Academic literature on the topic 'Mouvements sociaux – Haïti'

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Journal articles on the topic "Mouvements sociaux – Haïti"

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Midy, Franklin. "Le mouvement social haïtien pour le changement : les ONG haïtiennes et l’aide canadienne." Nouvelles pratiques sociales 4, no. 1 (January 22, 2008): 65–80. http://dx.doi.org/10.7202/301117ar.

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Abstract:
Résumé L'auteur analyse la société haïtienne comme une société d'exclusion qui rejette et maintient en dehors de la respublico la majorité travailleuse paysanne. Cette société est aujourd'hui agitée par une crise radicale, dont le mouvement social pour le changement est à la fois une expression et un accélérateur. Les principales ONG haïtiennes ont été créées pour répondre en partie aux effets de la société d'exclusion et sont devenues des acteurs importants du mouvement social. Dans le contexte et sous la pression de ce mouvement, l'aide canadienne à Haïti a dû elle aussi se remettre en question et se réorienter. Elle n'a de chance, selon l'auteur, d'atteindre ses objectifs déclarés de contribuer au développement économique et au progrès de la démocratie en Haïti qu'en devenant dans l'immédiat une aide directe au développement du mouvement social pour le changement.
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McAlister, Elizabeth. "From Slave Revolt to a Blood Pact with Satan: The Evangelical Rewriting of Haitian History." Studies in Religion/Sciences Religieuses 41, no. 2 (April 25, 2012): 187–215. http://dx.doi.org/10.1177/0008429812441310.

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Abstract:
Enslaved Africans and Creoles in the French colony of Saint-Domingue are said to have gathered at a nighttime meeting at a place called Bois Caïman in what was both political rally and religious ceremony, weeks before the Haitian Revolution in 1791. The slave ceremony is known in Haitian history as a religio-political event and used frequently as a source of inspiration by nationalists, but in the 1990s, neo-evangelicals rewrote the story of the famous ceremony as a “blood pact with Satan.” This essay traces the social links and biblical logics that gave rise first to the historical record, and then to the neo-evangelical rewriting of this iconic moment. It argues that the confluence of the bicentennial of the Haitian Revolution with the political contest around President Aristide’s policies, the growth of the neo-evangelical Spiritual Mapping movement, and of the Internet, produced a new form of mythmaking, in which neo-evangelicals re-signified key symbols of the event—an oath to a divine force, blood sacrifice, a tree, and group unity—from the mythical grammar of Haitian nationalism to that of neo-evangelical Christianity. In the many ironies of this clash between the political afterlife of a slave uprising with the political afterlife of biblical scripture, Haiti becomes a nation held in captivity, and Satan becomes the colonial power who must be overthrown. Un groupe d’esclaves africains et créoles se seraient réunis une nuit à Bois Caïman, dans la colonie française de Saint-Domingue. L’évènement qui eut lieu quelques semaines avant la révolution haïtienne de 1791 fut décrit à la fois comme un rassemblement politique et une cérémonie religieuse. Cette cérémonie organisée par des esclaves constitue un évènement politico-religieux important dans l’histoire haïtienne, une source d’inspiration fréquente pour les nationalistes. Dans les années 1990, cependant, un groupe néo évangélique réécrivit l’histoire de cette fameuse cérémonie qualifiée de “pacte sanguinaire avec Satan.” L’essai retrace donc les liens sociaux et les logiques bibliques qui ont conduit les néo évangéliques à réécrire ce moment iconique. L’essai soutient que la confluence des révoltes en réaction à la politique du Président Aristide lors du bicentenaire de la révolution haïtienne ainsi que la montée du mouvement néo évangélique, Cartographie Spirituelle, et celle de l’Internet participèrent à créer de nouveaux mythes: les néo évangéliques donnèrent un sens nouveau aux symboles clés de l’évènement —un serment à une force divine, un sacrifice sanglant, un arbre et l’union du groupe— de la grammaire mythique du nationalisme haïtien à celle de la chrétienté néo évangélique. A travers les nombreuses ironies de la confrontation entre l’héritage politique d’un soulèvement d’esclaves et l’héritage politique des Saintes Ecritures, Haïti devient une nation tenue en captivité, et Satan, le pouvoir colonial qu’il faut renverser.
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Robichaud, Jean-Bernard. "Une coopération Québec-Haïti innovante en agroalimentaire : l’économie sociale et solidaire en mouvement." Canadian journal of nonprofit and social economy research 10, no. 1 (May 14, 2019). http://dx.doi.org/10.22230/cjnser.2019v10n1a309.

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Dissertations / Theses on the topic "Mouvements sociaux – Haïti"

1

Maurepas, Fritz-Lucien. "Changement social et mouvement paysan en Haïti : une plaidoirie pour l'intégration des mouvements paysans dans le champ du mouvement social." Montpellier 3, 2008. http://www.theses.fr/2008MON30047.

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Abstract:
Au départ de Duvalier en 1986, des organisations paysannes d’un type nouveau ont vu le jour en Haïti. Leur émergence apparaît à la fois comme un moyen de survie par rapport aux groupes dominés et comme une effort d’émancipation politique et sociale. Les travaux de formation et de conscientisation d’une partie de l'Église (revendiquant directement ou indirectement la théologie latino-américaine de libération) d’une part, de certains leaders politiques et d’ONG d’aide au développement d’autre part, ont contribué à cet effort. Sous l’impulsion de petits projets de développement rural appuyés par ces institutions, des OP aux objectifs et au fonctionnement très variés se sont multipliées. Mais se dessinent en même temps, au sein de la dynamique paysanne, un triangulaire ‘leaders/opportunités/alliances’ et une situation de foisonnement dans lesquels les paysans ont parfois du mal à s’y retrouver. L’analyse de leur mouvement, en terme de légitimité sociale, devient ainsi compliquée mais intéressante pour la recherche en sciences sociales et humaines. Cette étude veut apporter une contribution à l’analyse des mouvements sociaux haïtiens. Elle plaide pour la reconnaissance du mouvement paysan et son intégration dans le champ du mouvement social classique. Elle cherche à trouver des éléments d’explication et de réponse au travers d’une double ambivalence ou d’un double questionnement qui conditionne son fonctionnement : un mouvement initié et appuyé généralement par des acteurs extérieurs (Eglise, Etat, ONG), ballotté entre aide au développement et quête identitaire, peut-il arriver à modifier la vie dans des espaces ruraux en transformation ? Dans le champ analytique et interprétatif des mouvements sociaux, certaines mobilisations, parce qu’elles sont issues d’acteurs d’en bas, ont souvent un traitement de second rang. Une telle procédure n’altère-elle pas la légitimité des phénomènes sociaux en même temps qu’elle porte atteinte à la sociologie de la connaissance ?
At the end of Duvalier government in 1986, peasant organization of a new type came into exisance in Haiti. In a changing of social and political area, their emergence appears as a means of survival compared with the dominant groups and also as a struggle for a social and political emancipation. Work on profesional training and conscience awarness of a party of the church (claiming direcly or indirecly the latino-american liberation theology) on one hand, and on the other, political leaders and NGO aid for development, contribute to this effort. At the instigation of low-level rural development project supported by those institutions, opposition of the objectives and diversified functionning multiplied. But, taking shape at the same time within the peasant dynamics, a triangular “leaders/opportunities/alliances” and a situation of proliferation in which peasant sometimes get real difficult to find their way. Analysis of their movement in terms of social legitimancy has been as a result, complicated, but interesting for searchers in human and social sciences. The study hopes to contribute to the analysis of social movement in Haiti. It is pleading for the recognition for the peasant movement and its integration into the wider field of classic social movement. The study is trying to find element of explanation in a double ambivalance that determines peasant movement functionning : a movement initiated and also supported by external forces (Church, State, NGO), torn between development aids and search for identity; on the other hand, a field of classical analysis and interpretation that pushes certain collective movements into the background and gives them a treatment that alters their legitimancy. A procedure which obviously damages the sociology of knowledge and the global analysis of social movement
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Chenet, Jean-Baptiste. "Mouvements populaires et Partis politiques (1986-1996) : la restructuration manquée de l’ordre politique agonisant." Thesis, Paris 3, 2011. http://www.theses.fr/2011PA030079/document.

