Academic literature on the topic 'Métaphysique – Métaphysique'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the lists of relevant articles, books, theses, conference reports, and other scholarly sources on the topic 'Métaphysique – Métaphysique.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Journal articles on the topic "Métaphysique – Métaphysique"

1

Cantin-Brault, Antoine. "La métaphysique d’Héraclite." Articles spéciaux 71, no. 2 (March 8, 2016): 201–17. http://dx.doi.org/10.7202/1035558ar.

Full text
Abstract:
Après avoir établi le bien-fondé de la constitution onto-proto-logique de la métaphysique, trouvée dans les travaux de B. Mabille, cette constitution qui montre que la métaphysique est assurément onto-théo-logique mais aussi mé-onto-logique, l’article veut montrer que cette métaphysique est tout entière déjà présente dans la pensée d’Héraclite. Si les métaphysiciens comme Hegel et Heidegger ont plutôt eu tendance à s’installer dans une de ces deux pulsations métaphysiques (la pulsation thétique de l’onto-théo-logie ou la pulsation arsique de la mé-onto-logie) en récusant l’autre, Héraclite est peut-être le seul à les scander toutes les deux. L’article cherche donc, à partir d’un élargissement de la constitution heideggérienne de la métaphysique, à montrer quels sont les fragments de l’Obscur qui permettent d’y voir précisément cette métaphysique nouvellement constituée comme onto-proto-logie, et suggérer l’importance d’un contact avec Héraclite pour comprendre la métaphysique en son ensemble et son histoire.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Cantin-Brault, Antoine. "Le Logos héraclitéen : l’obscurité de l’ambivalence entre détermination et indétermination." Articles spéciaux 68, no. 2 (January 8, 2013): 359–78. http://dx.doi.org/10.7202/1013426ar.

Full text
Abstract:
Résumé C’est un lieu commun de dire d’Héraclite qu’il est obscur, mais d’où vient précisément cette obscurité ? Libérant la métaphysique à partir d’une constitution entendue comme onto-proto-logie, l’obscurité d’Héraclite semble participer à la fois d’une métaphysique déterminante qui cherche à dire l’étant suprême en un Logos totalisant, et d’une métaphysique indéterminante ne voulant que signifier le principe qui se situe au-delà de l’étant. Ces deux tendances sont illustrées par Hegel et Heidegger, en leurs interprétations respectives d’Héraclite ; chacun énonce quelque chose de vrai, sans faire taire l’autre. Héraclite se découvre ainsi au carrefour de perspectives métaphysiques qui se préciseront plus tard, que son obscurité lui permet d’anticiper toutes deux.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Slama, Paul. "Nietzsche et la métaphysique. Sur les racines non métaphysiques des concepts de la métaphysique." Études Germaniques 291, no. 3 (2018): 357. http://dx.doi.org/10.3917/eger.291.0357.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Kopacz, André. "Otto Von Guericke, physicien et métaphysicien." Varia 45, no. 1 (June 14, 2018): 59–72. http://dx.doi.org/10.7202/1048615ar.

Full text
Abstract:
L’article se propose de montrer avec le nom d’Otto Von Guericke que, contrairement à la lecture heideggérienne de l’histoire de la philosophie, la métaphysique n’a jamais cessé de penser l’être en tant qu’être. En fait, elle a sondé l’être et la différence ontologique avec beaucoup plus d’acuité et de profondeur que l’heideggerianisme. L’intention revient à montrer l’actualité de la métaphysique et de ses concepts lorsque l’on évoque la problématique de l’ontologie fondamentale. Avant d’être un physicien reconnu en son temps, Von Guericke était un métaphysicien. Ce sont ses préoccupations métaphysiques qui l’ont amené sur la voie de l’expérimentation physique, et non l’inverse.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Latour, Bruno, and Carolina Marinda. "À métaphysique, métaphysique et demie." Les Temps Modernes 682, no. 1 (2015): 72. http://dx.doi.org/10.3917/ltm.682.0072.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Conche, Marcel. "Métaphysique." L’enseignement philosophique 60e Année, no. 4 (April 1, 2010): 3–18. http://dx.doi.org/10.3917/eph.604.0003.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Lambinet, Julien. "Métaphysique de finitude et métaphysique créaturelle." Laval théologique et philosophique 75, no. 2 (2019): 239. http://dx.doi.org/10.7202/1070837ar.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

