. La dose minimale efficace varie d’un auteur à un autre même lorsque les essais sont effectués dans de conditions comparables mais surtout en fonction de dilution. La dose minimale efficace d’inhibition d’Aspergillus flavus est située à 400 ppm (0,04%) estiment certains auteurs. Par contre, d’autres pensent qu’elle est comprise entre 0,02 ml à 15 ml. ABSTRACT Aspergillus flavus is a cosmopolitan fungus, widely distributed in nature and capable of contaminating several foods. It is a mushroom that has been talked about a lot since it was discovered that it secretes highly toxic metabolites, the aflatoxins, carcinogens and having other harmful effects on the health of humans and animals. Aflatoxins are secondary toxic Umba et al., 2020 Journal of Animal & Plant Sciences (J.Anim.Plant Sci. ISSN 2071-7024) Vol.45 (1): 7809-7821 https://doi.org/10.35759/JAnmPlSci.v45-1.5 7810 metabolites biosynthesized by certain strains of micromycetes, notably Aspergillus flavus. (In fact the term is a mnemonic means to say: toxins of Aspergillus flavus). They are produced when the mushrooms are in conditions of high relative humidity (80-90%) together with a high temperature (20-30°C). The damage attributable to aflatoxins is numerous both in terms of health (human and animal) and in terms of the economy. Considering that mycotoxins can never be completely absent or eliminated from food, various means of biological, chemical or physical control preventing the development of the fungus producing Aspergillus flavus have been tried. The objective of this work is to make known three experiences of aflatoxin control by acetic acid and to compare if the results obtained with the extracts of cloves of Allium sativum and root barks of Diospyros heterosictricha used as biopesticides to inhibit the mycelial growth of Aspergillus flavus. Analyses show that acetic acid effectively exerts inhibitory power at different percentages on the development of Aspergillus flavus. The minimum effective dose varies from one author to another even when the tests are carried out under comparable conditions but especially according to dilution. The minimum effective inhibition dose of Aspergillus flavus is located at 400 ppm (0.04%) believe some authors. On the other hand, others think that it is between 0.02 ml to 15 ml.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
35

Ghankoba, Maligbeti, Sibiri Soulama, Issa Karama, and Martin Kiendrebeogo. "Teneurs en coumarines du fourrage de Khaya senegalensis (Desr.) A. Juss. en fonction de sa provenance au Burkina Faso." International Journal of Biological and Chemical Sciences 18, no. 1 (May 9, 2024): 303–10. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v18i1.25.

Full text
Abstract:
Le fourrage de Khaya senegalensis (Desr.) A. Juss. csontribue à l’alimentation du bétail au Burkina Faso. Toutefois, il y a peu d’études sur ses métabolites secondaires aux effets à controverse. Le travail a consisté à déterminer les teneurs en coumarines du fourrage de Khaya senegalensis selon sa provenance. A cet effet, des feuilles matures et des jeunes rameaux ont été collectés de dix pieds dont cinq à Dionouna (site 1) et cinq au parc Bangr-weogo (site 2). Les méthodes standard ont servi à la caractérisation des coumarines dans ces organes et à leur localisation dans les feuilles. Le dosage des coumarines a été faite par spectrométrie. Les coumarines ont été détectées dans les feuilles et dans les rameaux puis localisées principalement dans les parenchymes cortical et médullaire de la foliole. Les teneurs en coumarines des feuilles et des rameaux du site 1 ont été comprises entre 19,25 ± 4,85 et 44,60 ± 12,83 µg EC/100 mg. Celles du site 2 ont varié entre16,45 ± 11,17 à 27,99 ± 11,27 µg EC/100 mg. Elles étaient toutes statistiquement similaires indépendamment de l’origine des échantillons. Cependant, ces teneurs élevées de coumarines dans le fourrage de K. senegalensis constituent une limite à sa distribution exclusive aux ruminants. English title: Coumarin content of Khaya senegalensis (Desr.) A. Juss. depending on its origin in Burkina Faso Khaya senegalensis (Desr.) A. Juss. fodder contributes to livestock feed in Burkina Faso. However, thereare few studies on its secondary metabolites with controversial effects. The work consisted in determining the coumarin content of Khaya senegalensis fodder according to its origin. To this end, mature leaves and young twigs were collected from ten feet, including five at Dionouna (site 1) and five at Bangr-weogo park (site 2). Standard methods were used for the characterization of coumarins in these organs and their localization in the leaves. The dosage of coumarins was made by spectrometry. Coumarins were detected in the leaves and in the twigs and then localized mainly in the cortical and medullary parenchyma of the leaflet. The coumarin contents of the leaves and twigs of site 1 were between 19.25 ± 4.85 and 44.60 ± 12.83 µg EC/100 mg. Those of site 2 varied between 16.45 ± 11.17 to 27.99 ± 11.27 µg EC/100 mg. They were all statistically similar regardless of the origin of the samples. However, these high levels of coumarins in the forage of K. senegalensis constitute a limit to its exclusive distribution to ruminants.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
36

Akpo, Jean-Michel Kouassi, Maxime Machioud Sangare-Oumar, Isabelle Teniola Sacramento, Abdoulaye Zibrila Issotina, Felix Fanou Guinnin, and Alban Houngbeme. "Analyse phytochimique des extraits éthanoliques de la variété blanche d’<i>Hibiscus sabdariffa</i> Linn (Malvaceae) et évaluation de toxicité aiguë par voie orale chez des rats Wistar." International Journal of Biological and Chemical Sciences 17, no. 7 (February 22, 2024): 2909–24. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v17i7.24.

