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Journal articles on the topic 'Multilinguisme – Pays de langue anglaise'

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Shaaban, Kassim, and Ghazi Ghaith. "Lebanon's Language-in-Education Policies." Language Problems and Language Planning 23, no. 1 (July 23, 1999): 1–16. http://dx.doi.org/10.1075/lplp.23.1.01leb.

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Abstract:
RÉSUMÉ Les politiques libanaises de la langue dans l'enseignement: du bilinguisme au trilinguisme Le débat sur la politique à adopter et les pratiques à appliquer à propos du langage d'enseignement au Liban a dévié, au cours du passé récent, d'une concentration autour de la lutte entre l'arabe et le français/anglais vers une concentration autour des attitudes pratiques vis-à-vis l'enseignement de langues. Cette déviation est en train de conduire le pays dans la direction d'un multilinguisme à part entière dans la société, non moins que dans l'éducation. Ce papier discute les décrets et les règlements formulés par les différents gouvernements libanais, de même que les pratiques prédominantes, dans le but d'éclaircir les questions en litige telles, que l'identité nationale, l'ascendance sociale et l'égalité des opportunités éducatives. RESUMO Politiko pri lingvoelekto en edukado en Libano: De dulingvismo al trilingvismo La debato en Libano pri la politiko kaj praktiko de lingvoelekto en edukado gis antaûnelonge emfazis la kulturan kaj lingvan lukton inter la araba unuflanke kaj la franca kaj angla aliflanke, sed lastatempe oni komencis emfazi praktikan sintenon al lingva edukado, kiu kondukas la landon al plena multlingvismo ne nur en edukado sed ankaŭ en la socio generale. Tiu ci studo esploras la dekretojn kaj regulojn publikigitajn de la diversaj libanaj registaroj kaj ankaû la regantajn praktikojn, por prilumigi la rilatajn demandojn de nacia identeco, suprenmovigeblo, edukajn eblecojn kaj edukan egalecon.
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Landry, Rodrigue, and Réal Allard. "Bilinguisme et construction identitaire d’élèves d’écoles de langue anglaise au Québec." Articles, no. 7 (May 19, 2016): 18–47. http://dx.doi.org/10.7202/1036415ar.

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Abstract:
Langue globale et « hypercentrale » (de Swaan, 2001), l’anglais est la lingua franca internationale et pourrait devenir la langue seconde commune à tous les locuteurs des autres langues. Selon de Swaan, les anglophones ont peu tendance à apprendre d’autres langues. Le Québec est un endroit particulier où l’anglais est à la fois langue majoritaire du pays et langue minoritaire provinciale. À partir des données d’une enquête réalisée auprès d’un échantillon de deux mille élèves d’écoles québécoises de langue anglaise du niveau secondaire (Landry, Allard et Deveau, 2013b), l’article analyse leurs vécus langagiers en anglais et leurs dispositions envers la langue anglaise en fonction de la concentration territoriale des anglophones et vérifie la validité d’un modèle théorique de l’effet de ces vécus. Il conclut que les mêmes principes sociolinguistiques s’appliquent aux deux minorités de langue officielle, mais que la communauté anglophone constitue une minorité avantagée par le fait qu’elle parle la langue la plus puissante de l’humanité.
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Guy, Gregory R. "International Perspectives on Linguistic Diversity and Language Rights." Language Problems and Language Planning 13, no. 1 (January 1, 1989): 45–53. http://dx.doi.org/10.1075/lplp.13.1.06guy.

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Abstract:
RESUMO Internaciaj perspektivoj pri lingva diverseco kaj lingvaj rajtoj La aktuala debato en Usono pri oficiala lingva politiko havas siajn precedentojn en aliaj landoj. En la antikva mondo, ciuj gravaj statoj kaj imperioj estis multlingvaj, same la cefaj mezepokaj kaj frumodernaj statoj. Multaj hodiaǔe gravaj landoj estas multlingvaj. Efektive la ekvacio "unu nacio/unu lingvo" estas relative lastatempa eltrovaĵo. Pledantoj por oficialigo de la angla en Usono argumentas, ke la lando riskas "disŝiriĝi" pro multling-veco, sed landoj kiel Aǔstralio kaj Sovetunio proponas modelojn de sukcesa mastrumo, ec apogo, de multlingvismo. Tie kie oni uzas la lingvojn por obstrukci aliron al postenoj, klerigo, progreso kaj povo, konflikto povas ekesti. La solvo estas konservi egalecon, ne devigi al ciuj uzi unusolan lingvon. SOMMAIRE Perspectives internationales sur la diversité linguistique et sur les droits linguistiques Le débat qui se déroule actuellement aux Etats-Unis au sujet d'une politique linguistique officielle a eu des précédents dans d'autres pays. Dans l'Antiquité, tous les états et empires principaux étaient multilingues et il en allait de même des principaux états du Moyen-Age et du début de l'ère moderne. Aujourd'hui, de nombreux pays sont multilingues. En effet, l'équation "une nation = une langue" est une invention relativement récente. Ceux qui défendent la position d'officialiser l'anglais aux Etats-Unis prétendent que le pays risque d'être "déchiré" par le multilinguisme, mais des pays comme l'Australie et l'Union Soviétique présentent des modèles intéressants pour une gestion efficace, et même une promotion du multilinguisme. Un conflit peut naître là où la langue est utilisée pour empêcher l'accès à certaines professions, à l'éducation, au progrès et au pouvoir. La réponse est de maintenir l'égalité, et non pas d'imposer une langue unique pour tous.
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Jennar, Raoul. "La francophonie en Asie." Forum 16, no. 1 (November 20, 2008): 119–27. http://dx.doi.org/10.7202/040052ar.

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Abstract:
Résumé La question de l’adhésion, par des peuples d’Asie, aux valeurs, aux richesses et de la langue et de la culture françaises prend une dimension d’une tout autre ampleur que celle du choix utilitaire, commode de la langue anglaise dans un temps dominé par l’économisme. Dans les trois pays de l’ancienne Indochine française, cette adhésion, devenue libre depuis la fin de la colonisation et l’instauration des langues nationales d’abord dans l’administration puis dans l’enseignement, relève d’une démarche individuelle et ne s’apparente plus à un phénomène collectif. Cette évolution est encouragée par l’entrée de ces pays dans un réseau régional de relations dont la langue commune est l’anglais.
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LATRÉ, Guido. "Lectures culturelles de la Bible dans les pays de langue anglaise." Revue Théologique de Louvain 38, no. 3 (September 30, 2007): 352–72. http://dx.doi.org/10.2143/rtl.38.3.2022852.

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Fondin, Hubert. "La langue de la publication scientifique : la prépondérance de l’anglais et la recherche." Documentation et bibliothèques 25, no. 2 (December 17, 2018): 59–69. http://dx.doi.org/10.7202/1054357ar.

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Abstract:
Cet article étudie les problèmes actuels que pose la prépondérance de la langue anglaise comme véhicule linguistique de la production scientifique dans le monde. Devant la croissance du nombre des publications et le quasi-monopole linguistique détenu par les pays anglo-saxons, lequel se manifeste par la qualité de leurs revues et par une large politique de traductions, l’attitude des chercheurs des autres pays oscille entre l’acceptation de ce fait comme facteur d’une efficacité garantie et la recherche de compromis qui permettraient le maintien d’une littérature en d’autres langues, notamment en français.
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Pliya, José. "Faire du théâtre en français en continent dominé." L’Annuaire théâtral, no. 50-51 (July 17, 2013): 17–25. http://dx.doi.org/10.7202/1017309ar.

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Abstract:
Notre contribution est de l’ordre du témoignage au titre fortement référencé – elle s’inspire du célèbre essai Écrire en pays dominé de l’intellectuel et écrivain martiniquais Patrick Chamoiseau – et elle ambitionne d’aborder trois problématiques qui sont distinctes et mêlées à la fois. Il s’agit de poser la question complexe et passionnante des pratiques théâtrales d’expression française et francophone dans un espace dominé par les langues anglaise et espagnole. Quatre îles de l’arc antillo-caribéen, français et francophone, serviront d’exemples : la Dominique, Haïti, la Martinique et la Guadeloupe. Pour chacun de ces pays, nous questionnerons l’actualité des pratiques théâtrales, aussi bien dans leur diversité que dans leur spécificité d’expression en langue française ou francophone ; puis nous tâcherons de mettre en perspective les rapports de résistance, conflictuels et contradictoires, qu’à partir de cette langue première, ils entretiennent avec le continent américain.
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Renaud, André. "Communautés ethniques et collectivités indiennes au Canada." Articles 4, no. 1 (April 12, 2005): 91–105. http://dx.doi.org/10.7202/055165ar.

