Academic literature on the topic 'Morale. Philosophie sociale. Ontologie'

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Journal articles on the topic "Morale. Philosophie sociale. Ontologie"

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Guillet, Emma. "L’être du « nous » chez Simon Frank : ontologie et philosophie sociale." Cahiers de philosophie de l’Université de Caen, no. 56 (September 30, 2019): 103–16. http://dx.doi.org/10.4000/cpuc.468.

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Nootens, Geneviève. "Ontologie, philosophie et politique: la critique de la tradition épistémologique chez Charles Taylor." Dialogue 35, no. 3 (1996): 553–70. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217300008866.

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Abstract:
La philosophie de Charles Taylor a récemment fait l'objet de plusieurs critiques mettant en question tant l'ontologie morale proposée par Taylor que le modèle politique qu'elle soutient. Par exemple, O. Flanagan a souligné les difficultés posées par le fait de concevoir les agents moraux comme devant nécessairement procéder à des évaluations fortes. D. Weinstock a défendu l'idée que les institutions politiques libérales que critique Taylor sont en réalité plus propices au développement de cette capacité d'évaluation forte que la poursuite d'un bien commun par le biais des institutions politiques dont les communautaristes sont généralement vus comme les défenseurs. Pour sa part, Will Kymlicka a soutenu que contrairement à ce qu'affirme Taylor, la philosophie morale contemporaine ne nie pas l'existence de distinctions qualitatives et qu'elle centre la moralité sur le respect des besoins des autres pour permettre à chacun de réaliser son intérêt prémoral pour la bonne vie.
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Laugier, Sandra. "La volonté de voir." Protée 36, no. 2 (October 1, 2008): 89–100. http://dx.doi.org/10.7202/019024ar.

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Abstract:
Le présent article propose une approche pragmatique de l’éthique inspirée de la seconde philosophie de Wittgenstein. Après avoir présenté le projet d’une éthique « sans ontologie », déplacée des concepts généraux vers l’exploration des pratiques et la vie ordinaire, elle met en évidence la nécessité d’une compétence éthique propre, articulée sur la capacité à voir le sens de l’action et sur la perception de l’importance. C’est à donner un contenu à ce concept de l’importance qu’on peut alors s’attacher, pour définir le sens moral comme base de la perception morale.
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Beiner, Ronald. "À la recherche d’une philosophie publique postlibérale." Articles 20, no. 1 (November 19, 2008): 45–67. http://dx.doi.org/10.7202/040250ar.

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Abstract:
Résumé Dans Democracy’s Discontent, Michael J. Sandel démontre, comme nul autre défenseur contemporain du républicanisme civique, l’ampleur de l’appauvrissement de la vie politique lorsque l’idéal républicain est éclipsé par le libéralisme procédural. On ne saurait douter de l’apport du républicanisme de M. Sandel comme instrument de critique sociale, grâce auquel est dévoilée l’indigence morale et civique de la société libérale moderne. Mais sa théorie sociale offre-t-elle vraiment un remède contre les maux du libéralisme? Pour répondre à cette question, il faut établir plus justement que ne le fait M. Sandel le rapport entre théorie et pratique. L’article tente de préciser ce qui fait la force de la démarche de cet auteur et d’évaluer de façon critique son interprétation du rapport entre théorie et pratique.
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Marion, Normand. "L'éthique sociale et le discours sur les droits." Canadian journal of law and society 7, no. 1 (1992): 1–8. http://dx.doi.org/10.1017/s082932010000209x.

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Abstract:
Les études présentées sous le présent thème, à l'exception des contributions de Kai Nielsen et de Katia Boustany, sont l'oeuvre de membres de l'Équipe de Recherche en Éthique Sociale (ERES), rattachée au département de philosophie de l'UQAM. L'ERES est une équipe multidisciplinaire (philosophie, droit, sociologie…) qui aborde les aspects éthiques des problèmes contemporains dans une approche où l'éthique est perçue comme issue des pratiques sociales et où le savoir des sciences sociales est mis à contribution.En cette période de remise en question de l'État Providence, les travaux de l'ERES ont d'abord porté sur les théories contemporaines de justice distributive et ce, particulièrement en regard des oeuvres de John Rawls et de Robert Nozick. Cette incursion dans la philosophie politique et morale contemporaine, qui a déjà fait l'objet de publications, nous a conduit à l'élaboration d'un programme de recherche dont l'objectif était d'évaluer la pertinence du discours sur les droits.
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Kaufmann, Laurence. "La « ligne brisée » : ontologie relationnelle, réalisme social et imagination morale." Revue du MAUSS 47, no. 1 (2016): 105. http://dx.doi.org/10.3917/rdm.047.0105.

