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Monchablon, Alain. "Mouvement étudiant 1936 et mouvement étudiant 1968 : une comparaison impossible ?" Matériaux pour l'histoire de notre temps 74, no. 1 (2004): 70–73. http://dx.doi.org/10.3406/mat.2004.983.

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Lamarre, Jean. "Les relations entre les mouvements étudiants français et québécois au cours des années 1960. Non-ingérence et indifférence1." Globe 15, no. 1-2 (2013): 287–316. http://dx.doi.org/10.7202/1014636ar.

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Abstract:
Durant les années 1960, à l’instar des gouvernements français et québécois, l’Union nationale des étudiants de France (UNEF), établie en 1907, et l’Union générale des étudiants du Québec (UGEQ), créée en 1964, ont entretenu des relations institutionnelles. L’objectif de cet article est d’en préciser la nature et les effets sur l’orientation du syndicat étudiant québécois. Rappelons que la France a été longtemps perçue par les Québécois – et l’est encore pour certains – comme la référence culturelle, la mère patrie, le pays vers lequel se tourner pour obtenir secours et soutien. L’histoire et la langue communes ont permis aux deux entités, bien que séparées depuis la Conquête britannique, de tisser à partir des années 1960 des relations plus étroites, notamment en matière de culture et d’éducation. Dans le tourbillon étudiant des années 1960, l’UNEF a-t-elle joué le rôle de « grand frère », de modèle pour l’UGEQ ; a-t-elle, par son discours et sa pratique, influencé l’UGEQ ou l’organisation étudiante québécoise ; ou a-t-elle plutôt mené sa contestation de manière autonome ? Pour parvenir à jeter un peu de lumière sur cet aspect méconnu du mouvement étudiant international, nous allons faire état de l’évolution des deux organisations étudiantes, identifier les points de rencontre, les moments de contacts, et analyser leur nature et leur portée afin d’évaluer dans quelle mesure ces relations ont pu ou non influencer leurs parcours respectifs sur le plan du discours et de la pratique. L’UGEQ s’est rapidement positionnée sur la scène internationale afin d’obtenir la crédibilité qu’elle souhaitait. L’union québécoise s’est largement inspirée de l’UNEF en développant sa position internationale et a cherché sans succès un appui tangible de l’UNEF.
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Diamond, Andrew, and Caroline Rolland-Diamond. "Au-delà du Vietnam : Chicago 1968 et l'autre mouvement étudiant-lycéen." Histoire@Politique 6, no. 3 (2008): 6. http://dx.doi.org/10.3917/hp.006.0006.

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Strippoli, Giulia. "Le PCF et le PCI face au mouvement étudiant de 1968." Cahiers d’histoire. Revue d’histoire critique, no. 112-113 (July 1, 2010): 99–112. http://dx.doi.org/10.4000/chrhc.2181.

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Fournier, Marcel. "Mai 1968 et après. Mouvement étudiant et sciences sociales au Québec." Bulletin d'histoire politique 3, no. 1 (1994): 73. http://dx.doi.org/10.7202/1063452ar.

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6

Ridley, Simon. "Aux origines de la critique postmoderne." DESC - Direito, Economia e Sociedade Contemporânea 2, no. 2 (2020): 127–45. http://dx.doi.org/10.33389/desc.v2n2.2019.p127-145.

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Abstract:
Dans cette reconstruction de l'importance des mouvements sociaux étudiants qui a marqué les années 1967-1969, notre tentative de reformuler les termes d'une critique variée et multipolarisée de l’institutionnalisme et de l’académisme de la connaissance est combinée à une analyse des espaces constitutifs de la relation social mouvementiste (à savoir campus: Berkeley et Nanterre). L’analogie possible entre le campus en tant qu'espace de production de connaissances et les compétences «reproductives» du savoir et l’usine en tant qu’espace de production de connaissances techniques incarnées explique également la force imaginaire d'un mouvement étudiant et ouvrier capable de marquer l’imaginaire collectif mondial et sa mémoire à ce jour.
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Dreyfus-Armand, Geneviève. "D'un mouvement étudiant l'autre : la Sorbonne à la veille du 3 mai 1968." Matériaux pour l'histoire de notre temps 11, no. 1 (1988): 136–47. http://dx.doi.org/10.3406/mat.1988.403845.

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Lamarre, Jean. "Le mouvement étudiant américain et la contestation dans les années 1960. Incompatibilité et inspiration pour le mouvement étudiant québécois." Histoire sociale/Social history 46, no. 92 (2013): 397–422. http://dx.doi.org/10.1353/his.2013.0046.

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Gagnon, Lysiane. "Bref historique du mouvement étudiant au Québec (1958-1971)." Bulletin d'histoire politique 16, no. 2 (2008): 13. http://dx.doi.org/10.7202/1056135ar.