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Abstract:
Le Canada, comme les États-Unis et tous les pays des deux Amériques, a été constitué par des immigrants. Exception faite des Indiens et des Esquimaux, lesquels à l'origine vinrent aussi d'ailleurs, la population canadienne est issue d'ancêtres anciens ou récents qui, à un moment ou l'autre des trois derniers siècles, émigrèrent d'Europe. Les premiers colons du pays vinrent de France, surtout des provinces de l'Ouest, et prirent racine le long des rives du Saint-Laurent jusqu'au-delà des Grands Lacs. Ils constituèrent un groupe homogène, vite considérable, intimement identifié au milieu canadien. Ils conservèrent une culture propre qui intégrait plusieurs traits fondamentaux de la culture du peuple français de l'Ancien Régime. Toutefois, il ne faut pas oublier qu'il y a, au Canada, deux groupements ethniques d'origine française : les Canadiens français proprement dits, qui occupent le Québec et l'est de l'Ontario ; les Acadiens des provinces atlantiques. Frères et non jumeaux identiques, les deux groupements ont étendu leurs rameaux partout au Canada. C'est en particulier le cas des Canadiens français dont on retrouve les paroisses, les écoles, les collèges et d'autres institutions dans toutes les provinces à l'ouest du Québec. L'expansion acadienne est plus récente et ne s'est pas encore clairement diversifiée de la prolifération strictement canadienne-française. Après la conquête de l'Acadie et de la Nouvelle-France par l'Angleterre, des immigrants de langue anglaise montèrent des colonies américaines, plus particulièrement après la révolution de 1776, et formèrent le loyal noyau autour duquel s'est constituée la collectivité canadienne d'expression anglaise. Cette dernière n'a jamais cessé par la suite de recevoir de nouvelles recrues venant directement de la Grande-Bretagne et des deux Mondes. La collectivité d'origine française et la collectivité d'expression anglaise se sont accrues dans leurs zones respectives d'occupation initiale, chacune projetant des ramifications sur le territoire de l'autre. Les groupements de langue anglaise à l'intérieur du Canada français ont cependant toujours joui d'une position privilégiée que leurs équivalents français dans le Canada anglais n'ont jamais connue. Cent ans après la conquête, les Canadiens français du Québec et les Canadiens anglais de l'Ontario et du reste du pays acquéraient le contrôle politique de leur développement communautaire respectif en formant des États semi-autonomes. Ceux-ci, en 1867, furent unis en une confédération qui devait s'acheminer rapidement et pacifiquement vers la souveraineté complète. Le peuplement du Canada par des groupes ethniques territorialement localisés se continua durant tout le XIXe siècle. Canadiens français et Canadiens anglais, colons français et colons britanniques, envahirent les plaines de l'Ouest. Les pionniers de langue anglaise devinrent vite numériquement majoritaires et assumèrent la direction politique de trois nouvelles entités provinciales, qui se formèrent dans cette vaste région du pays, nonobstant les efforts des Métis d'expression française à la Rivière Rouge et dans le district de Batoche. D'autres colons européens vinrent à leur tour, par groupes, dans les mêmes territoires, et y formèrent des communautés homogènes d'origine allemande, ukrainienne, polonaise, etc. Bien que dans le Canada de langue française comme dans le Canada de langue anglaise soient apparues assez tôt des villes à population homogène, dont quelques-unes existent encore, l'industrialisation du pays favorisa la croissance d'agglomérations urbaines qui devinrent vite cosmopolites par suite de l'invasion de populations appartenant aux divers groupes ethniques qui se sont dirigés vers le Canada au cours des derniers cent ans. Dans les villes en formation, ces vagues d'immigrants se regroupèrent selon leurs affinités culturelles et leur appartenance ethnique. En définitive, le territoire canadien a vu la formation et l'évolution de trois types principaux de communautés ethniques : 1° les deux grands groupements de base, anglais et français, structurés parallèlement, mais non d'une façon étanche, dans tous les domaines de l'organisation sociale et coopérant à titre de partenaires dans la formation d'un Etat souverain ; 2° les communautés ethniques homogènes localisées dans les régions rurales et intégrées dans les structures provinciales ; 3° enfin, les concentrations ethniques à l'intérieur des grandes agglomérations urbaines. Nous nous arrêterons principalement à ces deux dernières catégories, en nous référant à la première seulement dans la mesure où elle permet d'éclairer et d'interpréter celles-ci.
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Vieilledent-Monfort, Catherine. "La traduction institutionnelle européenne, naturalisation ou droit d’asile ?" FORUM / Revue internationale d’interprétation et de traduction / International Journal of Interpretation and Translation 16, no. 1 (September 27, 2018): 25–38. http://dx.doi.org/10.1075/forum.00003.vie.

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Abstract:
Résumé La production normative et politique multilingue des institutions fait parfois doublement figure de paradigme de la traduction : d’une part parce qu’elle est d’abord une traduction juridique, d’autre part parce qu’elle porte la complexité à son paroxysme. Le traducteur dans les institutions européennes est l’agent nécessaire d’un discours qui porte ses effets juridiques dans les vingt-quatre langues officielles. La réalité est que nombre de présupposés sur l’activité traduisante sont mis à mal dans ce contexte. A la Commission, tout commence avec un document de travail, le plus souvent en langue anglaise, qui est dit « original » mais dont l’état final n’est garanti qu’au terme d’un parcours complexe. La volonté du législateur, équivalent à un « vouloir dire » de l’autorité publique européenne, est le fruit de compromis entre services et avec les parties concernées, rediscutés à plusieurs étapes clés entre les institutions. L’original monolingue n’aide guère à retrouver cette intention initiale : dans le processus interinstitutionnel, le multilinguisme nous rappelle que le centre est partout. La traduction institutionnelle, processus au cœur de la rédaction législative, doit en outre trouver un destinataire : les concepts-clés, souvent des néologismes visant à créer une réalité juridique et politique nouvelle, sont reconstruits dans la langue cible mais l’équivalence est parfois hors d’atteinte, voire indésirable. Chaque langue a ses solutions pour accueillir cette réalité langagière nouvelle qui n’est parfois pas assimilable lexicalement et dont le statut reste, par nécessité, proche du droit d’asile.
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Hayne, David M. "John Talon Lesperance et la littérature canadienne-française." Dossier 24, no. 3 (August 28, 2006): 528–38. http://dx.doi.org/10.7202/201448ar.

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Abstract:
Résumé Né et élevé dans un milieu francophone des États-Unis, John Lesperance (1835-1891) vint au Canada vers 1865 et s'imposa rapidement dans la communauté anglophone de Montréal comme poète, romancier et essayiste. Rédacteur ou collaborateur de plusieurs journaux et revues de langue anglaise, il se voua à la tâche de faire connaître à ses lecteurs anglophones les principaux auteurs canadiens-français de l'époque. Très cultivé et polyglotte, Lesperance aimait les lettres et prenait plaisir à constater le progrès des deux traditions littéraires de son pays d'adoption.
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Bouchard-Coulombe, Camille. "La transmission de la langue maternelle aux enfants : le cas des couples linguistiquement exogames au Québec." Articles 40, no. 1 (December 9, 2011): 87–111. http://dx.doi.org/10.7202/1006633ar.

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Abstract:
Le nombre d’unions où les deux conjoints n’ont pas la même langue maternelle est en augmentation depuis les dernières décennies au Québec. Sachant que les enfants issus de ces unions gravitent dans un univers familial plurilingue, cette étude s’intéresse aux langues maternelles qui leur sont transmises. En utilisant les données du recensement canadien de 2006, différentes analyses ont été produites de sorte à cerner les langues maternelles véhiculées aux enfants issus d’une union mixte. De plus, par le biais d’une régression logistique, une analyse explicative a été conduite afin de connaître si certains déterminants socio-démographiques sont susceptibles d’expliquer le choix de transmettre le français ou l’anglais comme langue maternelle à ces enfants. Les résultats obtenus démontrent la place prédominante des langues officielles canadiennes, au détriment des langues non officielles, et de surcroît, la force d’attraction supplémentaire exercée par la langue anglaise chez les familles exogames. De plus, le choix de la langue maternelle transmise s’avérerait, entre autres choses, influencé par le lieu de résidence, le parcours migratoire des parents et le pays de naissance des enfants.
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Arsenault, Julie. "La traduction de The Scarlet Letter (Nathaniel Hawthorne) par Marie Canavaggia : étude selon les perspectives de Pierre Bourdieu et d’Antoine Berman1." TTR 22, no. 1 (October 21, 2010): 221–56. http://dx.doi.org/10.7202/044788ar.

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Abstract:
Marie Canavaggia est l’une des traductrices en vue des oeuvres majeures des littératures américaine et anglaise au XXe siècle. Le rôle qu’elle a joué et l’influence qu’elle a eue en France et dans les pays francophones ont permis aux lecteurs français de découvrir les grands textes des littératures de langue anglaise. Notre réflexion sur cette importante traductrice s’inscrit dans le cadre de la théorie sociologique de Pierre Bourdieu adaptée à la traductologie et, accessoirement, dans celui de certaines idées d’Antoine Berman en traduction littéraire. Nous avons tenté de saisir l’habitus – notion que nous avons préalablement définie – de Marie Canavaggia en examinant sa biographie (les données biographiques factuelles en particulier) ainsi qu’en présentant une analyse contrastive de l’une de ses traductions reconnues, La Lettre écarlate de Nathaniel Hawthorne. Nous concluons en dégageant les éléments qui permettent de mieux cerner l’influence de Marie Canavaggia sur la littérature française et sur la traduction dans le domaine littéraire.
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Dratwa, Max, and Christian Verger. "Créer et maintenir un accès péritonéal optimal chez les patients adultes : mise à jour 2019." Bulletin de la Dialyse à Domicile 2, no. 2 (June 16, 2019): 93–116. http://dx.doi.org/10.25796/bdd.v2i2.20503.

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Abstract:
En avril 2019 la Société Internationale de Dialyse Péritonéale a publié en "open access" ses dernières recommandations pour créer et maintenir un abord péritonéal optimal chez les patients adultes. Ces recommandations sont un guide important pour les équipes médicales, infirmières et chirurgicales de tous les pays. Afin d'assurer la meilleure diffusion possible auprès des francophones qui se sentent plus à l'aise avec un texte dans leur langue maternelle, le Registre de Dialyse Péritonéale de Langue Française a assuré la traduction de ce texte. Pour toute référence dans une publication, il est indispensable que seul le texte original qui soit cité :ISPD Guidelines/recommendationsCreating and maintaining optimal peritoneal dialysis access in the adult patient : 2019 update.John H. Crabtree et al. Peritoneal Dialysis International. https://doi.org/10.3747/pdi.2018.00232Au nom de la communauté néphrologique francophone nous remercions chaleureusement l'ISPD de nous avoir accordé l'autorisation de réaliser cette traduction. Cette traduction adhère au copyright de la version originale anglaise. Ce(tte) œuvre est mise à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International.
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Corbier, Mireille. "La Petite Enfance a Rome : Lois, Normes, Pratiques Individuelles et Collectives." Annales. Histoire, Sciences Sociales 54, no. 6 (December 1999): 1257–90. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1999.279815.