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Sonenscher, M. "Les 'Lettres sur la sympathie' (1798) de Sophie de Grouchy: philosophie morale et reforme sociale." French Studies 67, no. 2 (March 29, 2013): 258–59. http://dx.doi.org/10.1093/fs/knt014.

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Poché, Fred. "Enjeu éthique d’une ontologie de la différence. La situation de handicap comme question sociale et politique." Franciscanum 59, no. 167 (February 10, 2017): 151. http://dx.doi.org/10.21500/01201468.2842.

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Abstract:
Qu’est-ce que regarder autrui? Comment échapper aux tendances classificatrices qui nous conduisent à l’enfermer dans une identité figée ou négative; a fortiori, quand il se trouve en situation de handicap? Comment articuler, d’un point de vue éthique, le nécessaire diagnostic de la souffrance d’autrui avec le respect du caractère insondable et dynamique de sa singularité? La présente contribution aborde ce faisceau de questions en commençant par proposer de distinguer la différence, l’altérité et le divers. Une telle précision conceptuelle cherche à mieux penser le problème du respect d’autrui en l’inscrivant dans une tension dialectique entre la visée d’objectivation et le souci de l’accueil de son unicité. Dans un second temps, l’auteur souligne les limites du vocable «fragile», ou «vulnérable», constamment utilisés, aujourd’hui, pour qualifier les personnes vivant dans des conditions de grande «précarité» ou «en situation de handicap». Cette analyse, permet, enfin, de penser une certaine philosophie du regard capable de redéfinir la politique. Il s’agit plus précisément d’appréhender le rapport entre handicap et citoyenneté à partir, non plus des failles ou des manques, mais en prenant au sérieux la capacité des individus.
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Porret, Michel. "La «mort de la belle jeunesse» ou le suicide juvénile à Genève au XVIIIe siècle." Gesnerus 49, no. 3-4 (November 27, 1992): 351–69. http://dx.doi.org/10.1163/22977953-0490304006.

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Abstract:
Terme solitaire de chagrins familiaux, amoureux ou de pathologies douloureuses, le suicide juvénile horrifie les communautés de l’Ancien Régime promptes dès le début du XVIIIe siècle ày discerner une «maladie de l'âme» particulière à une jeunesse qui conjugue vitalité corporelle et fragilité morale et dont le rôle est d’assurer les lendemains du genre humain. Grossissant le ressentiment social à l’encontre de la mort volontaire attribuée souvent depuis 1774 à l’exemple pernicieux de la «philosophie» ou du libre-arbitre de l’infortuné Werther, le suicide juvénile souligne les failles de la solidarité sociale dans la communauté resserrée de l’Ancien Régime.
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Piquemal, Nathalie, and Yves Labrèche. "Transculturalité et enjeux éthiques liés à la diversité culturelle en contexte canadien." Articles hors thème 30, no. 1 (May 16, 2018): 169–91. http://dx.doi.org/10.7202/1045599ar.

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Abstract:
En partant d’un constat de faits sociaux encore trop souvent marqués par l’injustice, la marginalisation et l’exclusion des minorités en contexte canadien et nord-américain, ce texte propose une réflexion critique sur les concepts de multi-, inter-, et trans- culturalisme, et plus particulièrement sur les enjeux éthiques liés à la diversité culturelle en contexte canadien. Les auteurs font appel à la philosophie morale de Levinas ainsi qu’à l’anthropologie et aux disciplines connexes pour mettre l’accent sur la responsabilité individuelle et sociale en vue d’arrimer les perspectives en matière de diversité culturelle à un axe d’éthique de la relation à Autrui. À l’aide d’exemples de recherches et d’observations sur l’ethnocentrisme et la discrimination, les auteurs établissent la nécessité de penser et panser la transculturalité selon une perspective éthique de responsabilité.
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Dissertations / Theses on the topic "Morale. Philosophie sociale. Ontologie"

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Ki-Zerbo, Lazare. "Contribution à une problématique de l'ontologie sociale phénoménologique à partir de Husserl." Poitiers, 1994. http://theses.univ-poitiers.fr/58982.

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Abstract:
L'ontologie sociale phénomenologique traite de l'unité constitutive des collectifs sociaux. Dans l'ontologie politique classique, on parle ainsi, depuis pufendorf (droit naturel et droit des gens), de personnes morales. Notre contribution a une problématique de l'ontologie sociale phenoménologique a partir de husserl envisage cette thématique sous l'angle de deux schèmes d'unification des multiplicités numériques enracinés dans une souche textuelle enfouie : la philosophie de l'arithmétique (1890). Le premier schème est un schème constructiviste, portant par conséquent la triple marque du mathématicien Konecker, de Hobbes mais aussi du maitre Franz Brentano, dont la psychologie descriptive s'oppose au criticisme formel kantien. C'est la liaison collective qui permet a la phénomenologie de se déployer comme machine de guerre contre l'ontologie politique classique articulée a la catégorie de l'état. La communauté constituée dans l'immanence des liaisons interhumaines l'emporte sur l'objectité logico-politique transcendante. Cette lecture se fonde sur l'annexe xviii du volume des husserliana, et le manuscrit f1 28 consacré a Hobbes. Nous l'étudions également chez A. Schutz, Sartre et Proudhon. Le second schème se définit comme unification figurale se transcendant dans l'objectité sociale meta individuelle. C'est la multiplicité sensible ou qualité-de-forme (gestalt)
The study begins with the philosophy of the arithmetic. Husserl's first book, it is suggested that this pre-phenomenological work develops two concepts of number, which could be found in other phenomenological social philosophies : the number as collective bound (kollektive verbindung), and the number as quality of form (gestalt qualitatsee miller : numbers in presence and absence) : these two concepts induce two types of social philosophies : a nonholistic, constructive philosophy (Schutz, Sartre, Proudhon). A philosophy of the community as a social beeing as such (Hobbes, C. Schmitt, Gurwitsch). We finally announce a further meditation on the relation between the collective bound, found by Husserl in J. Stuart Mill's logic with the federalist principles and nominalism (Althusius, Madison) ; the transcendance of the personnality of higher order brings us a back to a philosophy of the political unity and sovereignity of the political body (Hobbes, Hamilton). There are also two other directions for a wider study on the subject : the relations between the figural number of the second type and the works of Carl Stumpf or Alexius Meinong
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Antonelli, Marangi Marcelo Sebastián. "Le concept d’immanence dans la philosophie de Gilles Deleuze." Paris 8, 2012. http://www.theses.fr/2012PA084258.

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Abstract:
Nous abordons dans ce travail le concept d’immanence dans l’œuvre de Gilles Deleuze. Notre hypothèse est qu’il s’agit d’une notion ontologique, noologique, politique et éthique qui constitue le noyau de son projet philosophique. La dimension ontologique renvoie à la réélaboration de la thèse scotiste de l’univocité de l’être et à la compréhension de l’immanence spinoziste comme « panthéisme expressif ». La dimension noologique envisage l’immanence comme un « plan » dans le cadre de la conception deleuzienne de la pensée et de la philosophie, présentée comme un point de litige par rapport à l’approche de l’immanence posée en termes de « fonds » de François Jullien. D’un point de vue politique, l’idée d’« axiomatique post historique » désigne le fonctionnement de l’immanence capitaliste, dont le caractère de « fin de l’histoire » est mis en jeu avec la thèse de Kojève. L’aspect éthique s’articule selon trois axes autour de l’idée d’« immanence pratique ». Tout d’abord, nous analysons des postulats qui constituent le croisement entre Nietzsche et Spinoza (valorisation du corps, définition de l’éthique comme éthologie, apologie de la joie). En second, nous abordons le nihilisme, conçu comme un effet de positions de transcendance. Il excède le cadre nietzschéen et devient « ressentiment » face à l’évènement, en se rachetant grâce à l’amor fati, et renvoie à la « perte du monde », dont l’issue est possible par la « croyance en ce monde-ci ». Troisièmement, dans l’horizon vitaliste, nous travaillons la question du désir comme principe immanent d’une expérimentation prudente et le « corps sans organes » comme « plan d’immanence » du désir
This thesis deals with the concept of immanence in the work of Gilles Deleuze. It is maintained in our hypothesis that it is an ontological, noological, political and ethical notion what constitutes the nucleus of his philosophical project. The ontological dimension refers to the re-elaboration of Duns Scott’s thesis on the univocity of being and the comprehension of Spinoza’s immanence as “expressive pantheism”. The noological aspect focuses on immanence as a “plane”, within Deleuze’s frame of conception of thought and philosophy, and sets a counterpoint with François Jullien concerning his approach to immanence in terms of “depth”. From the political point of view, the idea of “post-historical axiomatics” implies the functioning of capitalist immanence, which feature of “end of history” is connected to Kojève’s thesis. Furthermore, the essential layouts of politics of immanence as from the pledge of becoming-minor are deployed. The ethical aspect articulates three axes around the idea of “practical immanence”. First, it analyses the statements that conform the intertwining between Nietzsche and Spinoza (valorization of the body, definition of ethics as ethology, apology of joy). Second, it tackles nihilism, recognized as an effect of transcendent positions, which goes beyond Nietzsche’s realm and turns into “resentment” towards the event, which is acquitted by means of amor fati. It also becomes “loss of the world”, which vent consists on the “belief in this world”. Third, within the vitalist structure, the determination of desire as an immanent principle of a prudent experimentation and the “body without organs” as “plane of immanence” of desire are probed
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Zelenko, Pierre. "La philosophie morale et politique de John Stuart Mill." Paris 4, 2003. http://www.theses.fr/2002PA040264.

