Academic literature on the topic 'Musique vocale – Congo (République)'

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Journal articles on the topic "Musique vocale – Congo (République)"

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White, Bob W. "Notes sur l’esthétique de la rumba congolaise." Circuit 21, no. 2 (2011): 101–10. http://dx.doi.org/10.7202/1005275ar.

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Abstract:
La rumba congolaise de la musique populaire de la République démocratique du Congo est devenue en quelque sorte une musica franca pour une bonne partie de l’Afrique sub-saharienne. Les Congolais d’aujourd’hui aiment dire que leur musique a colonisé le continent, mais cette musique, fortement influencée par ses racines afro-cubaines, a subi un nombre important de transformations esthétiques depuis son émergence sous le régime de la colonie belge. Bien que ce genre musical ait une longue histoire, il y a relativement peu de recherche à son sujet, surtout en ce qui concerne ses aspects esthétiques. En mettant l’accent sur certaines caractéristiques de ces chansons, cet article tente d’expliquer comment la musique populaire à Kinshasa vise à transcender la crise économique et politique que le pays vit depuis plusieurs générations : la conjoncture. En s’inspirant de la philosophie herméneutique de Gadamer, la métaphore de l’écoute est proposée pour nous faire prendre conscience que l’impossibilité d’entendre la musique de l’Autre de son point de vue à lui ne devrait pas nous empêcher d’essayer d’écouter.
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W. White, Bob. "La quête du : rumeurs, réussite et malheur en République démocratique du Congo1." Sociologie et sociétés 39, no. 2 (2008): 61–77. http://dx.doi.org/10.7202/019084ar.

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Abstract:
Résumé En République démocratique du Congo (anciennement le Zaïre), il est généralement admis que les vedettes de la musique populaire utilisent la sorcellerie afin d’assurer leur succès (lupemba). Les rumeurs qui courent à ce sujet veulent que dans certains cas le prix du succès soit le sacrifice (mystique) d’un être cher ou d’un membre de la famille. Publiquement, les musiciens nient toute association avec la sorcellerie : non parce qu’ils ne croient pas en l’existence du phénomène, mais parce qu’y participer serait vu comme anti-social et égoïste. Cela montre à quel point la moralité est un critère d’évaluation du goût esthétique. Sous le régime de Mobutu, la corruption est une stratégie de survie et la circulation de ce genre de rumeurs sert à renforcer l’idée que la réussite individuelle peut se traduire en mobilité sociale autrement que par des moyens sournois et arbitraires.
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Devisch, René. "La divination et ses sources primordiales en milieu yakaphone." Anthropologie et Sociétés 42, no. 2-3 (2018): 247–69. http://dx.doi.org/10.7202/1052645ar.

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Abstract:
Dans la perspective de la culture des Yakaphones au sud-ouest de la République démocratique du Congo, c’est à travers son rêve chamanique et son flair perspicace de la conduite des consultants que le devin ou la devineresse parvient à discerner les signifiants du malheur impensable, voire innommable du client. Consultée, la devineresse en transe sonde l’oracle à venir à travers une phonation inchoative de propos mythologiques concernant l’aube de toute vie. Le battement rythmique du tambour à fente invite les esprits de la famille et du culte ainsi que les consultants à se joindre à l’interrogation à travers une série de questions fixes à réponse affirmative ou négative. L’essai phénoménologique met en avant le fait que l’oracle est une émission vocale du règne de la nuit et de la lune comme manifestation des sources régénératrices primordiales de toute vie. L’oracle scrute la malédiction et l’ensorcellement en jeu, et interroge l’affliction et sa blessure du tissu social et cosmologique. S’élaborant sans sujet ou auteur du dire, l’oracle néanmoins entame une communication entre « l’ailleurs » invisible ou insaisissable et la réalité de « l’ici », de texture visible.
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Dissertations / Theses on the topic "Musique vocale – Congo (République)"

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Coyault, Bernard. "Figures prophétiques et chants révélés dans le réveil évangélique du Congo." Paris, EHESS, 2015. http://www.theses.fr/2015EHES0664.

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Abstract:
Daniel Ndoundou (1911-1986), prophète congolais méconnu et pasteur de l’Église Évangélique du Congo, a dirigé durant 38 ans un mouvement dont l’impact populaire a largement débordé le cadre de son Église. Ce « Réveil de 1947 » (ou nsikumusu), qui avait débuté parmi les élèves pasteurs et instituteurs de la station missionnaire de Ngouedi au sud du Congo Brazzaville, s’inscrit dans l’héritage des prophétismes Kongo. A la mort du prophète, resté sans successeur, le mouvement s’est perpétué par un phénomène de fragmentation, avec l’émergence et la multiplication de figures prophétiques locales et anonymes qui, jusqu’à aujourd’hui, reproduisent et enrichissent la matrice prophétique initiale. Leur activité thérapeutique et visionnaire s’exerce au sein de « groupes spécialisés » abrités dans les paroisses, sous le contrôle des pasteurs, mais également dans des centres thérapeutiques privés, appelés bizinga, en dehors du contrôle de l’Église. Les chorales kilombo où sont interprétés les « chants révélés » constituent l’un des traits originaux et le marqueur identitaire du mouvement, de même que les grandes « retraites spirituelles » rassemblant des milliers, ou dizaines de milliers, de participants. La thèse retrace l’historique du Nsikumusu en montrant le rôle-clé de ces prophétesses et prophètes locaux dans la construction d’une proposition religieuse hybride où l’effervescence et l’imprévisibilité prophétiques se conjuguent avec la tradition doctrinale protestante héritée des missions. Face au dynamisme des Églises de Réveil, les prophètes du nsikumusu attirent de nouveaux publics en quête de sens et de guérison et construisent un lien identitaire qui rattache les fidèles à une tradition prophétique tout à la fois ancienne et en constante évolution<br>Daniel Ndoundou (1911-1986), a littleknown Congolese prophet and pastor of Evangelical Church of Congo, ran a popular movement whose impact went far beyond the scope of his church over a period of 38 years. This "1947 Revival" (or nsikumusu), which had started among the students, both pastors and teachers, of Ngouedi's missionary station in the south of Congo Brazzaville is part of the legacy of Kongo Prophetism. At the death of the prophet, the movement was left without a successor which led to its partitioning with the emergence and multiplication of local and anonymous prophetic figures. Until today, they reproduce and enrich the initial prophetic matrix. Their therapeutic and visionary activity is conducted within "specialized groups" within the parishes, under the control of the pastors, but also in private therapeutic centers called bizinga, outside the control of the church. The kilombo choirs where "revealed songs" are interpreted is one of the original features and the identity marker of the movements as are the big "spiritual retreats" attended by thousands of participants. The thesis traces the history of Nsikumsu by showing the key role of these local prophetesses and prophets in the construction of a hybrid religious proposal where the prophetic effervescence and unexpectedness combine with the Protestant doctrinal tradition inherited from missions. Faced with the dynamism of Pentecostal and Charismatic Churches, the prophets of nsikumusu attract new audiences in search of meaning and healing and build an identity link connecting the believers to a prophetic tradition both ancient and renewing
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Nadeau-Bernatchez, David. "La musique comme rapports aux temps : chroniques et diachroniques des musiques urbaines congolaises." Paris, EHESS, 2012. http://www.theses.fr/2012EHES0571.

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Abstract:
Cette thèse s'intéresse au présent des musiques urbaines congolaises (RDC) dans leurs rapports à la vie quotidienne, à l'histoire et à l'identité de sa capitale Kinshasa. Partant d'une intuition fondamentale de Claude Lévi-Strauss (la musique serait, comme le mythe, une machine à supprimer le temps), c'est autour de la problématique de la musique comme rapports aux temps (social et symbolique; historique et mémoriel; musical; performatif) que l'auteur cherche à en renouveler la portée en lui donnant une emprise analytique nouvelle. La thèse débute par une étude générale de l'évolution des musiques urbaines congolaises à l'aune des catégories endogènes contemporaines (« moderne », « religieuse », « traditionnelle » et « internationale »). Combinant l'histoire et l'anthropologie culturelle, l'ethnomusicologie et l'écriture audiovisuelle, différents plans de la vie quotidienne et de la pratique musicale sont ensuite observés, analysés, confrontés : celui d'une commune de la capitale (Bandai); celui d'un certain nombre d'acteurs individuels, principalement des musiciens et des mélomanes; celui de la ville entière comme espace imaginaire et identitaire. À la fois théorique, comme interrogation générale sur les relations entre la musique et la vie sociale, et empirique, comme ethnographie des conduites et des savoir-faire qui lui sont associées à Kinshasa, la thèse cherche ainsi à dépasser les écueils du culturalisme en interrogeant la manière dont la « globalisation » met en mouvement les notions « d'universalité » (la musique, le temps, l'humain) et de « particularité » (l'appartenance, le quotidien, l'organisation sociale) tels que définis par le projet de modernité<br>This thesis is concerned with present-day Congolese (DRC) urban music with regard to its relations with daily life, to history and to the identity of its capital city Kinshasa. Rooted in a fundamental intuition by Claude Lévi-Strauss (that music might be, like myth, a machine that annihilates time), it is around the problem of music and its manifold relationships with time (social and symbolic; historical and memory-like; musical; performative) that the author seeks to renew its scope by giving it a new analytical foothold. The thesis begins with a general study of the evolution of Congolese urban music, measured against contemporary endogenous categories ("modern", "religious", "traditional" and "international"). Through the combination of history, cultural anthropology and audiovisual records, various views culled from daily life and musical practices are then observed, analyzed, and compared: that of a commune of Kinshasa (Bandai); that of a certain number of individual players, mainly musicians and music lovers; that of the whole city as an imaginary space and the birthplace of identity. Both theoretical, as a broad interrogation of the relations between music and social life, and empirical, as an ethnography of the behaviours and the know-how with which it is associated in Kinshasa, the thesis thus attempts to avoid the pitfalls of culturalism by questioning the way in which "globalization" sets in motion the notions of "universality" (music, time, human being) and of "particularity" (belonging, daily life, social organization) as defined by the project of modernity
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Mabusa, M'Pia Nsele Nkenta Mwana-Ya-Eseka Juss Inokipa. "Anthropologie de la communication musicale traditionnelle congolaise : le cas de la communauté Bateke du Congo Kinshasa." Paris 8, 2002. http://www.theses.fr/2002PA083619.

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Abstract:
La musique traditionnelle teke est une musique globale. Elle représentante l'identité culturelle de la communauté traditionnelle teke. Elle est en outre l'expression communicative de la vie traditionnelle et constitue par la même occasion l'outil essentiel de l'apprentissage des concepts de base de la vie traditionnelle teke. Cette étude montre concrètement que les événements socio-musicaux ne sont pas des phénomènes disparates et isolés, mais plutôt intégrés à un ensemble des coutumes, des pratiques et des usages des collectivités et qui constituent un système utilitaire complexe d'organisation sociale. Nous avons tenté de montrer que la musique teke traditionnelle est liée à des fonctions spécifiques, attachée à de fins bien définies, de telle manière qu'elle arrive, à englober, à intégrer, à faire intégrer, à interpénétrer absolument tous les domaines de la vie traditionnelle teke. La musique est le phénomène social immédiatement global et complexe dans lequel les manifestations et les événements de vie collective sont articulés et intégrés<br>Teke traditional music is the music of entire people, it is their cultural identity, the apprenticeship in life, their means of reconciliation and expression. Teke music is social phenomenon at once global and complex in which all practices, manifestations and events of communal life are articulated and integrated. This study undertakes the description at analyse of Teke musical productions and practices, examining the following. Music in the life cycle: at birth, at initiation, at marriage, at death and funerals. Music and subsistence: the role of music in agriculture, hunting, at the opening of the fishing season. The occidental notions [of] «musician» and «audience» do not exist in the traditional Teke conception of music
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Chaves, Vanessa. "L’influence des musiques populaires urbaines sur l’écriture des romanciers s’exprimant dans une langue d’origine coloniale : le cas du tango dans le roman argentin et de la rumba congolaise dans le roman du Congo-Brazzaville." Paris 4, 2007. http://www.theses.paris-sorbonne.fr/chaves/paris4/2007/chaves/html/index-frames.html.

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Abstract:
Cette étude comparative sur l’Argentine et le Congo–Brazzaville traite de l’impact des cultures populaires urbaines, telles que le tango et la rumba congolaise, sur l’écriture romanesque. Il s’agit de cerner le dilemme auquel sont confrontés les écrivains s’exprimant dans une langue d’origine coloniale. L’objectif est de saisir comment ces musiques populaires et les langages hybrides qu’elles ont développés – le lunfardo et le lingala - contribuent à émanciper la production littéraire de ces jeunes nations. Ce rapprochement nous a paru pertinent en raison du décalage historique entre l’Argentine et le Congo, l’une accédant à l’indépendance en 1816 et l’autre, en 1960. Tout d’abord, nous analysons les tensions auxquelles ces littératures nationales sont soumises, du fait de leur passé colonial. Nous étudions ensuite comment le tango et la rumba congolaise, nés dans les faubourgs de capitales tentaculaires, s’imposent comme phénomènes culturels majeurs, au point d’asseoir leur influence sur la littérature. Enfin, nous examinons dans quelle mesure musique et écriture constituent une alliance salutaire pour une création littéraire singulière et universelle<br>This comparative study on the Argentina and the Congo-Brazzaville deals with the impact of popular urban cultures - such as the tango and the Congolese rumba - on the novel style. The aim is to define the novelists’ dilemma expressing in a language of a colonial origin. These popular musics have expanded two hybrid languages : the lunfardo and the lingala. The objective is to explain how these forms of expression contribute to emancipate the literary production of these young nations. This comparison seems judicious because of the historic gap between the Argentina and the Congo, the first one coming to the independence in 1816 and the other one, in 1960. At first, we analyse the tensions which influence these national literatures, because of their colonial past. Then, we study how the tango and the Congolese rumba, born in the suburbs of these octopus capital cities, reveal themselves as major cultural phenomena, so that they established their influence on the literature. Finally, we examine how music and writing constitute a salutary alliance for a singular and universal literary creation
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Grabli, Charlotte. "L’urbanité sonore : auditeurs, circulations musicales et imaginaires afro-atlantiques entre la cité de Léopoldville et Sophiatown de 1930 à 1960." Thesis, Paris, EHESS, 2019. http://www.theses.fr/2019EHES0138.

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Abstract:
Cette thèse examine les rapports entre musique et politique dans l’espace de circulations musicales s’étendant entre Sophiatown, à Johannesburg, en Afrique du Sud, et la « cité indigène » de Léopoldville (aujourd’hui Kinshasa), au Congo belge, de 1930 à 1960. L’étude envisage à la fois la fabrique musicale de ces quartiers ségrégués – l’usage des nouvelles technologies d’écoute, l’appropriation des styles afro-atlantiques, la profusion des fêtes et la vie des bars – et la formation de l’espace transcolonial de la musique congolaise moderne, mieux connue sous le nom de « rumba congolaise », à l’ère de la radio. Bien que souvent occulté, le développement précoce de l’industrie musicale sud-africaine joua un rôle important dans l’émergence et la mobilité des premières célébrités médiatiques congolaises qui parcouraient les routes transimpériales entre Léopoldville, Elisabethville (Lubumbashi), Nairobi et Johannesburg. Étudiés conjointement, l’ancrage et le déploiement de ce que nous appelons l’« urbanité sonore » permettent d’éclairer la place des célébrités et chansons transcoloniales dans l’imaginaire politique des auditeurs africains. Ces phénomènes témoignent également des nouvelles possibilités d'émancipation que l'économie des plaisirs offraient aux catégories les plus marginalisées de la ville coloniale, telles que les « femmes libres » et/ou membres des sociétés d'élégance.A la cité de Léopoldville, comme à Sophiatown, auditeurs, danseurs et musiciens contestaient la définition coloniale de l’urbanité alors que le gouvernement monopolisait la définition de « la ville », en même temps qu’il en conditionnait l’accès, symbolique et concret. Jusqu’au lendemain de l’Indépendance du Congo en 1960, la scène musicale de la cité s’établit comme le principal espace d’expression politique et d’affirmation de la place du Congo moderne dans l’Atlantique noir.L’étude considère ainsi la musique dans la continuité de l’écologie sonore de la ville afin d’« écrire le monde depuis une métropole africaine ». Il ne s’agit pas seulement de penser la musique en contexte, mais aussi comme contexte, en tant que paysage, en l’étendant au-delà de la performance pour inclure les différents jeux d’échelle qui façonnaient les mondes musicaux. Pour comprendre la dimension politique des échanges afro-atlantiques impliqués dans la création de la rumba congolaise – un style africain né de l’écoute des musiques afro-cubaines –, il importe de prendre en compte le contexte de globalisation des modes d’écoute et de l’ethnicité. A une époque où le nationalisme racialisé des États-Unis façonnait la compréhension du jazz, comment repenser l’opposition d’une « Afrique latine » à une « Afrique du jazz », dont les pôles respectifs se situeraient à Johannesburg et Léopoldville ? Cette thèse cherche à déconstruire ces représentations tout en observant la puissance d’agir de la musique noire – « sa réalité et son inexistence » – en fonction des contextes, des acteurs et des lieux<br>This thesis studies connections between music and politics within the space of music circulation stretching from Sophiatown, in Johannesburg, South Africa, to the cité (the “native quarters”) of Léopoldville (today Kinshasa), in the Belgian Congo, from 1930 to 1960. This study considers the music making of these segregated areas – the uses of new sound technologies, the appropriation of Afro-Atlantic styles, the profusion of festivities and nightlife – as well as the formation of the trans-colonial space of modern Congolese music—better known as “Congolese rumba”—in the age of radio. Although often overlooked, the early development of the South African record industry played an important role in the making and mobility of the first Congolese media celebrities who circulated across the trans-imperial roads between Léopoldville, Elisabethville (Lubumbashi), Nairobi and Johannesburg. Studied together, the grounding and the deployment of what I call “sonic urbanity” highlight the place of trans-colonial celebrities and songs in the political imaginary of African listeners. These phenomena also show how the economy of pleasure offered new possibilities of emancipation to the most marginalized categories such as the "free women" and members of women’s fashion associations.Both in the cité of Léopoldville and in Sophiatown, listeners, dancers and musicians challenged ideas of black exclusion to urbanity enforced by the government that conditioned symbolic and material access to “the city”. Until the day after independence in 1960, the musical scene represented the main space for political expression in the modern Congo, allowing it to claim its place in the Black Atlantic.This thesis thus conceptualizes music as part of the city’s ecology of sound in an attempt to “write the world from the African metropolis”. It does not merely think of music in context but also regards it as context and soundscape, extending it beyond performance by including the different “scale games” that shaped musical worlds. Understanding the political dimension of the AfroAtlantic exchanges involved in the creation of Congolese rumba – an African style born out of listening to Afro-Cuban music – requires a consideration of the globalisation of ways of listening and ethnicity. How can we rethink the opposition of a “Latin Africa” to an “Africa of jazz”, whose poles would be located respectively in Léopoldville and Johannesburg, at the moment when U.S. racialized nationalism shaped understandings of jazz? This thesis seeks to both deconstruct these representations and examine the power of black music to act—its “reality and non-existence”— depending on contexts, actors and places
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