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Abstract:
La chute de la dictature duvaliériste, le 7 février 1986, marque un véritable tournant dans l’évolution politique du pays. La situation nouvelle qui en résulte est généralement analysée ou comprise sous l’angle de l’explication découlant du paradigme des transitions. Ce cadre d’analyse s’est révélé en tous points inadapté pour rendre compte des bouleversements enregistrés. Dès lors, la recherche d’une explication alternative vient à se poser. Cette recherche tente d’explorer cette voie. Et elle soulève un questionnement fondamental qui appréhende la crise haïtienne sous l’angle de l’épuisement de l’ordre politique imposé lors de la première occupation américaine pendant la période 1915-1934. Le défi de cette restructuration du champ politique avait sollicité davantage le rôle et l’action de deux nouveaux acteurs qui ont durablement émergé dans la vie politique du pays à partir des années quatre-vingt : les mouvements populaires et les partis politiques. L’interaction qui s’établit entre ces deux acteurs avait acquis à la fois une dimension complexe et problématique. D’une part, ils (les acteurs) n’avaient pas pu développer une claire conscience de leur rôle dans le processus de transformation politique en cours. D’autre part, il s’est établi entre les deux acteurs un radical antagonisme qui a fini par compromettre la possibilité de construction des capacités politiques nationales en vue de favoriser une évolution positive dudit processus. Le retour à la domination directe américaine, avec l’intervention militaire de 1994, consacrera l’impossibilité de trouver une issue à la crise au plan interne. Cette intervention confirmera la réalité de l’épuisement de l’ordre politique de 1934 tout en provoquant des contradictions nouvelles. Elle a notamment contribué à précipiter la suppression de l’armée, tout en procédant de manière quasi-totale à la confiscation de la souveraineté du pays. Pendant la décennie 1986-1996 qui reste charnière dans le processus de changement politique en Haïti, il n’a pas été possible donc d’aboutir à une redéfinition de l’ordre politique agonisant. Mais l’enjeu de son renouvellement reste indispensable. Malgré leurs faiblesses et les controverses à la base de leur relation, les mouvements populaires et les partis politiques demeurent encore les deux principales formes de représentation politique ou d’action collective qui puissent aider d’avancer dans cette direction. La difficulté majeure est d’arriver à définir l’originalité de l’articulation entre ces deux acteurs qui pourrait bien convenir dans le contexte actuel marqué à la fois par le reflux des mouvements et le faible niveau d’enracinement de la forme partisane
The fall of the dictatorship duvalierist, on February 7, 1986, mark a true turning point in the political evolution of the country. The new situation which results from it is generally analyzed or included/understood under the angle of the explanation rising from the paradigm of the transitions. This framework of analysis appeared in all points misfit to give an account of the recorded upheavals. Consequently, the search for an alternative explanation has been suddenly posed. This research tries to explore this way. And it raises a fundamental questioning which apprehends the Haitian crisis under the angle of the exhaustion of the political order imposed at the time of the first American occupation for the period 1915-1934. The challenge of this reorganization of the political field had more requested the role and the action of two new actors who durably emerged in the political life of the country as from the Eighties: popular movements and political parties. The interaction which is established between these two actors had acquired at the same time a complex and problematic dimension. On the one hand, they (actors) had not been able to develop a clear conscience of their role in the process of political transformation in progress. In addition, it was established between the two actors a radical antagonism which ended up compromising the possibility of construction of the capacities national policies in order to support a positive development of the known as process. The return to the American direct domination, with the military intervention of 1994, will devote impossibility of finding an exit with the crisis with the internal plan. This intervention will confirm the reality of the exhaustion of the political order of 1934 whole while causing new contradictions. It in particular contributed to precipitate the removal of the army, while proceeding in a quasi-total way to the confiscation of the sovereignty of the country. During the decade 1986-1996 which remains hinge in the process of political change in Haiti, it was not possible thus to lead to a redefinition of the political order failing. But the stake of its renewal remains essential. In spite of their weaknesses and the controversies at the base of their relation, the popular movements and the political parties remain still the two principal forms of political representation or class action suit who can help to advance in this direction. The major difficulty is to manage to define the originality of the articulation between these two actors which could be appropriate well in the current context marked at the same time by the backward flow of the movements and the low level of rooting of the form partisane
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Chenet, Jean-Baptiste. "Mouvements populaires et Partis politiques (1986-1996) : la restructuration manquée de l'ordre politique agonisant." Phd thesis, Université de la Sorbonne nouvelle - Paris III, 2011. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01068975.