GÉRARD, Gilbert. "Métaphysique chrétienne? Une introduction à la métaphysique." Revue Philosophique de Louvain 99, no. 3 (August 1, 2001): 470–75. http://dx.doi.org/10.2143/rpl.99.3.649.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Reynié, Dominique. "L'Horizon métaphysique." Hermès 10, no. 1 (1992): 203. http://dx.doi.org/10.4267/2042/15395.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Raynaud, Philippe. "Forêt métaphysique." Commentaire Numéro 110, no. 2 (June 1, 2005): 510–11. http://dx.doi.org/10.3917/comm.110.0510.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
More sources

Dissertations / Theses on the topic "Métaphysique – Métaphysique"

1

Jo, Hyun Soo. "Durée et métaphysique : la conception bergsonienne de la métaphysique." Strasbourg 2, 2006. https://publication-theses.unistra.fr/public/theses_doctorat/2006/JO_Hyun_Soo_2006.pdf.

Full text
Abstract:
Ma thèse a pour objet d’examiner comment Bergson comprend la tâche de la métaphysique. Selon lui, la science positive se détourne systèmatiquement du temps : sa « positivité » est possible quand elle spatialise tout ce qu’elle considère. Donc Bergson attribue à la métaphysique la tâche de restituer le temps à la réalité et de voir toutes choses sub specie durationis. « Durée » est le concept qu’il a créé pour décrire comment la réalité se voit sub specie durationis. La supériorité que Bergson accorde à la métaphysique par rapport à la science positive vient de ce que le temps est l’étoffe vraie de la réalité, dont les manifestations superficielles seules font l’effet de constituer les propriétés de l’espace qui seuls sont à la portée de la science positive. La conception bergsonienne de la métaphysique vient donc de sa conception de la relation entre le temps et l’espace : selon lui, l’espace est la limite idéale vers laquelle la détente de la tension constitutive de la durée du temps tend sans pourtant jamais y arriver complètement. C’est avec cette conception originale qu’il a du temps et de l’espace que Bergson se confronte avec la théorie de la Relativité. La philosophie de Bergson est-elle conciliable avec la théorie de la Relativité ?
The principle aim of my work is to examine what is the mission that Bergson attribute to the metaphysics. According to Bergson, the positive science eliminate systematically the effets of the time from the world : its « positivity » comes from that it spatialize all that it touche. So Bergson attribue to the metaphysics the mission of restoring the time to the reality and of seeing all things sub specie durationis. « Duration » is the concept that Bergon has created for describing the radical changement that this restoration of the time to the world bring to our vision of the world. Bergson admit that the metaphysics is superior to the positive science because, according to him, it is the time that is the reel fabric of the reality and the properties of the space that are within the reach of the positive science are the manifestations superficiels of the time. So Bergson’s conception of the metaphysics comes from his conception of the relation between the time and the space. With his own conception of the time and of the space, Bergson tries to criticize Einstein’s conception of them. Is Bergson’s philosophy conciliable with the theory of the Relativity ?
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Ajerar, Hassane. "Nihilisme et métaphysique." Rouen, 1989. http://www.theses.fr/1989ROUEL072.