Full text
Abstract:
Les populations du centre et du Septentrion du Bénin utilisent les feuilles, les calices et les graines de la variété blanche Hibiscus sabdariffa L. dans l’alimentaire et en pharmacopée pour la prévenir et le traiter diverses maladies. Ce travail visait d’une part à déterminer la composition en métabolites secondaires de ces trois organes sus-mentionnés et d’autre part, à évaluer la toxicité aiguë de leurs extraits. A cet effet une analyse phytochimique basée sur des réactions de coloration et/ou de précipitation a été effectué afin d’identifier quelques composés chimiques qu’ils contiennent. La toxicité aigüe des extraits des organes a été testée par observation durant 14 jours après gavage par une dose unique de 5000 mg/kg pv à des rats Wistar contre des témoins. Les tests phytochimiques révèlent la présence des tanins galliques, des flavonoïdes, des anthocyanes, des leuco-anthocyanes, des mucilages, des composés réducteurs, des anthracéniques combinés dans les trois organes. En ce qui concerne la toxicité, les extraits des trois organes de la plante n’ont pas provoqué de variations significatives des taux d’urée, de l’uricémie des bilirubines, l’Aspartate Aminotransférase (ASAT), l’Alanine Aminotransférase (ASAT) et la Phosphatase Alcaline (PAL) chez rats Wistar (p > 0,05). English title: Phytochemical analysis of Hibiscus sabdariffa Linn (Malvaceae) ethanolic extracts and evaluation of acute oral toxicity in Wistar rats The populations of central and northern Benin use the leaves, chalices and seeds of the white variety Hibiscus sabdariffa L. in food and in pharmacopoeia in the prevention and treatment of various diseases. This work aimed on the one hand to determine the composition in secondary metabolites of these three above-mentioned organs and on the other hand, to evaluate the acute toxicity of their extracts. To this end, phytochemical analysis based on coloring and/or precipitation reactions was carried out in order to identify some chemical compounds they contain. The acute toxicity of the organ extracts was tested by observation for 14 days after gavage with a single dose of 5000 mg/kg bw in Wistar rats against controls. Phytochemical tests reveal the presence of gallic tannins, flavonoids, anthocyanins, leuco-anthocyanins, mucilages, reducing compounds, anthracenics combined in the three organs. With regard to toxicity, the extracts of the three plant organs did not cause significant variations in the levels of urea, uricemia, bilirubins, Aspartate Aminotransferase (AST), Alanine Aminotransferase (AST) and alkaline phosphatase (ALP) in Wistar rats (p > 0.05).
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
37

Akré, Djako Sosthène Thierry, Kan Benjamin Kouamé, Obou Constantin Okou, Daouda Diakité, Jacques Auguste B. A. Ackah, and Allico Joseph Djaman. "Tri phytochimique et activité antibactérienne des extraits hydroacétoniques de Baphia nitida (Fabaceae) sur Shigella spp et E. coli, deux entérobactéries impliquées dans les diarrhées infantiles à Daloa, Côte d’Ivoire." European Scientific Journal, ESJ 19, no. 12 (April 29, 2023): 48. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n12p48.

Full text
Abstract:
Introduction : Dans le but de contribuer à une prise en charge efficiente des diarrhées infantiles et des troubles gastrointestinales, nous avons évalué l’activité antibactérienne des extraits des organes (feuilles tiges et racines) de Baphia nitida, une plante de la pharmacopée ivoirienne. Méthodes : Ainsi, un tri phytochimique des extraits hydroacétoniques d’organes de B. nitida à partir des réactions de précipitations et de colorations suivi des tests de sensibilité antimicrobienne sur Shigella spp et E. coli ATCC 25922 ont été réalisés. Resultats : Les résultats obtenus ont montré que les trois organes de plante étaient riches en polyphénols, flavonoïdes, alcaloïdes et tanins cathéchiques. En plus, les extraits des feuilles de B. nitida ont présenté une plus grande diversité avec d’autres métabolites secondaires qui étaient faiblement représentés. Les extraits de B. nitida se sont revélés bactéricides pour les deux souches testées. Ces actions seraient dose –dépendante avec une inhibition maximale à c = 100 mg/mL. Les extraits des feuilles ont montré une activité antibactérienne plus efficace que les extraits de tiges, eux mêmes plus actifs que les extraits de racines. Conclusion : Les souches d’E. coli testées se sont revelées plus sensibles que celles de Shigella spp pour les trois types d’organes de B. nitida. Les extraits des organes de B. nitida (en particulier les feuilles) pourraient constituer une alternative pour le traitement des diarrhées et une nouvelle source de molécules naturelles antiinfectieuses. Introduction : In order to contribute to an efficient management of infantile diarrhea and gastrointestinal disorders, we evaluated the antibacterial activities of extracts of organs (leaves, stems and roots) of Baphia nitida, a plant of the Ivorian pharmacopoeia. Methods : Thus, a phytochemical screening of hydroacetone extracts of B. nitida organs based on precipitations and staining reactions followed by antimicrobial susceptibility tests on Shigella spp and E. coli ATCC 25922 were performed. Results : The results obtained revealed that the three plant organs were abundant in polyphenols, flavonoids, alkaloids and catechic tannins. In addition, the extracts from the leaves of B. nitida exhibited a greater diversity of other secondary metabolites that were weakly represented. B. nitida extracts were found to be bactericidal for both strains tested. These actions appeared to be dose-dependent with maximum inhibition at c = 100 mg/mL. The leaves extracts showed a more effective antibacterial activity than the stem extracts, which were more effective than the root extracts. Conclusion : The E. coli strains tested were more sensitive than Shigella spp. for all three types of B. nitida organs. The extracts of B. nitida organs (especially the leaves) could be an alternative for the treatment of diarrhoea and a new source of natural antibacterial molecules.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
38

Konan, Seraphin Kouakou, Serge Herve Kimou, Thiegba Kouassi Kouame, Francois Bi Nene, and Abdoulaye Bire. "Évaluation des performances agronomiques et de la teneur en métabolites secondaires de trois variétés d’oignon (<i>Allium cepa L</i>) cultivées en saison sèche et pluvieuse au centre de la Côte d’Ivoire." International Journal of Biological and Chemical Sciences 18, no. 3 (September 4, 2024): 1062–73. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v18i3.27.

Full text
Abstract:
En Côte d’Ivoire, la culture de l’oignon (Allium cepa) est pratiquée principalement au nord du pays pendant la saison sèche pour des raisons climatiques et d’adaptation variétale. La production nationale ne couvre que 5% des besoins de la population, ce qui oblige le pays à importer le reste de sa consommation. Cette étude avait pour objectif de contribuer à l’amélioration de la production de l’oignon en Côte d’Ivoire par l’identification de variétés performantes, adaptées pour la production pluviale ou estivale au centre du pays. Pour ce faire, trois variétés d’oignon dont Violet de Galmi, Ares et Syngenta 8362 ont été expérimentées en saison sèche et pluvieuse au centre du pays sur deux années consécutives. Au cours des essais, les paramètres agronomiques ont été évalués et les analyses phytochimiques ont été réalisées. En saison sèche, les données collectées et analysées ont mis en évidence une bonne performance et adaptabilité des variétés testées. En saison des pluies, l’étude a mis en évidence une meilleure performance et d’adaptabilité de la variété Ares (22 t/ha). L’analyse phytochimique des variétés testées a révélé de forte teneur de polyphénols totaux et de flavonoïdes totaux chez la variété Ares par rapport aux autres variétés, ce qui expliquerait sa résilience aux conditions de culture pluviale. Les conditions pédoclimatiques du centre de la Côte d’Ivoire sont donc favorables à la culture de l’oignon aussi bien en saison sèche qu’en saison des pluies. Les trois variétés testées peuvent être cultivées en saison sèche. Cependant, en saison pluvieuse, seule la variété Ares est recommandée.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
39

Ben Said, Rafik, and Nouha Mathlouthi. "Vers une culture durable de l’algue rouge Gracilaria gracilis en Tunisie." European Scientific Journal, ESJ 20, no. 36 (December 31, 2024): 176. https://doi.org/10.19044/esj.2024.v20n36p176.

Full text
Abstract:
Objectifs : Ce travail a pour objectifs l’étude de l’effet de l’intensité lumineuse et de la photopériode sur la croissance de l’algue rouge Gracilaria gracilis au laboratoire et après transplantation dans la lagune de Bizerte, la détermination du rendement d’agar et l’évaluation de sa qualité. Méthodologie et résultats : Une culture expérimentale au laboratoire a été réalisée sur des boutures ayant un poids initial d’environ1 g, sous différentes intensités lumineuses et photopériodes. Après 10 semaines, les boutures ont été transplantées dans la lagune de Bizerte. Au bout de deux mois, l’extraction de l’agar-agar a été effectuée sur les algues cultivées. Les principaux résultats ont montré que la croissance optimale des boutures cultivées au laboratoire a été obtenue sous l’intensité lumineuse 1500 Lux et la photopériode16 h : 8h (lumière/obscurité) (4,55±1,20g). Après leur transplantation, le poids des touffes d’algues a varié entre150 g et 800 g. Le rendement d’extraction d’agar-agar a fluctué entre 14 % et 15 % du poids sec. La force de gel maximale a atteint 190 g cm-2. Le point de gélification et le point de fusion ont varié entre 38°C et 45 °C et 78°C et 97 °C, respectivement. Conclusion et application des résultats : Les résultats obtenus permettraient l’intensification de la culture des boutures en laboratoire, puis leur transplantation en milieu naturel. Ainsi, les biomasses des algues cultivées peuvent être augmentées, les stocks naturels et la biodiversité y est liée, le tout préservé. En outre, la phycoculture permettrait l’extraction de différents produits d’intérêt, en particulier les phycocolloides, tels que l’agar-agar, les pigments, tels que la R-phycoérythrine et autres métabolites secondaires, etc. De cette façon, une assise d’économie durable à base d’algoculture et qui respecte en même temps l’environnement, pourrait être fondée en Tunisie. Objectives: This study aims at providing information on the effect of light intensity and photoperiod on the growth of the red alga Gracilaria gracilis in the laboratory and after the transplantation in Bizerte lagoon, agar yield, and quality. Methodology and results: A cultivation trial was undertaken on cuttings/fragments (1g each) in the laboratory under different light intensities and photoperiods. After 10 weeks of cultivation period, the cuttings have been transplanted in Bizerte lagoon. After the cultivation period, agar was extracted to evaluate its yield and quality. Results showed that the optimal growth in the laboratory was recorded with 1500 Lux and a photoperiod of 16 h: 8h (Light/dark cycle) (4, 55±1,20g). After transplantation of the cuttings, the weight of seaweeds ranged from 150 g to 800 g after 2 months of cultivation. Agar yield ranged from 14 % to 15 % of dry weight. Gel strength reached 190 g.cm-2. Gelling temperature and melting temperature varied between 38°C and 45°C and 78°C and 97 °C, respectively. Conclusion and application of results: Results obtained may allow the intensification of cuttings cultivation in the laboratory and then after the transplantation in a natural medium to increase the biomass of farmed seaweeds, on the one hand, to avoid the breakdown of wild stocks, and to preserve the biodiversity of the ecosystem, on the other hand. Moreover, seaweed cultivation may allow the extraction of several interesting products, especially the phycocolloids, such as agar-agar, pigments, such as the R-phycoerythrine, and other secondary metabolites. Thus, a sustainable eco-friendly economic seating of seaweed farming could be founded in Tunisia.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
40

Caron, Philippe, Gwenaëlle Gravis, Stéphane Oudard, and Géraldine Pignot. "Gestion des effets secondaires des thérapies ciblées dans le cancer du rein : effets secondaires endocriniens et troubles métaboliques." Bulletin du Cancer 98, no. 3 (October 2011): S47—S59. http://dx.doi.org/10.1684/bdc.2011.1441.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
41

Lapostolle, F., and S. Beaune. "Ecstasy : la deuxième vague…" Annales françaises de médecine d’urgence 11, no. 2 (March 2021): 100–111. http://dx.doi.org/10.3166/afmu-2021-0309.

Full text
Abstract:
La molécule de MDMA (3,4-méthylènedioxyméthamphétamine ou ecstasy) a plus de 100 ans. Sa consommation a explosé dans les années 1990, essentiellement dans un cadre « festif » ou « récréatif ». Elle a ensuite considérablement diminué au début des années 2000 et connaît actuellement un regain d’intérêt certain. Sa consommation a volontiers été considérée comme anodine avant qu’il n’apparaisse clairement qu’elle pouvait provoquer des décès, en l’absence même de « surdose ». Les mécanismes de toxicité sont multiples, complexes et imparfaitement élucidés. L’interaction avec les principaux neuromédiateurs est certaine. L’ecstasy est classée dans les produits empathogènes. Sa consommation vise à favoriser les relations sociales. De nombreux effets secondaires sont possibles. Les conditions de consommation, en ambiance confinée, avec une activité physique soutenue et prolongée favorisent la survenue des effets secondaires. Les effets secondaires bénins sont tolérés et considérés comme étant le « prix à payer » dans la recherche des effets psychogènes. En raison de son tropisme, les principales complications de la consommation d’ecstasy sont psychiatriques et neurologiques, mais aussi cardiovasculaires, respiratoires et métaboliques. Cependant, les formes graves de l’intoxication sont marquées par un tableau d’hyperthermie maligne responsable de complications multiples et pouvant conduire au décès. Tous les auteurs insistent sur la possibilité de complications, de formes graves, voire de décès après la consommation d’une dose unique de MDMA. Il n’y a pas de traitement spécifique. Le traitement symptomatique est au premier plan. Hydratation et sédation sont les clés de ce traitement.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
42

Goeb, J. L., S. Marco, A. Duhamel, G. Kechid, R. Bordet, P. Thomas, P. Delion, and R. Jardri. "Effets secondaires métaboliques de la rispéridone dans les schizophrénies à début précoce." L'Encéphale 36, no. 3 (June 2010): 242–52. http://dx.doi.org/10.1016/j.encep.2009.10.008.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
43

Ziouziou, Imad, Tariq Karmouni, Khalid El khader, Abdellatif Koutani, and Aahmed Iben attya andaloussi. "Complications de l’hormonothérapie anti-androgénique du cancer de la prostate." Canadian Urological Association Journal 8, no. 3-4 (March 11, 2014): 159. http://dx.doi.org/10.5489/cuaj.1608.

Full text
Abstract:
Les effets indésirables de l’hormonothérapie anti-androgénique (HAA) dans le traitement du cancer de la prostate sont attribuables à la carence d’androgènes. L’HAA entraîne le syndrome de castration, qui se caractérise par une diminution de la libido, la dysfonction érectile, l’asthénie, des bouffées de chaleur, la diminution des capacités intellectuelles et la dépression. Il en résulte également une augmentation de la graisse abdominale, ce qui favorise l’insulinorésistance et le diabète. La perte de la densité minérale osseuse secondaire à l’HAA entraîne un risque fracturaire accru. Il existe de plus un risque cardiovasculaire important dû aux facteurs métaboliques. L’effet thérapeutique de l’HAA doit donc être soupesé en regard de la toxicité liée à l’hypogonadisme.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
44

Angoulvant, Denis, and Atul Pathak. "Place des anticorps thérapeutiques dans les maladies cardiovasculaires et métaboliques aujourd’hui." médecine/sciences 35, no. 12 (December 2019): 1014–16. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2019224.

Full text
Abstract:
La place des anticorps thérapeutiques dans les maladies cardiovasculaires et métaboliques est encore modeste en 2019 en comparaison à leur incroyable développement dans d’autres champs pathologiques. Cependant, l’arrivée récente des anticorps anti-PCSK9 (proprotein convertase subtilisin/kexin de type 9) dans l’arsenal thérapeutique va probablement changer la donne. Ces anticorps permettent non seulement d’améliorer la prise en charge des patients porteurs d’hypercholestérolémie familiale mais également de réduire le risque de complications cliniques de l’athérosclérose en prévention secondaire après un infarctus du myocarde, une artériopathie périphérique ou un accident vasculaire cérébral ischémique. D’autres stratégies thérapeutiques sont en cours d’investigation, ciblant notamment des cellules et cytokines impliquées dans les réponses immuno-inflammatoires avec pour objectif de prévenir les complications de l’athérosclérose ou les lésions du myocarde au décours d’un infarctus.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
45

Pichard, Diane, and Ghita Benchekroun. "L’acromégalie chez le chat : une cause fréquente de diabète sucré ?" Le Nouveau Praticien Vétérinaire canine & féline 20, no. 85 (2023): 18–29. http://dx.doi.org/10.1051/npvcafe/2024004.

Full text
Abstract:
L’acromégalie, affection apparemment plus fréquente que ce qui était admis il y a quelques années chez le chat, résulte de la production excessive ou dérégulée d’hormone de croissance. Elle atteint des chats d’âge moyen à âgé, dont la morphologie n’est pas forcément modifiée et typique du phénotype « acromégale ». Elle est très fréquemment à l’origine d’un diabète sucré secondaire, par un ensemble de mécanismes (diminution de la sensibilité tissulaire à l’insuline, interférences signalétiques…). L’acromégalie est un diagnostic différentiel essentiel d’insulinorésistance, parmi d’autres causes métaboliques à considérer lors d’une stabilisation diabétique non satisfaisante. Son diagnostic repose sur une combinaison d’éléments clinique, biologique et d’imagerie médicale de l’encéphale. La détection d’une masse hypophysaire dans un contexte de suspicion clinique et biologique forte permet de confirmer le diagnostic. Dans un contexte de diabète sucré non équilibré et de masse hypophysaire, un hypercorticisme doit être considéré également, bien que la présence d’une fragilité cutanée et d’anomalies électrolytiques (hypokaliémie) soit des éléments essentiels à la suspicion. Les possibilités thérapeutiques à ce jour reposent sur une insulinothérapie palliative (et gestion des autres complications), sur une prise en charge curative par hypophysectomie et/ou radiothérapie externe, ou encore sur des thérapies médicales adjuvantes, favorisant le contrôle, voire la rémission du diabète sucré secondaire.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
46

GÉRARD, Jean, Marie-France THÉVENON, Emmanuel GROUTEL, and Kévin CANDELIER. "Les bois tropicaux dans les ouvrages hydrauliques et les constructions marines." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 360 (June 1, 2024): 3–5. http://dx.doi.org/10.19182/bft2024.360.a37570.