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Abstract:
La chute de la dictature duvaliériste, le 7 février 1986, marque un véritable tournant dans l'évolution politique du pays. La situation nouvelle qui en résulte est généralement analysée ou comprise sous l'angle de l'explication découlant du paradigme des transitions. Ce cadre d'analyse s'est révélé en tous points inadapté pour rendre compte des bouleversements enregistrés. Dès lors, la recherche d'une explication alternative vient à se poser. Cette recherche tente d'explorer cette voie. Et elle soulève un questionnement fondamental qui appréhende la crise haïtienne sous l'angle de l'épuisement de l'ordre politique imposé lors de la première occupation américaine pendant la période 1915-1934. Le défi de cette restructuration du champ politique avait sollicité davantage le rôle et l'action de deux nouveaux acteurs qui ont durablement émergé dans la vie politique du pays à partir des années quatre-vingt : les mouvements populaires et les partis politiques. L'interaction qui s'établit entre ces deux acteurs avait acquis à la fois une dimension complexe et problématique. D'une part, ils (les acteurs) n'avaient pas pu développer une claire conscience de leur rôle dans le processus de transformation politique en cours. D'autre part, il s'est établi entre les deux acteurs un radical antagonisme qui a fini par compromettre la possibilité de construction des capacités politiques nationales en vue de favoriser une évolution positive dudit processus. Le retour à la domination directe américaine, avec l'intervention militaire de 1994, consacrera l'impossibilité de trouver une issue à la crise au plan interne. Cette intervention confirmera la réalité de l'épuisement de l'ordre politique de 1934 tout en provoquant des contradictions nouvelles. Elle a notamment contribué à précipiter la suppression de l'armée, tout en procédant de manière quasi-totale à la confiscation de la souveraineté du pays. Pendant la décennie 1986-1996 qui reste charnière dans le processus de changement politique en Haïti, il n'a pas été possible donc d'aboutir à une redéfinition de l'ordre politique agonisant. Mais l'enjeu de son renouvellement reste indispensable. Malgré leurs faiblesses et les controverses à la base de leur relation, les mouvements populaires et les partis politiques demeurent encore les deux principales formes de représentation politique ou d'action collective qui puissent aider d'avancer dans cette direction. La difficulté majeure est d'arriver à définir l'originalité de l'articulation entre ces deux acteurs qui pourrait bien convenir dans le contexte actuel marqué à la fois par le reflux des mouvements et le faible niveau d'enracinement de la forme partisane.
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Paulcéna, Francisco. "Le "mouvement populaire haitien" des années 1980-1990 : pratiques et perspectives analytiques." Mémoire, 2007. http://www.archipel.uqam.ca/825/1/M10083.pdf.

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Abstract:
Ce mémoire porte sur le « mouvement populaire haïtien » des années 1980-1990 qui force la démission du dictateur Jean-Claude Duvalier le 7 février 1986 et déclenche une transition démocratique qui prend fin avec les élections du 16 décembre 1990 par lesquelles Jean-Bertrand Aristide accède au pouvoir. Nous voulons comprendre les pratiques et les perspectives analytiques de ce « mouvement populaire ». Il met en scène des exclus posant des actions radicales et non-conventionnelles telles que les émeutes de la faim, les veillées de prière, les funérailles symboliques du régime, les foules gigantesques dans les rues, les notes de presse ou not pou laprès, les barricades et les slogans hostiles au régime. Ce sont des actions spontanées, non-violentes et sans organisation, par lesquelles les exclus défient la possible intervention brutale de l'armée et des forces paramilitaires en vue de réclamer l'accès au système politique et de dénoncer la monopolisation de la richesse nationale par une petite minorité qui se fait passer pour héritière naturelle. L'étude de cette période historique et mouvante s'appuie sur une synthèse de la littérature des principaux auteurs haïtiens et étrangers qui ont déjà analysé ce « mouvement populaire ». Nous présentons le contexte sociohistorique de 1804 à nos jours dans lequel nous tirons des catégories permettant de décrire les contradictions sociales et le fonctionnement de l'État et la dictature duvaliériste en particulier. Ensuite, nous présentons l'ensemble des événements que les différents auteurs qualifient de « mouvement populaire haïtien » des années 1980-1990. Nous étudions le thème de « mouvement populaire haïtien » des années 1980-1990 à l'intérieur d'un cadre d'analyse qui le saisit d'une part, comme un cycle d'actions collectives (Tarrow, 1989) et d'autre part, comme une action collective typique des sociétés dictatoriales (Wieviorka, 1995). Enfin, nous nous situons dans une perspective sociohistorique et notre analyse s'appuie sur une démarche méthodologique et des techniques de la revue de la littérature et d'analyse de contenu. L'analyse du corpus nous a permis de vérifier que le « mouvement populaire haïtien » des années 1980-1990 est un cycle d'actions collectives rendu possible par une combinaison de trois facteurs structurels, précipitants et idéologiques. Grâce à la conscience collective acquise dans les niveaux social, politique et culturel et moral, les acteurs formulent des revendications s'opposant à la dictature et à l'exclusion sociale. Quand la hiérarchie de l'Église catholique vers les années 1980, dans sa lutte en faveur du respect des droits de la personne se positionne contre la dictature, elle devient une alliée incontournable des exclus qui profitent de cette opportunité politique pour passer à l'action. Elle participe, à travers les comités ecclésiaux de base (théologie de la libération), à la sensibilisation et à l'émergence d'un nouveau cadre de pensée. Avec l'appui de la presse indépendante, un cycle de protestations et d'actions collectives s'ouvre entre 1980 et 1990. L'assassinat des trois jeunes lycéens aux Gonaïves, en 1985, radicalise et élargit l'agitation au niveau national avec l'entrée en scène de nouveaux acteurs. L'entrée des exclus en scène donne lieu à la formulation d'un ensemble de revendications sociales (les émeutes de la faim), culturelle (la langue créole, le vaudou) et politique (l'accès au système politique). ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Haïti, Dictature, Mouvements populaires, Action collective Démocratie.
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Books on the topic "Mouvements sociaux – Haïti"

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Hector, Michel. Crises et mouvements populaires en Haïti. [Montréal]: Editions du CIDIHCA, 2000.

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Book chapters on the topic "Mouvements sociaux – Haïti"

1

Larose, Gérald, Jean Rénol Élie, and René Lachapelle. "UN PROJET NOVATEUR QUI S’INSCRIT DANS LE MOUVEMENT DE L’ÉCONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE?" In Une coopération Québec-Haïti innovante en agroalimentaire, 177–92. Presses de l'Université du Québec, 2018. http://dx.doi.org/10.2307/j.ctvggx4tx.12.

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