Full text
Abstract:
Le spectacle du monde d'aujourd'hui, vide de valeurs et où les signes codés des médias remplacent de plus en plus une communication vivante, contrôle les pires appréhensions des penseurs de la crise de l'Occident, Schopenhauer ou Nietzsche, ou Heidegger. L'expérience nihiliste se caractérise à la fois par le refus d'entreprendre et par le refus d’espérance. N'est-il pas possible de contredire ce rien mondain en y lisant la négation qui, dans la pensée plotinienne, renverse les apparences et nous projette vers l'absolu? La première partie de la thèse s'efforce d'analyser le ressort de l'apophase comme moyen d'approche métaphysique et d'élucider les problèmes qui s'y rattachent, création ex nihilo, déité abstraite ou personnalité, etc. . . Peu à peu l'apophase apparait comme l'ossature commune des trois religions abrahamiques, le lien positif de la tradition occidentale. Mais en même temps la nécessité d'une démarche descendante, la cataphase, s'affirme. La deuxième partie montre que les prophètes ont incarne cette démarche. L'auteur se refuse lui-même à tout prophétisme et à tout programme. Il vise à élucider les conditions d'une restauration des valeurs
Watching the world as it appears nowdays, without anything valuable worth mentioning, a world in which the coded signs of the media have been increasingly taking over from genuine pessimistic apprehensions of the analysts of the crisis in the western world, namely Schopenhauer, Nietzsche, or else Heidegger. The nihilistic experience consists both in refusing to undertake anything an rejecting any hope whatsoever. Couldn't we possibly refute such mundane nil by finding out in it the negative attitude that, in plotin's outlook, will discupt appearences, so thrusting us toward the absolute. The former part of the thesis tries to analyse the spirit of apophasis as a means of metaphysical approach, thus clearing up the problems connected withe it, say ex nihilo creation, abstract deity er personality, to mention, but some of them. Gradually, apophasis appears as the very framework common to the three abrahamic religions, the effective link within western tradition. Yet together with that, a downward process, cataphasis, beomes a must. The latter part shows that prophets have embodied the process. The author himself rejects any form of prophesizing or programming. What he aims at is settling the conditions for a restoration of values
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Paillat, Sylvie. "Métaphysique du rire." Rennes 1, 2011. http://www.theses.fr/2011REN1PH02.

Full text
Abstract:
L’objet de cette thèse porte sur l’analyse des rapports entre la philosophie et le rire. Il s’agit tout d’abord d’envisager le rejet du rire par la rationalité occidentale. Prenant principalement en considération son histoire, on montre pourquoi et comment l’avènement de la métaphysique dans la Grèce Antique s’est constituée sur le modèle tragi-mélancolique en excluant de sa démarche le rire inextinguible des dieux de la mythologie. Dès lors associé à l’ignorance, aux éléments corporels les plus bas, à la méchanceté, le rire fait l’objet d’une stricte condamnation, notamment dans les monastères à l’époque médiévale où on l’interprète comme étant la manifestation du diable en l’homme. Loin de souscrire à une telle condamnation, on veut par ce travail réhabiliter le rire dans le discours philosophique en montrant d’une part qu’il joue un rôle critique majeur dans la réflexion permettant de ne jamais tomber dans le travers dogmatique d’une pensée qui se prendrait au sérieux d’elle-même. D’autre part, il est aussi la manifestation de l’être, la conscience de sa finitude et finalement la possibilité d’accepter par une distanciation suprême la comédie de l’existence et de la pensée philosophique. D’où l’élaboration d’une métaphysique du rire
This thesis analyses the connections between philosophy and laughter. It, first of all, views the rejection of laughter by Western rationality. Basically taking into account the history of Western rationality, we study why and how metaphysics, which originated in Ancient Greece, developed upon the tragic-melancholy model, excluding from its building process the inextinguishable laughter of the gods of mythology. Then, laughter, connected with ignorance, with the lowest body elements and with wickedness, is fully condemned, notably in the monasteries of medieval times in which it is regarded as the expression of the devil in man. For from subscribing to such a condemnation, this research work proposes to rehabilitate laughter in the philosophical discourse, first showing its key critical role in the reflection, thus preventing the thought from falling into dogmatism and taking itself seriously. Secondly, laughter also is the expression of the being, the awareness of its finiteness and, ultimately, is the possibility of accepting the comedy of existence and the philosophical thought, by means of supreme distance. Hence, this elaboration of the metaphysics of laughter
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Schmitt, Eric-Emmanuel. "Diderot et la métaphysique." Paris 4, 1987. http://www.theses.fr/1987PA040220.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Bardout, Jean-Christophe. "Malebranche et la métaphysique." Paris 4, 1996. http://www.theses.fr/1996PA040237.