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Abstract:
Les spécialistes de Rome s'étaient intéressés de longue date à l'histoire de l'éducation et de la culture, thèmes dont les auteurs anciens et l'iconographie leur montraient la place centrale dans les préoccupations des élites romaines et romanisées (Marrou, 1937 ; 1948). lis n'ont « découvert » que plus récemment, à partir des années 1980, les thémes de la petite enfance et de la maternité : Philippe Ariès (1960) — relayé et prolongé dans la littérature anglo-saxonne par des auteurs tels que Lloyd de Mause, Edward Shorter et Lawrence Stone, non sans désaccords avec leur modèle et entre eux — est devenu une référence obligée en France et, plus encore, dans les pays de langue anglaise : son impact s'y est trouvé prolongé et renforcé par 1'influence des women,puis gender studies,et des recherches inspirées par les revendications des homosexuels et des « nouveaux pères ».
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Finn, Adam, Stuart McFadyen, and Colin Hoskins. "Le développement de nouveaux produits dans les industries culturelles." Recherche et Applications en Marketing (French Edition) 10, no. 4 (December 1995): 47–63. http://dx.doi.org/10.1177/076737019501000403.

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Abstract:
Il fut un temps où les organisations relevant des industries culturelles étaient relativement à l'abri de la compétition internationale du marché en raison des barrières linguistiques et réglementaires, ainsi que des subventions gouvernementales. En conséquence, elles pouvaient se permettre de se concentrer sur des intérêts artistiques et créatifs. Mais les industries culturelles étant maintenant, dans la plupart des pays, ouvertes à la concurrence internationale, leurs ressources doivent, de plus en plus, être affectées aux nouveaux produits pour lesquels il existe une demande significative du marché, ou pour lesquels la demande peut être encouragée grâce à des activités créatives de marketing. L'amélioration des taux de succès des produits développés par les organisations culturelles peut contribuer de façon importante à fournir aux consommateurs un environnement culturel plus riche. C'est la raison pour laquelle cet article étudie la littérature de recherche de langue anglaise concernant le développement de nouveaux produits, en s'intéressant plus particulièrement aux aspects concernant les producteurs d'industrie culturelle en provenance de plus petits marchés, comme le Canada.
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Frenette, Yves. "L’histoire sociale de l’Amérique française de 1763 à 1914. État des lieux." Cahiers Charlevoix 11 (April 5, 2017): 115–55. http://dx.doi.org/10.7202/1039284ar.

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Abstract:
Comme son titre l’indique, le texte d’Yves Frenetteconstitue un tour d’horizon de l’histoire sociale de la francophonie nordaméricaine, entre le départ de la France du continent, en 1763, et la Première Guerre mondiale. Divisé en deux périodes, ce long xixe siècle « franco-américain » voit tout à la fois l’expansion et la contraction du fait français, à la mesure, d’une part, des migrations à partir des vieux foyers de peuplement qu’étaient la vallée du Saint-Laurent, l’Acadie et la Louisiane, et, d’autre part, de l’ascendance hégémonique de la langue anglaise. Après avoir fait ressortir brièvement ce double mouvement, notre collègue montre comment l’Amérique française postcoloniale a pendant longtemps été quasi ignorée des historiens. Il passe ensuite en revue les aires francophones du continent : le « grand » Canada français, l’Ontario français, l’Acadie, la Louisiane, les pays métis, les enclaves franco-européennes. Ainsi, la contribution d’Yves Frenette constitue-t-elle à la fois un bilan et une feuille de route interprétative de l’histoire sociale de l’Amérique française.
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Greciano, Gertrud. "Pour un glossaire des collocations riscologiques." Meta 53, no. 2 (August 4, 2008): 420–33. http://dx.doi.org/10.7202/018527ar.

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Abstract:
Résumé La concordance interlinguale de termes polylexicaux et syntagmatiques, communément appelés expressions, linguistiquement nommés collocations, phrasèmes terminologiques, termes phraséologiques ou encore phraséotermes, reste un problème crucial et bien connu de la traduction en langue de spécialité. Les sciences du risque se révèlent être un point de rencontre interdisciplinaire, de sorte que de hautes instances nationales (ministères) et des institutions internationales (l’Union européenne, le Conseil de l’Europe) s’investissent dans l’information, la formation et les interventions dans ce domaine. WIN (Wide Information Network for Risk Management) est l’un des trois projets intégrés soutenus par la Commission européenne (2004-2007), le multilinguisme restant sa priorité. La proposition linguistique ici présentée concerne un glossaire multilingue, dont l’architecture combine termino- et lexicographie : macrostructure onomasiologique, microstructure sémasiologique, médiostructure grammaticale et sémantique, ainsi que des définitions multiples de termes clés avec leurs collocations semi-automatiquement extraites d’un important corpus textuel, scientifique, administratif et journalistique. La législation de l’Europe et du globe privilégiant l’harmonisation terminologique, la découverte et la création de concordances interlinguales deviennent l’objectif majeur pour garantir la sécurité des vies, des biens et de l’environnement dans le monde. Pour cette raison, une extension à d’autres langues, d’autres pays et d’autres continents devient une nécessité afin de promouvoir autant la diffusion du savoir que les spécificités culturelles.
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Farenkia, Bernard Mulo. "De la politesse hybride à la traduction littéraire : Temps de chien de Patrice Nganang." Cahiers franco-canadiens de l'Ouest 22, no. 2 (April 23, 2012): 197–220. http://dx.doi.org/10.7202/1009123ar.

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Abstract:
Le roman camerounais reflète le paysage, les moeurs, l’histoire, les manières de dire la vie, en bref, la société du Cameroun contemporain. La langue parlée par les personnages, le français (camerounais), est à l’image de l’hétérogénéité socioculturelle, sociolinguistique, socioéconomique et sociopolitique du pays, remarquable à travers les manières d’exprimer une politesse, essentiellement hybride en raison du métissage langagier et culturel qui en sous-tend le fonctionnement. Ainsi, la politesse à la camerounaise pose des problèmes de traduction. Il serait alors intéressant de savoir si et comment cette spécificité linguistique et culturelle est prise en charge par le traducteur. Nous interrogerons à cet effet les traductions allemande et anglaise du roman Temps de chien de Patrice Nganang, avec une attention particulière pour les formes d’adresse. L’analyse de quelques exemples révèle que le terme de déférence chef (employé envers les policiers et autres membres des forces de l’ordre) et les termes affectifs asso, mola et tara posent effectivement d’énormes problèmes de traduction en allemand et en anglais. Des défis que le traducteur pourrait relever, à condition de puiser, entre autres, dans des connaissances sociopragmatiques.
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Dratwa, Max, and Christian Verger. "Recommandations de pratique de la Société internationale de dialyse péritonéale: prescrire une dialyse péritonéale de haute qualité dirigée par un objectif." Bulletin de la Dialyse à Domicile 3, no. 1 (April 9, 2020): 5–18. http://dx.doi.org/10.25796/bdd.v3i1.54453.

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Abstract:
En Janvier 2020 la Société Internationale de Dialyse Péritonéale a publié en "open access" ses dernières recommandations pour prescrire une dialyse péritonéale de haute qualité dirigée par un objectif . Ces recommandations sont un guide important pour les équipes médicales, infirmières de tous les pays. Elles sont d'emblée traduite en pluiseurs langus afin d'assurer la meilleure diffusion possible. Comme lors de précédents récommandations le Registre de Dialyse Péritonéale de Langue Française (RDPLF) a assuré la traduction de ce texte. Pour toute référence dans une publication, il est indispensable que seul le texte original soit cité :International Society for Peritoneal Dialysis practice recommendations: Prescribing high-quality goal-directed peritoneal dialysisEdwina A Brown, Peter G Blake, Neil Boudville et al. https://journals.sagepub.com/doi/10.1177/0896860819895364Au nom de la communauté néphrologique francophone nous remercions chaleureusement l'ISPD de nous avoir accordé l'autorisation de réaliser cette traduction. Cette traduction adhère au copyright de la version originale anglaise. Ce(tte) œuvre est mise à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International.
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Benmebarek, Zoubir. "Cognitive behavioural therapy : an Islamic perspective." Batna Journal of Medical Sciences (BJMS) 7, no. 2 (November 9, 2020): 162–66. http://dx.doi.org/10.48087/bjmsra.2020.7221.

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Abstract:
Depuis leur introduction en pratique clinique dans les années 70, les thérapies comportementales et cognitives (TCC) ont connu un succès inégalé vu leur caractère empirique et leur efficacité dans le traitement de nombreux troubles psychiatriques. Ceci a encouragé leur adoption par la majorité des praticiens à travers le monde entier. Issues de la psychologie expérimentale, les TCC ont été développées essentiellement en occident et les principales études publiées concernaient des patients venant de cette région du monde. Pour appliquer les TCC à des patients d’autres cultures, il a toujours été nécessaire d’apporter des modifications soit dans leurs principes théoriques soit dans leurs techniques afin de les rendre compatibles aux autres contextes socioculturels et religieux. Dans le monde musulman, bien que globalement acceptées, les TCC ont fait l’objet d’évaluations et de critiques quant à leur harmonie avec les valeurs de l’Islam. Une littérature scientifique de plus en plus abondante, surtout en langue anglaise, aborde cette thématique bien qu’elle reste, à ce stade, essentiellement limitée à l’aspect théorique. Ce courant est quasi inexistant dans les pays francophones et le but de cette brève revue est de relever les points saillants des études sur les TCC vues d’une perspective islamique.
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Voléry, Thierry, and Katherine Gundolf. "Développements récents de la recherche germanophone en entrepreneuriat et PME." Revue internationale P.M.E. 21, no. 3-4 (September 18, 2009): 25–42. http://dx.doi.org/10.7202/038033ar.