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Andrade Guevara, Víctor Manuel. "El 68 global: Revolución y contracultura." Clivajes. Revista de Ciencias Sociales, no. 10 (December 3, 2018): 1–20. http://dx.doi.org/10.25009/clivajes-rcs.v0i10.2549.

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Abstract:
Este artículo emprende un balance sobre el impacto del movimiento global de 1968 en la configuración del capitalismo contemporáneo, así como en el campo de las ciencias sociales. A diferencia de quienes sostienen que el movimiento cívico-estudiantil y la contracultura que le acompañó no tuvieron un impacto significativo en el ámbito político, aquí se afirma que la contracultura y los breves, pero intensos, momentos de experimentación de otras formas de participación política y de convivencia, junto con los valores contraculturales que le acompañaron, tuvieron una repercusión política, más allá de los modos de participación posibles en la democracia representativa. Palabras clave: Movimiento estudiantil, Revolución, Contracultura The global ‘68’: Revolution and countercultureSummaryThis article undertakes an assessment of the impact of the global movement of 1968 on the configuration of contemporary capitalism, as well as in the field of social sciences. Unlike those who argue that the civic-student movement and the counterculture that accompanied it did not have a significant impact in the political sphere, here it is affirmed that the counterculture and the brief, but intense, moments of experimentation of other forms of political participation and of coexistence, along with the countercultural values that accompanied it, had a political repercussion, beyond the possible participation modes in representative democracy.Keywords: Student Movement, Revolution, Counterculture Le 68 global: Révolution et contrecultureRésuméCet article entreprend une balance de l’impact du mouvement global du 68 dans la configuration du capitalisme contemporain ainsi que dans le champ des sciences sociales. À différence de ceux qui soutiennent que le mouvement civique-étudiant et la contreculture qui l’a accompagnée n’ont pas eu d’impact significatif dans l’ambiance politique, ici, on affirme que la contreculture et les brefs mais intenses moments d’expérimentation, d’autres formes de participation politique et de coexistence avec les valeurs contra-culturelles qui l’ont accompagnées, ont eu une répercussion politique au-delà des formes de participation possibles dans la démocratie représentative.Mots clés: Mouvement étudiant, Révolution, Contreculture.
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Coumel, Laurent. "Le corporatisme étudiant, matrice du mouvement écologiste russe (1960-2015)." Le Mouvement Social 260, no. 3 (2017): 111. http://dx.doi.org/10.3917/lms.260.0111.

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Gobille, Boris. "Politiques de l’écriture et régimes du collectif dans les avant-gardes littéraires en mai-juin 1968." Études françaises 54, no. 1 (2018): 13–36. http://dx.doi.org/10.7202/1042864ar.

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Abstract:
Cet article explore l’impact de Mai-Juin 68 sur les avant-gardes littéraires françaises. La contestation paraît conforter les écrivains d’avant-garde dans leurs aspirations révolutionnaires. Mais elle les défie tout autant. Ils se doivent de descendre dans l’arène et de former des collectifs. Les politiques de la littérature avant-gardistes, du moins celles qui font reposer la révolution sociale sur une révolution dans le langage armée par le savoir théorique le plus avancé, sont contestées par la prise de parole généralisée, égalitaire, anonyme et profane. Comment les avant-gardes affrontent-elles ce défi ? Trois positions sont examinées. Tel Quel, hostile au mouvement étudiant, intervient comme groupe déjà constitué et réaffirme la coupure entre théoriciens spécialisés et profanes spontanéistes. À l’inverse, le Comité d’action étudiants-écrivains, formé le 18 mai 1968 dans la Sorbonne occupée, s’aligne sur la matrice symbolique de Mai, prône la fusion dans le mouvement révolutionnaire et la rupture avec les privilèges de l’écrivain, et bâtit un « communisme d’écriture » fondé sur l’anonymat et l’impersonnalité. Enfin, l’Union des écrivains, née elle aussi durant les événements, conteste « l’ordre littéraire établi » et interroge les rapports entre l’écriture littéraire et « l’écriture généralisée » de Mai. Elle construit en outre une action collective de type syndical qui, parce qu’elle pose que l’écrivain est un « travailleur » dont il faut empêcher la « mort sociale », rompt avec les mythologies littéraires présentant l’auteur comme un créateur éthéré et solitaire. Le régime de communauté politique propre à Mai-Juin 68 télescope donc le régime de singularité littéraire et contraint les avant-gardes à repenser à la fois leurs politiques de l’écriture et leurs conceptions du collectif. Cet article, qui souhaite contribuer à l’étude des rapports entre champ littéraire et événement critique, interroge enfin ce qu’il advient de ces remaniements dans l’immédiat après-Mai.
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Béland, François. "L'Anti-Congrès." Articles 13, no. 3 (2005): 381–97. http://dx.doi.org/10.7202/055589ar.

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Abstract:
Souvenons-nous des étudiants de 1968. Dès janvier, ils ébranlent les fondements des organisations syndicales qui les représentent et des administrations scolaires ou universitaires qui gèrent leurs artivités académiques. Les nouvelles revendications s'expriment hors des cadres traditionnels : l'A.G.E.U.M. est exclue de la grève des étudiants de la Faculté des sciences sociales de l'Université de Montréal. Les revendications des « nouveaux » étudiants sont inconnues des « anciens » militants syndicaux : méthodes pédagogiques libertaires, refus de toute hiérarchie universitaire ou scolaire et responsabilité de l'étudiant envers le savoir qu'on lui enseigne. Pendant l'été, les associations étudiantes collégiales et universitaires engagent des animateurs syndicaux étudiants. L'U.G.E.Q. abandonne le rôle d'encadrement idéologique et organisationnel que lui avaient légué ses fondateurs. Elle refuse toute mission représentative, elle s'en remet au « milieu » étudiant, lieu de spontanéité et de créativité culturelle et politique, tandis que les plus militants de ses membres font un « tour du Québec », rencontrent les permanents syndicaux étudiants et les leaders locaux des institutions d'enseignement. Un cahier de revendications et un nouveau mode d'action revendicative émergent lors d'une session d'étude organisée par l'U.G.E.Q. : la semaine syndicale d'août. Militants, animateurs, leaders locaux sont présents à cette véritable préfiguration d'octobre, réunion d'un combat nouveau, comme le congrès de février 1969 allait en marquer la fin apocalyptique. Éclatent les événements d'octobre (1968). Logique, l'U.G.E.Q. informe, prête assistance technique, mais ne dirige pas. Les centres d'action sont les unités locales, plus ou moins militantes, qui se transforment en communautés libertaires révolutionnaires. L'unité du mouvement est donnée par quelques revendications, par l'intention libertaire commune et par les expressions idéologiques raffinées de leaders locaux dont l'audience s'élargit grâce aux média d'information. Après les événements d'octobre, les directions des cégeps prennent les mesures disciplinaires que l'on sait : exclusion de leaders, interdiction d'assemblées, renvoi d'étudiants, suspension de professeurs, saisies de journaux étudiants, contrôle des présences étrangères sur les campus, etc. L'U.G.E.Q. se révèle impuissante à organiser la résistance des étudiants et à empêcher l'application de ces mesures. En fait, ce n'est déjà plus son rôle : coordonner, informer n'est pas organiser. Donc, contestée de l'intérieur, incapable de réagir aux actions les plus vexatoires des administrations scolaires, asphyxiée par une grave crise financière, l'U.G.E.Q. disparaît en juin 1969 de l'horizon politique et syndical du Québec à la suite d'un congrès en parfaite continuité historique avec les événements qui l'avaient précédé depuis presque un an et demi. Il nous semble en effet que le congrès de février 1969 doit se comprendre comme la dernière manifestation d'un cycle commencé en janvier 1968. Le syndicalisme étudiant que le Québec avait connu pendant la révolution tranquille, disparaît avec la conjoncture politique qui avait favorisé ce mode d'organisation. Des revendications nouvelles, des actions nouvelles, le fractionnement des organisations syndicales en groupuscules politiques ne sont pas des événements indépendants les uns des autres, ils se présenteront en une même et courte période historique, contemporaine d'événements similaires en d'autres pays. Ce sera une période d'interrogation radicale de la pensée occidentale, du capitalisme qui la soutient, de la techno-structure qui en profite, du contenu de l'enseignement, de la hiérarchie des savoirs, des titres universitaires qui la cristallisent ; cette interrogation est pourtant inconditionnellement liée à chacune des formations sociales dont elle manifeste les contradictions. Le congrès de février reprend l'ensemble des débats, questions et affrontements caractéristiques de cette période troublée. Les groupuscules, survivants de la dislocation des organisations syndicales, le domineront. Tellement que ce qui demeure de syndicats étudiants verront leurs représentants s'organiser spontanément en groupuscules à l'intérieur du congrès même. Le congrès est le lieu de leur rencontre ultime. C'est d'eux qu'il sera question ici,) des thèmes de leur discours, homonymiques de par leur condition commune d'étudiant ; à la fois opposition à la « rigidité de l'intelligence contemporaine », exorcisme de la parole et copie fidèle de l'académisme.
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Hamel, Thérèse, and Pierre Bélanger. "Le mouvement étudiant québécois: son passé, ses revendications et ses luttes, (1960-1983)." Labour / Le Travail 24 (1989): 284. http://dx.doi.org/10.2307/25143269.

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Mills, Sean, and Christian Bérubé. "Québécoises deboutte! Le Front de libération des femmes du Québec, le Centre des femmes et le nationalisme." Mens 4, no. 2 (2014): 183–210. http://dx.doi.org/10.7202/1024596ar.

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Abstract:
La fin des années 1960 a vu la naissance du mouvement de libération des femmes au Québec. En étudiant le Front de libération des femmes (FLF) et son successeur, le Centre des femmes, nous tenterons d’expliquer les paradigmes idéologiques changeants qui ont façonné la pensée politique des deux groupes. Le FLF et, à ses débuts, le Centre des femmes avaient pour rhétorique le discours de la « libération totale », croyant que l’émancipation des femmes était inextricablement liée à l’objectif de créer un Québec indépendant et socialiste. Cependant, au milieu des années 1970, le Centre des femmes en est venu à abandonner le nationalisme québécois et a commencé à voir dans l’émancipation de la classe ouvrière la condition nécessaire à la libération des femmes. Nous allons tenter de démontrer que le changement s’est produit en raison de la nature changeante du mouvement nationaliste comme du mouvement féministe. Alors que les femmes acquéraient de l’expérience dans l’action politique indépendante, le Parti québécois devenait de plus en plus influent au sein du mouvement nationaliste, et la valorisation de la famille nucléaire qu’on lui attribuait troublait profondément le FLF. Quand le débat sur le financement public de l’avortement est devenu fondamental pour le Centre des femmes, celui-ci a commencé à voir dans le nationalisme québécois un obstacle plutôt qu’un véhicule de la libération. Le Centre s’est dissocié du nationalisme, à l’instar d’une partie de la gauche du Québec, dans l’espoir de former un mouvement prolétaire.
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Belliveau, Joel. "Le mouvement étudiant québécois des années 1960 et ses relations avec le mouvement international. La dynamique Québec – Canada – États-Unis – France." Canadian Historical Review 100, no. 1 (2019): 123–25. http://dx.doi.org/10.3138/chr.100.1.br14.

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Theurillat-Cloutier, Arnaud. "Lamarre, Jean, Le mouvement étudiant québécois des années 1960 et ses relations avec le mouvement international (Québec, Septentrion, 2017), 178 p." Revue d'histoire de l'Amérique française 72, no. 3 (2019): 112. http://dx.doi.org/10.7202/1059988ar.

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Poitras, Daniel. "Mettre en scène l’exclusion de l’histoire. Les femmes à l’université et le concours Miss Quartier latin (1950-1963)." Revue d’histoire de l’Amérique française 72, no. 3 (2019): 41–71. http://dx.doi.org/10.7202/1059980ar.

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Abstract:
De 1950 à 1963, un concours annuel particulier, le « Miss Quartier Latin », a eu lieu à l’Université de Montréal. L’objectif était d’élire l’étudiante idéale, celle qui allait représenter tout le campus et surtout, y répandre la bonne humeur. Je fais l’hypothèse que le concours, beaucoup plus qu’une activité frivole, mettait en fait en scène, à coup de représentations matérielles et de discours normatifs, l’exclusion des femmes de l’histoire. À l’Université, les étudiantes étaient maintenues dans un régime temporel différent, caractérisé par l’éternel féminin, ce qui autorisait leurs compagnons à les disqualifier comme agents historiques. Les étudiantes utilisèrent le concours pour répliquer, notamment en subvertissant les discours tenus sur elles. Elles ont ainsi réussi à créer des brèches dans les discours normatifs sur leur nature et à mettre en valeur les processus (ceux du développement personnel, ceux de l’histoire) qui ébranlaient le plafond de verre universitaire et ouvraient leur horizon d’attente. Mais ces efforts, s’ils ont éveillé des consciences, ébréché certains postulats sexistes et renversé momentanément les rôles, ont très peu retenus l’attention des historien.ne.s du mouvement étudiant, qui se sont pour la plupart concentré.e.s sur les leaders masculins et sur l’éthos volontariste et émancipateur qu’ils promouvaient. Ceci nous invite à réfléchir sur ces enchaînements qui ont fait des exclusions d’hier des angles morts aujourd’hui.
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Poitras, Daniel. "Jean Lamarre, Le mouvement étudiant québécois des années 1960 et ses relations avec le mouvement international, Québec, Éditions du Septentrion, 2017, 178 p." Recherches sociographiques 59, no. 3 (2018): 486. http://dx.doi.org/10.7202/1058729ar.

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Lamarre, Jean, Gabriel Nadeau-Dubois, Jacques Portes, Jean-Philippe Warren, and Bernard Pudal. "L’avant-gardisme du Printemps 2012 au Québec : continuité ou rupture avec le mouvement étudiant des années 1960 ?" Bulletin d'histoire politique 23, no. 1 (2014): 161. http://dx.doi.org/10.7202/1026508ar.

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Blum, Françoise, Jean-Philippe Legois, and Anne-Catherine Marin. "Archives, événements et « Commune étudiante » : prolonger et valoriser plusieurs collectes immédiates du mouvement social de mai-juillet 1968." La Gazette des archives 221, no. 1 (2011): 123–40. http://dx.doi.org/10.3406/gazar.2011.4780.

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Laaroussi, Jaouad. "Theurillat-Cloutier, Arnaud, Printemps de force. Une histoire engagée du mouvement étudiant au Québec (1958-2013) (Montréal, Lux Éditeur, 2017), 496 p." Revue d'histoire de l'Amérique française 71, no. 3-4 (2018): 199. http://dx.doi.org/10.7202/1048532ar.

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Ménard, Olivier. "L’implication du clergé et du laïcat dans les ciné-clubs étudiants au Québec, 1949-1970." Articles 73 (December 9, 2011): 61–75. http://dx.doi.org/10.7202/1006567ar.

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Abstract:
L’article insiste tout particulièrement sur l’implication du clergé et du laïcat dans l’histoire du mouvement des ciné-clubs étudiants au Québec durant les décennies 1950 et 1960. Issus des mouvements d’Action catholique, les ciné-clubs étudiants se sont développés, à l’intérieur de la structure ecclésiale, dans le but de répondre aux problèmes de manque de culture, de préparation déficiente et de sens critique insuffisamment aiguisé en matière de cinéma. L’évolution des ciné-clubs reflète les différentes préoccupations du clergé et du laïcat à l’égard de l’éducation cinématographique au Québec. La présente analyse des rapports entre les clercs et les laïcs, au sein de ces organisations, permet même d’entrevoir le bouillonnement d’idées qui a alors annoncé les profondes transformations qu’allait connaître la société québécoise à partir des années 1960.
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Macfarlane, Julie. "Bringing the Clinic into the 21st Century." Windsor Yearbook of Access to Justice 27, no. 1 (2009): 36. http://dx.doi.org/10.22329/wyaj.v27i1.4562.

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Abstract:
Emerging in the 1960’s, the clinical legal education movement promoted an important dual mission – the training of law students in practical client advocacy and the service of under and un-served communities. These laudable goals spawned a movement of great significance for legal education. At its peak the clinical movement can point to hundreds of clinics in law schools across the world, specially appointed clinical faculty, a law review and the development of a voluminous literature on clinical teaching methodology. However in the last 10 years student interest, funding and scholarly attention to the legal clinics has faded. This article argues that this is in part due to the mission and ideology of the law school clinics remaining “stuck” in a conception of social justice lawyering that is heavily dependent on rights-based strategies and traditional, hierarchical conceptions of the lawyer/client relationship. While reflecting the same stasis that affects the wider law school curriculum, this disconnect from the needs of contemporary clients as well as an increasingly pluralist model of legal services has unique implications for the legal clinics.Faisant son apparition dans les années ’60, le mouvement d’éducation juridique en clinique promouvait une double mission importante – la formation d’étudiants et d’étudiantes en droit à la pratique de défense de clients et le service aux communautés non ou mal desservies. Ces objectifs louables ont donné naissance à un mouvement de grande importance pour l’éducation juridique. À son apogée, le mouvement clinique peut se vanter de centaines de cliniques au sein de facultés de droit à travers le monde, de la nomination spéciale de professeurs cliniques, d’une revue de droit, et du développement d’une littérature volumineuse sur la méthodologie de l’enseignement en clinique. Toutefois, au cours des dix dernières années, l’intérêt étudiant, le financement et l’attention savante envers les cliniques juridiques se sont affaiblis. Cet article soutient que ceci est dû en partie au fait que la mission et l’idéologie des cliniques des facultés de droit demeurent «prises» dans une conception de la pratique du droit en vue de la justice sociale qui dépend en grande partie sur des stratégies fondées sur les droits de la personne et sur des conceptions traditionnelles hiérarchiques de la relation avocatclient. Tout en reflétant le même état statique qui affecte le programme des facultés de droit en général, cette déconnexion des besoins de clients contemporains ainsi qu’un modèle de services juridiques de plus en plus pluraliste a des implications uniques pour les cliniques juridiques.
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Maron, Fabienne. "Le mouvement étudiant." Courrier hebdomadaire du CRISP 1510-1511, no. 5 (1996): 1. http://dx.doi.org/10.3917/cris.1510.0001.

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Martin, Éric. "Le printemps contre l’hégémonie." Recherche 54, no. 3 (2013): 419–50. http://dx.doi.org/10.7202/1020999ar.

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Abstract:
À partir d’entrevues avec des protagonistes du mouvement étudiant, ce texte cherche à identifier les conditions qui ont permis l’émergence d’un mouvement étudiant et populaire d’une ampleur sans précédent lors du printemps 2012. L’émergence d’un pôle étudiant organisé autour du syndicalisme de combat et de la démocratie directe est identifié comme l’un des facteurs importants de consolidation et de persistance du mouvement. Dans un deuxième temps, les revendications en faveur du changement social portées par ce mouvement sont resituées dans le contexte de l’impasse ou du « blocage institutionnel » qui caractérise la société québécoise sous l’empire du néolibéralisme, et qui a pour effet de neutraliser les tentatives d’objectiver de nouvelles formes institutionnelles traversées par des finalités de justice sociale.
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Cohen, Yolande. "Mai 68 : le mouvement étudiant comme mouvement de génération ?" L Homme et la société 111, no. 1 (1994): 119–36. http://dx.doi.org/10.3406/homso.1994.3375.

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Roberts, George. "Étudiants Africains en Mouvements: contribution à une histoire des années 1968." Social History 43, no. 2 (2018): 289–90. http://dx.doi.org/10.1080/03071022.2018.1425257.

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Adorno, Theodor W., and Aurélia Peyrical. "Adorno et le mouvement étudiant en Allemagne." Les Temps Modernes 699, no. 3 (2018): 25. http://dx.doi.org/10.3917/ltm.699.0025.

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Beaudet, Pierre. "Mouvement étudiant et luttes populaires au Québec." Revue internationale et stratégique 93, no. 1 (2014): 101. http://dx.doi.org/10.3917/ris.093.0101.

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Derriennic, Jean-Pierre. "Jean-Pierre DERRIENNIC, Le mouvement étudiant au Québec." Commentaire Numéro 139, no. 3 (2012): 875–76. http://dx.doi.org/10.3917/comm.139.0875.

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Jean, Mathieu. "L’autopsie d’une crise de légitimité." Les Cahiers de droit 55, no. 2 (2014): 417–42. http://dx.doi.org/10.7202/1025755ar.

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Abstract:
Si l’affrontement entre le mouvement étudiant et le gouvernement libéral du Québec a pris une forme exacerbée au printemps 2012, c’est parce que l’ordre juridique incarné par le mouvement étudiant était en mesure d’opposer au gouvernement, qui tentait de le supprimer, une contre-légitimité puisée dans la démocratie directe ainsi que dans des pratiques réflexives et contre-hégémoniques. Le choc entre ces deux ordres juridiques a conduit à une crise de légitimité qui n’a finalement été résolue que par le ressourcement de la légitimité de l’État à travers le processus électoral. Ce type de sortie de crise a permis à l’État d’opposer sa prétention à l’universalité à un mouvement social fondé avant tout sur une rationalité communicationnelle intersubjective et qui laissait présager la recomposition d’un sujet politique oppositionnel.
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Bélanger, Paul R., and Louis Maheu. "Pratique politique étudiante au Québec." Articles 13, no. 3 (2005): 309–42. http://dx.doi.org/10.7202/055586ar.

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Abstract:
La mobilisation politique des populations étudiantes n'est pas en soi un phénomène vraiment contemporain. Certaines études ont déjà établi que des groupes étudiants ont participé à des mouvements politiques à diverses époques de l'histoire. Par contre, la pratique politique étudiante, ces dernières années, s'est amplifiée en même temps qu'elle se caractérisait par des traits plus spécifiques et particuliers à cette population. Aussi a-t-on vu croître, en sociologie, un intérêt nouveau pour l'analyse de ces phénomènes. Les études consacrées à ce sujet se multiplient de même que les schémas d'analyse se diversifient. Pour l'étude de la pratique politique étudiante québécoise contemporaine, nous avons, pour notre part, opté pour une grille d'analyse qui n'enferme pas l'étudiant, comme agent politique, dans le système d'enseignement supérieur. Sa mobilisation politique ne nous semble pas, au premier chef, être fonction de sous-cultures étudiantes plus ou moins contestataires et typiques des milieux universitaires ou des seules difficultés de fonctionnement des systèmes universitaires. Encore moins sommes-nous portés à penser que la marginalité sociale de la jeunesse étudiante est un facteur déterminant de politisation : « camper hors de la nation » ou de la société n'est pas de nature à susciter la mobilisation politique. Au contraire, notre analyse ne produit une définition de l'étudiant comme agent politique qu'au moyen de déterminations structurelles qui conditionnent, provoquent et organisent la pratique politique étudiante qui vise elle-même à modifier le cadre sociétal où elle émerge. Au nombre des principales caractéristiques de la période des années '60 dans l'histoire du Québec, il nous faut retenir la politisation des problèmes de fonctionnement de l'appareil scolaire québécois : les rapports entretenus par cet appareil avec d'autres structures de la société, le système de production économique par exemple, devenaient l'enjeu de luttes et de rapports politiques. L'État et les diverses couches sociales qui appuyaient ses politiques d'intervention auprès de l'appareil scolaire rencontraient l'hostilité et l'opposition plus ou moins soutenues d'autres couches sociales qui appréciaient différemment les politiques de l'État en ce domaine. Avec l'adoption du bill 60 qui créait, en 1963, le Ministère de l'éducation du Québec, le parti au pouvoir imposa une restructuration de l'appareil scolaire qui impliquait une responsabilité plus nette et ferme accordée à l'État et la mise en place d'organes officiels de consultation, comme le Conseil supérieur de l'éducation, où l'Église était loin de conserver une fonction prépondérante. Le législateur devait même consulter, au moment de la formation du premier Conseil supérieur de l'éducation, de multiples associations qui n'avaient pu auparavant s'imposer comme interlocuteurs dans un secteur contrôlé par l'Église. Parmi celles-ci, notons les associations d'enseignants; les associations d'administrateurs dans le domaine scolaire; les associations de parents et parents-maîtres; les associations syndicales; et diverses associations d'affaires. Puis finalement, le législateur dut consentir, après que des représentations eurent été faites dans ce sens, à prendre aussi l'avis d'associations étudiantes et d'associations de professeurs et d'administrateurs universitaires. On a pu également observer, dans le processus de régionalisation de commissions scolaires, que même au niveau local et régional, les agents qui contrôlaient traditionnellement l'appareil scolaire pouvaient voir leur position sociale remise en cause. Bref, la politisation des problèmes d'éducation a modifié les rapports de force entre les divers groupes sociaux qui se préoccupaient des politiques d'intervention de l'État auprès de l'appareil scolaire. L'État devait aussi se lancer, au cours des années '60, dans des transformations importantes des structures académiques et du contenu des programmes d'enseignement. Ces mutations de structures et de programmes académiques visaient essentiellement à reprendre le retard que connaissait le Québec, par rapport aux principales provinces canadiennes, et notamment l'Ontario et la Colombie-Britannique, dans le développement de son appareil scolaire. On attribuait à ce retard les problèmes de développement économique du Québec qui se manifestaient par un revenu moyen inférieur à celui des provinces canadiennes riches et par une productivité industrielle, en général, plus faible. La main-d’œuvre québécoise ne présentait pas des standards de qualification très élevés, ni des niveaux d'instruction jugés satisfaisants. Aussi, l'intervention de l'État auprès de l'appareil scolaire québécois avait-elle un sens bien précis : elle concernait la préparation et la modernisation d'une main-d’œuvre professionnelle au moyen de transformations apportées aux structures et au contenu de l'enseignement. Afin d'assurer une plus grande adaptation de l'appareil scolaire aux exigences de développement de la société, l'État misait essentiellement sur le « capital humain » et le perfectionnement des « ressources humaines » comme facteur de production. Ainsi cette intervention s'est accompagnée d'une augmentation considérable des investissements en éducation. Les dépenses totales d'enseignement au Québec qui étaient, à la fin des années '50, de l'ordre de $300,000,000, passaient en 1963 à $719,319,000 ; elles ont donc plus que doublé sur une période de cinq ans. Les dépenses du Ministère de l'éducation sont passées de près de $200,000,000 en 1960-61 à près de $710,000,000 en 1967-68, puis à $1,100,114,000 en 1970-71 ; sur une période de dix ans, ces dépenses ont été multipliées à peu près par dix. Ces hausses représentent des taux d'augmentation annuelle qui sont légèrement supérieurs à l'augmentation annuelle des dépenses du gouvernement du Québec; ainsi, la proportion du budget total consacrée à l'enseignement est passée de 23% en 1959 à 32% en 1964, puis à 34.7% en 1969. Il faut encore souligner que cette intervention de l'État auprès de l'appareil scolaire s'est accompagné d'un discours idéologique de circonstance. L'État, au moyen de slogans tels « Qui s'instruit s'enrichit », devait expliquer à la population combien l'éducation était le moyen par excellence de la promotion collective de la communauté canadienne-française. Le Québec était invité à joindre les sociétés industrielles avancées qui valorisaient, comme politique de croissance et de progrès, le développement et le perfectionnement continus des «ressources humaines».
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Lemaitre, María José, and Raúl Atria Benaprés. "Chili : Le mouvement étudiant, symptôme d’un problème de fond1." Revue internationale d'éducation de Sèvres, no. 59 (April 1, 2012): 16–18. http://dx.doi.org/10.4000/ries.2241.

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Cohen, Yolande. "Tensions et dissensions autour de l'autonomie du mouvement étudiant." Matériaux pour l histoire de notre temps N° 86, no. 2 (2007): 48. http://dx.doi.org/10.3917/mate.086.0006.

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Müller, Angélica. "Le mouvement étudiant au Brésil : résonances françaises et spécificités." Matériaux pour l histoire de notre temps N° 94, no. 2 (2009): 78. http://dx.doi.org/10.3917/mate.094.0012.

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Strippoli, Giulia. "Portugal : un mouvement étudiant dans un contexte de dictature." Matériaux pour l histoire de notre temps N° 127-128, no. 1 (2018): 30. http://dx.doi.org/10.3917/mate.127.0030.

