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1

Uctum, Merih, and Pierre Deusy-Fournier. "Le dollar et l’euro : la primauté monétaire de l’Europe a-t-elle une place?" L'Actualité économique 74, no. 4 (February 9, 2009): 669–94. http://dx.doi.org/10.7202/602280ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ L’objet de cette étude est de déterminer si la suprématie du dollar a été remise en question depuis 1980, date à laquelle ont débuté les démarches pour la création d’une monnaie européenne unique devant mener à l’internationalisation des principales monnaies européennes. Nous avons constaté que le déclin du rôle international du dollar, qui s’était amorcé juste après l’effondrement du système de Bretton Woods, se poursuit. Ce déclin est visible au niveau des utilisations privées du dollar, bien que la monnaie américaine continue à dominer les autres lorsqu’il s’agit des utilisations officielles. Si une monnaie européenne unique est adoptée, les résultats empiriques laissent penser qu’elle pourrait fortement concurrencer le dollar à titre de monnaie internationale.
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Guillaumont, Patrick, and Sylviane Guillaumont. "Monnaie européenne et monnaies africaines." Revue française d'économie 4, no. 1 (1989): 97–116. http://dx.doi.org/10.3406/rfeco.1989.1204.

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3

Jeanneney, Jean-Marcel. "Pour une monnaie européenne." Revue de l'OFCE 26, no. 1 (1989): 127–34. http://dx.doi.org/10.3406/ofce.1989.1165.

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4

Devoluy, Michel. "Vers une monnaie européenne." Revue française d'économie 3, no. 2 (1988): 115–42. http://dx.doi.org/10.3406/rfeco.1988.1179.

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5

Prate, Alain. "L'Écu : vers une monnaie européenne ?" Commentaire Numéro33, no. 1 (1986): 19. http://dx.doi.org/10.3917/comm.033.0019.

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6

Aglietta, Michel, and Christian de Boissieu. "L'émergence de la monnaie européenne." Genèses 8, no. 1 (1992): 4–24. http://dx.doi.org/10.3406/genes.1992.1119.

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7

Jolicoeur, Mathieu Masse. "Institutionnaliser l'évaluation des politiques publiques. Étude comparée des dispositifs en Belgique, en France, en Suisse et aux Pays-Bas." Canadian Journal of Political Science 40, no. 3 (September 2007): 778–81. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423907070904.

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Abstract:
Institutionnaliser l'évaluation des politiques publiques. Étude comparée des dispositifs en Belgique, en France, en Suisse et aux Pays-Bas, Jacob, Steve, Bruxelles, Presses interuniversitaires européennes, coll. Cité européenne, no 35, 2005, 271 pages.L'évaluation des politiques publiques est monnaie courante dans la plupart des démocraties occidentales. Les études présentant des expériences nationales d'évaluation ne manquent pas; par contre, les analyses comparées demeurent peu nombreuses. Le livre de Steve Jacob pose le problème de l'institutionnalisation de l'évaluation dans quatre pays européens (France, Belgique, Suisse et Pays-Bas). En étudiant attentivement l'évolution de l'évaluation dans ces quatre pays, on découvre qu'elle emprunte des chemins variés reflétant les spécificités nationales. L'auteur pose l'hypothèse dans son livre que ce développement de l'évaluation est tributaire du milieu (type d'État et caractéristiques des acteurs importants) dans lequel il se réalise.
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Drevon, Bernard. "La Malfaçon. Monnaie européenne et souveraineté démocratique." Idées économiques et sociales N° 176, no. 2 (2014): 74. http://dx.doi.org/10.3917/idee.176.0074.

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9

Schwok, René. "Les relations entre l'Union européenne et les États-Unis: analyse critique de l'approche « dissociative » (Note)." Études internationales 29, no. 1 (April 12, 2005): 107–26. http://dx.doi.org/10.7202/703845ar.

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Abstract:
Cet article critique une approche qualifiée de « dissociative » dans l'analyse des relations entre les États-Unis et l'Union européenne. Il remet en cause aussi bien les présupposés théoriques que les observations empiriques des chercheurs qui ont prédit une dislocation des liens transatlantiques du fait de la fin de la guerre froide. Cette étude analyse principalement les raisonnements qui ont permis d'affirmer que I'OTAN était condamnée à disparaître, que les accords de l'Uruguay Round ne seraient jamais conclus, que l'Union européenne deviendrait une forteresse protectionniste et que les États-Unis étaient engagés dans une entreprise de sabotage du marché et de la monnaie unique européenne.
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Guengant, Alain, and Jean-Michel Josselin. "Monnaie unique européenne et contrainte d'endettement des collectivités locales." Politiques et management public 17, no. 1 (1999): 1–16. http://dx.doi.org/10.3406/pomap.1999.2215.

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Glicenstein, Gilles. "La préparation des banques à la monnaie unique européenne." Revue d'économie financière 36, no. 1 (1996): 89–96. http://dx.doi.org/10.3406/ecofi.1996.2244.

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12

Müller-Graff, Peter-Christian. "Banque centrale européenne : monnaie, justice, démocratie - de Karlsruhe à Luxembourg -." Regards sur l’économie allemande, no. 112 (April 28, 2014): 17–24. http://dx.doi.org/10.4000/rea.4657.

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Le Lien, Charles. "Pour une véritable monnaie européenne, véhicule d'un ordre monétaire mondial." Revue d'économie financière 38, no. 3 (1996): 59–84. http://dx.doi.org/10.3406/ecofi.1996.5568.

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Bénassy-Quéré, Agnès, Amina Lahrèche-Révil, Agnes Benassy-Quere, and Amina Lahreche-Revil. "L'euro comme monnaie de référence à l'est et au sud de l'Union européenne." Revue économique 50, no. 6 (November 1999): 1185. http://dx.doi.org/10.2307/3502644.

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Bénassy-Quéré, Agnès, and Amina Lahrèche-Révil. "L'euro comme monnaie de référence à l'est et au sud de l'Union européenne." Revue économique 50, no. 6 (1999): 1185–201. http://dx.doi.org/10.3406/reco.1999.410140.

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Bishop, Graham. "Pourquoi la City doit se montrer en faveur de la monnaie unique européenne ?" Revue d'économie financière 36, no. 1 (1996): 209–12. http://dx.doi.org/10.3406/ecofi.1996.2256.

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Semedo, Gervasio, Laurent Gautier, and Kamel Malik Bensafta. "Pôles de convergence, gains dynamiques de l’intégration économique et monétaire en Afrique de l’Ouest : une approche en termes de clusters." Articles 88, no. 1 (February 11, 2013): 37–85. http://dx.doi.org/10.7202/1014026ar.

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Abstract:
L’expérience européenne avec la création du marché unique et jusqu’à l’avènement du traité de Maastricht a montré que le pragmatisme politique et l’adoption de règles transparentes, constituent des moyens de réduire les fractures structurelles entre pays. Toutefois, l’élargissement à de nouveaux pays membres, le relâchement de la discipline budgétaire, l’asymétrie des pays aux chocs, la pression des marchés, les politiques budgétaires différenciées des pays membres en Europe, ont montré avec la crise de la dette du Portugal, de l’Irlande, de la Grèce et de l’Espagne, que sans direction claire dans la coordination des politiques économiques, l’adoption d’une monnaie unique peut aboutir à des limites de tout processus d’intégration économique et monétaire. Les zones monétaires connaissent ainsi des cycles de réussite, de contrainte et d’exposition à des risques d’éclatement, si des mesures politiques adaptées ne sont pas prises pour anticiper les conséquences des politiques dites de cavalier seul; le fédéralisme est une issue souhaitable pour éviter cette mauvaise issue. Sur la base des règles proches du traité de Maastricht et de la théorie des zones monétaires optimales combinées dans une approche en termes de clusters, nous construisons une grille de lecture pour analyser l’hétérogénéité structurelle des pays de la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest. En utilisant la méthode de la classification ascendante hiérarchique (CAH), nous identifions des sous-groupes homogènes entre pays ou clusters désirant former une union monétaire ou des pôles de convergences. Dans la perspective de l’intégration monétaire, ces pôles peuvent tout d’abord s’entendre sur des accords de paiement et de compensation puis étendre l’expérience à une monnaie commune jusqu’à l’unification monétaire. Ce travail examine tout d’abord le bien-fondé du regroupement économique et monétaire et identifie deux groupes : l’un relativement homogène – Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), Cap-Vert, Ghana – et l’autre en voie de consolidation à plus long terme. Dans l’optique d’établir une monnaie unique, des recommandations de politiques économiques pour chacun des clusters identifiés sont proposées.
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Amato, Massimo, and Andrea Papetti. "La monnaie fiscale et le soutien de l’Euro(pe). Pour une réforme de l’architecture monétaire européenne." Revue Française de Socio-Économie 22, no. 1 (2019): 195. http://dx.doi.org/10.3917/rfse.022.0195.