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Abstract:
Résumé La recherche germanophone (en entrepreneuriat et PME) est pratiquement inconnue des chercheurs francophones. Cela est en partie dû au fait que la langue anglaise s’est imposée dans les milieux scientifiques et des affaires. Cette ignorance de la recherche germanophone est regrettable pour au moins deux raisons : 1) les chercheurs germanophones ont souvent été des pionniers dans le domaine des PME et de l’entrepreneuriat et 2) les PME occupent une place prépondérante dans l’économie et la politique économique des trois pays germanophones (Autriche, Allemagne et Suisse). L’objectif de cet article est de combler ce manque de connaissance en proposant de faire un état de lieux sur la recherche germanophone en entrepreneuriat et PME au cours des dix dernières années, soit de 1997 à 2006. Pour cela, les auteurs, au travers d’une étude descriptive, s’intéressent aux articles parus dans les trois revues scientifiques germanophones principales en entrepreneuriat et PME : Schmalenbachs Zeitschrift für betriebswirtschaftliche Forschung – ZfbF ; Zeitschrift für Betriebswirtschaft – ZfB ; et Zeitschrift für Klein- und Mittelunternehmen – ZfKE. L’article, composé de trois parties, donne un aperçu des origines de la recherche en entrepreneuriat et PME, définit la méthode utilisée pour cette étude et détaille les résultats selon les auteurs, les types de publications et les disciplines abordées.
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Galante, Angelica, Kerstin Okubo, Christina Cole, Nermine Abd Elkader, Nicola Carozza, Claire Wilkinson, Charles Wotton, and Jelena Vasic. "Plurilingualism in Higher Education: A Collaborative Initiative for the Implementation of Plurilingual Pedagogy in an English for Academic Purposes Program at a Canadian University." TESL Canada Journal 36, no. 1 (October 1, 2019): 121–33. http://dx.doi.org/10.18806/tesl.v36i1.1305.

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Abstract:
Previous literature on higher education suggests the inclusion of pedagogy that is linguistically and culturally inclusive in settings with increasing multilingualism, which is the case in Canada. Yet, little is known as to how the implementation of such pedagogy can take place, particularly in language programs. This article reports a researcher-instructor collaboration that aimed at implementing plurilingual practices, such as translanguaging, plurilingual identity, comparons nos langues, and intercomprehension over 4 months in an English for Academic Purposes (EAP) program at a university in Toronto, Canada. Seven EAP instructors collaborated with a researcher to implement weekly plurilingual tasks: They conducted an environment analysis, examined the logistics of implementation, and collaboratively examined the tasks. The article presents the process of implementation of the plurilingual tasks and proposes a framework for collaboration with four key elements: administrative support, openness to the use of languages other than English in class, weekly collaborative checks with the researcher, and the learner-centered nature of the tasks. Implications for the implementation of plurilingualism in English language programs in higher education are discussed. La littérature existante sur l’enseignement supérieur suggère l’inclusion d’une pédagogie linguistiquement et culturellement inclusive là où le multilinguisme est en hausse, ce qui est le cas au Canada. On sait toutefois peu de choses sur la façon dont la mise en œuvre d’une telle pédagogie pourrait s’effectuer, particulièrement dans les programmes de langue. Le présent article rend compte d’une collaboration entre une chercheuse et plusieurs professeurs qui portait sur la mise en œuvre de pratiques plurilingues comme le translangagisme, l’identité plurilingue, Comparons nos langues, et l’intercompréhension sur une période de 4 mois dans le cadre d’un cours d’anglais académique (EAP) offert dans une université de Toronto, au Canada. Sept professeurs d’anglais académique ont collaboré avec une chercheuse à la mise en œuvre de tâches plurilingues hebdomadaires, et ce, en réalisant une analyse de l’environnement, en examinant la logistique de la mise en œuvre et en collaborant à l’examen des tâches. L’article présente le processus de mise en œuvre des tâches plurilingues et propose un cadre de collaboration comportant quatre éléments clés : soutien administratif, ouverture à l’utilisation de langues autres que l’anglais en classe, contrôles collaboratifs hebdomadaires avec la chercheuse et choix de tâches centrées sur l’apprenante ou l’apprenant. Les implications de la mise en œuvre du plurilinguisme à l’intérieur des programmes de langue anglaise dans l’enseignement supérieur font l’objet d’une discussion.
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Shin, Hyunjung, and Andrea Sterzuk. "Discourses, Practices, and Realities of Multilingualism in Higher Education." TESL Canada Journal 36, no. 1 (October 1, 2019): 147–59. http://dx.doi.org/10.18806/tesl.v36i1.1307.

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Abstract:
This Perspectives article explores the changing sociolinguistic realities of Canadian postsecondary institutions focusing on tensions and contradictions around two prominent discourses: internationalization and indigenization of higher education. In doing so, we focus on a common challenge: English dominance in Canadian universities. This linguistic hegemony persists in a time of Truth and Reconciliation and indigenization of education as well as within the intensified discourse of internationalization in the new global political economy. As professors of language education in two prairie province universities, we draw on examples from our own contexts and consider the potential mismatches between positive discourses about multilingualism and practices and structural realities that do not support on-the-ground multilingualism. We situate our discussion within a larger social, political economic context of contemporary colonialism and capitalism. Our goal is to introduce a critique of the ongoing role Canadian universities play in producing settler colonialism and English monolingualism as well as to provide suggestions to engage more meaningfully with multilingualism in today’s higher education across Canada. Cet article de Perspectives explore l’évolution des réalités sociolinguistiques des établissements postsecondaires canadiens en mettant l’accent sur les tensions et les contradictions qui entourent deux discours très répandus : l’internationalisation et l’autochtonisation de l’enseignement supérieur. Dans ce cadre, nous nous concentrons sur un défi commun : la dominance de la langue anglaise dans les universités canadiennes. Cette hégémonie linguistique persiste à une époque caractérisée par des notions de Vérité et Réconciliation et d’autochtonisation de l’éducation, et elle s’inscrit également dans un discours intensifié d’internationalisation au sein de la nouvelle économie politique mondiale. Professeures de langues dans deux universités différentes des Prairies canadiennes, nous nous appuyons sur des exemples tirés de nos propres contextes et nous penchons sur les possibilités d’inadéquation entre des discours positifs sur le multilinguisme et des pratiques et des réalités structurelles qui ne soutiennent pas le multiculturalisme sur le terrain. Nous inscrivons notre discussion dans le contexte plus large du colonialisme et du capitalisme contemporains. Notre objectif est d’entamer une critique du rôle que les universités canadiennes continuent de jouer dans la production d’un colonialisme de peuplement et d’un monolinguisme anglophone, et également de fournir des suggestions en faveur d’un engagement plus significatif envers le multiculturalisme dans l’enseignement supérieur actuel à travers le Canada.
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Jansen, Wim. "La rusa lingvo en la novaj rilatoj de Eŭropa Spac-Agentejo." Language Problems and Language Planning 16, no. 3 (January 1, 1992): 253–59. http://dx.doi.org/10.1075/lplp.16.3.05jan.

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Abstract:
SUMMARY The Russian Language in the New Relations of the European Space Agency The recently signed Framework Agreement between the European Space Agency and the Soviet Union opens the door to an intensified cooperation between the two space powers in a variety of areas of common interest. Whereas ESA-financed industrial project and research work, both with the USA and within the 13 member-states of the Agency, is usually conducted in English (English and French being the two official languages of ESA), the Soviet Union has its own long history of international space activities with Russian used as the unique means of communication. The linguistic aspects of the new Agreement and its first implementation are placed in the context of the totally different organizational structures represented by the two parties. Many of the communication problems on the executive level appear to be caused by Western concepts of project management and control which are difficult to translate into meaningful Russian equivalents. The linguistic interaction, which is a natural consequence of joint project work, has caused the first loan words to cross the borders from both sides. SOMMAIRE La langue russe dans les nouvelles relations de VAgence Spatiale Européenne L'Accord Cadre signé récemment entre l'Agence Spatiale Européenne (ASE) et l'Union Soviétique ouvre la porte à une coopération accrue entre les deux puissances spatiales dans une variété de domaines d'intérêts communs. Alors que les travaux de développement industriel et de recherche, financés par l'ASE, sont conduits habituellement en langue anglaise, non seulement avec les États Unis d'Amérique, mais également à l'intérieur des treize pays-membres de l'ASE (l'anglais et le français étant les deux langues officielles de l'ASE), l'Union Soviétique a une longue histoire d'activités spatiales internationales pour lesquelles la langue russe était le moyen unique de communication. Les aspects linguistiques du nouvel accord ainsi que sa première mise en application sont placés dans le cadre de deux partenaires ayant des structures totalement différentes. Il semble qu'un grand nombre de problèmes de communication qui apparaissent au niveau d'exécution soient causés par des concepts occidentaux de la gestion et du contrôle de projets qui sont difficiles à traduire en équivalents russes significatifs. L'interaction linguistique, conséquence naturelle du travail autour d'un projet commun, a provoqué le transfert, d'un côté comme de l'autre, des premiers mots d'emprunt.
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Laflamme, Simon. "Passage de l’élémentaire au secondaire et décrochage culturel en Ontario français. Élimination de quelques facteurs." Cahiers Charlevoix 9 (April 10, 2017): 15–59. http://dx.doi.org/10.7202/1039312ar.

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Abstract:
Simon Laflamme examine le rôle qu’a pu jouer en Ontario français une « idéologie pro-anglaise » qui expliquerait le décrochage d’un certain nombre d’élèves du système scolaire français en faveur du système anglais. Mais avant d’étudier les tenants et aboutissants de cette idéologie, l’auteur entend vérifier si le comportement des jeunes, tant francophones qu’anglophones, devant la transition du cycle élémentaire au cycle secondaire, est comparable. Et il le fait à partir de données recueillies auprès de jeunes, de parents et d’éducateurs entre les mois d’octobre et de décembre 2008, dans le cadre d’une étude menée en Ontario prenant en compte toute une série de facteurs associés à ce passage : profil des deux échantillons (selon le groupe d’appartenance, le pays de naissance, la discrimination, la langue parlée et le statut socio-économique de la famille d’origine), l’influence des amis, l’estime de soi, la manière dont on se sent à l’école, l’évaluation de l’école et l’impression sur la diversité de l’école, l’opinion sur les enseignants, l’encouragement des parents et des enseignants, l’importance de l’école secondaire dans l’environnement de l’élève, l’aide pour le travail scolaire, le bonheur à l’école, les notes, le choix de l’école secondaire et les sentiments attachés à la transition. Au terme de la comparaison de tous ces facteurs, Simon Laflamme constate que les élèves franco-ontariens ne paraissent en rien différer de leurs semblables anglo-ontariens au moment de franchir le seuil de l’école secondaire. Ce qui lui fait « conclure que la dualité idéologique trouve son origine ailleurs » et qui devrait le conduire à une nouvelle « enquête qui voudrait comprendre le développement de l’idéologie duelle franco-ontarienne », en considérant les artisans et les sources de ces discours.
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Fifi, Ilunga Kalombo, and Sem Mbimbi Pascal. "Insertion des femmes diplômées d’universités dans milieu professionnel à Lubumbashi en République démocratique du Congo." Journal of Business and Management Studies 3, no. 1 (January 6, 2021): 01–10. http://dx.doi.org/10.32996/jbms.2021.3.1.1.

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Abstract:
La République démocratique du Congo en général et la ville de Lubumbashi en particulier enregistrent une croissance démographique rapide accompagnée d’énormes défis socio-économiques. Alors que le chômage ainsi que les inégalités sociales sont largement documentés, cette situation touche malheureusement plus des femmes malgré leurs niveaux d’étude universitaire. À Lubumbashi, l’enquête conduite dans les entreprises publiques et privées renseigne que seulement 9% des femmes universitaires y travaillent dans l’administration malgré le nombre important de femmes diplômées ces dernières années. L’objectif de cette étude était d’identifier les facteurs d’insertion professionnelle ainsi que des défis à relever pour capitaliser, au profit du pays, les compétences des femmes universitaires pour une croissance plus inclusive. Les données utilisées dans le cadre de cette étude proviennent d’une enquête conduite à Lubumbashi auprès de 384 femmes diplômées d’universités choisies de manière aléatoire en 2019. Les résultats indiquent 76% de femmes interrogées ont obtenu leurs licences mais celles qui ont fait leurs études dans des filières spécialisées (par exemple : médecine, accouchement) et des filières techniques (par exemple : géologie, chimie) se sont vite insérées dans le monde professionnel. En outre, la matrice de corrélation montre que la position du mari dans une entreprise et sa rémunération, le statut des parents, la connaissance de la langue anglaise ainsi que de l’informatique sont des éléments supplémentaires positivement corrélées à l’insertion professionnelle des femmes diplômées à Lubumbashi. Ces résultats nous motivent d’inviter et d’encourager les filles à s’inscrire dans les filières techniques et apprendre l’outil informatique et l’anglais pour augmenter les chances de trouver de l’emploi. Cette étude constitue aussi une source d’informations fiables pour le pouvoir public qui cherche à améliorer les conditions d’accès des femmes au marché du travail.
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Pelletier, Réjean. "Le militant du R.I.N. et son parti." Articles 13, no. 1 (April 12, 2005): 41–72. http://dx.doi.org/10.7202/055558ar.

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Abstract:
C'est au cours de son congrès national d'octobre 1968 que le Rassemblement pour l'Indépendance Nationale s'est sabordé. Né en septembre 1960 comme mouvement d'éducation politique et groupe de pression, le R.I.N. s'est transformé en parti politique au cours d'un congrès spécial tenu à Montréal en mars 1963. Durant plus de huit ans, quoique minoritaire sur la scène politique québécoise, le R.I.N. s'est imposé comme catalyseur de la question nationale et point de référence des partis traditionnels sur le plan constitutionnel. Ayant su profiter du déblocage provoqué par la « révolution tranquille », il fut en même temps un élément actif de cette révolution. Un certain nombre d'idées qu'il avait lancées au cours de sa brève existence ont marqué les partis politiques au pouvoir ou furent reprises, plus tard, par le Parti Québécois. Sans le R.I.N., le visage actuel du Québec serait probablement différent de ce qu'il est effectivement. Mais si le R.I.N. a pu marquer la vie politique québécoise, il s'insère aussi dans le vaste courant nationaliste qui a traversé le Québec au cours du vingtième siècle. D'un nationalisme que l'on pourrait qualifier de culturel où il s'agit avant tout de défendre la langue et la culture françaises en s'opposant aux provinces anglophones afin d'affirmer, de cette façon, la spécificité française du Québec, la province est passée peu à peu à un nationalisme politique qui s'est incarné surtout (après le nationalisme négatif de Duplessis) dans ce que l'on a appelé la « révolution tranquille ». Il s'agit désormais d'assurer la défense du fait français par la reconnaissance d'une nation canadienne-française et donc d'un statut spécial pour le Québec qui est « l'expression politique » du Canada français et le point d'appui de tous ceux qui parlent français au pays. Par la suite s'établit une distinction entre le Québec et le Canada français. De plus en plus, le Québec ne cherche pas à s'affirmer en s'opposant au Canada anglais, mais à se définir par rapport à lui-même. Il n'est plus question du sort des minorités françaises en dehors du Québec que certains qualifient de combat sans issue, mais des pouvoirs nécessaires à l'État du Québec pour assurer sa survie et favoriser l'organisation et le développement de la vie collective des Québécois. Le R.I.N. a traversé une courte phase de nationalisme culturel au cours des années 1960 et 1961. Mais il s'inscrit aussi, dès sa fondation, dans le courant du nationalisme politique en réclamant l'indépendance du Québec. Bien plus, il fut pour ainsi dire l'incarnation même de ce courant en servant de point de référence aux autres partis politiques. Cependant, sous l'influence conjuguée de Pierre Bourgault à la tête du R.I.N. à partir de mai 1964 (et plus tard, d'Andrée Ferretti) et de revues à caractère socialiste comme Révolution québécoise et Parti pris, le nationalisme politique se mue progressivement en nationalisme socio-économique. Dès lors, l'indépendance politique devient un moyen pour la réalisation du mieux-être des Québécois et pour leur libération de l'emprise « capitaliste » autochtone et de la domination « impérialiste » américaine. Il s'agit d'assurer avant tout le développement social et économique du Québec au bénéfice de la collectivité québécoise tout entière et non pas de la seule bourgeoisie, qu'elle soit de langue française ou de langue anglaise. Sous cette optique, pour certains groupes, le socialisme doit passer avant l'indépendance. En d'autres termes, on est indépendantiste parce qu'on est socialiste — l'indépendance du Québec permettant l'établissement d'un socialisme véritable — et non pas l'inverse. Au sein du R.I.N., le nationalisme politique se double rapidement du nationalisme socio-économique. Le parti, en effet, va s'employer non seulement à réclamer l'indépendance politique du Québec, mais aussi à élaborer et faire connaître un programme ambitieux de développement économique et social pour le futur Québec indépendant. On pourrait ajouter que là aussi le R.I.N. fut un élément moteur de ce nouveau nationalisme, bien que le caractère socialiste de son programme fût nettement moins accusé que celui d'autres groupements de moindre importance et plutôt marginaux. Ce mariage du national et du social s'est surtout opéré au moment où le R.I.N. est devenu parti politique et a songé, de ce fait, à se doter d'un programme qui soit différent de celui des partis traditionnels. C'est donc sur cette toile de fond que s'inscrit le développement du R.I.N. au cours des années 1960-1968. C'est dans ce climat politique général qu'il convenait de le situer afin de mieux comprendre, par la suite, l'action des militants au sein du parti et la perception globale qu'ils avaient de leur propre formation politique.
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Ambrosio, Laura. "Enseignants des langues internationales au Canada et recherche en multilinguisme : un aperçu en Ontario." OLBI Working Papers 2 (August 5, 2011). http://dx.doi.org/10.18192/olbiwp.v2i0.1087.

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Abstract:
L’apprentissage, l’enseignement et l’évaluation des langues secondes et étrangères sont des questions de recherche au coeur des préoccupations sociolinguistiques et des politiques internationales touchant la promotion du multilinguisme et de la réalité langagière pluraliste d’aujourd’hui. Les programmes d’enseignement des langues internationales sont un facteur déterminant du maintien de la langue maternelle pour plusieurs communautés d’immigrants au Canada. La capacité de conserver et de transmettre ce patrimoine correspond à un élément d’intégration sociale et culturelle fondamental tant pour les nouveaux résidents canadiens que pour les Canadiens jouissant d’une double nationalité. Le Programme des langues classiques (latin et grec) et internationales est destiné notamment aux étudiants qui n’ont aucune connaissance préalable d’une langue internationale et à ceux qui désirent poursuivre un cheminement acquis par leur expérience personnelle. Le programme a été mis en oeuvre au Canada en 1977 par le ministère de l’Éducation de l’Ontario, afin de répondre à des besoins d’enseignement et d’apprentissage de langues autres que le français langue seconde ou l’anglais langue seconde. C’est dans un cadre descriptif que s’inscrit notre recherche, qui est axée sur une réalité ontarienne. Nous désirons partager les résultats d’un sondage d’opinion mené auprès d’une communauté d’enseignants des langues internationales. Cet instrument a pour but principal une meilleure compréhension des perspectives de ces enseignants et des ressources à leur disposition, afin de mieux préciser l’incidence du maintien et de la connaissance d’une troisième langue dans un pays bilingue comme le Canada.
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Mustapha, Chergui Senouci. "L’Impact De La Langue Anglaise Et Sa Culture Dans L’Intégration Des Pays Nord-Africains Au Nouvel Ordre Mondial." مجلة جيل الدراسات الأدبية والفكرية, 2017, 117. http://dx.doi.org/10.33685/1317-000-032-008.

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Kurihara, Kazuko. "Japanese Aesthetics and English Education in the Global Age." Comparative and International Education 38, no. 1 (June 1, 2009). http://dx.doi.org/10.5206/cie-eci.v38i1.9129.

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Abstract:
With the advent of the global information age, Japanese youth today are required to have authentic abilities to communicate with different peoples from different countries in the English language, rather than simply a good knowledge of practical and functional American English. Affective learners of English are created through aesthetic reading, especially English poetry, when moved or inspired by the authenticity of the content implying the profound but subtle meaning of human emotion in life. In this sense, the way of affective and aesthetic English learning follows the traditional Japanese appreciation of ephemeral beauty. As an authentic incentive to intellectual activities, this sensitivity leads to a deep, accurate, and rapid understanding of different peoples in the global world. American English education in Japan therefore should be aimed at a broader goal of English as a shared language for Internet-based communication, fostering a greater sense of traditional Japanese beauty for a more affective English-learner in the global community. Avec l’avènement de l’ère de la mondialisation, la jeunesse japonaise d’aujourd’hui est tenue d’avoir des capacités authentiques afin de communiquer avec différents peuples de différents pays dans la langue anglaise, plutôt que de simplement avoir une bonne connaissance, pratique et fonctionnelle, de l’anglais américain. Des apprenants affectifs de l’anglais sont stimulés par la lecture esthétique, particulièrement la poésie anglaise, lorsqu’ils sont émus ou inspirés par l’authenticité du contexte impliquant la signification profonde mais subtile de l’émotion humaine dans la vie. Dans ce sens, la manière affective et esthétique de l’apprentissage anglaise suit l’appréciation japonaise traditionnelle de la beauté éphémère. Comme incitation authentique aux activités intellectuelles, cette sensibilité mène à une compréhension profonde, précise et rapide de différents peuples dans le monde globalisé. L’éducation de l’anglais américain devrait alors viser à un objectif plus général de l’anglais non seulement comme langue partagée pour la communication par Internet, mais aussi favorisant un plus grand sens de beauté traditionnelle japonaise afin de produire des apprenants affectifs dans la communauté globale.
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PIEBOP, Gisèle. "MULTILINGUISME ET DYNAMIQUE DU FRANÇAIS AU CAMEROUN : VARIATIONS, CRÉATIVITÉS LEXICO-SÉMANTIQUE ET MORPHO-SYNTAXIQUE." FRANCISOLA 1, no. 1 (June 30, 2016). http://dx.doi.org/10.17509/francisola.v1i1.2565.

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Abstract:
<p><strong>RÉSUMÉ.</strong><strong> </strong>Motivé par la forte différenciation ethnico-linguistique d’un pays caractérisé par un profil sociolinguistique pléthorique et complexe du fait de ses 283 unités linguistiques, l’Etat camerounais opte au lendemain des indépendances pour une politique linguistique érigeant l’anglais et le français comme langues officielles. A ce titre, ces deux langues des anciennes puissances coloniales bénéficient de privilèges de premiers rangs, au détriment des langues nationales qui se contentent de statuts et fonctions secondaires. Le français en ce qui le concerne se retrouve ainsi sur un territoire où les diversités ethnique, géographique et culturelle détermineront ses modalités d’appropriation et d’expansion, et surtout les variations sociolinguistiques auxquelles il est soumis. Se pose alors la question du développement et du devenir de cette langue importée et le présent article vient apporter des éléments de réponse à ce sujet. Ainsi, le travail analysera à partir de l’approche variationniste, les usages du français camerounais qui évolue et s’enrichit chaque jour un peu plus de tournures morpho-syntaxiques, d’emprunts, de nouvelles graphies, de calques, de nouveaux sens, etc.</p><p><strong> </strong></p><p><strong>Mots-clés:</strong> <em>appropriation, diversité, français camerounais, statuts, variations.</em></p><p><em><br /></em></p><p><strong>ABSTRACT.</strong><strong> </strong>Motivated by the strong ethno-linguistic differentiation of a country with a bloated and complex sociolinguistic profile due to its 283 linguistic units, the Cameroon government after independence opted for a language policy erecting English and French as official languages. As such, the two languages of former colonial powers receive forefront of privileges at the expense of national languages which merely secondary status and functions. As well as it is concerned, the French language finds it self in a territory where ethnic, geographic and cultural diversities determine its terms of appropriation and expansion, especially sociolinguistic variations to which it is subjected. This raises the question of the development and the future of this imported language, and this article just provides answers to this. The variationist approach is the framework through which the Cameroonian French, that evolves and grows each day a little more through morphosyntactic turns, loans, new spellings, layers, new meanings, etc. is analyzed.</p><p><strong> </strong></p><p><strong>Keywords: </strong><em>appropriation, Cameroon French, diversity, statutes changes.</em><em></em></p><p><em><br /></em></p>
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Jenicek, Ainsley, Alan D. Wong, and Edward Ou Jin Lee. "Dangerous Shortcuts: Representations of Sexual Minority Refugees in the Post-9/11 Canadian Press." Canadian Journal of Communication 34, no. 4 (December 12, 2009). http://dx.doi.org/10.22230/cjc.2009v34n4a2119.

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Abstract:
Abstract: Canadian newspapers are a principal source of information on refugees claiming asylum in Canada on the basis of persecution for their sexual orientation. Many articles rely on culturally racist and classist stereotypes of sexual minorities to demonstrate claimants’ legitimacy. Refugees’ stories are further deployed as “mediating agents” to confirm Canada’s “superiority” over other regions, particularly those identified as Islamic. To determine what thematic constructions are most prevalent among Canadian news sources, the authors conducted a critical discourse analysis (CDA) and secondary textual analysis of articles culled from five Canadian English-language newspapers, employing critical race and queer theories as framing devices.Résumé : La presse canadienne est une source importante d’informations sur les réfugiés cherchant asile au Canada parce qu’ils ont subi des persécutions pour leur orientation sexuelle dans leurs pays d’origine. Cependant, de nombreux articles, en voulant démontrer la légitimité des demandes d’asile provenant de minorités sexuelles, ont recours à des stéréotypes de race et de classe. Les histoires de tels réfugiés servent en outre d’agents médiateurs pour confirmer la supériorité du Canada par rapport à d’autres régions, particulièrement celles qualifiées d’islamiques. Afin d’identifier les constructions thématiques prédominantes portant sur les réfugiés appartenant à des minorités sexuelles, les auteurs ont mené une analyse de discours critique et une analyse textuelle secondaire sur des articles provenant de cinq quotidiens canadiens de langue anglaise, avec comme cadre analytique des théories sur la race et sur l’orientation sexuelle.
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Dominguez, Virginia. "US anthropologie." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.132.

