Academic literature on the topic 'Mixité ethnique'

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Journal articles on the topic "Mixité ethnique"

1

Rodríguez-García, Dan. "Considérations théoricométhodologiques autour de la mixité." Enfances, Familles, Générations, no. 17 (January 10, 2013): 41–58. http://dx.doi.org/10.7202/1013414ar.

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Abstract:
Cet article propose quelques considérations théoricométhodologiques autour de la mixité. Il cherche à mettre en évidence les limites, les pièges et les dérives de la littérature existante en ce qui a trait à la conceptualisation de la notion de mixité. Après une contextualisation initiale (définition, variables et modèles liés au phénomène de la mixité), il s'agira d'indiquer les différents niveaux clés de complexité théorique et méthodologique du phénomène afin d'éviter les visions simplistes ou réductrices. Nous nous interrogerons donc sur la clarté de la notion d’« union mixte », l'équivalence entre mixité et intégration sociale, et nous soulignerons la complexité inhérente aux processus de configuration de l'identité ethnique résultante.
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2

Oudin, Anne-Sophie, and Lynn Drapeau. "Langue et identité ethnique dans une communauté montagnaise bilingue." Revue québécoise de linguistique 22, no. 2 (April 29, 2009): 75–92. http://dx.doi.org/10.7202/602770ar.

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Abstract:
Résumé Le contact avec le français a entraîné des bouleversements linguistiques majeurs chez les Montagnais de Betsiamites où la fossilisation des habitudes d’alternance codique mène directement à l’émergence d’une langue mixte. Il est courant dans le domaine des langues mixtes d’invoquer le développement d’une identité métissée comme élément déclencheur de la mixité de la langue. Cet article présente les résultats d’une enquête menée à Betsiamites qui démontrent que l’hybridation de la langue ne s’accompagne pas d’une mutation dans l’identité. Ces résultats remettent en question l’hypothèse qui veut que les langues mixtes soient créées dans le but de satisfaire aux exigences d’une identité ethnique en voie de redéfinition.
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3

Boufoy-Bastick, Béatrice. "La créolisation linguistique: une revendication identitaire aux Antilles." Verbum 3 (February 6, 2012): 31–38. http://dx.doi.org/10.15388/verb.2012.3.4966.

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Abstract:
Cet article discute du rôle des Créoles comme marqueur identitaire des Etats post-coloniaux des Antilles. Nombre d’Etats revendiquent une identité spécifique en se détachant de la langue coloniale et en forgeant leur propre identité linguistique dans une créolisation anti-hégémonique féconde et séditieuse. A cet effet, dans une dynamique de créolisation modérée, une reconceptualisation de la langue coloniale comme instrument d’affirmation culturelle évoquant la mixité ethnique inhérente aux sociétés antillaises post-coloniales s’attache à authentifier sa spécificité culturelle. Le constat d’une reconnaissance socio-politique croissante de la langue coloniale créolisée depuis la deuxième moitié du XXe siècle, répond à trois exigences, à savoir sociale confirmant le créole comme marqueur identitaire, économique fournissant une source de revenus et politique consolidant la cohésion sociale et l’unité nationale. Cet article brosse un état des lieux du paysage linguistique antillais et fournit un éclairage sur les politiques linguistiques sous-jacentes de revendication linguistique anti-hégémonique, fondées prudemment sur une créolisation modérée cautionnant la langue coloniale comme support incontesté de communication internationale dans une économie mondialisée.
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4

Legault, Marie-Josée. "La mixité en emploi au Québec... Dans l’angle mort chez les moins scolarisés?" Revue multidisciplinaire sur l'emploi, le syndicalisme et le travail 6, no. 1 (February 4, 2011): 20–58. http://dx.doi.org/10.7202/1000448ar.

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Abstract:
Dans cet article, je démontre, d’une part, que le marché du travail est encore grandement divisé selon le genre au Québec (théorie de la ségrégation sexuelle des emplois) mais que, d’autre part, les conséquences matérielles de cette division sont très différentes selon le niveau de scolarité. En effet, dans les emplois qui exigent le moins de scolarité, les femmes paient plus cher la division sexuelle des emplois que dans ceux qui en exigent davantage. À la différence des emplois plus qualifiés, les emplois les moins qualifiés présentent une très grande différence de salaires selon qu’ils sont principalement masculins ou féminins. Qui plus est, cette différence est un phénomène généralisé et favorise les emplois masculins. Cet écart de rémunération en faveur des hommes, dans les emplois requérant un secondaire V ou moins, ne présente qu’une très légère tendance à la baisse, alors que les écarts entre hommes et femmes, dans les emplois requérant un niveau de scolarité plus élevé, sont nettement à la baisse. Comme le niveau de rémunération de l’emploi n’est pas la seule dimension qui en définit la qualité, ni encore le seul critère de choix des candidats, l’Institut de la statistique du Québec (ISQ) a mis au point une typologie de la qualité de l’emploi qui a pour grande vertu de permettre de comparer tous les emplois salariés (les travailleurs autonomes en sont exclus) d’un territoire économique donné, entre eux et à travers le temps, et aussi de comparer des groupes de travailleurs détenant des caractéristiques particulières (sexe, âge, statut syndical, origine ethnique) au point de vue de la qualité des emplois détenus. En résumé, la typologie de qualité de l’emploi de l’ISQ présente un écart défavorable aux femmes dans les emplois de bonne qualité, quoiqu’à la baisse entre 1997 et 2007. Lorsqu’on décompose les groupes des hommes et des femmes selon le niveau de scolarité (dernier diplôme obtenu), on constate que l’écart défavorable aux femmes touche bien plus gravement les femmes les moins scolarisées. La démonstration permet de constater l’échec partiel des deux politiques québécoises d’équité en emploi et d’équité salariale. Cet article vise à établir l’existence d’un fait ignoré parce que jamais démontré, tant par les féministes que les administrateurs publics. Pourtant, les enjeux théoriques de cette démonstration sont doubles. D’abord, pratiquer l’analyse différenciée de la rémunération selon le genre et le niveau de scolarité à la fois permet de mettre en évidence un phénomène sous-estimé tant dans la théorie du capital humain que dans la théorie de l’overcrowding effect en matière d’écart salarial entre hommes et femmes. Cela permet de remettre en cause certains acquis de la théorie générale de la ségrégation sexuelle, qui utilise les deux dernières pour expliquer les effets salariaux de la ségrégation, ou encore les liens entre ségrégation professionnelle et iniquité salariale. Ensuite, cet examen permet de soulever des questions relatives aux limites de l’action collective du mouvement des femmes en matière d’équité salariale. Compte tenu de l’espace requis pour les traiter, ces enjeux seront traités dans un autre article. L’article démontre enfin que trois voies d’action souvent invoquées, à l’heure actuelle, permettent peu d’espoir pour contrer ce phénomène particulier : l’application de la Loi sur l’équité salariale, la négociation collective et la promotion interne. Néanmoins, ce problème touche près de 500 000 femmes au Québec, après 25 ans de pratique des programmes d’accès à l’égalité et près de 15 ans d’application de la Loi sur l’équité salariale. En revanche, la voie des programmes d’accès à l’égalité, mieux exploitée, pourrait permettre un certain progrès.
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Meintel, Deirdre, and Emmanuel Kahn. "De génération en génération." Ethnologies 27, no. 1 (February 5, 2007): 131–63. http://dx.doi.org/10.7202/014025ar.