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Yago, Kazuhiko. "Catherine Vuillermot (ed.), La monnaie, personnage historique (Revue européenne des sciences sociales, Cahiers Vilfredo Pareto, vol. xlv, no. 137, Geneva: Droz, 2007)." Financial History Review 15, no. 2 (October 2008): 269–71. http://dx.doi.org/10.1017/s096856500800019x.

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Labbé-Pinlon, Blandine. "Le passage à la monnaie unique européenne, l'euro : les incidences sur le comportement des consommateurs et sur les stratégies de marketing des distributeurs." Gestion 26, no. 3 (2001): 82. http://dx.doi.org/10.3917/riges.263.0082.

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Bojović, Boško. "Entre Venise et l’Empire ottoman, les métaux précieux des Balkans (XVe-XVIe siècle)." Annales. Histoire, Sciences Sociales 60, no. 6 (December 2005): 1277–97. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900020837.

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Abstract:
RésuméAu XVe siècle, la production de métaux précieux dans les Balkans atteint son plein essor. Ils sont exportés essentiellement via Raguse en direction de la Monnaie de Venise. La documentation disponible permet de chiffrer le transit par Raguse entre 11 060 kg pour 1425 et vingt-cinq tonnes annuelles au plus pour la première moitié du siècle. L’occupation ottomane de la Serbie et de la Bosnie au milieu du siècle marque la fin de cette exportation de matière première indispensable à l’économie monétaire européenne, en manque de numéraire. La production comme la monétarisation des métaux précieux des Balkans se déroulent désormais dans le cadre d’une économie en cercle fermé et sous le signe de l’autorégulation par l’État ottoman. Nonobstant tous les efforts de l’administration centrale, y compris une législation particulièrement élaborée, et malgré le développement du grand centre minier de Sidérocapsia (Macédoine orientale), la production des métaux précieux ne cesse de chuter au XVIe siècle. Ce processus économique aboutit, à la fin du XVIe siècle, au crash financier qui marque le début de la crise chronique de l’Empire ottoman. L’apport en métaux précieux des Balkans dans l’économie monétaire de l’Europe à la fin du Moyen Âge est un fait significatif encore loin d’avoir été pris suffisamment en compte par les spécialistes de l’histoire économique. De même que son rôle dans l’essor, puis dans le déclin irrémédiable de l’économie et de la puissance ottomane.
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Comaroff, Jean, and John L. Comaroff. "Bétail, perles et pièces de monnaie." Anthropologie et Sociétés 34, no. 2 (February 23, 2011): 21–45. http://dx.doi.org/10.7202/045704ar.

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Abstract:
Cet essai porte sur les mécanismes qui permettent les échanges équitables entre différents ordres de valeur, dans la production de la société et de l’histoire. Alors que les équivalences entre monnaies, la normalisation et la conversion sont présentes dans la plupart des théories sur l’argent et la marchandisation, leur nature en tant que processus social n’a pas été suffisamment étudiée, surtout dans la construction du caractère universalisant des idéologies et des régimes politiques et économiques modernes. Notre analyse examine la confrontation des différents régimes de valeur à l’occasion de la rencontre entre les Tswana d’Afrique du Sud et les colonisateurs européens, ainsi que les conflits et la médiation complexe auxquels ce processus a donné lieu. Le bétail, les pièces de monnaie et les contrats, qui avaient la possibilité à la fois de renforcer et de nier les différences, ont rapidement été investis de qualités magiques. Mais les peuples colonisés étaient également sensibles à la faculté de ces monnaies de faciliter ou d’empêcher la convertibilité, et connaissaient les formes d’abstraction et d’incorporation qu’ils impliquaient. C’est pourquoi, en Afrique du Sud et ailleurs, ces monnaies ont souvent servi de moyen de contestation de la valeur autour de laquelle les luttes coloniales se sont jouées.
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Dehouve, Danièle. "Compter l'argent : les Indiens de Tlapa (Mexique)." Annales. Histoire, Sciences Sociales 47, no. 2 (April 1992): 315–29. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1992.279049.

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Abstract:
Dans une économie monétarisée, le compte d'argent représente la principale activité arithmétique de la population. Loin d'être passive, celle-ci est le résultat de l'appropriation populaire d'un matériel monétaire produit par l'État : bien qu'à un moment donné la monnaie soit la même pour tous, les différentes catégories socio-professionnelles n'en font pas le même usage et ne comptent même pas de la même façon. Dans le cas du Mexique, on peut se demander en particulier comment les Indiens comptent l'argent, en fonction de la caractéristique de la monnaie du pays, des occasions spécifiques dans lesquelles ils se livrent à des calculs, et enfin des traditions élaborées au cours de cinq siècles de contact avec des cultures européennes.
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Van Evercooren, Dirk. "Book review: Ronald Janssen, La promesse brisée : Pour une monnaie unique européenne au service de l'emploi (The broken promise. For a single European currency in the service of employment) Editions Erasme - Artel/Namur 1998." Transfer: European Review of Labour and Research 4, no. 2 (May 1998): 387–90. http://dx.doi.org/10.1177/102425899800400224.

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Rey, Serge. "Les taux de change bilatéraux adoptés pour l’entrée dans l’euro sont-ils des taux d’équilibre?" Articles 77, no. 1 (February 5, 2009): 75–112. http://dx.doi.org/10.7202/602345ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Au mois de mai 1998, les autorités européennes ont décidé de fixer de manière irrévocable les parités bilatérales pour les monnaies des 11 pays qui ont adopté l’euro. En étudiant les taux de change bilatéraux des différents pays européens face au deutsche mark, on montre que dans la plupart des cas, ces parités sont très proches de taux de parité des pouvoirs d’achat (PPA) définis à l’aide de niveaux généraux de prix (prix à la consommation ou prix du Produit Intérieur Brut). À l’inverse, ces parités ne sont pas compatibles avec ce que donnerait l’utilisation d’une parité des coûts unitaires du travail. Ainsi, on observe que l’entrée dans l’euro s’est faite à des niveaux de taux de change qui valident des écarts de coûts pouvant atteindre 40 %. Or, une analyse en termes de causalité montre que ce sont les distorsions de coûts plus que celles de prix qui sont significatives pour expliquer des déséquilibres internes et/ou externes. Ces conclusions conduisent à douter de la pertinence d’une référence à une PPA des niveaux généraux de prix et invitent à tenir compte davantage des coûts unitaires du travail pour la fixation des parités d’équilibre.
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Lecarpentier-Moyal, Sylvie, and Patricia Renou-Maissant. "Analyse dynamique de la convergence des comportements de demande de monnaie en Europe*." Articles 83, no. 3 (May 28, 2008): 321–57. http://dx.doi.org/10.7202/018113ar.

