Academic literature on the topic 'Mondialisation – Iran'

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Journal articles on the topic "Mondialisation – Iran"

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MOALLEM, Minoo. "Ethnicité et rapports des sexes : le fondamentalisme islamique en Iran." Sociologie et sociétés 24, no. 2 (September 30, 2002): 59–71. http://dx.doi.org/10.7202/001508ar.

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Abstract:
Résumé Cet article vise à établir un cadre théorique permettant de comprendre comment la mobilisation religieuse conduit à l'élaboration d'une ethnicité islamique. Cette élaboration se fait dans le contexte des formes anciennes et nouvelles de mondialisation ainsi que des interactions de différentes relations sociales, comme le rôle sexuel, la classe et l'ethnie. En m'appuyant sur la montée du fondamentalisme islamique en Iran, je tenterai de donner une explication empirique de l'interrelation complexe de la sphère "globale" et de la sphère "locale", de l'"ethnicité dominante" et de l'"ethnicité dominée", de la "masculinité hégémonique" et de la " féminité accentuée ", dans la création et la recréation d'identités sociales ethno-religieuses.
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Abdmolaei, Shirin, Homa Hoodfar, and Anne-Hélène Kerbiriou. "Porter son identité à l’ère de la mondialisation." Anthropologie et Sociétés 42, no. 1 (May 1, 2018): 81–111. http://dx.doi.org/10.7202/1045125ar.

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Abstract:
En dépit de nombreuses recherches et d’un nombre considérable de publications qui traitent de la complexité de la question du voile musulman et de sa versatilité, en Occident, le discours public et les interventions étatiques qui ont visé à l’interdire continuent pour une large part d’associer le port du voile aux représentations remontant à l’époque coloniale qui en faisaient un outil d’oppression et d’asservissement. Le sous-texte qui accompagne ce phénomène est que la visibilité corporelle des femmes dans les modes occidentales « modernes » constitue une étape nécessaire de l’émancipation des femmes des liens du patriarcat, afin qu’elles puissent affirmer leur agentivité. D’une manière quelque peu similaire, les islamistes politiques, qu’ils occupent des fonctions officielles ou qu’ils soient des acteurs non étatiques, tiennent à l’idée que le voile est un instrument essentiel de la préservation de la culture et de l’identité musulmanes, et que sa seule présence représente une contestation de l’impérialisme culturel. Considérant que les interventions étatiques, tant en contextes musulmans qu’occidentaux, ont rouvert les débats entourant l’habillement des femmes musulmanes, cet article, en passant en revue un certain nombre de discours et de publications, cherche à approfondir deux questions essentielles : 1) la perception du public occidental, qui associe le port du voile à l’oppression et qui méconnaît, et par conséquent nie, l’agentivité des musulmanes ; et 2) le rôle que joue le vêtement, en tant qu’institution politique en contextes nationalistes musulmans et non musulmans, dans l’inclusion ou l’exclusion des membres du corps civique. En examinant certaines modes alternatives qui se développent en Iran, en Turquie, en Europe et en Amérique du Nord, cet article souligne les diverses façons par lesquelles les femmes ont utilisé et remodelé le voile et les styles vestimentaires musulmans pour gagner du terrain et étendre leur sphère de pouvoir tout en résistant aux institutions patriarcales au sein des espaces musulmans ou laïcs, voire en les subvertissant. De fait, au moyen de la mode et du vêtement, les femmes élargissent leur rôle public tout en élaborant de nouvelles formes de féminité. Ce faisant, elles affirment leur agentivité, tout ayant accès à de nouvelles opportunités. Cet article suggère que le souci de réglementer l’habillement des femmes et les codes vestimentaires, à la fois en contextes musulmans et laïcs, provient du désir de présenter une démocratie unifiée plutôt que pluraliste, et une identité nationale qui se traduit souvent par des pratiques d’exclusion.
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Bromberger, Christian. "Iran." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.108.

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Abstract:
Entre les mondes arabe (Irak, États du Golfe…), turc (Turquie, Azerbaïjan, Turkmenistan) et européen (par la trouée du Caucase et de la mer Caspienne), l’Iran forme un ensemble distinct dont la population est fortement attachée à sa spécificité. Cette forte originalité au sein du Moyen-Orient, les Iraniens la doivent à leurs origines symbolisées par leur langue, le persan, une langue indo-européenne, à la doctrine religieuse qu’ils professent en majorité, le chiisme, qui s’oppose au principal courant de l’islam, le sunnisme, enfin, paradoxalement, à leur forte occidentalisation due à un courant d’échanges continus depuis la fin du XIXème siècle et que n’a pas interrompu la Révolution islamique. Ces trois constituants de l’identité iranienne sont contrebalancés par des facteurs de division de la société, plus ou moins accusés selon les époques. Le premier constituant de l’identité iranienne, revendiquée par la population, c’est l’ancrage du pays dans une histoire plurimillénaire, la conscience d’appartenir à un des plus anciens États du monde, de la continuité d’une civilisation qui a su assimiler les envahisseurs successifs. Les Iraniens sont d’origine aryenne. Irân-vej, en langue pehlevi, l’ancienne langue iranienne parlée sous les Sassanides (224-651 ap. J.-C.), c’est le pays des Aryens. Les occidentaux ont préféré, à travers l’histoire, le nom qu’avaient donné les Grecs au pays, « Perse », du nom de la grande tribu qui avait fondé l’Empire achéménide au VIème siècle avant J.-C. Diplomates et voyageurs utilisèrent le mot « Perse » jusqu’en 1935 quand l’empereur Reza chah imposa le nom officiel d’Iran, déjà utilisé dans la population, et récusa le nom de Perse qui connotait des légendes anciennes et ancrait le pays dans un passé folklorique. Encore aujourd’hui les occidentaux ont tendance à utiliser « Perse » quand ils se réfèrent à des aspects valorisants (archéologie, cuisine, poésie…), réservant « Iran » pour évoquer des thématiques plus inquiétantes (Révolution, terrorisme). Venus des steppes froides d’Asie intérieure, les Iraniens sont, à l’origine, des nomades indo-européens qui se sont fixés, aux IIème et au Ier millénaires avant J.-C sur le haut plateau( entre 800 et 1000 mètres) entouré de montagnes qui constitue la majeure partie de l’actuel Iran. Le genre de vie qui a dominé jusqu’aux invasions turco-mongoles (XIème-XIIIème siècles) était celui d’agriculteurs sédentaires pratiquant de courts déplacements pastoraux à l’intérieur des vallées. Les invasions médiévales ont entraîné la « bédouinisation » (X. de Planhol) de populations jusque là sédentaires si bien que l’Iran est devenu le plus grand foyer mondial de pastoralisme nomade. Ces bouleversements au fil de l’histoire, précédés par la conquête arabe au VIIème siècle, n’ont pas fait disparaître pour autant la langue persane ni fait refluer un folklore spécifiquement iranien. La nouvelle année (noruz) que célèbre la population est une année solaire qui débute à l’équinoxe de printemps et compte 365 jours. La vie en Iran est ainsi rythmée par deux calendriers antagonistes, le calendrier solaire pour le quotidien et le calendrier lunaire musulman pour les cérémonies religieuses. Noruz est aussi fêté dans les anciennes possessions et l’aire d’influence de l’Iran (sarzamin-e Iran : le « territoire » de l’Iran, Iran-e bozorg : le grand Iran) où le persan, sous l’appellation dari en Afghanistan et tajik au Tajikistan, est une langue officielle. La prise en considération de l’unité et du fort sentiment national iraniens ne doit pas masquer l’hétérogénéité et les facteurs de division au sein du pays. Et tout d’abord la diversité ethno-linguistique. Si environ 85% de la population parle le persan, ce n’est la langue maternelle que de 50% des locuteurs. D’importantes minorités occupent les marges du pays : au nord-ouest, les Turcs azeri, qui forment environ 20% de la population iranienne ; à l’ouest les Kurdes ; au sud, des Arabes ; au sud-est les Baloutches. Cette diversité ethno-linguistique se double d’une diversité religieuse, chez les Baloutches, une partie des Kurdes et une partie des Arabes qui sont sunnites. Les revendications identitaires de ces minorités se déclinent avec une intensité très variable, se bornant tantôt à des manifestations culturelles, prenant parfois un tour plus politique avec des demandes d’autonomie ou encore s’accompagnant d’actions violentes (ainsi au Baloutchestan et dans une moindre mesure au Kurdistan). S’ajoutent à ces différences culturelles et à ces revendications identitaires de forts contrastes en matière de genre de vie. La vie paysanne, en net déclin (on ne compte plus que 26% de population rurale selon le recensement de 2016), se caractérise par de fortes traditions communautaires, notamment pour la gestion de l’eau amenée traditionnellement des piémonts par des galeries drainantes souterraines (les qanât). Les pasteurs nomades forment de grandes tribus (tels, au sud de l’Iran, les Bakhtyâri et les Qashqa’i) qui se singularisent par rapport aux Bédouins des déserts du Moyen-Orient par les traits suivants : il s’agit d’un nomadisme montagnard menant les pasteurs et leurs troupeaux des plaines vers les sommets au printemps et inversement à l’automne ; les tribus regroupent des centaines de milliers d’individus soumis à des « chefferies centralisées » (J.-P. Digard) et ont formé des états dans l’État rigoureusement hiérarchisés. Mais c’est le mode de vie urbain qui est depuis une quarantaine d’années majoritaire. La ville avec son bâzâr, sa grande mosquée, ses services est particulièrement valorisée. La population de Téhéran (9 millions d’habitants) et de son agglomération (15 millions) a crû considérablement depuis le début du XXème siècle (environ 200 000 habitants en 1900). Banlieues et cités périphériques regroupent des « paysans dépaysannés » (P. Vieille) (pour un exemple de ces cités périphériques voir S. Parsapajouh). La ville elle-même est fortement stratifiée socialement. Ainsi, à Téhéran, s’opposent un nord riche où réside une bourgeoisie occidentalisée et les quartiers populaires et pauvres du sud de la ville. Le second constituant de l’identité iranienne, c’est le chiisme. Ce courant religieux remonte aux premiers temps de l’islam quand il fallut choisir un successeur au prophète. Les chiites, contrairement aux sunnites, optèrent pour le principe généalogique et choisirent pour diriger la communauté le gendre et cousin de Mohammed, Ali (shi’a signifie partisan - de Ali). Selon les dogmes du chiisme duodécimain, la version du chiisme dominante en Iran, seuls les 12 imam-s (Ali et ses descendants) ont pu exercer un pouvoir juste et légitime. Le douzième imam a disparu en 874 et dans l’attente de la parousie de cet « imam caché » toute forme de gouvernement est nécessairement imparfaite. Ce dogme prédispose à une vision critique du pouvoir. Au cours de l’histoire certains ont préféré cultiver de l’indifférence à l’égard de la vie politique et se réfugier dans la spiritualité, d’autres au contraire faisant fond sur les virtualités contestataires du chiisme ont prôné une opposition au pouvoir, voire un gouvernement dirigé par les clercs, comme l’ayatollah Khomeyni et ses partisans le firent lors de la révolution islamique (1979-1980) – ce qui est une innovation dans le chiisme duodécimain. La constitution de la République islamique a entériné cette position doctrinale en institutionnalisant le velayat-e faqih « la souveraineté du docte ». C’est lui, le « guide », qui exerce le pouvoir suprême et auquel sont subordonnés le Président de la République et le gouvernement. Un autre trait original du chiisme duodécimain est l’exaltation du martyre ; celle-ci trouve son origine dans l’ « histoire-mythe » de la passion du troisième imam, Hoseyn, tué, avec la plupart des membres de sa famille, dans des circonstances atroces par les troupes du calife omeyyade (sunnite), Yazid, en 680 à Kerbala, dans l’actuel Irak. La commémoration de ce supplice s’exprime à travers des rituels dolorisants qui atteignent leur paroxysme le 10 moharram (premier mois de l’année musulmane), jour de achoura (anniversaire de la mort de Hoseyn) : processions de pénitents se flagellant, prônes, cantiques et mystères rappellent ce drame. Cette tradition martyriste et les rituels qui lui correspondent sont un véritable ciment de la culture populaire. Le mythe de Kerbala, opposant bourreaux et victimes, exaltant le sacrifice de soi a été, dans l’histoire de l’Iran moderne et singulièrement lors de la révolution islamique, une grille de lecture de la réalité socio-politique et un modèle d’action pour la lutte. Un troisième composant de l’identité iranienne, c’est l’occidentalisation, entretenue par une diaspora de deux à trois millions d’individus installés, pour la plupart, aux Etats-Unis. Le sport est un des révélateurs les plus vifs de cette occidentalisation, voire de la mondialisation de la société iranienne. Le sport traditionnel en Iran, c’est la lutte qui s’adosse à la pratique coutumière du zourkhane (littéralement maison de force) où l'on s'adonne, dans un cadre de sociabilité conviviale, à divers exercices athlétiques. Or, aujourd’hui, le football détrône la lutte ; des joueurs sont recrutés par des clubs européens, des entraîneurs étrangers sont appelés à diriger l’équipe nationale qui brille dans les compétitions internationales et suscite un engouement sans pareil. Des revendications s’expriment dans les stades ou autour des matchs de football. Il en est ainsi des revendications féminines. Contraintes à une tenue stricte, soumises à des inégalités de droits (en matière d’héritage, de divorce, de voyage, etc.), les femmes sont aussi interdites dans les stades où se déroulent des compétitions d’hommes, en particulier lors des matchs de football. La contestation de cette interdiction est devenue un leitmotive des revendications féminines et à chaque grand match des femmes tentent de s’introduire dans le stade. Le football est sans doute un des domaines où la tension est la plus vive entre le régime islamique, soucieux de la séparation des sexes, de la discipline et de la bienséance prude, et la « société civile » urbaine plus ouverte aux modes de vie occidentaux. Les rituels de moharram tels qu’ils sont pratiqués par les jeunes dans les grandes villes d’Iran témoignent aussi de cette quête de modernité. L’évocation du drame de Karbala suscite une sincère affliction chez ces jeunes mais ils l’expriment à travers des attitudes et des moyens nouveaux : le matériel utilisé, la retransmission du rituel sur un écran géant, les manifestations juvéniles torse nu, qui rappellent celles des jeunes supporters dans les stades de football européen ou encore des adeptes de rave parties, le chantre s’apparentant à un DJ spectaculaire… tout cela emprunte à une culture mondialisée, et parfois underground. Ces exemples, parmi bien d’autres, montrent la complexité des manières d’être dans le monde iranien tiraillées entre modèles nationaux, religieux et mondiaux
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Dissertations / Theses on the topic "Mondialisation – Iran"

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Saeidi, Valeh. "Rôle des systèmes bancaires privés dans le processus de globalisation : le cas de l'Iran." Nice, 2010. http://www.theses.fr/2010NICE0005.

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Abstract:
La croissance des institutions financières et la privatisation de ces dernières ainsi que la création des banques privées ont des effets importants dans le processus de la globalisation surtout dans les pays en voie de développement. Celles ci ont des effets considérables dans la compétition entre les banques, l'indépendance de la banque centrale, la variation de taux d'intérêt bancaire et l'efficacité de système financier. Privatisation des banques et la libéralisation du système financier donnent la possibilité de renforcer des échanges internationaux. Celles ci pourront améliorer l'efficacité du système financier ou augmenter les risques de ce système. Pour cet objet, il faut connaître les structures et les cadres du système bancaire interne et il faut vérifier les risques du système bancaire avant et après la privatisation bancaire pour entrer dans le champ international. L’objectif de cette thèse est la vérification de l’ajustement de l’effet des risques financiers divers existant dans le secteur bancaire sur le bénéfice net des banques à la suite de la création des banques privées. En d’autre terme, l’objectif de cette recherche est de savoir si les banques iraniennes en considération des risques devant eux, sont prêtes pour la libéralisation financière dans le processus de globalisation ? Les résultats indiquent que, la globalisation des opérations bancaires a rendu l'environnement des activités bancaires entièrement concurrentiel. Pour disposer des moyens de compétitivité face aux banques étrangères, les banques iraniennes nécessiteraient des réformes fondamentales, dont celles de l'augmentation du capital des banques, l'indépendance du système bancaire, l'effort pour l'expansion de la privatisation, l'avancée sur le terrain des opérations bancaires électroniques, la réforme des règlements relatifs à la présence des banques étrangères en Iran, le mouvement des capitaux, etc. …Du moment que la globalisation a causé une majoration des risques, alors les banques iraniennes, en vue de leur entrée sur le terrain mondial, devraient disposer d'une plus grande ouverture aux risques. L'un des moyens pour renforcer l'ouverture aux risques du système bancaire en Iran, a été la création des banques privées, causant une plus grande flexibilité du système bancaire, de même qu'un renforcement de la compétitivité des banques, avec en définitif, un accès à des conditions plus favorables à l'entrée sur le terrain mondial
Growth of financial institutions and the privatization of the latest and the creation of private banks have significant effects in the process of globalization, especially in the developing countries. These latter have considerable effects in the competition between banks, the independence of the central bank, the variation in bank’s interest rates and effectiveness of financial system. Privatization of banks and the liberalization of the financial system provide the opportunity to strengthen international exchanges. These latter can improve the efficiency of the financial system or increase the risk of the system. Off course, we should know the structure and framework of current domestic banking system and verification before and after of these changes in order to enter the international field. The objective of this thesis is the verification of the adjustment of the effect of various financial risks existing in the banking sector on net earnings of banks following the creation of private banks. In other words, the objective of this research is whether the Iranian banks in consideration of the existing risks are ready for financial liberalization in the process of globalization? The results indicate that the globalization of banking has made the environment for banking operations entirely competitive. To have the means to competition deal with foreign banks, the Iranian banks would require fundamental reforms, including those of the capitalization of banks, the independence of the banking system, the effort for the expansion of privatization, the advances in the field of electronic banking, reform of regulations related to the presence of foreign banks in Iran, movement of the capital, etc. . . . As long as globalization has involved an increased risk, then the Iranian banks, for their entrance on the global field, should dispose of a greater openness to risk. One way to increase the openness of risk the banking system in Iran, is the creation of private banks, causing a more flexible banking system, and a strengthening of competitiveness of banks, with an definitive, access to more favourable conditions at the entrance on the ground worldwide
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Mamdouhi, Reza. "Les entraves a l’adhesion de l’Iran a l’OMC." Thesis, Paris 3, 2013. http://www.theses.fr/2013PA030032.

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Abstract:
Cette recherche est une thèse analytique des entraves à l’adhésion de l’Iran à l’OMC (Organisation Mondiale du Commerce).La présente recherche a répondu à ces questions : pourquoi, après tant d’années, la République Islamique d’Iran n’a-t-elle pas pu adhérer à l’Organisation mondiale du commerce ? Pourquoi l’Iran peine-t-il à devenir membre à part entière de l’OMC ? Dans cette thèse nous avons analysé ces entraves dans trois domaines : juridique, économique et politique. En effet les obstacles (juridiques, économiques et politiques) internes à l’Iran sont des plus importantes. or dans le domaine juridique la contradiction entre les lois nationales iraniennes, et les règles de l’OMC sont les plus notables entraves à son adhésion. Dans le domaine économique la domination du Secteur public et de l’Etat sur le commerce extérieur et l’existence d’un Etat rentier pèsent sur l’économie du pays, aussi les restrictions sur l’investissement direct étranger en Iran, sont de nombreuses entraves à cette adhésion. Dans le domaine politique la souveraineté nationale de la République islamique est un facteur important qui empêche son adhésion à l’OMC. En effet les conflits d'intérêts et les contradictions fondamentales entre la République Islamique d’Iran et les grandes puissances comme les Etats-Unis et les pays européens, en plus du conflit sur le dossier nucléaire iranien sont des obstacles considérables. Aussi la politique extérieure de l’Iran et la poursuite d’une politique internationale idéologique et la politique de confrontation avec l’occident ne sont pas cohérentes avec le processus de la mondialisation et sont donc des obstacles a cette adhésion
This research thesis analyses the obstacles Iran is undergoing in its plight for membership to the World Trade Organization. This research aims at answering the following questions: Why after so many years has Iran been unable to join the World trade organization as a full member? Why does Iran have such difficulty in becoming a full member? In this thesis we have analyzed these obstacles in three areas, legal, economic and political. It is in the legal field within Iran itself where obstacles show to be of the greatest significance. The constitution, regulations on import and export, laws on the monopoly of trade and the rules of the W.T.O. itself, all hinder its membership. As far as the economic sphere is concerned, there are several factors which prevent Iran from becoming a full member. First of all, Iran has a domineering public sector. In addition, state foreign trade, restrictions on direct foreign investment in Iran and its rich resources are all contributing factors which influence the country’s economy. In the political field, the sovereignty of the Islamic republic is a major barrier to its adhesion. Conflicts of interest and fundamental contradictions between the Islamic republic of Iran and the great powers, Europe and the United States, as well as the dispute over the nuclear issue, together make considerable obstacles. Iran is also held up from becoming a full member because of its foreign policy, its continuous pursuit of ideological international policies and its political confrontation with the West which is not consistent with the process of globalization
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Hosseini, Abbasali Shapour. "Les influences de la mondialisation, les cultures et les religions sur les moyennes entreprises iraniennes." Thesis, Bordeaux 4, 2011. http://www.theses.fr/2011BOR40009/document.

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Abstract:
Cette recherche se concentre sur l‘impact de la mondialisation sur la gestion des entreprises iraniennes de taille moyenne dans un contexte international. Les caractéristiques associées aux cultures et aux pratiques religieuses qui influencent la performance des entreprises iraniennes de taille moyenne sont examinées. Cette recherche est conduite à partir de méthodes qualitatives et est basée sur la théorie du constructivisme. Le constructivisme est une théorie du savoir qui postule que les êtres humains génèrent leur connaissance et leur compréhension à travers leurs expériences. L‘information et les données ont été collectées par des entrevues rigoureuses et face-à-face avec des gestionnaires clés ou des directeurs des institutions. Étant donné la nature de la recherche, le type d‘analyse de données la plus appropriée est l‘analyse de contenu. Trente-deux gestionnaires de compagnies iraniennes de taille moyenne ont été choisis pour cette recherche. L‘auteur a sélectionné ces gestionnaires basé sur leurs compétences et leurs expériences. Les questions étaient semi-structurées et ouvertes, permettant à certains participants d‘ajouter de nouvelles dimensions à la discussion. Les questions présentées aux participants ont ainsi tentées d‘assurer qu‘ils puissent contribuer à l‘étude et présenter leurs propres idées et perspectives.En analysant les données basées sur les cadres conceptuels et les modèles théoriques, nous concluons que les entrevues démontrent clairement que la mondialisation et ses différentes caractéristiques n‘ont pas d‘effets néfastes sur la gestion des entreprises iraniennes de taille moyenne. Bien qu‘un nombre de pays musulmans et de pays en voie de développement n‘acceptent pas la notion de la mondialisation à bras ouverts, l‘Iran semble se différencier à cet égard et y10a réagi de manière positive. En implémentant les dimensions culturelles de l‘Iran de Hofstede et en comparant ses mesures à d‘autres sociétés, et en jumelant ceci à d‘autres modèles et théories, nous trouvons qu‘il n‘y a pas d‘influences négatives des cultures et des religions qui puissent réduire la performance de la gestion des entreprises iraniennes de taille moyenne. Cette perspective est plus convaincante dans le secteur privé de l‘économie
This research is focused on how globalization affect the way medium size Iranian companies are managed within the international scope? Characteristics associated with cultures and religious beliefs that have influences on performances of medium size Iranian companies are also examined. This research is conducted based on qualitative methods; and is based on theory of constructivism. Constructivism is a theory of knowledge which argues that human beings generate knowledge and meaning from their experiences. Information and data are collected by in-depth and face to face interviews with key managers and directors of relative institutions. According to nature of this research the most suitable type of data analysis is content analysis. 32 managers of medium-size Iranian companies were selected for this research: I selected these managers based on their qualifications and experiences. Questions were semi-structured and open-ended. But sometimes, some participants presented new dimensions to the discussions. Questions were presented to participants and tried to make sure that all participants have contributions and give their own ideas and perspectives.Analyzing the data using conceptual frameworks and theoretical models, we concluded that the interviews clearly show that globalization and its different characteristics do not have negative effects in managing medium size Iranian companies. Although there are a number of Muslim countries and developing countries that do not welcome globalization with open arms, Iran seems to be different and has responded positively. By implementing Hofstede's cultural dimensions for Iran and analyzing its measures compared to other societies, coupled with other models and theories we found out that there are not negative influences of cultures and religions that could lower the performances of12management of medium size Iranian companies when facing different cultural and religious issues. This perspective is more convincing in private sector of the economy
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Hoodashtian, Ataolah. "La mondialisation de la modernité, l'émergence de l'Asie et la confrontation des valeurs modernes et traditionnelles : le cas de l'Asie de l'Est et de l'Iran." Paris 8, 1998. http://www.theses.fr/1998PA081972.

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Abstract:
La pénétration de la modernité dans les pays non-occidentaux introduiraient des bouleversements structurels, conditionnant toutes les autres évolutions historiques de ces pays, et les laissant dans une "situation de non-retour historique". Aujourd'hui, il serait difficile de soutenir que le "seul gagnant" de l'ouverture des frontières et de la mondialisation est l'Occident. Désormais, L'Asie entre dans le jeu de concurrence économique avec l'Occident, force avec laquelle, elle ne pouvait jamais imaginer rivaliser, depuis plus de quatre siècles. Cette situation a introduit une "idéologie du pouvoir" asiatique, notamment chez les japonais, organisée à partir de l'imitation de l'Occident, à travers une confrontation des valeurs modernes et traditionnelles, allant jusqu'à une tentative de métissage entre ces deux types de valeurs. Mais, l'Iran et la thématique de l'Occidentalité, dominante pendant les 15 dernières années précédant la révolution de 1979, paraît également représentative de cette tendance. . .
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Zabolinezhad, Hoda. "A la recherche de la figure de l'artiste contestataire contemporain, dans le cadre de la mondialisation : le cas particulier des artistes contestataires iraniens." Thesis, Strasbourg, 2018. http://www.theses.fr/2018STRAC005.

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Abstract:
« Les philosophes analytiques de l'art et les artistes conceptuels ont en commun de refuser la théorisation et la recherche du beau comme idée ou norme, pour poser à la place une définition de l'art comme fonction symbolique toujours à décrypter à partir d'elle-même et de son langage propre, sans lui appliquer une essence a priori » explique Dominique Chateau (esthéticien français, né en 1948). En d’autres termes, il s’agit de l'esthétique issue de l'empirisme logique et du pragmatisme. La référence à une partie de l'introduction du premier numéro de la Revue francophone d'esthétique, sous la direction de Frédéric Wecker, écrite par Jean-Pierre Cometti, Jacques Morizot, Roger Pouivet, permet de clarifier l'objectif de cette théorie esthétique ; « […] Les problèmes esthétiques se seraient-ils dissous dans la médiatisation généralisée ? Sont-ils condamnés à nourrir un essayisme brillant mais sans portée théorique ? Doit-on laisser la parole aux historiens, aux spécialistes des sciences humaines ou aux professionnels du monde de l'art ? Telle n'est pas notre conviction. Nous voulons faire le pari d'une approche esthétique ouverte sur toutes les manifestations de l'art et qui revendique un parti pris d'analyse conceptuelle et d'argumentation critique. Il ne suffit en effet ni d'en appeler à une dimension anthropologique fondamentale, ni de s'en tenir à la menue monnaie de l'actualité et des événements. Comme toute discipline de quelque ambition, l'esthétique doit être en mesure de construire ses propres objets et de réviser ses résultats et ses procédures : là est sa seule garantie d'échapper au délire d'interprétation » En ce qui concerne cette réflexion, l'esthétique analytique est un dialogue constant avec les œuvres d'art d'avant-garde de l'art moderne et contemporain, notamment celles de Duchamp et de Warhol, mettant l’accent sur un ensemble de théories esthétiques quelquefois hétérogènes ; loin des théories traditionnelles, toutes ces théories refusent le beau en tant que principe essentiel de ce qui est devenu connu de l'art, c'est-à-dire l'œuvre d'art. [...]
"The analytical philosophers of art and the conceptual artists have in common to refuse the theorization and the search for the beautiful as idea or norm, to pose instead a definition of art as a symbolic function always to decrypt from itself and its own language, without applying to it an essence a priori "explains Dominique Chateau (French esthetician, born in 1948). In other words, it is the aesthetics of logical empiricism and pragmatism. The reference to a part of the introduction to the first issue of the Revue francophone d'esthétique, under the direction of Frédéric Wecker, written by Jean-Pierre Cometti, Jacques Morizot and Roger Pouivet, clarifies the objective of this aesthetic theory. ; "[...] Would aesthetic problems have dissolved in the generalized media? Are they doomed to nourish a brilliant essayism but without theoretical significance? Should we give the floor to historians, social scientists or professionals in the art world? That is not our conviction. We want to bet on an aesthetic approach open to all the manifestations of art and that claims a bias of conceptual analysis and critical argumentation. In fact, it is not enough to appeal to a fundamental anthropological dimension, nor to stick to the petty currency of events and events. Like any discipline of any ambition, aesthetics must be able to construct its own objects and revise its results and procedures: this is its only guarantee of escaping the frenzy of interpretation. "Regarding this reflection the analytical aesthetic is a constant dialogue with the avant-garde works of art of modern and contemporary art, notably those of Duchamp and Warhol, emphasizing a set of sometimes heterogeneous aesthetic theories; far from traditional theories, all these theories reject the beautiful as an essential principle of what has become known to art, that is to say the work of art. [...]
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Dadsetan, Mohammad Mehdi. "L'autoritarisme du pouvoir politique et le "sous-développement" économique en Iran." Lille 1, 2003. https://pepite-depot.univ-lille.fr/LIBRE/Th_Num/2003/50377-2003-11-12.pdf.

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Abstract:
L'échec des projets dits du développement depuis la deuxième guerre mondiale, considérés dans toutes les instances internationales comme l'issue indispensable aux problèmes des pays sous-développés, suscite des réflexions. Notre thèse insiste sur le point commun de tous ces projets à savoir la nature autoritaire de leur méthode d'application et l'absence d'éthique. La caractéristique majeure de ces projets selon Amartya Sen est qu'ils s'intéressaient avant tout "aux questions logistiques plutôt qu'aux fins ultimes ou à la recherche du "bien de l'homme". Partant de ce constat et en bénéficiant du recul historique sur l'évolution des théories économiques du développement, nous avons formulé notre hypothèse selon laquelle, le "facteur étatique" ou autrement dit les raisons socio-politiques constituent la cause principale du "sous-développement".
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Dadsetan, Mohammad Mehdi Guichaoua André. "L'autoritarisme du pouvoir politique et le "sous-développement" économique en Iran." [S.l.] : [s.n.], 2003. https://iris.univ-lille1.fr/dspace.

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Bailly, Émeline. "Espaces imaginés, espaces habités. Au-delà de la mondialisation : Téhéran, Rabat, New York, Paris." Phd thesis, Université Paris-Est, 2009. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00503137.

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Abstract:
La mondialisation est souvent associée à une homogénéisation et une standardisation des métropoles. Pour autant, des représentations urbaines singulières émergent. En questionnant la réalité des modèles internationaux, mon ambition était de comprendre la manière dont les pensées urbaines se fabriquent, se diffusent, se confrontent et s'inventent, la façon dont elles s'ancrent dans une culture, projettent une société en devenir et créent les lieux publics. La mise en regard de la conception de l'espace urbain dans quatre métropoles, Paris, Rabat, Téhéran et New York, a révélé qu'il n'y avait non pas émergence de grands modèles types mais, au contraire, une atomisation de références qui co-existent et fondent les nouveaux lieux de la ville. Ce faisceau d'influences s'inscrit en continuité avec le passé pour mieux le réinventer. Il s'inspire de visions de plus en plus diversifiées, venues d'ailleurs. Plus encore, il prend appui sur des symboles, des représentations imaginaires de la ville. La réalité urbaine émerge de cet enchevêtrement d'interprétations individuelles et collectives, passées ou importées, théoriques ou imaginaires. Les lieux publics apparaissent alors comme un espace de dialogue inachevé sur une représentation du monde elle-même en évolution. Ils sont une redéfinition infinie de l'expérience de la relation des hommes à leur environnement. Cette hybridation amène à penser autrement le fait urbain. La proximité et l'expérience partagée de la fabrication de la ville permettent de charger les lieux des existences, émotions, passions et rêves des hommes. Ceux-ci sont potentiellement ouverts à une possibilité d'habiter, d'être au monde. Plus encore, l'expérience subjective et symbolique permet d'être présent au monde et à autrui, de transposer la vie humaine au-delà de sa condition mortelle, d'inventer un horizon pour " habiter poétiquement la terre " (F. Hölderlin).
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Salami, Shahnaz. "Enjeux et perspectives de la politique du droit d'auteur en Iran à l'heure de la globalisation et à la lumière du droit français et international : exemple du cinéma." Thesis, Lyon, 2017. http://www.theses.fr/2017LYSE2112.

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Abstract:
La reconnaissance du droit d’auteur en Iran rencontre d’importantes difficultés à l’heure de la globalisation où la standardisation du droit d’auteur au niveau international se heurte aux problématiques nationales : telle est l’idée principale de la première partie de cette thèse. Dans un premier temps, une étude du droit d’auteur en République Islamique d’Iran montre que la politique culturelle iranienne en matière de propriété littéraire et artistique s’inspire de l’approche française du droit d’auteur. Dans un deuxième temps, une analyse du droit positif international permet de constater les enjeux socioculturels, politiques et économiques qui expliquent la tendance du législateur iranien à instaurer un équilibre entre le particularisme iranien et le droit positif international par le biais d’une série de réformes. Cette partie illustre enfin les difficultés auxquelles le législateur iranien doit faire face afin de trouver une harmonisation entre les conventions internationales d’une part, et le niveau de développement du pays d’autre part. La deuxième partie de cette thèse analyse le développement du piratage cinématographique, l’essor du marché noir du film et l’évolution des réseaux de l’économie informelle de la communication qui constituent autant d’obstacles à la volonté de conformer le droit d’auteur iranien au droit d’auteur international. Le piratage des films mérite d’être vu comme étroitement imbriqué dans l’environnement social, politique, culturel et économique de l’Iran d’aujourd’hui. Telle est l’idée sur laquelle est fondée cette deuxième partie. Traversant l’histoire technologique, économique, sociale et politique du cinéma iranien, cette étude tente de découvrir les raisons du développement de l’activité pirate en Iran, ses conséquences sur l’industrie du cinéma iranien et sur la société iranienne. À travers cette analyse sur le piratage, cette thèse présente enfin ce phénomène comme une voie souterraine et méconnue par laquelle opère dans l’ombre la mondialisation culturelle en Iran. Cette analyse montre en filigrane comment les réseaux du marché pirate de films donnent corps à une « économie souterraine » organisant une mondialisation culturelle "underground" en Iran
The recognition of copyright in Iran encounters significant difficulties in globalization times when international standardization of copyright clashes with national issues : such is the assumption that we will endeavor to check in the first part of our thesis. First, a study of copyright in Iran will show that the Iranian cultural policy concerning literary and artistic property is inspired by the French approach to copyright. Secondly, an analysis of international positive law will see cultural, political and economic issues that explain why the Iranian legislator tends to strike a balance between the Iranian distinctiveness and international positive law through a series of reforms. Finally, this study will illustrate the difficulties the Iranian legislator has to face in order to find a harmonization between international conventions on the one hand, and level of development of the country on the other. The second part of this thesis analyzes the development of film piracy and counterfeiting, the rise of black market and network evolution in the informal economy of communication, that all impede the efforts to comply the Iranian copyright with international copyright. Film piracy deserves to be seen as closely interwoven into the social, political, cultural and economic environment of today's Iran. This is the idea on which this part of our thesis is based. Through the technological, economic, social and political history of Iran's cinema, this study aims at discovering the reasons for the development of pirate activity in Iran, its consequences for the Iranian film industry and Iranian society. Through this analysis on piracy, this thesis finally presents it as an underground and misunderstood way of developing cultural globalization in Iran in the shadows. In filigree, this analysis shows how business network which pirate market films embody an « underground economy » organizing an underground cultural globalization in Iran
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Delfani, Mahmoud. "La formation d'une nouvelle élite iranienne en France : les étudiants iraniens envoyés en France sous Reza Shah Pahlavi [1921-1941]." Thesis, Paris 3, 2009. http://www.theses.fr/2009PA030178.

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Abstract:
La première moitié du 19ème siècle, a constitué le point de départ de la mise en place de la modernisation d’Iran. Aucun domaine n’a pu échapper au défi lancé par la modernisation et la formation d’une nouvelle élite iranienne à travers l’envoi d’étudiants iraniens en Europe a contribué au projet de modernisation du pays. En considérant les jeunes iraniens instruits en Europe comme autant de figures emblématiques de mutation de la société iranienne dans le processus de la modernisation, ces derniers ont été considérés comme une élite moderne. Les évolutions sociopolitiques et économiques de la société iranienne, au début du 20ème siècle, mettent en lumière l’existence d’une dynamique de renouvellement et d’un changement élitaire. Les étudiants en tant qu’acteurs principaux du processus de modernisation de l’Iran constituent un nouveau courant de pensée, une nouvelle manière d’envisager la société par l’émergence de courants politiques et de nouvelles littératures. Dans ce registre la formation de la nouvelle élite en Iran à l’époque Pahlavi est passé par la formation d’enseignants instruits en Europe chargés de former la nouvelle élite nationale à l’intérieur du pays. Autrement dit ces étudiants ont été envoyés en Europe pour devenir formateurs, instituteurs et professeurs au sein des établissements d’enseignement iraniens à leur retour en Iran. En dressant le tableau de la vie quotidienne et les difficultés que ces étudiants ont rencontré, nous avons essayé de mettre en cause les idées reçues sur l’élite moderne et le rôle de l’élite et des intellectuels dans le projet de la modernisation ; sujet resté pendant longtemps entre mythe et réalité historique
The first half of the 19th century was the starting point of the implementation of iranian modernization. No area has escaped the challenge posed by modernization and the formation of a new elite through the formation of Iranian students in Europe which has contributed to the modernization of Iran. Considering Iran's educated youth in Europe like so many emblematic figures of Iranian society’s transformation in the process of modernization, they have been regarded as a modern elite. The socio-political and economic developments of the Iranian society in the beginning of 20th century highlight the existence of a dynamic renewal and change of elite status. Students as major actors in the process of Iran’s modernization form a new school of thought, a new way of considering the society by the emergence of new political trend and literatures. In this context the formation of new elite in Iran in the Pahlavi era has gone through the training of teachers educated in Europe responsible for training the new national elite within the country. These students were sent to Europe to become at their return to Iran, trainers, teachers and professors in Iranian institutions. In drawing the picture of daily life and the difficulties that these students met, we tried to blame received ideas on the modern elite and its role in the project of modernization; a subject remained for a long time between myth and historical reality
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Books on the topic "Mondialisation – Iran"

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Wedoud, Ould Cheikh Abdel, and Société nationale d'industrie minière (Mauritania), eds. La montagne de fer: La SNIM, Mauritanie : une entreprise minière saharienne à l'heure de la mondialisation. Paris: Karthala, 2001.

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