Academic literature on the topic 'Nature – Protection – Afrique occidentale'

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Journal articles on the topic "Nature – Protection – Afrique occidentale"

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Adesokan, A., and M. MacLean. "Africa’s COVID-19 story: cheap innovation technology and climate protective effect to her rescue?" African Journal of Clinical and Experimental Microbiology 22, no. 1 (January 26, 2021): 1–6. http://dx.doi.org/10.4314/ajcem.v22i1.1.

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Abstract:
As the COVID-19 pandemic sweeps the globe, causing tens of thousands of deaths in most Western countries with economies round the world in turmoil, Africa has so far been largely spared the kind of impact that has thrown the United States, South America and Europe into crisis. Most African countries remain seriously unprepared to handle the pandemic of the nature the Western world is dealing with; Africa, from Mali to Ethiopia to Libya and down to South Africa, have insufficient ventilators or intensive care beds to cope with COVID-19 should it strike with ferocity as it is doing in the Western world. As COVID-19 reaches the shores of Africa, despite poor health facilities, poor living conditions and inadequate availability of clean water across the continent, Africans are still putting up a fight taking COVID-19 head on with use of cheap technology, and help from the continent’s protective climate. However, Africa cannot afford to be complacent. African countries must continue to adopt strict social distancing measures, educate their people on the importance of intake of regular vitamin D, good exercising habit, good sleep pattern, adequate hand hygiene measures, as well as strictly enforcing the “test, trace and isolate“ model to the letter for the continent to take on the fight head on and wage a proper war against COVID-19. Keywords: SARS-COV-2; COVID-19; innovation; technology; climate; Africa English title: L'histoire du COVID-19 en Afrique: une technologie d'innovation bon marché et un effet protecteur du climat à sa rescousse? Alors que la pandémie du COVID-19 balaie le globe, causant des dizaines de milliers de morts dans la plupart des pays occidentaux avec des économies du monde entier en crise, l'Afrique a jusqu'à présent été largementépargnée par le type d'impact qui a jeté les États-Unis, l'Amérique du Sud et l'Europe en crise. La plupart despays africains ne sont pas vraiment préparés à faire face à la pandémie de la nature à laquelle le monde occidental est confronté; L'Afrique, du Mali à l'Éthiopie en passant par la Libye et jusqu'en Afrique du Sud, ne dispose pas de ventilateurs ou de lits de soins intensifs insuffisants pour faire face au COVID-19 s'il frappe avec férocité comme dans le monde occidental. Alors que le COVID-19 atteint les rives de l'Afrique, malgré des installations de santé médiocres, des conditions de vie médiocres et une disponibilité insuffisante d'eau potable à travers le continent, les Africains continuent de se battre en prenant le COVID-19 de front avec l'utilisation d'une technologie bon marché et l'aide de le climat protecteur du continent. Cependant, l'Afrique ne peut pas se permettre d'être complaisante. Les pays africains doivent continuer à adopter des mesures de distanciation sociale strictes, éduquer leur population sur l'importance de l'apport régulier de vitamine D, de bonnes habitudes d'exercice, un bon sommeil, des mesures d'hygiène des mains adéquates, ainsi que l'application stricte du «test, traçage et isolement». modèle à la lettre pour que le continent se batte de front et mène une véritable guerre contre le COVID-19. Mots clés: SRAS-COV-2; COVID-19; innovation; La technologie; climat; Afrique
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Aubréville, André, and Ilona Bossanyi. "A Charter for Nature Protection in Tropical Africa." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 323, no. 323 (January 7, 2015): 65. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.323.a31245.

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Abstract:
Lors de la Conférence sur la Conservation de la faune et de la flore à Bukavu (26-31 octobre 1953), une délégation française a présenté une recommandation, adop- tée à l’unanimité, en faveur d’une poli- tique générale de protection de la nature en Afrique. La Convention de Londres de 1933, réservée à la « conservation de la faune et de la flore à l’état naturel », appa- raît en effet insuffisante. La conservation de quelques espèces animales ou végé- tales, et la constitution de parcs nationaux et de réserves naturelles ne constituent en effet qu’un point particulier d’une pro- tection de la Nature qui doit s’étendre à la protection du milieu dans lequel vit l’humanité africaine. Il s’agit de protéger la couverture végétale spontanée, protec- trice des eaux et des sols. Celle-ci recouvre les forêts mais aussi les « brousses » in- déterminées. Une convention spécifique à l’Afrique se justifie parce que la nature africaine est différente et plus gravement menacée que d’autres. Elle l’est par le ca- ractère extrême de son climat, mais aussi par les feux de brousse et l’agriculture sur brûlis, qui font vivre une population sous-alimentée. La savanisation, l’appau- vrissement et l’érosion des sols, la déser- tification y progressent. Une politique de protection commune à tous les territoires africains est devenue indispensable pour assurer cette protection, comme elle l’est tout autant pour lutter contre les épidé- mies. L’Afrique est un tout qui ne connaît pas de frontières, mais rassemble des régions naturelles interagissant au plan climatique. Au-delà d’une Charte pour la protection de la nature en Afrique, il s’agit toutefois bien de la protection des popula- tions africaines, lesquelles ne doivent ce- pendant pas être soumises à un planisme scientifique qui ignorerait leurs pratiques coutumières.Résumé adapté par la rédaction de la revue.
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Ratcliffe, Barrie M. "Cotton Imperialism: Manchester Merchants and Cotton Cultivation in West Africa in the Mid-Nineteenth Century." Historical Papers 16, no. 1 (April 26, 2006): 101–23. http://dx.doi.org/10.7202/030870ar.