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Abstract:
Résumé Cet article s’appuie sur plusieurs recherches menées au cours des années 1990 dans différents milieux sociaux et culturels à Montréal sur la question des identités ethniques des jeunes issus de l’immigration. Ces divers travaux ont permis de constater que les parents immigrants, les parents en union mixte et ceux qui adoptent à l’étranger formulent des projets spécifiques quant à l’identité ethnique de leur enfant et déploient plusieurs stratégies concrètes à cet effet. Une étude récente que nous menons sur les unions mixtes inclut un échantillon de parents qui ont grandi en milieu ethnique minoritaire à Montréal. Leurs projets identitaires pour leurs enfants sont comparés avec leur propre socialisation et les projets identitaires qu’avaient leurs parents immigrants pour eux. Cet article démontre que les projets identitaires actuels des jeunes parents issus de milieux immigrés se distinguent de ceux des cohortes précédentes à plusieurs égards, notamment en ce qui a trait aux enjeux de la réalité pluraliste.
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6

Mc Andrew, Marie, and Paul Eid. "La traversée des frontières scolaires par les francophones et les anglophones au Québec : 2000-2002." Cahiers québécois de démographie 32, no. 2 (September 8, 2004): 223–53. http://dx.doi.org/10.7202/008995ar.

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Abstract:
Les auteurs tracent, à l’échelle du Québec, le portrait de la fréquentation par les francophones et les anglophones d’une école de l’autre secteur, eu égard à l’ampleur du phénomène et à ses variations à divers points de vue (ordre d’enseignement, réseau public ou privé, régions), ainsi qu’à son impact sur l’un et l’autre secteur d’accueil. Ils approfondissent ensuite la réalité montréalaise en prenant comme unité d’analyse des écoles à population mixte au plan linguistique, dont ils décrivent le profil spécifique : localisation géographique; appartenance au réseau privé ou public; degré de concentration ethnique et de défavorisation. Ils proposent en conclusion une réflexion préliminaire sur le sens de la traversée des frontières scolaires au Québec au plan des relations ethniques.
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Schuft, Laura. "Devenir « demi » en Polynésie française." Anthropologie et Sociétés 38, no. 2 (July 21, 2014): 67–88. http://dx.doi.org/10.7202/1026165ar.

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Abstract:
Basé sur un travail doctoral mené entre 2004 et 2007 auprès de 54 personnes en couple dit « mixte » (« métropolitain »-« polynésien ») à Tahiti et à Moorea, cet article propose une analyse des usages sociaux de la catégorie de métissage : « demi ». La Polynésie française étant lieu de métissages transcontinentaux depuis 200 ans, Michel Panoff (1989) avait estimé qu’il n’existerait plus de Polynésiens non-métissés de fait. D’autres auteurs affirment que les « Demis » ne constituent qu’une classe sociale (Rallu et al. 1997). Dans ce contexte, quels critères symboliques sont employés pour démarquer la catégorie de « Demi » des autres appartenances ethniques de la société tahitienne contemporaine ? La genèse historique de cette catégorie prédit, dans son usage contemporain, le lien fort avec les statuts socioéconomiques des personnes. Or, les résultats de ce travail indiquent un autre facteur qui pèse sur la catégorisation ethnique : le genre. En effet, si toute l’ambigüité des distinctions sociales entre « Polynésien » et « Demi » repose sur l’affichage de symboles de statuts socioéconomiques dans le système de valeurs capitalistes et occidentales, la distinction devient saillante chez les hommes. Cet article se penche sur ces modalités dynamiques de catégorisation et de distinction entre appellations ethniques qui mobilisent autant les statuts socioéconomiques que le genre.
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8

Khachaturyan, Maria. "De la stigmatisation raciale à l’identité ethnique: le cas du métissage Russo-Africain / From Racial Stigma to Ethnic Identity: the case of the afro-russians’ mixed identity." Revista Polis e Psique 5, no. 1 (February 20, 2015): 55. http://dx.doi.org/10.22456/2238-152x.53662.

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Abstract:
Cet article porte sur la construction de l’identité ethnique “mixte” de jeunes Russo-Africains. La construction de l’identité ethnique est ici analysée en tant que produit d’interactions sociales à partir desquelles les pratiques sociales, la représentation de soi et les réseaux sociaux jouent un rôle important. Nous essayons de démontrer que dans une société avec un niveau de xénophobie assez important l’origine africaine devient un stigmate social, dans le sens de Goffman. La construction de l’identité ethnique est examinée tout d’abord à travers l’expérience sociale de stigmatisation qui met en avant la dualité de l’origine des Russo-Africains, ainsi que leurs différences. Ensuite, c’est l’impossibilité d’épouser pleinement l’une des identités « pures », à savoir « russe » ou « africaine ». Finalement, on observe le processus de bricolage identitaire : la construction d’une identité « mixte » qui se produit à travers la sélection d’éléments distincts des deux représentations culturelles. Nous montrons ensuite comment la création des communautés et des réseaux sociaux contribuent au développement d’une communauté ethnique russo-africaine, sans pour autant que l’on puisse la considérer comme un véritable groupe ethnique.
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Djokovic, Zorica. "Stanovnistvo istocne Makedonije u prvoj polovini XIV veka." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 40 (2003): 97–244. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0340097d.

