Academic literature on the topic 'Mouvement ouvrier – Aspect social – Québec (Province)'

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Dissertations / Theses on the topic "Mouvement ouvrier – Aspect social – Québec (Province)"

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Van, Schendel Vincent. "L'action syndicale territoriale pour l'emploi et le développement (ASTED) : la construction de l'action collective territoriale : le cas de la CSN et de la FTQ au Québec de 1980 à 2010." Doctoral thesis, Université Laval, 2014. http://hdl.handle.net/20.500.11794/25283.

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Abstract:
La thèse porte sur la construction de l’action collective et des collectifs d’action, à partir du cas de l’action syndicale territoriale pour l’emploi au Québec. Le territoire est ici considéré comme un lieu pertinent de la relation d’emploi dans lequel se discutent et tendent à se régler les questions liées à la dynamique du système d’emploi (transition entre emploi, restructuration, diversification industrielle, création d’emploi) et dans lequel interviennent également les autres dimensions du développement (aménagement du territoire, services publics, etc.) Les organisations syndicales sont de ce fait appelées à agir sur le plan de l’emploi et du développement au niveau territorial. Celui-ci apparaît comme un espace de conflit et de négociation, bien que celle-ci ne soit pas formalisée. À travers cette action, les acteurs syndicaux expérimentent de nouvelles formes d’action et poursuivent plus globalement un objectif de démocratisation de l’économie. Ces nouvelles formes et ces nouveaux terrains d’action sont appelés à se développer, ce qui pose à la fois le défi de l’arrimage avec les autres groupes régionaux et la nécessité d’un positionnement autonome des acteurs syndicaux. À travers ce processus, on assiste à un élargissement de la relation d’emploi qui se manifeste ici au plan territorial. La question posée est donc : comment se construit cette action syndicale territoriale, quel est son objet et quelles en sont les conditions de développement? La première ambition de cette thèse était de construire un cadre d’analyse unifié d’inspiration pragmatiste, opérationnalisable, unifiant la perspective institutionnaliste de John R. Commons, l’analyse du cadrage d’Erving Goffman et les travaux de John Dewey, pour comprendre la construction de l’action collective au plan territorial. De façon générale, l’action collective est définie ici, à la façon de Commons, comme l’ensemble des actions individuelles contrôlées, libérées et étendues par les règles opérantes de conduite dans une société ou un collectif. L’action collective ainsi analysée a trois composantes, fortement imbriquées : a- un collectif humain (Going concern), avec sa vie interne (transactions, langage, expériences, capacités, rituels, symboles, rôles, etc.), sa mise en scène de l’action et son public, b- des institutions (règles, coutumes, temporalité et spatialité) et c- un cadrage de l’action (valeurs, vision, définition de situation, perspectives, évaluation, légitimité). L’action collective ainsi construite s’accompagne d’une logique d’action qui diffère selon les mondes économiques : publics, privés ou associatifs. Comprendre la construction et l’évolution de l’action collective demande dès lors d’observer et d’analyser l’ensemble de ces dimensions et les logiques d’action à l’œuvre. La deuxième ambition de cette thèse était de comprendre comment se déployait l’ASTED, et de reconstruire sa cohérence. Les règles et coutumes en vigueur, le cadrage général sont ceux qui découlent essentiellement de l’appartenance à des organisations structurées nationalement, sectoriellement, régionalement et localement. Un répertoire d’actions spécifiques a cependant été construit au fil des années. Celui-ci s’articule autour d’une dimension « politique » d’interpellation des pouvoirs publics et d’une dimension « développement », axée sur la participation à différentes instances de concertation, la gestion de fonds de développement et une implication – limitée – dans le développement de l’économie sociale. Ces actions s’appuient sur des mobilisations et des alliances. L’ASTED fait face à plusieurs défis, parmi lesquels la coexistence avec d’autres actions collectives territoriales – et donc, la confrontation sur qui définit les règles, les situations ou les perspectives ; la construction de capacités d’action et l’élaboration et la diffusion d’un discours public sur les enjeux territoriaux. Notre question de recherche peut donc être formulée comme suit : L’ASTED est-elle une action collective au sens de John R. Commons? Est-elle une action collective spécifique, par rapport aux autres actions collectives syndicales? Au terme d’une discussion théorique et d’un terrain de recherche en trois volets, nous répondons par l’affirmative à cette question. Nous avons effectué cette recherche sous le mode collaboratif. Les organisations syndicales CSN et FTQ, de même que le Fonds de solidarité et le Fondaction, ont été associés à la définition et à la réalisation du projet. Cette collaboration a permis de construire ensemble le problème de façon à répondre en même temps aux besoins d’action sur le terrain et aux objectifs de compréhension scientifique. Elle s’est réalisée en grande partie sous la forme d’une recherche-action-formation, accompagnant les organisations syndicales dans leurs tournées de formation à travers le Québec.
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Cardin, Martine. "Archivistique : information, organisation, mémoire ; l'exemple du Mouvement coopératif Desjardins, 1900-1990." Doctoral thesis, Université Laval, 1992. http://hdl.handle.net/20.500.11794/29271.

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Massé, Bruno. "L'écologie radicale au Québec : pratiques et représentations sociospatiales des groupes écologistes radicaux, de 2001 à 2007." Mémoire, 2008. http://www.archipel.uqam.ca/1001/1/M10323.pdf.

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Abstract:
Depuis le Sommet des Amériques de Québec en 2001, un mouvement d'écologie radicale a émergé dans la province. Entre 2001 et 2007, quatorze groupes écologistes radicaux ont vu le jour. Dix des quatorze groupes ont participé à l'étude. Pour chacun de ces dix groupes, un répondant a été interviewé. Cette étude est la première au Québec à se pencher sur le sujet. Ces groupes, organisés de façon décentralisée, non hiérarchique et autonome, perçoivent le rapport entre la société et la nature comme étant problématique. Leur radicalisme se veut une tentative d'aller aux racines (causes) du problème et de se rapprocher d'un mode de vie égalitaire, tant écologique que social. Le mouvement est fortement influencé par la pensée libertaire. Ces groupes lient la lutte pour l'environnement à celles contre les inégalités sociales et la domination, s'opposant à l'État, au capitalisme et à l'anthropocentrisme. En pratiquant l'action directe, la réappropriation de lieux et l'éducation, les groupes visent à acquérir une plus grande autonomie, à devenir autosuffisants et à subvertir les bases du système dominant. Leurs enjeux sont multiples, mais les groupes se concentrent sur les thématiques de l'alimentation, la cruauté faite aux animaux et la coupe forestière. Chacune de leurs pratiques est considérée comme outil d'une lutte sociale plus large. En étudiant leurs discours, stratégies et pratiques il apparaît évident que les écologistes radicaux sont en quête de cohérence, ils en sont cependant conscients et démontrent une praxis complète ou en voie de complétion. Le mouvement écologiste radical du Québec tente de passer de la résistance symbolique à la transgression ouverte. Cependant, la répression (structurelle et policière) dont ils sont vIctimes les contraint à modifier leurs stratégies et pratiques. De plus, les écologistes radicaux accusent le mouvement vert, plus institutionnalisé, de ne pas remettre en question les causes réelles de la crise écologique et de marginaliser leur existence. Ils les accusent de légitimer l'État par le lobbying. Aussi, ils affirment que les organisations environnementales institutionnalisées sont généralement inefficaces et infantilisantes. Leurs pratiques et représentations sociospatiales laissent croire que les groupes écologistes radicaux priorisent deux échelles: le global et le local (avec un emphase sur le résidentiel). Ils n'ont peu ou pas d'identité territoriale, sont critiques des milieux urbains et ruraux et veulent repenser la façon d'habiter le territoire. Ils affichent une conscience géographique soutenue qui comporte l'avantage de l'expérience immédiate et sensible de l'espace construit socialement. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Écologie, Écologie radicale, Mouvement vert, Anarchisme, Radicalisme, Environnementalisme, Géographie critique, Révolution, Représentation sociospatiale.
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Gagnon-Boudreau, Brigitte. "Étude de la mobilisation entourant la question du gaz de schiste au Québec depuis 2007 : un exemple d'écocitoyenneté." Mémoire, 2013. http://www.archipel.uqam.ca/5787/1/M13129.pdf.

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Abstract:
La mobilisation contre les gaz de schiste vécue actuellement au Québec s'inscrira certainement comme un moment fort dans la longue histoire des mouvements sociaux concernant l'exploitation des ressources naturelles. Ce mouvement de contestation face à cette industrie qui s'installait graduellement dans le paysage de différentes régions sans préavis, est né de la frustration de citoyen(ne)s qui se sont regroupés, appuyés par des groupes environnementaux déjà établis. Il a bénéficié du contexte particulier du Québec, et ce aux niveaux géographique, légal, politique et social, par rapport aux autres provinces ou pays où l'industrie a tenté ou est parvenu à s'installer. Il nous apparaît particulièrement intéressant puisqu'il nous permet d'observer comment des citoyen(ne)s n'ayant pas nécessairement d'antécédents militants se sont mobilisé(e)s à travers la province pour réclamer des études plus approfondies et des consultations publiques. Il nous permet ainsi, à travers la sociologie des mouvements sociaux et, plus particulièrement les théories entourant les nouveaux mouvements sociaux, de mettre à l'épreuve le concept d'écocitoyenneté, un concept de plus en plus utilisé, mais qu'on s'est peu attardé à définir. Ce dernier nous permettra d'étudier comment l'attachement à un territoire couplé d'un souci de préservation de l'environnement peut servir de tremplin au développement d'une citoyenneté intelligente et active. Plus largement, nous verrons comment ce mouvement, s'écartant de courants plus radicaux tels que l'écologie politique, est révélateur d'une nouvelle dynamique contestataire basée sur le développement d'une intelligence citoyenne et de compétences à l'action collective et sur l'instrumentalisation des mécanismes institutionnels. Nous nous attarderons également au répertoire d'actions collectives qui nous permet d'appréhender plus pragmatiquement l'efficience de cette mobilisation. Pour ce faire, nous avons rencontré trois militants dans le cadre d'entretiens semi-dirigés et avons analysé leur discours en utilisant la méthode de la théorisation ancrée. L'étude de ce cas, présenté comme un exemple de réussite, nous permettra d'entrevoir l'avenir des mouvements sociaux visant la protection de l'environnement au Québec. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : nouveaux mouvements sociaux, écologie, environnement, gaz de schiste, écocitoyenneté, intelligence collective
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Books on the topic "Mouvement ouvrier – Aspect social – Québec (Province)"

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1958-, Girard Jean-Pierre, and Gagnon Alain 1960-, eds. Le mouvement coopératif au coeur du XXIe siècle. Presses de l'Université du Québec, 2001.

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