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Abstract:
Il est à la fois attendu et surprenant que l’American Anthropological Association (AAA) fonctionne en anglais à l’heure actuelle et qu’elle l’ait fait dans une très large mesure au fil des ans. Dans le premier cas, cela s’explique par trois raisons : un, c’est la principale association d’anthropologues des États-Unis et ce pays est un pays dont le gouvernement, la formation et le commerce sont dominés par l’anglais; deux, il s’agit d’une association dont la majorité des membres sont anglophones et dont beaucoup n’ont que peu, voire aucune expérience en matière de présentation d’exposés professionnels ou même d’enseignement dans une langue autre que l’anglais; trois, alors que dans les premières années de l'association, les États-Unis étaient moins dominants qu'aujourd'hui, et que le français était souvent enseigné à l'école et considéré comme la langue de la « culture », l'anglais demeurait néanmoins la langue dominante dans l'empire britannique. Dans le deuxième cas, il est quand même surprenant que l’American Anthropological Association ait fonctionné et fonctionne toujours seulement en anglais, alors que de nombreux anthropologues basés aux États-Unis étudient une deuxième, et peut-être même une troisième langue, afin d’effectuer leur travail de terrain. C'est le cas de la plupart des anthropologues socioculturels, de la quasi-totalité des anthropologues linguistiques et de nombreux archéologues anthropologues. Cela semble moins l’être parmi les anthropologues biologiques. La question est donc de savoir pourquoi toutes ces langues ne sont utilisées que dans le cadre de la recherche sur le terrain et pourquoi l’anglais demeure l’unique langue de l’American Anthropological Association. Pour y répondre mettons cela dans une perspective plus large. À ma connaissance, et même à celle des membres de longue date de l'AAA, l'anglais est non seulement la langue de l’Association, mais également celle de sa principale conférence annuelle et de ses principaux journaux et bulletins d'information (incluant les bulletins trimestriels) : American Anthropologist, American Ethnologist, Cultural Anthropology, Medical Anthropology Quarterly (le journal de la société d’anthropologie médicale), Ethos (le journal de la Society for Psychological Anthropology) et, enfin, Anthropology and Education Quarterly (le journal de la Society for Anthropology and Education). Ce monolinguisme est intéressant à relever, sachant par ailleurs que les États-Unis se considèrent comme une société immigrée et, au fil des ans, de nombreux Américains n’ont pas du tout parlé anglais ou ne l’ont pas parlé couramment, et qu’au moins un sixième de la population des États-Unis est d'origine latino-américaine, dont une partie ne parle pas l'anglais comme langue maternelle ou ne parle pas confortablement cette langue. De sorte que si l’AAA devait refléter les pratiques linguistiques et les expériences des habitants des États-Unis, cette association ne serait pas aujourd’hui monolingue, pas plus qu’elle ne l’a été au XXe siècle. Si nous examinons d’autres sociétés anthropologiques du monde, nous constatons que cette situation n’est pas spécifique à l’AAA. Nous avons ainsi l’exemple de la Société canadienne d’anthropologie (CASCA), mais aussi ceux de l’Association européenne des anthropologues sociaux (EASA/l’AESA) et de l’Union internationale des sciences anthropologiques et ethnologiques (IUAES/l’UISAE). En effet, ce qui est de jure n'est pas nécessairement de facto et toutes ces associations anthropologiques illustrent bien cette tendance à l’usage exclusif de l’anglais. Anthropologica, le journal de l'association canadienne, est officiellement bilingue anglais français, mais la majorité des soumissions sont en anglais. De même, l’EASA/l'AESA, fondée il y a près de 30 ans au moins en partie pour contrer l'AAA et pour permettre des présentations en anglais et en français, voit ses conférences bisannuelles devenir au fil des ans des conférences largement anglophones, avec peu de panels ou même de présentations en français. Et quelque chose de similaire est arrivé à l'IUAES, à tel point que Miriam Grossi, responsable du congrès de l’IUAES de 2018 à Florianopolis, au Brésil, s'est efforcée d'autoriser les présentations non seulement en anglais et en français, mais également en espagnol et en portugais. Le fait est que beaucoup de personnes aux États-Unis et ailleurs pensent que « tout le monde parlant anglais », les anthropologues américains n'auraient pas besoin de maîtriser (ou même d'apprendre) une langue autre que l'anglais. Il y a à peine un an, l'un de nos étudiants de troisième cycle m'a demandé pourquoi ils devaient encore être soumis à des examens en langues étrangères. J'ai été étonnée de la question, mais j'ai simplement répondu que pour des raisons éthiques et politiques, si nous incitons d’autres personnes à apprendre l’anglais suffisamment bien pour présenter leurs travaux universitaires en anglais, et pas seulement pour le parler, nous devons prendre la peine de leur rendre la pareille en apprenant d’autres langues que l’anglais. Il existe clairement une incohérence entre la politique déclarée de la communauté des anthropologues américains – telle qu’elle est représentée par le AAA et de nombreux départements universitaires, si ce n’est tous – et leurs pratiques sur le terrain. Une profession qui tient à dire qu'elle étudie toute l'humanité et se soucie de tous les groupes humains et de toutes les communautés est une profession de foi qui devrait se préoccuper des langues de tous les groupes humains et de toutes les communautés, y compris des politiques d'utilisation de ces langues. Comme on l’a relevé ci-dessus, la plupart des anthropologues socioculturels, presque tous les anthropologues linguistiques et de nombreux archéologues anthropologistes apprennent sur le terrain des langues, mais ils ne les étendent pas à leurs enseignements, à leurs conférences ou leurs publications. Ed Liebow (Directeur exécutif de l’AAA) me l'a confirmé lorsque je lui ai demandé par courrier électronique si l'AAA avait, à sa connaissance, des politiques linguistiques officielles. Ce dernier a ajouté qu’après l’examen des dossiers du Conseil Exécutif de l'AAA, remontant au début des années 1970, l’une de ses collègues lui a précisé qu’elle n'avait trouvé aucune résolution concernant les langues autres que l'anglais dans l’AAA, à la seule exception de la revue American Anthropologist. C’est ainsi que, tôt au cours de ce siècle, sous la direction de Tom Boellstorff, rédacteur en chef de l'époque de l’American Anthropologist, les auteurs ont été invités à inclure des résumés dans un maximum de deux langues autres que l'anglais. Sous la direction du rédacteur en chef Michael Chibnik et plus récemment de Deborah Thomas, l’American Anthropologist a proposé d’inclure les manuscrits originaux, avant leur traduction en anglais, sur un site Web associé à la revue. Malgré ces bonnes intentions, cela ne s’est pas encore concrétisé. Pour sa part, la Société pour l’Amérique latine et les Caraïbes (SLACA), une section de l’AAA, a périodiquement permis aux universitaires de présenter leurs communications en espagnol. Enfin d’autres rédacteurs de revues, comme ce fut mon cas lorsque j’étais éditrice responsable de l’American Ethnologist entre 2002 et 2007, autorisent théoriquement la soumission de manuscrits dans des langues autres que l'anglais et, dans certains cas, envoient même ces manuscrits à des collègues pour examen, mais cela ne se produit que dans les cas où l'éditeur estime que la chance de trouver des pairs examinateurs capables d’évaluer un manuscrit dans ces langues (telles que l'espagnol) est grande, et le manuscrit est toujours traduit en anglais pour publication. Bref, nous, les anthropologues américains, sommes justement accusés d'hégémonisme linguistique, car nous insistons pour que l'anglais soit la langue prédominante dans les publications et les présentations dans les colloques et congrès scientifiques. Cela désavantage les chercheurs dont l'anglais n'est pas la langue maternelle, les pairs examinateurs ne pouvant s'empêcher d'être influencés par les nuances du style discursif. De plus, les revues anglophones en anthropologie ont de loin les facteurs d’impact les plus importants, reflétant (même imparfaitement) la fréquence avec laquelle les publications de langue anglaise sont citées et influençant du coup la pensée des chercheurs à travers le monde. Nous savons par ailleurs combien la publication dans une des revues de l’AAA est recherchée par les universitaires. L’un des récents moyens que nous avons développé pour corriger ce biais consiste dans un nouvel instrument – le référentiel ouvert de recherche en anthropologie, The Open Anthropology Research Repository (OARR), qui servira de plateforme accessible au monde entier pour déposer des documents de recherche, des rapports techniques, des présentations de conférences, des plans de cours, dans n'importe quelle langue. À la différence de Researchgate et Academia.edu, qui appartiennent à des sociétés commerciales et exploitent activement les données des utilisateurs pour promouvoir l'utilisation et la vente de publicité, l'OARR est construit avec l'aide d'un groupe consultatif international composé de l'Union mondiale d'anthropologie (WAU), de l’Institut royal d'anthropologie (RAI), de l’Association américaine des anthropologues physiques (AAPA), de la Société pour l'archéologie américaine (SAA), de la Société pour l'anthropologie appliquée (SfAA) ainsi que de la Société linguistique d'Amérique. Le but étant d’élargir la diffusion du savoir.
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Dominguez, Virginia. "Anthropologie israélienne." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.130.

Full text
Abstract:
Israël est un pays complexe et les anthropologues qui en font l’étude le savent bien (Dominguez 1989; Marx 1980; Motzafi-Haller 2018). La plus grande partie de l’anthropologie en Israël a jusqu’à présent été réalisée par des anthropologues juifs, hommes et femmes, ashkénazes (principalement d’ascendance européenne du nord et de l’est d’Europe) et mizrachi (principalement d’origine nord-africaine, ibérique et du Moyen-Orient). Les juifs ashkénazes ont largement prédominé dans les domaines politique, universitaire, économique et artistique au cours des premières décennies qui ont suivi la création de l'État d'Israël, ce pays qui vient de fêter ses 70 ans. Il n'est donc pas surprenant qu’on y retrouve beaucoup plus d'anthropologues juifs ashkénazes que d’anthropologues juifs Mizrachim ou d’anthropologues palestiniens. La plupart des anthropologues en Israël sont des anthropologues sociaux ou socioculturels (Abuhav 2015). Certains d’entre eux sont des anthropologues praticiens / appliqués qui travaillent dans les ministères de l’éducation, de la santé et de l’absorption des immigrants juifs et qui ont font partie d’une association d’anthropologie appliquée. Mais beaucoup n’adhèrent à aucune association. L'archéologie, partie des quatre champs de l’anthropologie selon la conception américaine de cette dernière, n'est pas considérée comme une carrière anthropologique en Israël, même si elle y est considérée comme une discipline visible et importante. On trouve la présence d’anthropologues médicaux et biologiques en Israël, mais ils ne sont certainement pas la majorité et ils sont rarement embauchés par les départements de l'université ou du collège dans lesquels travaillent la plupart des anthropologues universitaires. Jusqu'à récemment, tous ces départements étaient dans les faits des départements de sociologie et d'anthropologie, composés d’une majorité de sociologues. Ce n'est que depuis 5 ans qu'un département entièrement composé d’anthropologues a vu le jour, soit le département de l'Université de Haïfa qui se consacre au niveaux supérieurs de formation. L’association d’anthropologie d’Israël ((HaAguda HaAntropologit HaYisraelit)) remonte au début des années 1970 et n’a compté jusqu’à présent que des anthropologues juifs comme chefs ou présidents. Des efforts ont été faits pour changer cette situation au fil des ans, car tous les membres de l’Association ne sont pas juifs et certains d’entre eux croient fermement qu’ils ne doivent pas tous être juifs. Cette question demeure délicate pour certains des membres les plus en vue de la communauté anthropologique en Israël, citoyens d’Israël mais également Palestiniens (Kanaaneh 2002; Sa’ar 2016). Alors que l’association d’anthropologie d’Israël s'oppose largement à l'occupation de la Cisjordanie et à toute forme de discrimination à l'encontre des Palestiniens, en particulier de ses concitoyens, cette organisation est toujours israélienne et a toujours été une association fortement juive. En fait, ce n’est que récemment que la plupart des départements universitaires israéliens ont engagé des Arabes, des Palestiniens, voire des musulmans, en tant que membres du corps enseignant. Pour les quelques Palestiniens qui occupent actuellement ces postes dans des universités ou des collèges israéliens, les postes de direction de l'association anthropologique israélienne les laisseraient ouverts à la critique selon lesquelles ils seraient simplement des collaborateurs ou des complices des sionistes israéliens qui considèrent Israël comme un pays réservé aux juifs et un pays réalisé par les juifs dont les valeurs morales l'obligent à être tolérant envers les non-Juifs parmi eux. Ainsi, une nouvelle association appelée Insaniyyat a simplement été créée ces dernières années pour et par des anthropologues palestiniens Pendant des années et avant la date de la fondation de l’association (1973) l’anthropologie a été enseignée aux niveaux universitaire dans toutes les grandes universités israéliennes et les étudiants ont obtenu un baccalauréat en sociologie et en anthropologie, une maîtrise en anthropologie et un doctorat en anthropologie en Israël. Le corps professoral et les étudiants israéliens font des recherches, présentent leurs travaux lors de conférences et pratiquent périodiquement des activités d'anthropologie engagée ou de plaidoyer. La qualité de leurs recherches et de leurs publications est généralement élevée, et les universités s'attendent à de nombreuses publications dans des revues savantes internationales de haute qualité destinées à toute personne considérée pour une promotion et une permanence. Pendant des années aussi, l'anglais a été fortement enseigné et fortement favorisé à la fois dans la communauté universitaire en général en Israël et dans la communauté anthropologique israélienne en particulier. En fait, la publication en hébreu dans des revues israéliennes n'a pas autant de valeur que celle dans des revues de langue anglaise au Royaume-Uni, aux États-Unis, en Australie ou au Canada. Une partie de cette tendance est valable pour les universités israéliennes en général, mais une autre est spécifique à l'anthropologie en Israël. Au fil des ans, plusieurs influences ont marqué l'anthropologie en Israël. Le regretté professeur Shmuel Eisenstadt (1967), qui a marqué la sociologie et l'anthropologie en Israël, en particulier dans son département d'origine à l'Université hébraïque de Jérusalem, compte parmi celles-la. Pendant bon nombre d'années, ce professeur a été nommé à Harvard (pendant six mois) alors qu'il était également à l'Université hébraïque de Jérusalem. Ce professeur se croyait autant anthropologue que sociologue et considérait l'anthropologie comme une branche de la sociologie, cela bien que ce n’était généralement pas l’opinion des anthropologues qu’il était disposé à engager comme professeurs dans ce même département. Sa connexion à Harvard était importante. C’est vers les États-Unis qu’il s’est tourné en ses qualités de sociologue et d’anthropologue, mais aussi que sur l’organisation de l’enseignement supérieur en Israël. Ce n’était pas l’Allemagne, la Pologne, la France, l’Italie ou tout autre pays imaginable. Ce n’est donc pas un hasard si ce chercheur a privilégié les publications en anglais et plus particulièrement aux États-Unis. La deuxième influence importante qui a marqué l’anthropologie israélienne a été celle de la Manchester School dirigée par Max Gluckman, un juif sud-africain émigré en Angleterre à l’origine de ce puissant département d'anthropologie à l'Université de Manchester en Angleterre. Gluckman a formé des anthropologues à Manchester pour effectuer des travaux d'anthropologie sociale en Israël, et certains de ses plus importants étudiants sont restés en Israël et y sont devenus professeurs d'anthropologie sociale. Une troisième influence sur le développement de l'anthropologie en Israël fut le sionisme travailliste lui-même. Des juifs d'autres pays sont venus s'installer en Israël pour participer au développement d'un Israël à tendance socialiste dans les années 1950 et 1960. Certains d'entre eux étaient des anthropologues titulaires d'un doctorat de pays anglophones (ou dominants anglophones), comme les États-Unis, le Royaume-Uni, Canada, l’Australie, l’Afrique du Sud et la Nouvelle-Zélande. Pendant de nombreuses années, peu de postes de professeur d’anthropologie dans des universités israéliennes ont été occupés par des Israéliens nés dans le pays, et certainement pas par des anthropologues n’ayant jamais étudié dans un pays anglophone, suivi une formation postuniversitaire dans un pays anglophone ou encore terminé au moins un postdoc dans un pays anglophone. Quand des collègues qui sont des rédacteurs de revues anglophones en anthropologie aux États-Unis, au Royaume-Uni ou au Canada font une remarque sur le nombre de manuscrits qu’ils reçoivent d’anthropologues israéliens et sur leur qualité, je souris. Les anthropologues israéliens publient en dehors d’Israël parce que leur université accorde plus d’importance, en particulier dans les articles de revues, et que leurs textes sont bons (c’est-à-dire que leurs problèmes sont familiers et qu’ils respectent les normes des articles de journaux aux États-Unis), car ils ont en grande partie été formés et par des anthropologues anglophones. Une génération plus jeune est maintenant moins à l'aise de publier ou de présenter ses recherches en anglais, parce que l'anglais n'est pas la langue maternelle des anthropologues israéliens, mais le fait demeure qu'ils lisent des livres et des articles en anglais tout au long de leurs études universitaires. Il faut mentionner que peu de livres ou d'articles académiques sont traduits de l’anglais vers l’hébreu. Quoi que les conférences et conversations universitaires soient en hébreu, de nombreux livres et articles qu'ils sont censés lire sont en anglais. Quels sont les champs et thèmes de recherche privilégiés par ces anthropologues ? Sans surprise, ils travaillent sur une variétés de sujets, mais aussi, sans surprise, on note quelques changements au fil des ans (Feldman 2008; Levy et Weingrod 2004; Markowitz 2013). Les premières vagues d'anthropologues en Israël avaient tendance à travailler sur des groupes d'immigrants juifs non ashkénazes en Israël ou sur des communautés non juives vivant en Israël. Pour la plupart, ils ont étudié les kibboutzim et les moshavim ou villes de développement en Israël. Cette tendance s’est partiellement modifiée dans les années 1980 et 1990, mais la plupart des anthropologues israéliens travaillent encore largement sur le terrain en Israël et non en dehors d’Israël. L'adaptation et l'intégration des nouveaux arrivants ne sont plus des thèmes dominants. D’autres thèmes de recherche apparaissent tels que les LGBTQ, les New Agers en Israël, certains se penchent sur la science et la technologie en Israël, d’autres sur la reproduction et sa politique en Israël, sur le néolibéralisme en Israël ou encore les tribunaux de conversion en Israël. Les autres sujets prédominants sont l'anthropologie médicale et psychologique, la jeunesse, le féminisme et le genre, et ainsi que les études environnementales. L'anthropologie israélienne interroge de nombreux aspects de la vie en Israël. Elle se considérait de gauche dans les premières décennies d’Israël (quand Israël avait un gouvernement à tendance socialiste) comme c’est toujours le cas aujourd’hui (malgré le mouvement connu d’Israël vers la droite) (voir Lomsky-Feder et Ben-Ari 2000). L'anthropologie israélienne a longtemps été influencée par l'anthropologie dans le monde anglophone et aucun signe n’indique que cela soit en train de changer. L’anthropologie israélienne a longtemps été centrée sur la vie en Israël (juive et arabe) ; bien que les thèmes de recherche aient tendance à se diversifier, et encore là tout indique que cette tendance se poursuit, même si davantage d’anthropologues israéliens travaillent dorénavant sur terrains en dehors d’Israël. Les anthropologues israéliens ont reçu une formation rigoureuse à tous les niveaux de leurs études universitaires, et je vois que cela continue. Reste à savoir si les juifs et les palestiniens trouveront davantage de collaborations que ce que l’on constate aujourd’hui. Lorsque la communauté anthropologique américaine a sérieusement envisagé le mouvement BDS (mouvement britannique de boycott, désinvestissement et sanction face à Israël) (voir Redden 2016) les anthropologues israéliens se sont préparés au boycott qu'ils attendaient des départements, revues et maisons d'édition anthropologiques américains. Ils ont également subi un peu de pression (de leurs universités et de leurs collègues) pour combattre le BDS. Beaucoup s'inquiètent de l'impact du BDS sur la communauté anthropologique israélienne. Rétrospectivement, c’est un signe vraiment visible de la manière dont la communauté anthropologique israélienne a été liée - et continue de l’être - à la communauté anthropologique américaine. Certains[DVR1] [DVR2] [DVR3] [DVR4] anthropologues israéliens de la première génération craignent que la jeune génération ne fasse plus de travail sur le terrain en immersion totale et, partant, que l'anthropologie disparaisse bientôt de la vie et du monde universitaire israéliens, mais je vois des continuités tout autant que des changements dans l'anthropologie israélienne, et je ne pense pas que l'anthropologie est susceptible de disparaître en Israël.
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