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Abstract:
(francuski) Le but du pr?sent ouvrage est de pr?senter la structure ethnique de la Mac?doine de l'Est dans la p?riode entre 1300 et 1341, et cela en se basant sur les donn?es anthroponymiques. Cette limitation dans le temps et l'espace a ?t? impos?e par les sources elles-m?me, qui sont les praktika (une sorte de registre des cadastres) des monast?res d'Athos, car ils sont les seuls ? avoir ?t? conserv?s. Les monast?res en question avaient eu des propri?t?s dans cette r?gion-l? et c'est uniquement pour cette p?riode qu'ils permettent de suivre continuellement la population dans certains villages. Il faudrait prendre en consid?ration le fait que dans les praktika ?taient recens?s uniquement les par?ques (paysans d?pendants) des monast?res d'Athos dans 65 villages, et non pas la population enti?re de cette r?gion. Parfois un monast?re dans un certain village n'avait qu'un ou deux m?nages de par?ques. Cela signifie que les r?sultats que nous avons obtenus ?taient relatifs. Deuxi?mement, toutes les agglom?rations ne sont pas couvertes par les sources pour toute la p?riode mentionn?e. Rares sont les cas o? pour un village il existe 3-4 praktika ce qui nous permet de suivre sa population dans 2-3 g?n?rations. Le cas le plus fr?quent est lorsqu'il n'existe qu'un seul praktika ce qui nous permet uniquement de constater dans quelle circonstance avait apparu le praktika, mais pas de suivre les changements ?ventuels dans la structure de la population. ?galement, il faudrait tenir compte du fait que c'est uniquement la population paysanne qui a ?t? recens?e. Dans la majorit? des praktika, les m?nages de par?ques sont d?crit en d?tail, quant aux par?ques eux-m?me, ils sont identifi?s de mani?re diff?rente, le plus souvent d'apr?s leur nom individuel ou d'apr?s une autre caract?ristique comme par exemple un surnom, une profession compl?mentaire une origine ethnique, lieu d'o? la personne ?tait venue, relation familiale par rapport ? une autre personne. Ces moyens d'identification nous pr?sentent des donn?es pr?cieuses sur la soci?t? rurale et sur les professions compl?mentaires exerc?es par les paysans (il s'agit le plus souvent de m?tiers et plus exactement le m?tier de cordonnier, de forgeron et de potelier), sur les rapports entre les gens, les conditions mat?rielles, les migrations, la langue utilis?e par la population... Afin d'?tudier la structure ethnique d'apr?s l'anthroponymie, il fallait avant tout classifier les pr?noms. En effectuant cela, nous nous sommes confront?s ? plusieurs probl?mes. Il arrive parfois que dans la litt?rature scientifique que nous avons consult?e, on donne des interpr?tations compl?tement diff?rentes des pr?noms que nous avons rencontr?s, c'est pourquoi, nous avons d? juger de nous-m?me assez souvent. Tout en nous basant avant tout sur l'?tymologie mais ?galement sur l'observation de la situation sur le terrain. Par exemple si pour un pr?nom ou un mot on suppose qu'il est d'origine slave, nous nous sommes efforc?s de d?finir si ce nom apparaissait plus souvent dans un milieu o? il y a des Slaves. Les listes des noms et surnoms sont aussi donn?es afin que nos conclusions puissent ?tre contr?l?es. Certains des probl?mes sont originaires des recenseurs eux-m?mes. Ils ?taient Grecs et certains d'entre-eux ne savaient pas transcrire correctement les pr?noms et les surnoms non-grecs. Cela est particuli?rement valable pour les sons qui n'existent pas dans la langue grecque. Parfois ils hell?nisent les pr?noms non-grecs et leur donnent un sens qu'ils n'avaient pas. Par exemple: le surnom slave Stur (St?nr?z) est transcris d'une mani?re incorrecte en tant que surnom grec Zgur (Sgsyr?z). Derri?re ces formes aussi modifi?es il est impossible de reconna?tre la forme v?ritable sauf s'il existe des s?ries praktika qui permettent que les donn?es soient compar?es. Pourtant, la classification m?me des pr?noms ne suffit pas pour aboutir ? des conclusions fiables sur l'appartenance ethnique de leur porteurs. N?anmoins, le plus grand nombre repr?sentent les pr?noms du calendrier qui n'indiquent rien sur l'appartenance ethnique, ? moins que des variations populaires de ces pr?noms ne soient utilis?es (par ex. Joanakis ou Joanikije au lieu de Jovan chez les Grecs ou Ivan, Ivanko Janko chez les Slaves) et ceci est extr?mement rare. Les plus pr?cieux sont les pr?noms populaires. Mais, l? aussi il faut ?tre tr?s vigilant. En g?n?ral, si quelqu'un porte un pr?nom slave, il est Slave. Cependant, il arrivait souvent que ce pr?nom devienne un nom patronymique et soit ainsi transmis ? travers les g?n?rations, quant ? la famille, elle s'hell?nisait entre-temps. Nous sommes arriv?s ? la conclusion que l? o? les noms individuels apparaissent au moins dans deux g?n?rations, il s'agissait s?rement des Slaves pop-hell?nis?s (qui parlent le slave). Au cas o? les descendants des Slaves portent des noms individuels grecs, nous avons de bonnes raisons ? douter qu'il s'agisse d'une hell?nisation (qui est du moins entam?e, ce qui ne veut pas dire qu'elle ait aboutit ? une fin). Les surnoms sont nombreux et vari?s. Ils peuvent nous ?tre d'une grande utilit? dans la d?termination de l'appartenance ethnique de quelqu'un. Vu que la majorit? de par?ques porte des pr?noms eccl?siastiques c'est-?-dire neutres, comme nous les avons nomm?s pour les besoins de notre ouvrage, les surnoms sont particuli?rement pr?cieux lorsque nous rencontrons ce genre de situations. N?anmoins, l'existence de surnoms slaves nous montre que dans le milieu o? ils apparaissent, la langue slave est comprise et parl?e, alors que le grec nous indique que le grec est compris et parl?. En principe, celui qui porte un surnom slave est le plus souvent Slave. Cependant, l'existence de ce genre de surnom n'exclut pas Fhell?nisation. Il existe une autre difficult? qui est que les membres d'un groupe ethnique peuvent avoir un surnom dans la langue de l'autre peuple avec lequel le plus souvent ils cohabitent. Il existe plusieurs cas o? les Slaves pour lesquels nous sommes certains qu'ils sont Slaves, car les membres de leur famille portent des noms individuels slaves ont un surnom grec. L'analyse a montr? que ce genre de cas se rencontrent dans les r?gions bilingues o? ce surnom avait ?t? compr?hensible aux membres des deux ethnies. C'est pourquoi, les surnoms, en tant qu'indices de l'appartenance ethnique ne peuvent en aucun cas ?tre utilis?s individuellement, mais uniquement en combinaison avec d'autres donn?es. Les r?sultats auquels nous sommes parvenus sont les suivants. La Mac?doine de l'est ?tait au XIVe si?cle une r?gion encore ethniquement h?t?rog?ne ce qui ne fait que confirmer les r?sultats des autres chercheurs. Pourtant, la question de la structure ethnique est r?duite ? la question des relations entre Grecs et Slaves. Les autres peuples qui se rencontrent, et qui sont les Latins, les Valaches, divers peuples turcs, les Albanais, les Arm?niens les Rom et m?me un Juif et une famille hongroise, ils forment tous une minorit? g?n?ralement d?j? assimil?e. Dans la moyenne, les pr?noms et surnoms slaves se manifestent dans un peu plus d'un quart de familles recens?es. Cela ne veut pas dire que les Slaves pop-hell?nis?s repr?sentaient r?ellement une partie si importante de la population de l'est de la Mac?doine, car leur pr?noms et surnoms se transformaient parfois en nom de famille et ?taient ainsi conserv?s m?me apr?s que la famille se soit hell?nis?e. D'autre part il faut prendre en consid?ration qu'un certain nombre de Slaves se dissimulait derri?re des pr?noms eccl?siastiques et c'est pourquoi il est rest? pour nous imperceptible. Donc, les donn?es statistiques pr?sentent uniquement une image relative de la r?alit?, mais elles sont donn?es dans l'ouvrage car il a ?t? n?cessaire de donner un certain rapport num?rique de la pr?sence des Grecs et des Slaves. La pr?sence de la population slave dans la Mac?doine de l'Est n'est pas proportionn?e. On observe plusieurs r?gions qui se distinguent par la pr?sence des Slaves ? leur sein, c'est pourquoi nous les avons analys?s individuellement. La Chalcidique est une r?gion o? le nombre de Slaves, dans la p?riode depuis le d?but du XIVe si?cle jusqu'en 1341 ?tait consid?rable. En moyenne, leurs pr?noms et surnoms se manifestent dans environ 25% de m?nages ce qui, statistiquement parlant, nous indique que les Slaves repr?sentait un quart de la Chalcidique, qu'il s'agisse des Slaves qui avait encore gard? leurs caract?ristiques ethniques, ou qu'il s'agisse de ceux qui se sont hell?nis?s mais qui ont gard? leur noms individuels ou leurs surnoms slaves en tant que noms de famille. Lorsque l'on effectue une coupe dans le temps de la pr?sence des pr?noms et surnoms slaves, il est ?vident que le nombre de Slaves en Chalcidiques diminue sans cesse. De 35,98% combien il y en avait au d?but du XIVe si?cle, leur nombre jusqu'aux ann?es vingt avait diminu? et repr?sentait 20,81% et le d?croissement continuait jusqu'? 1341 lorsqu'ils apparaissent dans uniquement 13,69% de m?nages. Dans cette m?me p?riode, on distingue une hausse du nombre de m?nages portant des pr?noms grecs, ainsi qu'une baisse de m?nages portant des pr?noms mixtes c'est-?-dire avec des pr?noms populaires d'au moins deux peuples, dans ce cas-l?, le plus souvent grec et slave. Nous pensons que dans ce ph?nom?ne se cache l'explication de la diminution du nombre de familles portant des pr?noms slaves. N?anmoins, comme les mariages mixtes ?tait une chose fr?quente, avec le temps, dans ces couples dominait l'influence grecque ce qui est tout ? fait compr?hensible, ?tant donn? que les Grecs, comme on peut le remarquer sur le tableau 3, d?j? au d?but du si?cle ?taient dominants. En plus du fait que l'on remarque que le nombre de Slaves est en baisse continue, on remarque que leur pr?sence n'?tait pas partout la m?me. En relation avec cela, il existe de nombreuses diff?rences entre la Chalcidique de l'Ouest et de l'Est. En g?n?ral, pour la Chalcidique de l'Ouest on pourrait dire que le nombre de Slaves, plus exactement, les familles portant des pr?noms et surnoms slaves est petit. Statistiquement observant, ce nombre s'?l?ve ? environ 13% et reste stable pour toute la p?riode de 1301 jusqu'? 1341. Cependant, dans certains endroits comme par exemple Epan?-Bolbos Skyloch?rion, N?akitou ainsi que d'autres endroits, ils n'apparaissent pas du tout. M?me dans les endroits o? il y en avait dans un nombre consid?rablement plus grand que la moyenne, comme c'est le cas avec Sainte-Euph?mie, nous sommes les t?moins de leur disparition ? la suite de l'hell?nisation compl?t?e. Deux autres faits t?moignent de la fin du processus d'hell?nisation des Slaves dans la Chalcidique de l'Ouest. Le premier fait est que dans la majorit? des cas o? nous rencontrons des pr?noms ou surnoms slaves, ils apparaissent en fonction de noms fig?s et sont port?s par des personnes aux pr?noms eccl?siastiques voire m?me grecs alors qu'il y a tr?s peu de noms individuels slaves. Deuxi?mement, l? o? les pr?noms slaves apparaissent comme noms individuels, ils sont le plus souvent port?s par des immigrants, dont certains d'entre eux sont devenus les gendres dans certaines familles grecques autochtones. En Chalcidique de l'Est il y avait consid?rablemet plus de Slaves que dans la partie ouest de la p?ninsule. En moyenne, les pr?noms slaves apparaissent dans un tiers de m?nages. Pourtant si nous observons chronologiquement les sources, nous nous apercevons que le nombre de Slaves est en baisse continue. De 38,29% combien ils ?taient au d?but du si?cle, leur nombre baisse ? environ 30% dans les ann?es vingt du XIVe si?cle pour ensuite baisser ? seulement 14,49% en 1338-1341. Ce dernier r?sultat est ? prendre avec r?serve. N?anmoins pour les ?tapes pr?c?dentes nous disposons de dix fois plus de donn?es que pour la derni?re ?tape. C'est pourquoi nous estimons que le r?sultat obtenu est, au moins partiellement, la cons?quence de la nature fragmentaire des sources, et qu'il y aurait pu ?tre beaucoup plus de Slaves. Ici, les Slaves ?taient encore rest?s en tant que groupe ethnique solide. L'hell?nisation ?tait ici aussi entam?e, mais elle n'a pas ?t? compl?t?e. Ce qui caract?rise en g?n?ral cette r?gion, c'est l'importante mixit? ethnique de la population, la coexistence et le bilinguisme. Cependant, la situation varie d'un village ? un autre. Il y en a de ceux o? les pr?noms et les surnoms slaves se manifestent uniquement en fonction de patronymes, alors qu'aucun membre de la communaut? ne porte un pr?nom slave en tant que nom individuel ce qui t?moigne du fait que les Slaves, autrefois, dans un pass? pas si lointain, ?taient pr?sents, l?, mais qu'une hell?nisation a ?t? effectu?e comme c'est le cas avec Hi?rissos et Gomatou. Il y en a aussi o? le nombre de Slaves est important mais qui dimunue avec le temps ce qui indique que l'hell?nisation est en cours comme ? Kozla. Certains villages indiquent un haut pourcentage de population slave comme Gradista, Simeon et S?lada, mais on y rencontre pourtant des traces d'hell?nisation. Dans d'autre, n?anmoins le nombre de Slaves augmente: ? Kontogrikon et ? M?tallin.Ce qui peut aussi ?tre observ? c'est qu'une si grande pr?sence de Slaves pourrait ?tre expliqu?e non seulement par leur r?sistance vis-?-vis de l'hell?nisation mais aussi par leur migrations r?centes dans ces r?gions-l?, ce qui signifie qu'ici nous ne rencontrons pas uniquement les descendants des Anciens Slaves, c'est-?-dire ceux qui ?taient venus dans ces r?gions d?j? au septi?me si?cle, mais aussi que la communaut? ethnique slave ?tait renforc?e avec l'arriv?e des nouveaux Slaves. Dans la r?gion de Strymon, on distingue plusieurs r?gions caract?ristiques. La premi?re r?gion est la vall?e de Strimona pour laquelle on pourrait dire la m?me chose que pour la Chalcidique de l'Ouest, c'est pour cela que nous ne r?p?terons pas les r?sultats ? cet endroit-l?. La deuxi?me est la r?gion montagneuse de Kerdylion et Bolb?. Malheureusement, pour cette r?gion nous disposons uniquement de donn?es pour les dix premi?res ann?es du XIVe si?cle. En g?n?ral, on pourrait dire pour elle que le nombre de Slaves est ?lev?. Leur pr?sence correspond ? celle de la Chalcidique de l'Est, elle est m?me quelque peu plus importante. Malgr? l'hell?nisation qui s'?coule en toute ?vidence, leur nombre est relativement stable. Le fait qu'en 1318-1321, les pr?noms populaires slaves se rencontrent seuls dans plus de 20% de m?nages nous indique qu'au moins un cinqui?me de la population devait ?tre slave et pop-hell?nis?e. Le nombre de mariages mixtes est important. On parle les deux langues, le slave et le grec. Cependant, ceci est valable uniquement pour une p?riode de vingt ans, de 1301 jusqu'? 1321. Malheureusement, les sources ne nous permettent pas de suivre ce qui se passait plus tard avec la population de ces villages-l?. La troisi?me province est la r?gion du mont de Pang?e qui est caract?ris?e par une forte pr?sence de Slaves. Ils repr?sentaient presque la moiti? de la population de cette r?gion. Dans certains villages il y en avait m?me beaucoup plus par exemple ? Boriskos en 1316, dans certains villages ils ?taient plus nombreux que les pr?noms purement grecs comme dans le m?toque de Saint-Pent?l??im?n et Ob?los. Les pr?noms slaves se rencontrent comme noms individuels, c'est-?-dire pr?noms vivants, et non pas comme des mots slaves fig?s en fonction des noms patronymiques. Sur l'existence de l'?l?ment slave nous parlent non seulement les nombreux cas que les descendants des Slaves portent des pr?noms slaves mais il y a aussi de nombreux cas o? les enfants issus de mariages mixtes gr?co-slave portent ?galement des pr?noms slaves. Ceci d?montre que dans ces mariages-l? il n'y avait pas la domination de l'?l?ment grec, ou du moins pas tout de suite. Nous sommes les t?moins que les enfants de parents aux pr?noms grecs portent parfois des pr?noms slaves. Ceci pourrait signifier que m?me l? o? l'on donnait des pr?noms grecs aux Slaves, ces derniers n'ont pas ?t? automatiquement hell?nis?s, mais vu qu'entour?s d'une importante population slave, ils r?ussissaient ? conserver encore leurs caract?ristiques ethniques ainsi que le fait qu'ils ?taient hell?nis?s tr?s difficilement et lentement. Ils s'?taient maintenus ici en tant qu'?l?ment ethnique extr?mement fort et ils n'ont pas ?t? hell?nis?s jusqu'? l'arriv?e des Turques. Les exemples de villages de Dobrobikeia et Ob?los le montrent tr?s bien, ces villages ?taient d?plac?s ? la suite d'attaques turques dans la p?riode entre 1316 jusqu'? 1341. En g?n?ral, on pourrait y ajouter encore que la population slave s'est beaucoup mieux maintenue dans les r?gions montagneuses que dans les r?gions maritimes et dans les plaines. On pourrait dire que la Mac?doine de l'Est ?tait une r?gion interm?diaire entre les provinces slaves du nord et les provinces grecques du sud. Il est imp?ratif d'ajouter que la mixit? de la population est grande et que tout partage en population purement grecque ou purement slave pourrait ?tre artificiel. On peut facilement remarquer dans les sources que les habitants de certaines r?gions et agglom?rations comprenaient les deux langues et que le nombre de mariages mixtes ?tait consid?rable. Il y avait des familles qui contenaient voire m?me trois ?l?ments ethniques. Le bilinguisme et la coexistence ?taient chose commune c'est pourquoi nous pensons qu'ils repr?sentent m?me le principal facteur d'hell?nisation ?tant donn? qu'avec le temps, il y a eu une domination de l'?l?ment ethnique grec m?me dans les milieux caract?ris?s par une forte pr?sence des Slaves.
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Ollivier, Michèle, and Guy Gauthier. "L’éclectisme culturel : l’exemple de la télévision au Québec." Recherche 48, no. 1 (August 9, 2007): 15–41. http://dx.doi.org/10.7202/016205ar.

