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Dissertations / Theses on the topic 'Montesquieu (1689-1755) – Et l'économie politique'

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1

Spector, Céline. "Economie et politique dans l'oeuvre de Montesquieu." Paris 10, 2000. http://www.theses.fr/2000PA100122.

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Abstract:
L'IDEE DE CONVERGENCE INVOLONTAIRE DES INTERETS PERMET D'ARTICULER ANTHROPOLOGIE, ECONOMIE ET POLITIQUE DANS L'OEUVRE DE MONTESQUIEU. DANS LES MONARCHIES DECRITES PAR L'ESPRIT DES LOIS, ELLE CARACTERISE LE MECANISME ASSOCIE A L'HONNEUR, A LA POLITESSE ET AU LUXE, EN PERMETTANT DE FAIRE L'ECONOMIE DE LA VERTU REPUBLICAINE : L'HONNEUR MAINTIENT LES CONDITIONS DE LA LIBERTE, SANS SE PLIER A LA RATIONALITE MORALE OU LEGALE, LA POLITESSE CIVILISE SANS MORALISER, LE LUXE REDISTRIBUE LES RICHESSES SANS SE CONFORMER A UNE NORME DE JUSTICE DISTRIBUTIVE. SE DECOUVRE AINSI LA FIGURE D'UNE << SOCIETE CIVILE >> POLICEE QUI NE SE REDUIT PAS A LA SOCIETE MARCHANDE. AU NIVEAU DES RELATIONS INTERNATIONALES, L'IDEE DE COOPERATION INVOLONTAIRE PERMET D'EXPLIQUER LES VERTUS PACIFIQUES DU COMMERCE QUI REPOSE SUR L'INTERET ECLAIRE : CONTRE LA JALOUSIE COMMERCIALE QUI SOUS-TEND LES PRATIQUES MERCANTILISTES, MONTESQUIEU PROPOSE UNE REPRESENTATION DE L'ECONOMIE DANS LE CADRE DE LAQUELLE LES INTERETS SONT SATISFAITS CHEZ TOUS LES PROTAGONISTES DES ECHANGES ; L'IDEE DU JEU A SOMME NULLE SE TROUVE SUPPLANTEE PAR UN MODELE DE CONDITIONNEMENT MUTUEL DES INTERETS. FACE AU MAL POLITIQUE INCARNE PAR LE DESPOTISME ET AU MAL ECONOMIQUE QUE CONSTITUE LE MERCANTILISME, MONTESQUIEU EST AINSI PRESENTE COMME UN THEORICIEN DU << DOUX COMMERCE >> : DOUCEUR ASSOCIEE A L'HONNEUR ET A LA POLITESSE, QUI ATTENUE L'EXPRESSION DES ANTAGONISMES POLITIQUES ET SOCIAUX ; DOUCEUR DE L'ECONOMIE QUI SE SUBSTITUE A LA CONQUETE ET CONTRIBUE, DU MEME MOUVEMENT, A LA MODERATION DU GOUVERNEMENT. L'OBJET DE CETTE ETUDE EST DE DEGAGER LESPRINCIPES REGULATEURS DE CES FIGURES DU << DOUX COMMERCE >> QUI CARACTERISENT CHEZ MONTESQUIEU LA MODERNITE LIBRE, EN L'ABSENCE DE VERTU. CODE DE L'HONNEUR ET DE LA CIVILITE OU CONTRAINTES IMMANENTES DE L'ECONOMIE : DANS LES DEUX CAS, UNE FORME DE LEGALITE EXTRA-JURIDIQUE PEUT ETRE OPPOSEE AU BON PLAISIR DES ROIS.
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2

Jackson, Valérie. "Montesquieu, Rousseau et la modernité politique." Master's thesis, Université Laval, 2004. http://hdl.handle.net/20.500.11794/44704.

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Abstract:
Ce mémoire tente d'exposer les politiques de Montesquieu et Rousseau, qui sont généralement opposées l'une à l'autre par les commentateurs et qui ont encore beaucoup d'influence aujourd'hui. Sans s'attarder aux traditions qu'elles incarneraient, selon plusieurs d'entre eux, nous nous proposons de retourner dans les textes de ces deux auteurs des Lumières pour voir en quoi leurs pensées se ressemblent et se distinguent. Puisqu'elles sont le fruit d'une vision de la Modernité et d'une anthropologie, nous consacrons deux chapitres à ces questions, avant d'étudier leurs politiques à proprement parler, telles qu'elles figurent dans l'Esprit des lois et le Contrat social, mais aussi dans l'ensemble de l'œuvre de ces deux penseurs.
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3

Ba, Papa Ousmane. "Montesquieu et la liberté politique." Paris 1, 2011. http://www.theses.fr/2011PA010589.