Full text
Abstract:
Ce travail se propose d'interroger le concept malebranchiste de métaphysique. En effet, les études malebranchistes n'ont que fort rarement insisté sur cette notion centrale pour la compréhension de la philosophie de l'oratorien. Nous montrons que la vision en Dieu des idées constitue une thèse métaphysique par excellence. Par elle il apparait que l'être est "soumis" à l'idée: telle nous semble être la version malebranchiste de ce que nous considérons comme son ontologie. Nous montrons en outre que la totalité du système est déterminée par cette décision métaphysique fondatrice: l'ensemble de la pensée de Malebranche relève d'une fondation métaphysique. Le paradigme métaphysique d'intelligibilité investit l'ensemble des philosophèmes abordés. Apres avoir élucidé le sens malebranchiste de l'être comme essence soumise à la représentation dans l'idée, nous examinons les différents domaines du savoir pour établir le primat épistémique de la métaphysique. Action divine dans le monde, sciences de la nature, morale et vérités religieuses relèvent toutes, a des titres divers d'une fondation en la métaphysique. Nous tentons de décrire la nature du rationalisme malebranchiste ainsi dégagée
This work tries to describe Malebranche's conception of metaphysics. In spite of the rarity of the word "metaphysique" in the works of Malebranche, we tempt to show that metaphysics takes a great place up in his philosophy. First of all metaphysics becomes the science of idea and of its object. The vision in god seems to be a metaphysical thesis because being is understood through the representative idea "seen in good". We show that all the ways of knowing depend on a representative paradigm. The idea involves the abstraction of knowledge which characterizes metaphysics. These points allow us to underline Malebranche's ontological decisions. In the second place we try to demonstrate that Malebranche's use of metaphysics makes possible to explain the structure of his philosophy. Physics, ethics and the theory of religion depend on metaphysics
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Cattin, Emmanuel. "Transformations de la métaphysique." Paris 1, 1996. http://www.theses.fr/1996PA010553.

Full text
Abstract:
Sous le nom de philosophie transcendantale, le jeune schelling hérite de la détermination kantienne de la métaphysique comme science ou système. A la faveur de la brèche kantienne, ses premiers essais travaillent à fonder le concept et la tache de l'idéalisme transcendantal : il s'agit, parallèlement a la doctrine de la science de Fichte, d'accomplir le programme kantien, reste inachevé, et de "répliquer" a l'éthique de Spinoza, paradigme du dogmatisme conséquent. La philosophie transcendantale se propose de réfléchir l'auto exposition de l'absolu dans sa propre constitution systématique. Elle atteindra son point culminant avec le système de l'idéalisme transcendantal de 1800, ou l'œuvre d'art viendra lui représenter l'exposition parfaite de l'absolu et figurer, du même coup, son propre avenir poétique ou mythologique. L'exposition de mon système de la philosophie de 1801 met fin à l'époque transcendantale de la philosophie de schelling et résout, dans une économie nouvelle pour toute la métaphysique, les tensions et l'instabilité qui marquaient le rapport de la philosophie transcendantale a son autre, la philosophie de la nature
With the transcendental philosophy, Schelling inherits the Kantian determination of metaphysics as a science or a system. His first essays work towards the foundation of transcendental idealism in its distinctive concept and task, completing the Kantian programme and replying to the ethics of Spinoza. The transcendental philosophy endeavours to reflect in tis own systematic exposition the self-exposition of the absolute. It reaches its climax with the system of transcendental idealism (1800) : the work of art represents the perfect exposition of the absolute and, for the philosophical system, its own poetical or mythological future. The exposition of my system of philosophy (1801) puts an end to the transcendental era of schelling's metaphysics and to the tension between the transcendental philosophy and the philosophy of nature
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Brun, Jean-Marie. "L'exigence métaphysique de Boèce." Paris 4, 1989. http://www.theses.fr/1989PA040061.

