Academic literature on the topic 'Mondialisation économique néolibérale'

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Journal articles on the topic "Mondialisation économique néolibérale"

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Chanez, Amélie, and Félix Lebrun-Paré. "Villeray en transition : initiatives citoyennes d’appropriation de l’espace habité ?" Cahiers de recherche sociologique, no. 58 (April 25, 2016): 139–63. http://dx.doi.org/10.7202/1036210ar.

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Abstract:
Cet article s’intéresse aux initiatives citoyennes qui prennent place dans le contexte des désappropriations associées à la mondialisation économique néolibérale et de la redéfinition du rapport au politique des citoyens. À partir de l’exemple des Initiatives de transition et plus précisément du cas de Villeray en transition (VET), les auteurs explorent le cadre théorique des Initiatives citoyennes d’appropriation de l’espace habité (ICAEH) ainsi que les dimensions sociales, symboliques et matérielles de cette dernière. Ces nouvelles formes d’initiatives se réalisent dans un rapport au politique caractérisé par une logique ascendante (en termes de participation citoyenne), une démarche réflexive, horizontale et conscientisante d’empowerment entre citoyens. C’est la volonté de créer un « meilleur quartier sans pétrole » dans une perspective optimiste et de développer un « art de vivre local » qui amène les citoyens comme ceux de VET à repenser leurs pratiques sociales de voisinage et à tisser des réseaux inclusifs au sein de Villeray. En s’appropriant symboliquement et socialement l’espace habité, les citoyens transforment progressivement les pratiques matérielles de leur quartier.
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Adanhounme, Armel Brice. "La citoyenneté corporative entre libéralisme et démocratie : les individus ou leur communauté?" Canadian Journal of Law and Society / Revue Canadienne Droit et Société 33, no. 2 (August 2018): 199–221. http://dx.doi.org/10.1017/cls.2018.19.

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Abstract:
RésuméCet article analyse les pratiques de citoyenneté corporative (CC) par lesquelles les corporations multinationales, qui ont envahi la sphère publique, imposent de nouvelles normes et obligent les collectifs à se retirer des espaces démocratiques. Pour vérifier si ce nouveau rapport à la loi favorise l’émergence d’un régime de citoyenneté au travail pour tous, la présente recherche en étudie les configurations portées par une multinationale saluée comme un modèle dans une usine au Canada et une mine au Ghana. Les résultats, qui révèlent une autonomie fragile dans un cas et une hétéronomie dans l’autre, posent la question de l’effectivité de la CC écartelée entre libéralisme économique et démocratie industrielle. L’article conclut que, sous sa posture néolibérale, la CC est loin de concilier l’aspiration individuelle des travailleurs à l’égalité dans leur différence et leur tendance collective à l’homogénéité, les deux principes qui articulent libéralisme et démocratie et que ne résout pas l’opposition entre l’individualisme libéral et l’action collective, notamment syndicale, dans l’entreprise flexible à l’ère de la mondialisation de l’économie.
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Langelier, Jean-Sébastien. "Altermondialisation, économie et coopération internationale." Canadian Journal of Political Science 38, no. 4 (December 2005): 1101–4. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423905419976.

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Abstract:
Altermondialisation, économie et coopération internationale, Louis Favreau, Gérald Larose et Abdou Salam Fall (sous la direction de), Sainte Foy : Presses de l'Université du Québec, 2004, 384 p.Six ans se sont écoulés depuis les manifestations de Seattle. Le mouvement altermondialiste, à l'origine uni par le refus d'une mondialisation néolibérale, en est maintenant à une étape cruciale de son développement, car il doit désormais proposer plus concrètement des mesures et des projets permettant de réaliser une mondialisation plus équitable, plus juste et plus démocratique. L'ouvrage Altermondialisation, économie et coopération internationale est issu d'une conférence intitulée Le Sud … et le Nord dans la mondialisation : quelles alternatives? Tenue à Gatineau en septembre 2003, elle a réuni des chercheurs et des acteurs d'organisations de la société civile, de groupes et associations communautaires, ainsi que des représentants des milieux syndicaux et de groupes de femmes qui sont impliqués dans des projets de coopération internationale. L'ouvrage répertorie un ensemble d'initiatives et d'innovations relevant de la solidarité socioéconomique Nord-Sud qui s'inscrivent dans un mouvement visant à offrir un “ nouveau ” modèle de développement. On peut distinguer deux catégories de contributions au volume; celles qui relatent des pratiques et expériences issues d'organisations de coopération internationale (OCI) et celles, plus analytiques, qui présentent, dans leur contexte, l'évolution des mouvements sociaux et politiques ou qui offrent une réflexion sur les débats et les défis auxquels ces mouvements sont confrontés.
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Canet, Raphaël. "Le désengagement de l'État providence." Canadian Journal of Political Science 39, no. 2 (June 2006): 423–25. http://dx.doi.org/10.1017/s000842390621998x.

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Abstract:
Le désengagement de l'État providence, Nicole F. Bernier, Montréal : Presses de l'Université de Montréal, coll. Politique et Économie, 2003, 268 p.Au seuil du 21ème siècle, alors qu'émergent des débats passionnés sur les tenants et les aboutissants de la mondialisation néolibérale et des nouvelles formes de régulation politique qui la sous-tendent, la question de la place de l'État dans la société est devenue un sujet politique de premier plan. Des discussions internationales sur les préceptes du Consensus de Washington (privatisation, libéralisation, déréglementation), au projet de réingénierie de l'État au Québec, l'interventionnisme étatique est remis en question de toutes parts. Le rôle de l'État, et notamment sa dimension providentialiste, se situe ainsi au cœur des clivages idéologiques contemporains et donne lieu à toute sortes de prises de position.
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Birch, Lisa. "Une école pour le monde, une école pour tout le monde : L'éducation québécoise dans le contexte de la mondialisation." Canadian Journal of Political Science 41, no. 1 (March 2008): 229–31. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423908080256.

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Abstract:
Une école pour le monde, une école pour tout le monde : L'éducation québécoise dans le contexte de la mondialisation., Jocelyn Berthelot, VLB Éditeur, 2006, 220 pages.Jocelyn Berthelot, chercheur à la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) et membre du Centre de recherche et d'intervention sur la réussite scolaire (CRIRES), décortique les effets pervers du néolibéralisme sur le système d'éducation au Québec et ailleurs pour ensuite proposer un projet éducatif et social de remplacement basé sur les principes de l'égalité, de l'intégration sociale, de la justice sociale et de la démocratie. Érudit et éclectique, cet ouvrage bien documenté nous présente dans un premier acte une synthèse bien structurée de l'histoire de la mondialisation et les enjeux sociaux, économiques et politiques qui en découlent. Le deuxième acte décrit le “nouvel ordre éducatif mondial” d'inspiration néolibérale et en expose les conséquences, engendrées par la marchandisation de l'éducation et l'introduction des notions de concurrence, notamment les glissements inégalitaires auxquels l'école publique doit faire face dans nos démocraties. En conclusion, le troisième acte propose un plaidoyer passionné et cohérent en faveur d'un projet social de démocratisation de l'éducation et, par ricochet, d'une politique multisectorielle de lutte intégrée contre la pauvreté et l'exclusion sociale. Chaque acte inclut des comparaisons très intéressantes entre l'expérience québécoise et ce qui se passe ailleurs en Amérique du Nord, en Europe, en Australie et en Nouvelle-Zélande. Des résultats de recherches dans le domaine ainsi que des réflexions de philosophes éclairent l'analyse du début à la fin et agrémentent la lecture. Même si, à certains endroits, l'analyse pourrait être légèrement plus nuancée, cet ouvrage a le mérite d'identifier clairement les failles de l'éducation québécoise et de les mettre en perspective. De plus, il a le courage de dépasser le stade de la critique en proposant un débat autour d'un modèle de remplacement, un “New Deal”, qui vise à recentrer l'éducation autour des grandes valeurs démocratiques.
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Sliwinski, Alicia. "Globalisation." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.084.

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Abstract:
Le concept de globalisation désigne l’interconnexion et l’interdépendance accrues de toute une gamme de relations sociales à l’échelle planétaire recouvrant d’importantes dimensions politiques, économiques, culturelles, environnementales et subjectives. Depuis les années 1980, la globalisation est devenue un discours dominant pour décrire la mise en place d’une nouvelle condition planétaire. Si nul ne nie que la globalisation soit un processus, la période historique qu’elle est censée marquer a fait l’objet de maints débats, aussi bien en anthropologie que dans les autres sciences sociales. Pour certains, la globalisation prend son essor au 19ème siècle avec les bouleversements liés au colonialisme, les avancées technologiques en matière de transport et de communication et l’expansion sans précédent des échanges commerciaux. Pour d’autres, la globalisation réalise la consolidation d’un système capitalisme mondial ou d’une « économie-monde » qui s’organise au 16ème siècle avec la division internationale du travail. Que des parties éloignées de la planète soient reliées entre elles ne date certes pas d’hier : les empires hellénique, romain et mongol ou encore la route de la soie montrent bien que les relations « transnationales » existent depuis longtemps. Cette discussion largement débattue a opposé le camp des « sceptiques » à celui des « globalisants » quant à la nouveauté du phénomène. Notons qu’en français deux termes existent pour désigner l’intensification et la multiplication des connexions et des réseaux reliant différentes parties du monde jadis nettement plus isolées les unes des autres : mondialisation et globalisation. Parfois ils sont utilisés en tant que synonymes, mais il y a lieu d’apprécier la nuance que leur distinction permet (Abélès 2008). La notion de mondialisation insisterait davantage sur les continuités historiques entre le passé et notre contemporanéité – sur le devenir-monde –, alors que la globalisation signale les discontinuités et les ruptures qui permettent d’affirmer que quelque chose de déterminant est apparu à la fin du 20ème siècle dans notre expérience du monde. Il y a au moins trois facteurs décisifs à cet égard : l’essor d’une économie de marché globale, l’ascension de l’Internet et des technologies de communication dans nos vies quotidiennes et l’apparition de mouvements et de politiques identitaires, plus ou moins violents, et parfois clairement orientés contre la globalisation. La phase actuelle de la globalisation est généralement associée à la doctrine du néolibéralisme, mais il ne faut pas les confondre. Le néolibéralisme caractérise le décloisonnement et la réorganisation des champs politiques et économiques dans le but de réduire les obstacles au commerce mondial. Les mesures macroéconomiques du Consensus de Washington introduites dans les années 1980 – telles que la libéralisation du commerce, la déréglementation de l’économie, la privatisation des entreprises nationales et la réduction des dépenses publiques et des impôts –, ont été mises en place pour favoriser le libre-échange entre les États. Avec la chute du bloc communiste qui annonçait, selon certains, « la fin de l’histoire » (Fukuyama 1992) et la preuve que les démocraties libérales étaient les plus aptes à assurer la croissance d’une économie avancée, la globalisation néolibérale a pris son envol. Au cœur de l’idéologie néolibérale siège la croyance que moins il y a d’entraves à une économie de marché globale, plus les pays seront prospères. De fait, la globalisation va grossir la sphère d’influence d’entités supranationales sur les États modifiant leur rapport au territoire et le contrôle de leurs économies nationales. Le triumvirat de la Banque Mondiale, du Fonds Monétaire International et de l’Organisation mondiale du commerce y a joué un rôle clé, mais ces organisations ont également fait l’objet d’intenses critiques et de mobilisations populaires pour avoir creusé le fossé entre les riches et les pauvres. En matière d’économie politique, la globalisation néolibérale a libéré le capital de ses lieux de production : le capitalisme du nouveau millénaire n’est plus caractérisé par la valeur du travail, mais plutôt par la consommation, la délocalisation et la circulation sans précédent de flux financiers transnationaux, souvent spéculatifs, générant la concentration d’immenses fortunes, mais aussi de nouvelles formes d’exclusion et de dépossession. Parmi les gagnants, soulignons l’essor fulgurant des compagnies technologiques. De fait, le « numérique » exerce une influence considérable dans les nouvelles grammaires culturelles, symboliques et identitaires. Il est couramment entendu que c’est le rapport au temps et à l’espace que la globalisation a profondément altéré. Selon David Harvey (1989), la globalisation exprime la compression de l’espace et du temps, accélérant les processus économiques et sociaux. Elle a créé de nouvelles configurations sociales et technologiques ayant radicalement réduit le temps des échanges et des déplacements. Depuis, l’espace ne cesse de se réduire et le temps de s’accélérer. Pour Anthony Giddens (1990), il s’agit davantage d’un élargissement de l’expérience vécue de ces catégories, et de leur séparation, si bien que la globalisation implique le désenclavement (disembedding) des relations sociales de leurs contextes locaux. Ici, la globalisation prolonge et affermit le processus d’individualisation de la société entamé au 19ème siècle. Un troisième penseur de la globalisation parmi les plus cités est Manuel Castells (1998) qui a avancé l’idée de la société en réseau. Cette nouvelle société réticulaire, informationnelle et globale, est issue de la révolution technologique ayant profondément transformé les modes d’organisation économique, les modalités du travail (et leur contenu), ainsi que les pratiques sociales reliées au temps et à l’espace. À partir de ces thèses notoires, nous pouvons identifier quelques paramètres pour mieux cerner la globalisation : le mouvement accru du capital, des personnes, des marchandises, des images et des idées ; l’intensification des réseaux qui relient différentes parties du globe ; l’élargissement et la déterritorialisation de pratiques sociales, culturelles, politiques et économiques au-delà des frontières ; enfin l’imbrication du local au global, et vice versa, dans nos expériences vécues du monde. Ces dynamiques restent pertinentes, mais nous aurions tort de croire que la globalisation est un phénomène total et achevé. La société en réseau n’est pas uniformément distribuée et la géographie de la globalisation expose combien cette dernière encourage la concentration des activités économiques, politiques et culturelles dans quelques grands centres et mégapoles. Si d’un côté la globalisation tend à homogénéiser les cultures quand les contextes locaux assimilent des produits culturels importés – on a parlé de l’américanisation, de la McDonaldisation et de l’aplatissement du monde –, elle entraine tout autant des formes de fragmentation et de recomposition des identités ethniques et culturelles. De vifs débats ont cherché à déterminer si la globalisation produisait plus de standardisation ou de diversité, d’intégration ou de désintégration, et si ces processus s’avéraient avantageux ou non. Les questions d’échelle sont importantes et les anthropologues ont adopté des approches plurielles pour éviter les interprétations qui ont « tendance à se produire dans l’espace raréfié de la méta-histoire et des généralités abstraites » (Barber et Lem 2004). Jonathan Friedman (2008) envisage la globalisation sous l’angle de la modernité, entendue comme le champ culturel du capitalisme commercial. La globalisation s’articule alors au développement d’un ethos cosmopolitique dont l’essor continue d’infléchir la « forme sociale du monde » (Agier 2013). Les analyses anthropologiques ont mis l’accent sur les flux et les disjonctions que la globalisation entraine (Appadurai 1996), les nouveaux assemblages politiques, technologies et éthiques (Ong et Colier 2005), l’hybridité et la créolisation (Hannerz 1987), la circulation des marchandises et des valeurs dans les contextes non hégémoniques de la « globalisation-par-le-bas » (Ribeiro 2012; Haugerud et al. 2001), la création de « non-lieux » caractéristiques de la surmodernité (Augé 1992), ou les frictions que les nouvelles articulations entre le local et le global entrainent (Tsing 2005). Par ailleurs, la globalisation a eu des répercussions sur les méthodologies de l’anthropologie : on assiste à une plus grande réflexivité dans la pratique de terrain qui devient lui-même multisites (Marcus 1995). Il s’agit également de révéler les liens entre le micro et le macro et ce qui y circule, s’y négocie ou se conteste. Toutefois, au niveau épistémologique la globalisation n’a pas la même valence que la notion de culture. Peut-on parler d’une culture globale et faire une ethnographie du global ? Marilyn Strathern (1995) notait que le global risquait d’être un concept autoréférentiel puisqu’il n’offre pas de point de vue sur le monde : il ne donne pas à voir les relations sociales qui sont rendues manifestes dans des ancrages locaux. Ces questions ne sont pas tranchées et renvoient à la portée herméneutique accordée au global en tant que contexte dans et par lequel la pratique anthropologique opère, en tant qu’objet bon à penser, sur lequel agir, et qui libère de nouveaux imaginaires. Le 21ème siècle maintenant bien entamé, force est de constater que la globalisation a creusé les inégalités entre les nations, les régions et les classes sociales. En 2017, plus de 80 % de la richesse mondiale a été empoché par 1 % de la population (Oxfam 2018). Ces rapports d’inégalité ne s’expriment pas uniquement en termes économiques, mais aussi selon le genre et le degré d’exposition au risque. Ils alimentent également des mouvements de paniques morales face à diverses sortes d’indésirables, qu’il s’agisse de pandémies, de terroristes, de migrants ou de réfugiés. Les politiques identitaires, exacerbées dans l’exutoire des réseaux sociaux, sont un corollaire qui polarise l’espace politique autant par le « haut » (quand les gouvernements promeuvent des nationalismes xénophobes) que par le « bas » (quand les minorités revendiquent la reconnaissance de leurs droits). Ces tensions profondes forcent à repenser le paradigme de l’État-nation dont la souveraineté affaiblie expose la désuétude d’un modèle d’exercice du pouvoir. L’utopie de la globalisation s’est essoufflée et d’autres concepts sont apparus, tels ceux de capitalocène et d’anthropocène pour accuser les maux engendrés par le capitalisme et l’impact délétère des activités humaines sur la planète. Comment infléchir les pathologies de la globalisation pour y remédier est sans doute l’enjeu principal de notre avenir commun.
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De Redacción, Consejo. "¡Europa!, a pesar de todo. Una estrategia realista." Revista de Fomento Social, June 30, 2017, 139–56. http://dx.doi.org/10.32418/rfs.2017.286.1421.

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Abstract:
L Europe résiste malgré tout. Malgré le fait que dans un passé non lointain deux référendums, qui avaient eu lieu en France ainsi qu aux défis de la nouvelle réalité mondiale et à l hégémonie émergente de certaines grandes puissances. L événement marquant du «brexit» a provoqué une prise de conscience des Européens. Ce qui en reste est l image d une Union Européenne remplie d aspects négatifs: déficit démocratique structurel, bureaucratie hautaine, institutions bloquées, processus complexes de prise de décisions et une vague de populismes de différents bords qui ne cherchent que la destruction du système de l Union Européenne. Pour les critiques et les plus apocalyptiques, L Europe serait, d un point de vue géostratégique, un net perdant de «l hyper mondialisation », puisque l axe franco allemand ne marche plus depuis longtemps. Cela, ajouté à son manque de démocratie et de transparence et à son incapacité à faire face et aux Pays Bas, avaient servi à bloquer le processus de ratification du projet de la Constitution Européenne, celui ci a été postérieurement repris dans le Traité de Lisbonne, dans lequel sont présents les aspects les plus essentiels du projet constitutionnel ayant échoué. Les «apocalyptiques» croient que le «brexit» est le prélude d une très prochaine disparition de l UE, incapable de faire face à la crise économique et à ses conséquences sociales, à la catastrophe humanitaire des réfugiés syriens, pourrait nous faire nous demander si la construction européenne sera capable de s en sortir avec l imagination dont elle a fait preuve après les successives et périodiques crises qu elle a vécues. Après la description de quelques éléments de la crise actuelle de l UE, l éditorial pose la question suivante : les valeurs fondatrices de l Union Européenne ont elles changé ? Notre éditorial s inscrit dans la réflexion de cette revue sur l Europe, commencée il y a quelques années (les titres des éditoriaux se trouvent dans le tableau récapitulatif final). Il y a cinq ans nous sommes prononcés sur la construction européenne, en faveur de la consolidation, le développement et l approfondissement du système constitutionnel européen d Économie sociale de marché.Nous avons alors voulu promouvoir la resocialisation du projet européen avec de nouvelles énergies, avec une nouvelle clarté et une nouvelle passion tournée vers l Europe. Pour sortir de l impasse actuelle, L UE doit se libérer de cet unique modèle de capitalisme néolibéral qui est précisément à l origine de la crise actuelle. Après l introduction, nous abordons les institutions européennes et leurs résultats, ainsi que ceux produits par les politiques agraires et de cohésion régionale, souvent ignorées ou réduites au silence. Bien sûr, nous n oublions pas les aspects les plus problématiques ou négatifs, plus particulièrement la réponse insuffisante de l Europe face à la grave crise humanitaire syrienne, qui nous remet en cause face au monde et face à nous mêmes. Si la capacité de réponse des gouvernements des grandes puissances face aux grandes crises est aussi limitée, comme nous pouvons le remarquer actuellement, l UE n en est pas une exception. Cependant, dans la quatrième partie, nous présentons les défis auxquels l Europe doit faire face, avec quelques références aux politiques espagnoles développées à partir de l acquis ommunautaire.Dans la cinquième partie et dans la conclusion, nous affirmons que l UE est une réalité institutionnelle pleinement consolidée depuis longtemps, un système d économie sociale de marché hautement compétitif et solidaire et qui est capable de s insérer dans un système de gouvernance démocratique dans un monde hyper mondialisé. L Europe peut conjuguer une mondialisation modérée, une démocratie comme système et le maintien des États. Voici notre conviction : L UE est face à une stratégie réaliste possible et doit miser pleinement sur elle. C est pour cela que nous pouvons dire, malgré tout, L Europe!
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Dissertations / Theses on the topic "Mondialisation économique néolibérale"

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Waldispuehl, Elena. "Contestation de la mondialisation néolibérale et mobilisation de la nébuleuse altermondialiste : évolution des stratégies militantes depuis le mouvement social Occupy." Mémoire, Université de Sherbrooke, 2015. http://hdl.handle.net/11143/7582.

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Abstract:
Selon l’approche du processus politique, les conséquences politiques, sociales et économiques de la crise financière et économique de 2008 introduisent une structure des opportunités politiques favorable à l’émergence et au développement des mouvements sociaux. En vertu d’une conjoncture d’austérité et de l’accroissement des inégalités sociales, une mosaïque de résistances s’est mobilisée dans l’environnement politique à l’instar du mouvement Occupy pour constituer le plus important cycle de mobilisation transnationale. Ce dernier se juxtapose vraisemblablement à celui de la nébuleuse altermondialiste contre la mondialisation financière ainsi que le mode de gouvernance néolibéral. Le mouvement Occupy s’oppose aux acteurs traditionnels du système politique en ayant pour principale revendication l’autonomisation de sa base militante afin de constituer un « ballon d’oxygène » pour la démocratie. En permettant une prise de conscience tout en dynamisant la participation citoyenne par le biais d’une occupation de l’espace public, l’apport du mouvement est son ambition sociale, militante et politique d’incarner symboliquement une « insurrection des consciences » et une « communauté de résistance » contre les inégalités sociales, qui mettent en péril le bien commun.
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Prado, Cardenas Leonardo Adolfo. "La mondialisation et l'application du modèle néolibéral au Pérou." Paris 8, 2001. http://www.theses.fr/2001PA082018.

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Abstract:
Le nouveau souffle "révolutionnaire" du capitalisme est apparu avec un phénomène appelé par les uns globalisation, mondialisation par les autres. Ces évènements ont presque entièrement modifié le capitalisme mais pas les contradictions qu'il génère, pas les profondes différences entre les pays riches et les plus pauvres, ni les inégalités sociales, ni l'exclusion de milliards d'êtres humains des bénéfices de la "modernisation" de la "nouvelle économie" du capitalisme. Ces aspects nous permettent de poser les objectifs suivants : présenter de façon synthétique les caractéristiques les plus importantes de la mondialisation de l'économie, comme un processus historique et concret, et des rapports inégaux entre les pays développés et les pays sous-développés, analyser le processus de développement industriel et principalement le processus d'application de la politique libérale au Pérou et ses conséquences. Cette vision nous permet de poser l'hypothèse suivante : la mondialisation a développé ces caractéristiques dans tous les pays de la planète, et plus particulièrement dans les pays sous-développés comme le Pérou. . .
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Monteiro, Pauline. "Une umbanda Self-Help et un imaginaire transculturel : "développer ses entités" dans un contexte néolibéral." Thesis, Paris, EHESS, 2020. http://www.theses.fr/2020EHES0107.

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Abstract:
Au travers d’une ethnographie effectuée au sein des succursales d’Europe centrale du groupe d’umbanda multinational Temple Guaracy, cette thèse propose une réflexion sur le rôle des traducteurs culturels New Age et Self-Help dans le processus de transnationalisation des religions afro-brésiliennes et leurs implications dans un cadre économique et culturel néolibéral. L’observation des relations entre les médiums et leurs entités a permis de saisir la portée d’une recherche d’authenticité et d’une ego-consommation qui s’étend au-delà du groupe Guaracy. En effet, le « développement » des entités et les formes d’ego-consommation que cela induit se retrouvent dans leur consommation quotidienne (le style de vie) et sur les réseaux sociaux avec la mise en scène d’un « moi romantisé ». Cela interroge inévitablement la place de la transnationalisation de l’umbanda guaracyenne dans un contexte public et dans une économie globale, décloisonnant ces pratiques de la simple quête spirituelle individuelle. Plus largement, c’est le rôle d’un imaginaire transculturel - un imaginaire constitués de symboles resémantisés et/ou traduits issus d’une culture autre que celle des consommateurs - qui est questionné ici. En effet, cette notion offre la possibilité de saisir à la fois la manière dont les resémantisations culturelles sont incorporées par les membres pratiquants mais aussi (et surtout) la manière dont ils s’investissent - économiquement et émotionnellement - dans le « développement de leurs entités ». Car consommer un imaginaire implique de consommer les émotions qui lui sont liées (Illouz, 2009). Cela peut faire l’objet d’un apprentissage, ce qui est le cas pour ce terrain de recherche, ou d’une conversion (avec un changement total de style de vie). L’apprentissage des émotions, ici, sous-entend d’apprendre à les saisir et à les maîtriser (« développer et maîtriser ses entités »). Ce « développement médiumnique » n’est pas sans faire écho aux injonctions faites par une idéologie d’auto-gouvernement néolibérale. Ainsi, en se faisant initier au Temple Guaracy, les médiums vont pouvoir augmenter leur capital émotionnel, une soft skill fondamentale sur le marché du travail et au sein des relations interpersonnelles. Cette dernière observation permet d’entériner la pratique de cette umbanda transnationalisée dans le champ des pratiques de développement personnel
Through an ethnography carried out within the Central European branches of the multinational umbanda group Temple Guaracy, this thesis proposes a reflection on the role of New Age and Self-Help cultural translators in the process of transnationalization of Afro-Brazilian religions and their implications in a neoliberal economic and cultural framework. Besides, the observation of the relationship between the mediums and their entities has allowed us to grasp the scope of a search for authenticity and an ego-consumption that extends beyond the Guaracy group. Indeed, the "development" of the entities and the forms of ego-consumption that it induces can be found in their daily consumption (lifestyle) and on social networks with the staging of a "romanticized self". This, inevitably questions the place of the transnationalization of Guaracyan umbanda in a public context and in a global economy, decompartmentalizing these practices from the simple individual spiritual quest. More broadly, it is the role of a transcultural imaginary - an imaginary made of resemantized and/or translated symbols from a culture other than the consumers’ - that is questioned here. Indeed, this notion offers the possibility of grasping both the way in which cultural resemantizations are incorporated by practicing members but also (and above all) the way in which they invest themselves - economically and emotionally - in the "development of their entities". Consuming an imaginary implies consuming the emotions linked to it. This can be the object of learning, which is the case for this field of research, or of conversion (with a total change of lifestyle). The learning of emotions, here, implies learning to grasp and master them ("develop and master one's entities"). This "mediumnic development" is not without echoing the injunctions made by a neoliberal ideology of self-government. Also, by being initiated into the Temple Guaracy, mediums will be able to increase their emotional capital, a fundamental soft skill in the labour market and in interpersonal relationship. This last observation allows us to confirm the practice of this transnationalized umbanda in the field of personal development practices
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Carvalho, Miranda Teixeira Juliana. ". La multitude et le prolétariat depuis les Forums sociaux mondiaux de 2001 à 2016 : élaboration, actualisation et anticipations d'utopie." Thesis, Paris 8, 2017. http://www.theses.fr/2017PA080129/document.

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Abstract:
Au cours des années 1970, les forces politiques mondiales se sont engagées dans la course pour donner de nouveau du souffle à un projet capitaliste d’intégration internationale. Après la faillite du « lourd » modèle keynésien-fordiste, le consensus autour de l’adoption des principes néolibéraux pour faciliter la libéralisation des économies se réaffirme comme prémisse pour la survie de ce système. Cette facette du processus de globalisation impose la nécessité, au nom du marché et d’une politique d’intégration, d’ajustement des sociétés des pays tant du Sud que du Nord.Cependant, presque au même temps, déjà à la fin des années 1970, des groupes s’organisent pour protester contre la montée du néolibéralisme, contre la dette des pays sous-développés, contre la précarisation de la vie… dans une perspective plutôt anti-globalisation, devenu plus tard, altermondialiste (un autre monde est possible). Au plan théorique, pour les sciences sociales il s’agit de comprendre les enjeux de ces mobilisations aussi bien que les projets des sujets qui en sont engagés. Notre interrogation, en fait, partie de questions séparées (compréhension du mouvement altermondialiste et lecture critique de la théorisation de Negri) a permis de reprendre l’analyse d’un des mouvements politiques et sociaux majeurs de la période et de faire passer des théorisations au feu du besoin de comprendre ce mouvement avec sa dynamique et ses contradictions. L’idée directrice de cette thèse consiste à affirmer que les projets utopiques d’une transformation globale, altermondialistes ou anticapitalistes, qui s’esquissent de plus en plus avec le renforcement de la globalisation néolibérale, notamment après la plus récente crise du capitalisme mondial, met en cause l’usage de la conception imagée de la “multitude” telle qu’elle a été reformulée par les negristes. Cela a amené à mobiliser d’autres ressources de théoriciens qui montrent l’apport de Marx et sa pertinence pour mieux comprendre notre époque. Pour les negristes nous sommes devant l’action de la multitude d’inspiration spinoziste contre le pouvoir d’un Empire en crise ; pour nous, il importe d’actualiser sous une autre perspective, la notion marxienne du prolétariat en tant qu’expressive d’un être social et historique exploité, dominé et humilié à partir des contributions diverses de marxistes contemporains tels Georges Lukács, Ernst Bloch, Henri Lefebvre, Pierre Naville, Jean-Marie Vincent mais aussi de Michael Löwy, Flávio Farias, Atilio Borón, pour penser les figures de l’anticipation concrète en lutte contre les institutions de l’impérialisme global, orientées vers un nouvel avenir. Pour cela, ce travail de thèse qui porte en somme sur l’actualité de la catégorie-figure prolétariat en dépit de la conceptualisation negriste de l’image de la multitude, se divise en quatre grandes parties. En ce qui concerne les techniques de recherche de ce travail de thèse, un premier temps a été consacré à la lecture critique des principaux auteurs sur les concepts en question, à savoir l’Empire versus la multitude postmodernes. De même de certains auteurs marxistes du XXe siècle qui venaient appuyer notre hypothèse à propos de la pertinence à l’heure actuelle d’utiliser la catégorie de la lutte des classes. Nous mettons donc à contribution les auteurs qui ont traité la catégorie prolétariat en tant que figure qui subit l’oppression de l’impérialisme global, en vue de rendre un cadre catégoriel valable pour une sociologie des mouvements sociaux
During the 1970s, world political forces embarked on the race to breathe new life into a capitalist project of international integration. After the bankruptcy of the "heavy" keynesian-fordist model, the consensus around the adoption of neoliberal principles to facilitate the liberalization of economies reaffirms itself as a premise for the survival of this system. This facet of the process of globalization imposes the necessity, in the name of the market and an integration policy, of the adjustment the societies of the countries of both the South and the North.However, almost at the same time, already in the end of the 1970s, groups organized to protest against the rise of neoliberalism, contra the debt of underdeveloped countries, contra the precariousness of life ... in a perspective rather anti-globalization, later become alter-globalist (another world is possible). On the theoretical level, for the social sciences it is a matter of understanding the stakes of these mobilizations as well as the projects of the subjects who are engaged. Our interrogation, in fact, part of separate questions (understanding of the alter-globalization movement and a critical reading of Negri's theorization) made it possible to resume the analysis of one of the major political and social movements of the period and to pass these theorizations by the real need to understand this movement with its dynamics and its contradictions.The main idea of this thesis consists in asserting that the utopian projects of a global transformation, alter-globalization or anti-capitalist, which are more and more outlined with the reinforcement of the neoliberal globalization, especially after the most recent crisis of the world capitalism, put in check the use of the pictorial conception of the "multitude" as it has been reformulated by the negrists. This has mobilized other resources of theorists who show the contribution of Marx and its relevance to better understand our time. For the negrists we are faced with the action of the multitude of spinozist inspiration against the power of an Empire in crisis; for us, it is important to update from another perspective the marxian notion of the proletariat as expressive of a social and historical being exploited, dominated and humiliated from the diverse contributions of contemporary marxists such as Georges Lukács, Ernst Bloch, Henri Lefebvre, Pierre Naville, Jean-Marie Vincent but also Michael Löwy, Flavio Farias, Atilio Borón, to think the figures of the concrete anticipation in struggle against the institutions of global imperialism, oriented towards a new future. For this reason, this thesis work, which in fact deals with the actuality of the proletarian category-figure despite the negrist conceptualization of the image of the multitude, is divided into four major parts.With regard to the research techniques of this thesis work, a first step was devoted to the critical reading of the main authors on the concepts in question, namely the Empire versus the postmodern multitude. So are some marxist writers of the twentieth century who supported our hypothesis about the relevance actual of updating the category of the class struggle. We therefore call on the authors who have treated the proletariat category as a figure who is undergoing the oppression of global imperialism, with a view to making a categorical framework valid for a sociology of social movements
Ao longo dos anos 1970, as forças políticas mundiais se engajaram na corrida com vistas a conferir novo fôlego a um projeto capitalista de integração internacional. Após a falência do “pesado” modelo keynesiano-fordista, o consenso em torno da adoção dos princípios neoliberais para facilitar a liberalização das economias, se reafirma como premissa para a sobrevida desse sistema. Esta faceta do processo de globalização impõe a necessidade, em nome do mercado e de uma política de integração, de ajustamento das sociedades dos países tanto do Sul quanto do Norte. No entanto, quase ao mesmo tempo, já no fim dos anos 1970, vários grupos se organizam para protestar contra a escalada do neoliberalismo, contra a dívida dos países subdesenvolvidos, contra a precarização da vida... numa perspectiva antiglobalização, tornada mais tarde, altermundialista (um outro mundo é possível). No plano teórico, para as ciências sociais, trata-se de compreender as especificidades dessas mobilizações, assim como os projetos dos sujeitos engajados nessa perspectiva mobilizatória. Nossa interrogação, que de fato parte de questões separadas (análise do movimento altermundialista e leitura crítica da teorização de Negri), permitiu a retomada dessa análise acerca de um dos movimentos políticos e sociais mais expressivos da contemporaneidade e de passar essas teorizações pela real necessidade de compreender esse movimento com a sua dinâmica e suas contradições. A ideia diretriz dessa tese consiste em afirmar que os projetos utópicos de uma transformação global, altermundialista ou anticapitalistas, que se esboçam com o aprofundamento da globalização neoliberal, destacadamente após a mais recente crise do capitalismo mundial, coloca em xeque o uso da concepção imagética da “multidão” tal que ela foi reformulada pelos negristas. Isso levou a mobilizar outras fontes teóricas que demonstram que a contribuição de Marx e a pertinência desta para melhor compreender nossa época. Para os negristas estamos diante da ação da multidão de inspiração espinosista contra o poder de um Império em crise; para nós, importa atualizar sob outra perspectiva, a noção marxiana do proletariado como expressiva de um ser social e histórico explorado, dominado e humilhado a partir das contribuições diversas de marxistas contemporâneos tais George Lukács, Ernst Bloch, Henri Lefebvre, Pierre Naville, Jean-Marie Vincent e também Michael Löwy, Flávio Farias, Atilio Borón, para pensar as figuras da antecipação concreta em luta contra as instituições do imperialismo global, orientadas para um novo amanhã. Para tanto, esse trabalho de tese que trata em suma sobre a atualidade da categoria-figura proletariado em detrimento da conceitualização negrista da imagem da multidão, se divide em quatro grandes partes.No tocante as técnicas de pesquisa desse trabalho de tese, o primeiro tempo foi consagrado à leitura crítica dos principais autores sobre os conceitos em questão, a saber, o Império versus a multidão pós-modernos. Da mesma forma, de certos autores marxistas do século XX que vieram apoiar nossa hipótese a propósito da pertinência em nossos dias, em se utilizar a categoria luta de classes. Partimos então das contribuições dos autores que trataram a categoria proletariado enquanto figura que sofre a opressão do imperialismo global, em vista de tornar esse referencial teórico-metodológico, um quadro categorial válido para uma sociologia dos movimentos sociais
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Marceau, André. "Les quotidiens du Québec et la Bataille de Seattle : entre l'approche néolibérale et l'analyse radicale." Thèse, 2003. http://hdl.handle.net/1866/14241.

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Book chapters on the topic "Mondialisation économique néolibérale"

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Boutaleb, Kouider. "L’Afrique face aux défis du développement socio-économique à l’ère de la mondialisation néolibérale." In Reconnexion de l Afrique a l economie mondiale, 15–44. CODESRIA, 2016. http://dx.doi.org/10.2307/j.ctvh8qxzr.5.

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