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Abstract:
John Stuart est souvent cité comme l'un des archétypes de la pensée libérale ou de l'utilitarisme. Pourtant sa philosophie est beaucoup plus subtile et moins univoque que ne le laissent penser ces idées reçues. S'il s'appuie sur certains présupposés utilitaristes, Mill ne subordonne pas tout au plus grand bonheur du plus grand nombre. S'il fait de la liberté une valeur première, il envisage de nombreuses limites et de multiples contrôles qui définissent une relation plus équilibrée entre ordre et liberté. Toutefois, les modes de régulation de la vie sociale ne doivent pas être rigides et formels mais souples et évolutifs. C'est pourquoi cette philosophie morale consacre une large place aux expressions sociales spontanées telles le " naming and shaming ". De la même façon Mill croit que le progrès résulte du développement individuel de chacun, qui doit être le moins entravé possible et dont les moyens doivent être garantis par l'Etat, si besoin est
John Stuart Mill is often referred to as one of the most typical exemples of liberalism or utilitarianism. However his philosophy is more subtle and less simple than those stereotypes suppose. If he bases his thought on certain utilitarist presuppositions, Mill does not consider the greatest happiness principle as the most important one. If Liberty can be regarded as the main value of his philosophy, several limits and controls are taken into account and a more balanced equilibrium between order and liberty is outlined. Nevetheless, regulation of social life must not be rigid or formal but soft and evolutive. For this reason, Mill takes seriously spontaneous regulations such as "naming and shaming". By the same token, he believes that progress stems from everybody's self-development, which must not be impeded as far as possible and whose means must be provided by the State if need be
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Amehe, Kossi François. "Sagesse populaire, sagesse des Nations?" Strasbourg, 2009. https://publication-theses.unistra.fr/public/theses_doctorat/2009/AMEHE_Kossi_Francois_2009.pdf.

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Abstract:
La sagesse qui prend les visages des principales communautés culturelles sera considérée dès l’Antiquité tantôt comme une modération du goût et des désirs de la chair, tantôt comme une recherche de paix et de tranquillité. Au sein des peuples, elle se mue en accumulation d’expériences et prend les caractères des savoir-dire, des savoir-faire et des savoir-vivre qui livrent des indications éminentes pour l’agir humain, alors même que ceux-ci se présentent sous des dehors triviaux. La sublimation du discours sur la sagesse atteint son plus haut sommet quand la sagesse devient une personne en Jésus-Christ. La plénitude de la sagesse s’acquiert par le croisement de l’autonomie et de la théonomie
The wisdom which takes the faces of the principal cultural communities will be considered as of Antiquity sometimes a moderation of the taste and desires of the flesh, sometimes like a search of peace and peace. Within the people, it is moulted in accumulation of experiments and takes the characters of the knowledge-statement, know-how and the good manners which deliver eminent indications to act it human, while at the same time those are presented under outside commonplace. The sublimation of the speech on wisdom reaches its higher top when wisdom becomes a person as a Jesus-Christ. The plenitude of wisdom is acquired by the crossing of autonomy and the theonomy
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Pasteur, Julien. "Généalogie du spirituel républicain français dans la philosophie sociale, morale et politique du XIXème siècle." Thesis, Paris 10, 2015. http://www.theses.fr/2015PA100098.

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Abstract:
L’idée d’un « spirituel républicain » est, en France, plus intuitivement sentie que rationnellement conçue. Si le syntagme dénote quelque densité conceptuelle, historiens et philosophes s’accordent d’ordinaire à la chercher dans les doctrines politiques et sociales de la IIIème République – celles du solidarisme, de la laïcité ou des lois sur l’éducation. Ce travail voudrait montrer que le spirituel républicain est irréductible à un supplément d’âme, comme à toute forme de caution morale destinée à pallier les derniers scrupules d’une politique désenchantée. En ce sens, sa généalogie demande à être singulièrement élargie à l’aval. Elle trouve son origine dans le sillage de la Révolution Française, où 1789 commande tout autant une interprétation politique qu’une reconfiguration anthropologique de la croyance. Le point commun des auteurs mobilisés ici (Joseph de Maistre, Auguste Comte, Jules Michelet, Alexis de Tocqueville, Émile Durkheim) est en effet d’assumer une position symétriquement opposée à la nôtre. Partant du principe que la question spirituelle est la seule qui n’ait pas été réglée, ils s’efforcent d’interroger le statut, problématique dans les démocraties modernes, d’un gouvernement des esprits. C’est donc en partant de ce qui, au sein de ce corpus, est réputé le plus anachronique – soit la rémanence du religieux au cœur d’un siècle censément scientifique – que la notion de spirituel républicain trouve à se constituer. Guettée par le risque d’un syncrétisme philanthropique inchoatif, comme par la confrontation à trois des idéologies majeures du XIXème siècle (traditionalisme, libéralisme, socialisme), cette tradition intellectuelle ne conserve son identité qu’en justifiant son qualificatif de républicain
The idea of the spiritual as it relates to republicanism – the “republican spiritual” – is, in France, more intuitively felt than it is rationally conceived. While the phrase carries a certain conceptual density, historians and philosophers normally agree that this idea is to be sought in the political and social doctrines of the Third Republic – for example, in the doctrines of solidarity and secularism and in the laws on education. This work shows that the “republican spiritual” cannot be reduced to a touch of soul, or to any form of moral guarantee intended to overcome the last scrupules of a disenchanted politics. In this way, its genealogy needs to be particularly enlarged. It has its origin in the wake of the French Revolution, as the events of 1789 required both a political interpretation of belief as well as its anthropological reconfiguration. The common point among the authors studied here (Joseph de Maistre, Auguste Comte, Jules Michelet, Alexis de Tocqueville, Émile Durkheim) is that the position they took on this issue is diametrically opposed to ours today. These authors, starting from the standpoint that the spiritual question is the only one that has not been resolved, struggle to understand the status – problematic in modern democracy – of a spiritual regime. It is thus within the most anachronistic elements of the body of work studied here – that is, the endurance of the religious in a supposedly scientific century – that the notion of the “republican spiritual” finds its origin. At risk of a formless philanthropic syncretism, menaced by its confrontation with three of the main ideologies of the 19th century (traditionalism, liberalism, and socialism), this intellectual tradition only preserves its identity by justifying its qualification as republican
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MOUKOUEKOU, SEBASTIEN. "Le tribalisme comme forme de conscience sociale dominante au congo." Paris 10, 1994. http://www.theses.fr/1994PA100077.

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Abstract:
Le tribalisme se peut entendre comme l'expression des solidarites ethniques dazns le rejet des autres, trait caracteristique d'une societe polyethnique comme la societe congolaise dont la construction nationale n'est pas encore achevee. Les micro-societes que sont les groupes ethniques (kongo, mbochi, teke pour ne citer que les principaux) aspirent chacune a la preeminence politique. Trois facteurs nous paraissent determinants dans la comprehension de ce phenomene socio-politique : le premier facteur renvoie au stade de developpement historique des societes africaines precoloniales. La colonisation, deuxieme facteur, reunifia artificiellement des espaces territoriaux jadis sous la dependance de ces societes en mutilant des groupes ethniques entiers : enfin, nous invoquerons l'independance qui intervint sans que les communautes ethniques eussent atteint un niveau suffisant d'integration nationale
Tribalism may be understood as the expression of ethnic solidarities in the rejection of others, a distinctive feature of such a polyethnic society azs the congolese one whose national building up has not been achieved yet. The micro-societies formed by ethnic groups (kongo, mbochi, teke, numbering among the most important) each yearn for political leadership. Three factors seem to be determinant in the comprehension of that socio-political phenomenon, the first of which taking us back to the stage of the historic expansion in precolonial african societies. Colonization, the second factor, artificially brought together territorial spaces that used to be under the administration of those societies, mutilating whole ethnic groups in the act. Finally, we shall invoke independence that was gained before those ethnic communities had reached a satisfying level of national integration
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Benetrix, Carine Beaune Jean-Claude. "Le double et le même selon le mythe, la science et la philosophie perspectives sur le clonage /." Lyon : Université Lyon 3, 2005. http://thesesbrain.univ-lyon3.fr/sdx/theses/lyon3/2003/benetrix_c.

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Bartonek, Leo. "Der Topos Nähe : Ernst Blochs Eintrittstelle in die Sozialwissenschaften : ein Beitrag zur Ontologie der modernen Gesellschaft /." Stockholm : Statsvetenskapliga institutionen, 1992. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb357045389.

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Bouillon, Vincent. "Guerre et paix dans la philosophie d'Emmanuel Levinas." Thesis, Paris 10, 2010. http://www.theses.fr/2010PA100060.

Full text
Abstract:
Il faut avec Levinas faire le constat d’un premier problème, premier parce qu’il y va du sens de la vie en commun et du respect de l’humain. Annonçons ce problème : « si la proximité ne m’ordonnait qu’autrui tout seul, il n’y aurait pas eu de problème ». Nous ne sommes pas deux au monde et notre rapport à l’autre, au tiers, au prochain comme au lointain, s’impose toujours déjà à nous, avant tout consentement. « Problème », car l’autre est aussi le plus préoccupant par excellence, imprévisible, nous nous trouverons toujours déjà en relation avec lui dans une infinité de rapports indéfectibles. Jetés que nous sommes dans le monde, notre préoccupation de et pour l’autre nous est imposée en héritage avec la même nécessité que notre présence à nous même. Dans notre existence, nous n’avons été et ne serons jamais vraiment seuls, c’est pourquoi notre rapport à l’autre, depuis les rapports de paix jusqu’à la guerre devient un problème fondamental, le premier comme le dernier des problèmes. Nous montrerons dans ce travail que le problème de la guerre et de la paix prend naissance par et pour l’être mais nous irons plus loin en identifiant précisément qu’à l’être et à l’ontologie s’ajoute une autre source de conflit, d’autant plus ambivalente qu’elle sera tout aussi nécessaire aux paix qu’aux guerres : la transcendance. Ce que nous proposerons de faire voir ici et de soutenir, c’est que l’être n’est pas la seule origine du mal et conséquemment de la guerre. La position de Levinas aura sur ce point peu à peu évolué depuis ses écrits de jeunesse et l’expérience des camps jusqu’à ses œuvres de la maturité discréditant la jouissance et le bonheur pour soi. C’est à ce déplacement que nous inviterons le lecteur ainsi qu’à la compréhension des implications touchant à la justice, à l’Etat, au bonheur et à la réalisation effective de la paix comme au surgissement toujours possible et menaçant de la guerre.Ce travail ne fera pas l’économie de la lucidité réclamée par Levinas sur le siècle passé et ses génocides et cherchera à concilier cette dernière avec l’espoir que l’ensemble de sa philosophie veut soutenir
Along a first, major question, primordial as it involves living together and respecting human values. Let us present that problem: «it proximity concerned one person only there would not have been any difficulty». There are not only two of us in this world, and our relation to the other, the third one, the closest as well as the furtherest, is a reality we cannot deny before any consent. «A problem» because the other is equally, par excellence, the most worry some, and unpredictable with the other we shall always be in a relation that includes an infinity of indestructible links. Last as we are in the world our preoccupation “of” and “for” the other is imposed on us as an heritage with the same necessity as our presence to ourselves. In our existence we have never been and never shall be alone; that is why our relation to the other, from peace to war, becomes an essential question, the first as well as the last of the problems. We will show in these links that the problem of war and peace arises by and for the being, we shall to go further by identifying precisely that to being and to ontology is added another source of conflict, which is all the more ambivalent as it will be necessary to peace and war: transcendence. What we would like to let appear and to sustain is that the being is not the only origin of evil and consequently of war. Levinas’s position on that point has slowly but significantly evolved, as the thesis expressed in his early writing has been submitted to the harsh experience of the nazi concentration camps and have finally resulted in his maturity in a general discard for enjoyment and happiness for ourself. This is the voyage to which the reader is invited, as well as to approach of the implications it includes for justice, state, happiness and the effective realization of peace as well as for the always possible and sudden looming up treat of war.We shall accompagny Levinas in his striving for lucidity regarding the last century and its genocides and we shall endeavor to reconcile that lucidity with the hope his whole philosophy wants never theless to sustain
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Amegatsevi, Kokou Sename. "L'éthique du futur et le défi des technologies du vivant." Thesis, Université Laval, 2013. http://www.theses.ulaval.ca/2013/30255/30255.pdf.

Full text
Abstract:
Ce travail vise à mettre en avant une éthique du futur à l’ère des technologies du vivant à partir de la biologie philosophique de Hans Jonas en passant au crible a priori les fondements des technosciences. Jonas estime que le problème n’est pas la technique elle-même qui soit en cause mais l’identité qu’elle accorde à l’homme dans cette logique instrumentale envahissante, en d’autres termes, le matérialisme réductionniste. Le problème aussi n’est pas les effets visibles inquiétants et désastreux de la technique mais l’ontologie qu’elle inspire. Outre les manifestations réelles de destruction qu’elle génère, c’est l’être qu’elle confère ou plus exactement dont elle prive l’homme qui est catastrophique. L’homme finit par se considérer comme un fond exploitable. Il s’agira donc de formuler une éthique qui a pour soubassement une biologie philosophique qui récuse une anthropologie mécaniste d’inspiration matérialiste, une ontologie du pas-encore qui fonde les sciences modernes. Réduire l’homme à des lois physico-chimiques, c’est violer notre individualité. Le métabolisme est la preuve de notre individuation. Dans la matière, gît l’esprit. Au-delà de l’anthropomorphisme qui se dégage, l’homme est le seul animal symbolisant doué d’une conscience réflexive. Une responsabilité politique s’impose pour protéger l’intégrité et l’image de l’homme à l’ère des technologies du vivant qui espèrent améliorer ou modifier l’espèce humaine. Mais cette responsabilité politique qui promeut « un marxisme désenchanté » ne tardera pas à renforcer voire devenir une rationalité instrumentale et idéologique à l’image du lyssenkisme. Une autre responsabilité s’impose : une responsabilité scientifique formulée par Charles De Koninck qui interpelle et invite les scientifiques à ne pas sacrifier l’être humain par leurs recherches sur l’autel des subventions financières, du dualisme au relent matérialiste. La science, dans son élan est invitée à tenir compte du facteur « humain ». Cette responsabilité scientifique va au-delà des règles de bonnes pratiques et déontologiques des comités et des expertises scientifiques. Elle nécessite une éducation scientifique pour une science citoyenne pour éviter une science aveugle et idéologique. Bref, à partir de ces paradigmes, nous voulons montrer que les rêves de l’amélioration, de l’augmentation des performances de l’espèce humaine sont des chimères.
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Books on the topic "Morale. Philosophie sociale. Ontologie"

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Durand, Guy. Six études d'éthique et de philosophie du droit. Montréal: Éditions Liber, 2006.

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1964-, Bernier Marc André, and Dawson Deidre 1958-, eds. Les Lettres sur la sympathie (1798) de Sophie de Grouchy: Philosophie morale et réforme sociale. Oxford: Voltaire Foundation, 2010.

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Renouvier, Charles. Petit traité de morale à l'usage des écoles primaires laïques. Paris: INRP, 2003.

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4

Ontologized ethics: New essays in African meta-ethics. Lanham, MD: Lexington Books, 2014.

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5

Reiman, Jeffrey H. Justice and modern moral philosophy. New Haven: Yale University Press, 1990.

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6

Les valeurs et le sens de l'existence: Guide pour une démarche éthique autonome. Sainte-Foy, Qué: Éditions le Griffon d'argile, 1994.

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7

Becker, Lawrence C. Reciprocity. Chicago: University of Chicago Press, 1990.

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8

Reciprocity. London: Routledge & Kegan Paul, 1986.

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9

Perkins, Gilman Charlotte. Social ethics: Sociology and the future of society. Westport, Conn: Praeger, 2004.

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10

Le principe don en éthique sociale et théologie morale: Une implication de la philosophie du don chez Derrida, Marion et Bruaire. Paris: Harmattan, 2009.

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More sources

Book chapters on the topic "Morale. Philosophie sociale. Ontologie"

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Swindler, J. K. "Constructivist Moral Realism." In The Paideia Archive: Twentieth World Congress of Philosophy, 147–53. Philosophy Documentation Center, 1998. http://dx.doi.org/10.5840/wcp20-paideia199842788.

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Abstract:
We are social animals in the sense that we spontaneously invent and continuously re-invent the social realm. But, not unlike other artifacts, once real, social relations, practices, institutions, etc., obey prior laws, some of which are moral laws. Hence, with regard to social reality, we ought to be ontological constructivists and moral realists. This is the view sketched here, taking as points of departure Searle's recent work on social ontology and May's on group morality. Moral and social selves are distinguished to acknowledge that social reality is constructed but social morality is not. It is shown how and why moral law requiring respect for the dignity and well being of agents governs a social world comprising roles that are real only because of their occupants' social intentions.
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Queirós, António dos Santos. "Globalization and Global Code of Tourism Ethics." In Advances in Hospitality, Tourism, and the Services Industry, 132–57. IGI Global, 2019. http://dx.doi.org/10.4018/978-1-5225-6983-1.ch008.

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Abstract:
In the framework of the globalization of tourism, this chapter discusses the concepts of modern ethics and morality, on a critical perspective to the dominant standpoint that set the morale in the order of the rules and social conventions and leave the ethics on the field of personal experience. The critical essay postulates three fundamental theses: 1. The environmental philosophy builds a new ontology created by the critique of anthropocentrism; 2. But, only their articulation with a new epistemology, founded in the critique of ethnocentrism, could lead to a new ethics universal theory; 3. However, the applied ethics of environmental philosophy needs a new global political ethics shaped on the critique against political alienation. Consequently, the global code of ethics for tourism must be refunded on the light of environmental philosophy and takes an imperative character.
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Matheron, Alexandre. "The ‘Right of the Stronger’: Hobbes contra Spinoza." In Politics, Ontology and Knowledge in Spinoza, edited by Filippo Del Lucchese, David Maruzzella, and Gil Morejón, 280–306. Edinburgh University Press, 2020. http://dx.doi.org/10.3366/edinburgh/9781474440103.003.0018.

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Abstract:
Many agree that Rousseau’s The Social Contract takes Hobbes as its target. Does his critique of Hobbes also apply to Spinoza? In this essay, Matheron systematically compares Hobbes and Spinoza’s respective political philosophies with an eye to Rousseau’s criticism of the notion of the ‘right of the stronger’. As Matheron shows, Rousseau’s critique misses the mark in both cases, but for different reasons. The core of Spinoza’s innovation with respect to both Hobbes and Rousseau is his rejection of the idea of right as a moral power distinct from physical power and his identification of right with power. Power, for Spinoza, is not simply corporeal power, but rather the capacity to produce real effects in nature. But whereas Hobbes’s view appealed to the use of reason to determine what is best for preserving ourselves, Spinoza sees all human action as expressions of greater or lesser degrees of power governed instead by desire. Matheron concludes with a short discussion of the right to revolt in Hobbes, Spinoza, and Rousseau.
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Pop, Liana. "Philosophy and Technology." In The Paideia Archive: Twentieth World Congress of Philosophy, 29–34. Philosophy Documentation Center, 1998. http://dx.doi.org/10.5840/wcp20-paideia199839702.

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Abstract:
This paper deals the place of technology in contemporary culture, and the relationship between science and morality. A definition of technique as a social process has to emphasize the fact that technique means developing and enabling different fabricated material systems; it is also the action of environment transformation according to human necessities. The area of culture is not limited to classical values, conceived with traditional meanings, arts and human sciences, but also covers the values of the natural and technical sciences as well as the whole set of values implied by technique and technology. Far from being a marginal component of culture, technology interacts internally with philosophical fields such as epistemology, ontology, value theory, and ethics. It also partly overlaps partly with other fields. I suggest that science should not be considered as free of value and neutral from a moral viewpoint both because the scientist makes valuable judgments during scientific activity and because the applications of science have moral value and raise moral problems. There is thus a need for moral control that would deter the scientists from evildoing. The need for wisdom and a clear scientific attitude in our contemporary technical civilization is emphasized.
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Conference papers on the topic "Morale. Philosophie sociale. Ontologie"

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Valsecchi, Francesca, and Massimo Menichinelli. "The meta-design of systems: how design, data and software enable the organizing of open, distributed, and collaborative processes." In Systems & Design: Beyond Processes and Thinking. Valencia: Universitat Politècnica València, 2016. http://dx.doi.org/10.4995/ifdp.2016.3301.

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Abstract:
The challenges posed by the complexity of our times requires the Design discipline to understand the many complex relationships behind the social, business, technology and territory dimensions of each project. Such nature of complex systems lays not only inside design projects, but also inside the design processes that generate them, and the ability of organizing them through meta-design approaches is becoming strategic. Since the turn of the century, the design discipline has increasingly moved its scope from single users to local and online communities, from isolated projects to system of solutions. This shift has brought researchers and practitioners to investigate tools and strategies to enable mass-scale interactions by adopting several models and tools coming from software development and web-based technologies: Open Source, P2P, DDD (Diffuse, Distributed, and Decentralized) systems. This influence has matured over the years, and if we observed in the past how such systemic models can be applied in the design practice (part 1), we are facing now a new phase where Design will have an increasing role in enabling such systems through the analysis, visualization and design of their collaborative tools, platforms, processes and organizations (part 2). This scope falls into the Meta-Design domain, where designers build environments for the collaborative design of open processes and their resulting organizations (part 3). In this paper, we address this phenomena by elaborating the Open Meta-Design framework (part 4), that provides a way for designing open, collaborative and distributed processes (including those in the professional design domain). The paper positions the framework among current meta-design and design approaches and develops its features of modeling, analysis, management and visualization of processes. This framework is based on four dimensions: conceptual (describing the philosophy, context and limitations of the approach), data (describing the ontology of design processes), design (visualizing designing processes) and software (managing the connections between the ontology and the visualization, the data and design dimensions). We believe that such a framework could potentially facilitate the participation and the creation of open, collaborative and distributed processes, enabling therefore more relevant interactions for communities. As a conclusion, the paper provides a roadmap for developing and testing the Open Meta-Design framework, and therefore evaluating its relevance in supporting complex projects (part 5).DOI: http://dx.doi.org/10.4995/IFDP.2016.3301
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