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Abstract:
Selon Dedieu, la liberté politique, chez Montesquieu, serait la résultante des influences que le châtelain de la Brède aurait reçues de la pensée anglaise qui, en France, a commencé à se manifester depuis la fin du dix-septième siècle, sous la force des effets conjugués de la Révolution de 1688 et du raffermissement du «despotisme de Louis XIV». En clair, la liberté politique chez Montesquieu serait une exportation des idées qui sous-tendent le mécanisme constitutionnel anglais qui, des lors, est érigé en modèle. Cependant, une analyse minutieuse de certains textes d'auteurs français dont les travaux sont antérieurs à la période considérée par Dedieu, dévoile l'existence d'un courant de pensée qui ne s'inscrit pas dans la tradition anglaise, et qui pourtant aurait une filiation aussi étroite qu'elle avec les idées constitutionnelles de Montesquieu. Ce qui amène par conséquent à penser, voire a poser explicitement que celui-ci n'eut pas seulement pour sources de ses idées sur la liberté politique des influences venues d'outre-Manche, mais aussi un fond historique non négligeable d'une tradition de liberté constitutive de la monarchie primitive française. Cette tradition fera pour la première fois, c'est-à-dire bien avant les révolutions anglaises mais, nous le concédons, des les premières manifestations en France d 'une tendance centralisatrice des pouvoirs, c’est-à-dire dès le règne de Louis XI, l’objet d’une réactualisation à travers deux auteurs : Seyssel et Hotman
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Dos, Santos Antonio Carlos. "La voie double : l'éclipse de la tolérance et l'inviabilité politique chez Montesquieu." Paris 10, 2003. http://www.theses.fr/2003PA100049.

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Abstract:
La tolérance chez Montesquieu se trouve dabs une voie à double sens : d'un côté, le champ religieux, de l'autre le champ politique. Pour qu'elle puisse exister effectivement, elle nécessite le contrôle du premier et une action plus efficace du second. Mais le pouvoir politique a également besoin du religieux pour justifier une grande partie de ses actions, surtout en ce qui concerne la morale. Comment condenser ces pouvoirs, dans une certaine mesure antagoniques - mais interconnectés - sans que chacun perde sa force ou la caractère de ses spécificités ? Comment gérer ce conflit sans s'exposer à l'abus de pouvoir de l'une des parties, en considérant la fin de la politique - la paix publique - et la visée de la religion - le bien des fidèles ? Or, qu'est-ce que la tolérance chez Montesquieu ? Grosso modo, c'est la manière de traiter l'Autre, surtout lorsque cet Autre pense différemment. Mais qui est cet Autre ? Quelqu'un qui se dispose à dialoguer, car il est impossible qu'il y ait de la tolérance sans l'ouverture de l'Autre parce que, dans ce cas, la tolérance deviendrait consentement ou commisération, ce qui serait bien loin de la pensée de Montesquieu
Tolerance in Montesquieu's work has a double meaning : on the one hand, the religious field, on the other hand the political one. In order to exist effectively, tolerance requires the control of the first and a more effective action of the second. But political power needs also the religious one to justify a fairly large part of its actions, especially as regards morality. How to condense these powers, to a certain antagonistic extent - but interconnected - without each loses its force or the character of its specificities ? How to manage this conflict without exposing oneself to the abuse of one side's power, by considering the objective of politics - public peace - and the aiming of religion - the good of its worshippers ? Now, what is tolerance for Montesquieu ? Roughly speaking, it is the way of treating the Other, especially when this other thinks differently. But who is this Other ? Somebody who is prepared to have a dialogue, because it is impossible that there is tolerance without the opening up to the Other because, in that case, tolerance would become assent or compassion, what would indeed be far from the thought at Montesquieu
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Pereira, Jacques. "Montesquieu et la Chine." Nice, 2007. http://www.theses.fr/2007NICE2005.

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Abstract:
On sait l’importance de la Chine dans l’histoire intellectuelle de la France des XVIIe et XVIIIe siècles : elle a nourri les débats sur la chronologie universelle, la tolérance religieuse, les fins d’un bon gouvernement, l’ordre économique nouveau qui tentait de s’imposer. Tout en évitant d’intervenir dans le combat enragé qui oppose sinophiles et sinophobes, Montesquieu écoute, se documente, trie, tente d’élaborer une position personnelle face à ces présentations de la Chine que lui proposent la littérature missionnaire et les récits de voyages. C’est que l’enjeu est crucial pour lui : ce modèle politique et sociologique semble résister à ses propres critères d’appréciation jusqu’à remettre en question sa typologie des gouvernements. De cette longue réflexion dont témoignent, en amont de L'Esprit des lois, les Geographica, les Pensées et le Spicilège, il résulte cependant une représentation effectivement originale du monde chinois qui élude le piège du manichéisme en assumant des incertitudes et quelques contradictions. La tâche que je me suis fixée est d’abord de reconstituer aussi précisément que possible cette représentation de la Chine, de la confronter aux sources dont pouvait disposer Montesquieu, de montrer que certains écarts par rapport à ces sources ou par rapport à ses premiers jugements trouvent leur explication dans l’économie interne de L'Esprit des lois. Je tente enfin d’évaluer les résonances que cette représentation a pu trouver chez les premiers lecteurs de l’œuvre maîtresse
We know the importance of China in the intellectual history of France for the seventeenth and eighteenth centuries : it has fueled the debate on the universal chronology, the religious tolerance, the purposes of good government, the new economic order that trying to prevail. While avoiding intervene in the battle raging between sinophiles and sinophobes, Montesquieu listens, learns, sorts, attempting to develop a personal position faced to these presentations of China that missionary literature and travel stories propose. It is that the stakes are high for him : this political and sociological model seems to resist its own criteria for assessing up to challenge its typology of Governments. This thinking is reflected long, upstream of L’Esprit des lois , Geographica, Pensées and Spicilège, it is nevertheless a representation actually the original in the World Chinese sidesteps the trap of assuming Manichaeism and some uncertainties contradictions. . . The task that first I set is to reconstruct as accurately as possible the representation of China, to confront the sources available to Montesquieu, to show that some deviations from these sources or from its first judgments can be explained to the internal structure of Esprit des lois. Finally, I try to assess the resonance that this representation has been reached among the first readers of the masterpiece
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Andrivet, Patrick. "Représentations politiques de l'ancienne Rome en France des débuts de l'âge classique à la révolution." Clermont-Ferrand 2, 1994. http://www.theses.fr/1994CLF20057.

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Abstract:
L'admiration traditionnelle en Occident depuis la Renaissance pour la Rome antique ne se vérifie pas en France, au 17e et au 18e, chez de grands écrivains tels que Corneille, Bossuet, Montesquieu, Rousseau, de simples essayistes comme St-Evremond, des hommes de la révolution comme Marat, Robespierre. Son paradoxe est prouvé en étudiant les écrits sur Rome de ces auteurs, où sont dénoncés, malgré des préoccupations de style, son désir de domination universelle, ses institutions, la corruption qui la gagne après quelques siècles d'existence, le culte excessif dont elle est l'objet parmi les modernes. Ces études s'accompagnent d'analyse qui mettent en rapport les jugements critiques portés sur Rome et la "politique" implicite ou explicite dont l'oeuvre de chacun est poteuse
In the france of the 17th and the 18th century some prominent writers like corneille, bossuet, montesquieu and rousseau, simple essayists like saint-evremond, and revolutionaries like marat and robespierre did not adhere to the admiration of ancient rome that had become traditional in europe since the renaissance. The author makes this point by a detailed study of the works of these writers who, in spite of texts written with certain precautions of style, denounce the excessive cult of rome of modern europeans, its aspiration to universal domination, its institutions and the corruption which takes over after several centuries of existence. These studies are accompanied by analyses which link these critical opinions of rome to the political views which are implicit or explicit in each work. Views which are implicit or explicit in each work
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Jebahi, Nejia. "Montesquieu et le monde romain : étude politique et morale." Thesis, Strasbourg, 2019. http://www.theses.fr/2019STRAC004/document.

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Abstract:
Au cours de sa longue histoire, Rome a soumis de nombreux peuples et augmenté singulièrement la taille de son territoire au point de devenir le centre de gravité de tout l’univers antique. L’essor extraordinaire de cette cité a toujours intrigué les penseurs. Rien d’étonnant dès lors si Montesquieu, philosophe français des Lumières, a étudié à son tour le monde romain et son développement dans un grand nombre de ses ouvrages. Afin de faire comprendre les raisons de la grandeur des Romains ainsi que de leur décadence, Montesquieu a examiné l’évolution de la politique et de la morale romaines depuis la fondation de l’Vrbs jusqu’à sa chute. L’auteur analyse attentivement les institutions civiles et militaires romaines afin de déterminer leur excellence – sans oublier de signaler leurs limites. Dans sa démarche sociologique et critique, cet écrivain s’appuie sur une riche documentation livresque qui révèle la grande influence de Machiavel et de Bossuet. Néanmoins, de son œuvre se dégage un point de vue novateur qui ouvre la voie à des champs d’investigation inédits
During its long history, Rome has subjugated numerous peoples. Its territory increased so much that it became the center of gravity of the whole antique world. The extraordinary expansion of that city has therefore always surprised the thinkers. Understandably Montesquieu, a French philosopher of the Age of Enlightenment, has himself studied the Roman world and its development in a number of his works. In order to explain the reasons behind the magnificence and the decadence of the Romans, Montesquieu examined the evolution of Roman politics and ethics from the foundation of the Vrbs until to its decline. The author carefully analyses the Roman civil and military institutions in order to establish their excellence and even to point out their limits. In his sociological and critical approach, this writer uses a rich literature that reveals the influence of Machiavel and Bossuet. Nevertheless from his work emerges an innovative standpoint that opens up for original fields of investigation
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Estève, Laurent. "Montesquieu, Rousseau, Diderot : du genre humain au bois d'ébène ou les silences du droit naturel." Toulouse 2, 2000. http://www.theses.fr/2000TOU20038.

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Abstract:
Ce travail de these a ete pour nous l'occasion d'interroger la parole liberatrice des plus grands noms des lumieres, ceux qui ont ouvertement pris position contre le droit d'esclavage. Nous avons ainsi lu les differents systemes avec le souci de confronter les principes du droit naturel a l'existence du fait le plus brutal, celui de l'esclavage afro-antillais. Ce faisant nous n'avons pas pu suivre les lectures traditionnelles qui mettent toujours en avant une universalite des principes condamnant toujours deja la realite de la traite. Bien au contraire, l'etude des differents systemes anthropologiques a devoile un racisme explicite autorisant, sinon justifiant, l'asservissement du noir. Aussi avons nous insiste chez montesquieu sur la logique des climats, chez rousseau sur le theme de la perfectibilite et chez diderot sur les meandres de la question du territoire. Au terme de ce parcours nous pouvons donc dire que la celebration de l'universel est proportionnelle a la visibilite anthropologique. Pour le noir, au plus bas de l'echelle des etres, la necessite a repondu par avance a toutes les enquetes faites et demandees: un etre servile par nature dont il conviendra seulement d'amenager les conditions.
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Vernazza, Diego. "« Le monde inquiet : Machiavel, Montesquieu et Tocqueville »." Paris, EHESS, 2011. http://www.theses.fr/2011EHES0070.

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Abstract:
Cette thèse propose une interprétation des œuvres de Machiavel, de Montesquieu et de Tocqueville à partir de la mise en place d'une conversation entre elles. Son enjeu principal est interprétatif: il s'agit de jeter un peu plus de lumière sur trois œuvres classiques de la philosophie politique occidentale. Comme fil directeur, on suivra ici l'histoire de la notion à la fois anthropologique, politique et sociale d'« inquiétude ». L'autre grand enjeu de cette thèse est de contribuer à mettre en valeur cette « science politique nouvelle », comme l'appellera Tocqueville, qui se caractérise par la recherche d'une articulation singulière entre l'analyse du fait, de la vie sociale telle qu'elle est, et la critique politique, la mise en question de ce qui est. Ce que Machiavel, Montesquieu et Tocqueville ont en commun, c'est le fait de penser à partir d'une expérience, tout en se donnant les moyens du jugement et de la critique. Dégager ces différents rapports entre l'analyse et la critique sociale et politique, chercher des critères capables d'informer le jugement politique là où il n'y a plus de repères objectifs communément acceptés, est sans doute l'ambition la plus générale de cette thèse
This dissertation offers an interpretation of the works of Machiavelli, Montesquieu and Tocqueville by establishing a conversation between them. Hs main objective is to shed some more light on three cIassic works of Western political philosophy by following the history of the anthropological, sociological and political concept of "inquiétude" (restlessness). The other major purpose of this work is to further develop what Tocqueville has called the "new science of politics", which is characterized by the pursuit of a singular link between the analysis of facts, social life as it is, and the questioning of what it is l argue that the theories of MachiaveIli, Montesquieu and Tocqueville are ail founded in a singular social and political experience, and, at the same time, provide the means of applying judgment and criticism. The fundamental goal of this work is to elucidate this particular relationship between analysis and criticism, and to uncover some criteria that might inform political judgement where there is no commonly accepted objective standard
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10

Prevautel, Patricia. "Le chevalier de Jaucourt : ses idées politiques et sociales." Bordeaux 4, 1997. http://www.theses.fr/1997BOR40015.