Full text
Abstract:
A la lumière de Saint Thomas, analyse et commentaire du traité philosophique et théologique : "des deux natures et de la personne du christ", écrit vers 520, pour réfuter l'erreur de Nestorius et celle d'Eutychès. Les concepts de "nature", "substance", "subsistance", sont étudiés en vue de définir la personne comme : "substance individuelle de nature rationnelle". Ne disposant pas du dogme de l'immaculée conception", Boèce met en place un raisonnement original pour définir la nature humaine du christ. Le verbe, pour sauver les hommes, assume la nature humaine; il donne à celle-ci des accidents universels pris dans les trois états intelligibles d’Adam : avant le péché originel (domination de la raison) après le péché originel (présence de la mort), dans la situation "utopique" où Adam n'aurait pas péché (absence de volonté de pécher). La conclusion de la thèse traite de la catégorie de la "relation", dite de la personne; elle établit une comparaison entre la définition de la personne et la personne de Boèce
Through what st Thomas brought to light that work is an analyze and commentary of a philosophical and theological treatise called: «liber de persona et duabus naturis ", written by Boethius, nearly in year 520 to refute Nestorius and Eutyches mistake. What is done is an essay about concepts of "nature" "substance" "subsistence" that is to define the notion of person as: "naturae rationalis individua substantia". Not knowing the dogma of "immaculate conception" Boethius sets up an original thought to define Christ’s human nature. The word to save human's being assumes human nature. He gives to it universal accidents found in the Adam’s three intelligible 's ways : before the first fault (domination of reason), after the first fault (acting death), during the utopian position where Adam would not have sinned (he had not the willing to sin). Conclusion arguments about the category of "relation" called "one of the person". It sets a parallelism between the definition of the person and Boethius' person
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Lemaire, Eric. "Wittgenstein et la métaphysique." Paris 7, 2009. http://www.theses.fr/2009PA070081.

Full text
Abstract:
Le second Wittgenstein fut l'un des penseurs les plus importants dans l'histoire de la philosophie analytique. Il est connu, notamment, pour sa conception provocante de la philosophie au coeur de la laquelle se trouve l'idée que les propositions métaphysiques - et plus généralement philosophiques - sont dépourvues de sens. Ainsi comprise, la philosophie a pour principal objectif d'éliminer les propositions métaphysiques, en montrant que les problèmes auxquels elles tentent de répondre ne sont que des pseudo problèmes. De nombreux commentateurs de Wittgenstein estiment non seulement que cette conception de la philosophie concerne toute forme de métaphysique mais qu'elle est vraie. Dans le même temps, au sein de la tradition analytique, nous assistons à un renouveau de la métaphysique. Ce contexte historique soulève une question : Le second Wittgenstein a-t-il réellement montré que la métaphysique est illégitime ? Notre principal objectif est de montrer que ce n'est pas le cas. Au contraire, le second Wittgenstein peut être compris comme un métaphysicien du sens commun, comme un philosophe qui nous donne des outils, des idées et une méthode pour repenser l'entreprise métaphysique et défendre sa légitimité
The second Wittgenstein was one of the most important thinkers in the history of analytic philosophy. He is known for his provocative conception of philosophy according to which metaphysical propositions - and more generally philosophical propositions - are nonsensical. Thus understood, the main task of philosophy is to eliminate these propositions and to show that metaphysical problems are pseudo-problems. Many commentators of the second Wittgenstein's works assume that this conception affects any form of metaphysics and that he showed the illegitimacy of any metaphysics. In the meanwhile metaphysics renewed in the analytic tradition. In such a context a question raises: Did the second Wittgenstein really undermine the legitimacy of metaphysics? Our main aim here is to show that he did not. On the contrary, the second Wittgenstein can be understood as a common sense metaphysician, that is as a philosopher who gives us tools, ideas, and a method to rethink the metaphysical enterprise. Hence, he does offer us means to defend the legitimacy of metaphysics
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Fleury, Cynthia. "La métaphysique de l'imagination." Paris 4, 2000. http://www.theses.fr/2000PA040038.

Full text
Abstract:
L'imagination est-elle une faculté créatrice donnant naissance à un monde réel et non à un monde irréel ? Quelle est la nature de ce monde auquel l'imagination donne accès ? Est-il un monde intelligible, un monde sensible ou un monde imaginal, soit un intermonde des formes imaginales ? En quoi cette intermédiarité peut-elle être la véritable modalité du réel ? En quoi permet-elle d'accéder à l'autre du réel ? En nous référant aux philosophies orientales (ne témoignant pas d'un orient géographique, mais proprement noétique, signifiant le lever de l'âme à son orient) de Sohrawardi, d'Ibn Arabi, de Molla Sadra, d'Henry Corbin, nous construisons un authentique face-à-face entre les connaissances représentatives (occidentales) et celles de la présence (orientales) afin d'élaborer un espace de pensée, où connaissance et éthique se rejoignent dans la critique d'une métaphysique de l'un. Loin d'user indifféremment de la prophétie, de la philosophie, de l'art, de la théologie, nous établirons une connaissance susceptible de poser au-delà des évidences et des certitudes, une équivocité et une ambiguïté ouvrant sur un espace non de confrontations d'arguments mais de niveaux de sens, sachant unifier les différents paliers significatifs sans jamais être dupe des déplacements de sens qu'ils supposent. Le souci de l'a(a)utre (qu'il manifeste le réel, dieu, ou le prochain) est indissociable d'une herméneutique permanente posant la distance (intellectuelle ou éthique) au cœur de son intrigue significative. L'un, grâce à l'interprétation imaginale (écriture et lecture du texte), découvre le sens de son humanité et le secret de sa subjectivité.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Guyomarc'h, Gweltaz. "Aux origines de la métaphysique : l’interprétation par Alexandre d’Aphrodise de la Métaphysique d’Aristote." Thesis, Lille 3, 2012. http://www.theses.fr/2012LIL30004.

Full text
Abstract:
Le terme de "métaphysique" ne se lit pas chez Aristote. Les livres rassemblés sous ce titre ne cessent d'interroger leurs lecteurs quant à leur unité. La science ainsi désignée, enfin, semble contrevenir aux règles communes de la scientificité aristotélicienne. Désigner Aristote comme le "fondateur de la métaphysique" fait dès lors problème. L'hypothèse du présent travail est que cette fondation engage l'oeuvre des commentateurs d'Aristote, au premier chef desquels se situe Alexandre d'Aphrodise. L'Exégète par excellence aurait ouvert la possibilité de "faire de la métaphysique", sans que cela signifie seulement commenter Aristote. Alexandre travaille à faire de la "Métaphysique" un livre, et à instituer la métaphysique en une science une. Selon l'Aphrodisien, la métaphysique est cette science à la fois universelle et première, à la fois science modèle et fondatrice des autres sciences. Elle s'articule en trois programmes principaux : l'étude générale de l'étant en tant qu'étant, celle de la substance et celle enfin de la cause première. Ces trois programmes sont distincts, mais coordonnés et suffisamment proches pour ne pas pouvoir être étudiés par une autre science, ni éclatés entre diverses sciences. Ils progressent à chaque fois par un passage d'une généralité à son maximum et sa cause. Ainsi la substance est-elle cause de l'être des autres étants et étant au maximum. Ainsi la cause première est-elle intelligible au plus haut point et cause de l'intelligibilité du monde. L'Exégète offre une interprétation forte de l'unité de la Métaphysique et de celle de la science correspondante. C'est dans et par cette reprise que les écrits du Stagirite sont devenus proprement fondateurs
Aristotle does not use the word "metaphysics". The books called "Metaphysics" clearly lack unity. The science called "metaphysics" seems to break the common epistemological rules set by Aristotle himself. From that point of view, it seems problematic to consider Aristotle as the "founding father of metaphysics". The present dissertation aims to show that the foundation of metaphysics as a science is also based on the work of the Ancient Commentators, especially Alexander of Aphrodisias (fl. 200 AD). Paradoxically, the "Exegete par excellence" makes it possible to be engaged in metaphysics without limiting metaphysics to explaining Aristotle's books. The reason is that he tries in fact to makes explicit and to enhance the unity of this work as well as to establish the unity of the corresponding science. According to him, metaphysics is both universal and the first true science. As such it constitutes the condition for any type of knowledge to be established as a science. Metaphysics is devoted to three main programs : the general study of being, the study of substance, the study of the first cause. These different programs are closed enough to be carried out within one single science. The passage from one level to another is guided by what I propose to call the Principle of Maximum Casuality. In this way, the substance is the higher being and the cause of being for all the rest ; the first cause is the higher and most thinkable substance, the cause of the order on the world, and what makes it intelligible. So the Exegete offers a strong view of the unity of metaphysics and thanks to this reappropriation Aristotle's work became the origin of a long-lasting tradition
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
More sources