Full text
Abstract:
Les structures en bois utilisées pour des applications en milieux marins sont exposées à des environnements difficiles dans les zones littorales (Tsinker, 1995). Ces bois sont souvent exposés à de sévères conditions de dégradation causées par d’importantes charges mécaniques (poids, vagues, chocs de débris, etc.), par l’abrasion, mais surtout par de nombreux agents biologiques de dégradation du bois (Treu et al., 2019). Que ce soit en contact avec l’eau salée, saumâtre (estuaires, lagunes) ou douce, et en fonction de leur niveau d’immersion, les bois sont soumis à de nombreuses attaques d’agents pathogènes tels que les bactéries, les champignons, les insectes et les térébrants marins (Oevering et al., 2001 ; Cragg et al., 2007 ; Can et Sivrikaya, 2020). Dans les eaux salées ou saumâtres, les mollusques et les crustacés térébrants sont les principaux agents de dégradation des bois utilisés pour les ouvrages immergés (Fouquet, 2009). Malgré sa biodégradabilité, le bois est un matériau d’intérêts pour la construction marine, notamment en raison de son caractère renouvelable, de sa résilience, de son rapport résistance/poids favorable, de sa capacité à absorber les chocs, mais aussi de sa flexibilité en matière de fabrication, de conception et de réparation (Williams et al., 2005). En ce sens, l’utilisation du bois en milieu marin concurrence d’autres matériaux tels que l’acier ou le béton. Par le passé, des traitements chimiques étaient appliqués au bois afin d’obtenir un produit utilisable en classe d’emploi 5 (EN 335, 2013 ; EN 350, 2016), pour le protéger vis-à-vis des attaques biotiques et ainsi prolonger sa durée de vie en environnement marin (photo 1). Cependant, l’impact négatif de ces types de traitements biocides à base de créosote ou de CCA sur la santé humaine et l’environnement, en raison des risques de lixiviation des produits actifs (Mercer et Frostick, 2012, Martin et al., 2021), a conduit à leur interdiction en Europe et leur forte restriction aux États-Unis d’Amérique depuis 2003[1], [2]. Dès lors, de nombreux travaux de recherche se sont portés sur des solutions de traitements alternatives à base de cuivre alcalin quartenaire (ACQ-based preservative) (Hellkamp, 2012 ; Humar et al., 2013), de 1,3-diméthylol 4,5- dihydroxy éthylène urée (DMDHEU), de résine de mélamine méthylée (MMF), d’anhydride acétique, de résine phénolique à base de formaldéhyde (PF) ou encore d’alcool furfurylique (Klüppel et al., 2014; Westin et al., 2016, Galore et al., 2023). Cependant, les technologies de modification du bois actuellement disponibles concernent essentiellement des produits de niche qui ont un coût important, ce qui limite leur utilisation à des produits de plus grande valeur ajoutée (Treu et al., 2019). À l’heure actuelle, aucun produit de préservation du bois n'est approuvé en Europe pour les applications marines. Les nouvelles méthodes de protection du bois doivent répondre à la fois aux exigences d'efficacité contre les organismes de dégradation du bois, mais aussi à l’absence d'effets secondaires nocifs pour les organismes non ciblés. Certaines essences tropicales sont traditionnellement utilisées dans les travaux portuaires en régions tropicales et/ou tempérées, car considérées comme résistantes aux térébrants marins, couvrant naturellement la classe d’emploi 5 (bois immergés dans l'eau salée, eau de mer ou eau saumâtre, de manière régulière ou permanente) : angelim vermelho, azobé, greenheart, okan, wallaba[3]… Cependant, les marchés de certaines de ces essences les plus couramment utilisées (azobé, okan, greenheart) apparaissent de plus en plus en tension avec une irrégularité des approvisionnements qui incitent les entreprises spécialisées dans les travaux portuaires à se tourner vers de nouvelles essences (photo 2) avec des propriétés au moins équivalentes. Les essences de bois tropicales moins connues sont difficiles à commercialiser en raison du manque de données issues d'essais fiables sur leurs performances, en particulier sur leur durabilité naturelle. Pour ces nouvelles essences, la résistance aux térébrants marins doit être aujourd’hui validée en laboratoire ou par des expérimentations en conditions réelles d’utilisation, dans le but de contribuer positivement à l'utilisation des bois tropicaux dans les structures marines (photo 3). Par ailleurs, on observe une évolution des attaques des térébrants marins sur les bois, celles-ci « migrant » vers le nord en relation avec une tendance au réchauffement des eaux marines et un élargissement de l’aire naturelle de répartition de ces térébrants (lien supposé avec le réchauffement climatique, Zarzyczny et al., 2023) (figure 1). Cette évolution impacte le comportement des bois classiquement utilisés en milieu marin, certaines essences réputées très durables s’avérant moins résistantes que d’autres jusqu’à présent délaissées pour ce type d’usage (Palanti et al., 2015 ; Williams et al., 2018). Les connaissances actuelles sur la résistance des bois aux attaques des agents biologiques de détérioration en milieu marin sont donc partiellement remises en question. Cette résistance naturelle est supposée être liée aux caractéristiques suivantes (Gérard et Groutel, 2020) : (1) grain fin à très fin couplé à une densité élevée ; (2) taux de silice élevé ; (3) présence dans le bois de composés chimiques répulsifs (= métabolites secondaires). En effet, les bois utilisables pour des ouvrages hydrauliques en milieu marin présentent pour la plupart une densité moyenne supérieure à 0,75, cette densité moyenne étant le plus souvent supérieure à 0,85 (figure 2). Il est encore aujourd’hui nécessaire, (i) de mieux comprendre comment et pourquoi les xylophages marins attaquent le bois, et (ii) de se concentrer davantage sur les différentes espèces d'organismes xylophages et sur leur mode d'action en fonction de la nature des différents bois testés. La mise en place de sites d'essais, permanents et temporaires, permettrait de surveiller l'abondance et la répartition des espèces et l'évolution des risques liés pour les matériaux bois. Photo 1. Ponton abrité, réalisé avec des poteaux en pin radiata (Pinus insignis) traités au CCA (Chromated Copper Arsenate), à Nouméa, Nouvelle Calédonie. Photo K. Candelier. Photo 2. Bois tropicaux testés en milieu marin, depuis 1999 et conformément à la norme EN 275 (1992), sur le site de la station de recherche marine de Kristineberg en Suède (Westin et Brelid, 2022). Photo M. Westin et P. L. Brelid. Photo 3. Utilisation de bois tropicaux en ouvrage hydraulique : pose d’une porte d’écluse en Azobé. Photo Entreprise Wijma (Deventer, Pays-Bas), extrait Gérard et Groutel (2020). Figure 1. Zones géographiques où la « tropicalisation » a été identifiée. La flèche rouge vers le haut indique une augmentation des espèces marines tropicales et la flèche bleue vers le bas une réduction des espèces tempérées (Zarzyczny et al., 2023). Figure 2. Répartition des densités des principaux bois commerciaux couvrant naturellement la classe d’emploi 5 (bois immergés dans l’eau salée de manière régulière ou permanente), source : Tropix (Gérard et Groutel, 2020). [1] Journal officiel de l'Union européenne, Directive 2003/2/EC du 6 janvier 2003, Clause (3). [2] Agence américaine pour la protection de l'environnement, https://www.epa.gov/ingredients-used-pesticide-products/chromated-arsenicals-cca, consulté le 2 octobre 2024. [3] Respectivement Dinizia excelsa, Lophira alata, Chlorocardium rodiei, Cylicodiscus gabunensis, Eperua spp.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
47

Mbosso Teinkela, Jean Emmanuel, Thierry Fokou Nzodjou, Edwige Laure Nguemfo, Jules Clement Nguedia Assob, and Xavier Siwe Noundou. "Screening phytochimique et étude de la toxicité aigüe et subaigüe de l’extrait ethanolique des écorces du tronc de Canarium schweinfurthii Engl. (Burseraceae) chez le rat." Journal of Applied Biosciences 174 (June 30, 2022): 18043–55. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.174.4.

Full text
Abstract:
Objectif : Déterminer les classes de métabolites secondaires et le profil toxicologique de l’extrait des écorces du tronc de Canarium schweinfurthii Engl. sur des rats afin de s’assurer de son innocuité. Méthodologie et Résultats : L’extrait a subi un screening phytochimique selon la méthode de Harbone (1973) et Sofowora (1993). L’essai de toxicité aiguë a été mené sur des rats femelles de Mus musculus à la dose 2000 mg/kg sur une période de 14 jours. L’essai de toxicité subaiguë a été réalisé sur une période de 28 jours, avec 4 lots de 6 rats (3 mâles et 3 femelles albinos de la souche Wistar). Le lot I a reçu 10 ml/kg d’eau distillée et les lots II, III et IV l’extrait aux doses 200, 400 et 800 mg/kg respectivement. Le screening phytochimique a révélé la présence les polyphénols, les flavonoïdes, les coumarines et les alcaloïdes et l’absence des saponines et stéroides. L’administration à dose unique de l’extrait n’a entrainé aucun décès. La DL50 de l’extrait est donc supérieure à 2000 mg/kg. À doses répétées pendant 28 jours, l’extrait a contribué à une croissance pondérale non significative chez les rats mâles et femelles à toutes les la doses. En outre, Le taux d’aspartate aminotransférase (ALAT) a été significativement (P < 0,05) élevé chez les rats qui ont reçu l’extrait de Canarium schweinfurthii à la dose de 800 mg/kg de poids corporel mais dans l’ensemble les paramètres biochimiques et les coupes histologiques n’ont pas montré de variations significatives comparées aux contrôles. 18043 Teinkela et al., J. Appl. Biosci. Vol: 174, 2022 Screening phytochimique et étude de la toxicité aigüe et subaigüe de l’extr ait ethanolique des écorces du tronc de Canarium schweinfurthii Engl. (Burseraceae) chez le rat Conclusion et Application des résultats : L’extrait éthanolique des écorces du tronc de Canarium schweinfurthii possèderait une innocuité acceptable et pourraient en conséquence continuer d’être utilisés dans la pharmacopée traditionnelle pour soigner la toux, les problèmes de l’estomac et l’hypertension sans risque d’endommager la santé, sous réserves d’études biologiques. Il pourrait en définitive être favorable à la production d’un médicament traditionnel amélioré afin d’être mis à la disposition des populations locales, après les tests précliniques et cliniques. Mots clés : Canarium schweinfurthii, toxicité, Screening phytochimique, rats. ABSTRACT Phytochemical screening and study of in vivo oral acute and sub-acute of ethanolic extract of Canarium schweinfurthii Engl. (Burseraceae) stem bark in rat Objective: To determine the classes of secondary metabolites and the toxicological profile of the extract of the stem bark of Canarium schweinfurthii Engl. on rats to ensure its safety. Methodology and Results: The extract underwent a phytochemical screening according to the method of Harbone (1973) and Sofowora (1993). While the acute toxicity test was conducted on female Mus musculus rats at a dose of 2000 mg / kg for 14 days. The subacute test was conducted over a period of 28 days, with 4 batches of 6 rats (3 male and 3 female albino Wistar rats). Batch I received 10 ml / kg of distilled water and batches II, III and IV the extract at doses 200, 400 and 800 mg/kg, respectively. The phytochemical screening revealed the presence of polyphenols, flavonoids, coumarins and alkaloids and the absence of saponins and steroids. Single dose administration of the extract did not result in any deaths. The LD50 of the extract is thus higher than 2000 mg / kg. At repeated doses for 28 days, the extract contributed to non-significant weight growth in rats at all dose levels in both male and female rats. In addition, ALT level was significantly (P < 0.05) elevated in rats that received Canarium schweinfurthii extract at the dose of 800 mg/kg body weight but in general the biochemical parameters and histological sections did not show significant changes compared to controls. Conclusion and Application of results: The findings of this study suggest that the ethanolic extract of the stem bark of Canarium schweinfurthii is safe at the tested doses and could therefore continue to be used in the traditional pharmacopoeia to treat coughs, stomach problems and hypertension without risk of damaging health. However, further biological studies are needed to accurately conclude. It could ultimately be favourable for the development of an improved traditional medicine in order to be made available to local populations, after the preclinical and clinical tests are carried out. Keywords: Canarium schweinfurthii, toxicity, phytochemical screening, rats.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
48

