Academic literature on the topic 'Nationalisme arabe'
Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles
Consult the lists of relevant articles, books, theses, conference reports, and other scholarly sources on the topic 'Nationalisme arabe.'
Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.
You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.
Journal articles on the topic "Nationalisme arabe"
1
Hafez, Zyad. "La résurgence du nationalisme arabe." Confluences Méditerranée N°49, no. 2 (2004): 59. http://dx.doi.org/10.3917/come.049.0059.
Full text
2
Dakhli, Leyla. "Arabisme, nationalisme arabe et identifications transnationales arabes au 20e siècle." Vingtième Siècle. Revue d'histoire 103, no. 3 (2009): 12. http://dx.doi.org/10.3917/ving.103.0012.
Full text
3
Abou-Hsab, Georges, and Samir Saul. "Le nationalisme arabe, rétrospective et prospective : un essai." Guerres mondiales et conflits contemporains 262, no. 2 (2016): 129. http://dx.doi.org/10.3917/gmcc.262.0129.
Full text
4
al-Charif, Maher. "Après cent ans... Doit-on dire adieu au nationalisme arabe ?" Revue Française d'Histoire des Idées Politiques N° 42, no. 2 (2015): 103. http://dx.doi.org/10.3917/rfhip1.042.0103.
Full text
5
Benjamin, Martin. "CARRÉ, Olivier. Le nationalisme arabe. Paris, Fayard, 1993, 304 p." Études internationales 25, no. 1 (1994): 162. http://dx.doi.org/10.7202/703286ar.
Full text
6
Aubin-Boltanski, Emma. "Salāh al-Dīn, un héros à l’épreuve. Mythe et pèlerinage en Palestine." Annales. Histoire, Sciences Sociales 60, no. 1 (February 2005): 91–107. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900019028.
Full textAbstract:
RésuméSalāh al-Dīn, vainqueur des croisés en 1187 et souverain ayyoubide de l’Égypte et de la Syrie, fait depuis un siècle environ l’objet d’un travail d’héroïsation dans l’ensemble du monde arabe. En Palestine, ce mouvement a pris, dès le début du XXe siècle, une inflexion propre qui se traduit, entre autres, par des pratiques rituelles. Le pèlerinage de Nabī Mūsā (le prophète Moïse) est devenu l’occasion de célébrer la mémoire du grand héros de l’histoire musulmane. L’objet de cet article sera de décrire les pratiques et les discours qui lui sont consacrés. On s’attachera en particulier à analyser un mythe récent qui fait de Salāh al-Dīn l’inventeur des pèlerinages palestiniens. La figure du passé y cède la place au héros moderne du nationalisme arabe, porteur d’espérance pour une société en proie à la guerre et à la dispersion. Cependant, dans le même temps, la pratique du rituel du pèlerinage laisse transparaître ses limites : le héros, sans cesse sollicité et mis à l’épreuve, semble aujourd’hui fragilisé.
7
Soler, Renaud. "Une autre histoire de la civilisation: Comment Rifāʿa al-Ṭahṭāwī repensa l’histoire de l’Égypte dans les années 1860." Annales. Histoire, Sciences Sociales 74, no. 2 (June 2019): 267–96. http://dx.doi.org/10.1017/ahss.2020.9.
Full textAbstract:
RésumésL’historiographie en arabe du xixe siècle a souvent été abordée au prisme du rapport à la modernité et au nationalisme, c’est-à-dire selon la perspective téléologique induite par les procès de constructions étatiques au xxe siècle. Cet article propose de relire l’œuvre du grand historien Rifāʿa Rafīʿal-Ṭahṭāwī (1801-1873) en la situant dans son moment historique – un moment où l’Égypte est encore un État dynastique lié à l’Empire ottoman, où les historiens travaillent à l’intérieur de l’édifice des sciences religieuses et de l’historiographie islamiques, et où la modernité occidentale s’incarne dans le régime de la monarchie de Juillet et l’histoire de François Guizot et de Edward Gibbon. C’est dans ce complexe de discours et de pratiques qu’il faut comprendre l’œuvre historique d’al-Ṭahṭāwī. On peut alors retrouver la polyphonie des attachements nationaux du cheikh et historien, qui s’inscrivent plus largement dans une conception renouvelée de la tradition – et donc de son revers, la modernité –, mais qui participe aussi d’une mise en tension sensible de la conception de la temporalité historique propre à l’historiographie arabe moderne avec celle de l’histoire produite par l’historiographie de la fin du xviiie siècle et par l’histoire romantique bourgeoise en Europe.
8
ميهوبي, نورالدين. "Lahouari ADDI, (2017). Le nationalisme arabe radical et l’Islam politique. Produits contradictoires de la modernité." Insaniyat / إنسانيات, no. 94 (December 31, 2021): 140–44. http://dx.doi.org/10.4000/insaniyat.26103.
Full text
9
Denkha, Ataa. "Joseph Yacoub, Une diversité menacée. Les chrétiens d’Orient face au nationalisme arabe et à l’islamisme." Revue des sciences religieuses, no. 94/1 (January 15, 2020): 104–5. http://dx.doi.org/10.4000/rsr.7986.
Full text
10
Rota, Olivier. "La Déclaration Balfour, du « triomphe juif » au réveil du nationalisme arabe (1917-1920). Entre illusions et malentendus ?" Tsafon, no. 74 (December 1, 2017): 65–84. http://dx.doi.org/10.4000/tsafon.400.
Full textDissertations / Theses on the topic "Nationalisme arabe"
1
Snoussi, Touhami. "Limites et perspectives de la coopération inter-arabe." Paris 10, 1985. http://www.theses.fr/1985PA100197.
Full text
2
Soussan, Mohamed Ayman. "L'unité arabe : passé, présent et perspectives." Montpellier 1, 1988. http://www.theses.fr/1988MON10029.
Full textAbstract:
Ce travail traite la question de l'unite arabe. Il est compose de deux parties et d'une conclusion generale. Premiere partie: nous avons suivi l'apparition et l'evolution du mouvement nationaliste arabe durant la deuxieme moitie du 19eme siecle et pendant le 20eme siecle. Nous avons etudie les principales revendications de ce mouvement et notamment la reclamation de l'unite de tous les pays arabes et la creation d'un seul etat arabe. Nous avons expose et analyse les visions des principaux mouvements nationalistes arabes concernant cet objectif. Comme nos avons aborde brievement les principaux courants opposants au nationalisme arabe. Deuxieme partie: nous l'avons consacree a l'unite arabe sur le plan pratique. Nous avons etudie les experiences unitaires les plus marquantes connues par le monde arabe contemporain. Il s'agit de la ligue des etats arabes, l'unite syro-egytienne de 1958, la confederation des republiques arabes de 1970 et le conseil de cooperation des etats arabes du golfe. Chacune de ces experiences represente une forme et une conception unitaire differente des autres. Dans la conclusion, nous avons envisage les perspectives de l'action commune arabe. Nous avons essaye de soulever les principaux facteurs de l'echec de cette action. Nous avons egalement montre la necessite de l'unite arabe pour resoudre les problemes de ces pays dans les domaines politiques et economiques. Enfin, nous avons trace les principaux fondements de l'unite arabe d'avenir, notamment en ce qui concerne la conception de cette unite, sa forme etThis study is divided into towo parts and includes a general conclusion. First part: we followed the emergence and the evolution of the arab nationalist movement during the second half of the xixth and after. We studied the main claims of the movement and particularly the one of the unity of all arab countries and the creation of a unique arab state. We introduced and analysed the theories of the main arab nationalist movements, and at the same time we studied in brief the main trends in opposition to arab nationalism. Second part: it is devoted to the different attempts of unities in the arab world. We studies the most remarquable experiences of unities known in the arab contemporary world, such as: the arab league, syro-egyptian union in 1958, the confederation of the cooperation of the gulf arab states. Each experience represents a form and a conception of unity different from the others. The conclusion includes our look for the future of the common arab action. We tried to point out the main factors of the failure of this action and to show that the arab unity is necessary to solve the political and economical problems of these countries. Finally, we underlined the main bases of the coming arab unity and put emphasis on its conception, its form and how to pave the way for its realization
3
Saber, Dima. "De Nasser à Nasrallah : l’identité arabe à l’épreuve de ses récits médiatiques. Une analyse sémio-pragmatique de l’émergence de deux symboles de la nation. Nationalismes et propagandes, 1948-2006." Electronic Thesis or Diss., Paris 2, 2011. http://www.theses.fr/2011PA020055.
Full textAbstract:
Notre récit commence dans l’Egypte nationaliste des années 1950. Le coup d’Etat mené par Gamal Abdel Nasser et le “Mouvement des Officiers Libres” ouvre la voie à une révolution politique, économique, et socioculturelle, au Caire et dans l’ensemble du monde arabe. Il met alors en place un puissant dispositif médiatique : il fonde la radio la Voix des Arabes, publie La Philosophie de la révolution, et fera très rapidement du journal Al-Ahram la langue de sa révolution. De la guerre de Suez en 1956, à l’union avec la Syrie en 1958, l’Egypte soutiendra alors tous les mouvements de libération nationale jusqu’à la “catastrophe” de 1967, qui signe l’arrêt de mort du nationalisme nassérien. Lorsque le nationalisme laïc n’a pas réussi à restituer la Palestine et la dignité arabe perdues, certains ont cru que c’est la religion qui le fera. Deux modèles antagonistes secouent alors le consensus des années 1960 : au “pétro-islam” saoudien s’oppose désormais un islam chiite inspiré par la Révolution islamique en Iran et prôné par le Hezbollah et son Secrétaire général Hassan Nasrallah. Les années 1980-1990 correspondent aussi à l’introduction des chaînes satellites dans le monde arabe ; au pouvoir mobilisateur de la radio des années 1950, se substitue la force de l’image de chaînes comme Al-Jazeera et Al-Manar. Ainsi, trois décennies après la dernière guerre israélo-arabe, la question de l’identité est exportée sur le front libanais : Nasrallah dit mener, en 2006, “la guerre de la nation contre l’ennemi sioniste”. Comment, à travers leur couverture de la révolution, de la guerre, de la défaite et de la victoire, les médias arabes ont-ils dit l’identité tout au long des soixante dernières années d’histoire ? Comment la radio, la presse écrite, la télévision satellitaire, mais aussi la chanson, les clips et les jeux vidéo ont-ils dit l’arabité? Qu’est-ce que “être arabe” dans le discours médiatique d’aujourd’hui et de quelles manières l’islam politique prôné par les médias contemporains reprend-t-il les anciennes thématiques du nationalisme nassérien ?Our story starts in the nationalist Egypt of the 1950s. The military coup undertaken by Gamal Abdel Nasser and the “Free Officers Movement” paved the way for a political, economic and socio-cultural revolution in Egypt and the entire Arab world. Soon after, Nasser established a powerful multifaceted media apparatus: he founded The Voices of the Arabs radio station, published The Philosophy of the Revolution, while Al-Ahram was slowly becoming the “tongue” of his revolution. From the Suez crisis in 1956, until the union with Syria in 1958, Nasser’s Egypt supported all anti-colonial liberation movements in the Arab world, until the 1967 defeat that signed the death sentence of pan-Arab nationalism. When secular nationalism couldn’t resuscitate Palestine and the tarnished Arab dignity, some thought that religion could. Two antagonistic models shook the fragile consensus of the 1960s: a Saudi “petro-Islam”, and the more recently emerging Shiite Islam, inspired by the Islamic Revolution in Iran, and mainly promoted by Hezbollah and its Secretary General Hassan Nasrallah. The 1980s also correspond to the introduction of the first satellite channels in the Arab world: the power of images on channels like Al-Jazeera and Al-Manar began to substitute radio’s mobilizing discourse of the 1950s. Three decades after the last Arab-Israeli war, the question of Arab identity is exported to the Lebanese front: Hassan Nasrallah says he is leading, in 2006, “the nation’s war against the Zionist enemy”. How did Arab media, through their coverage of revolutions, wars, defeats and victories, take part in the mechanisms of construction of post-colonial identities? How did the radio, the print and the satellite media, the songs, the music clips and the video games all define what is being “an Arab” today? And in which ways, does today’s political Islam, promoted by contemporary media narratives, reclaim the old pan-Arab and nationalist themes?
4
Gheziel, Abla. "L’éveil politique de la société algérienne à travers révoltes, soumission, assimilation et nationalisme, 1830-1936." Thesis, Toulouse 2, 2015. http://www.theses.fr/2015TOU20064.
Full textAbstract:
Plus de cinquante ans après son indépendance, l’histoire de l’Algérie coloniale est et, demeure toujours un sujet aussi douloureux et sensible des deux côtés de la Méditerranée. Au fur et à mesure de l’expansion coloniale française, les membres de la société de l’ex-régence d’Alger voient le mode de vie et leur statut changer. Et, ce en fonction des réformes et des dispositions de l’administration coloniale qui à la fois dut conduire une politique à deux niveaux: une politique pour les colons , les nouveaux habitants de l’Algérie, et une autre pour les indigènes qui malgré le fait que le Senatus consulte de 1865 leur ait accordé la citoyenneté, ils n’en restaient pas moins des sujets de seconde zone. A travers cette étude, nous proposons de suivre l’évolution et les facteurs qui ont contribué à l’éveil populaire des masses musulmanes durant la période qui s’étend de 1830 à 1936. Un champs d’études ayant pour cadre les révoltes populaires ; symbole de la résistance populaire des milieux ruraux, la notion de soumission qui reflète une position mitigée de la part des population qui vacille entre résistance et cohabitation face à l’administration militaire puis face à l’administration coloniale civile, Également la perception de la question de l’assimilation chez les Algériens musulmans et les Européens qui revêtit diverses interprétations à partir de la question du royaume arabe et du problème de la naturalisation. La question du nationalisme et la problématique de son existence ou non avant le débarquement des Français. Notre théorie est que tous ces facteurs ont aidé à l’éclosion du nationalisme, processus qui n’a pas suivi un développement linaire mais fut le résultat d’un cheminement complexe compte tenu des différents facteurs tels que le panislamisme, les retombées de la Première guerre mondiale et l’engagement des indigènes dans ce conflit qui à la base ne les concernait pas. Puis, entre les années 1920 et 1930, les formations politiques font leur apparition, intellectuels et réformistes musulmans s’affirment sur la scène politique et engage la confrontation avec l’administration coloniale et le gouvernement de la Métropole. Ainsi , la prise de conscience des masses musulmanes allaient se manifester et s’imposer en dépassant les différences des uns et des autres ; c’est à dire passer d’une pensée particulariste, d’un régionalisme à une pensée collective nationale : se reconnaitre dans une seule et unique identité nationaleThe political awakening of Algerian society through revolts, submission, assimilation and nationalism.1830-1936. More than fifteen years after his independence, Algerian colonial history is and stills always a painful and sensitive subject for the two sides of the Mediterranean Sea. As the French colonial expansion took place, members of society of former regency of Algiers see their way of living changing. And, this in function of reforms and measures of colonial administration which drive a two level policy: toward settlers’ policy; the new inhabitants of Algeria. And another one for indigenous whom still second zone citizen even if the ײSenatus consultײ of 1865 gives them citizenship. Throughout this study, we suggest to follow the evolution of these factors which contribute to the popular awakening of Muslim masses during the period between 1830 and 1936. It is a field of study which includes not only popular revolts, the symbol of rural resistance. But also the notion of submission reflecting à mixed position of populations between resistance and cohabitation with military administration first, then with civil colonial one after, thus the assimilation issue of Algerian Muslims and Europeans, which clothed various interpretations starting by the Arab Kingdom of Napoleon III and the problem of naturalization, and finally, the nationalism issue and the issue of its existence or not before the landing of French. Our theory is that all these features helped the hatching of nationalism, a process which did not follow a linear development but was the result of a complex path according to different factors such as Pan Islamism, the consequences of the WWI and the participation of the indigenous in this conflict which was not their conflict. Then, from 1920 and 1930, political groups appear; Muslim reformers and intellectuals assert themselves in political scene and engage the confrontation with the colonial administration and metropolitan government. Thus, the awareness of Muslim masses will appear and lead up on differences between people; in other move from individual or regional thinking towards a collective national thinking
5
Bahi, Mohammed Al. "Sur la violence politique dans le monde arabe : idéologies et pratiques." Paris 5, 2007. http://www.theses.fr/2007PA07A004.
Full text
6
Khatir, Foad. "Le changement de politique algérienne à l'égard des confréries religieuses musulmanes : de la persécution à la réhabilitation, le cas particulier de la confrérie 'Alawiyya, 1909-2009." Thesis, Toulouse 2, 2016. http://www.theses.fr/2016TOU20042/document.
Full textAbstract:
Cette étude tente de démontrer la place des zâwiyas et plus particulièrement celle de la ‘Alawiyya dans l’Algérie contemporaine et leur rôle pendant la montée du nationalisme et la lutte de libération. Parler de la persécution et de la réhabilitation de la confrérie ‘Alawiyya (et d’autres) en Algérie durant la période contemporaine, nous amène à traiter des rapports de celle-ci avec : (1) L’administration coloniale : la confrérie était étroitement surveillée par les services de la police des renseignements généraux. La stratégie de la confrérie consistait à rester neutre autant que possible mais elle n’hésitait pas à défendre la préservation de l’identité arabo-musulmane. (2) Le mouvement du réformisme : avec la parution en 1926 de la revue ach-Chihab et l’Association des Oulémas Musulmans Algériens (AOMA) fondée le 5 mai 1931 avec à sa tête le Président Ibn Badis qui contribua à la montée du sentiment nationaliste algérien. (3) Les milieux nationalistes algériens : avec lesquels la confrérie ‘Alawiyya entretenait des relations étroites notamment sous la période du Parti du Peuple Algérien (PPA). Les événements du 8 mai 1945 à Sétif précipitèrent la préparation de la Révolution algérienne pendant laquelle le cheikh Mehdi Bentounes joua un rôle actif. (4) Les gouvernements algériens successifs : La confrérie ‘Alawiyya entendait lutter contre la nationalisation des biens habous. Le gouvernement Boumediene mena une vaste campagne de persécution contre le cheikh Mehdi Bentounes et procéda à son arrestation en 1970. La confrérie agissait dorénavant sur le terrain Européen avec le cheikh Khaled Bentounes qui procéda à la création de nombreux projets culturels et de jeunesse et à la reconnaissance de nombreux projets par les instances officielles nationales et internationales. Les persécutions finirent progressivement par marginaliser un courant religieux- soufisme qui était présent en Algérie depuis le début du millénaire. Il eut fallu l’avènement de la montée du fondamentalisme religieux qui aboutit à la guerre civile dite « les années noires » pour que le Gouvernement algérien procède à la réhabilitation des confréries religieuses en AlgérieThis study will attempt to demonstrate the status of zawiyyas, and in particular that of the 'Alawiyya in contemporary Algeria, and their role during the rise of nationalism and the liberation struggle. In our discussion of the persecution and rehabilitation of the 'Alawiyya Brotherhood (and others) in Algeria during the contemporary period we will deal with the links between the 'Alawiyya and: (1) The colonial administration: the Brotherhood was closely watched by the police and intelligence agencies. The strategy of the Brotherhood was to remain neutral insofar as possible, but it did not hesitate to defend the preservation of Arab-Muslim identity. (2) The reform movement, with the appearance in 1926 of the journal ach-Chihab and the Association of Muslim Algerian Ulemas (AOMA) founded the 5th of May 1931 with at its head President Ibn Badis, who contributed to the rise of Algerian nationalist sentiment. (3)Algerian nationalist groups, with which the 'Alawiyya Brotherhood maintained close relations, notably during the period of the Party of the Algerian People (PPA) founded in 1937 by Messali Hadj. The events of 8 May 1945 in Sétif triggered the preparation of the Algerian Revolution during which the Sheikh Mehdi Bentounes played an important role. (4) Successive Algerian governments: the 'Alawiyya Brotherhood decided to come out against the nationalization of « habous » holdings. The Boumedienne government carried out a vast campaign of persecution against Sheikh Mehdi Bentounes and had him arrested in 1970. From that time the Brotherhood became active in Europe with Sheikh Khaled Bentounes, who fostered the creation of numerous cultural and youth-oriented projects which enjoyed official recognition. These waves of persecution little by little marginalized a religious current -Sufism (tasawuf)- which had been present in Algeria from the beginning of the millennium, and which was part of an essential immaterial cultural heritage in Algeria. It took the arrival and the development of religious fundamentalism, resulting in the civil war known as the « Dark Years », for the Algerian government to promote the rehabilitation of the religious Brotherhoods in Algeria
7
France, Hubert de. "Arabisme, panarabisme et pansyrianisme dans l'engagement palestinien de Darwaza et de ses amis." Bordeaux 3, 2007. http://www.theses.fr/2006BOR3A001.
Full textAbstract:
Arabisme, panarabisme et pansyrianisme dans l’engagement palestinien de Darwaza et de ses amis 1908 – 1948 est le titre d’une thèse de doctorat en histoire consacrée à l’apparition d’un sentiment national palestinien de l’Empire ottoman à la fin du mandat britannique à une époque de luttes entre le mouvement sioniste et les nationalistes arabes à la recherche de l’unité. Durant cette période ont également eu lieu des conflits entre les Arabes et les pouvoirs français et britanniques, détenteurs de mandats de la Société des Nations pour administrer la Palestine et la Syrie. Et parmi les dirigeants nationalistes, qui ont combattu en Palestine contre le mandat et le mouvement sioniste encouragé par lord Balfour en 1917, Darwaza et ses amis ont joué un rôle très important, des dernières années de l’Empire ottoman jusqu’à la naissance d’Israël, contre le régime Jeune Turc, la France, la Grande-Bretagne et bien sûr contre le Foyer National Juif. Dès lors, cette thèse consacrée au nationalisme arabe en Palestine et en Syrie constitue une tentative de description de l’apparition d’un panarabisme sui generis en Palestine qui a essayé de libérer la vie politique locale du pouvoir des notables des villes en Syrie et en Palestine parmi lesquels l’on observe le Grand Mufti al Hâj Amîn al Husayni, Râgheb an Nachâchibi, Jamîm Mardam bey et d’autres dirigeants moins importantsArabism, panarabism and pansyrianism in the palestinian engagement of Darwaza and his friends 1908 – 1948 is the title of a P. H. D. Dissertation dedicated to the emergence of the Palestinian nationalism from the ottoman Empire to the end of the british mandate in times of struggles between the sionist movement and the Arab nationalists in search of arab unity. During this period took place also in the Middle East, conflicts between french power and british power with the Arab, who obtained mandate of the League of Nations to administrate Palestine and Syria. And among the nationalist leaders, who faught in Palestine against the mandate and the sionist movement heartened by Lord Balfour in 1917, Darwaza and his friends played a verty important part for the defense of the Arab’s cause from the last years of ottoman Empire, the first world war 10 Israël’s birth in 1948. And finally this dissertation, dedicated to the arab nationalism in Palestine and Syria is an attempt to describe the emergence of genuine panarabism in Palestine who tried to release the political life from the urban notable’s power in Syria and Palestine and among them : the Grand Mufti al Hâj ’Amîn al Husayni Râgheb an Nachâchibi, Jamî Mardam bey and others leaders less important
8
Saber, Dima. "De Nasser à Nasrallah : l’identité arabe à l’épreuve de ses récits médiatiques. Une analyse sémio-pragmatique de l’émergence de deux symboles de la nation. Nationalismes et propagandes, 1948-2006." Thesis, Paris 2, 2011. http://www.theses.fr/2011PA020055/document.
Full textAbstract:
Notre récit commence dans l’Egypte nationaliste des années 1950. Le coup d’Etat mené par Gamal Abdel Nasser et le “Mouvement des Officiers Libres” ouvre la voie à une révolution politique, économique, et socioculturelle, au Caire et dans l’ensemble du monde arabe. Il met alors en place un puissant dispositif médiatique : il fonde la radio la Voix des Arabes, publie La Philosophie de la révolution, et fera très rapidement du journal Al-Ahram la langue de sa révolution. De la guerre de Suez en 1956, à l’union avec la Syrie en 1958, l’Egypte soutiendra alors tous les mouvements de libération nationale jusqu’à la “catastrophe” de 1967, qui signe l’arrêt de mort du nationalisme nassérien. Lorsque le nationalisme laïc n’a pas réussi à restituer la Palestine et la dignité arabe perdues, certains ont cru que c’est la religion qui le fera. Deux modèles antagonistes secouent alors le consensus des années 1960 : au “pétro-islam” saoudien s’oppose désormais un islam chiite inspiré par la Révolution islamique en Iran et prôné par le Hezbollah et son Secrétaire général Hassan Nasrallah. Les années 1980-1990 correspondent aussi à l’introduction des chaînes satellites dans le monde arabe ; au pouvoir mobilisateur de la radio des années 1950, se substitue la force de l’image de chaînes comme Al-Jazeera et Al-Manar. Ainsi, trois décennies après la dernière guerre israélo-arabe, la question de l’identité est exportée sur le front libanais : Nasrallah dit mener, en 2006, “la guerre de la nation contre l’ennemi sioniste”. Comment, à travers leur couverture de la révolution, de la guerre, de la défaite et de la victoire, les médias arabes ont-ils dit l’identité tout au long des soixante dernières années d’histoire ? Comment la radio, la presse écrite, la télévision satellitaire, mais aussi la chanson, les clips et les jeux vidéo ont-ils dit l’arabité? Qu’est-ce que “être arabe” dans le discours médiatique d’aujourd’hui et de quelles manières l’islam politique prôné par les médias contemporains reprend-t-il les anciennes thématiques du nationalisme nassérien ?Our story starts in the nationalist Egypt of the 1950s. The military coup undertaken by Gamal Abdel Nasser and the “Free Officers Movement” paved the way for a political, economic and socio-cultural revolution in Egypt and the entire Arab world. Soon after, Nasser established a powerful multifaceted media apparatus: he founded The Voices of the Arabs radio station, published The Philosophy of the Revolution, while Al-Ahram was slowly becoming the “tongue” of his revolution. From the Suez crisis in 1956, until the union with Syria in 1958, Nasser’s Egypt supported all anti-colonial liberation movements in the Arab world, until the 1967 defeat that signed the death sentence of pan-Arab nationalism. When secular nationalism couldn’t resuscitate Palestine and the tarnished Arab dignity, some thought that religion could. Two antagonistic models shook the fragile consensus of the 1960s: a Saudi “petro-Islam”, and the more recently emerging Shiite Islam, inspired by the Islamic Revolution in Iran, and mainly promoted by Hezbollah and its Secretary General Hassan Nasrallah. The 1980s also correspond to the introduction of the first satellite channels in the Arab world: the power of images on channels like Al-Jazeera and Al-Manar began to substitute radio’s mobilizing discourse of the 1950s. Three decades after the last Arab-Israeli war, the question of Arab identity is exported to the Lebanese front: Hassan Nasrallah says he is leading, in 2006, “the nation’s war against the Zionist enemy”. How did Arab media, through their coverage of revolutions, wars, defeats and victories, take part in the mechanisms of construction of post-colonial identities? How did the radio, the print and the satellite media, the songs, the music clips and the video games all define what is being “an Arab” today? And in which ways, does today’s political Islam, promoted by contemporary media narratives, reclaim the old pan-Arab and nationalist themes?
9
France, Hubert de. "Arabisme, panarabisme et pansyrianisme dans l'engagement palestinien de Darwaza et de ses amis." Bordeaux 3, 2007. http://www.theses.fr/2007BOR30001.
Full textAbstract:
Arabisme, panarabisme et pansyrianisme dans l’engagement palestinien de Darwaza et de ses amis 1908 – 1948 est le titre d’une thèse de doctorat en histoire consacrée à l’apparition d’un sentiment national palestinien de l’Empire ottoman à la fin du mandat britannique à une époque de luttes entre le mouvement sioniste et les nationalistes arabes à la recherche de l’unité. Durant cette période ont également eu lieu des conflits entre les Arabes et les pouvoirs français et britanniques, détenteurs de mandats de la Société des Nations pour administrer la Palestine et la Syrie. Et parmi les dirigeants nationalistes, qui ont combattu en Palestine contre le mandat et le mouvement sioniste encouragé par lord Balfour en 1917, Darwaza et ses amis ont joué un rôle très important, des dernières années de l’Empire ottoman jusqu’à la naissance d’Israël, contre le régime Jeune Turc, la France, la Grande-Bretagne et bien sûr contre le Foyer National Juif. Dès lors, cette thèse consacrée au nationalisme arabe en Palestine et en Syrie constitue une tentative de description de l’apparition d’un panarabisme sui generis en Palestine qui a essayé de libérer la vie politique locale du pouvoir des notables des villes en Syrie et en Palestine parmi lesquels l’on observe le Grand Mufti al Hâj Amîn al Husayni, Râgheb an Nachâchibi, Jamîm Mardam bey et d’autres dirigeants moins importantsArabism, panarabism and pansyrianism in the palestinian engagement of Darwaza and his friends 1908 – 1948 is the title of a P. H. D. Dissertation dedicated to the emergence of the Palestinian nationalism from the ottoman Empire to the end of the british mandate in times of struggles between the sionist movement and the Arab nationalists in search of arab unity. During this period took place also in the Middle East, conflicts between french power and british power with the Arab, who obtained mandate of the League of Nations to administrate Palestine and Syria. And among the nationalist leaders, who faught in Palestine against the mandate and the sionist movement heartened by Lord Balfour in 1917, Darwaza and his friends played a verty important part for the defense of the Arab’s cause from the last years of ottoman Empire, the first world war 10 Israël’s birth in 1948. And finally this dissertation, dedicated to the arab nationalism in Palestine and Syria is an attempt to describe the emergence of genuine panarabism in Palestine who tried to release the political life from the urban notable’s power in Syria and Palestine and among them : the Grand Mufti al Hâj ’Amîn al Husayni Râgheb an Nachâchibi, Jamî Mardam bey and others leaders less important
10
Vareilles, Guillaume. "Les frontières de la Palestine, 1914-1947 : pour une approche géopolitique." Montpellier 3, 2008. https://eu02.alma.exlibrisgroup.com/view/uresolver/33PUDB_IEP/openurl?u.ignore_date_coverage=true&portfolio_pid=5364204380004675&Force_direct=true.
Full textAbstract:
Cette thèse s’intéresse aux frontières de la Palestine à travers les archives diplomatiques françaises et britanniques entre 1914 et 1947 dans le cadre d’une approche géopolitique qui met en relation des hommes, des territoires et des idéologies. L’objectif de cette étude est de montrer que les frontières ont joué un rôle important de la Première Guerre mondiale, qui verra la fin de l’Empire ottoman, à la création de l’Etat d’Israël, en particulier pendant la période du mandat britannique. La Palestine fut l’objet de réclamations en ce qui concerne sa délimitation, le partage de la terre est ainsi une question centrale au Proche-Orient. Les nationalismes juif et arabe se sont retrouvés sur la définition territoriale de la Palestine, chacun y apportant une réponse en fonction de leurs intérêts et de leur idéologie. Le résultat de ce travail montre que les frontières, longtemps floues en Palestine, se précisent peu à peu sous les pressions nationalistes et les variations de la politique britannique. La partition de la Palestine décidée par l’ONU en 1947 est ainsi le résultat d’une lente séparation des communautés juive et arabe pendant la période du mandat, le tracé des frontières du nouvel Etat fut une conséquence de cette évolutionThis thesis is about Palestine's boundaries seen through French and British diplomatic records between 1914 and 1947 within the context of a geopolitical approach which connects men, territories and ideologies. The goal of this study is to show that the boundaries played an important part from World War I, with the end of the Ottoman Empire, to the creation of the state of Israel, mainly during the time of the British mandate. Palestine aroused protests as far as its boundaries were concerned; the sharing of the land is thus a main issue in the Middle-East. Jewish and Arab nationalisms confronted each other about the territorial definition of Palestine, each bringing an answer according to their interests and ideology. The result of this work shows that the boundaries, which had been imprecise for a long time in Palestine, are gradually getting more and more definite under nationalist pressures and changes in the British politics. The partition of Palestine decided by the United Nations in 1947 was therefore the result of a slow separation of the Jewish and Arab communities during the time of the British mandate; the layout of the boundaries of the new State was a consequence of this evolution
Books on the topic "Nationalisme arabe"
2
Saint-Prot, Charles. Le nationalisme arabe: Alternative à l'intégrisme. Paris: Ellipses, 1995.
Find full text
3
Ouvrage collectif présenté par Fabyola Badawy. La CRISE IRAKIENNE ET L'AVENIR DU NATIONALISME ARABE - Ouvrage intégralement en arabe. Paris: Editions L'Harmattan, 2003.
Find full text
4
Saint-Prot, Charles. Le mouvement national arabe: Émergence et maturation du nationalisme arabe de la Nahda au Baas. Paris: Ellipses, 2013.
Find full text
5
Mansour, Fawzy. L' impasse du monde arabe: Les racines historiques. Paris: L'Harmattan, 1990.
Find full text
6
Zakariya, Fu'ad. Laïcité ou islamisme: Les arabes à l'heure du choix. Paris: Editions La Découverte, 1991.
Find full text
7
1948-, Choueiri Youssef M., ed. Modern Arab historiography: Historical discourse and the nation-state. New York: RoutledgeCurzon, 2003.
Find full text
8
Płonka, Arkadiusz. L' idée de langue libanaise d'après Sa'ïd 'Aql. Paris: Geuthner, 2004.
Find full text
9
Płonka, Arkadiusz. L' idée de langue libanaise d'après Sa'ïd 'Aql. Paris: Geuthner, 2004.
Find full text
10
Ṣubḥī, Bustānī, and Saquer-Sabin Françoise, eds. Nationalisme juif et environnement arabe, 1904-1917: Actes du colloque, Lille, Université Charles-de-Gaulle Lille III, 6 et 7 mai 2002. Villeneuve-d'Ascq: Université Charles de Gaulle - Lille III, 2005.
Find full textBook chapters on the topic "Nationalisme arabe"
1
Telci, Ismail Numan. "Arab nationalism." In The Routledge International Handbook of Contemporary Muslim Socio-Political Thought, 199–211. London: Routledge, 2021. http://dx.doi.org/10.4324/9781003143826-19.
Full text
2
Tibi, Bassam. "Pan-Arab versus Local Nationalism I: al-Husri and the Egyptian Nationalists." In Arab Nationalism, 178–90. London: Palgrave Macmillan UK, 1997. http://dx.doi.org/10.1057/9780230376540_10.
Full text
3
Tibi, Bassam. "Introduction to the Second Edition: Arab Nationalism Revisited." In Arab Nationalism, 1–26. London: Palgrave Macmillan UK, 1997. http://dx.doi.org/10.1057/9780230376540_1.
Full text
4
Tibi, Bassam. "Pan-Arab versus Local Nationalism II: al-Husri’s Critique of Antun Sa’ada and his Syrian Social Nationalist Party (SSNP)." In Arab Nationalism, 191–98. London: Palgrave Macmillan UK, 1997. http://dx.doi.org/10.1057/9780230376540_11.
Full text
5
Tibi, Bassam. "Pan-Arab Nationalism as Westernised Ideology and Politics of Arab States: Between Ba’thism and Nasserism until the Six-Day War." In Arab Nationalism, 201–17. London: Palgrave Macmillan UK, 1997. http://dx.doi.org/10.1057/9780230376540_12.
Full text
6
Tibi, Bassam. "The Revival of Political Islam: Between Islam and Arab Nationalism." In Arab Nationalism, 218–33. London: Palgrave Macmillan UK, 1997. http://dx.doi.org/10.1057/9780230376540_13.
Full text
7
Tibi, Bassam. "The Origins of Nation Formation and Nationalism in Europe." In Arab Nationalism, 29–38. London: Palgrave Macmillan UK, 1997. http://dx.doi.org/10.1057/9780230376540_2.
Full text
8
Tibi, Bassam. "Social Science Interpretations of Nationalism and of Nation Formation in the ‘Third World’." In Arab Nationalism, 39–58. London: Palgrave Macmillan UK, 1997. http://dx.doi.org/10.1057/9780230376540_3.
Full text
9
Tibi, Bassam. "The Role of Nationalism and Nation Formation in the Process of Emancipation of the Peoples of the ‘Third World’." In Arab Nationalism, 59–71. London: Palgrave Macmillan UK, 1997. http://dx.doi.org/10.1057/9780230376540_4.
Full text
10
Tibi, Bassam. "The Historical Background of Arab Nationalism." In Arab Nationalism, 75–94. London: Palgrave Macmillan UK, 1997. http://dx.doi.org/10.1057/9780230376540_5.
Full textConference papers on the topic "Nationalisme arabe"
1
MEHMETALI, Bekir. "THE ARAB-TURKISH BROTHERHOOD IN MODERN ARABIC POETRY." In VI. International Congress of Humanities and Educational Research. Rimar Academy, 2023. http://dx.doi.org/10.47832/ijhercongress6-3.
Full textAbstract:
Since ancient times, Arabic poetry has been a depiction of everything that is happening in the Arab environment that surrounds the poet wherever he is, and his igniting flame has not been extinguished in their souls, despite the subjugation of the Arab world to the rule of non-Arabs after Islam. It is known that the Arab Muslims set out from the Arabian Peninsula as conquerors and heralds of the serious Islamic religion, and as a result of this the entry of nonArabs into Islam that enlightened the darkness of their hearts, so the Persians, Romans, Copts, Abyssinians, Turks, and others will be enlightened by his guidance... Muslim rulers will succeed in ruling the Islamic state Arabs and non-Arabs, such as Persians, Turks, Kurds, and others. And when the Turkish Ottoman state was established on an Islamic religious basis, the Turkish Muslims carried the banner of Islam, so they defended it, relying on Muslims of all nations, from the Turks, the Laz, the Arabs, and others, so the Islamic Ottoman rule extended over common areas that included almost the entire Arab lands, and they did not differentiate between Muslim and another in view of his race, color or geography. However, this matter did not satisfy the lurking enemies who wanted sedition and division between the Arabs and the Turks, so they stirred up the winds of nationalism that some Arab poets sought in the modern era, such as Ibrahim al-Yaziji and Khalil Mutran. Herein lies the importance of the research, its objective, and its value. The research uses the descriptive and analytical approaches in order to highlight the manifestations of this brotherhood, which received sufficient attention from Arab poets in the modern era.
Reports on the topic "Nationalisme arabe"
1
Yilmaz, Ihsan, and Nicholas Morieson. Nationalism, Religion, and Archaeology: The Civilizational Populism of Benjamin Netanyahu and Likud. European Center for Populism Studies (ECPS), October 2022. http://dx.doi.org/10.55271/pp0015.
Full textAbstract:
This paper examines civilizational populism in Israel and focuses on the largest and most powerful party in Israel since the 1980s, National Liberal Movement (Likud), and its most significant leader of the past twenty years, the populist politician Benjamin Netanyahu. We show how Netanyahu incorporates ‘civilizationism’ into his populist discourses by, first, using the notion that Jewish civilization predates all others in the region to establish the legitimacy of the state of Israel, the hegemony of Jewish culture within Israel, and at times his own political decisions. Second, through his portrayal of the Arab-Muslim world as an antisemitic and barbaric bloc that, far from being a civilization, threatens Western civilization through its barbarism. Equally, this paper shows how Netanyahu argues that Israel is akin to protective wall that protects Western Civilization from the Islamist barbarians who wish to destroy it, and therefore on this basis calls for Europeans and North Americans to support Israel in its battle for civilization and against “the forces of barbarism.”