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Viau, Yanic, and Mathieu Denis. "Mouvement étudiant québécois: à la recherche des «années glorieuses»." Bulletin d'histoire politique 6, no. 2 (1998): 135. http://dx.doi.org/10.7202/1063656ar.

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Jakobi, Jacques-Marie. "La psychologie sociale dans le mouvement étudiant en France." Canadian Psychology/Psychologie canadienne 33, no. 3 (1992): 629–33. http://dx.doi.org/10.1037/h0078798.

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de Bruyn, Jac. "Naissance d’un mouvement de base en Flandre." Éducation populaire, culture et pouvoir, no. 2 (January 29, 2016): 19–23. http://dx.doi.org/10.7202/1034845ar.

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Abstract:
Les origines des Wereldscholen (Écoles mondiales) remontent à la décision de groupes de militants du mouvement ouvrier, du mouvement étudiant et du mouvement Tiers-monde, à la fin des années ’60, de partager leurs expériences et de rechercher les possibilités de susciter une nouvelle conscience critique. Wereldscholen a débuté comme une alternative d’école. Des groupes sont constitués qui se réunissent régulièrement dans des cycles de formation. Il s’agit d’un travail de conscientisation à partir des problèmes concrets de l’environnement, de l’école, des immigrés, des vieillards, des jeunes, de la reconversion économique, de l’exploitation du Tiers-monde. Le mouvement se définit comme mouvement politique. Il est doté d’un journal et organise de nombreuses sessions de formation.
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Lamarre, Jean. "Les relations entre les mouvements étudiants américain et français dans les années 1960." Vingtième Siècle. Revue d'histoire 129, no. 1 (2016): 123. http://dx.doi.org/10.3917/ving.129.0123.

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Di Méo, Marion. "Contester en situation post-autoritaire : le « mouvement étudiant » chilien (années 2000)." Cahiers des Amériques latines, no. 87 (September 1, 2018): 143–60. http://dx.doi.org/10.4000/cal.8586.

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Lempérière-Roussin, Annick. "Le mouvement de 1968 au Mexique." Vingtième Siècle, revue d'histoire 23, no. 1 (1989): 71–82. http://dx.doi.org/10.3406/xxs.1989.2836.

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Lemperiere-Roussin, Annick. "Le mouvement de 1968 au Mexique." Vingtième Siècle. Revue d'histoire, no. 23 (July 1989): 71. http://dx.doi.org/10.2307/3769874.

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Dixon, Keith. "Le mouvement social britannique en 1968." Savoir/Agir 6, no. 4 (2008): 77. http://dx.doi.org/10.3917/sava.006.0077.

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Dufour, Pascale, and Louis-Philippe Savoie. "Quand les mouvements sociaux changent le politique. Le cas du mouvement étudiant de 2012 au Québec." Canadian Journal of Political Science 47, no. 3 (2014): 475–502. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423914000870.

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Abstract:
RésuméÀ travers l'analyse du conflit étudiant du printemps 2012 au Québec, nous montrons comment les mouvements sociaux peuvent changer, temporairement, le politique. Le politique est entendu ici comme l'ensemble des règles et pratiques individuelles et collectives qui régissent les relations entre les acteurs à propos du gouvernement de la communauté. Plus précisément, nous montrons que le mouvement de contestation a transformé le politique de trois manières. Premièrement, les six mois du conflit étudiant ont créé un nouveau clivage autour duquel la vie politique s'est réorganisée. Deuxièmement, les acteurs partisans et les associations étudiantes ont modifié leurs pratiques et actions quotidiennes, redéfinissant leur mode de relations et leur politique d'alliance. Troisièmement, l'expérience prolongée de la mobilisation a changé le rapport au politique pour les individus mobilisés en bousculant les articulations usuelles entre l'usage de la politique institutionnelle et celui de la politique protestataire.
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Melchior, Hugo. "De jeunes militants révolutionnaires à l’épreuve d’un mouvement étudiant et lycéen « apolitique »." Vingtième Siècle. Revue d'histoire 134, no. 2 (2017): 115. http://dx.doi.org/10.3917/ving.134.0115.

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Klauda, Florence. "« Rechts ist sexy – und links war gestern! »Slogan d’un mouvement étudiant démocratique ?" Austriaca, no. 90 (June 1, 2020): 231–38. http://dx.doi.org/10.4000/austriaca.1495.

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Rolland-Diamond, Caroline. "Être étudiant et conservateur dans les années 1968 en Californie." Matériaux pour l histoire de notre temps N° 127-128, no. 1 (2018): 16. http://dx.doi.org/10.3917/mate.127.0016.

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Monchablon, Alain. "Le mouvement étudiant et sa mémoire : l'UNEF après 1945, entre tradition et oubli." L Homme et la société 111, no. 1 (1994): 113–17. http://dx.doi.org/10.3406/homso.1994.3374.

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