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Abstract:
Cet article se penche sur l’hypothèse, avancée dans les années 1990 par Richard Peterson, que l’on assiste actuellement dans le champ des pratiques culturelles à l’émergence d’une polarisation entre une classe éduquée d’omnivores culturels, dont les goûts et les pratiques sont diversifiés, et une classe moins éduquée d’univores culturels aux goûts plus restreints. À partir d’une analyse de l’écoute de dix genres d’émissions de télévision, nous nous interrogeons à savoir si l’éclectisme contemporain varie en fonction du champ dans lequel il s’exprime. Après avoir construit un indice de diversité des pratiques et une typologie des types d’amateurs de télévision, nous faisons état de résultats qui vont en sens inverse de toutes les recherches antérieures qui ont porté sur la musique et les sorties culturelles : en matière d’écoute télévisuelle, ce sont les personnes qui sont les plus éduquées, qui vivent dans de grandes villes, qui ont une origine ethnique mixte et qui utilisent plus d’une langue qui ont tendance à avoir des goûts plus restreints et à être univores. Ces résultats indiquent que l’éclectisme des goûts n’est socialement valorisé que dans la mesure où il s’alimente au moins en partie à des activités qui sont elles-mêmes valorisées ou valorisables et que les logiques à l’oeuvre dans des champs comme la musique et les sorties culturelles ne sont donc pas automatiquement transposables à toutes les pratiques culturelles.
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Dissertations / Theses on the topic "Mixité ethnique"

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Adler, Yoann. "Les familles face au choix du collège : logiques d’action, régulation administrative et critique sociale." Thesis, Lyon 2, 2013. http://www.theses.fr/2013LYO20079.

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Abstract:
Cette thèse s’inscrit dans un contexte de préoccupation internationale sur le choix de l’école par les familles et plus particulièrement, dans le contexte national français de réflexions nouvelles concernant la politique de la sectorisation : assouplissement de la carte scolaire de 2007 et depuis 2012, recherche d’une nouvelle forme de sectorisation stricte-ment applicable. En France, après deux décennies d’expériences d’assouplissement de la carte scolaire, effectuées par les gouvernements de droite comme de gauche, la mesure du 4 juin 2007 représente, même si la mesure en est finalement restée au stade de l’assouplissement, une liberté nouvelle dans l’esprit des familles sur laquelle il sera difficile de revenir. Le but de notre travail est donc double. Il s’agit d’abord de montrer, à travers l’épreuve que constitue le choix du collège pour les familles, les évolutions du rapport entre des usagers – les élèves et leurs parents - et leur service public d’éducation. Si la revendication du choix de l’école remonte au début des années 1980, lorsqu’un certain nombre de parents se sont rendu compte que tous les établissements scolaires ne se valaient pas, force est d’observer que les logiques à l’origine de cette dernière ont évolué. Si la logique marchande persiste, on note surtout l’émergence de nouvelles formes de la logique civique relatives aux droits des usagers : le droit à l’information, le droit à un établissement efficace, le bien-être de son enfant, sa sécurité etc. Nous cherchons à montrer qu’aux différents niveaux de régulation administrative – central, intermédiaire et local -, les acteurs de l’Education nationale tentent de répondre, comme les acteurs des collectivités territoriales, à ces nouvelles attentes des familles même si c’est parfois également dans le but de servir leurs propres intérêts : logiques électoralistes, éviter les défections d’un collège en peine d’attractivité etc. Le deuxième objectif de notre étude est d’identifier, dans un contexte d’assouplissement généralisé inédit, l’évolution des rapports de concurrence et de coopération entre les collèges d’un même territoire et les logiques des différents acteurs qui en sont à l’origine. Parmi les principaux résultats, nous avons pu observer que la mixité sociale et ethnique ainsi que les régulations locales et intermédiaires en matière d’offre de formation étaient des éléments prépondérants dans les rapports de concurrence et de coopérativité entre les établissements
The present thesis, relevant of a broader concern about families' choice of school, more specifically tackles issues raisedby recent approaches on the sectorisation policies implemented in France: the 2007 relaxation of the school map and, mostly since 2012, the efforts to shape a new sectorisation model on a strict compliance basis. As the latest update of two decades of experiments with the relaxation of the school map carried out by both right-wing and left-wing governments, the Education Act of June, 4th 2007, though not venturing beyond the relaxation stage, has deeply impacted families' ways of thinking and availed them with a new sense of liberty which cannot be ignored nor brushed aside effortlessly. Consequently, the purpose of this study is twofold.First and foremost, we will consider how the relation between users – pupils and their parents – and public service education has been affected by the families' choice of secondary school – which all too often amounts to a trying experience. Demands for choice of school originated in the early 80's with a growing awareness on the parents' side that ed cational facilities were not on par, yet the logical determinants behind these demands have significantly shifted in focus. While a market-based logic remains a key factor, new forms of civic logic have surfaced which are mostly concerned with the rights of users, laying a strong emphasis on the right to information, the access to an efficient school, the well-being and safety of one's child, etc. On every level of administrative regulation, whether central, intermediate or local, the educational community as well as the local authorities have been trying to meet the families' new expectations, sometimes if only to serve special interests : garner electoral votes, contain defections from school institutions plagued by a lack of attractivity, etc. This is properly the core of our demonstration. The second – and far from secondary – purpose of our study is to delineate the evolution of the relations of competition and cooperation between secondary schools located in a same area, highlighting in the process the various actors' logics at work within this broader – and unprecedented – relaxed framework. In the course of this study, we have been able to assess, among various factors, how social and ethnic mixity, along with effective regulation of training provision on local and intermediate levels, play a preponderant and substantial part in the relations of competition and cooperation between school institutions
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Zouari, Nabil. "Derrière le "ghetto", la centralité minoritaire : le rôle de la présence commerciale dans un quartier d'habitat social en rénovation." Thesis, Lyon, 2020. http://www.theses.fr/2020LYSE2022.

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Abstract:
Cette thèse analyse le rôle du commerce dans un quartier défavorisé de grand ensemble. Elle évalue notamment la capacité d’un centre commercial dévalorisé aux yeux des acteurs publics à jouer le rôle d’espace « tremplin » pour les habitants du quartier. Pour ce faire, la thèse aborde le commerce comme un système social total, en multipliant les points de vue et les perspectives. Les plateformes commerciales de grand ensemble d’habitat social ont, dès les années 1970,connu un déclin de leur commercialité. Cette évolution est généralement expliquée par divers facteurs, dont la paupérisation de leurs quartiers d’implantation, ou le déploiement des hypermarchés en périphérie des villes françaises. Sont aussi mises en cause des erreurs de conception architecturale et urbaine, avec notamment la déconnexion de ces lieux vis-à-vis des flux piétons et motorisés. Parallèlement, l’image de ces plateformes s’est ethnicisée dans la mesure où les grands ensembles de banlieue sont devenus terres d’accueil d’une immigration postcoloniale. Forte de ces constats, la rénovation urbaine des quartiers défavorisés s’accompagne généralement d’une profonde refonte de l’armature commerciale existante et de la mise en place d’outils de régulation. Pourtant, certaines des polarités commerciales mises en cause par la rénovation urbaine affichent une bonne santé économique avec d’importants chiffres d’affaires, un faible taux de vacance et peu de rotation. C’est notamment le cas de la polarité commerciale du Mas du Taureau à Vaulx-en-Velin. Cette thèse propose ainsi de comprendre comment cet espace marchand de banlieue a pu et a su s’adapter. La thèse commence par explorer les capacités de résilience des commerçants du Mas du Taureau et leurs stratégies de développement économique. Celles-ci s’inscrivent dans une dynamique commerciale collective fondée sur le modèle « petits paniers, beaucoup de paniers ». Ce modèle prend appui sur un ancrage social populaire doté d’un régime d’interconnaissance et un réseau de sociabilité dense . Mais au-delà de l’ancrage dans la proximité, le centre commercial a été capable de rayonner à une échelle métropolitaine. En effet, l’enquête montre que la bonne santé économique et la forte fréquentation du centre commercial dépassent les standards de la polarité de proximité. La thèse analyse donc les principaux facteurs qui ont permis ce passage non programmé d’une polarité de proximité vers une centralité commerciale métropolitaine. Cette centralité s’appuie sur un marché bihebdomadaire et de nombreux commerces sédentaires (boucheries, boulangeries, restaurations) qui rayonnent dans un vaste quadrant de l’aire métropolitaine lyonnaise. L’attractivité du centre commercial du Mas du Taureau fait de lui une centralité minoritaire, s’approchant des standards de la « super diversité », un concept introduit en 2007 par Steven Vertovec. Il apparaît que la capacité du centre commercial à attirer des clients extérieurs au quartier s’opère dans un jeu de spécialisations « ethniques » plein de faux semblants. La plupart des commerçants n’ont pas une stratégie de marketing ethnique, et sont plutôt à la recherche d’un ancrage social et territorial propice au développement économique de leurs boutiques. La thèse s’attarde au demeurant sur les quelques marqueurs ethniques formés localement et qui procurent à l’offre commerciale du Mas du Taureau une image de centralité minoritaire. La thèse examine enfin le point de vue des décideurs publics locaux. Ceux-ci perçoivent souvent cet espace marchand au prisme du communautarisme, conduisant à de nouvelles formes de régulation publique. La polarité commerciale se trouve ainsi administrée par de puissants outils de gestion qui l’installent au centre d’une tension durable. Aujourd’hui, la réussite économique de la polarité commerciale n’est pas reconnue et son maintien ne semble pas envisagé
This thesis analyzes the role of commerce in a large underprivileged district. In particular, it evaluates the capacity of a local shopping centre, which some public actors aim to destroy, to be a place of opportunity for its inhabitants. To do so, the thesis approaches commerce as a “total” social system, by multiplying the points of view, including planning, urban design, economic, social as well as political perspectives. Commercial polarities of French large social housing estates have, since the 1970s, experienced a decline in their commerciality. This evolution is generally explained by various factors, including the impoverishment of the neighbourhoods in which they are located, or the deployment of hypermarkets on the outskirts of French cities. Architectural and urban design errors are also questioned, especially the disconnection of these places from pedestrian and motorised traffic. At the same time, following the population dynamics within large suburban complexes, the image of these commercial polarity has become ethnicized. From there, urban renewal in disadvantaged neighbourhoods is generally accompanied by major urban transformations and the introduction of regulatory tools. However, some of the commercial polarities involved in urban renewal are economically healthy with important sales figures, low vacancy rates and low turnover. This is notably the case of the commercial polarity of the Mas du Taureau in Vaulx-en-Velin. This thesis thus proposes to understand how this suburban shopping area has been able to adapt.The thesis begins by exploring the resilience capacities of the Mas du Taureau retailers and shopkeepers and their economic development strategies. Those strategies are based on a regime of mutual knowledge and a dense network of sociability. Besides, the shopping centre has been able to radiate on a metropolitan scale. Indeed, the survey shows that the good economic health and high sales of the shopping centre exceed the standards of proximity polarity. The thesis therefore analyzes the main factors that allowed this unplanned shift from proximity polarity to metropolitan shopping centrality. The latter type of centrality is sustained by a bi-weekly market and numerous sedentary businesses (butcher's shops, bakeries, restaurants) that radiate out over a vast quadrant of Lyon metropolitan area. The attractiveness of the Mas du Taureau shopping centre makes it a minority center approaching the standards of "super diversity", a concept introduced in 2007 by Steven Vertovec. It appears that the shopping centre's ability to attract customers from outside the neighbourhood is based on a game of "ethnic" specialisations full of make-believes. However, the thesis focuses on a few locally trained entrepreneurs and ethnic markers that give the Mas du Taureau's commercial offer an image of minority centrality.Finally, the thesis examines the point of view of local public decision-makers. They often perceive this market space through the prism of communitarianism, leading to new forms of public regulation. The commercial polarity is thus administered by powerful management tools that place it at the centre of a lasting tension. As of today, the economic success of Mas du Taureau commercial polarity is not acknowledged by local public actors and its maintenance is minimal. Through the analysis of the current urban renewal project, the thesis shows the representations of local actors that underlie the project to destroy a dynamic shopping centre in order to rebuild another one with an uncertain future
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Verschelden, Marie-Claude. "Le rapport d'altérité dans les relations ethniques : le cas des couples mixtes du Saguenay-Lac-Saint-Jean /." Thèse, Chicoutimi : Université du Québec à Chicoutimi, 1999. http://theses.uqac.ca.

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Brun, Solène. "Trouble dans la race : construction et négociations des frontières raciales dans deux types de familles mixtes en France." Thesis, Paris, Institut d'études politiques, 2019. http://www.theses.fr/2019IEPP0025.

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Abstract:
Cette thèse prend pour objet les frontières raciales et leurs dynamiques en France, à partir de l’étude croisée de deux configurations familiales dans lesquelles la mixité raciale est particulièrement saillante : les familles ayant eu recours à l’adoption internationale et les familles formées par des couples mixtes. En nous invitant à situer l’approche analytique au croisement entre sociologie de la famille, des socialisations et des relations raciales, l’étude de ces deux types de familles – transgressives de la norme d’homogénéité raciale intrafamiliale – nous permet d’investiguer les lieux intimes de la formation des identités raciales dans un contexte « trouble » qui s’avère particulièrement heuristique. Si la famille est généralement reconnue comme étant le lieu par excellence des socialisations primaires, notamment de classe et de genre, la race comme rapport social demeure toutefois sous-explorée dans les études sur la socialisation en France. Cette thèse entend participer à l’investigation empirique d’une telle question. Cette recherche est fondée sur un protocole multi-méthodes, où les entretiens semi-directifs avec des parents adoptifs, des personnes adoptées, des parents en couple mixte et des descendants d’unions mixtes (n = 91), ainsi que les observations, viennent compléter l’exploitation de bases de données statistiques (Enquête sur l’adoption en France (Ined, 2001-2002) et enquête Trajectoires et Origines (Ined, Insee, 2008-2009)). Le protocole mis en œuvre est ainsi pluriel à plusieurs égards, dans l’articulation des terrains mais aussi des méthodes. Cette approche permet de fonder la thèse sur des données riches qui, dans la perspective analytique, nourrissent utilement le travail de comparaison
This dissertation focuses on racial boundaries and their dynamics in France, combining the study of two family settings in which racial mixedness is particularly salient: international adoptive families and mixed-race families. Locating the analytical approach at the crossroad of family, socialization, and racial relations scholarships, the study of those two types of families, which may be considered as transgressive of the dominant norm of racial homogeneity within the family, is an opportunity to investigate the intimate sites of racial identity formation. Indeed, this combined analysis builds on the classical perspectives on racial formation identity which distinguish between self-identification and assignation by others, bringing the role of transmission and of family socialization into the picture. If family is generally recognized as the main site of primary socialization, race remains under-explored in socialization studies in France. This dissertation aims at bridging this gap. This research is based on a multimethod design: semi-structured interviews with adoptive parents, adoptees, mixed couples and first-generation mixed-race individuals (n = 91), field observations and quantitative data from two surveys (survey on adoption in France (Ined, 2001-2002) and “Trajectories and origins” survey (Ined, Insee, 2008-2009)). The research design is thus plural, both in the articulation of fieldworks and in the methods that are used. This allows the dissertation to be based on rich data which usefully feeds the comparative and analytical perspectives
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Guerlotté, Charlotte. "Hip-hop, africanité, mixité : les représentations identitaires multiples chez les jeunes Guadeloupéens urbains." Thèse, 2016. http://hdl.handle.net/1866/18403.

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Abstract:
La Guadeloupe s’est construite avec la colonisation européenne à partir de la traite négrière, aux dépens des populations africaines, et de multiples vagues de travailleurs migrants (Indiens, Syriens, etc.). Certains auteurs conceptualisent les dynamiques identitaires et ethniques de ces populations soit par une construction identitaire mixte, la créolisation, en rupture avec « l’Ancien Monde » (Glissant, 1997 ; Bonniol, 2006, etc.), soit par une conception essentialiste, l’afrocentricité, en continuité avec l’Afrique, où l’aliénation des anciens empires coloniaux est dénoncée (Asante, 2007; Mazama, 1997). Comment les jeunes Guadeloupéens urbains d’aujourd’hui se représentent-ils leurs identités ? Participent-ils à ce débat idéologique ? Cette étude analyse treize entretiens semi-dirigés de jeunes d’une vingtaine d’années, résidant à Pointe-à-Pitre et ses périphéries urbaines et majoritairement issus de la culture hip-hop, ainsi qu’une série d’observations participantes réalisées dans les studios d’enregistrement de certains répondants (été 2014). À travers leurs discours, l’ethnicité guadeloupéenne est représentée par une vision pluriethnique et parfois mixte, à une vision d’ascendance africaine. Les représentations créoles ou afrocentriques sont rares. Certains jeunes mettent en avant leur africanité et d’autres s’en éloignent en s’identifiant à des ancêtres esclaves ou à une mixité ethnique. La culture hip-hop a également une place importante dans leurs représentations identitaires. Finalement, il est difficile de faire ressortir une tendance générale dans leurs discours, tant leurs dynamiques identitaires sont variées. Ce mémoire démontre l’intérêt de mettre en valeur la diversité des représentations identitaires et l’importance de considérer les discours identitaires individuels plutôt que ceux collectifs présents notamment dans la créolisation ou l’afrocentricité.
Guadeloupe was built around the slave trade of African people, European colonization, and multiple waves of migrant workers (Indians, Syrians, etc.). Some scholars conceptualize the ethnicities and identities of these populations as mixed and “new”; Creolization, where a link to the "Old World" is no longer relevant (Glissant, 1997: Bonniol 2006, etc.). Others see an essentialist notion of African identity, Afrocentricity, while old colonial empires’ cultural alienations are denounced (Asante, 2007: Mazama, 1997). How do young urban Guadeloupeans represent their own identities today ? Do they participate in this ideological debate through their identifications? This thesis is based on thirteen semi-structured interviews of youths in their twenties living in Pointe-à-Pitre and peripheral urban areas who mainly associate themselves with hip-hop culture, and a series of participant observations made in the recording studios of the project participants (summer 2014). Based on this research, I have concluded that Guadeloupe's collective identity can be represented as multiethnic, sometime comprised of a notion of mixed ethnicity, and often of African ancestry. However, representation of creole or afrocentric is rare. Moreover, some young people put forward their africanity, while others identify themselves with slave ancestors or mixed ethnicity. Hip-hop culture is also an important part of their identity representations. It is difficult to point out speech patterns because their identity dynamics are diversified. This study highlights the diversity of identity representations and the importance of considering individual identity dynamics rather than collective identity discourses present in particular in Creolisation or Afrocentricity
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Bouchot, Alicia. "Je etnická čtvrt "místem pro mísení vlivů"? Případová studie čtvrti Arnaud Bernard v Toulouse v 90tých letech dvacátého století." Master's thesis, 2016. http://www.nusl.cz/ntk/nusl-350638.

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Abstract:
The aim of the analysis is to question the meaning of the idea of "mixed neighborhood" today in France. The research focuses on Arnaud-Bernard, city center district of Toulouse, during the beginning of the 1990's. Three aspects are significant: different waves of immigration, different names, and a singular event, the "district's dish" (repas-de-quartier") as social link's creator. The mechanism of the Carrefour-Culturel, main association in the neighborhood in order to build a "mixed neighborhood", has been studied in this thesis. Interviews and sources from the association have been analyzed. Moreover the literature has been examined in order to underline the complexity of the idea of "mixed neighborhood". Résumé L'objet de l'analyse est de questionner ce que signifie la « mixité » et ce qu'elle désigne à l'échelle d'un quartier aujourd'hui en France. La recherche se focalise sur le quartier Arnaud-Bernard du centre ville de Toulouse à partir des années 1990. La particularité de ce quartier repose sur trois choses essentielles : les vagues migratoires successives qu'il a vu arriver en son sein, les différents noms qui lui ont été attribués et la création d'un évènement, le repas-de-quartier comme créateur de lien social à l'échelle du quartier. Dès lors, nous avons observé les dynamiques mises en...
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Book chapters on the topic "Mixité ethnique"

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Carrara, Stéphane, Éric Bertrand, Clémence Mège, and Guillaume Maza. "Le site de Lyon et ses céramiques importées à la fin du VIe s. et au Ve s. a.C. : marqueurs de circuits commerciaux, indices de mixité ethnique et de mutations socio-culturelles." In Vix et le phénomène princier, 95–132. Ausonius Éditions, 2021. http://dx.doi.org/10.46608/dana5.9782356133823.7.

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Béguin, Hélène. "Des « Africains noirs » à la « mixité sociale ». Usages paradoxaux des catégorisations ethniques dans les foyers de travailleurs migrants AFTAM (1962-2010)." In Le peuplement comme politiques, 155–73. Presses universitaires de Rennes, 2014. http://dx.doi.org/10.4000/books.pur.59890.

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