Academic literature on the topic 'Musées – Aspect politique – Chine'

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Dissertations / Theses on the topic "Musées – Aspect politique – Chine"

1

Chan, Tsai-Yun. "Le Musée du Palais (Gugong) : mémoire collective et patrimoine partagé au sein du monde chinois." Paris, Institut d'études politiques, 2012. http://www.theses.fr/2012IEPP0040.

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Abstract:
Au carrefour de l’histoire politique et de l’histoire culturelle, cette thèse vise à analyser le rôle symbolique et l’instrumentalisation politique d’une institution culturelle, le Musée du Palais, renfermant les collections amassées par 51 empereurs chinois durant environs neuf siècles. Au lendemain de la révolution de 1911, la fondation du Musée du Palais dans la Cité interdite a symbolisé la rupture avec l’ordre impérial mais aussi la réappropriation, par le régime républicain, d’un héritage culturel élevé au statut de bien national. Lieu de formation d’une mémoire collective, le Musée du Palais est un puissant instrument de légitimation du pouvoir. Or, du fait de la guerre civile chinoise inachevée, les collections de ce Musée ont été partagées depuis 1949 en deux institutions physiquement distinctes, l’une renfermant à Taipei la majorité des pièces emportées à Taïwan par le KMT, l’autre les pièces restées à Pékin aux mains du PCC. À Taïwan même, après avoir été instrumentalisé par Chiang Kai-shek pour légitimer la prétention de la République de Chine à représenter l’ensemble de la nation chinoise, le Musée du Palais de Taipei est devenu un objet de contestation politique avec l’affirmation progressive d’une identité taïwanaise distincte de l’identité chinoise. À cet égard, si le PCC revendique sa propriété sur les pièces déménagées à Taïwan en 1949, il ne peut cautionner le rejet de cet héritage par le DPP précaunisant l’indépendance de jure de Taïwan : le partage de la collection reste donc pour l’heure un puissant garant de l’unité chinoise<br>At the crossroads of political and cultural history, the Palace Museum contains the collections amassed by fifty-one Chinese emperors but currently shared out in two physically distinct entities, one in Beijing, the other in Taipei. On the morrow of the 1911 revolution, the establishment of this institution in the Forbidden City symbolised a rupture with the imperial order. In addition, the foundation of the Palace Museum also marked the reappropriation by the republican regime of a cultural heritage raised to the status of a national treasure. The setting for the formation of a collective memory, a museum is a powerful instrument for the legitimization of power. The unfinished Chinsese civil war meant that the collections of the Palace Museum got shared out as from 1949 between two physically separate establishments. The Taipei premises took most of the items removed to Taiwan by the Nationalists, the Beijing site retained those remaining in the hands of the Communists. In Taiwan, after Chiang Kai-shek made use of the Museum to legitimise the Republic of China’s claim to represent the whole of the Chinese nation, the Museum became the object of political dispute, between the KMT and the DPP, with the gradual emergence of the affirmation of a Taiwanese identity distinct from that of the Chinese. In regard to which, the Communist regime continues to assert its ownership of the items removed to Taipei in 1949. But it cannot endorse the rejection of that heritage by the Taiwanese independence movement. For the moment, the sharing of the collection is a powerful guarantor of Chinese unity
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Benoit, Isabelle. "Politique de mémoire : les musées d'histoire français et allemands : 1945-1995." Grenoble 2, 2001. http://www.theses.fr/2001GRE21026.

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Abstract:
Cette thèse analyse les enjeux politiques et symboliques des musées historiques. Cette question est traitée pour la France et l'Allemagne de 1945 à 1995 selon une posture socio-historique et comparée. La recherche se fonde sur des données quantitatives - 1200 musées - et qualitatives - sources écrites orales et iconographiques. L'analyse est centrée sur les notions de "politique de mémoire", de "mise en récit" et de "paysage muséal". L'auteur établit deux modèles nationaux de fabrication de la mémoire. L'un, français, construit selon les attributs de l'Etat-nation et de la République ; l'autre, allemand, fédéré autour de la notion de Bildung, l'éducation de soi. La thèse comporte trois parties ("Ruines, mémoire et occupation ", "la mémoire divisée ou l'art allemand du détour", "les musées de la Nation française : le paradoxe républicain"). La conclusion générale tire le bilan de la comparaison et propose des résultats de portée plus générale sur le musée comme pratique politique.
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Godement, François. "Aspect du développement économique et politique de la Chine contemporaine." Paris, INALCO, 1989. http://www.theses.fr/1989INAL0014.

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Sun, Peidong. "La mode dans le contexte du totalitarisme : analyse contextuelle et pratiques vestimentaires des habitants des villes du Guangdong pendant la révolution culturelle chinoise." Paris, Institut d'études politiques, 2007. http://www.theses.fr/2007IEPP0031.

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Abstract:
Cette thèse intitulée « La mode dans le contexte de la Révolution Culturelle chinoise » est critique des travaux de la sociologie occidentale sur la mode. Ces derniers ignorent partiellement ou complètement le rôle du pouvoir et de l’idéologie politique dans l’influence qu’ils ont sur les pratiques quotidiennes du code vestimentaire. Ils négligent aussi la signification que les individus attribuent à leur choix de vêtements et à leur style quand le contexte social est celui du totalitarisme. Cette thèse est innovante dans trois domaines. D’abord, elle montre comment l’habillement est un moyen puissant pour alimenter une représentation populaire de l’organisation classiste d’une société ; ensuite, comment les ennemis du régime politique sont rendu vulnérables au niveau local par leur façon non conventionnelle ou inhabituelle de s’habiller ; enfin, comment les gens non seulement reproduisent l’ordre social en suivant le code vestimentaire mais aussi développent un fort sentiment – le plus souvent d’attachement – pour leurs façons de s’habiller. En conséquence, l’ordre social devient inévitablement une sorte d’ordre moral. 65 hommes ou femmes qui étaient de jeunes adultes pendant la décennie examinée et qui vivaient à cette époque dans la province du Guangdong (Chine) ont été interrogés à deux reprises. L’analyse de ces entretiens est basée sur la transcription complète de ce corpus. Une seconde source de données est constituée par des documents d’archives (articles de journaux, photos) et des statistiques globales sur la consommation couvrant cette période<br>This thesis “Fashion in context of chinese Cultural Revolution” (1966-1976) is critical of the western sociological studies on fashion. They ignore partially or completely the role of power and political ideology in shaping the every day practice of dress code and the meanings that individual express in their choice of garments and style when the social context is totalitarian. This thesis is innovative in three areas. First, it shows how the dress is a powerful way of giving a popular picture of the basic class organization of a society; second, how the enemies of the political regime are made vulnerable at the local level through their unconventional or unusual ways of dressing; and third, how people not only reproduce the social order in following the dress code but also develop a strong feeling – most of the time, of attachment – for the way they dress. Hence, the social order becomes inevitably a kind of moral order. 65 men or women who have been young adults during the decade under review and were living at this time in Guandong province have been interviewed twice and the analysis is based on full transcriptions of all the interviews. A second source of data are published record of newspapers articles, photos and statistical data about consumption at that time
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Bayen, Aurélie. "Politiques et modes d'appropriation de l'Internet en Chine : instrumentalisation de l'information et de la communication par le Parti au pouvoir (1994-2013)." Paris, EHESS, 2015. http://www.theses.fr/2015EHES0009.

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Abstract:
Les NTIC ont induit de nouveaux rapports entre le pouvoir et la société chinoise. Ils ont obligé l'Etat-parti à évoluer afin d'éviter que le réseau ne se pose en un véritable outil fédérateur de l'opposition. Ce défi posé, le PCC a fait progressivement de cette menace technologique un atout décisif dans sa pérennisation au pouvoir. En proposant une nouvelle gouvernance, où la participation des citoyens à la vie politique devient un gage de stabilité sociale, le Parti est parvenu à séduire un grand nombre de groupes sociaux présents sur la toile. Cette propagande 2. 0 s'inscrit notamment sous la forme de l'ideotainment décrit par Lagerkvist, où le contrôle de la narration évolue sur un mode plus informatif et ludique. Parallèlement, la domination étatique se trouve sans cesse renforcée par la mise en place de moyens de contrôle techniques et humains colossaux, destinés à effacer toute trace de contestation de l'agora numérique et de sa mémoire collective. Le deuxième volet de l'étude analyse les réactions des internautes dans cet espace public en ligne, où la rhétorique de leurs discours se trouve instrumentalisée en tant qu'enjeu de pouvoir vis-à-vis des dirigeants. L'analyse de la communication en ligne du Parti est la dernière piste qui s'appuie sur les théories de Lefort, au sujet de la politique d'adhésion du Peuple-un contre l'Autre. C'est par cette mue post-totalitaire, constituée au travers d'une politique de communication pragmatique et hégémoniste selon la définition gramscienne, que les élites du Parti ont maintenu leur pouvoir et ont réussi, selon la formule de Lampedusa, a tout changer pour que rien ne change<br>Information and communication technologies on the Internet induced a new relationship between power and society in China. They imposed the Party-State to evolve in order to prevent the network to become a real tool, able to federate the opposition. This challenge urges the Chinese Communist Party to change this technological threat into a crucial asset, to keep the country in its power. By proposing a new governance, where citizens are invited to participate in political life online, the Party got through to seduce a great number of social groups existing on the web. This 2. 0 propaganda falls within the scope of the ideotainment described by Lagerkvist, where narration control evolves on more ludic and informative modes. In the same way, state domination is continuously reinforced by colossal means of technical and human control, intended to delete any trace of contestation from digital agora and its collective memory. The second point of this study analyses internet users' reactions in the cyber public space, where appropriation modes and rhetoric are instrumented as stakes in Power towards the leaders. The political regime characterized by its online communication is based on Claude Lefort's theory, concerning adhesion politic with the Party-One against the Other. This post-totalitarian sloughing, made through a pragmatically and hegemonic communication policy according to Gramsci's definition, lets the Party's elite stay in power and have succeeded to, as Lampedusa says, make everything change to make nothing change. Annexes supply numerous practical and illustrated informations on the history and the functioning of the Internet in China
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Audin, Judith. "Vie quotidienne et pouvoir dans trois quartiers de Pékin : une microsociologie politique comparée des modes de gouvernement urbain au début du 21e siècle." Paris, Institut d'études politiques, 2013. http://spire.sciences-po.fr/hdl:/2441/dambferfb7dfprc9m28294h86.

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Abstract:
Cette thèse propose une réflexion sur l'exercice du pouvoir à partir d'enquêtes effectuées dans trois quartiers contrastés de Pékin (2007-2009). Cette approche « par le bas » s'intéresse à la vie quotidienne en croisant microsociologie urbaine et politique comparée. Le quartier, site de pouvoir, est traversé par différentes formes d'hétéro-contrôle (politiques publiques), de contrôle social (normes) et d'autocontrôle. L'espace d'un quartier se construit sur la base d'interactions et de mises en scène des habitants, producteurs d'arts de faire et de conventions, mais aussi des travailleurs, notamment les agents du comité de résidents. Cette instance, qui ne relève pas officiellement de l'administration, est au cœur de la réforme de l'action publique de construction des communautés de quartier (shequ). Maillon essentiel du contact entre les habitants et la chaîne de l'administration, elle constitue un type particulier de street-level bureaucracy. La domination s'établit à un double niveau, à partir des ambitions étatiques de construction d'une métropole internationale abritant des citadins « modernes et civilisés », mais aussi à partir des désirs de la population (confort, ordre, stabilité). Cet agencement d'intérêts différents a convergé vers le nouveau modèle de résidence (xiaoqu), qui génère une matrice d'assujettissement (logique de marché), mais aussi de subjectivation, les pratiques des individus (routines et contestation) étant productrices de nouveaux cadres. Le quartier devient alors le lieu où les individus construisent leur propre domination, un lieu où s'observe la formation locale de l'État, un lieu de plus en plus connecté à l'image sociale de la « vie bonne »<br>This thesis offers a study of power exercise in three different types of neighbourhoods in Beijing, China, where the author carried out fieldwork from 2007 until 2009. This approach « from below » aims at understanding daily life by crisscrossing urban microsociology and comparative politics. The urban neighbourhood, as a site of power, undergoes different forms of hetero-control, social control and self-control. The neighourhood space is produced by the interactions and theatrical dispositions of the inhabitants, but also by the local workers, among whom the people who work in residents' committees. This organization located at the root-level, though not officially part of the urban administration, is involved in the reform of local public action known as « neighbourhood communities » building (shequ jianshe). An essential link between the inhabitants and the upper-level administration, the committee can be seen as a new generation of street-level bureaucracy. The process of domination is initiated both by the state's strategies aiming at shaping modern civilized citizens living in an international metropolis, and by the inhabitants' yearning for comfort, order, stability. The converging of these different interests leads to the new residential model (xiaoqu), which creates mechanisms of submission (to the logic of the market) as well as subjection (the individuals being able to invent new frames with their daily practices). The eneighbourhood has thus become the core of the state's local formation, a place where each individual is more and more responsible of his own domination, a place more and more conform to the social image of the « good life »
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Trebinjac, Sabine. "Musique ouïgoure et collectes musicales en Chine." Paris 10, 1994. http://www.theses.fr/1994PA100023.

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Abstract:
Grace aux récits anciens (depuis le IIe a. C. ) et aux prescriptions modernes (jusqu' aux textes contemporains post-maoïstes), le rôle primordial accorde au domaine musical et à la musique qui doivent être respectivement considérés comme un champ symbolique politique et un emblème, a été mis en évidence : la musique est en chine une affaire d'État; elle est un outil aux mains des gouvernants qui est utilisé tant pour mènera bien leur politique que pour juger des bienfaits de leur action gouvernementale. L'importance des affaires musicales était telle que la mise en place d'institutions leur était consacrées s'avère nécessaire. L'histoire de ces divers "bureaux de la musique" qui se sont succédé a été reconstituée; leur organisation interne et leur place au sein de l'État ont été analysées. Il est alors apparu qu'a toutes les époques, ces institutions ont été importants tant par le nombre de fonctionnaires qu'elles rassemblent que par leur place dans la hiérarchie institutionnelle puisqu' elles sont liées aux plus hautes instances étatiques. Ces institutions avaient et ont encore pour tâche essentielle de collecter les musiques de tout l'empire, de les modifier avant de les rediffuser dans l'ensemble du pays; autrement dit, de fabriquer du "traditionalisme d'État". Puis parce que la réécriture musicale est inhérente a la collecte, on a cherché à établir un "livre de recettes" de la réécriture à travers l'exemple de la musique ouïgoure qui représente une des traditions musicales la plus éloignée de la tradition chinoise. Enfin, suite à un essai de formalisation de la réécriture, une théorie sur le traditionalisme d'État clôt l'étude<br>Ancient rescripts (since the 2nd century b. C. ) and modern regulations (up to post Maoist texts) are used to prove the primordial role of the musical domain and of music itself, which must be treated respectively as a political symbolic field and as an emblem. In china music is an affair of state - a tool employed by governors to realize their policies and to proclaim the benefits of their rule. So important were musical affairs that special institutions devoted to them were deemed necessary. The history of several successive "bureau of music" is reconstructed: their internal organization as well as their position within the state is analyzed. It thus becomes clear that these institutions were important in all periods, both in the number of officials they employed as their position in the institutional hierarchy (as they are linked to the highest authorities of the state). The essential task of these institutions was, and still is, to collect the musics of the whole empire and to redisseminate them throughout the country - in other words, to create a "state traditionalism". Then, because musical rewriting is inherent in collecting, a kind of "recipe book" of rewriting is attempted through the example of Uyghur music, which is one the most distant musical traditions from the Chinese one. Following an essay formalizing musical rewriting, the dissertation concludes with a model theory of state traditionalism
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Li, Xiande. "Le village de Lijia, aspects de l'économie paysanne en Chine." Paris, EHESS, 2000. http://www.theses.fr/2000EHES0099.

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Cointet, Laurette. "Le spectre soviétique dans la politique des nationalités de la République Populaire de Chine : de la représentation des "autres" à la réalisation d'une identité chinoise (Zhonghua)." Lyon 3, 2008. https://scd-resnum.univ-lyon3.fr/out/theses/2008_out_cointet_l.pdf.

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Abstract:
Que la politique chinoise des nationalités soit influencée par la politique soviétique des nationalités n'est pas une découverte et en effet, différents faits historiques de la première moitié du vingtième siècle révèlent la nature de cet influence, directe, indirecte, voulue et développée ou subie. Cependant, avec le discours de la " spécificité chinoise " apparu au milieu des années 1980 et qui implique non seulement la politique générale mais aussi la politique des nationalités du PCC, comment le Parti Communiste Chinois peut-il gérer une telle influence? Peu après la désintégration de l'Union Soviétique, les recherches sur les nationalités en RPC se tournent vers une nouvelle question : comment la Chine, en tant qu' " Etat socialiste multiethnique ", peut-elle éviter le destin de l'Union Soviétique ? Les réflexions intellectuelles post-soviétiques en RPC concernant les nationalités nous donnent les éléments fondamentaux pour comprendre les tendances et les concepts développés depuis la chute de l'Union Soviétique jusqu'au début des années 2000 dans la politique des nationalités de RPC<br>The fact that the PRC nationality policy has been influenced by the Soviet policy is well known and indeed various historic facts reveal different aspects of the influence, a direct, indirect, deliberate and developed or undergone influence. However, the speech of the "Chinese particularism" that appeared in the middle of 1980s implies not only the general policy of the CCP but also the nationality policy. Therefore we can wonder how the CCP in its discourse manage with this influence. After the collapse of the Soviet Union, a lot of scholars in the PRC have been researching on nationalities attempting answer to the question of how China, as a "multiethnic socialist State", can avoid the same future as the Soviet Union ? The post-Soviet intellectual reflections in the PRC give us several elements to understand tendencies and concepts developed in PRC nationality policy since the faIl of the USSR and this, till the beginning of 2000s
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Wang, Charlotte. "La télévision en Chine continentale : ses enjeux politiques et économiques aujourd'hui." Paris 2, 2009. http://www.theses.fr/2009PA020039.

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Abstract:
L’introduction de cette thèse campe le média TV dans le contexte original et complexe de la Chine d’aujourd’hui. Dans une première partie, l’auteur analyse les caractéristiques de la télévision chinoise, la seule autorisée aujourd’hui en Chine. Elle est la première du monde, ne serait ce que par le nombre de ses téléspectateurs. Dans un premier temps, le média TV est replacé par rapport aux autres médias chinois au sein du paysage médiatique général. Elle est comparée en particulier à la radio, banalisée en Chine comme partout ailleurs dans le monde. Quant à la presse écrite, média chinois par excellence dans la civilisation de l’idéogramme, elle demeure aujourd’hui essentiellement urbaine. Dans la mesure où elle s’est développée dans un pays qui se réclame du marxisme-léninisme, la TV chinoise est par nature au service de l’Etat. On ne s’étonne donc pas que ses structures administratives soient très hiérarchisées, très complexes, parfois opaque. De même, la présence étrangère en matière de programmes est strictement limitée et la censure gouvernementale est très forte. Quant à l’économie du secteur, elle est encore pour l’essentiel étatisée même si la concurrence et la publicité se sont considérablement développées. Il est vrai que le marché de la consommation télévisuelle, avec plus de 95% de Chinois regardant la TV, est devenu considérable. L’étude des audiences montre, quant à elle, que même si la CCTV a une grande importance à l’échelle nationale, les régionalismes marqués ne sont pas pour autant absents du paysage TV chinois. Dans une deuxième partie, intitulée « une histoire particulièrement mouvementée », on apprend que la TV chinoise, moyen de propagande communiste par excellence, a souffert dès ses débuts de la pauvreté du pays. Mais ce sont surtout les valses hésitations du Maoïsme tant politiques qu’économiques qui ont donné à la TV chinoise ses traits les plus essentiels. Quant à la Révolution culturelle, elle a marqué au fer rouge ce média. La télévision tout en étant maintenue en vie a connu des attaques telles qu’elles ont failli la faire disparaître en tant que véhicule culturel. Dans la troisième partie, on peut s’apercevoir que, la TV chinoise, renaissante de ses cendres depuis l’Ouverture de 1978, connaît aujourd’hui des problèmes qui sont de trois sortes. Tout d’abord, elle devra faire peau neuve en se débarrassant des freins bureaucratiques et administratifs qui l’empêchent de progresser vers la liberté. Ensuite, il lui faudra limiter une censure d’autant plus difficile à maintenir qu’elle doit s’exercer en même temps sur les nouvelles technologies de l’information et de la communication. Enfin, la qualité des programmes devra être améliorée sauf à craindre la désertion de nombreux téléspectateurs chinois si la concurrence étrangère venait vraiment à se faire jour. Dans la conclusion, les contradictions de la TV chinoise sont examinées, en particulier celles qui procèdent du fait qu’il est difficile de concilier censure et modernité, administration communiste, concurrence et ouverture globale à l’économie de marché sans parler des pressions encore assez minoritaires d’une bourgeoisie intellectuelle chinoise grandissante qui exige chaque jour plus d'ouverture et de liberté
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Books on the topic "Musées – Aspect politique – Chine"

1

Modernizing China's military: Progress, problems, and prospects. University of California Press, 2002.

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2

The promise of cultural institutions. AltaMira Press, 2003.

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3

David, Alcaud, and Groupe de recherche sur les musées et le patrimoine., eds. Politique et musées. L'Harmattan, 2001.

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4

Politique et musees. L'Harmattan, 2002.

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5

The Hakkas Of Sarawak Sacrificial Gifts In Cold War Era Malaysia. University of Toronto Press, 2013.

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