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Abstract:
RésuméL’objet de cet article est l’étude de la convergence structurelle des comportements de demande de monnaie dans six pays européens (Allemagne réunifiée, Espagne, France, Italie, Pays-Bas, Royaume-Uni) avant la mise en place de l’euro en 1999. Nous effectuons une analyse dynamique des changements structurels qui affectent les coefficients (élasticités ou semi-élasticités) des fonctions de demandes de monnaie nationales sur la période 1982-1997.Si des comportements hétérogènes sont observés, il peut en résulter une hausse de la dispersion des taux d’inflation des futurs pays participants, ce qui peut poser des problèmes en termes de choix de stratégie monétaire par la BCE. D’une manière générale, un processus de convergence semble à l’oeuvre mais il n’est pas achevé, l’homogénéité ayant été observée dans un seul cas (pourM2 aux Pays-Bas).
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Rivallain, Josette. "Monnaies d'Afrique : visions africaines et visions européennes." Revue numismatique 6, no. 157 (2001): 121–30. http://dx.doi.org/10.3406/numi.2001.2322.

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Théret, Bruno, Benjamin Lemoine, and Louise Casteleyn. "Il est possible de construire un circuit du trésor européen écologique." Gestion & Finances Publiques, no. 4 (July 2020): 53–59. http://dx.doi.org/10.3166/gfp.2020.4.011.

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Abstract:
La monnaie fiscale nationale complémentaire est la seule alternative à un financement de la dette publique par les marchés financiers, logique dans laquelle s’inscrivent les interventions de la BCE. L’objectif est d’assurer l’indépendance des États par rapport aux marchés financiers. Un circuit du trésor, national voire à terme européen, devra être reconstitué. Des mesures d’accompagnement, telles qu’un État-banquier et investisseur, de même que la hausse de la fiscalité sur les revenus excessifs seront nécessaires.
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Goodhart, Charles. "L'unification des monnaies européennes : une tentative de solution." Revue d'économie financière 8, no. 1 (1989): 139–49. http://dx.doi.org/10.3406/ecofi.1989.1585.

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Huchet-Bourdon, Marilyne. "Fonctions de réaction des banques centrales européennes et convergence." Articles 79, no. 3 (January 25, 2005): 297–326. http://dx.doi.org/10.7202/009902ar.

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Abstract:
Résumé Depuis le 1er janvier 2001, 12 pays participent à l’UEM. L’instauration de la monnaie unique constitue l’aboutissement d’un long processus de convergence. Le Système monétaire européen créé en 1979 visait déjà à établir une coopération monétaire plus étroite. Ensuite, les trois étapes préliminaires à la création de l’UEM ont accéléré le processus d’ajustement. Néanmoins, la question est de savoir s’il existe une convergence des préférences des banques centrales. Pour répondre à cette interrogation, cet article a pour objet d’estimer les fonctions de réaction des huit principales banques centrales nationales sur la période 1980-1998 mais aussi celle qui aurait représenté au mieux le comportement de la BCE si les pays avaient formé une union monétaire sur cette période. Les résultats nous permettent ainsi de comparer les comportements des banques centrales et mettent en évidence un processus de convergence de leurs préférences.
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Pellet, Rémi, and Khadidja Bhaloul. "Les rachats massifs par la BCE de titres publics sont une forme de monétisation des dettes publiques." Gestion & Finances Publiques, no. 4 (July 2020): 43–47. http://dx.doi.org/10.3166/gfp.2020.4.009.

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Abstract:
Du point de vue du juriste, les rachats massifs de titres publics par le Système européen de banques centrales sont une forme de « monétisation des dettes publiques », qui a des effets quasi-équivalents à ceux qui découleraient d’achats sur le marché primaire, ce que prohibe expressément le traité de Maastricht, comme vient de le rappeler la Bundesbank. Il en irait de même des monnaies « hélicoptère » ou « fiscale » ou de l’annulation totale ou partielle des dettes rachetées.
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Rzepkowski, Bronka. "Impact de l'annonce de la modalité de fixation des taux de conversion des monnaies européennes." Économie & prévision 128, no. 2 (1997): 145–59. http://dx.doi.org/10.3406/ecop.1997.5854.

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Versailles, Alban, and Virginie Van Ingelgom. "€philes ou €sceptiques ? Les attitudes des citoyens européens à l’égard de l’Union économique et monétaire et de la monnaie unique." Reflets et perspectives de la vie économique LVI, no. 4 (2017): 9. http://dx.doi.org/10.3917/rpve.564.0009.

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Galy, Michel. "Le marché des changes est-il efficient?: Une comparaison entre les monnaies flottantes et celles du mécanisme de change européen." Revue économique 39, no. 5 (September 1988): 913. http://dx.doi.org/10.2307/3501952.

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"Pour une monnaie européenne." Revue de l'OFCE 121, no. 2 (2012): 315. http://dx.doi.org/10.3917/reof.121.0315.

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"Les effets d'une monnaie européenne." Revue de l'OFCE 121, no. 2 (2012): 305. http://dx.doi.org/10.3917/reof.121.0305.

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Hély, Matthieu. "Frédéric Lordon, La malfaçon. Monnaie européenne et souveraineté démocratique." Lectures, April 23, 2014. http://dx.doi.org/10.4000/lectures.14465.

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Bodart, Vincent, and Pauline Harrak. "Numéro 157 - octobre 2020." Regards économiques, October 30, 2020. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco/2020.10.29.01.

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Abstract:
Une monnaie internationale est une unité monétaire utilisée en dehors de son pays d’origine. Comme une devise nationale, elle remplit trois fonctions : moyen de paiement, unité de compte et réserve de valeur. De ce point de vue, le dollar américain est depuis plusieurs décennies la principale monnaie internationale. Le dollar est notamment la principale monnaie de réserve pour la plupart des banques centrales dans le monde : ainsi, en 2018, selon les données du FMI, environ 62% des réserves de change des banques centrales étaient détenues en dollar américain. Alors qu’il apparaît de manière indéniable que le dollar est, de loin, la monnaie de réserve internationale dominante, la question à laquelle s’intéresse ce numéro de Regards économiques est celle de savoir si, à l’avenir, le dollar pourrait perdre sa suprématie au profit d’autres monnaies comme par exemple l’euro ou le yuan chinois. La question de la domination du dollar au niveau international revient périodiquement au- devant de l’actualité monétaire et financière. Ce fut ainsi le cas lors de la création de la monnaie unique européenne en 1999, ainsi qu’à la suite de la crise économique et financière de 2009. Elle a resurgit récemment, en raison notamment de la dépréciation importante subie par le dollar américain en milieu d’année. Concernant la fin de la suprématie du dollar, certains observateurs répondent que cela pourrait être le cas, l’argument le plus souvent évoqué étant la diminution de l’importance économique et financière des États-Unis, en raison notamment du poids croissant de la zone euro et, surtout, de la Chine au niveau mondial. D’autres économistes estiment en revanche qu’une telle évolution est peu probable à brève échéance, en soulignant notamment qu’un changement rapide de statut du dollar au niveau international supposerait un changement radical et rapide des éléments (dont par exemple le poids économique des États-Unis au niveau mondial ou la stabilité monétaire et financière des États-Unis) qui ont contribué à assurer la suprématie du dollar comme monnaie de réserve internationale depuis près de 100 ans. L’analyse présentée dans ce numéro de Regards économiques aboutit au même constat. L’analyse est menée à partir d’un modèle de détermination de la composition des réserves de change des banques centrales. A l’instar d’autres études, notre modèle révèle que la taille économique du pays émetteur d’une monnaie est un déterminant important du poids de cette monnaie dans les réserves de change. Partant de ce résultat, l’exercice réalisé consiste à projeter ce qu’adviendrait la part du dollar dans les réserves internationales des banques centrales. Et cela, en posant différents scénarios d’évolution de la part respective du PIB des États-Unis, de la zone euro et de la Chine dans le PIB mondial. Les scénarios considérés pour le futur envisagent ainsi une augmentation du poids économique relatif de la zone euro ou de celui de la Chine, alors que le poids de l’économie américaine dans l’économie mondiale resterait inchangé ou diminuerait. De manière délibérée, les scénario retenus sont donc défavorables au dollar. Malgré cela, selon les résultats obtenus, il apparaît que le dollar reste la principale monnaie de réserve internationale. Son importance pourrait cependant diminuer à l’avenir au profit de la monnaie chinoise, pour autant que la croissance économique de la Chine demeure significativement supérieure à celle des États-Unis et de la zone euro.
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Larue, Louis. "Focus 26 - janvier 2021." Regards économiques, January 28, 2021. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco/2021.01.28.01.

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Abstract:
Les crypto-monnaies, comme le Bitcoin ou Ethereum, animent le débat public depuis au moins 10 ans. A leur avènement, les banques centrales se sont montrées pour le moins frileuses. Ainsi, dans un rapport publié en 2013, la Banque centrale européenne (BCE) avertissait que la nature non réglementée de ces monnaies pourrait exposer leurs utilisateurs à des risques élevés. Plusieurs années plus tard, les banquiers centraux reconnaissent maintenant leur potentiel. La Banque d'Angleterre, la Banque centrale suédoise et la BCE étudient toutes intensément la possibilité d'émettre leur propre monnaie numérique (ci-après dénommée «monnaie numérique de banque centrale» ou «central bank digital currencies» en anglais). Cet enthousiasme est-il justifié ? Les banques centrales devraient-elles créer leur propre monnaie numérique ? Ce focus de Regards économiques présente d’abord brièvement ce que sont ces monnaies. Il expose ensuite les raisons justifiant leur éventuelle introduction et détaille finalement les risques qu’elles pourraient poser. Notons tout d’abord que ces monnaies ne sont pas une copie «publique» des crypto-monnaies privées. Les banques centrales rejettent en effet la nature décentralisée et l’absence de gouvernance unifiée du Bitcoin et des crypto-monnaies similaires. Par ailleurs, la nature «numérique» de ces nouvelles monnaies n’est pas vraiment une innovation. La majorité de la masse monétaire prend déjà une forme numérique. A côté de la monnaie «physique» (pièces et billets), la plus grande partie de notre monnaie est constituée de dépôts bancaires privés et de dépôts à la banque centrale (la monnaie de réserve). Pour l'instant, seules les banques et certaines institutions financières ont accès aux réserves de la banque centrale. La véritable innovation au cœur des monnaies numériques de banque centrale serait de donner aux particuliers et aux entreprises la possibilité de détenir de l'argent sous forme de dépôts directement auprès de la banque centrale. En somme, les monnaies numériques de banques centrales, malgré leur nom, ne formeraient pas une nouvelle monnaie, mais plutôt un nouveau moyen de payement, labellisé en euros, et de valeur équivalente à l’euro. Pour quelles raisons une banque centrale pourrait-elle donner cette opportunité à toutes et tous ? Une première raison est liée à la dépendance des banques centrales vis-à-vis du système financier. Le système financier moderne est basé sur une certaine division du travail entre les banques commerciales qui sont chargées de prêter de l'argent au secteur productif, et les banques centrales qui supervisent les premières et tentent d'influencer l'économie par des interventions sur les marchés financiers. Schématiquement, ces dernières tentent de peser sur le comportement des premières de deux manières : soit en modifiant le taux d’intérêt auquel les acteurs financiers peuvent leur emprunter de l’argent, soit via l’achat ou la vente d’actifs financiers. Cela signifie que les banques centrales n'ont qu'une influence indirecte sur l'économie productive et qu'elles dépendent des banques commerciales pour canaliser la politique monétaire. Lors de la crise financière de 2007-2008, par exemple, la dépendance des banques centrales par rapport aux banques commerciales a conduit les premières à injecter des milliards d'euros et de dollars sur les marchés financiers, dans l'espoir que les banques commerciales utilisent cet argent pour des investissements productifs. Or, l’efficacité de ces politiques est loin d’être démontrée. D’aucuns s’effraient que cette situation ne génère des bulles spéculatives et ne privilégie indûment les banques commerciales, sans que ces dernières ne financent l’économie productive à la hauteur des espérances des banquiers centraux. La mise en œuvre de monnaies numériques de banque centrale à grande échelle pourrait modifier radicalement cette situation. Cela offrirait un système de paiement alternatif qui ne serait pas géré par le secteur bancaire commercial. Les citoyens pourraient également choisir de placer leurs économies sur un compte à la banque centrale qui, par définition, serait plus sûr qu’un compte dans une banque commerciale. En outre, l'introduction de ces monnaies réduirait la dépendance des banques centrales vis-à-vis des banques commerciales en permettant aux banques centrales de créditer directement les comptes des citoyens ou des entreprises, sans nécessairement recourir à des intermédiaires bancaires. Par conséquent, l'introduction de ces monnaies pourrait rendre la politique monétaire plus directe et plus simple. A première vue, donc, on pourrait se réjouir de la possibilité de limiter la dépendance des banques centrales par rapport aux banques commerciales. Il convient cependant de considérer plusieurs problèmes importants. Premièrement, si les particuliers et les entreprises décident de considérer leur banque centrale comme leur fournisseur de services bancaires, ne risque-t-on pas de rendre les banques commerciales obsolètes et superflues ? Dans ce cas extrême, ni les citoyens ni les banques centrales n'auraient plus besoin d'intermédiaires pour l’octroi de crédits et l’accueil de dépôts. Les banques commerciales garderaient sans doute le rôle d’intermédiaire sur les marchés financiers, mais manqueraient d'une source de financement appropriée (les dépôts des clients) et perdraient une de leurs principales activités (les prêts). La taille des marchés financiers pourrait se réduire considérablement. Cela pourrait fragiliser la santé économique des banques commerciales et celle des marchés financiers dans leur ensemble. Un deuxième problème concerne l’équilibre des pouvoirs entre gouvernements, banques centrales et banques commerciales. À la suite de la crise financière, les banques centrales ont déjà acquis d'énormes pouvoirs. La BCE a par exemple participé à la Troïka en Grèce et dicté des réformes économiques structurelles dans ce pays. La Réserve fédérale américaine (la Fed), la BCE et la Banque d'Angleterre ont également obtenu des pouvoirs supplémentaires de supervision du système bancaire. Et elles sont toutes intervenues massivement sur les marchés financiers, par l'achat massif d'obligations et de titres. L’introduction de monnaies numériques de banque centrale renforcerait ces tendances et accroîtrait le poids des banques centrales sur les marchés financiers, en leur donnant un accès direct aux comptes des citoyens et des entreprises, et en leur permettant de contourner les acteurs financiers commerciaux. Ce déséquilibre de pouvoir pourrait encore accroître le déficit démocratique dont souffrent les banques centrales. Par ailleurs, les banques centrales, si elles sont amenées à fournir des services bancaires et à alimenter l'économie productive par le crédit, pourraient être entraînées dans d’importants conflits d'intérêts. En effet, ces dernières deviendraient leur propre régulateur. En conclusion, il est certain que les monnaies numériques de banque centrale suscitent un débat intéressant sur le rôle des banques centrales dans le système financier. D’une part, elles pourraient constituer une piste de solution à la dépendance des banques centrales vis-à-vis des marchés financiers. Cependant, elles pourraient également conduire à accroître démesurément les pouvoirs des banques centrales et à fragiliser les marchés financiers en rendant le financement des banques commerciales plus complexe. L’enjeu, en définitive, est le partage du pouvoir financier entre banques commerciales et banques centrales – un débat qui dépasse de loin l’objectif de ce focus, et qu’il ne prétend pas trancher. Pour aller plus loin : Larue, L., Fontan, C. et Sandberg, J. (2020). The promises and perils of Central Bank Digital Currencies. Revue de la Régulation, Numéro 28.
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Attanasi, Gautier, Rytis Bagdziunas, Vincent Bodart, Sébastien Fontenay, Vanessa Lutgen, Joël Machado, and Alexandre Ounnas. "Numéro 117 - juillet 2015." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.14483.

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Abstract:
Fragile en début d’année, la conjoncture économique de la Belgique s’est renforcée progressivement au cours du 1er semestre. Cette tendance devrait se poursuivre à l’avenir. La dépréciation de la monnaie européenne, la baisse du prix du pétrole, le maintien d’une politique monétaire très accommodante par la BCE, l’amélioration des perspectives économiques de la zone euro et un regain d’optimisme des ménages et des entreprises sont autant de facteurs qui devraient contribuer à relever le niveau de la croissance économique sur la période de projection. Encore modeste en 2015, à seulement 1,2 %, la croissance du PIB belge en volume devrait s’élever à 1,9 % en 2016.
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Attanasi, Gautier, Rytis Bagdziunas, Vincent Bodart, Sébastien Fontenay, Vanessa Lutgen, Joël Machado, and Alexandre Ounnas. "Numéro 117 - juillet 2015." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2015.07.01.

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Abstract:
Fragile en début d’année, la conjoncture économique de la Belgique s’est renforcée progressivement au cours du 1er semestre. Cette tendance devrait se poursuivre à l’avenir. La dépréciation de la monnaie européenne, la baisse du prix du pétrole, le maintien d’une politique monétaire très accommodante par la BCE, l’amélioration des perspectives économiques de la zone euro et un regain d’optimisme des ménages et des entreprises sont autant de facteurs qui devraient contribuer à relever le niveau de la croissance économique sur la période de projection. Encore modeste en 2015, à seulement 1,2 %, la croissance du PIB belge en volume devrait s’élever à 1,9 % en 2016.
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Attanasi, Gautier, Rytis Bagdziunas, Vincent Bodart, Sébastien Fontenay, Vanessa Lutgen, and Alexandre Ounnas. "Numéro 121 - janvier 2016." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.14433.

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Abstract:
Bien que la croissance de l’économie belge se soit quelque peu tassée durant la seconde partie de 2015, les perspectives de croissance pour 2016 restent favorables. Après plusieurs mois de faiblesse, la con­fiance des ménages et des entreprises s’est en effet nettement redressée sur la fin de 2015. La déprécia­tion de la monnaie européenne, la baisse des prix du pétrole et la persistance de conditions monétaires très accommodantes devraient également soutenir l’expansion de l’économie belge en 2016. Par ail­leurs, l’économie américaine reste solide et le redressement économique de la zone euro tend à se con­solider. En raison du ralentissement de la croissance économique des pays émergents, la croissance de l’économie belge devrait cependant rester modérée (1,5 %) en 2016. L’évolution future de l’activité économique reste également entourée d’une forte incertitude.
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Attanasi, Gautier, Rytis Bagdziunas, Vincent Bodart, Sébastien Fontenay, Vanessa Lutgen, and Alexandre Ounnas. "Numéro 121 - janvier 2016." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2016.01.01.

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Abstract:
Bien que la croissance de l’économie belge se soit quelque peu tassée durant la seconde partie de 2015, les perspectives de croissance pour 2016 restent favorables. Après plusieurs mois de faiblesse, la con­fiance des ménages et des entreprises s’est en effet nettement redressée sur la fin de 2015. La déprécia­tion de la monnaie européenne, la baisse des prix du pétrole et la persistance de conditions monétaires très accommodantes devraient également soutenir l’expansion de l’économie belge en 2016. Par ail­leurs, l’économie américaine reste solide et le redressement économique de la zone euro tend à se con­solider. En raison du ralentissement de la croissance économique des pays émergents, la croissance de l’économie belge devrait cependant rester modérée (1,5 %) en 2016. L’évolution future de l’activité économique reste également entourée d’une forte incertitude.
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Rossi, Sergio. "Plan pour un nouvel ordre monétaire européen : la transformation de l’euro en monnaie commune." Interventions économiques, no. 59 (December 21, 2017). http://dx.doi.org/10.4000/interventionseconomiques.3894.

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Leromain, Elsa, and Gonzague Vannoorenberghe. "Numéro 153 - décembre 2019." Regards économiques, December 3, 2019. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco/2019.12.03.01.

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Abstract:
Le Brexit a tenu l’Europe en haleine ces trois dernières années et aura des conséquences économiques et politiques majeures dans les années à venir. A l’approche d’élections qui s’annoncent déterminantes pour le Royaume-Uni, la forme que prendra le Brexit reste très incertaine. Loin de pouvoir en prédire précisément les conséquences, nous rappelons dans ce numéro de Regards économiques les principaux enjeux du Brexit d’un point de vue économique et ses implications possibles, et nous revenons sur l’expérience des trois dernières années pour juger de son importance. En tant que membre à part entière de l’Union européenne, le Royaume-Uni fait actuellement partie du marché unique et de l’union douanière. Alors que le marché unique assure la libre circulation des biens et des services entre ses membres, l’union douanière garantit l’absence de frontières et implique une politique commerciale extérieure commune. Tous ses membres appliquent les mêmes tarifs douaniers aux importations en provenance de pays tiers. Le Royaume-Uni étant un pays qui commerce beaucoup avec les pays de l’Union européenne et les pays tiers, sortir de ces deux entités ne serait pas sans conséquence. Ceci pose la question de la frontière entre la République d’Irlande et l’Irlande du Nord, sujet encore très sensible au Royaume-Uni car il deviendrait nécessaire de réintroduire des contrôles à la frontière irlandaise. C’est la quadrature du cercle que doit résoudre un accord et la raison principale de son échec à ce jour. Les différentes solutions proposées n’ont jusqu’à maintenant pas fait consensus. Évaluer l’impact de la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne n’est pas simple et nécessite de trouver réponse à une série de questions connexes : le Royaume-Uni sera-t-il dans une union douanière avec l’U.E. ? Le Royaume-Uni et l’Union européenne signeront-ils un accord de libre-échange ? Le cas échéant, quelle en sera sa nature ? Les accords de retrait que Theresa May, et plus récemment Boris Johnson, ont soumis à l’Union européenne ne fixent en effet qu’un cadre global de négociations et ne prévoient rien de précis sur les détails de l’accord commercial devant être négocié au cours de la période de transition fixée à deux ans. Les travaux académiques qui ont étudié les conséquences de différents scénarios du Brexit sur l’économie britannique et ses partenaires à long terme s’accordent dans leur ensemble sur le fait que la sortie de l’U.E. sera coûteuse pour le Royaume-Uni. L’ampleur de ces coûts est néanmoins incertaine dans la mesure où celle-ci repose sur les hypothèses des modèles théoriques sous-jacents et des scénarios envisagés. Le référendum a déjà eu des conséquences sur l’économie britannique. L’annonce du résultat du vote a entraîné un changement immédiat des attentes concernant l’avenir économique du Royaume-Uni. A l’ouverture des marchés financiers, le 24 juin, la livre sterling s’est dépréciée vis-à-vis des principales monnaies (euro, dollar, yen, yuan). Selon des travaux récents, le ménage moyen britannique a vu ses dépenses de consommation augmenter de 688 livres par an, soit une semaine et demie de salaire annuel. Cette augmentation des dépenses touche autant les ménages à revenu modeste que les ménages plus aisés. L’incertitude prégnante quant à l’avenir des relations entre le Royaume-Uni et l’Union européenne a elle aussi affecté l’activité des entreprises britanniques, et aura probablement une incidence sur la croissance à plus long terme. L’investissement a ainsi diminué progressivement au cours des trois dernières années et ce surtout pour les entreprises qui commercent beaucoup avec l’U.E.. Les entreprises ont également repoussé l’exportation de nouveaux biens ou cessé leurs exportations vers l’Union européenne dans l’année suivant le référendum. Dans le même temps, les entreprises britanniques investissent davantage en Union européenne. Il n’est encore pas clair à ce jour quand le Brexit aura lieu, ni même certain s’il aura bien lieu. Les élections de début décembre seront déterminantes pour la tournure qu’il prendra. L’expérience de ces trois dernières années ainsi que la nature des enjeux que le Brexit soulève laissent cependant craindre des effets non-négligeables, en particulier pour le Royaume-Uni.
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Van der Linden, Bruno. "Numéro 25 - novembre 2004." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.16023.

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Abstract:
En France, en Allemagne et en Belgique, la durée annuelle moyenne de travail par personne en emploi est passée de près de 3000 heures en 1870 à environ 2300 heures en 1938 en Allemagne et en Belgique (1850 heures en France). Après la seconde guerre mondiale, la tendance à la diminution s’est poursuivie. Depuis une vingtaine d’années, la durée de travail hebdomadaire à temps plein, telle que fixée par les conventions collectives, ne baisse que très lentement en Belgique. D’autres phénomènes, dont le développement du temps partiel, expliquent toutefois que la durée annuelle moyenne de travail continue à baisser. En 2003, elle s’élèverait selon l’OCDE à environ 1450 heures/an. Or, voici que depuis quelques mois, les médias font grand cas d’entreprises où la durée hebdomadaire de travail s’allonge sans compensation salariale. Cette inversion de la tendance historique est clairement une rupture, au contenu économique mais aussi symbolique chargé. Que penser de ce retournement, actuellement limité à un petit nombre d’entreprises ? En comparaison internationale, la durée hebdomadaire moyenne de travail à temps partiel est plus longue en Belgique. Concernant les travailleurs à temps plein, la durée hebdomadaire moyenne habituelle est en Belgique proche de la moyenne dans la zone EURO. Au niveau sectoriel, si l’on excepte le secteur des hôtels et des restaurants, notre durée hebdomadaire habituelle se situe également à un niveau proche de la moyenne dans la zone EURO. Notre pays ne paraît donc pas se démarquer sensiblement des voisins. La dispersion des durées hebdomadaires habituelles augmente en revanche entre les individus à un rythme qui n’a guère d’égal dans l’OCDE. Au plan régional, entre 1992 et 2002, un écart d’une heure par semaine s’est créé entre les travailleurs flamands et wallons à temps plein, ces derniers ayant une durée habituelle de travail relativement stable. Aucune "loi économique" ne nous dit quel serait le temps de travail idéal. En revanche, des divergences sensibles de coût de production ne peuvent persister pour des produits similaires soumis à la concurrence. Les coûts de production ne s’expliquent évidemment pas que par les coûts et la productivité du travail. Dans les limites de cette étude, nous n’avons toutefois pas abordé d’autres dimensions. Nous avons aussi mené notre réflexion dans les limites du cadre actuel marqué notamment par une concurrence accrue sur les marchés, une forte mobilité du capital et une monnaie unique. La loi de juillet 1996 relative "à la promotion de l’emploi et à la sauvegarde préventive de la compétitivité" se préoccupe de l’évolution de nos coûts salariaux horaires nominaux dans le secteur privé en comparaison avec celle de l’Allemagne, des Pays-Bas et de la France. Après quelques années d’alignement quasi parfait de notre croissance salariale sur l’évolution moyenne de nos trois voisins, la Belgique a récemment accumulé un écart relatif de 2 points de pourcentage. Si l’on tient compte des écarts existants avant la loi de 1996 et que l’on remonte plus haut dans le temps jusqu’en 1987, le FEB aboutit à un surcroît de coût salarial horaire de 8 points de pourcentage par rapport à la moyenne pondérée de nos trois voisins. Dans l’industrie manufacturière, selon le Bureau of Labor Statistics, nos coûts salariaux horaires sont 6 % plus bas qu’en Allemagne mais 5 % plus élevés qu’aux Pays-Bas et 32 % plus élevés qu’en France. Des coûts salariaux élevés engendrent une série d’ajustements dans les entreprises : disparition d’entreprises privées manquant de rentabilité, recherche de gains de productivité par élimination de main d’œuvre et surtout de main d’œuvre moins qualifiée, etc. La productivité du travailleur belge est, de fait, fort élevée. Il ne nous paraît cependant pas souhaitable d’avoir des performances exceptionnelles en matière de hausses de productivité du travail si cela se réalise au prix de disparitions supplémentaires d’emplois moyennement ou peu qualifiés. La capacité des personnes concernées à saisir les opportunités d’emploi dans d’autres segments de l’économie apparaissent en effet trop limitées. Dans un contexte où les nations européennes et leurs partenaires sociaux sont responsables de l’évolution des coûts salariaux, il est possible d’intervenir sur trois variables : les salaires horaires bruts, les cotisations patronales et la durée du travail. Le niveau élevé des cotisations patronales mais aussi l’importance des allégements de cotisation mis en place sont notoires en Belgique. Le meilleur usage des allégements structurels (c’est-à-dire durables et attribués par travailleur occupé, nouvellement ou non) se situe au niveau des travailleurs à bas salaires. Nous avons déjà argumenté en ce sens. De même, nous avons déjà rappelé la nécessité de la modération des salaires horaires en Belgique et nous avons évoqué les avantages et les limites de la "norme salariale" belge. Dans le cadre de celle-ci, la résorption de notre écart de coût salarial horaire ne pourra être que lente, fort probablement trop lente. De là, l’intérêt d’une réflexion sur le temps de travail. A court terme, considérant le niveau de production comme fixe, une durée de travail plus longue entraînera une diminution du volume d’effectifs souhaité par l’entreprise. Moins les heures ajoutées seront productives (effet de fatigue du travailleur), plus les effets de court terme seront faibles. Au-delà de ces réactions de court terme, l’entreprise peut se réorganiser de telle sorte que la durée d’utilisation du capital suive – là où c’est possible - l’allongement de la durée du travail. La variation du coût salarial sera l’autre déterminant essentiel de l’ajustement à moyen terme des quantités produites et de l’emploi. Notre analyse micro-économique indique que l’allongement de la durée hebdomadaire de travail mais aussi la poursuite de la réduction de celle-ci peuvent être des réponses microéconomiques alternatives face à des phénomènes tels que l’accroissement de la concurrence de pays à bas salaires. Mais dans un cas comme dans l’autre, ce ne sera vrai que si on accompagne ces modifications de durée du travail d’ajustements de nature et d’ampleur appropriés. En cas de hausse de la durée hebdomadaire, le coût salarial hebdomadaire ne peut croître proportionnellement. En cas de baisse de la durée, il ne peut demeurer à son niveau initial. Il faut aussi souligner l’importance de l’ajustement de la durée d’utilisation du capital. Celle-ci ne peut diminuer proportionnellement à la durée du travail. Elle doit croître lorsque cette durée s’allonge. Il faut dès lors vérifier la faisabilité des réorganisations du processus de production qui en découlent. Au-delà, il faut s’interroger sur leur désirabilité du point de vue des travailleurs. La conciliation des vies professionnelle et privée est au cœur du questionnement.
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Van der Linden, Bruno. "Numéro 25 - novembre 2004." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2004.11.01.

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Abstract:
En France, en Allemagne et en Belgique, la durée annuelle moyenne de travail par personne en emploi est passée de près de 3000 heures en 1870 à environ 2300 heures en 1938 en Allemagne et en Belgique (1850 heures en France). Après la seconde guerre mondiale, la tendance à la diminution s’est poursuivie. Depuis une vingtaine d’années, la durée de travail hebdomadaire à temps plein, telle que fixée par les conventions collectives, ne baisse que très lentement en Belgique. D’autres phénomènes, dont le développement du temps partiel, expliquent toutefois que la durée annuelle moyenne de travail continue à baisser. En 2003, elle s’élèverait selon l’OCDE à environ 1450 heures/an. Or, voici que depuis quelques mois, les médias font grand cas d’entreprises où la durée hebdomadaire de travail s’allonge sans compensation salariale. Cette inversion de la tendance historique est clairement une rupture, au contenu économique mais aussi symbolique chargé. Que penser de ce retournement, actuellement limité à un petit nombre d’entreprises ? En comparaison internationale, la durée hebdomadaire moyenne de travail à temps partiel est plus longue en Belgique. Concernant les travailleurs à temps plein, la durée hebdomadaire moyenne habituelle est en Belgique proche de la moyenne dans la zone EURO. Au niveau sectoriel, si l’on excepte le secteur des hôtels et des restaurants, notre durée hebdomadaire habituelle se situe également à un niveau proche de la moyenne dans la zone EURO. Notre pays ne paraît donc pas se démarquer sensiblement des voisins. La dispersion des durées hebdomadaires habituelles augmente en revanche entre les individus à un rythme qui n’a guère d’égal dans l’OCDE. Au plan régional, entre 1992 et 2002, un écart d’une heure par semaine s’est créé entre les travailleurs flamands et wallons à temps plein, ces derniers ayant une durée habituelle de travail relativement stable. Aucune "loi économique" ne nous dit quel serait le temps de travail idéal. En revanche, des divergences sensibles de coût de production ne peuvent persister pour des produits similaires soumis à la concurrence. Les coûts de production ne s’expliquent évidemment pas que par les coûts et la productivité du travail. Dans les limites de cette étude, nous n’avons toutefois pas abordé d’autres dimensions. Nous avons aussi mené notre réflexion dans les limites du cadre actuel marqué notamment par une concurrence accrue sur les marchés, une forte mobilité du capital et une monnaie unique. La loi de juillet 1996 relative "à la promotion de l’emploi et à la sauvegarde préventive de la compétitivité" se préoccupe de l’évolution de nos coûts salariaux horaires nominaux dans le secteur privé en comparaison avec celle de l’Allemagne, des Pays-Bas et de la France. Après quelques années d’alignement quasi parfait de notre croissance salariale sur l’évolution moyenne de nos trois voisins, la Belgique a récemment accumulé un écart relatif de 2 points de pourcentage. Si l’on tient compte des écarts existants avant la loi de 1996 et que l’on remonte plus haut dans le temps jusqu’en 1987, le FEB aboutit à un surcroît de coût salarial horaire de 8 points de pourcentage par rapport à la moyenne pondérée de nos trois voisins. Dans l’industrie manufacturière, selon le Bureau of Labor Statistics, nos coûts salariaux horaires sont 6 % plus bas qu’en Allemagne mais 5 % plus élevés qu’aux Pays-Bas et 32 % plus élevés qu’en France. Des coûts salariaux élevés engendrent une série d’ajustements dans les entreprises : disparition d’entreprises privées manquant de rentabilité, recherche de gains de productivité par élimination de main d’œuvre et surtout de main d’œuvre moins qualifiée, etc. La productivité du travailleur belge est, de fait, fort élevée. Il ne nous paraît cependant pas souhaitable d’avoir des performances exceptionnelles en matière de hausses de productivité du travail si cela se réalise au prix de disparitions supplémentaires d’emplois moyennement ou peu qualifiés. La capacité des personnes concernées à saisir les opportunités d’emploi dans d’autres segments de l’économie apparaissent en effet trop limitées. Dans un contexte où les nations européennes et leurs partenaires sociaux sont responsables de l’évolution des coûts salariaux, il est possible d’intervenir sur trois variables : les salaires horaires bruts, les cotisations patronales et la durée du travail. Le niveau élevé des cotisations patronales mais aussi l’importance des allégements de cotisation mis en place sont notoires en Belgique. Le meilleur usage des allégements structurels (c’est-à-dire durables et attribués par travailleur occupé, nouvellement ou non) se situe au niveau des travailleurs à bas salaires. Nous avons déjà argumenté en ce sens. De même, nous avons déjà rappelé la nécessité de la modération des salaires horaires en Belgique et nous avons évoqué les avantages et les limites de la "norme salariale" belge. Dans le cadre de celle-ci, la résorption de notre écart de coût salarial horaire ne pourra être que lente, fort probablement trop lente. De là, l’intérêt d’une réflexion sur le temps de travail. A court terme, considérant le niveau de production comme fixe, une durée de travail plus longue entraînera une diminution du volume d’effectifs souhaité par l’entreprise. Moins les heures ajoutées seront productives (effet de fatigue du travailleur), plus les effets de court terme seront faibles. Au-delà de ces réactions de court terme, l’entreprise peut se réorganiser de telle sorte que la durée d’utilisation du capital suive – là où c’est possible - l’allongement de la durée du travail. La variation du coût salarial sera l’autre déterminant essentiel de l’ajustement à moyen terme des quantités produites et de l’emploi. Notre analyse micro-économique indique que l’allongement de la durée hebdomadaire de travail mais aussi la poursuite de la réduction de celle-ci peuvent être des réponses microéconomiques alternatives face à des phénomènes tels que l’accroissement de la concurrence de pays à bas salaires. Mais dans un cas comme dans l’autre, ce ne sera vrai que si on accompagne ces modifications de durée du travail d’ajustements de nature et d’ampleur appropriés. En cas de hausse de la durée hebdomadaire, le coût salarial hebdomadaire ne peut croître proportionnellement. En cas de baisse de la durée, il ne peut demeurer à son niveau initial. Il faut aussi souligner l’importance de l’ajustement de la durée d’utilisation du capital. Celle-ci ne peut diminuer proportionnellement à la durée du travail. Elle doit croître lorsque cette durée s’allonge. Il faut dès lors vérifier la faisabilité des réorganisations du processus de production qui en découlent. Au-delà, il faut s’interroger sur leur désirabilité du point de vue des travailleurs. La conciliation des vies professionnelle et privée est au cœur du questionnement.
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Jewsiewicki, Bogumil. "Pardon." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.112.

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Abstract:
Vingt ans après la deuxième guerre mondiale, en pleine guerre froide, les évêques polonais écrivent, au grand dam de l’État, à leurs homologues allemands « nous pardonnons et demandons pardon ». Depuis, l’usage du pardon dans la politique nationale et internationale est devenu monnaie courante. Presque toujours le pardon est demandé pour les actes commis par des générations précédentes, une démarche entrée dans la culture politique depuis peu. Rappelons à titre d’exemple qu’alors que son père refusait de demander pardon à titre de premier ministre du Canada pour des actes posés par des générations antérieures, Justin Trudeau, l’actuel premier ministre, ne s’en prive pas. Mobilisée dans la résolution des conflits, la démarche de réconciliation incorpore le pardon. Ainsi, cet objet d’étude de la théologie, de la morale, de la religion et de la philosophie est désormais principalement étudié par la science politique. Par l’homologie, le pardon passé de la relation entre Dieu et l’individu aux rapports interpersonnels puis aux rapports entre les communautés et les États, est devenu un objet politique. Le long vingtième siècle occidental, entre les hécatombes des guerres mondiales, l’Holocauste et les génocides, a mis sociétés et individus devant le défi de la reconstruction du social et du politique après l’impardonnable. Hannah Arendt (1958), Jacques Derrida (2001) et Wole Soyinka (2000), mais avant tout femmes et hommes « ordinaires » ont fait face au défi de reconstruire l’humain à la sortie de l’expérience de l’inhumain. “Si cela veut dire que cet homme qui a tué fils, si cela veut dire qu’il redevienne humain afin que nous tous puissions ravoir votre humanité … alors j’accepte » (Krog : emplacement 3486, toutes les traduction sont les miennes, BJ) a déclaré Cynthia Ngewu témoignant lors des audiences de la Commission Vérité et Réconciliation sud-africaine sur l’amnistie. Paul Ricoeur (2000), le plus influent des chercheurs universitaires ayant analysé le pardon dans la perspective d’un vivre-ensemble aux confluents de la philosophie, de l’éthique et de la théologie chrétienne, soutient que le véritable pardon délie « l’agent de son acte ». La culture chrétienne, aujourd’hui largement laïcisée, est un sous-bassement des usages du pardon pour la reconstruction d’un vivre-ensemble. En reconnaissant ce fait, il ne faut pas perdre de vue que le pardon est une préoccupation ancrée non seulement dans les trois grands monothéismes mais aussi dans le bouddhisme, l‘hindouisme et autres systèmes philosophiques ou de croyance en Asie, Océanie, Afrique, etc. Cependant, on ne comprend pas toujours le pardon à l’identique. Son utilisation pour la résolution des conflits ne va pas sans malentendus. Lorsque, pour désengorger son système de justice, l’État rwandais recourt à l’institution locale de gacaca, on est loin de l’apaisement d’un conflit au sein de la communauté d’une colline, l’octroi du pardon ou plus précisément l’acceptation du génocidaire étant conditionnés à la reconnaissance par celui-ci de son crime. Lorsque, dans une société occidentale, on s’inspire de la pratique hawaïenne de ho’opononpono pour la thérapie familiale, les acteurs n’ont ni mêmes attentes, ni même compréhension du pardon. Lorsqu’en 2012, dans la lettre ouverte commune aux nations de Pologne et de Russie, le patriarche Cyrille et l’archevêque Michalik offrent un pardon réciproque, en ont-ils la même compréhension ? La théologie du premier est de tradition grecque, celle de l’autre de tradition latine ? Retrouver l’humain, après l’expérience du génocide, de la colonisation, de l’esclavage peut aussi bien conduire à obéir à l’injonction d’inspiration chrétienne de Desmond Tutu « Pas d’avenir sans pardon » qu’à la réserve de Mahatma Gandhi . « Le faible ne peut pardonner. Le pardon est attribut du fort ». Cependant, pardonner pourrait permettre d’investir, au moins symboliquement, la position de ce dernier ? Est-ce pourquoi la position de Gandhi à l’égard du pardon a évolué ? De toute évidence, la réflexion anthropologique sur le sujet s’impose. Pourtant, les courants dominants de la discipline accordent peu d’intérêt au pardon, à l’exception des publications issues de l’anthropologie juridique, de l’anthropologie de la morale, de l’anthropologie psychologique ou de l’anthropologie des religions. Il se pose donc la question de savoir si la méthodologie de ces dernières leur viendrait de l’éthique ou de la théologie, ce dont manquerait l’anthropologie ? Or, Barbara Cassin trouve dans l’hyperbole de l’offre de pardon « absolu » dans l’Évangile (« le pardon n’est vraiment pardon – perfection du don - que lorsqu’il pardonne l’impardonnable, remet l’imprescriptible… » (2004 : 894), une structure ressemblant à celle du potlatch. Le contre-don perpétue le processus de « dépense » selon Georges Bataille (1967) de même que le don et contre-don de Marcel Mauss (2012). On retrouve cette même structure de relance dans l’offre de pardon « absolue », toujours en avance sur la demande. Dans la tradition nord-américaine de la discipline, Ruth Benedict (1946) offre une autre entrée « anthropologique » au pardon. La honte et la culpabilité seraient deux principes distincts de contrôle social de l’individu, elle s’en sert pour différencier la société japonaise de la société étasunienne. La première valoriserait l’honneur et la fierté alors que la seconde mettrait de l’avant la conscience individuelle. La mondialisation de la culture nord-américaine, aurait porté à l’échelle de la planète la prépondérance de la conscience individuelle et donc l’importance du pardon autant dans les relations interpersonnelles que dans celles entre les corps sociaux. Que ce soit l’entrée par le don ou par la conscience individuelle comme principe de contrôle social, la théologie des religions monothéistes, plus précisément la théologie chrétienne et plus encore la théologie protestante sont mobilisées. Il est donc impossible de conclure sans poser la question de l’universalité du pardon, de son usage qui ne serait pas affecté par le soupçon du prosélytisme chrétien. L’issue de cette réflexion finale devrait permettre de décider si le pardon demeure pour l’essentiel un objet de la théologie ou bien serait également celui de l’anthropologie. Revenons à l’exemple sud-africain, Antije Krog commente ainsi le témoignage de Cynthia Ngewu : « Le pardon chrétien dit : Je vous pardonne puisque Jésus m’a pardonné. (…) Le pardon africain dit : Je vous pardonne afin que vous puissiez et que puisse commencer à guérir ; que nous tous puissions redevenir nous-mêmes comme nous devrions l’être » (…) tous les Sud-Africains noirs formulent le pardon en termes de cette interrelation » (2009 : emplacement 3498 et 3489). Changeons de continent tout en conservant la comparabilité des expériences historiques. Roy L. Brooks (2004) écrit à la même époque que les excuses et les reparation constituent l’expiation laquelle impose États-Unis une réciproque obligation civique de pardonner. Ce pardon permet d’abandonner le ressentiment. Krog et Brooks suggèrent que ce que ce pardon dépasse le cadre de la chrétienté occidentale permettant aux gens de « réinterpréter les concepts occidentaux usés et mis à mal dont le pardon ». (Krog 2009 : emplacement 3494) Barbara Cassin souligne que la conception théologico-politique actuelle établit une hiérarchie entre celui qui pardonne et celui à qui on pardonne. En latin classique, il y a condescendance dans la relation duelle entre le sujet dont relève la décision souveraine d’oublier, d’ignorer, d’amnistier et son bénéficiaire. Les langues européennes en tirent la conception du pardon. Par contre, en Grèce ancienne on pardonnait en comprenant ensemble, en entrant dans la raison de l’autre. Cette horizontalité du pardon a été remplacée par la verticalité du pardon qui relève du politique. À partir des traditions grecques et judéo-chrétiennes, puis en passant par la pensée et les actions de Gandhi, Mandela et Martin Luther King, Martha Nussbaum (2016) se penche sur l’actuelle éthique du pardon. Elle reconnait la légitime colère des victimes laquelle afin de briser la condescendance et ouvrir la voie à l’acceptation du pardon libérée du sentiment de rétribution. Son approche semble répondre à l’expérience des victimes des individus en position d’autorité, crimes longtemps tus au nom de maintien de l’ordre social. Dans les récits d’expériences de la mort et de la vie sous le régime soviétique, dont Svetlana Alexievitch (2016) s’est faite historienne/romancière, le pardon de tradition chrétienne occidentale est absent. Le mot n’est prononcé qu’une seule fois et c’est par une femme soldat soviétique racontant comment en Allemagne conquise un soldat soviétique a tiré sur des civiles. En référence au temps de leur rencontre, les années 1990, elle dit à Alexievitch : « De nouveaux mots ont fait leur apparition : « pitié », « pardon » …Mais comment pardonner ? » (2016 : 394). Dans les récits des Soviétiques rassemblés par Alexievitch, le lecteur de sensibilité latine s’étonne de trouver le « comprendre ensemble » de tradition grecque plutôt que le « pardonner ». Tamara Oumniaguina, brancardière à Stalingrad raconte : « Je traîne notre blessé et je pense : « Est-ce que je retourne chercher l’Allemand, ou non ? » […] J’ai continué à les trainer sous les deux. » […] L’homme n’a qu’un seul cœur, et j’ai toujours pensé à préserver le mien. » (2016 : 412). Au plus profond de l’enfer de la déshumanisation, préserver son humanité c’est aussi permettre à l’agresseur de reconstituer la sienne. L’une étant la condition de l’autre, délier l’agresseur de son inhumanité c’est reconstruire l’humanité entière.
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