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1

Mallet, Julien. "Musique urbaine et construction politique de l'identité en Angola." L Homme et la société 126, no. 4 (1997): 37–48. http://dx.doi.org/10.3406/homso.1997.2914.

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Plisson, Michel. "Tango et musique urbaine argentine: resurgences et nouveaux thèmes." Cahiers de musiques traditionnelles 6 (1993): 271. http://dx.doi.org/10.2307/40240185.

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3

Lochmann, Vincent. "3. Kinshasa-la-nuit : témoignage sur la musique zaïroise urbaine." Vibrations 2, no. 1 (1986): 108–23. http://dx.doi.org/10.3406/vibra.1986.903.

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4

Jacob, Céline, and Nicolas Guéguen. "Variations du volume d'une musique de fond et effets sur le comportement de consommation: une évaluation de terrain." Recherche et Applications en Marketing (French Edition) 17, no. 4 (December 2002): 35–43. http://dx.doi.org/10.1177/076737010201700403.

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Abstract:
La musique affectant le comportement du consommateur, une recherche a été conduite dans deux bars (en zone rurale et urbaine) pour tester l'effet du volume sur le consommateur. Une intensité sonore élevée induit une consommation plus importante. L'hypothèse d'un effet « d'activation » pourrait expliquer ces résultats.
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Ahouandjinou, Géraud, Géraud Ahouandjinou, Agnès Badou, Agnès Badou, Ornheilia Zounon, and Ornheilia Zounon. "Le discours transgressif dans la musique urbaine en Afrique de l’Ouest." Communication & langages N°205, no. 3 (2020): 77. http://dx.doi.org/10.3917/comla1.205.0077.

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6

Suzanne, Gilles. "L'économie urbaine des mondes de la musique. Le district rap marseillais." Les Annales de la recherche urbaine 101, no. 1 (2006): 75–81. http://dx.doi.org/10.3406/aru.2006.2673.

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7

Veit, Patrice. "Bach à Berlin en 1829: une « redécouverte »?" Annales. Histoire, Sciences Sociales 62, no. 6 (December 2007): 1345–86. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900036234.

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Abstract:
RésuméEn 1829 à Berlin est rejouée une œuvre qui n’avait plus été entendue depuis la mort de son auteur: laPassion selon saint Matthieude Johann Sebastian Bach. Cette audition acquiert une dimension historique, considérée dès cette époque comme l’acte de naissance de la « redécouverte » de Bach et de sa musique, et fait entrer du même coup la capitale prussienne dans l’histoire de la musique occidentale. À partir d’une démarche d’histoire urbaine et culturelle, cet article se propose d’étudier cet événement en reconstruisant notamment les sociabilités musicales berlinoises, en interrogeant le caractère de la référence à Bach au début du XIXesiècle, en examinant les conditions de l’œuvre et de son exécution ainsi que son interprétation cent ans environ après sa première représentation.
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8

Duhamel, Jean-Marie. "La musique dans la sociabilité urbaine au XVIIIe siècle : l'exemple de Lille." Revue du Nord 75, no. 303 (1993): 893–909. http://dx.doi.org/10.3406/rnord.1993.4876.

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9

Burckhardt Qureshi, Regula. "Une femme musicienne dans un monde masculin : la voix de Begum Akhtar." Canadian University Music Review 16, no. 1 (March 1, 2013): 96–113. http://dx.doi.org/10.7202/1014418ar.

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Abstract:
L’article situe la vie de musicienne d’une grande chanteuse dont la carrière va du milieu féodal et colonial des cours et des salons jusqu’aux scènes fréquentées par la classe moyenne urbaine d’une Inde indépendante. On y retrouve la question habituellement problématique de l’identité sociale de cette musicienne héréditaire, qui est le corollaire inévitable de l’association entre hommes et interprètes, mais aussi la condition essentielle à l’apprentissage et à la pratique de l’art de la musique. Comment Begum Akhtar a rapidement acquis une réputation en musique grâce à l’appui des nobles, comment elle est « passée » dans le monde respectable du mariage, et comment elle a redéfini son art et sa personne, émergeant comme l’idole nationale de la culture musicale de cour de l’Inde — c’est seulement dans les marges que l’on peut voir tous ces aspects, et ce par le biais d’un kaléidoscope de sources positionnées et de l’expression musicale stylisée d’une artiste dépendante des hommes mais qui a aussi créé des liens musicaux avec des femmes (incluant l’auteure).
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Côté, Gérald. "Musiques et identités remixées." Articles 35, no. 1 (February 14, 2017): 53–78. http://dx.doi.org/10.7202/1038944ar.

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Abstract:
Cet article présente une analyse contextuelle du travail créatif de quatre musiciens qui avaient comme mandat de remixer des chansons québécoises enregistrées avant les années 1960. Par le biais d’une enquête dont l’approche s’inspire de méthodes ethnographiques, l’auteur tente d’entrer dans la tête et le coeur des musiciens en vue d’identifier ce qui motive leur créativité et ce qui mène ces derniers à s’incliner vers certains modèles esthétiques plutôt que d’autres. Dans un espace social qualifié de postmoderne ou encore d’hypermoderne selon les sociologues, les motivations nous apparaissent diversifiées, fragmentées, fluctuantes et très contrastées d’un musicien à l’autre, et ce, à l’image d’une époque, d’une génération ou d’une réalité anthropologique urbaine et contemporaine. L’auteur conçoit la musique comme un phénomène multifactoriel où le social et le musical sont interdépendants, en mouvements ainsi qu’en constantes mutations.
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Stern, Monika. "Le reggae, remède contre la marginalisation ? Construction de la jeunesse urbaine à travers la musique (Port-Vila)." Journal de la société des océanistes, no. 144-145 (December 15, 2017): 117–30. http://dx.doi.org/10.4000/jso.7803.

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Straw, Will, and Jonathan Rouleau. "Scènes : ouvertes et restreintes." Cahiers de recherche sociologique, no. 57 (February 24, 2016): 17–32. http://dx.doi.org/10.7202/1035273ar.

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Abstract:
Cet article soutient que la littérature savante sur l’étude des scènes est marquée par une divergence entre deux façons de les concevoir. Les conceptualisations « ouvertes » de la scène la traite comme une manifestation large de l’urbanité, comme partie intégrante de la théâtralité de la vie urbaine. Une « scène », en ce sens, est engagée dans l’insufflation au sein des citadins des valeurs et protocoles éthiques de l’urbanité. Les conceptions « restreintes » de la scène l’approche en termes de formes d’organisation qui entourent certaines formes culturelles, comme des genres de musique. Cependant, on pourrait imaginer la réconciliation de ces façons de concevoir la scène, chacune ayant généré ses propres traditions de recherche et mobilisant des domaines distincts de l’analyse culturelle. Chacune présuppose aussi différentes façons de penser la visibilité des scènes.
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Arlaud, Jean, Pascal Dibie, Christine Louveau de la Guigneraye, and Luiz Eduardo Robinson Achutti. "Conversation sur les préoccupations scientifiques et les perspectives de recherche au sein du Laboratoire d'Anthropologie Visuelle et Sonore du Monde Contemporain." Horizontes Antropológicos 6, no. 13 (June 2000): 251–69. http://dx.doi.org/10.1590/s0104-71832000000100012.

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Abstract:
La présent conversation a été pensée comme l'opportunité de présenter le "Laboratoire d'Anthropologie Visuelle et Sonore du Monde Contemporain", de l'Université Paris 7 - Denis Diderot. Il a été crée en 1992 par monsieur le professeur Dr. Jean Arlaud, anthropologue et cinéaste, directeur auteur et réalisateur de plus de vingt filmes sur des sociétés de tous les continents, dans le même esprit que Jean Rouch, son directeur de doctorat. Ce laboratoire, qui regroupe actuellement 35 chercheurs statutaires et associés, développe des programmes de recherche en Asie Centrale (population Kalash, culture populaire et identité), Asie du Sud-Est ( danses masquées, musique, silat), Îles du Pacifique (Vanuatu), Etats Unis (population Cajun), Afrique (population nilotiques Nyangatom, populations Dogon et Bambara) et Europe (anthropologie urbaine, anthropologie rurale, identité, migrations/changements). Ce dialogue, fruit de l'initiative du doctorant brésilien Luiz Eduardo Robinson Achutti, chercheur associé au laboratoire, présent la démarche scientifique et méthodologique du laboratoire. A travers les paroles du Dr. Jean Arlaud, du Dr.Pascal Dibie, de la Dra.Christine Louveau de la Guigneraye et Achutti, sont abordés les sujets et les préoccupations actuels de ces chercheurs, questions sur l'anthropologie de proximité, l'approche poétique, la pratique du travail avec les images et les sons, la ville comme lieu de recherche et les connections entre anthropologie et multimédia.
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Girard, Bernard. "La ville, matériau artistique." Environnement urbain 8 (December 9, 2014): 97–105. http://dx.doi.org/10.7202/1027740ar.

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Abstract:
Au début des années cinquante, des peintres sont sortis de leur atelier pour aller arracher des affiches. Quelques années plus tard, des compositeurs sont partis à la recherche de sons urbains qu’ils ont intégrés tels quels dans leurs oeuvres. En faisant de la ville une réserve de matériaux, ces artistes, affichistes et compositeurs de musique concrète, ont profondément modifié notre regard sur celle-ci. Ils nous ont amenés à porter un jugement esthétique sur ce qui apparaissait n’être que des nuisances. Ils ont contribué à l’esthétisation de l’espace urbain et à la découverte d’une nouvelle beauté : celle de la ville « canaille ».
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Gomes Jr., Gervásio Hermínio, and Maria Helena Braga e. Vaz da Costa. "INTERTEXTUALIDADE NA PAISAGEM: A CIDADE FÍLMICA DE RECIFE EM FEBRE DO RATO." GEOgraphia 20, no. 44 (December 30, 2018): 36. http://dx.doi.org/10.22409/geographia2018.v1i44.a14311.

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Abstract:
A paisagem urbana é constituída por múltiplas camadas de significados. Considerá-la como um texto nos permite acessar o conteúdo simbólico por meio do qual as culturas, sejam elas dominantes ou alternativas, reproduzem suas normas, seus valores e concepções de mundo. Nessa abordagem, a própria paisagem material, em todas as suas formas de expressão, configura-se como um texto que deve ser detalhadamente lido e interpretado. As evidências do significado das paisagens são encontradas também nos produtos culturais e estéticos produzidos no âmbito da sociedade: na pintura, na literatura, na música, nos filmes. Estes últimos têm um importante papel na estruturação das geografias contemporâneas. Dentro desse contexto, esse trabalho discute, por meio da análise do discurso e de uma abordagem interpretativa, a Recife/PE construída no filme Febre do Rato (2012), dirigido pelo cineasta pernambucano Cláudio Assis, na intenção de desvelar a imagem da cidade de Recife compreendendo os significados expressos na sua paisagem fílmica.Palavras-chave: Paisagem. Significado. Símbolo. Recife. Febre do Rato.INTERTEXTUALITY IN THE LANDSCAPE: RECIFE’S FILMIC CITY IN FEBRE DO RATOAbstract: The urban landscape is constituted by multiple layers of meaning. Considering it as a text, allows us to access the symbolic content through which the dominant or alternative cultures reproduce their norms, values and worldviews. In this approach the material landscape itself, in all its forms of expression, appears as a text that must be read and interpreted at length. Evidences of the meaning of landscapes are also found within cultural and aesthetic products in the society: in painting, in literature, in music and in films. The latter play an important role in the structuring of contemporary geographies. Within this context, this study presents a discourse analysis, and an interpretative approach, of the city of Recife/PE presented in the film Febre do Rato (2012) directed by the Brazilian filmmaker Claudio Assis, with the intention to reveal the image of Recife through the understanding of its filmic landscapes. Keywords: Landscape. Meaning. Symbol. Recife. Febre do Rato.INTERTEXTUALITÉ À PAYSAGE: LA VILLE CINÉMATOGRAPHIQUE DE RECIFE DANS LE FILM FEBRE DO RATORésumé: Le paysage urbaine se compose de plusieurs significations. Considérez cela comme un texte que nous permet d’accéder au contenu symbolique dans les cultures, reproduire leurs normes, valeurs et visions du monde. Dans cette vision, le paysage correspond à plusieurs manières et formes d’expression. Il se revele dans différents produits culturels et esthétiques: dans la peinture, dans la littérature, dans la musique, dans les films, entre autres. De cette façon, votre presence c’est très important dans la structuration des géographies contemporaines. Dans ce contexte, le présent article aborde, à travers l’analyse du discours de film Febre do Rato (2012), réalisé par le cinéaste Pernambuco Claudio Assis, l’images de la ville de Recife et ses multiples significations.Mots-clés: Paysages. Significations. Symbole. Recife. Febre do Rato.
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Sibertin-Blanc, Mariette. "Diffusion des musiques amplifiées et recompositions urbaines." Espaces et sociétés 118, no. 3 (2004): 205. http://dx.doi.org/10.3917/esp.118.0205.

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Buire, Chloé. "L’hégémonie politique à l’épreuve des musiques urbaines à Luanda, Angola." Politique africaine 141, no. 1 (2016): 53. http://dx.doi.org/10.3917/polaf.141.0053.

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Paquot, Thierry. "Paysages sonores, musiques urbaines : de Murray Schafer à Nicolas Frize." Hermès 86, no. 1 (2020): 181. http://dx.doi.org/10.3917/herm.086.0181.

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Champagne, Éric. "La musique dans l’espace urbain: le cas des Symphonies portuaires de Montréal." Circuit 17, no. 3 (February 28, 2008): 65–74. http://dx.doi.org/10.7202/017591ar.

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Abstract:
Résumé Après s’être penché sur les origines et la logistique qui sous-tend la réalisation d’une oeuvre musicale pour sirènes de navire, l’auteur explique l’évolution et le raffinement propre à l’écriture des symphonies portuaires réalisées à Montréal depuis 1995. Les particularités de l’espace utilisé (positionnement des navires dans le Vieux-Port, emplacement du public) et les variations notables des conditions d’écoute dues au climat ont façonné ces oeuvres inusitées qui se déploient dans un espace acoustique urbain très large. L’auteur explique en quoi la notion d’espace est une composante intrinsèque pour les compositeurs devant faire face à cet effectif inusité. Il relève, notamment, que les compositeurs instrumentaux appliquent leurs techniques d’écriture « traditionnelles » tandis que les compositeurs issus de la mouvance « musique actuelle » conservent une approche anecdotique du médium portuaire. L’auteur identifie chez les compositeurs d’électroacoustique une réelle réflexion sur les notions d’espace et d’acoustique dans l’élaboration de leur oeuvres, avant de conclure sur la réception de ces manifestations musicales et populaires.
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Raffin, Fabrice. "Les sens imprévus de la musique comme action culturelle collective en milieu urbain." Sociétés 117, no. 3 (2012): 61. http://dx.doi.org/10.3917/soc.117.0061.

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Lacombe, Hervé. "Francis Poulenc et la danse." Les Cahiers de la Société québécoise de recherche en musique 13, no. 1-2 (September 21, 2012): 61–68. http://dx.doi.org/10.7202/1012351ar.

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Abstract:
La danse constitue un axe important de la production de Poulenc et un modèle essentiel de son style, axe qu’il convient d’examiner globalement. Les références explicites (dans les titres) ou implicites aux danses irriguent toute son oeuvre, en dehors même des ballets, et contribuent à créer un imaginaire de la danse, lié à ses lectures et à ses souvenirs. Les danses populaires urbaines et les danses anciennes s’inscrivent logiquement dans l’esthétique néoclassique et permettent la constitution d’un « folklore personnel ». Le cas exemplaire des Biches, partition composée pour les Ballets russes de Diaghilev, permet à Poulenc de déployer sa propre poétique fondée sur une relation étroite nouant musique, danse et programme intime.
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Blay, Jean-Pierre. "Jorge P. Santiago, La musique et la ville. Sociabilité et identités urbaines à Campos, Brésil, Paris, L’Harmattan, Musique et champs social, 1999,286 p." Histoire urbaine 1, no. 1 (2000): 213. http://dx.doi.org/10.3917/rhu.001.0213.

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Martin, Denis-Constant. "Musique dans la rue et contrôle de l'espace urbain : le Cap (Afrique du sud)." Cahiers internationaux de sociologie 119, no. 2 (2005): 247. http://dx.doi.org/10.3917/cis.119.0247.

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Campos, Rémy. "Ville et musique, essai d’historiographie critique." Histoire urbaine 48, no. 1 (2017): 177. http://dx.doi.org/10.3917/rhu.048.0177.

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Fontes Saboga Cardoso, Thomas. "L’incorporation d’éléments du jazz dans le tango d’Astor Piazzolla." Revue musicale OICRM 4, no. 2 (February 8, 2018): 118–35. http://dx.doi.org/10.7202/1043223ar.

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Abstract:
Nous examinons dans cet article la combinaison entre tango et jazz proposée par le compositeur et bandonéoniste argentin Astor Piazzolla (1921-1992). Les traits du tango y sont privilégiés, constituant les éléments de base repérables principalement dans des gestes mélodiques, des modèles d’accompagnement et des timbres caractéristiques très fréquemment employés, qui assurent aussi bien la cohésion et l’unité musicale que l’identité de ce genre urbain argentin, la centralité du tango figurant comme le principal moyen d’articuler ces univers. Nous observerons également une autre stratégie employée par le compositeur, consistant à profiter des caractéristiques communes des musiques métissées comme moyen pour atteindre l’alliance sonore – le métissage par intersection.
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Jacotot, Sophie. "MPB musique populaire brésilienne, catalogue de l’exposition du Musée de la musique (17 mars-26 juin 2005)." Cahiers des Amériques latines, no. 48-49 (January 31, 2005): 258–61. http://dx.doi.org/10.4000/cal.7988.

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Morency, Jean. "Gérald Leblanc, écrivain du village planétaire." Revue de l'Université de Moncton 38, no. 1 (July 9, 2008): 93–105. http://dx.doi.org/10.7202/018406ar.

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Abstract:
Résumé Ce texte propose une lecture de l’oeuvre poétique de Gérald Leblanc à la lumière du concept de village planétaire forgé par Marshall MacLuhan. En observant le mouvement de dérive qui conduit le poète de la ville imaginée jusqu’au village globalisé, via ses déambulations dans les rues de Moncton et ses méditations dans les espaces du quotidien, l’auteur en arrive au constat que la polyphonie des poèmes de Leblanc est liée avant tout à la situation du poète dans l’espace communicationnel nord-américain. Moncton cesse ainsi de s’offrir comme un pur espace urbain pour devenir une réalité concrète, un chapelet de lieux et de visages familiers. Véritable réceptacle des pratiques issues de la contre-culture, l’oeuvre de Leblanc s’avère symptomatique de la condition postmoderne, qui a modifié sensiblement les paramètres régissant la position de l’écrivain dans le champ culturel. Dans cette perspective, il est possible de relire cette oeuvre comme étant l’expression de la mise en place d’une gigantesque machine cybernétique, carburant à la musique, à la voix et aux images visuelles.
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Rinaudo, Christian. "La question du métissage et de l’héritage africain dans la musique populaire de Veracruz, Mexique." Cahiers des Amériques latines, no. 76 (September 17, 2014): 33–51. http://dx.doi.org/10.4000/cal.3254.

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Plisson, Michel. "Gérard Béhague. Musiques du Brésil : de la cantoria à la samba-reggae." Cahiers des Amériques latines, no. 34 (July 31, 2000): 173–74. http://dx.doi.org/10.4000/cal.6517.

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Ruggiu, François-Joseph. "Laure Gauthier et Mélanie Traversier (sous la direction de), Mélodies urbaines. La musique dans les villes d’Europe ( XVI e - XIX e siècle), Paris, Presses de l’Université de Paris-Sorbonne, 2008,360 p." Histoire urbaine 24, no. 1 (2009): 143. http://dx.doi.org/10.3917/rhu.024.0143.

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Carbonnier, Youri. "David Hennebelle, De Lully à Mozart. Aristocratie, musique et musiciens à Paris (xvii e-xviii e siècles), Seyssel, Champ Vallon, 2009." Histoire urbaine 31, no. 2 (2011): 192. http://dx.doi.org/10.3917/rhu.031.0192.

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Romagnan, Jean-Marie. "L'activité musicale in situ au service de l'analyse géographique : l'école de musique du district de moyenne Durance (Alpes-de-Haute-Provence)." Méditerranée 100, no. 1 (2003): 23–28. http://dx.doi.org/10.3406/medit.2003.3278.

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Ailane, Sofiane. "Hip-hop." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.014.

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Abstract:
Le hip-hop englobe quatre expressions artistiques qui sont constitutives de la culture hip-hop : le dj’ing, le rap, le breakdance et le graffiti. Le rap est une forme de « parler-chanter » exécuté sur des rythmes de bases produits par le Disc Jockey (DJ). Le breakdance est l’expression corporelle du hip-hop, c’est une danse à dimension athlétique, dont l’esthétique se base sur la rupture du flux dans des mouvements amples et fluides. Le graffiti correspond à l’art graphique du hip-hop, ces peintures se donnent à voir généralement sur le mobilier urbain au travers de fresques colorées, mais bien souvent le graffiti reprend sous une forme quasi hiéroglyphique le pseudonyme de l’auteur. Il se distingue du tag par l’usage des techniques de spray, la superposition des couleurs ainsi que par des effets d’ombrage (Bazin 1998). Étymologiquement, « hip-hop », serait la composante de deux termes en anglais hip, qui est issu de l'argot de la rue, le jive talk, qui signifie « être dans le vent, être branché » et to hop qui se traduit littéralement par le verbe danser. Il existe aussi la possibilité que le terme hip-hop soit repris des onomatopées dans la langue anglaise et qui sont présentes dans le langage rap, ainsi on retrouve « hip » qui consiste à encourager et « hop » qui est l'onomatopée qui désigne l'action de sauter. Ces termes étaient utilisés et scandés par les DJ’s habitués à prendre le microphone afin d’encourager les danseurs et haranguer la foule lors des block parties (Toop 1984). D’un point de vue historique et compte tenu de l’hétérogénéité des éléments constitutifs de la culture hip-hop, il est complexe d’indiquer avec précision le moment fondateur de cette expression culturelle même si les années 1970 font consensus dans la communauté des chercheurs. Cependant, d’un point de vue géographique, le ghetto du Bronx apparaît comme le lieu de naissance de la culture hip-hop, d’ailleurs la Smithsonian Institution et le National Museum of American History ont reconnu le « 1520 Sedgwick Avenue » dans le Bronx comme « lieu d’invention » de la culture hip-hop. En effet, les différents éléments de la culture hip-hop se donnaient à voir de façon simultanée dans les block parties du Bronx. Ces fêtes improvisées prenaient place dans les écoles, les centres communautaires, les maisons abandonnées ou bien encore dans les jardins publics. Elles constituaient le moment de loisir privilégié d’une jeunesse délaissée voulant s’épanouir dans un New York en pleine mutation et qui n’offrait alors que peu d’opportunité, de joie et de plaisir (Chang 2005). Pour la jeunesse afro-américaine et caribéenne, habitant le ghetto et victimes collatérales des coupes budgétaires et de la rénovation urbaine, le hip-hop et notamment ces block parties constituaient un moyen d’exprimer une autre façon de vivre le ghetto par la création d’un exutoire salvateur qui leur permist d’appréhender de façon plus ludique les problèmes quotidiens auxquels ils étaient confrontés. Véritable remix urbain des cultures vernaculaires afro-américaines et caribéennes, le hip-hop se nourrit autant de son hybridité que des objets que pouvait lui fournir l’environnement urbain en matières de décors et de lieux d'inspiration, mais également en matières de technologie (spray, sonorisation, hifi) (Gilroy 2003 ; Rose 1994). De plus, l’influence au niveau musical, plastique et rhétorique ne se limite pas à l’Amérique du Nord et la Caraïbe, les civilisations asiatiques, par exemple font également figure de ressources dans lesquels puisent les hip-hoppers. Aujourd’hui en tant qu’objet culturel transnational, on constate la capacité du hip-hop