Saravane, D. "Troubles mentaux et mortalité." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S7. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.029.

Full text
Abstract:
Depuis de nombreuses années, la santé physique des patients atteints d’une pathologie mentale a été négligée. Des études s’accordent pour conclure à une surmortalité et une comorbidité importantes chez ces patients. Le taux de mortalité (toutes causes confondues) est 4,5 fois plus élevé que pour la population générale. Ainsi un patient schizophrène a une espérance de vie diminuée de 20 % par rapport à la population générale. Les principales causes de décès sont les maladies cardiovasculaires. D’autres études ont mis en évidence des anomalies métaboliques telles que le diabète, les troubles lipidiques qui tendent à favoriser les maladies cardiovasculaires. Cette augmentation de la mortalité s’explique par des causes multifactorielles : environnement défavorable, conditions socioéconomiques précaires, conduites addictives, mauvaise hygiène alimentaire sans oublier les effets secondaires de certains traitements psychotropes. Rendre plus accessible la prévention, le dépistage, lutter contre les facteurs de risque, réaliser de façon systématique des évaluations somatiques et biologiques, et permettre à ces patients de bénéficier des mêmes stratégies de soins que celles proposées à l’ensemble de la population, constituent des priorités que nous devons intégrer à nos pratiques. Des recommandations viennent aider à cette évaluation et le suivi et permettent une alliance collaborative entre psychiatres et somaticiens.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
49

Schmidt, J., P. Duhaut, A. Smail, D. Chatelain, L. Le Page, J. Desblache, S. Bosshard, J. C. Piette, H. Pellet, and J. P. Ducroix. "Effets secondaires métaboliques de la corticothérapie au long cours dans la maladie de Horton : étude multicentrique en double cohorte GRACG." La Revue de Médecine Interne 30 (December 2009): S335—S336. http://dx.doi.org/10.1016/j.revmed.2009.10.036.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
50

Rania, Rania, and Et Al. "Le diabète au cours de l’infection par le VIH: a propos de 22cas." Revue Malienne d'Infectiologie et de Microbiologie 16, no. 3 (January 12, 2022): 79–82. http://dx.doi.org/10.53597/remim.v16i3.2036.

Full text
Abstract:
Objectif : décrire le profil épidémio-clinique des patients diabétique séropositifs au VIH. Matériels et méthodes : Etude rétrospective entre janvier 2007 et novembre 2020 de 22 patients ayant une association VIH-diabète et suivi au service des maladies infectieuses au CHU Mohamed VI Marrakech. Résultats : Sur 22 patients ayant une association VIH-diabète : L’âge moyen était de 45,1ans [31-70ans], Le diabète a été diagnostiqué avant l’infection à VIH dans72.7 % des cas, en même temps que l’infection à VIH dans9.09 % des cas, et au cours de suivi de l’infection à VIH dans 18.18 % des cas. Les signes cliniques chez les patients où le diagnostic du diabète au début ou au cours de suivi de l’infection à VIH étaient : L’asthénie dans 33.3 % des cas, l’amaigrissement dans 16.66 % des cas, et 50 % des patients étaient asymptomatiques. Les glycémies moyennes des patients variaient entre 1.58 et 3.86 g/l. Les patients dont la découverte du diabète a été faite durant le suivi de l’infection à VIH étaient tous sous association de deux inhibiteurs nucléotidiques de la transcriptase inverse (INTI) avec un inhibiteur non nucléotidique de la transcriptase inverse (INNTI) dans 75% des cas ou à un inhibiteur de la protéase (IP) dans 25% des cas. Conclusion : L’infection à VIH peut jouer un rôle dans l’augmentation du nombre de personnes souffrant de diabète, ou au moins de tolérance altérée au glucose, en raison des effets secondaires liés à certains antirétroviraux (ARV). Par conséquent, il faut choisir les ARV les moins toxiques et dépister tôt les anomalies métaboliques. La prise en charge devrait être multidisciplinaire.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography