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Journal articles on the topic 'Minorités linguistiques – Québec (Province)'

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Bernier, Christiane, Simon Laflamme, and Sylvie Lafrenière. "L’effet de la disponibilité des médias et de la densité de la population minoritaire sur la langue d’exposition aux médias." Minorités linguistiques et société, no. 3 (June 26, 2013): 120–43. http://dx.doi.org/10.7202/1023803ar.

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Abstract:
Le présent texte propose de jeter un regard sur les choix linguistiques des minorités de langue officielle (de langue anglaise au Québec et de langue française dans les autres provinces) en ce qui a trait à leur usage de cinq médias (radio, télévision, journaux, livres, Internet), en fonction de la disponibilité des médias de langue minoritaire dans la province et de la densité de population de la minorité de langue officielle dans la municipalité de résidence. Bien que la densité soit le plus fort des deux indicateurs, les résultats montrent que les deux variables servent à éclairer le rapport des minoritaires aux médias.
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Castonguay, Charles. "The Anglicization of Canada, 1971-1981." Language Problems and Language Planning 11, no. 1 (January 1, 1987): 22–34. http://dx.doi.org/10.1075/lplp.11.1.03cas.

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Abstract:
RESUME L'anglicisation du Canada, 1971-1981 Les données sur l'adoption de l'anglais comme principale langue d'usage à la maison, recueillies aux derniers recensements, font voir un accroissement général de cette forme d'anglicisation parmi les minorités linguistiques canadiennes entre 1971 et 1981, en particulier au sein de la population francophone à l'extérieur du Québec. Au Québec même, la supériorité du pouvoir d'assimilation de l'anglais en regard du français s'avère au moins aussi grande en 1981 qu'en 1971. Le conflit fédéral-provincial concernant le statut à accorder au français aurait affaibli l'attrait du français comme langue d'usage au foyer au Québec. Dans l'ensemble, la politique fédérale des langues officielles n'a pas ralenti l'anglicisation de la minorité francophone au Canada. D'autre part, la politique fédérale du multiculturalisme n'a pas modifié la tendance à l'anglicisation des autres minorités linguistiques canadiennes. Pour éviter l'anglicisation ultime du Canada, la politique linguistique canadienne devra évoluer vers une forme plus territoriale de bilinguisme, prenant appui sur un Québec français et culturellement plus autonome. Sans davantage de contenu biculturel, voire binational, l'actuelle politique fédérale ne fait pas le poids face au pouvoir d'assimilation de l'anglais dans le contexte nord-américain. RESUMO La anglalingvigo de Kanado, 1971-1981 Inter ciuj lingvaj malplimultoj de Kanado kaj precipe la eksterkebekiaj franclingvanoj, oni plieme uzis la anglan kiel lacefan hejman lingvon inter 1971 kaj 1981, laù popolnombradaj statistikoj. En Kebekio la supera anigemeco de la angla kompare al la franca almenau tiomis en 1981 kiomenl971. Sajne, la konflikto inter la fédéra kaj provincaj registaroj pri la rolo de la franca igas gin malpli valora kiel hejman lingvon en Kebekio. Générale, la kanada programo pri oficialaj lingvoj ne sukcesis malrapidigi la anglalingvigon de la franca malplimulto. Ankaù la federa programo de plurkultureco ne aliigis la anglalingvigon de la aliaj malplimultoj. Por eviti la plenan anglalingvigon de Kanado, oni devos reprincipigi la kanadan lingvan programon, celante pli laùlokan (anstataû ciupersonan) dulingvecon helpe de kulture pli memstara Kebekio. Sen plia dunacieco kaj dukultureco, la nuna federa programo ne efïke kontraùas la anigeman potencon de la angla en nordamerikaj kondicoj.
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Magnet, Joseph Eliot. "The Future of Official Language Minorities." Les droits des minorités linguistiques 27, no. 1 (April 12, 2005): 189–202. http://dx.doi.org/10.7202/042734ar.

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Abstract:
Quelle est la situation actuelle des langues minoritaires au Canada ? Tandis que les communautés de francophones hors Québec n'ont cessé de décroître depuis le siècle dernier, celle des anglophones du Québec avait su se maintenir jusqu'à récemment. Cependant l'avènement de la Charte de la langue française a modifié considérablement la situation. Tout cela nous amène à nous interroger à savoir si les minorités linguistiques survivront au Canada. Pour cela, il faudrait que ces minorités soient centralisées territorialement et que soient mises sur pied des institutions permettant l'usage de leur langue, telles des écoles, des structures gouvernementales, culturelles et économiques. La grande lacune au Canada en matière de protection des communautés linguistiques se situe au plan du développement économique. Le gouvernement, en implantant des centres de recherches et des services spécialisés au sein d'une communauté minoritaire, assurerait sa subsistance.
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Laur, Elke. "Minorités majoritaires et majorités minoritaires : des oxymorons ?" Articles, no. 3 (June 26, 2013): 19–40. http://dx.doi.org/10.7202/1016686ar.

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Abstract:
La situation du Canada est unique au monde : deux minorités et deux majorités linguistiques se servent mutuellement de raison d’être. Les communautés de langue française et celles de langue anglaise se retrouvent officiellement minoritaires ou majoritaires selon qu’elles sont situées au Québec ou ailleurs. La démolinguistique reste centrale pour les définir. Simple de prime abord, le critère numérique se révèle des plus périlleux puisque très élastique selon les variables retenues. De plus, il fait abstraction de tout critère sociolinguistique. L’article préconise la nécessité d’un modèle plus complexe pour cerner le statut de minorité ou de majorité linguistique.
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Proulx, Serge. "Communication publique, identité culturelle et rapports sociaux." Recherche 35, no. 1 (April 12, 2005): 87–96. http://dx.doi.org/10.7202/056828ar.

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Abstract:
Les transformations sociales des modes de communication publique et leurs incidences sur les rapports sociaux ; la participation des médias francophones hors Québec à la construction de l'identité culturelle des minorités linguistiques; les enjeux sociopolitiques imposés aux cultures nationales par la circulation internationale des produits télévisés américains. Voilà les thèmes abordés par quatre ouvrages récents. Ils concernent des éléments stratégiques et vitaux pour le développement des champs culturel et politique des communications au Québec et au Canada français, et reflètent bien les préoccupations sociales des chercheurs en communication ainsi que la professionnalisation de leur expertise.
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Castonguay, Charles. "Évolution de l'assimilation linguistique au Québec et au Canada entre 1971 et 1991." Recherche 38, no. 3 (April 12, 2005): 469–90. http://dx.doi.org/10.7202/057150ar.

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Abstract:
À la lumière du lien entre l'assimilation linguistique et la crise de l'unité canadienne, nous examinons, au moyen des données de recensements, les tendances de l'assimilation des allophones au Québec et des minorités francophones dans les autres provinces. Il en ressort une francisation relative des immigrants récents au Québec, attribuable à une immigration accrue en provenance de pays de langue latine ou de la francophonie et, dans une moindre mesure, à la scolarisation obligatoire en français prévue par les lois 22 et 101. En revanche, l'anglicisation est plus forte qu'en 1971 parmi les immigrés établis depuis plus longtemps et les allophones nés au Québec. Ailleurs au Canada, l'anglicisation des francophones est partout à la hausse sauf, peut-être, au Nouveau-Brunswick. Les tendances défavorables au français appellent une révision majeure de la politique canadienne en ce qui concerne la langue, la culture et la nationalité du Canada français.
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Langlois, André. "Analyse de l'évolution démolinguistique de la population francophone hors Québec, 1971-1996." Recherche 41, no. 2 (April 12, 2005): 211–38. http://dx.doi.org/10.7202/057368ar.

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Abstract:
Cet article veut jeter un éclairage nouveau sur le rôle assimilateur du milieu urbain pour les minorités linguistiques, à la lumière des plus récentes données du recensement canadien. L'idée de la ville comme « machine à assimiler » est ici remise en question. À l'aide d'un cadre méthodologique approprié, permettant de tenir compte de l'évolution des structures démographiques selon l'âge, notre étude essaie de tracer un portrait de l'évolution du comportement linguistique des minorités francophones hors Québec durant la période 1971-1996. Ce portrait s'est fait en utilisant une approche comparative distinguant deux types de milieu, le milieu métropolitain et le milieu non métropolitain, pour essayer de voir si les tendances permettent de revoir le rôle joué par le milieu urbain. Les résultats obtenus, sans totalement confirmer cette remise en question du rôle assimilateur du milieu urbain, montrent toutefois qu'il y a encore de l'espoir pour les communautés francophones hors Québec en voie d'urbanisation et de métropolisation.
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Grenier, Gilles. "Une analyse microéconomique des déterminants des transferts linguistiques des minorités hors-Québec en 1971." Articles 60, no. 2 (February 9, 2009): 149–63. http://dx.doi.org/10.7202/601287ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ À l’aide d’un modèle de régression probit, cet article analyse les facteurs qui déterminent les transferts vers l’anglais comme langue d’usage des familles d’origines canadienne-française, italienne, allemande et ukrainienne vivant au Canada à l’extérieur du Québec. Les résultats indiquent que, à l’exception du mariage à l’extérieur de la communauté linguistique qui est fortement relié aux transferts linguistiques pour tous les groupes, il y a des différences importantes entre les familles canadiennes-françaises et celles d’autres origines dans le processus qui détermine ces transferts. Chez les familles canadiennes-françaises, les facteurs les plus significatifs sont la région de résidence et la profession du mari, où on observe que les familles dont le mari est professionnel ont plus tendance à utiliser le français. Chez les autres groupes, les facteurs les plus significatifs sont le nombre d’années au Canada, la présence d’enfants et l’éducation du mari, où on observe que les familles dont le mari est plus éduqué ont plus tendance à utiliser l’anglais.
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Doucet, Michel. "Les droits linguistiques et la Charte : vingt-cinq années de progression vers l’égalité? Une perspective de l’Ouest canadien." Constitutional Forum / Forum constitutionnel 17, no. 1, 2 & 3 (July 11, 2011): 2008. http://dx.doi.org/10.21991/c99095.

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Abstract:
Lors de la Confédération en 1867 certains droits linguistiques seront constitutionnalisés. L’article 133 de la Loi constitutionnelle de 1867 prévoit un bilinguisme en matière législative et judiciaire, mais seulement en ce qui concerne la province de Québec et le Parlement fédéral1. La seule autre province qui ait à l’origine béné- ficié de garanties constitutionnelles en matière de droits linguistiques est le Manitoba, aux termes de l’article 23 de la Loi de 1870 sur le Manitoba2.
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Amyot, Michel, Mireille Baillargeon, Claire Benjamin, Jean-François Lachapelle, Yolande Lavoie, Robert Maheu, Victor Piché, and Michel Robillard. "La situation démographique du Québec à l’heure du référendum." Articles 9, no. 3 (October 27, 2008): 97–114. http://dx.doi.org/10.7202/600831ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ L’article présente la situation démographique du Québec à l’heure du référendum en resituant son évolution dans le contexte démographique du Canada et des pays industrialisés. Le Québec et le reste du Canada constituent deux entités démo-linguistiques qui se différencient de plus en plus et qui se réfèrent chacune à un territoire bien délimité. Le premier, sous l’effet de la Charte de la langue française (mesure gouvernementale favorisant l’épanouissement de cette langue au Québec), devrait devenir de plus en plus français dans la composition de sa population comme dans sa langue de travail, des communications et de l’affichage. Le second devrait devenir, quant à lui, de plus en plus anglais par suite de l’assimilation grandissante de ses minorités francophones et de l’apport d’une immigration internationale importante qui vient grossir sa majorité anglophone. La population du Québec, comme celle de la plupart des pays industrialisés, est appelée à connaître une croissance lente et un vieillissement de sa structure par âge, situation qui ne présente pas que des désavantages mais qui implique certaines reconversions. Plus inquiétante sans doute est la perte relative de poids démographique du Québec dans l’ensemble canadien et ses conséquences politiques.
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Gérin-Lajoie, Diane. "Identité et sentiment d’appartenance chez les jeunes anglophones de Montréal." Recherche 55, no. 3 (February 2, 2015): 467–84. http://dx.doi.org/10.7202/1028375ar.

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Abstract:
Résultat d’une construction sociale, l’identité ne peut être considérée comme linéaire et figée. Elle représente plutôt un phénomène fluide, fortement influencé par des pratiques sociales imbriquées dans des rapports de pouvoir précis. Ce phénomène est d’autant plus vrai dans le cas des minorités linguistiques que celles-ci sont amenées à vivre à la frontière de deux langues et de deux cultures – et parfois même de trois dans le cas de minorités ethniques. Les résultats de notre analyse sont tirés d’une étude ethnographique effectuée en milieu scolaire anglophone dans la région de Montréal. Au terme de trois années de terrain, nous avons fait trois constatations : qu’une identité bilingue ou trilingue était présente chez ces jeunes, que diverses représentations de la communauté anglophone et de l’appartenance de groupe coexistaient, et enfin que les jeunes participants ont dit ne pas se sentir intégrés à la majorité francophone de la province, même si leur discours ne démontre aucunement qu’ils éprouvent un sentiment de minorisation dans leurs rapports avec le groupe majoritaire.
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Anctil, Pierre. "Étude comparée de la situation linguistique contemporaine en Israël et au Québec." Recherche 49, no. 2 (September 25, 2008): 261–87. http://dx.doi.org/10.7202/018915ar.

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Abstract:
Même si elles paraissent, au premier abord, radicalement différentes, les sociétés québécoise et israélienne présentent d’étonnantes similitudes pour ce qui concerne la place de la langue nationale dans la construction identitaire. Il en va de même pour les politiques linguistiques mises en place par les différents gouvernements israéliens et québécois, notamment vis-à-vis des immigrants récents, des minorités culturelles, de l’usage officiel de la langue et de sa défense face à l’anglais. Ces parcours parallèles sont apparus malgré que l’hébreu soit une langue renaissante, de fait l’une des rares au XXe siècle dont la présence se soit affirmée après une éclipse presque totale, et le français québécois une langue en émergence, sur le modèle de plusieurs autres langues minoritaires en Europe occidentale. Ces considérations sociolinguistiques nous ramènent au concept d’État-nation tel qu’apparu au moment de la Révolution française, et qui trouva particulièrement chez les Juifs est-européens des applications tout à fait originales qui débouchèrent, au siècle suivant, sur la montée du mouvement sioniste puis sur la fondation de l’État d’Israël.
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Kamanzi, Pierre Canisius. "L’emprise des titres scolaires sur l’emploi chez les membres de minorités visibles : comparaison entre le Québec et l’Ontario." Recherche 53, no. 2 (September 20, 2012): 315–36. http://dx.doi.org/10.7202/1012403ar.

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Abstract:
Plusieurs études ont soutenu l’hypothèse d’une discrimination ethnique à l’endroit des membres des minorités visibles au Canada. Elles ont montré qu’en dépit de leurs niveaux de qualification élevés, ces derniers exercent des emplois socialement moins valorisés et perçoivent des revenus inférieurs à ceux des autres Canadiens. Peu d’études se sont cependant intéressées à la discrimination ethnique sous l’angle de la relation entre l’emploi occupé et le niveau de qualification. L’article examine cette question chez les membres des minorités visibles qui détiennent des diplômes universitaires obtenus au Canada à partir des données de l’Enquête nationale de Statistique Canada auprès des diplômés de l’an 2000 et compare la situation des répondants résidant au Québec et en Ontario. Selon les résultats, à scolarité équivalente, les membres des minorités visibles sont plus susceptibles que les autres d’exercer des emplois pour lesquels ils sont surqualifiés. La situation varie cependant selon la province de résidence et le groupe minoritaire auquel appartient l’individu. Ces résultats nous incitent à remettre en question, du moins en partie, la théorie du capital humain et à faire appel à d’autres théories, notamment les théories du capital social et de la discrimination dans l’interprétation de ces résultats.
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Anctil, Pierre. "Complexité et foisonnement d’un rapport oblique; les Juifs face au monde francophone catholique." Articles 81, no. 1-2 (September 28, 2015): 141–63. http://dx.doi.org/10.7202/1033257ar.

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Abstract:
Parmi les minorités religieuses et nationales avec lesquelles le catholicisme canadien de langue française est entré en contact au tournant du XXe siècle, peu ont soulevé autant de débats et de réticences que les adeptes du judaïsme. Cela tenait à que les Juifs comptaient parmi les rares populations immigrantes non-chrétiennes au pays, et à ce que la théologie catholique maintenait des réserves très sérieuses quant à l’opportunité d’entretenir des relations suivies avec le fils et les filles d’Israël. Malgré les jugements négatifs émis par les élites cléricales de langue française, les Canadiens français d’origine modeste ont eu souvent l’occasion de rencontrer des Juifs dans différents contextes sociaux, particulièrement dans le commerce de détail et dans l’industrie du vêtement. L’article retrace dans ses grandes lignes l’histoire de l’immigration juive est-européenne au Canada francophone et décrit la place que les marchands et les entrepreneurs de cette origine ont occupé, autant à la campagne qu’à la ville. L’auteur distingue aussi entre l’évolution de cette question au Québec à proprement parler et au sein des minorités de langue française ailleurs au pays, puis montre que le principal obstacle à des échanges plus suivis entre les deux groupes tenait plus à des questions confessionnelles que linguistiques.
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Leclerc, Catherine. "Draw on me : bilinguisme minoritaire et relais littéraires franco-canadiens." Tangence, no. 117 (May 6, 2019): 35–57. http://dx.doi.org/10.7202/1059418ar.

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Abstract:
Après s’être atomisé à la suite de la nationalisation de la littérature québécoise, l’espace littéraire franco-canadien semble être en voie de se reconstituer, sur de nouvelles bases. Le présent article fait l’étude de ce phénomène à partir de deux traits que les littératures des minorités francophones du Canada ont en partage : le bilinguisme et la minorisation. Ces deux traits sont précisément ceux dont le Québec s’est délesté au moment où il se constituait en culture nationale. Aujourd’hui, pourtant, ils se voient octroyer une nouvelle valeur. Or, les transformations en cours dans l’espace littéraire franco-canadien et dans les idéologies linguistiques sur le contact du français avec l’anglais coïncident. Alors que le Québec s’était servi du bilinguisme minoritaire comme repoussoir, ce bilinguisme gagne à présent en statut, jusqu’à servir de modèle. S’ensuit un réaménagement des rapports hiérarchiques existant entre les divers espaces littéraires franco-canadiens, voire à l’intérieur de chacun d’eux, de même que des relais inédits des uns aux autres. Le présent article retrace ce réaménagement en se penchant sur certains textes franco-canadiens hétérolingues clés des dernières décennies, ainsi que sur leur réception.
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Calinon, Anne Sophie. "Légitimité interne des politiques linguistiques au Québec : le regard des immigrants récents." Articles, no. 5 (March 18, 2015): 122–42. http://dx.doi.org/10.7202/1029110ar.

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Abstract:
Cet article aborde la question de la légitimité des actions de politiques linguistiques menées par le Québec en matière d’intégration linguistique au français selon le point de vue des allophones récemment arrivés dans la province. Nous nous demandons comment les immigrants récents au Québec, installés à Montréal, perçoivent les enjeux autour de leur francisation et quelles sont leurs représentations de leur place actuelle et projetée dans la société québécoise francophone. Une analyse des politiques et une ethnographie montrent que les immigrants récents ont du mal à se considérer comme membres à part entière de la société francophone, compte tenu de leur compétence linguistique en construction, de leur vision encore très monolingue et monolithique de la communauté francophone et d’un manque de passé en commun. Les faibles échanges avec des francophones considérés comme « légitimes » – les natifs – ont un impact direct sur leur sentiment d’appartenance et leur intégration sociale.
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Alvarado, Elena. "Les jeunes des communautés culturelles." Santé mentale au Québec 18, no. 1 (September 11, 2007): 211–26. http://dx.doi.org/10.7202/032256ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Les jeunes immigrés doivent au Québec s'adapter en même temps que leurs familles aux changements que leur impose une société d'accueil elle-même aux prises avec des problêmes de minorités et des conflits linguistiques. Leurs parents qui ont pour eux de grands espoirs sont partagés entre leurs propres valeurs et celles du nouveau pays. Mais la méconnaissance de la langue et des services sociaux et scolaires, notamment chez les mères, empêche souvent d'éviter les pièges de l'étiquetage pédagogique et du système judiciaire. La discipline est souvent au coeur des difficultés avec les adolescents. Le conflit des générations prend des caractéristiques particulières, le jeune étant plus vite et plus facilement acculturé à la nouvelle société. Néanmoins, la valorisation des origines peut aider les jeunes à faire face au racisme et au rejet. Il faudrait davantage investir dans les services d'information pour les parents ainsi que dans l'école et dans son adaptation pédagogique et culturelle.
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Blais, André, Pierre Martin, and Richard Nadeau. "Attentes économiques et linguistiques et appui à la souveraineté du Québec: une analyse prospective et comparative." Canadian Journal of Political Science 28, no. 4 (December 1995): 637–57. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423900019338.

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Abstract:
AbstractWhy are Quebeckers favourably disposed or opposed to sovereignty? This choice partly depends upon the prospective evaluation of the costs and benefits of sovereignty and federalism. What are the relative contributions of economic and linguistic expectations in this choice? Does the impact of these expectations vary according to the time horizon in which they are set? The authors approach these questions from the perspective of the economic theory of voting and with the help of original measures of the determinants of support for sovereignty. They compare expectations of what would occur to the economy and to the French language were Quebec to become a sovereign country with expectations of what would occur if Quebec remained a province of Canada. These measures are taken from a survey of university students. Our logistic regression analysis shows that the implicit calculation of costs and benefits plays a significant role in the choice between sovereignty and federalism, and that economic expectations influence the formation of opinion to a somewhat greater degree than do linguistic expectations. Moreover, medium-term expectations are more important than short-term economic expectations and more important than long-term expectations about the situation of the French language in Quebec.
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Cohen, Yolande. "Strategies Feministes." International Political Science Review 6, no. 3 (July 1985): 382–92. http://dx.doi.org/10.1177/019251218500600311.

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Abstract:
Quinze ans se sont écoulés depuis que les mouvements féministes ont fait leur apparition, surtout en Amérique du Nord et en Europe occidentale. Les événements qui ont eu lieu depuis ce moment-là nous poussent à faire l'analyse non seulement des changements dans les systèmes de représentation politique mais surtout des idées concernant le rôle social de la femme et ce que la société attend d'elle. Les mouvements féministes dans la province francophone du Québec et en France même ont beaucoup en commun quant à leurs conséquences sociales. On pourrait aussi les considérer comme typiques des mouvements de beaucoup d'autres pays sur les deux continents. Cette analyse nous mène à croire que nous assistons aujourd'hui à un processus de diversification et de morcellement des électorats, qui se traduit par une nouvelle prise en compte des intérêts des groupes qui les composent. Les “minorités” (femmes, mais aussi jeunes et groupes ethniques) ont trouvé d'autres moyens de s'affirmer qu'en s'affiliant à un parti politique. Le défi principal auquel font face les femmes au pouvoir et les partis qui les appuient est celui de proposer une vision politique globale.
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Bischoff, Peter. "Des Forges du Saint-Maurice aux fonderies de Montréal : mobilité géographique, solidarité communautaire et action syndicale des mouleurs, 1829-1881." Revue d'histoire de l'Amérique française 43, no. 1 (September 24, 2008): 3–29. http://dx.doi.org/10.7202/304764ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ À travers l’expérience des mouleurs originaires des Forges du Saint-Maurice, ce texte cherche à mieux cerner la participation des Canadiens français à la formation de la classe ouvrière, les relations entre mobilité géographique et activité syndicale, et le rôle du métier, de la famille et du voisinage dans les mouvements migratoires et l’adaptation des travailleurs à un nouveau milieu. L’étude des mouleurs dans le village des Forges du Saint-Maurice révèle l’existence de solidarités familiales et communautaires très intenses liant ces travailleurs depuis la fin du XVIIIe siècle. Au cours des décennies 1830 et 1840, les mouleurs mettent en place les fondements d’un réseau communautaire qui s’étend à plusieurs localités du Québec, participant ainsi à l’expansion de l'industrie du moulage à travers la province. À partir de la fin des années 1850, dans le contexte du déclin des forges mauriciennes et l’émergence de Montréal comme centre de la sidérurgie québécoise, leur réseau communautaire s’avère un outil essentiel dans leur migration et adaptation au milieu montréalais. Les mouleurs se concentrent graduellement dans la métropole, où ils prennent une part active à différentes actions revendicatives pour défendre ou promouvoir le statut de leur métier. Mais leur ardeur est longtemps tempérée par les tensions ethniques et linguistiques locales.
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Pelletier, Réjean. "Le militant du R.I.N. et son parti." Articles 13, no. 1 (April 12, 2005): 41–72. http://dx.doi.org/10.7202/055558ar.

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Abstract:
C'est au cours de son congrès national d'octobre 1968 que le Rassemblement pour l'Indépendance Nationale s'est sabordé. Né en septembre 1960 comme mouvement d'éducation politique et groupe de pression, le R.I.N. s'est transformé en parti politique au cours d'un congrès spécial tenu à Montréal en mars 1963. Durant plus de huit ans, quoique minoritaire sur la scène politique québécoise, le R.I.N. s'est imposé comme catalyseur de la question nationale et point de référence des partis traditionnels sur le plan constitutionnel. Ayant su profiter du déblocage provoqué par la « révolution tranquille », il fut en même temps un élément actif de cette révolution. Un certain nombre d'idées qu'il avait lancées au cours de sa brève existence ont marqué les partis politiques au pouvoir ou furent reprises, plus tard, par le Parti Québécois. Sans le R.I.N., le visage actuel du Québec serait probablement différent de ce qu'il est effectivement. Mais si le R.I.N. a pu marquer la vie politique québécoise, il s'insère aussi dans le vaste courant nationaliste qui a traversé le Québec au cours du vingtième siècle. D'un nationalisme que l'on pourrait qualifier de culturel où il s'agit avant tout de défendre la langue et la culture françaises en s'opposant aux provinces anglophones afin d'affirmer, de cette façon, la spécificité française du Québec, la province est passée peu à peu à un nationalisme politique qui s'est incarné surtout (après le nationalisme négatif de Duplessis) dans ce que l'on a appelé la « révolution tranquille ». Il s'agit désormais d'assurer la défense du fait français par la reconnaissance d'une nation canadienne-française et donc d'un statut spécial pour le Québec qui est « l'expression politique » du Canada français et le point d'appui de tous ceux qui parlent français au pays. Par la suite s'établit une distinction entre le Québec et le Canada français. De plus en plus, le Québec ne cherche pas à s'affirmer en s'opposant au Canada anglais, mais à se définir par rapport à lui-même. Il n'est plus question du sort des minorités françaises en dehors du Québec que certains qualifient de combat sans issue, mais des pouvoirs nécessaires à l'État du Québec pour assurer sa survie et favoriser l'organisation et le développement de la vie collective des Québécois. Le R.I.N. a traversé une courte phase de nationalisme culturel au cours des années 1960 et 1961. Mais il s'inscrit aussi, dès sa fondation, dans le courant du nationalisme politique en réclamant l'indépendance du Québec. Bien plus, il fut pour ainsi dire l'incarnation même de ce courant en servant de point de référence aux autres partis politiques. Cependant, sous l'influence conjuguée de Pierre Bourgault à la tête du R.I.N. à partir de mai 1964 (et plus tard, d'Andrée Ferretti) et de revues à caractère socialiste comme Révolution québécoise et Parti pris, le nationalisme politique se mue progressivement en nationalisme socio-économique. Dès lors, l'indépendance politique devient un moyen pour la réalisation du mieux-être des Québécois et pour leur libération de l'emprise « capitaliste » autochtone et de la domination « impérialiste » américaine. Il s'agit d'assurer avant tout le développement social et économique du Québec au bénéfice de la collectivité québécoise tout entière et non pas de la seule bourgeoisie, qu'elle soit de langue française ou de langue anglaise. Sous cette optique, pour certains groupes, le socialisme doit passer avant l'indépendance. En d'autres termes, on est indépendantiste parce qu'on est socialiste — l'indépendance du Québec permettant l'établissement d'un socialisme véritable — et non pas l'inverse. Au sein du R.I.N., le nationalisme politique se double rapidement du nationalisme socio-économique. Le parti, en effet, va s'employer non seulement à réclamer l'indépendance politique du Québec, mais aussi à élaborer et faire connaître un programme ambitieux de développement économique et social pour le futur Québec indépendant. On pourrait ajouter que là aussi le R.I.N. fut un élément moteur de ce nouveau nationalisme, bien que le caractère socialiste de son programme fût nettement moins accusé que celui d'autres groupements de moindre importance et plutôt marginaux. Ce mariage du national et du social s'est surtout opéré au moment où le R.I.N. est devenu parti politique et a songé, de ce fait, à se doter d'un programme qui soit différent de celui des partis traditionnels. C'est donc sur cette toile de fond que s'inscrit le développement du R.I.N. au cours des années 1960-1968. C'est dans ce climat politique général qu'il convenait de le situer afin de mieux comprendre, par la suite, l'action des militants au sein du parti et la perception globale qu'ils avaient de leur propre formation politique.
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Charbonneau, François. "Les effets de la dépendance des associations porte-paroles de la francophonie canadienne sur le Gouvernement du Canada." Revue Internationale des Francophonies, no. 7 (May 29, 2020). http://dx.doi.org/10.35562/rif.1033.

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Abstract:
Ce texte porte sur la dynamique particulière de financement des associations porte-paroles de la francophonie canadienne. Les associations porte-paroles de la francophonie canadienne, c’est-à-dire les associations qui parlent au nom des communautés francophones et acadiennes là où ces communautés sont minoritaires (dans tous les provinces et territoires, sauf dans la province de Québec) opèrent dans un régime linguistique particulier qui induit un certain nombre d’effets qui seront ici analysés. Par l’adoption de la Loi sur les langues officielles en 1969, le Canada s’est doté d’un régime linguistique basé sur le principe de la personnalité ne nécessitant pas, du moins de manière théorique, de reconnaissance ni de collectivité ni de droits collectifs. Or, dans la pratique, ses programmes d’appuis aux minorités linguistiques ont une dimension collective affirmée. Depuis près d’une cinquantaine d’années en effet, le Gouvernement du Canada finance le milieu associatif porte-parole des neuf provinces et des trois territoires où les francophones vivent en situation minoritaire. Il s’est même imposé l’obligation, par la partie 7 de la Loi sur les langues officielles, d’assurer la « vitalité » de ces communautés. Le financement du réseau institutionnel porte-parole de la francophonie canadienne fait partie des mesures devant assurer cette vitalité. Il sert notamment de palliatif au faible poids politique de ces communautés, leur permettant d’avoir une voix sur la place publique, devant les tribunaux ou lors de consultations engageant l’avenir de la communauté. Mais la dépendance financière du milieu associatif sur le Gouvernement canadien a aussi des effets négatifs. L’objectif de cet article est triple. Il s’agira d’abord d’expliquer pourquoi le Gouvernement du Canada a jugé nécessaire d’appuyer financièrement les associations porte-paroles de la francophonie canadienne. Sera ensuite chiffrée la dépendance financière du milieu associatif sur le Gouvernement canadien de manière à montrer que ces associations pourraient difficilement exister sans ce financement. Enfin, il s’agira de montrer les effets potentiellement délétères de la dépendance financière des associations porte-paroles de la francophonie canadienne, en expliquant qu’étant donné le contexte particulier dans lequel opère aujourd’hui ces associations, il n’est plus aujourd’hui possible de déterminer « qui parle » quand les associations porte-paroles prennent la parole au nom des communautés francophones du Canada.
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Thomas, Eric. "Canadian Broadcasting and Multiculturalism: Attempts to Accommodate Ethnic Minorities." Canadian Journal of Communication 17, no. 3 (March 1, 1992). http://dx.doi.org/10.22230/cjc.1992v17n3a676.

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Abstract: This article proposes a framework for the analysis of the role of ethnic minorities in Canadian broadcasting. It takes into consideration the intersection of American, English-Canadian, and French-Canadian television output, as well as the divergent underlying cultural and linguistic policies of the Canadian and Quebec governments. Résumé: Cet article présente un cadre pour l'analyse du rôle des minorités ethniques dans la radiodiffusion canadienne. Ce cadre tient compte de l'intersection des émissions télévisées américaines, canadiennes anglaises et canadiennes françaises, ainsi que des divergences dans les politiques culturelles et linguistiques sous-jacentes des gouvernements du Canada et du Québec.
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Landry, Michelle. "L’institutionnalisation du militantisme acadien au Nouveau-Brunswick." Revue Internationale des Francophonies, no. 7 (June 2, 2020). http://dx.doi.org/10.35562/rif.1049.

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Abstract:
Ce texte analyse l’institutionnalisation du mouvement pour l’avancement de la reconnaissance du français et du peuple acadien dans la province du Nouveau-Brunswick au Canada. Les Acadiens, francophones de cette province, représentent environ le tiers de la population. Ils ont acquis avec le temps des institutions, des droits linguistiques et des garanties constitutionnelles. L’objectif de ce texte est de montrer la trajectoire de l’institutionnalisation de ce mouvement pour jeter un éclairage sur l’effet structurant du rapport à l’État fédéral. Trois périodes d’actions collectives sont dégagées afin de cerner ce processus. La première période est marquée par le début de la création d’organisations vouées à la défense et la promotion des intérêts acadiens. Ensuite, l’on assistera au rapprochement de l’État fédéral en raison du contexte linguistique et du début des programmes de subvention au sortir d’une période caractérisée par des contestations plus visibles et vocales. Enfin, il se produira une imbrication des organisations du mouvement social aux processus de gouvernance horizontale au sein même de l’appareil gouvernemental, ainsi qu’une judiciarisation de l’action politique. Le regard macrosociologique offert dans ce texte montre que ce mouvement s’est développé selon son contexte. Le répertoire d’action a correspondu en grande partie à la norme et aux attentes de chaque contexte politique et historique. Ce texte montre par ailleurs qu’en institutionnalisant la lutte pour la reconnaissance des minorités francophones du pays au sein de l’appareil fédéral, les associations francophonistes se sont munies de ressources et elles ont obtenu une reconnaissance et un accès privilégié aux canaux du pouvoir public. Ce cas illustre de manière exemplaire le fait que les mouvements sociaux ne sont rarement complètement hors du champ étatique. Il rend compte des rapports complexes entre le gouvernement du Canada, le gouvernement d’une province et les minorités francophones qui sont installés sur ces territoires depuis bien avant la fondation du pays. Ce texte renforcera ainsi non seulement la pertinence de concevoir l’action politique des francophones du Canada en situation minoritaire comme des mouvements sociaux, mais jettera un éclairage sur le développement du mouvement acadien, au départ un mouvement nationaliste devenu progressivement un mouvement de défense de droits hautement institutionnalisé et professionnalisé.
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Breton-Carbonneau, Gabrielle, and Ailie Cleghorn. "What’s Language Got to do with it? An Exploration into the Learning Environment of Quebec’s Classes d’Accueil." Comparative and International Education 39, no. 3 (December 1, 2010). http://dx.doi.org/10.5206/cie-eci.v39i3.9165.

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Abstract:
This article stems from an on-going qualitative study of the ‘environment’ of Montreal’s elementary level welcome classes for new immigrant students (classes d’accueil), including teachers’ language attitudes and actual language practices in the classroom. Since the official language of instruction in Quebec is French, the classe d’accueil provides a unique setting for exploring many issues: how teachers look upon the linguistic and cultural diversity of their learners; how teachers negotiate their way between potentially opposing tensions-- to integrate newly arrived children into Quebec, and, to reinforce Quebec’s distinct cultural and linguistic status. By drawing on socio-cultural theory of language learning, this study explores the manner in which teachers might foster an inclusive learning environment in the classe d’accueil. Cet article est le résultat d’une étude qualitative en cours à l’école primaire qui analyse l’environnement des classes d’accueil pour nouveaux immigrants à Montréal. Elle analyse également les attitudes linguistiques et les pratiques langagières des professeurs dans la salle de classe. Comme la langue officielle de l’éducation au Québec est le français, ces classes d’accueil offrent un environnement unique pour explorer beaucoup de questions : comment les professeurs perçoivent-ils la diversité culturelle et linguistique de leurs apprenants, comment négocient-ils les tensions opposées, c’est-à dire comment font-ils pour intégrer des enfants qui viennent d’arriver au Québec en même temps que renforcer la particularité linguistique et culturelle de la province. Tout en se basant sur la théorie socio culturelle de l’apprentissage des langues, cette étude explore les différentes façons offertes aux professeurs qui encouragent la mise en place d’un environnement d’apprentissage inclusif en classe d’accueil.
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Deirdre, Meintel. "Ethnicité." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.095.

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Abstract:
Le concept d’ethnicité est le sujet d’une vaste littérature qui a bénéficié des contributions d’auteurs issus de différentes disciplines, dont la sociologie, l’histoire, la science politique et la démographie. Nous faisons ici une revue sélective des ouvrages anthropologiques qui ont marqué le domaine. Le concept d’ethnicité en sciences sociales est généralement attribué au sociologue Max Weber (1921, 1971). Le sociologue allemand conçoit l’ethnicité comme une construction sociale; c'est-à-dire, comme le produit de rapports sociaux. De nos jours, l’approche constructiviste de l’ethnicité prédomine à travers toutes les sciences sociales, y compris l’anthropologie. C’est l’anthropologue Frederik Barth (1969) qui a théorisé l’aspect processuel de l’ethnicité, et ce, en lien avec l’ethnographie des relations intergroupes. Son approche se distingue en ce qu’elle problématise l’émergence de groupes ethniques et leur durabilité dans le temps. Comme l’a écrit Robin Cohen (1978 : 389), « l’ethnicité n’a pas d’existence en dehors des relations interethniques » (notre traduction). Avant d’aller plus loin, précisons certains des termes utilisés ici. « Ethnicité » englobe non seulement l’identité ethnique, mais aussi les modèles culturels qui caractérisent le groupe – certains d’entre eux servant à le délimiter –, les associations, institutions sociales, activités collectives et intérêts communs (Meintel 1993). À l’instar de Fischer (1986), nous ajoutons que l’ethnicité englobe aussi la mémoire, soit la quête des individus et des collectivités de traditions qui servent à développer une vision du futur. Bref, l’ethnicité concerne non seulement le passé, mais aussi le présent et l’avenir. Dans l’optique de Fischer, l’ethnicité n’est pas qu’une forme de distinction sociale, ou un élément de hiérarchisation : elle représente également une gamme de ressources symboliques. L’intérêt pour l’ethnicité en anthropologie doit beaucoup aux recherches en Afrique, notamment celles menées par l’École de Manchester dans les villes où les travailleurs migrants demeuraient. Dans leur optique, ces villes et les villages d’origine constituaient un seul champ social. Dans un vocabulaire centré sur le « tribalisme », des chercheurs britanniques liés à cette école, dont Godfrey et Monica Wilson, Max Gluckman, J. Clyde Mitchell et Elizabeth Colson parmi d’autres, ont développé le Rhodes Livingstone Institute, institut dédié à l’étude des cultures du nord de la Rhodésie (aujourd’hui la Zambie). Ces chercheurs étudiaient les transformations sociales et culturelles des paysans devenus travailleurs urbains. Dans ce contexte de contact intergroupes, les identités ethniques sont devenues prééminentes. Leur nouvelle importance dans les relations sociales des citadins s’illustre par la danse Kalela (Mitchell 1956). Ce rituel hebdomadaire d’invention urbaine où les danseurs mettaient en scène la diversité ethnique et des figures urbaines (médecin, infirmière, etc.). Ici, l’identité tribale (les danseurs provenaient du groupe Bisa) était réinventée comme une forme d’ethnicité urbaine (retribalisation dans les termes de Mitchell). Par ailleurs, Mitchell a développé un schéma de relations urbaines tripartite : relations personnelles, structurelles et « catégoriques ». Tandis que les relations structurelles étaient largement encadrées par les rôles fixes des participants (par exemple, ainé/cadet, patron/ouvrier), les relations « catégoriques » (categorical relationships) concernaient les relations ponctuelles et superficielles; par exemple, au marché, dans les foules urbaines (Mitchell 1966) et largement gouvernées par des stéréotypes ethniques, pas forcément négatifs (1966). Plus tard, Jean-Loup Amselle (1990) a soulevé la question du rôle du colonialisme dans la création de frontières artificielles entre les sociétés africaines. S’appuyant sur ses recherches auprès de plusieurs groupes maliens, notamment les Malinkés, les Peuls et les Bambaras, l’ethnologue propose, plutôt que de considérer les sociétés africaines comme des entités étanches où coïncident cultures, langues et frontières politiques et sociales, de les définir comme une « chaîne de sociétés » caractérisée par un « syncrétisme originaire ». Dans la même veine, Lee Drummond concevait les sociétés des Caraïbes comme un « continuum culturel » caractérisé par une hybridation incessante, perspective qu’il appliqua par la suite à la société pluriethnique de Montréal (1982). Bien que la diversité ethnique (et religieuse) soit le sujet de grands débats sociaux, les études ethnographiques sur les relations interethniques n’abondent pas. Celle de Gerd Baumann (1996) fait exception, l’anthropologue ayant étudié les discours identitaires des habitants d’un district de Londres très diversifié et densément peuplé. Sa monographie illustre bien la fluidité des identités, des discours et des pratiques à l’égard de l’ethnicité. La labilité des frontières ethniques, pour ne pas mentionner la variabilité de marqueurs qui les définissent est illustrée par l’identité « québécoise » au Québec, définie largement par la langue maternelle française, tandis qu’auparavant, les habitants de la province se considéraient plutôt comme Canadiens français, catégorie définie principalement par la confession catholique. Cette mutabilité des frontières et des marqueurs soulève la question de la légitimité des identités et des revendications de droits ou de ressources articulées dans le cadre de ce que plusieurs dénomment « la politique identitaire ». Ces enjeux sont au cœur des travaux d’anthropologues comme James Clifford (2000), parmi d’autres. Clifford se penche sur plusieurs sociétés autochtones, dont les Kanaks de Nouvelle-Calédonie et les Nisga’a de la Colombie-Britannique, pour critiquer la tendance de certains anthropologues (par exemple, Kuper 2003) à considérer les discours identitaires de groupes indigènes comme « essentialistes » et leurs pratiques culturelles adaptatives comme « inventées ». L’auteur affirme par ailleurs que les luttes de groupes subalternes obligent les anthropologues à revoir la notion de « tradition » et à la concevoir non pas comme un corpus culturel figé, mais plutôt comme une gamme de ressources qui sont constamment remaniées. Les sociétés indigènes ne représentent pas, évidemment, des « minorités ethniques » comme les groupes immigrants (Eriksen 1993); au Canada, le terme « Premières Nations » connote leur statut distinct. Cependant, on constate certaines similitudes entre les enjeux identitaires et politiques des peuples autochtones et les minorités ethniques (Cipolla 2017), à plus fort raison compte tenu du fait que la majorité des autochtones au Canada et au Québec vivent en dehors des réserves. Par exemple, les diasporas, telles que Clifford (1994) les présente, concernent les Juifs et les Arméniens mais aussi des peuples amérindiens forcés à quitter leurs territoires (Clifford 2007). Les études anthropologiques de l’ethnicité ont pris une nouvelle tournure avec les travaux de Nina Glick Schiller et ses collègues (Glick Schiller, Basch et Blanc-Szanton 1992) sur la transnationalité. Dans cette optique, l’ethnicité des groupes immigrants est abordée non seulement en rapport avec un territoire particulier (quartier, ville, etc.), mais aussi en lien avec le pays d’origine des migrants et d’autres régions du monde où se trouvent des personnes du même groupe. Les nombreuses études en sciences sociales influencées par ce courant révèlent les dimensions politiques et économiques des réseaux transnationaux des migrants, tout en montrant que la transnationalité ne concerne pas tous les migrants de manière égale. Enfin, le « champ social » où se construit l’ethnicité s’étend désormais au-delà des frontières nationales. Dans les années récentes, nombreux chercheurs ont préféré parler de diversité plutôt que d’ethnicité, pour englober des critères tels que la religion, la l’orientation sexuelle, etc. Comme d’autres le reconnaissent, la diversité n’est pas un concept rigoureux (Kraus date) ; certains considèrent la diversité comme l’angle mort du racisme (CJF) puisqu’elle peut occulter les inégalités entre groupes ethniques. La sociologue Danielle Juteau (2018, p. 38) insiste sur pertinence de l’ethnicité de nos jours pour développer une perspective critique sur la diversité, puisque « son approche relationnelle et constructiviste, souvent matérialiste et transversale, en éclaire diverses facettes » de la diversité. Nous avons eu l’occasion de constater la création de nouvelles catégories ethniques, notamment celle d’ « Arabes » pour désigner les musulmans du Moyen-Orient, repris par des jeunes musulmans eux-mêmes pour s’identifier (Meintel 2018, p. 6-7). L’ethnicité nous semble toujours actuelle comme outil conceptuel pour mieux comprendre les relations intergroupes et les inégalités qui les caractérisent.
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White, Bob. "Interculturalité." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.082.

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L’interculturalité —le contact entre acteurs sociaux de diverses provenances — a toujours existé. Selon le contexte, l’interculturalité peut être plus ou moins problématique (par exemple dans les situations de crise humanitaire liées à l’arrivée massive de réfugiés) et plus ou moins problématisée (par exemple dans les États qui reconnaissent l’existence de multiples communautés religieuses ou linguistiques). D’abord il est important de distinguer entre l’interculturalité et l’interculturalisme, l’idéologie pluraliste qui vise à renforcer l’harmonisation des relations en contexte pluriethnique (White 2018). Selon plusieurs observateurs, l’interculturalisme serait une réponse aux paradigmes dominants du multiculturalisme et de l’assimilationnisme (Wood et Landry 2008). Cependant, il est important de rappeler que l’interculturalisme n’est pas monolithique. Effectivement, les critiques de l’interculturalisme au Québec démontrent que cette idéologie n’a jamais fait l’objet de consensus (Rocher et White 2014). Dans un deuxième temps il faut constater qu’il y a plusieurs courants théoriques et philosophiques qui s’inspirent de la pensée interculturelle (Emongo 2014). L’anthropologie a gardé ses distances de ce vaste champ de savoir, mais peu d’anthropologues savent que l’anthropologie a eu beaucoup d’influence aux de?buts de la recherche sur la communication interculturelle, notamment à travers la personne de Edward T. Hall. Dans les anneés 1960 et 1970, le champ de la sociolinguistique interactionniste (inspiré en grande partie par les travaux de John J. Gumperz, 1989) a développé des modèles pour expliquer comment les écarts dans la communication en contexte pluriethnique contribuent à la discrimination des personnes immigrantes et des minorités racisées. Dans les années 1980, l’anthropologie américaine dite « postmoderne » a produit un certain nombre d’ethnographies « dialogiques » (White 2018), mais ces travaux ont été limités dans leur influence à l’échelle disicipinaire. Le virage phénoménologique en anthropologie dans les année 1990 a, quant à lui, permis une certaine réflexion autour de la notion d’intersubjectivité, mais l’anthropologie n’a jamais développé une théorie globale de la communication interculturelle, ce qui est surprenant étant donné que les fondements du savoir anthropologique se construisent à partir d’une série de rencontres entre cultures (White et Strohm 2014). La pensée interculturelle n’a jamais eu de véritable foyer disciplinaire, même si plusieurs disciplines ont développé des expertises sur l’analyse des dynamiques de la communication interculturelle (notamment communications, psychologie, éducation, gestion). Au sein des champs de recherche qui revendiquent une approche interculturelle, il y a un grande diversité d’approches, de concepts et de finalités. Gimenez (2018) propose une distinction entre l’utilisation de la pensée culturelle comme projet politique, comme méthode et comme cadre d’analyse. Il y a plusieurs éléments que l’on pourrait identifier avec une « épistémologie de l’interculturel » (Emongo 2014) et plusieurs thèmes qui reviennent fréquemment dans la littérature sur les dynamiques interculturelles, dont trois qui méritent une attention spéciale: la bidirectionnalité, les préjugés, les compétences. Au préalable, précisons qu’on ne peut pas réduire l’étude des dynamiques interculturelles à l’étude des immigrants ou de l’immigration. Pour des raisons évidentes, les contextes de migration transnationale soulèvent régulièrement des problématiques et des préoccupations interculturelles, par exemple sur le vivre-ensemble en contexte pluriethnique (Saillant 2016). Du point de vue interculturel, néanmoins, ce n’est pas la « culture » des groupes minoritaires qui devrait nous intéresser (puisque les groupes majoritaires sont « porteurs de culture » aussi), mais le contact entre personnes de différentes origines. Autrement dit, pour la recherche interculturelle, ce n’est pas la diversité qui est intéressante mais plutôt ce qui arrive en contexte de diversité. La notion de bi-directionnalité—c’est-à-dire l’influence mutuelle entre les groupes d’ici et d’ailleurs—permet de comprendre que mettre l’accent sur les groupes minoritaires ou personnes issues de l’immigration peut renforcer des préjugés à leur égard et que trop souvent les groupes majoritaires sous-estiment l’impact de leurs propres traditions sur le contact avec les personnes issues de l’immigration. La notion des préjugés est centrale à toute tentative d’expliquer les dynamiques interculturelles. Généralement compris comme des fausses idées sur les personnes d’autres groupes, les préjugés en situation interculturelle se rapprochent de formulations souvent rencontrées dans la théorie herméneutique. Selon Gadamer (1996) les préjugés ne sont pas négatifs en soi, puisque, en tant que pré-savoir, ils seraient à la base de la compréhension humaine. La pensée herméneutique permet de comprendre le lien entre préjugés et traditions et du coup de faire la distinction entre les traditions qui agissent comme forme d’autorité et celles qui permettent la transmission du savoir du groupe (White 2017). La pensée herméneutique part du principe que tous les êtres humains ont des préjugés et que les préjugés sont aussi une forme de savoir (parfois valide, parfois fausse). De ce point de vue les préjugés ne sont pas problématiques en soi, mais dans la mesure où ils peuvent être à a source d’incompréhension ou de discrimination (puisque non pas validés). Puisque les préjugés restent souvent dans l’ordre de l’implicite, le développement des compétences interculturelles consiste à rendre les préjugés implicites afin de réduire leur impact dans les différents contextes de la communication. Il existe une vaste littérature sur la notion des compétences en contexte interculturel, notamment dans les domaines qui s’intéressent à l’utilisation des outils interculturels pour faire de la médiation ou de la résolution des conflits. Pour tenir compte de la complexité des compétences interculturelles, il est important de définir les différentes catégories de compétences : savoir (des connaissances sur un sujet), savoir-faire (des connaissances sur les méthodes ou les façons de faire), savoir-être (les habilités sociales ou interpersonnelles). Dans la littérature sur le sujet, il y a souvent une confusion entre les compétences culturelles (c’est-à-dire l’ouverture aux différences culturelles et le savoir sur les différents groupes ethnoculturels) et les compétences interculturelles. Ces dernières doivent être comprises non pas comme un savoir sur l’autre mais plutôt comme des habilités de communication dans les contextes pluriethniques. Les approches qui se basent sur les compétences culturelles ont été critiquées parce qu’elles se limitent aux compétences par la sensibilisation de la différence et ne considèrent pas l’apprentissage de compétences communicationnelles (Gratton 2009). Les critiques des approches interculturelles sont nombreuses. Certaines partent de l’idée que la pensée interculturelle est fondée sur une fausse prémisse, celle qui présume l’existence d’entités culturelles fixes (Dervin 2011). Se basant sur les théories constructivistes, ces critiques montrent que l’identité culturelle est socialement construite et ne peut donc être réduite à une essence ou à des catégories figées. Plusieurs courants de la pensée interculturelle utilisent la notion de culture dans le sens large du terme (par exemple « culture professionnelle » ou « culture organisationnelle ») afin d’éviter les pièges de l’essentialisme, sans pour autant négliger le fait que l’utilisation de l’interculturel peut facilement tomber dans les généralisations et renforcer les stéréotypes sur les catégories culturelles. D’autres critiques de la pensée interculturelle réagissent au recours à l’utilisation ce cette notion dans le but de servir les besoins d’intégration des groupes dominants. De ce point de vue, l’interculturalisme serait une version « soft » de l’assimilationisme puisqu’il vise l’intégration des groupes minoritaires au sein d’un groupe majoritaire. Les critiques les plus radicales s’inspirent des approches orientées vers la lutte contre la discrimination (anti-racisme, droits humains). Selon cette perspective, le fait de parler des différences entre les personnes ou les groupes ne serait admissibleque dans la mesure où il permettrait de mettrela lumière sur l’impact de la discrimination sur les groupes vulnérables. Le simple fait de parler des différences entre les groupes peut, en effet, renforcer les stéréotypes et contribuer à la stigmatisation des groupes minoritaires. Cette critique nécessite plus de recherche et de réflexion puisque d’un point de vue interculturel, le fait de ne pas nommer les différences peut aussi renforcer la discrimination à l’égard des populations vulnérables.
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