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Abstract:
Qui est le chevalier de jaucourt ? quelles sont ses idees politiques et sociales ? simple compilateur pour la posterite, le collaborateur de diderot ne fait pas seulement oeuvre d'erudition dans l'encyclopedie. Sa contribution vulgarise la pensee de montesquieu sur la decadence des institutions de l'ancien regime. L'immoralite des hommes explique la degenerescence des gouvernements. La monarchie est despotique parce que l'elite du royaume se desinteresse du bien commun pour contenter ses egoismes : le roi considere l'etat comme sa propriete, la noblesse vit sur des privileges acquis et les defend contre les talents nouveaux, les administrateurs profitent des incoherences du systeme fiscal. La loi, l'impot, la justice deviennent les instruments de la tyrannie, ils briment la liberte et renient l'egalite entre tous les hommes. L'eglise conforte la tyrannie par son intolerance, dicte les comportements religieux, controle les ecrits. Le tableau politique et social que brosse jaucourt de la societe du xviiie siecle est sans complaisance mais n'appelle pas a la revolution, il se contente de proposer des reformes institutionnelles. Homme des lumieres, cet encyclopediste est un moraliste qui s'insurge contre l'immoralite et l'ignorance de ses contemporains
Who is the chevalier of jaucourt ? what are his political and social ideas ? simple compiler for the posterity, the collaborator of diderot has not only made a useful work of erudition in the encyclopedie. His contribution popularize the lofty thoughts of montesquieu about decline of the old regime. The immorality of men make clear the degeneration of government. The monarchy is despotic because the elite of kingdom let the common possessions for satisfaying his selfishness. The king thinks the state as his property, the nobility takes profit of the privilege, fights against new ideas and new talented men, the administrators take advantage of the incoherency of fiscal system. Law, tax, justice become instruments of the tyranny, enslave freedom, deny equality between all men. The church reinforces the tyranny by his intolerance, dictates the religious behaviours, controls all writings. The political and social picture of society of the xviiith century designed by jaucourt is without complaisance but does not incite to the revolution, he only proposes the reformation of the institutions. Man of the enlightenment, this encyclopedist is a moralist who rise against immorality and ignorance of his contemporaries
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Brice, Benjamin. "La fin de la guerre ? : les ambiguïté de la « paix démocratique » : intérêts, passions et idées." Paris, EHESS, 2015. http://www.theses.fr/2015EHES0041.

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Abstract:
Dans les relations internationales, le fait majeur actuel est peut-être la paix qui unit les démocraties libérales à travers la planète : depuis environ deux siècles, elles ne se sont pas fait la guerre entre elles. Forts de ce constat, les théoriciens de la « paix démocratique » - ou plus précisément de la « paix libérale » - cherchent à montrer que des « mécanismes » rendent compte de cette corrélation statistique, ce qui permettrait d'anticiper une véritable paix internationale, à condition toutefois que chaque entité politique adopte les différents aspects du « régime libéral » (économie de marché, démocratie représentative et droits individuels). Trois principaux « mécanismes » peuvent être dégagés pour asseoir ces théories : (1) le commerce et l'interdépendance économique créent une convergence des intérêts nationaux, (2) la démocratie représentative canalise les passions les plus guerrières et (3) les principes de justice du « régime libéral » sont susceptibles de mettre fin aux conflits liés aux idées. On retrouve dans l'ordre les trois principales constellations causales à l'origine des guerres : les intérêts, les passions et les idées. Or, ces « mécanismes » ont été discutés par les penseurs politiques dès le XVIIIe siècle. Ainsi Montesquieu, rejeté un peu vite par la « tradition » du côté du « doux commerce », se révèle d'un grand secours pour réfléchir à l'ambivalence des différents « mécanismes » à l'œuvre : (1) parallèlement à la convergence des intérêts le commerce moderne engendre aussi l'oppression et la conquête, (2) la réorientation des passions ne fait pas disparaître l'orgueil de régner et le désir de domination et (3) les principes de justice à vocation universelle, censés établir un accord général sur les idées, se muent facilement en une forme ou une autre d'impérialisme. Cette thèse est donc l'occasion de s'interroger sur ce qui change et sur ce qui ne change pas dans la vie internationale avec l'avènement et l'expansion de ce que nous appelons le « régime libéral »
The most salient feature of contemporary international relations is probably the state of peace between liberal democracies across the globe: for almost two centuries, these have not waged war against one another. On the basis of this observation, "democratic peace" theorists - or more precisely "liberal peace" theorists - have tried to identify the "mechanisms" which explain this statistical correlation, and upon which a real international peace could be imagined, providing each political unit adopts the different aspects of the "liberal regime" (market economy, representative democracy and individual rights). Three main "mechanisms" are offered to support these theories: (1) national interests converge through trade and economic interdependence, (2) representative democracy tames the most warlike passions and (3) shared principles of justice in liberal democracies are likely to bring an end to the conflicts of ideas. We can recognize here the three main causes of war: interests, passions and ideas. These "mechanisms" have been discussed by political thinkers from the 18th century. Montesquieu for instance, usually dismissed by the "tradition" as the promoter of « doux commerce », is of great help to think through the ambivalence of the three different "mechanisms" at work: (1) alongside reconciling interests, modern trade gives rise to oppression and conquest, (2) pride in ruling and the desire to dominate do not disappear thanks to the revaluation of human passions, and (3) universal principles of justice, expected to establish an agreement between clashing ideas, easily transform into one form or another of imperialism. The purpose of this thesis is thus to understand what is changing and what is not in international affairs following the birth and the expansion of what we call the "liberal regime"
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Janvier, Marie-Hélène. "Une confrontation du discours missionnaire et philosophique : l'interprétation de l'image de la Chine par Montesquieu et Voltaire, 1721-1776." Master's thesis, Université Laval, 2014. http://hdl.handle.net/20.500.11794/25244.

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Abstract:
La France du XVIIIe rencontre plusieurs problèmes d'ordre religieux et politique qui ne manquent pas d'agiter la pensée critique des philosophes. Armés de leur plume, ces derniers engagent un combat contre l'intolérance religieuse et l'absolutisme à travers leurs œuvres. Étudiant différents régimes, les philosophes cherchent un modèle qui pourrait satisfaire une France en panne de ses institutions. Parmi les modèles éphémères qui leur parviennent, celui de la Chine, transmis de l'autre bout du monde par les missionnaires jésuites, éveille leur esprit et leur intérêt. Cet empire lointain est dépeint comme une terre de tolérance religieuse dirigée par un empereur bon et clément envers ses sujets. Un combat s'engage alors entre les sinophiles et les sinophobes, soit les admirateurs et les détracteurs de la référence chinoise. Parmi ces philosophes, deux figures de proue du Siècle éclairé s'affrontent, Voltaire et Montesquieu. Alors que Voltaire admire l'image de la Chine et l'utilise à plusieurs reprises pour critiquer la France, Montesquieu se montre plutôt sceptique avec les propos des jésuites et expose que cet empire ne doit pas être un modèle. Même si ces deux philosophes ont en main le même bassin de sources, leur interprétation et leur utilisation en sont complètement différentes. Entre despotisme et monarchie éclairée, entre athéisme, idolâtrie et déisme, la description de la Chine par le prisme missionnaire, puis philosophique, fait l'objet de plusieurs débats littéraires dans les milieux savants. Ceci ne manque pas d'éveiller la vieille querelle des rites chinois qui entraîne les jésuites à leur perte en même temps que le modèle chinois vers la fin du Siècle des Lumières.
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Sadamori, Ryo. "Le concept de "civil" et la genèse historique de la "liberté" dans la pensée de Montesquieu." Thesis, Paris 1, 2016. http://www.theses.fr/2016PA01H225.

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Abstract:
L'objectif de notre étude sur le concept de «civil» dans la pensée de Montesquieu consiste à établir, dans un premier temps, le contexte dans lequel, après Adam Smith en particulier, et dans le cadre du processus de la séparation des sciences économiques et des sciences juridiques, le domaine du «civil», plus tard désigné comme «société civile», devient l'objet des sciences économiques, et, en second lieu, à voir comment, en même temps, cette notion de «civil» perd la connotation de «société politique et juridique» (c'est-à-dire « civitas »). Pour aborder cette question, nous nous intéressons tout d'abord à l'accroissement de l'intérêt pour l'histoire de I'Antiquité romaine qui connaît un renouveau avec l'humanisme en Europe. Les interprétations portant sur l'histoire romaine reflètent les intérêts des intellectuels aux prises avec leur propre société contemporaine, et la diversité de ces interprétations nous permet de retracer l'évolution des moyens analytiques employés pour penser la société en général. Dans cette perspective, nous étudions Montesquieu en référence à Machiavel qui a vécu à une période cruciale dans le Nord de l'Italie entre la fin du 15e et le 16e siècle, puis, à Harrington qui a vécu à l'époque de la 1ère révolution anglaise au milieu du 17e siècle et, finalement, à David Hume qui a défendu le régime établi après la Glorieuse révolution en 1688. À partir de ces analyses, nous rendront compte des causes de l'évolution des sciences sociales au cours de ces siècles, qui constituent la période historique dans laquelle s'est établi graduellement le système étatique moderne
The objective of our study on the concept of "civil" in the thought of Montesquieu consists at first in presenting the context in which, especially after Adam Smith, and in the process of the separation of economical sciences from legal sciences, the sphere of the "civil", la ter called "civil society", becomes the object of economical sciences, and second, in understanding how, at the same time, the notion of "civil" lost the connotation of "political and legal society", that is "civitas". To approach this question, our first concern focuses on the increasing interest on R.oman antiquity which begin as renewal in huamnist thought in Europe. lntepretations of Roman history actually reflect the interests of intellectuals preoccupied with their own contemporary society. Nonetheless the divcrsity of these interpretations helps to understand the evolution of the analytical means used to analyse the society in general. ln this perspective, we compare Montesquieu with Machiavelli who lived in an incisive period in North of ltaly in the 15th, and the begging of the 16th, century, along with Harrington who lived in the time of the Civil War in England in the middle of the 17th century and, fïnally, with David Hume who defended the govemement established after the Glorious Revolution in 1688. From these analyses, we show the causes of the progressive sophistication of the social sciences matching the historical period during which the modern state system has gradually been established
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Gittler, Bernard. "Rousseau et l'héritage de Montaigne." Thesis, Lyon, École normale supérieure, 2015. http://www.theses.fr/2015ENSL1013.

Full text
Abstract:
Cette recherche porte sur le rôle joué par la lecture de Montaigne dans la philosophie de Rousseau.Il convenait d’abord de repérer les traces de cette lecture et les différents témoignages qu’en donnent son œuvre publiée ainsi que ses manuscrits, d’établir les éditions dans lesquelles Rousseau lit les Essais et les perspectives dans lesquelles il le fait. Il fallait établir également les médiations qui ont joué un rôle dans la réception de Montaigne par Rousseau. Les Essais sont édités et lus au XVIIIe siècle selon des perspectives auxquelles il ne cesse de se confronter. Nombre d’auteurs du XVIIe siècle sur lesquels il s’appuie dialoguent avec Montaigne. L’étude de la relation que Rousseau entretient avec lui demande donc l’examen de toute une tradition philosophique qui s’appuie elle-même sur Montaigne.Cette dimension de l’héritage conduit à trianguler les références, implicites ou explicites, que Rousseau fait à Montaigne dans son œuvre philosophique. Il lui sert de point d’appui pour dialoguer avec Diderot traducteur de Shaftesbury et pour prendre parti, dès le premier Discours, en faveur de la religion naturelle. La lecture politique des Essais qu’il produit nourrit son opposition à toute forme de domination et lui permet de critiquer la position de Montesquieu sur le luxe. Cette lecture politique se développe dans le second Discours, pour dénoncer les effets de l’intérêt particulier, qui détruit le lien politique. Rousseau s’appuie encore sur les principes de La Boétie qu’il trouve dans les Essais pour penser la dépravation de l’homme en société. Le lien social ne demande pas de suivre une morale opposée à l’intérêt, mais de poursuivre l’intérêt universel qui nous lie aux autres hommes. Montaigne occupe aussi une place déterminante dans le dialogue que Rousseau entretient avec des auteurs comme Barbeyrac, Mandeville ou Locke.Cette thèse montre ainsi que la référence à Montaigne met en jeu les principes fondamentaux de la philosophie politique et morale de Rousseau
The aim of this study is to analyze the role of Montaigne’s legacy in Rousseau’s philosophy.First, evidences and views of Rousseau’s reading of Montaigne have been examined in his published works and in his manuscripts. Editions in which Rousseau was reading Montaigne have also been identified.Then, mediations between Rousseau and Montaigne’s reception have been reviewed. Rousseau reads the Essais with the 18th century points of view. He relies on 17th century authors who judge Montaigne. Therefore, thanks to this philosophical tradition who deals with Montaigne, links between Montaigne and Rousseau are analysed.The implicit and explicit references to Montaigne in Rousseau’s work are triangulated. Rousseau quotes Montaigne to deal with Diderot, – translator of Shaftesbury, to defend natural religion as early as in his First Discourse on the Sciences and Arts.Rousseau has a political reading of the Essais. He denounces all kind of domination, and criticizes Montesquieu’s apology of luxury. The political reading of Montaigne increases in the second Discourse : the possessive individualism destroys the social link.Rousseau underlines the La Boétie’s principles in the Essais, which show the political depravation of society. The social link does not demand to follow moral rules against citizen’s interests. Humanity has to pursue a universal interest, which establishes a relationship between each human being and the whole humanity.Montaigne has a central position to understand the dialogues between Rousseau and Barbeyrac, Mandeville, and Locke. Rousseau refers to Montaigne when he defends his moral and politic fundamental principles
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Baysson, Hubert. "L'idée d'étranger chez les philosophes des Lumières." Lyon 3, 2001. http://www.theses.fr/2011LYO33008.

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Abstract:
L'étude des oeuvres des Lumières, et notamment de celles de Montesquieu, Rousseau et Voltaire, révèle que, au XVIIIe siècle, l'identité d'un individu est déterminée par son appartenance à un groupe social plutôt que par sa nationalité. L'étranger, de ce point de vue, est d'abord défini dans un rapport subjectif à la collectivité. Mais il l'est aussi par une relation entre Etats, dans laquelle l'homme ne trouve pas aisément sa place. Dans les deux cas, c'est une position paradoxale qui est réservée à l'étranger. En dépit de leurs velléités de tolérance, de nombreux philosophes sont animés spontanément par un mouvement, sinon de rejet, du moins de méfiance. En effet, qu'il s'agisse de Montesquieu, de Voltaire ou de Rousseau, aucun d'eux ne parvient à s'affranchir complètement de la perception de l'étranger comme source de menace potentielle. La présence de l'étranger est cependant nécesssaire à l'émergence, et dans une certaine mesure, au maintien d'une vie sociale : si l'étranger se définit par rapport à la cité, l'inverse est vrai aussi. Cette évidence s'affirme progressivement au cours du siècle, à mesure que s'opère la prise de conscience d'une possible identité nationale. Mais elle s'épanouit encore plus sûrement dans l'idée d'Europe, indissociable du projet des Lumières. L'étranger constitue dans ce cadre le vecteur nécessaire qui permet le passage de la citoyenneté vers une collectivité universelle. Que leurs tentatives soient couronnées de succès ou non, tous les philosophes affirment ainsi leur volonté de lutter contre les préjugés, notamment les préjugés tenant de la nationalité. Par la fenêtre ouverte sur la diversité humaine que propose l'étranger, les Lumières s'efforcent de hisser la différence au rang de valeur universelle. Leur pensée se cristallise donc dans une dialectique salutaire : tout en fournissant les matéraiux propices à l'émergence de l'idée de Nation, elle assure la pérennité de l'idée d'Humanité.
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Boulerie, Florence. "L'élaboration de l'idée d'éducation nationale, 1748-1789." Paris 3, 2000. http://www.theses.fr/2000PA030035.

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Abstract:
L'expression « éducation nationale » est une invention de la seconde moitié du XVIIIe siècle : si elle est apparue pour la première fois chez La Chalotais en 1763, elle suit les conceptualisations politiques de l'idée d'éducation que font Montesquieu en 1748 puis Rousseau en 1762. Jusqu'en 1789, le sens d'éducation nationale s'enrichit de débats politiques, anthropologiques et bien sûr pédagogiques qui empruntent, suivant les circonstances, les formes du plan d'éducation publique, du traité ou même de la fiction. En mettant en évidence les quatre périodes qui, de 1748 à 1789, marquent l'histoire de l'idée, nous montrons comment, oscillant entre les formes abstraites et les genres littéraires plus proches du concret, les ouvrages dans lesquels s'élabore l'idée d'éducation nationale sont tantôt portés vers l'approfondissement théorique, tantôt vers le désir d'action immédiate sur le réel. Le choix du plan revient régulièrement, témoignage de l'espoir des écrivains, humbles citoyens du siècle plus souvent que célèbres philosophes, déçus par leurs contemporains, d'influencer les décisions politiques. En même temps que l'idée d'éducation nationale s'élabore en effet une activité citoyenne, chaque écrivain prenant conscience de sa participation au bien public. Or, sous la monarchie, au succès de l'idée d'éducation nationale fait écho l'échec du discours planificateur et réformateur. Les auteurs s'épuisent à attirer l'attention du souverain et leur voix parait toujours isolée malgré leurs efforts pour réveiller l'idée unificatrice de la nation, en faisant de l'éducation le creuset de la fusion du particulier et du public
The expression éducation nationale is an invention of the second part of the eighteenth century. La Chalotais was the first to use it in 1763, but he came after Montesquieu and Rousseau who prooved the value of education as a political concept. Till 1789, the meaning of the expression grows richer in political, anthropological and pedagogical debates taking the various forms of plans, treatises or fictions. We have pointed up four periods, from 1748 to 1789, during which writers are oscillating between abstract forms and genres closer to reality. The works where the idea of national education is growing want sometimes to deepen the idea, examining it in theory, and sometimes to have an immediate influence upon reality. Authors often choose the form of the plan (of public education) because they hope that their instructions should be followed by the political power. At the same time as the idea of national education is being elaborated, the activity of citizenship is coming out. Each writer has a new conscience of his function in public life of the whole group. But, under the monarchy, the efforts to organize education by plans have no success, even if the idea has a great one: each writer seems to be alone, even if each tries to unify the nation by the mean of education, which creates the fusion between what is public and what is private
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