Books on the topic "Métaphysique – Métaphysique"

1

Métaphysique. Paris: Presses universitaires de France, 2012.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Millet, Louis. La métaphysique. Paris: Presses universitaires de France, 1996.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

La métaphysique. Paris: A. Colin, 1998.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Dupleix, Scipion. La métaphysique. [Paris]: Fayard, 1992.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Antoniotti, Louise-Marie. La métaphysique. Perpignan: Artège, 2013.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Kant, Immanuel. Métaphysique des moeurs. Paris: GF Flammarion, 1994.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

La connaissance métaphysique. [Paris]: Collège de France, 2011.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Métaphysique du rire. Paris: L'Harmattan, 2014.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Julius, Evola. Métaphysique du sexe. Lausanne: L'Age d'homme, 1989.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Marejko, Jan. Le territoire métaphysique. Lausanne: L'Age d'homme, 1989.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
More sources

Book chapters on the topic "Métaphysique – Métaphysique"

1

Verley, Xavier. "Mathématique et métaphysique." In Regards croisés sur Alfred North Whitehead, edited by Benoît Bourgine, David Ongombe, and Michel Weber, 113–34. Berlin, Boston: DE GRUYTER, 2007. http://dx.doi.org/10.1515/9783110322385.113.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Camus, Albert. "Métaphysique chrétienne et Néoplatonisme." In Albert Camus: Philosopher and Littérateur, 93–165. New York: Palgrave Macmillan US, 1992. http://dx.doi.org/10.1007/978-1-137-07393-8_8.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Massie, Pascal. "Métaphysique de la pluralité première." In Achard de Saint-Victor métaphysicien, 57–82. Turnhout: Brepols Publishers, 2019. http://dx.doi.org/10.1484/m.adarg-eb.5.118595.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Warnke, Frank J. "Conclusion: la vision métaphysique du monde." In Comparative History of Literatures in European Languages, 761. Amsterdam: John Benjamins Publishing Company, 2000. http://dx.doi.org/10.1075/chlel.xiii.63war.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

"Métaphysique notionnelle et métaphysique réelle." In Philosophie et Culture: Actes du XVIIe congrès mondial de philosophie, 305–9. Éditions du Beffroi, 1988. http://dx.doi.org/10.5840/wcp1719883401.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Bonnefoy, Yves. "L’imaginaire métaphysique." In Littérature et savoir(s), 11–19. Presses de l’Université Saint-Louis, 2002. http://dx.doi.org/10.4000/books.pusl.20307.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Montebello, Pierre. "Métaphysique située." In Choses en soi, 563–75. Presses Universitaires de France, 2018. http://dx.doi.org/10.3917/puf.alloa.2018.01.0563.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Tiercelin, Claudine. "La connaissance métaphysique." In La connaissance métaphysique. Collège de France, 2011. http://dx.doi.org/10.4000/books.cdf.449.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

"Physique et métaphysique." In Prémices philosophiques, 84–112. BRILL, 1987. http://dx.doi.org/10.1163/9789004246522_004.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Cachot, Laurence. "3. Perspective métaphysique." In La femme et son image dans l’œuvre de Victor Segalen, 139–51. Presses universitaires de Franche-Comté, 1999. http://dx.doi.org/10.4000/books.pufc.1147.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles

Conference papers on the topic "Métaphysique – Métaphysique"

1

Abrougui, Olfa. "Les métaphores de l'eau dans l'œuvre poétique de Joachim du Bellay." In XXV Coloquio AFUE. Palabras e imaginarios del agua. Valencia: Universitat Politècnica València, 2016. http://dx.doi.org/10.4995/xxvcoloquioafue.2016.3569.

Full text
Abstract:
Depuis l’Odyssée, la mer est associée aux motifs classiques du voyage. S’inscrivant dans la lignée de l’œuvre homérique, le recueil poétique des Regrets de Joachim du Bellay regorge de métaphores aquatiques et nautiques, qui relatent le voyage du poète à Rome, en suggérant ses risques : errance, égarement, aliénation, etc. C’est dans son sens mystique et métaphysique que nous voudrions comprendre la métaphore marine, notamment à travers le motif de la navigation, qui retrace symboliquement la quête d’un centre spirituel d’immortalité, quête qui s’accompagne d’un ensemble de difficultés et de frustrations. Si les eaux de la mer bercent et charment le voyageur, elles peuvent aussi le dérouter, causer sa perte et entraîner son engouffrement. Mouvantes et imprévisibles, les eaux de la mer disent les attraits du monde matériel dont la femme demeure un archétype fondamental ; elles disent aussi les risques de la tentation qui ne sont pas seulement la mort de l’être mais aussi de l’écriture. À travers les différents paradigmes qu’elle génère, à savoir : angoisse, naufrage, tentation et confrontation, la mer devient le vecteur d’un transfert de sens, relançant le questionnement métaphysique et ontologique du poète : qui est-il ? Quelle signification donner au monde, à l’Histoire ? Quelle place accorder à soi dans l’univers ? Quel rapport entretenir avec l’Autre ? Ces questions – et bien d’autres – sont sous-jacentes aux métaphores de l’eau dans Les Regrets…DOI: http://dx.doi.org/10.4995/XXVColloqueAFUE.2016.3569
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Barbieri, Luca. "« Je fais l’eau avec ma voix » : Paul Claudel et la (méta)physique de l’eau." In XXV Coloquio AFUE. Palabras e imaginarios del agua. Valencia: Universitat Politècnica València, 2016. http://dx.doi.org/10.4995/xxvcoloquioafue.2016.2939.

Full text
Abstract:
De retour en Chine en juin 1906 en tant que consul de France, Claudel entreprend l’écriture de L’Esprit et l’Eau, sa deuxième des Cinq Grandes Odes qui paraîtront en 1910. Le 9 septembre il renseigne son ami et écrivain André Suarès à propos de l’avancement du texte : « J’écris en ce moment une espèce d’Ode sur cette eau essentielle en nous qui est le besoin d’être parfaitement liquide et translucide. Ce n’est point l’impur qui fermente, c’est le pur qui est séminale ». Ces quelques lignes ne sauraient pas du tout réduire la symbolique claudélienne de l’eau telle qu’elle est élaborée dans ce poème de Claudel. Elles suffisent, pourtant, à donner une idée de la profondeur avec laquelle le poète s’approprie le thème de l’eau. Image de vie et d’éternité, de liberté et de pureté, mais aussi de purification, ainsi que « lien liquide » réunissant les êtres entre eux et avec leur Créateur, l’élément fluide ne pouvait pas faire défaut dans la poésie claudélienne. Et, de fait, il est présent dans toutes ses manifestations physiques et métaphysiques. Ainsi eaux bibliques, liturgiques, terrestres, marines et corporelles sont toutes idéalement canalisées dans l'immense bassin symbolique que constitue cette ode. Un poème grandiose, par lequel le poète entendait célébrer le siècle nouveau, mais aussi fermer définitivement une période turbulente de sa vie passée (« Et moi aussi, je l’ai donc trouvée à la fin la mort qui me fallait ! […] J’ai connu l’amour de la femme. / […] J’ai connu cette source de soif »). Public et privé, divin et humain, corporel et spirituel se diluent donc dans ce poème, à l'image de ce qu’écrivait Gaston Bachelard : « l’eau, dans son symbolisme, sait tout réunir ». C’est justement la variété de ce symbolisme que je me propose d’illustrer dans ma communication.DOI: http://dx.doi.org/10.4995/XXVColloqueAFUE.2016.2939
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography