Academic literature on the topic 'Morales de l'intérêt'

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Journal articles on the topic "Morales de l'intérêt"

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Roy, Nicole. "Les intérêts économiques corporatifs et la Charte canadienne des droits et libertés : impact sur la protection de l'environnement." Les Cahiers de droit 34, no. 2 (April 12, 2005): 395–516. http://dx.doi.org/10.7202/043219ar.

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Abstract:
Notre étude des mécanismes décisionnels et consultatifs en matière de protection de l'environnement démontre que ceux-ci ne permettent pas aux groupes intéressés à la protection de l’environnement de contrer le pouvoir politique des grandes entreprises commerciales et d'assurer la représentation des intérêts qu'ils défendent. Selon les auteurs canadiens associés aux critical legal studies, la Charte canadienne des droits et libertés n'est pas un instrument assurant une redistribution des pouvoirs. Au contraire, leurs arguments tendent à démontrer qu'au moment d'interpréter la Charte les tribunaux risquent de conforter davantage les intérêts des grandes entreprises commerciales au détriment de la protection de l'environnement. Afin de vérifier cette affirmation, l'auteure étudie, à la lumière de la jurisprudence de la Cour suprême, les règles relatives à l'intérêt pour agir des personnes morales ainsi que certains arguments d'invalidité que pourraient invoquer les grandes entreprises commerciales à l’encontre des dispositions pénales des lois relatives à la protection de l'environnement.
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Virvidakis, Stélios. "Les arguments transcendantaux et le problème de la justification de la normativité morale." Philosophiques 28, no. 1 (October 2, 2002): 109–28. http://dx.doi.org/10.7202/004996ar.

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Abstract:
La théorie de la connaissance des années 60 et 70 a été marquée par l'emploi des arguments transcendantaux de toutes sortes. Ces arguments pourraient servir à défendre l'applicabilité de nos concepts fondamentaux qui font l'objet d'une variété d'attaques sceptiques. Malheureusement, la prise de conscience des difficultés mettant en cause l'efficacité ou même la validité des arguments transcendantaux a progressivement conduit à leur abandon, quoique certains philosophes n'aient jamais cessé de les utiliser. Mon analyse s'inspire du renouveau récent de l'intérêt pour l'argumentation transcendantale dans le domaine de la raison pratique, et en particulier de l'élaboration d'un modèle de ce genre d'argumentation par A. W. Moore. Je procède à l'examen d'un argument de forme transcendantale développé par Christine Korsgaard afin de justifier l'autorité des normes morales. Je tente d'évaluer l'efficacité de cet argument et du modèle général auquel il se conforme, de le comparer à des approches alternatives et d'étudier les rapports de ses prémisses et de sa conclusion avec des prises de position réalistes et anti-réalistes en métaéthique.
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Bailly-Masson, Claude. "L'intérêt de la personnalité morale." La Revue des Sciences de Gestion, Direction et Gestion, no. 230 (April 2008): 99–104. http://dx.doi.org/10.1051/larsg:2008024.

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Bailly-Masson, Claude. "L'intérêt de la personnalité morale." La Revue des Sciences de Gestion 230, no. 2 (2008): 99. http://dx.doi.org/10.3917/rsg.230.0099.

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5

Biziou, Michaël. "Adam Smith - L'intérêt et la morale." Les Grands Dossiers des Sciences Humaines N° 30, no. 3 (March 1, 2013): 3. http://dx.doi.org/10.3917/gdsh.0030.0003.

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Isaacs, Tracy. "On Being Perfect and Doing the Right Thing." Dialogue 37, no. 1 (1998): 55–64. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217300047582.

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Abstract:
RésuméJ'examine ici la plausibilité du perfectionnisme, compris comme une théorie morale dotée d'une structure conséquentialiste maximisante et du principe d'action suivant: maximise la valeur perfectionniste. Je soutiens que: 1) la structure en question ne répond pas aux préoccupations principales qui ont été responsables de l'intérêt récent pour ce type de théorie; 2) le principe d'action n'a que l'apparence de la précision; 3) nous ne pouvons promouvoir la valeur perfectionniste, vue comme une exigence morale, qu'en l'intégrant à un cadre moral pluraliste; et 4) si nous l'intégrons à un cadre moral pluraliste, alors le principe requérant sa promotion ne peut pas être un principe de maximisation.
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Lagueux, Maurice. "L'architecture a-t-elle une fonction éthique? À propos d'un livre de Karsten Harries." Dialogue 38, no. 3 (1999): 567–86. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217300046916.

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Abstract:
Vu l'intérêt croissant que l'on porte aux questions éthiques dans le monde contemporain, on ne s'étonne plus de voir se multiplier les travaux qui discutent la façon dont ces questions se posent dans telle ou telle discipline. Or parmi celles-ci, l'architecture occupe une place assez particulière. Dans la mesure où l'on a affaire à l'un des beaux-arts, il ne va pas de soi que l'on puisse attribuer à l'architecture une fonction éthique, tant il est vrai que l'artiste authentique est en droit de revendiquer une sorte de liberté qui se prête mal au respect inconditionnel d'impératifs d'origine morale. Toutefois, comme l'architecture est un art dont le propre est de répondre à un besoin fondamental de l'être humain, soit celui de trouver un abri et un lieu propice à l'habitation, au travail, à l'étude, au recueillement, à la détente ou à quelque autre activité jugée importante, les architectes ont rarement eu beaucoup de mal à se reconnaître une sorte de responsabilité sociale susceptible de conférer à leur travail une authentique dimension éthique.
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Courtois, Stéphane. "Principe de discussion et éthique de la responsabilité chez Karl-Otto Apel." Dialogue 34, no. 4 (1995): 695–711. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217300011069.

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Abstract:
Les recherches poursuivies par les membres de l'école de Francfort depuis la seconde moitié des années quatre-vingt se signalent primordialement par l'intérêt porté au problème général des conditions d'application de l'éthique de la discussion (Diskursethik) au domaine du droit et de la politique. En témoignent les recueils publiés récemment par Karl-Otto Apel, en particulier Diskurs und Verantwortung (1988) et Zur Anwendung der Diskursethik in Politik, Recht und Wissenschaft (1992), ainsi que l'ouvrage volumineux de J. Habermas consacré à la théorie du droit, Faktizität und Geltung (1992). Bien que non définitive, cette orientation de recherche n'en est pas moins suffisamment élaborée à l'heure actuelle pour permettre une évaluation. Le but du présent article sera plus spécialement de soumettre à un examen critique la voie de solution propre apportée par Apel à ce problème. Une thèse centrale sera défendue: celle suivant laquelle les difficultés que présente l'application de l'éthique communicationnelle au monde du droit et de la politique ne peuvent être entièrement solutionnées dans le cadre restreint de la théorie morale, mais exigent la transition à une théorie du droit et de la démocratie.
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Hibbert, Neil. "Citizenship and the Welfare State: A Critique of David Miller's Theory of Nationality." Canadian Journal of Political Science 41, no. 1 (March 2008): 169–86. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423908080141.

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Abstract:
Abstract.For much of the post-war period of welfare state formation, T.H. Marshall's idea of shared entitlement to universal social rights of citizenship formed the theoretical foundations of social democratic political reforms and legitimacy. This approach has been updated by contemporary egalitarian theorists, such as John Rawls. The ongoing politics of restructuring have led to a growing number of arguments against the motivational capacity of an institutional account of social unity. This paper examines a particular argument against rights-based citizenship—David Miller's theory of nationality. Miller argues that “pure” citizenship rests on self-interest, and thus when differences in risk are explicit it can only legitimate minimal redistribution. Strong welfare states require pre-political ties and must be embedded in the ethical relations of shared nationality. Against Miller's position, it is advanced that shared citizenship has both effective motivational and moral dimensions. It can also address the problems the nationality thesis faces in reconciling its account of motivation with the moral diversity that is constitutive of pluralist societies.Résumé.Dans l'après-guerre, au moment de la formation des Etats-providence, la mise en place et la justification des politiques social-démocrates s'appuyèrent en grande majorité sur la théorie de T.H. Marshall à propos du rôle joué par les droits sociaux dans l'intégration civique. Cette approche a été actualisée par des théoriciens égalitariens tels que John Rawls. Les politiques actuelles de restructuration de l'Etat-providence ont provoqué la multiplication d'un certain type de critiques soulignant les insuffisances de cette approche institutionnelle du lien social en termes de ressources motivationnelles. Cet article examine l'une ces critiques, formulée par David Miller dans sa théorie sur la nationalité. Miller soutient que la citoyenneté “pure” repose sur l'intérêt personnel et qu'elle ne peut justifier qu'une redistribution minimale, lorsque les différences engagées sont manifestes. Pour affirmer leur autorité, les Etats-providence ont besoin d'être fondés sur des liens prépolitiques et soutenus par les rapports de solidarité d'une nationalité commune. A l'encontre de la position défendue par Miller, on avancera que la citoyenneté possède de façon effective une dimension qui est à la fois morale et motivationnelle. En outre, elle est à même d'affronter les problèmes que soulève la thèse sur la nationalité, en réconciliant sa conception de la motivation avec la diversité morale inhérente aux sociétés pluralistes.
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Raftis, J. A. "Mater et Magistra: a Challenge to the Catholicity of the Church." Relations industrielles 18, no. 1 (January 24, 2014): 17–34. http://dx.doi.org/10.7202/1021452ar.

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Abstract:
Sommaire L'histoire de la dernière encyclique, MATER ET MAGISTRA, illustre d'une façon dramatique, dans notre société contemporaine, la division du travail entre les relations publiques et le domaine académique. Dans le monde anglo-saxon au moins cette encyclique est celle qui a connu la plus large diffusion et qui a été la mieux reçue de toutes les encycliques sociales. Par ailleurs, il semble évident que moins qu'à toutes les autres on a apporté un intérêt soutenu. On a pas à chercher bien loin pour trouver la raison de cette indifférence générale. MATER ET MAGISTRA n'est pas seulement un document à l'occasion d'une crise ou, d'un problème. Elle est l'aboutissement de tout un siècle de développements académiques. D'une part, la doctrine sociale est seulement un segment d'une demi-douzaine de champs théologiques revitalisés. D'autre part, le fossé entre les sciences sociales et les champs de pensée plus traditionnels s'est graduellement rétréci. RERUM NOVARUM (1891) a ouvert la théologie à la science politique, QUADRAGESIMO ANNO (1931) a évidemment utilisé les principes économiques modernes et maintenant MATER ET MAGISTRA (1961) utilise la sociologie. Les experts en sciences sociales sont bien conscients de l'intérêt croissant chez leurs collègues depuis plusieurs générations au sujet du bien-être, des valeurs, des lois naturelles, des insuffisances du pragmatisme. Lorsque les dimensions proprement académiques de cette encyclique sont reconnues, il s'en suit immédiatement que cette doctrine nécessite pour son exposition un statut académique approprié. En premier lieu, il ressort de la structure de MATER ET MAGISTRA que l'étudiant de la théologie sociale doit nécessairement s'appuyer sur le spécialiste en sciences sociales. En second lieu, l'étudiant de la théologie sociale doit reconnaître que l'homme moderne désire une philosophie sociale adéquate. C'est une exigence beaucoup plus englobante que celle des encycliques précédentes. Il ne suffit plus maintenant de condamner l'individualisme et le scientisme du XIXe siècle, ou d'encourager davantage l'association — une union par-ici, une coopérative par là. Comme le préconise avec insistence le Pape Jean, une option morale positive de l'organisation ou de la socialisation est nécessaire à tout homme dans la société moderne. Alors qu'il est évident pour celui qui analyse ces questions que tout le pouvoir moral de la religion sera nécessaire afin de dissiper l'ensemble des accréditations religieuses et de la loi naturelle acceptées par l'individualisme de notre société industrielle ou le socialisme des autres traditions, la question présente de nouveaux aspects. Il y a déjà une évidence abondante que les professeurs des matières philosophiques et théologiques traditionnelles ne réaliseront pas la nécessité actuelle d'une philosophie sociale articulée s'ils n'empruntent pas aux spécialistes des sciences sociales la signification et l'importance de la socialisation aujourd'hui. De plus, c'est seulement de l'esprit en sciences sociales que le philosophe social apprendra l'apport réaliste de la remarque du Pape Jean à l'effet que dans le milieu social moderne un certain déterminisme ne cause pas de préjudice à la liberté. La récente étude de Robert A. Brady sur la place des standards dans la civilisation en est un excellent exemple (Organization, Automation, and Society, ch. IV). L'importance croissante de l'étudiant des sciences sociales est aussi un autre indice du rôle croissant de l'apostolat laïc pour l'avenir de la doctrine sociale.
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Dissertations / Theses on the topic "Morales de l'intérêt"

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Bennini, Aïda. "Le Voile de l'intérêt social." Cergy-Pontoise, 2010. http://www.theses.fr/2010CERG0470.

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Abstract:
Après quelques décennies de discussions, le débat relatif à l’intérêt social a donné l’illusion d’avoir épuisé toutes ses ressources. Voilà que cette notion est propulsée au coeur des nouvelles thématiques du droit des sociétés, dont celle de la gouvernance des sociétés. Depuis l’avènement du gouvernement d’entreprise en France, le rôle de l’intérêt social a pris une nouvelle dimension. Mais d’autres événements bousculent cette notion, particulièrement la dématérialisation de l’entreprise et du capital social. Assurément, un conflit naissant entre l’horizontalité des droits et la verticalité de l’intérêt social émerge. Une évolution de l’intérêt social serait imminente. D’autant que le droit des sociétés s’est transformé pour mieux répondre aux nouvelles exigences économiques, lesquelles ont favorisé le pluralisme des intérêts. Ce changement s’est notamment exprimé par une subjectivisation de la norme encadrée par une procéduralisation du droit, comme pour promouvoir une meilleure démocratie dans les sociétés. En introduisant la raison dans le droit, le législateur a insufflé de la modernité dans les sociétés. Mais cette modernisation n’est pas signe de progrès, car elle s’approche davantage de la régression. Elle consacre un retour à l’état naturel des choses. Cette transformation profonde du droit des sociétés n’est pas restée sans conséquence sur l’intérêt social. En reconnaissant les conflits d’intérêts, le droit positif a démantelé la fonction traditionnelle de l’intérêt social qui consiste à dissimuler, par son voile, les divergences et les oppositions inhérentes à la vie des sociétés. A travers le rôle de l’intérêt social, le bilan et les perspectives de cette notion fondamentale du droit des sociétés se sont posés. Par l’analyse de son bilan, un rôle traditionnellement dévolu à l’intérêt social s’est affirmé. Il s’agit de la dissimulation par le voile. Incidemment, cela a permis de donner quelques éléments de réponse quant à sa nature juridique qui a tant divisé la doctrine. Cette étude propose une lecture renouvelée de ce concept, à travers une approche méthodique qui explore la rationalité procédurale, dans les profondeurs de notre système juridique. Par l’analyse de ses perspectives, cette étude a constaté une levée du voile de l’intérêt social, lequel s’inscrit dans la modernisation du droit des sociétés. Une fois le voile levé, le droit fait face au pluralisme des intérêts, et aux conflits. Afin de s’accommoder de cette tendance régressive du droit, cette étude propose la consécration d’une communauté d’intérêts en soutien à l’intérêt social. A cet égard, le rôle de l’intérêt social est appelé à changer, passant de la dissimulation par la fiction à la régulation des intérêts
After several decades of discussion, the debate on the corporate interest gave the illusion of having exhausted its resources. This notion has been propelled at the heart of the new corporate law topics, including that of corporate governance. Since the advent of corporate governance in France, the role of corporate interest has taken a new dimension. However, other developments erode the concept, particularly the dematerialization of the business and social capital. Imminently, the emerging conflict between horizontality and verticality of corporate interest makes the latter evolve. This is especially true since corporate law has changed to better respond to such new economic demands that encouraged the emergence of interests. This change was particularly expressed by a subjectivation of the standard of law shaped by a proceduralisation of law as to promote greater democracy in societies. By phasing reason in the law, the legislatures have modernized the societies. But this modernization is more alike regression than progress because it establishes a return to the natural state of things. This profound transformation of corporate law did not remain without consequences for the corporate interest. By recognizing the existence of the diverging interests the positive law has dismantled the traditional function of corporate interest which was to hide or, at least veil, the inherent differences and contradictions of corporate life. Through the role of corporate interest, the assessment results and prospects of this fundamental concept of company law have arisen. Upon its evaluation, the role to be traditionally associated with the corporate interest has emerged. This role is to conceal the veil. Incidentally, it has given some answers as to the legal nature of the corporate interest, a topic which has much divided the scholars. This study proposes a new interpretation of this concept through a systematic approach that explores the procedural rationale, going in depth of the French legal system. By analyzing its prospects, this study found a lifting of the veil of corporate interest, which is part of the modernization of company law. Once the veil lifted, the law faces a pluralism of interests and conflicts. To accommodate this regressive trend of the law, this study proposes the consecration of a community of interests in support of social interest. In this regard, the role of corporate interest changed from its concealment to its regulation, passing through its dissembling
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Zeidenberg, Sacha. "L'intérêt social : étude du particularisme du contrat de société." Bordeaux 4, 2000. http://www.theses.fr/2000BOR40042.

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Abstract:
L'etude du particularisme du contrat de societe doit permettre d'identifier la specificite de ce contrat. Il convient pour cela d'operer, lorsque cela est possible, une distinction entre les regles qui lui sont applicables et celles qui gouvernent le droit commun des contrats. Cette analyse conduit a mettre en relief l'objectif le plus frequent de ce type de contrat : l'acquisition de la personnalite morale et ses consequences classiques, a savoir l'apparition d'un patrimoine propre et d'un interet. Il semble que ce dernier, qualifie dans le cadre du contrat de societe d'interet social, joue un role determinant, en ce qu'il permet de caracteriser la societe, de cerner precisement son identite. En effet, la recherche d'une definition de la societe tendrait a enfermer cette derniere dans uncarcan peu revelateur de sa diversite, reelle, puisqu'elle repond davantage a un modele plural que monolithique, et souhaitable, en ce qu'elle correspond aux attentes du monde des affaires. La seconde fonction de l'interet social est d'assurer la protection la plus efficace possible de la societe. Cette association entre protection de la societe et interet social est d'autant plus remarquable que, si elle repose parfois sur un fondement textuel expres, il arrive frequemment que la protection de l'interet social, comme interet autonome de la societe, resulte davantage de l'analyse des mecanismes protecteur et de leurs effets, alors que ceux-ci ne font aucune reference explicite a l'interet social.
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Rombauts-Chabrol, Tiphaine. "L'intérêt public local." Thesis, Montpellier 1, 2014. http://www.theses.fr/2014MON10043.

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Abstract:
L'intérêt public local est une notion du droit administratif français qui apparaît comme une fausse évidence, attachée à la mise en œuvre jurisprudentielle de la clause générale de compétence des collectivités territoriales. Sa singularisation conceptuelle aboutit à la constitution d'un fondement juridique tangible dans la personnalité morale de droit public des collectivités territoriales. L'évolution du droit de la décentralisation, notamment constitutionnel, permet de déterminer le cadre positif de son existence. Une démarche objective et prudente confère à la notion un contenu propre, de nature finaliste, correspondant à la vocation générale des collectivités territoriales à satisfaire les besoins propres de leur population locale. Cependant, le caractère opérationnel de ce contenu ne masque pas l'hétérogénéité des fonctions de la notion d'intérêt public local. Leur différenciation conduit à considérer, à la faveur de l'étude de la jurisprudence, que la notion est efficiente dans les relations qu'entretiennent les collectivités territoriales avec leur propre environnement. Elle constitue ainsi un titre à agir dynamique, d'ailleurs systématisé en matière d'intervention économique locale. Si l'intérêt public local est largement convoqué par le juge administratif face aux décisions issues d'une habilitation légale identifiée, il ne conduit pas à créer ou contester le principe même de cette habilitation. Cette dernière limite fonctionnelle constitue la borne opérationnelle de la notion d'intérêt public local, qui ne permet pas, pour l'heure, d'agir sur la répartition légale des compétences entre personnes publiques
Local public interest is a french administrative law notion which appears as a misleading evidence because of the standard case law related to the local authorities « general competence clause ». Its conceptual definition allows to highlight its legal foundation within the local authorities public-law legal personnality. The evolutions of the devolution law, especially in the areas of constitutionnal law, establish a positive framework for its existence. An objective and cautious approach confers to the notion an actual finalistic substance corresponding to the general nature of local authorities to ensure that local communities' needs are actually met. However, the operationnal aspect of this content does not mask the heterogeneity of the local public interest functions. According to a review of the case law, the distinguishing of its functions demonstrates the efficiency of the notion in the scope of the local government functions by constituing a dynamic legal capacity to act, systematised particuliarly in local initiatives in the economic sphere. If local public interest is widely used by administrative courts to supervise decisions deriving from a grant of legislative power, it can neither provide the basis to create, nor to dispute the principle of this legislative power. This ultimate functional limit remains the operational barrier to the local public interest which does not allow to act on the distribution of functions between public authorities so far
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Hayes, Kathleen. "Résurgence et transformation du cynisme au XVIIIe siècle : la réception de Diogène dans les Lumières françaises." Thèse, 2016. http://hdl.handle.net/1866/18478.

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Abstract:
De nos jours omniprésent sur la scène politique, le cynisme fut depuis son origine l’objet de polémiques. Le mode de vie scandaleux auquel il est associé pose la question de l’appartenance ou non de Diogène et des Cyniques à la philosophie. Par ailleurs, qu’a à voir le cynisme des sociétés actuelles avec celui que pratiquait Diogène ? Si des analystes situent au siècle des Lumières l’émergence d’une nouvelle conception du cynisme propre à la modernité, peu d’études historiques ont été menées sur la question. Il importe donc de retourner aux sources et de mesurer la validité de cette hypothèse. Par une étude de l’histoire du cynisme et de sa transmission, nous retraçons l’évolution des enjeux au cœur du mouvement cynique et de sa postérité, et présentons une synthèse des significations du cynisme ainsi que des tensions qu’elles comportent. De nombreuses références permettent de définir la place qu’occupe le cynisme au XVIIIe siècle. Les auteurs des Lumières se sont réappropriés l’antique sagesse de Diogène et ont voulu concilier son impudique franchise aux exigences de la sociabilité. Ainsi, l’étude de la réception du cynisme au siècle des Lumières doit tenir compte des débats moraux de l’époque. Visant l’élaboration d’une morale matérialiste sur un fondement naturel, les Philosophes ont tâché de contourner les problèmes de l’amoralisme révélés par le constat de La Mettrie selon lequel il y a inadéquation entre bonheur et vertu. Pour ce faire, Helvétius réduit la portée des déterminismes liés à l’organisation, en soulignant l’importance des facteurs externes dans la gestion des comportements ; Diderot et D’Holbach mettent l’accent sur la sociabilité afin d’assurer l’inhérence d’un fondement moral chez l’être humain, renforçant un désaccord déjà profond entre le cynisme et les idéaux des Lumières. Or, cette approche est-elle généralisée ? Ou le cynisme des Lumières est-il sujet à des variantes selon les auteurs ? Cette thèse se propose d’étudier, par l’analyse des occurrences du cynisme dans les textes de la France des Lumières, les différentes acceptions du cynisme, pour cerner les enjeux auxquels elles s’attachent. Des textes tels qu’Aihcrappih de Godart de Beauchamps, Le Diogène décent de Prémontval, le Socrate en délire de Wieland, Le cynique moderne de Cœtlogon, Le désapprobateur de Castilhon, Le cosmopolite de Fougeret de Monbron, Le paysan perverti de Restif de la Bretonne et Arlequin Diogène de Saint-Just seront pris en considération. Ils s’ajouteront à une étude du cynisme chez Diderot, chez qui la thématique parcourt l’ensemble de l’œuvre et atteint son expression la plus achevée dans Le neveu de Rameau. Par ses doutes, Diderot trouve également sa place dans l’étude des critiques des Lumières qu’ont formulées Rousseau et Sade, chez qui l’on évalue la pertinence de l’enjeu cynique. Il ressort de cette thèse que les acceptions moderne et contemporaine du cynisme comportent des distinctions conceptuelles qui nous interdisent de les amalgamer. Notre analyse du cynisme dans le contexte français des Lumières montre que l’on est, jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, en présence d’une conception typiquement moderne du cynisme, laquelle met l’accent sur la redécouverte de l’impudeur de Diogène. Plus précisément, le cynisme se caractérise, au XVIIIe siècle, par un repli misanthrope et solitaire, lequel s’oppose à l’optimisme humaniste des Philosophes. Il est l’expression d’un rejet de la sociabilité mise de l’avant par ces derniers, en réponse au constat de corruption de la société. S’il est possible d’y situer l’émergence d’une nouvelle conception du cynisme, c’est donc seulement dans la mesure où les débats liés à l’élaboration d’une morale matérialiste, fondée en intérêt ou en sentiment, montrent que chacun de ces fondements comportent des failles, et non parce que certains auteurs des Lumières auraient entendu par cynisme ce que nous entendons aujourd’hui. Tout se passe comme si l’homme désabusé, qui tient pour acquis l’incorrigibilité de sa nature et de la société, choisissant d’en tirer profit malgré l’immoralisme que cela comporte, avait forgé le statut de cynique postmoderne. Cela rompt avec la tradition qui, jusqu’à la fin de l’époque moderne, tient le Cynique pour une figure d’un dire vrai fondamentalement désapprobateur du genre humain. Si l’impudeur poussée dans ses derniers retranchements conduit le cynique à n’éprouver aucune honte à mentir, il poursuit en cela la devise d’altération des valeurs initiée par Diogène, mais contribue désormais au maintien d’un statu quo sur l’état de corruption de la société qu’aucun cynique, ancien ou moderne, n’aurait accepté de taire.
Now pervasive on the political scene, cynicism has been contentious from its beginnings. The scandalous way of living to which it is linked raise the issue of whether or not Diogenes and the Cynics must be considered as part of the history of philosophy. Besides, what do today’s cynical practices share with those of Diogenes? Some interprets situate the emergence of a new conception of cynicism peculiar to modernity during the Enlightenment, but few historical studies have been centered on this question. It is consequently important to return to the sources of cynicism to measure this hypothesis’ validity. Through a study of cynicism’s history and its transmission we trace the evolution of the major issues at the core of cynic movement and its posterity, and present a synthesis of its significations and their internal tensions. Many references allow us to define the place that cynicism occupies within the XVIIIth century. Philosophers have tried to reclaim Diogenes’ antique wisdom while also accommodating his shameless frankness to the requirements of sociability. The study of the reception of cynicism in the XVIIIth century french Enlightenment must therefore be seen within the scope of the moral debates of that time. Those debates aim to elaborate a materialist moral on a natural basis, trying in doing so to tackle the problem of amoralism revealed by La Mettrie’s statement of the inadequacy between happiness and virtue. To do that, Helvetius reduces the scope of natural determinisms by underlining the importance of exterior factors when managing behaviors. Diderot and D’Holbach, on their part, emphasize the notion of sociability to make sure there’s a moral sense within human nature itself; this belief reinforces an already profound disagreement between the ideals of Enlightenment and cynicism. But is this approach that widespread? Or is cynicism subject to vary according to authors? This thesis proposes, by studying the occurrences of cynicism in French Enlightenment’s texts, to give an account of its different meanings in order to identify the issues that are put forward. Therefore, texts such as Aihcrappih by Godart de Beauchamps, Le Diogène décent by Prémontval, Le Socrate en délire by Wieland, Le cynique moderne by Cœtlogon, Le désapprobateur by Castilhon, Le cosmopolite by Fougeret de Monbron, Le paysan perverti by Restif de la Bretonne, and Arlequin Diogène by Saint-Just will be taken into account, as will be cynicism in Diderot’s texts; this thematic is present in his whole work, Le neveu de Rameau being the most achieved expression of it. Exposing his doubts, Diderot also finds its place in our exposition of the Enlightenment’s critics as they have been formulated by Rousseau and Sade; we’ll also analyze the relevance of their cynical stakes. The conclusion of this thesis is that the modern and contemporary meanings of cynicism entail important conceptual distinctions that forbid us to amalgamate them. Our analysis of cynicism in French Enlightenment’s texts shows that up until the end of the XVIIIth century, we are faced with a modern conception of cynicism that rests to a considerable extent upon the rediscovery of Diogene’s immodesty. More precisely, the XVIIIth century cynicism can be characterized by a solitary and misanthropic withdrawal, which opposes the Philosophers’ humanist optimism. Cynicism is therefore a rejection of sociability, a value put forward by Philosophers in response to the general state of corruption of society. In other words, if one can locate the emergence of a new form of cynicism in the Enlightenment, it’s not that some authors understood cynicism as we do now: it is because the debates linked with the construction of a materialist conception of morality, be it be founded on interests or sentiments, show that these fundaments carry some weaknesses. It is as though the disillusioned man who takes for granted the incorrigibility of nature and society and chooses to take advantage of it despite the immorality of doing so has given birth to the postmodern cynic. This is he who breaks with a tradition which, up to the modern era, considered the cynic as the figure of a blunt truth teller, disapproving of mankind. If immodesty, driven into a corner, leads the postmodern cynic to shamelessness in lying, he in a sense pursues the motto of the alteration of values initiated by Diogenes, but now contributes to maintain the corruption of society, which no cynic, may he be ancient or modern, would have accepted to silence.
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Senécal, Nathalie. "L'intérêt d'assurance comme élément constitutif de la déclaration initiale de risque en assurance de dommages." Thèse, 2003. http://hdl.handle.net/1866/2449.

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Abstract:
La question à laquelle ce travail tente de répondre est la suivante: l'intérêt d'assurance doit-il être considéré comme un élément constitutif de la déclaration initiale du risque en assurance de dommages? Notre hypothèse de travail dans ce contexte est que l'intérêt doit être déclaré dans la mesure où il constitue un risque moral. Afin de soutenir notre argumentation, nous avons divisé notre étude en deux parties. Premièrement, nous avons examiné toutes les facettes de l'intérêt d'assurance. Tout d'abord son historique, ensuite sa définition et enfin l'interprétation qu'en ont donnée les tribunaux au fil des ans. Puis, nous avons fait de même avec la notion de déclaration initiale de risque. Plus particulièrement, nous avons examiné les conséquences d'une brèche à l'obligation de l'assuré à l'étape de la formation du contrat. Les conclusions que nous avons tirées de cette analyse sont les suivantes: 1. Il existe toujours un questionnement quant au moment précis où l'assuré doit remplir son obligation de détenir un intérêt d'assurance. L'intérêt d'assurance pourrait être examiné uniquement à l'arrivée du sinistre, alors que la déclaration initiale de risque doit être examinée au moment de la souscription de l'assurance; 2. Les différents intérêts qu'une personne peut avoir dans un bien n'influent pas directement sur le risque assurable, contrairement à la déclaration initiale qui sert justement à circonscrire le risque. Cette conclusion est par ailleurs conforme à l'historique de l'exigence de l'intérêt lui-même, quoique certains jugements affirment le contraire; 3. L'intérêt d'assurance peut être modifié en cours de contrat sans entacher la validité du contrat alors que la déclaration initiale de risque ne peut être modifiée sans encourir le risque de voir la prime d'assurance augmentée ou le risque d'assurance refusé: 4. Par contre, l'intérêt particulier qu'une personne détient dans une chose peut constituer un risque subjectif accru pour l'assureur dans certaines circonstances.
This work tries to answer one question: should the insurable interest be an element of the initial declaration of risk? Our main hypothesis is to prove that the interest must be declared when it constitutes a moral risk. To support our opinion, we divided our argument in two parts. The first one is dedicated to the insurable interest : its definition, its history and its interpretation given by the court through the years. ln the second part, we discuss the representation of risk. Particularly, we examine the consequences of a breach in the insured's obligation to divulgate ail the pertinent information to the insurer. Our conclusions are the following : 1. An interrogation still exists concerning the insured's obligation of having an insurable interest at the moment of the loss or also at the signing of the contract. Some authors consider that the insurable interest has to exist only at the loss; 2. The different interest which a person can have should not influence directly the risk, contrarily to the initial declaration which is used to identify and Iimit the risk. This conclusion is conform to the historie background of the insurable interest; 3. The insurable interest can be modify without changing the validity of the contract. On the contrary, the initial declaration of risk can not be modified without a raise in the premium or a refusaI; 4. The particular interest detained by an individual can constitute an increased subjective risk for the insurer in certain circumstances.
"Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures en vue de l'obtention du grade de maîtrise en droit (LL.M.)"
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Book chapters on the topic "Morales de l'intérêt"

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Cefaï, Daniel. "Le désintérêt pour l'intérêt : droits de l'homme et démocratie." In Histoire raisonnée de la philosophie morale et politique, 721–33. La Découverte, 2001. http://dx.doi.org/10.3917/dec.caill.2001.01.0721.

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2

Lazzeri, Christian. "Les moralistes français du xviie siècle : la suprématie de l'amour-propre et de l'intérêt." In Histoire raisonnée de la philosophie morale et politique, 294–305. La Découverte, 2001. http://dx.doi.org/10.3917/dec.caill.2001.01.0294.

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