à s’adapter au contexte culturel et social dans chaque partie du globe où il s’exprime (Mitchell 2001). Ces transformations et ces aspects hybrides reflètent l’ « état d’esprit » du hip-hop qui se veut être un espace expérimental non exclusif où les problèmes contemporains et les forces ancestrales fonctionnent ensemble, simultanément, devenant dès lors une figure du métissage (Laplantine et Nous 2001) Néanmoins, malgré l’extraordinaire pluralité des acteurs et des expressions que mobilise la culture hip-hop, il est intéressant d’observer que les hip-hoppers représentent bien souvent des secteurs marginalisés dans leur propre société et qu’ils sont au centre de revendications sociales et égalitaires (Osumare 2007). Bien souvent, le hip-hop constitue la bande sonore d’activistes et il accompagne et/ou porte des pédagogies alternatives en direction des jeunesses de rue (Ailane 2011). Il n’existe pas a priori un cadre d’analyse spécifique de la culture hip-hop en sciences humaines et sociales. Il est un objet d’étude complexe et plurivoque, sans cesse en train de se reformuler, il intègre de nouvelles modalités autant au niveau musical, corporel que dansé. Les causes de cette dynamique seraient à comprendre par sa distribution géographique qui le diversifie d’autant plus. Mais encore, en y regardant de plus près, le hip-hop occupe une place relative dans la vie de ses adeptes, certains le considèrent comme un simple loisir (écouter de la musique par exemple) voire l’identifient à un sport (pour certains pratiquants de breakdance), ou bien l’embrassent tel un mode de vie (les activistes du mouvement hip-hop). Selon les acteurs, le lieu d’expression et le contexte, le hip-hop se donne donc à voir de manière non-monolithique ; il présente inévitablement des variations qui rendent difficile son étude de façon trop généraliste. Il est, compte-tenu de cette hétérogénéité dans la pratique, difficile de se saisir du hip-hop, a fortiori, lorsqu’il s’agit de le mobiliser dans une recherche en sciences sociales. L’approche ethnographique et l’immersion dans l’univers micro-cosmique des hip-hoppers est ainsi souvent privilégiée (Condry 2006 ; Forman 2002 ; Pardue 2008 ; Perullo 2011). Toutefois, l’anthropologie et la sociologie urbaine sont souvent mobilisées pour aborder le hip-hop car en tant que culture urbaine, il permet d’accéder à une lecture de l’univers urbain par le récit que font les hip-hoppers de leur quotidien et l’usage qu’ils font des espaces publics. Le hip-hop peut être considéré comme une ressource fertile pour les chercheurs s’intéressant aux « marges urbaines ». Cette approche n’est pas dénuée de biais car bien souvent, le logiciel utilisé pour analyser les pratiques hip-hop est associé aux problématiques liées aux « pathologies urbaines », violence, trafic, délinquance, exclusion/inclusion, stigmatisation, marginalisation, mettant dès lors de côté, ou du moins minimisant, l’innovation culturelle et sociale dont font preuve les groupes juvéniles. Par ailleurs, les théoriciens des « cultures juvéniles » ont trouvé dans le hip-hop un terrain fertile pour mettre en mouvement leurs pensées. Dans la lignée des cultural studies, les chercheurs ont privilégié les approches qui analysent les rapports entre le hip-hop, considéré sous sa dimension de « subculture résistante » et la culture dite dominante. Cette perspective se concentre notamment autour de problématiques liées à l’authenticité. Bennet (1999) les oppose selon deux points de vue. Le premier consiste à penser l’authenticité dans le hip-hop à travers la préservation de ses origines en tant que culture de rue afro-américaine. Le second point de vue se développe sur une autre conception du hip-hop, considéré comme la construction d’un « lien » qui permettrait le « dialogue » entre les populations afro-diasporiques liées par l’expérience de l’esclavage. Ces deux tendances bien qu’opposées, ont toutefois le large défaut de considérer le hip-hop comme une expression essentiellement afro-centrée et elles évacuent un pan important de hip-hoppers qui ne sont pas noirs et/ou qui ne se revendiquent pas d’une communauté afro-diasporique. L’enjeu des recherches actuelles sur le hip-hop serait donc d’interroger également la dynamique culturelle provoquée par la relocalisation de ces musiques noires dans un contexte global, marqué par le capitalisme occidental et la circulation rapide d’images culturelles dans des lieux dans lesquels elles ont trouvé un nouvel écho
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Booth, Geoffrey. "Managing the Muses: Musical Performance and Modernity in the Public Schools of Late-Nineteenth Century Toronto." Historical Studies in Education / Revue d'histoire de l'éducation, November 4, 2013. http://dx.doi.org/10.32316/hse/rhe.v25i2.4313.

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Abstract:This paper employs the lens of sensory historical analysis to examine public school music in the making of a modern middle class in late-Victorian Toronto. Its aim is to show how this subject both shaped and was shaped by the culture of modernity which increasingly pervaded large urban centres such as Toronto during the course of the nineteenth century. The paper goes beyond pedagogic and bureaucratic justification, to present the evolution of school music within a much broader acoustic framework, that is, to weave it into the increasingly-urban soundtrack of Toronto, to gain some appreciation of how it would have been heard and understood at the time. Its aim is to offer historians of education an understanding of what actually occurred in the classrooms of Toronto during the period by listening to these experiences and the acoustic environment in which they would have been understood.Résumé:Cet article analyse le rôle joué par les cours de musique dans les écoles publiques de Toronto dans le processus de formation de la classe moyenne à l'époque victorienne. L'auteur propose une analyse historique sensorielle afin de démontrer comment cette matière scolaire a influencé et était influencée par la culture de modernité dont s'imprégnaient graduellement les grands centres urbains au cours du dix-neuvième siècle. Au-delà des justifications pédagogiques et bureaucratiques, il présente l’évolution des cours de musique dans un cadre élargi en lien avec la musique diffusée dans cette ville aux sonorités de plus en plus urbaines. Il veut ainsi favoriser une meilleure compréhension de ce qu'était le contexte sonore et sa réceptivité chez les auditeurs à cette époque. Ce texte trace pour les historiens de l'éducation un portrait de l'évolution de l'enseignement de la musique dans les classes torontoises dans le contexte particulier de la nouveauté musicale.
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Borras, Gérard. "La musique, l’espace urbain et les enjeux de la mémoire." Amerika, no. 1 (January 1, 2010). http://dx.doi.org/10.4000/amerika.623.

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Pilco, Enrique. "Puriq wayra. Musique et pérégrination de l’âme dans les Andes péruviennes." Articles 29, no. 2 (March 23, 2018). http://dx.doi.org/10.7202/1044160ar.

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Abstract:
Cet article aborde la question de la conception métisse de l’âme du défunt à travers l’étude des messes, veillées funèbres et processions en milieu urbain de la région de Cusco (Pérou). Il se focalise sur l’hymne Puriq wayra, dont le titre quechua signifie « Vent errant » et qui est une pièce incontournable du répertoire pour les morts. Comme son titre l’indique, Puriq wayra renvoie au caractère baladeur de l’esprit après la mort. Les paroles de cet hymne évoquent l’animu, une conception importante pour penser la force vitale qui anime les personnes. Cette analyse est basée sur des observations de terrain réalisées depuis 1981, essentiellement dans la ville de Cusco. Elle est combinée avec une perspective réflexive et anthropologique des hommages musicaux réalisés dans la cathédrale de Cusco, mais également dans le cimetière de la Almudena, un quartier populaire et métisse de cette ville.
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Tsofack, Jean-Benoît. "Quand la musique (re)gagne la rue : corps et discriminations en contexte urbain au Cameroun." Multilinguales, no. 10 (December 31, 2018). http://dx.doi.org/10.4000/multilinguales.3648.

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Balti, Samuel, and Mariette Sibertin-Blanc. "Les musiques amplifiées et leurs impacts dans la structuration des territoires métropolitains : l’exemple des activités de diffusion dans l’agglomération toulousaine." Sud-Ouest européen, no. 27 (February 1, 2009). http://dx.doi.org/10.4000/soe.2012.

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Salzbrunn, Monika. "Artivisme." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.091.

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Artivisme est un néologisme composé des mots art et activisme. Il concerne l’engagement social et politique d’artistes militants (Lemoine et Ouardi 2010) mais aussi l’art utilisé par des citoyen.ne.s comme moyen d’expression politique (Salzbrunn 2014, 2015 ; Malzacher 2014 : 14 ; Mouffe 2014). La distinction qui porte sur la formation initiale est davantage analytique qu’empirique dans la mesure où la définition d’artistes ou d’œuvres d’art en lien avec une formation institutionnelle (hautes écoles d’art) est aujourd’hui mise en question : Le succès planétaire d’artistes autodidactes engagés comme le photographe français JR montrent qu’on peut acquérir une reconnaissance en tant qu’artiste sans avoir été formé dans une école d’art. De plus, la différence entre l’engagement politique des artistes et leurs œuvres au sens propre est de plus en plus difficile à saisir (Roussel 2006 ; Dufournet et al. 2007). Sur le plan conceptuel, les recherches sur l’artivisme remettent en question la distinction entre l’art considéré comme travail et l’art pour l’art, discutée entre autres par Jacques Rancière dans « Le partage du sensible. Esthétique et politique » : « Produire unit à l’acte de fabriquer celui de mettre au jour, de définir un rapport nouveau entre le faire et le voir. L’art anticipe le travail parce qu’il en réalise le principe : la transformation de la matière sensible en présentation à soi de la communauté » (Rancière 2000 : 71). Les expressions artistiques couvrent un très large panel, allant de l’art plastique et mural, en passant par le graffiti, la bande dessinée, la musique, le flash mobs, le théâtre, à l’invention de nouvelles formes d’expression (Concept Store #3, 2010). L’artivisme actuel, notamment les performances, trouvent leurs racines dans d’autres courants artistiques expérimentaux développés dans les années 1960, notamment le théâtre de l’opprimé d’Agosto Boal, le situationnisme (Debord 1967), le fluxus (http://georgemaciunas.com/). Certains remontent encore plus loin vers le surréalisme et le dadaïsme auxquels l’Internationale situationniste (1958-1969) se réfère afin de pousser la création libre encore plus loin. Tout comme le mouvement situationniste cherchait à créer des situations (1967) pour changer la situation et déstabiliser le public (Lemoine et Ouardiri 2010), et que le théâtre de l’opprimé (Boal 1996) pratiquait le théâtre comme thérapie, l’artivisme contemporain vise à éveiller les consciences afin que les spectateurs sortent de leur « inertie supposée » et prennent position (Lemoine et Ouardi 2010 ; pour les transformations dans et de l’espace urbain voir aussi Schmitz 2015 ; Salzbrunn 2011). Ainsi, les mouvements politiques récents comme Occupy Wallstreet (Graeber 2012) ou La nuit debout (Les Temps Modernes, 2016/05, no. 691 ; Vacarme 2016/03, no. 76) ont occupé l’espace publique de façon créative, se servant de la mascarade et du détournement (de situations, notamment de l’état d’urgence et de l’interdiction de rassemblement), afin d’inciter les passants à s’exprimer et à participer (Bishop 2012). D’autres courants comme les Femen, mouvement féministe translocal, ont eu recours à des performances spectaculaires dans l’espace public ou faisant irruption au cours de rituels religieux ou politiques (Femen 2015). Si ces moyens d’action performatifs au sein du politique étaient largement employés par les courants politiques de gauche (Butler et Athanasiou 2013), l’extrême-droite les emploie également, comme le mouvement identitaire qui a protesté par des actions coup de poing contre les réfugiés dans les Alpes françaises en hiver 2018 (https://www.lemonde.fr/police-justice/article/2018/04/30/militants-identitaires-dans-les-alpes-les-autorites-denoncent-une-operation-de-communication_5292856_1653578.html). Les thèmes politiques abordés se situent néanmoins majoritairement à gauche de l’échiquier politique : mouvement zapatiste, LGBTqueer, lutte anti-capitaliste, antifasciste et pro-refugiés, (afro-/latino-) féminismes (de Lima Costa 2012), mouvement contre l’exclusion des personnes à mobilité réduite, protestation contre la gentrification et la dépossession de l’espace urbain qui s’opère en faveur des touristes et spéculateurs immobiliers et qui va à l’encontre des habitants (Youkhana 2014 ; Pisanello 2017), mouvement d’occupation d’espace, de squat et de centres sociaux auto-gérés, lutte créative en faveur de nouvelles formes de vie commune comme dans la ZAD (Zone à défendre) contre l’aéroport de Nantes etc. (Rancière 2017 : 65-73). Si ces luttes s’inscrivent dans une réflexion critique générale sur les conséquences de la glocalisation, elles se concentrent parfois sur l’amélioration de l’espace local, voire micro-local (Lindgaard 2005), par exemple en créant une convivialité (Caillé et al. 2013) ou des espaces de « guerilla gardening » (mouvement de jardinage urbain comme acte politique) au sein d’une ville. Les « commonistes » qui s’occupent de biens communs et développent les créations par soi-même (DIY – Do it yourself) à travers des FabLabs (laboratoires de fabrication) s’inscrivent également dans cette philosophie en mettant en question de façon créative le rapport entre production et consommation (Baier et al. 2013). Enfin, les mouvements actuels ont largement recours aux dernières technologies d’information et de diffusion, pendant le processus de création et pendant la circulation des œuvres, des images et des témoignages (Salzbrunn et al. 2015). Plus radicalement encore, les hacktivistes interviennent sur des sites web en les détournant et en les transformant. Dans certains endroits, l’humour occupe une place centrale au sein de ces activités artistiques, que ce soit dans le recours aux moyens de style carnavalesques (Cohen 1993), en réinventant le carnaval (Salzbrunn 2014) ou encore en cherchant à créer une ambiance politico-festive réenchantente, assurant un moment de joie et de partage heureux pour les participants. Betz (2016) a traité ce dernier aspect en analysant notamment des « Schnippeldiskos », discos organisés par le mouvement slow food jeunesse qui prennent la forme d’une séance joyeuse de coupage de légumes destinées à une soupe partagée, un moment de « protestation joyeuse », une « forme hybride de désobéissance collective ». Ces nouvelles formes d’interaction entre art, activisme et politique appellent au développement de méthodes de recherches anthropologiques inédites. Ainsi, l’ethnographie est devenue multi-sensorielle (Pink 2009), attentive au toucher, aux parfums, au goût, aux sensations des chercheur.e.s et des personnes impliquées dans l’action artivistique. L’observation participante devient plus radicale sous forme d’apprentissage (Downey et al. 2015). Enfin, les anthropologues qui travaillent sur l’artivisme ont non seulement recours à de nouvelles méthodes, mais aussi à de formes inédites de restitution de leurs recherches, visant notamment à dépasser le centrage sur le texte (Schneider et Wright 2006) en tournant des films documentaires, créant des bandes dessinées (www.erccomics.com), discutant avec les artivistes à travers blogs (www.erc-artivism.ch), ou interagissant à travers des performances comme « Rawson’s Boat », conduite par le Nigérian Jelili Akiku en mai 2018 au Musée d’Acquitaine de Bordeaux.
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