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Abstract:
Résumé Pendant les décennies 1850 et 1860, beaucoup d'efforts ont été consacrés au maintien de la production du coton brut, destiné à l'exportation, dans différentes régions de l'Afrique occidentale. A partir du cas des marchands de Manchester, et à la lumière tant des documents du « Colonial Office » que des sources privées et publiques de Manchester, l'auteur étudie les causes et effets de ces efforts. II les replace d'abord dans le contexte des vues contemporaines sur l'impérialisme européen en Afrique occidentale et, en particulier, dans celui de l'importance qui s'avère capitale, à l'époque, de rechercher des marchés et des sources nouvelles de matières premières. Il s'applique ensuite à définir la nature des rapports qui s'établissent, d'une part, entre le gouvernement et les divers groupes de pression et, d'autre part, entre la métropole et la périphérie. Enfin, il conclut que si l'étude de ce cas particulier ne jette pas toute la lumière sur le rôle qu'ont pu jouer les matières premières dans les relations qu'a entretenues la métropole avec les zones périphériques, elle n'en démontre pas moins l'importance du problème et tout l'intérêt qu'il peut susciter.
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Bertrand, Aliènor. "Une archéologie philosophique des normes environnementales : biopolitique et droit des peuples autochtones." Revue générale de droit 43 (January 13, 2014): 223–74. http://dx.doi.org/10.7202/1021215ar.

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Abstract:
Cet article décrit la dialectique qui oppose les droits des peuples autochtones et les normes de protection de la nature. Il défend l’hypothèse selon laquelle ces normes sont un instrument de biopouvoir. Dessinant une nouvelle archéologie philosophique, il discute et renverse la périodisation proposée par Foucault en distinguant trois grandes formes de biopolitique ayant rythmé successivement l’histoire de l’expansion occidentale : la biopolitique esclavagiste, la biopolitique sanitaire et la biopolitique environnementale. La combinaison de cette nouvelle périodisation avec l’anthropologie de la nature de Philippe Descola permet une réinterprétation puissante des dispositifs de pouvoir qui se sont succédé depuis le début de l’époque moderne. Réinscrites dans une perspective de longue durée, les normes environnementales apparaissent alors comme un outil majeur de l’imposition au monde du socle anthropologique de l’Occident moderne. Mais les dynamiques historiques d’opposition ou de synergie entre les systèmes de droit coutumier, les édifices juridiques de souveraineté et les gouvernementalités biopolitiques montrent aussi que le droit naissant des peuples autochtones ouvre une double voie de résistance au pouvoir des États et à la normativité environnementale néolibérale.
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Diallo, Rozenn N. "Vers une gouvernance privatisée et internationalisée de la conservation. Étude de cas autour du « partenariat public-philanthropique » du parc national de Gorongosa, au Mozambique." Lien social et Politiques, no. 65 (September 30, 2011): 121–37. http://dx.doi.org/10.7202/1006029ar.

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Abstract:
Le secteur de la conservation, entendue comme la protection de la biodiversité, est marqué en Afrique subsaharienne par la forte présence d’acteurs internationaux : bailleurs de fonds, organisations internationales de la conservation et fondations privées. Le contexte d’extraversion de l’État, c’est-à-dire d’une forte dépendance vis-à-vis des ressources et des acteurs internationaux, sous-tend un discours faisant la promotion d’une privatisation de la nature. L’accent est en effet mis sur l’implication du secteur privé, et notamment sur les partenariats public-privé – maîtres d’oeuvre d’un développement efficace, alliant prise en compte sociale et efficacité économique. L’exemple du parc national de Gorongosa, dans la région centre du Mozambique, cogéré depuis 2008 par l’État et la fondation Carr, fondation philanthropique américaine, illustre ce nouveau mode de gouvernance de la conservation.
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De Myttenaere, Bernard, and Emmanuel D’Ieteren. "Le kayak en Wallonie." Téoros 28, no. 2 (May 5, 2014): 9–20. http://dx.doi.org/10.7202/1024802ar.

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Abstract:
Depuis une trentaine d’années, les activités ludosportives en milieu rural occupent une place non négligeable au sein de nombreux territoires touristiques, témoignant ainsi d’un nouveau rapport au temps, au corps et à la nature au sein de la société occidentale. Parmi ces activités, le kayak interpelle nombre d’acteurs publics et privés liés à la gestion du milieu aquatique, de par les enjeux socio-économiques, culturels et environnementaux, et les conflits que cette activité suscite. En Wallonie, comme dans de nombreux territoires ruraux, la rivière est ainsi le théâtre de conflits d’usage qui opposent des groupes d’acteurs aux valeurs et intérêts souvent divergents. Dans un contexte de montée en puissance des préoccupations environnementales, force est de constater que la pratique du kayak a été touchée en Wallonie par de nombreuses réglementations et soumise à toujours davantage de contraintes visant à minimiser les supposées incidences de cette activité. Cependant, l’adoption de ces mesures, considérées comme illégitimes par les loueurs de kayaks, conjuguée à l’absence d’étude objectivant les impacts environnementaux de la pratique du kayak ont participé à l’éclosion d’une importante controverse environnementale. Partant de ce constat, cette contribution présente, d’une part, les résultats d’une étude visant à mieux comprendre les spécificités socio-économiques de la pratique du kayak en Wallonie et, d’autre part, montre les enjeux auxquels sont confrontées les activités sportives de loisir et de tourisme de nature en Wallonie. Dans notre analyse, nous exposons une série de facteurs qui, à nos yeux, expliquent l’existence d’une controverse environnementale et notamment le jeu de rapports de force inégaux entre les différents acteurs de la rivière. L’étude montre les difficultés que rencontre la filière des sports de nature en Wallonie dans un contexte où les modes de régulation de l’activité du kayak concilient difficilement les enjeux du développement du tourisme sportif de nature et la protection de l’environnement.
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Braghieri, Nicola. "Alpi della Svizzera occidentale. La retorica dello «stile contemporaneo alpino» / Alps of western Switzerland. The rhetoric of «contemporary alpine style»." Regionalità e produzione architettonica contemporanea nelle Alpi, no. 1 ns, november 2018 (November 15, 2018): 76–85. http://dx.doi.org/10.30682/aa1801h.

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Abstract:
Geographically characterized by three regions with a very different nature that converge on the Lac Léman – Schweizer Alpen, Shweizer Mittelland, Jura suisse or rather mountain chain, lacustrine plain and calcareous barrier – the area of western Switzerland, also from the point of view of its cultural identity, has defined itself through the composition of this contrasting elements. This area cannot be considered entirely alpine then. You can also find quite big linguistics and religious diversities and cultural contrasts between the inhabitants of the countryside and the mountains, politically conservative, and the inhabitants of the cities with a liberal orientation. These differences are the key to understand the dynamics of building development of the region, characterized by the conflict between the idea of progress and that of territory conservation. They reflect on the environmental aspects, tourism promotion and service infrastructures. Since the second half of last century, the industrialization has triggered off the upsetting of the strong local balances, marking the passage from a mainly agricultural and pastoral economy to one of production and services, leaving on the ground hydraulic and infrastructure engineering. Also from the architectural point of view, the panorama seems to change to embrace the brave research of a language of synthesis between the lexical elements of the vernacular tradition and the raw materials of industrial logic. These elements are the background of the contemporary design culture, stuck between a complex management of the territory, the reiteration of formal features, the presence of aesthetic drifts and a harsh dialectics that sometimes mixes up protection with preservation, progress with development, development with abuse.
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Allport, Gary. "The status and conservation of threatened birds in the Upper Guinea forest." Bird Conservation International 1, no. 1 (March 1991): 53–74. http://dx.doi.org/10.1017/s095927090000054x.

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Abstract:
SummaryThere are twenty-one endemic and near-endemic forest birds in the Upper Guinea forest of West Africa. Less than 80,000 km2 of their habitat remains and this is being rapidly degraded and fragmented. Eight threatened and two near-threatened birds were identified by Collar and Stuart (1985) in this region based on the scant information then available. More recent surveys confirm the threatened status of all these birds, but two species, Melaenornis annamarulae and Malimbus ballmanni, should now be considered Vulnerable having previously been placed in the Indeterminate category. Phyllastrephus leucolepis, described since the production of the Red Data Book, is only found in the forest of east Liberia and must be considered Endangered. Records suggest that all three species are restricted to the western part of the Upper Guinea forest. There are two forest areas which are of the highest priority for the conservation of these and the other endemic birds: (i) south-east Liberia/south-west Ivory Coast; (ii) south-east Sierra Leone/northwest Liberia. Ceratogymnasubcylindricus and Phyllastrephus baumanni are recommended for inclusion in the Near-threatened category.Vingt-et-une espéces forestiéres d'oiseaux endémiques ou quasiment endémiques vivent dans la forêt de Haute-Guinée en Afrique de l'Ouest. A l'époque actuelle leur habitat, qui fût déjà réduit à moins de 80,000 km2, continue d'être rapidement dégradé et fragmenté. Collar et Stuart (1985) identifiérent huit especes menacées plus deux espéces probablement menacées pour la région, basé sur le peu d'information disponible à l'époque. Des investigations plus récentes confirment le statut de toutes ces espéces sauf deux, Melaenornis annamarulae et Malimbus ballmanni, qui fûrent insuffisamment connus, doivent maintenant être considérés vulnérables. Phyllastrephus leucolepis ne fût décrit pour la science qu'après la production du livre rouge et ne se trouve uniquement dans la forêt du Libéria oriental, et doît done être considéré comme en danger. Des observations suggérent que toutes ces espéces soient limitées à la partie occidentale de la forêt de HauteGuinée. Deux régions forestières se révèlent d'être de la plus haute priorité pour la sauvegarde de ces éspèces et des autres oiseaux endémiques: (i) le sud-est du Libéria/sud-ouest de la Côte-d'Ivoire et (ii) le sud-est du Sierra Léone/nord-ouest du Libéria. Nous recommandons d'inclure Ceratogymna subcylindricus et Phyllastrephus baumanni dans la catégorie probablement menacé.
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INGRAND, S., and B. DEDIEU. "Numéro spécial : Quelles innovations pour quels systèmes d'élevage ?" INRAE Productions Animales 27, no. 2 (June 1, 2014): 75–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.2.3055.

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Abstract:
Anant-propos « Innover » est un mot d’ordre sociétal qui encourage la communauté des chercheurs à produire des connaissances, des démarches et des outils visant à faire « autrement », à changer de paradigme, ou tout au moins de modèle de production pour ce qui concerne la communauté des agronomes. Pour une grande partie de cette communauté, le débat est centré sur la conception innovante des systèmes agricoles visant de nouveaux compromis entre production (quantité, qualité), protection de l’environnement, maîtrise de la consommation des énergies non renouvelables, tout en contribuant à la sécurité alimentaire globale et à la traçabilité des pratiques. Mais d’autres dimensions doivent être intégrées : la participation des acteurs au processus de conception, la façon dont les différentes sources d’innovations (la recherche, les agriculteurs, les filières, les industriels) interagissent, l’accompagnement de l’engagement dans le changement des exploitants agricoles et le rôle du conseil (public, privé) dans ce cadre, l’étude des verrouillages sociotechniques, etc. La notion d’innovation embarque de fait beaucoup de questions de natures différentes, auxquelles apporter des réponses nécessite une interdisciplinarité entre sciences techniques et sciences sociales. Ce numéro spécial propose une vision de l’innovation dans les systèmes d’élevage centrée sur la contribution des zootechniciens. Il regroupe ainsi huit articles choisis pour traiter des innovations à l’échelle des systèmes d’élevage (et non aux échelles infra – fonctions physiologiques, animal, ou supra – territoire, filière –). Les auteurs ont été sollicités principalement au sein de l’Inra et chez nos partenaires proches (enseignement supérieur agronomique, Instituts techniques et Cirad). A l’Inra, cela concerne les deux départements de recherche au sein desquels des travaux sont conduits sur les systèmes d’élevage, à savoir le département « Sciences pour l’action et le développement » (Sad) et le département « Physiologie animale et systèmes d’élevage » (Phase). Partant des questions générales sur la conception innovante et l’évaluation des systèmes, ce numéro explore différentes leviers de changements radicaux qui sont en germe dans le secteur de l’élevage : l’élevage de précision, l’écologie industrielle, l’agro-écologie, avec leurs déclinaisons (les capteurs appareillés sur les animaux, l’élevage de poissons avec de l’eau recirculée, les systèmes laitiers bas intrants). Deux articles complètent le panorama en s’intéressant au repérage des innovations dans les exploitations d’élevage en France et aux dynamiques diversifiées d’innovation et de changement en Afrique. Les thèmes des articles ont ainsi été pensés pour mixer des réflexions conceptuelles sur l’innovation, en tant qu’objet et en tant que processus, avec des exemples concrets pris soit dans les dispositifs expérimentaux des instituts de recherche, soit chez les éleveurs eux-mêmes. Différentes espèces animales sont concernées par ces exemples, des poissons aux bovins, en passant par les volailles, les ovins et les caprins. Ce numéro spécial souligne ainsi que le secteur de l’élevage n’est pas en reste en matière d’innovations. Mais le champ est vaste et il ne prétend pas en faire le tour, notamment sur le plan des innovations génétiques : il est difficile d’être exhaustif dans un tel exercice ! Pour finir, à la lecture de ce numéro, quelques questions pour l’avenir nous semblent devoir être formulées : - L’innovation dans les systèmes d’élevage se construit aujourd’hui dans des dispositifs partenariaux associant recherche, développement et formation, inventeurs et utilisateurs. Les éleveurs sont au cœur du processus d’innovation et sont bien sûr les acteurs déterminants de sa réussite ou de son échec. Mais le rôle d’autres parties prenantes (filières, conseil public et privé, action publique, acteurs des territoires et industriels) mériterait d’être plus approfondi ; - Dans le secteur de l’agriculture, et en particulier de l’élevage, les applications des innovations portent sur le vivant, en l’occurrence des animaux. Des questions portent sur la considération apportée à ces êtres vivants et aux formes d’interaction entre hommes et animaux dans le travail quotidien. Par exemple, est-il souhaitable, éthique, d’équiper les animaux avec des capteurs divers et variés, au risque de remettre en cause leur bien-être, ou la nature même de l’activité d’élevage ? L’agro-écologie porte-t-elle d’autres formes de considérations des animaux ? Ces questions importantes restent ouvertes ; - L’avenir sera sans doute fait d’une coexistence de deux mouvements qui peuvent apparaître en première approche contradictoires : d’une part, le mouvement vers l’agro-écologie mettant en exergue les propriétés des processus écologiques et d’autre part, le mouvement vers l’automatisation, les nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC), l’élevage dit « de précision » s’appuyant sur l’écologie industrielle et la recherche de l’efficience. Mais ne faudra-t-il pas tenter de travailler aussi la mise en synergie de ces deux mouvements ? - L’innovation dans les systèmes d’élevage doit être réfléchie en même temps dans le secteur animal et végétal, en particulier quand il s’agit de raisonner les systèmes fourragers de demain, mais aussi le rôle des cultures dans l’alimentation animale et l’autonomie des exploitations. La polycultureélevage, bien plus qu’une tradition désuète, est sans doute une forme intéressante et prometteuse pour mettre en œuvre les principes tant d’agro-écologie que d’écologie industrielle, avec des modes d’organisation et d’interaction à repenser entre ateliers à l’intérieur de l’exploitation et entre exploitations à l’intérieur d’un territoire. L’année 2014 est marquée par la sortie en France de deux numéros spéciaux consacrés à l’innovation en élevage : le présent numéro d’INRA Productions Animales et celui de la revue Fourrages1. Pour nous, cela est le signe d’un enjeu important perçu par la communauté scientifique agronomique autour des questions d’innovation, à l’heure où l’élevage doit relever le défi d’être multi-performant. 1 L'innovation en systèmes fourragers et élevages d’herbivores : un champ de possibles. Fourrages, 217, mars 2014
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Doyon, Sabrina. "Environnement." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.007.

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Abstract:
Le mot environnement est polysémique. Selon les contextes et les disciplines, on peut référer à l’environnement physique, naturel ou social. Il est parfois associé, à tort, aux notions d’écosystème et de ressources naturelles. Ces ambiguïtés sont intéressantes du point de vue de l’anthropologie, car elles révèlent la multitude de réalités auxquels le terme réfère ainsi que les divers usages et pratiques auxquels il est lié et, surtout, aux différentes façons dont il peut être pensé, imaginé, transformé, projeté et vécu selon les groupes sociaux et culturels. Depuis les années 1960, les préoccupations liées à l’environnement sont très présentes. Cette situation est à mettre en lien avec trois phénomènes : l’émergence des inquiétudes à l’égard de la contamination causée par l’industrialisation et envers la surexploitation de la nature qui sont sans cesse croissantes, l’avènement des mouvements écologistes et environnementalistes qui ont publicisé ces enjeux dans la société et l’institutionnalisation de l’environnement, notamment par la mise en place un peu partout dans le monde de ministères de l’Environnement, de politiques environnementales et de législations concernant l’usage de la nature. Tout en interrogeant les concepts de nature et de culture, plusieurs approches au sein de l’anthropologie questionnent l’environnement par l’étude des différents types de rapports qu’entretiennent les êtres humains avec ce qui les entoure, ce qui les supporte et les constitue. L’écologie culturelle de Steward (Steward 1955), l’approche écosystémique de Rappaport (1967), l’ethnoscience et l’ethnoécologie (Haudricourt 1956), l’œuvre d’anthropologie structurale de Lévi-Strauss, les travaux relatifs aux rapports à la nature, des vivants et des non-vivants (Ellen et Katsuyochi 1996; Descola 2005; Viveiros de Castro 2009), et ceux propres à la perception et à « l’habiter » (Ingold 2000) sont parmi les approches anthropologiques ayant fait de l’environnement et de la nature le centre de leur réflexion. Elles s’inscrivent à la fois dans les courants matérialistes et symboliques de l’anthropologie et dans les écoles anglo-saxonnes et françaises de l’étude des relations socio-environnementales. Ces catégorisations ne sont toutefois pas absolues : des chevauchements et des emprunts enrichissent aujourd’hui les réflexions de chacun. Depuis les années 1990, les recherches anthropologiques concernant les relations entre l’environnement et les êtres humains sont nombreuses, variées et croissantes; elles intègrent souvent des approches propres à d’autres disciplines, telles que la géographie, la sociologie, les sciences politiques et la philosophie, et combinent des recherches fondamentales et appliquées. L’écologie politique (political ecology : approche critique des changements environnementaux qui analyse les liens entre des enjeux écologiques et d’économie politique) est un exemple de courant théorique phare qui intègre ces disciplines et qui rallie de nombreux chercheurs en anthropologie (Bryant et Bailey 1997; Escobar 1996; Gauthier et Benjaminsen 2012; Biersack et Greensberg 2006; Peet, Robbins et Watts 2011). Les efforts de compréhension de la pluralité des modes d’interprétation, de représentation et d’incorporation de l’environnement se nourrissent aussi d’études en histoire environnementale et questionnent les perceptions et les constructions sociales de la nature. Les concepts de natures humanisées (issues d’aménagements ou de perturbations anthropiques) y sont mis en rapport avec ceux de natures « sauvages et primaires »; des remises en question des idéaux de la wilderness, évoqués dans la tradition anglo-saxonne (Cronon 1995; Balée 2006), en émergent, démontrant qu’une supposée nature originelle n’aurait jamais existé et que l’environnement est, au contraire, travaillé, médié, construit par des actions humaines depuis la présence des premières communautés humaines. Ces clarifications amenées par l’anthropologie s’ancrent dans des compréhensions de la nature organisées par des savoirs environnementaux locaux et autochtones (Menzies 2006) qui sont souvent discrédités par la science positiviste occidentale (Fairhead et Leach 2003). Ces recherches sont également alimentées par des réflexions récentes en sciences de l’environnement où le modèle homéostatique de la nature (dans lequel les écosystèmes, en tant que systèmes, tendraient vers un équilibre via des mécanismes de rétroaction régulateurs) est contesté, préférant des approches qui intègrent le chaos et l’incertitude (Scoones 1999). Dans tous les cas, ces recherches s’attachent à montrer que les divisions conceptuelles entre la nature et la culture, la société et l’environnement ne sont pas universelles et s’ancrent plutôt dans des constructions modernes (Latour 1991). Ces réflexions foisonnantes ne sont pas étrangères aux analyses anthropologiques des discours environnementaux qui s’intéressent notamment à la cristallisation de certaines formules, telles que : les forêts cathédrales, le développement durable, la désertification et les changements climatiques (Crate et Nuttall 2009; Redclift 1987; Sachs 1993) et à leurs portées sociale et culturelle. Plusieurs auteurs exposent ainsi les conséquences sociales et politico-économiques variées, tant locales qu’internationales, des discours globalisés sur l’environnement dont les enjeux, connotés de conceptions « occidentales » anthropocentristes du rapport à la nature, sont énoncés et répétés par un petit groupe d’experts lors de récurrentes « grandes messes » internationales que sont les Conventions cadre des Nations unies sur les changements climatiques, les Conventions sur la diversité biologique et les Sommets de la Terre. Ces nouveaux processus politiques par lesquels l’environnement est gouverné et contrôlé, nommé environnementalité (Agrawal 2005), constituent des phénomènes où la nature est conçue comme un espace propre à l’intervention du gouvernement. Les anthropologues s’intéressent à ces processus, ainsi qu’aux enjeux qui y sont discutés, comme la justice environnementale, les réfugiés climatiques et le racisme environnemental, des termes qui témoignent de l’intrication sociale, politique, économique et culturelle inhérente à la situation écologique mondiale actuelle. Des recherches examinent également les mécanismes de négociation des enjeux élaborés lors de ces évènements et les structures qui codifient les échanges permettant à certaines voix d’être entendues tandis que d’autres sont tues. Les discours environnementaux globalisés sont au cœur des mouvements de protection de la nature, engendrés tant par des organismes privés qu’étatiques, qui s’incarnent notamment dans la création, exponentielle depuis les années 1980, de parcs naturels, de réserves ou d’aires protégées (Adams et Hutton 2007; West, Igoe et Brockington 2006). La constitution de ces territoires n’est pas nouvelle : elle a ses racines dans la colonisation de l’Amérique du Nord, de l’Afrique et de l’Inde. Elles furent d’abord créées à l’initiative des colonisateurs qui voulurent protéger une nature « sauvage » idéalisée comme étant vierge et qu’ils « découvraient »; une nature dont le caractère inaltéré avait, selon eux, disparu en Europe. L’instauration de ces parcs se fit cependant au prix de l’expulsion des populations autochtones qui les occupaient (Igoe et Brockington 2007). Les études des rapports qu’entretiennent spécifiquement les populations autochtones avec l’environnement sont d’ailleurs très riches et nombreuses et constituent tout un champ de recherche (Colchester 2003[1994]). Les anthropologues étudient comment la création de ces aires protégées, en transformant des paysages en lieux de contemplation et de protection de la nature, contribue à transformer l’espace et les rapports sociaux. L’espace est d’ailleurs un concept de plus en plus utilisé en anthropologie dans l’examen des relations socio-environnementales. Ces espaces protégés sont aussi le lieu d’initiatives de patrimonialisation de la nature (Roigé et Frigolé 2010) qui ne sont pas sans soulever des questionnements critiques. Le développement du tourisme et de l’écotourisme dans ces espaces protégés (Duffy 2008, Stronza 2001) amènent, entre autres conséquences, une valorisation de certaines espèces « charismatiques » au détriment d’autres entités constituant les écosystèmes. L’exploitation de la nature par le truchement de systèmes de production mécanisés et industriels en agriculture, dans les pêches, la foresterie, l’exploitation minière et l’extraction des carburants fossiles est au cœur des préoccupations de l’anthropologie de l’environnement. Cette dernière questionne les modes d’appropriation de ces « ressources naturelles » en s’intéressant notamment aux préoccupations de l’éthique environnementale, des mouvements écologistes et environnementalistes (Peluso 1992; Latour 2004) ainsi que des autres mouvements sociaux, notamment anarchistes et féministes, qui s’insurgent contre des modèles de développement de l’environnement délétères, sexistes et iniques (Rocheleau, Thomas-Slayter et Wangari 1996). Ces préoccupations s’arriment à celles exprimées à l’égard des effets de la privatisation, de la marchandisation et de la re-régulation des dimensions fonctionnelles, symboliques, esthétiques et contemplatives de la nature et du vivant, ce que se propose d’étudier un nouveau courant anthropologique se penchant sur les processus de la « néolibéralisation » de l’environnement (Castree 2008; Igoe et Brockington 2007).
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Dissertations / Theses on the topic "Nature – Protection – Afrique occidentale"

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Zalewski, Sally. "L'impact des politiques de conservation sur les populations rurales de l'Afrique de l'Ouest : mise au point d'une méthode d'évaluation." Paris 11, 1988. http://www.theses.fr/1988PA112051.

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Dolidon, Hélène. "L'espace des feux en Afrique de l'Ouest : l'analyse d'un phénomène d'interface nature-société." Caen, 2005. http://www.theses.fr/2005CAEN1434.

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Abstract:
En Afrique de l'Ouest, les feux de brousse se propagent chaque année dans les milieux de savanes. Partant du constat qu'ils sont déterminés à la fois par des facteurs biophysiques et des facteurs anthropiques, l'observation de leur distribution à cette échelle permet de réaliser une géographie des feux. Une première partie est consacrée à l'analyse de leur distribution entre juillet 1996 et juin 2003. La deuxième partie est une étude des causes de leur propagation par rapport aux milieux qu'ils traversent et du point de vue des sociétés, qui le pratiquent. Une troisième partie compare leur répartition spatio-temporelle avec celles des facteurs biophysiques et anthropiques du sous-continent. Nous distinguons des facteurs externes déterminants et des ajustements internes, qui n'ont pas les mêmes implications spatiales. Enfin, dans la quatrième partie, certaines entités spatio-temporelles sont étudiées à moyenne échelle pour montrer la complexité de l'espace des feux. L'étude conclue sur l'utilité fonctionnelle du feu pour délimiter et caractériser les paysages végétaux, sur la signification du feu dans l'approche écosystèmique, géosystèmique et paysagère et sur l'intérêt des feux dans l'analyse de l'organisation et du fonctionnement de l'espace géographique
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Akue, Adovi Segbeaya. "Finances publiques et politiques de protection de l'environnement dans les pays d'Afrique de l'ouest." Poitiers, 2003. http://www.theses.fr/2003POIT3020.

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Abstract:
La protection de l'environnement est devenue une donnée incontournable de toute approche de développement. En cela, le concept du développement durable, qui concilie croissance économique et préservation des ressources naturelles, intéresse particulièrement les pays en voie de développement. Dans les pays de l'Afrique subsaharienne, où l'environnement est "l'outil de travail", sa protection relève d'une nécessité vitale. Mais comment financer les politiques de protection de l'environnement ? L'effort interne dont la pierre angulaire reste le financement public est problématique. Les finances publiques, exposées à des insuffisances diverses, paraissent bien peu soucieuses de l'environnement. Dans le contexte des pays de l'Afrique subsaharienne, les forces budgétaires constituent un élément majeur de l'interaction des forces sociales dont la résultante est l'environnement. Aussi, l'approche internationale les désigne-t-elle comme un instrument de promotion de l'environnement.
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Caillault, Sébastien. "Le feu, la brousse et la savane : Modélisation spatiale de la dynamique des paysages soudaniens (Burkina Faso)." Phd thesis, Université de Caen, 2011. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00625721.

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Abstract:
Dans les paysages soudaniens, embrasés lors de la saison sèche, les importantes mutations engendrées par l'intensification agricole recomposent les espaces et les modes de gestion associés. Dans ce contexte, le feu, symbole passé de la dégradation des forêts devient un outil d'ingénierie écologique aux services des savanes désormais menacées. Afin d'analyser ces bouleversements complexes des paysages-objets et des représentations associées aux enjeux modernes qui se tissent, une caractérisation spatiale fine du feu a été entreprise. Ce travail, central dans la recherche menée, permet alors d'appréhender l'évolution des modes de gestion et les trajectoires paysagères. Contrairement aux observations reléguant les pratiques du feu comme anecdotiques ou anarchiques en saison sèche, nous montrons que la dynamique complexe des feux de brousse est principalement structurée par la combinaison locale d'une pratique régulière et de facteurs pédoclimatiques. L'interaction locale entre le moment de la mise à feu et la combustibilité de la végétation est le critère déterminant des régimes de feux observés à l'échelle régionale. Les dernières pluies correspondent ainsi à l'éclosion des premiers feux sur les sols squelettiques, puis petit à petit, les feux parcourent des milieux aux sols plus profonds où la végétation reste humide plus longtemps. Le recours à l'analyse et à la simulation spatiale a permis de faciliter les échanges entre observations de terrain et cartes régionales, pour ainsi explorer les interactions locales entre mise à feu et dynamique saisonnière des espaces. Cependant si cette dynamique saisonnière est confirmée, elle dévoile au-delà-des variables biophysiques, la place nouvelle des territoires dédiés à la protection de la nature et l'hétérogénéité des regards portés sur la gestion des espaces ruraux.
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Coulibaly, Diariata. "Contribution à l'élaboration de dispositions législatives et règlementaires pour l'intégration socio-économiques des personnes handicapées en Afrique de l'ouest." Nice, 2005. http://www.theses.fr/2005NICE0041.

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Abstract:
Les personnes handicapées représentent, selon l'OMS, environ 10% de la population Mondiale. Bien qu'il n'y ait pas en Afrique de statistiques exactes sur les personnes handicapées, on peut estimer leur nombre à près de quatre vingt millions. En dépit d'une importante base légale au niveau internationale, la situation des personnes handicapées est caractérisée par des progrès lents dans les pays développés et par un sentiment tragique du handicap dans les pays en développement. Cette importante base légale au niveau international dans son application au droit interne ainsi que les textes adoptés par les gouvernements au plan national ne sont en faits que formels et proclamatoires et leur effectivité est de loin en deçà des manières pompeuses dont ils sont adoptés par les Gouvernements. L'impuissance des Etats et l'inefficacité du système mis en place conduite à l'émergence d'un Droit spontané du Handicap. Le Droit spontané doit évoluer vers un Droit de l'action. Des propositions pour assurer l'efficacité des actions.
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Assemboni, Alida Nabobuè. "Le droit de l'environnement marin et côtier en Afrique occidentale : cas de cinq pays francophones." Limoges, 2006. http://aurore.unilim.fr/theses/nxfile/default/5119a38e-4234-4cac-86d5-db7274f70c53/blobholder:0/2006LIMO0513.pdf.

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Abstract:
L’Afrique occidentale est une sous- région dont l’environnement marin et côtier regorgede richesses naturelles inestimables. Ces milieux subissent depuis des décennies les pires dégradations telles que la surexploitation des ressources biologiques et abiotiques, la pollution marine et côtière, l’érosion côtière, etc. Afin de remédier aux problèmes liés à la dégradation du milieu marin et des zones côtières, les pays de la région de l’Afrique del’Ouest et du Centre, parmi lesquels figurent les cinq pays ciblés dans le cadre de cette étude (le Bénin, la Côte d’Ivoire, la Guinée, le Sénégal et le Togo), se sont regroupés pour adopter la Convention relative à la coopération en matière de protection et de mise en valeur du milieu marin et des zones côtières et le Protocole relatif à la coopération en matière de lutte contre la pollution en cas de situation critique, tous deux adoptés à Abidjan en Côte d’Ivoire le 23 mars 1981 et entrés en vigueur le 5 août 1984. Le cadre juridique relatif à la protection et à la gestion de l’environnement marin et côtier mis en place aussi bien dans le contexte régional que national, quoique pertinent, présente des défaillances. Les difficultés recensées sont principalement dues à la complexité de la mise en oeuvre des mesures juridiques. Il existe en effet dans ces pays un réel problème lié à l’effectivité du droit de l’environnement marin et côtier. Parmi les approches de solution possibles à ce problème figure la réforme du système juridique en vigueur tant sur le plan régional que national, qui intègre les éléments essentiels tendant à une véritable protection et une gestion du milieu marin et des zones côtières dans cette région
West Africa is a sub-region which marine and coastal environment contains important natural wealth. This natural environment suffer from different kinds of degradation such as resources overexploitation, marine and coastal pollution, coastal erosion. In order to resolve the problems created by the deterioration of the marine and coastal environment, Western and Central African countries, with specially five target countries concerned by this topic (Benin, Ivory Coast, Guinea, Senegal and Togo), adopted in Abidjan on March 23rd 1981, the Abidjan Convention for Protection and Development of the Marine and Coastal Environment of the West and Central African Region and the Protocol Concerning Cooperation in Combating Pollution in Cases of Emergency in West and Central African Region. These texts entered in force on August 5th 1984. Although the development of the legal protection and management of the marine and coastal environment within the regional and the national context, there are many problems. The main problems are due to the complexity of the implementation of the legal measures. These countries face a real problem related to the effectiveness of marine environmental law. The reform of the actual legal system in force in the region and the countries, concerning the effective protection and management of the marine and coastal environment is one of the possible solutions to the problems
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Bacyé, Henri Gnama. "La liberté d'association et la promotion, la protection et la défense des droits de l'homme en Afrique : exemple du Burkina Faso, de la Côte d'Ivoire, du Mali et du Sénégal." Perpignan, 1996. http://www.theses.fr/1996PERP0326.

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Abstract:
A partir des années 1960, les etats africains francophones accèdent a l'indépendance et les normes constitutionnelles adoptées alors par ces pays consacrent et garantissent expressement le respect des droits de l'homme, alors même que parallèlement l'adhesion de ces Etats aux differentes conventions internationales de protection de ces mêmes droits et la promulgation d'une législation sur la liberté d'association venaient théoriquement assurer une protection accrue de ces prérogatives. L'exemple du Bukina Faso, de la Côte d'Ivoire, du Mali et du Sénégal sont typiques de cette évolution. Jusqu'au milieu de annees 1980, les droits de l'homme en Afrique francophone, et plus precisement dans ces quatre pays, seront defendus ou promus d'une manière parallèle par les associations. Depuis les annees 1980, sous la pression conjuguée de plusieurs facteurs internes et externes, des associations spécifiques, en ce qu'elles ont pour vocation de défendre, protéger et promouvoir les droits de l'homme dans leur globalité, apparaissent dans ces differents pays et prennent le relai des pouvoirs publics defaillants.
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Sournia, Gérard. "Les aires protégées d'Afrique francophone (Afrique occidentale et centrale) : hier, aujourd'hui, demain : espaces à protéger ou espaces à partager ?" Bordeaux 3, 1996. http://www.theses.fr/1996BOR30072.

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Peretti, Corinne de. "Protection et exonérations douanières dans les pays de l’UEMOA : une analyse par la théorie de la nouvelle économie politique." Clermont-Ferrand 1, 2001. http://www.theses.fr/2001CLF10227.

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Abstract:
La théorie de la nouvelle économie politique de la politique commerciale estime que l’abandon du libre-échange procède de la résolution, via les institutions politiques, du conflit entre les gagnants et les perdants de la protection. Les travaux effectués dans cette perspective sont centrés sur l’analyse d’instruments traditionnels de protection et sur les pays industrialisés. L’objectif de cette thèse est de cerner ce qui, dans cette théorie, pourrait s’appliquer à la protection et aux exonérations douanières dans les pays de l’UEMOA. Le premier chapitre analyse les enseignements de l’économie politique de la politique commerciale pour les pays de l’UEMOA. Il définit les institutions politiques de ces pays et caractérise les différents groupes de pression susceptibles d’influer sur la politique économique des gouvernements. Le deuxième chapitre met l’accent sur les résistances aux tentatives de libéralisation commerciale exercées par la bureaucratie et les industriels au Sénégal. Une analyse de statistique descriptive permet de constater que les exonérations sont octroyées essentiellement aux biens intermédiaires et aux biens de capital importés. Une analyse économétrique de panel traite des relations entre taxation et exonérations et cherche à déterminer des caractéristiques sectorielles des exonérations. Le troisième chapitre étudie les déterminants de la politique commerciale dans le contexte d’intégration régionale actuel de l’UEMOA. Le premier objectif est de déterminer les caractéristiques nationales et sectorielles des exonérations. En effet, l’harmonisation des régimes d’exonération représente un enjeu crucial pour la réussite de l’intégration régionale car la persistance de régimes nationaux se traduirait par des systèmes tarifaires différenciés et serait donc contraire au principe d’un tarif extérieur commun. Le second objectif est d’analyser si la définition de la taxation extérieure commune a été influencée par le lobbying sectoriel des différents pays.
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Bondaz, Julien. "L’exposition postcoloniale : formes et usages des musées et des zoos en Afrique de l’ouest (Niger, Mali, Burkina Faso)." Thesis, Lyon 2, 2009. http://www.theses.fr/2009LYO20075.

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Abstract:
Les musées et les zoos d’Afrique de l’Ouest apparaissent comme des « nouveaux terrains » pour la recherche ethnologique et invitent à articuler une anthropologie historique et une ethnographie de la mise en exposition (une ethnomuséologie). L’étude conjointe de ces musées et de ces zoos permet en effet de questionner à la fois les transformations historiques (notamment postcoloniales) que la présentation d’objets et d’animaux vivants subit et les différents usages qui en sont faits. Ce sont ces usages qui donnent un sens et une fonction sociale à la mise en exposition. En donnant à lire les résultats d’une recherche ethnographique approfondie, menée au Niger, au Mali et au Burkina Faso, il s’agit également d’expliquer comment les relations aux objets et aux animaux exposés dans les musées et les zoos de ces trois pays constituent avant tout des relations sociales. On verra ainsi que les usages rituels de la mise en exposition sont particulièrement fréquents en Afrique de l’Ouest, et obligent à interroger d’une manière nouvelle cette forme relationnelle spécifique qu’est l’exposition postcoloniale
West African museums and zoos appear to be « new fieldworks » for anthropological research. They call for the articulation of an historical anthropology and an ethnographic analysis of exhibiting (an ethnomuseology). To study simultaneously such museums and zoos questions both the historical changes (including the postcolonial ones) that the display of objects and living animals is undergoing, and their various uses. It is precisely the ways in which objects and animals are use that give a meaning and a social function to the exhibition. This thorough ethnographic research (led in Niger, Mali and Burkina Faso) also aims at understanding how the relations with the objects and the animals exhibited in the museums and the zoos are primarily of a social nature. Ritual uses of the exhibition are indeed particularly frequent in West Africa, and therefore force us to question in a new way this specific form of relations : the postcolonial exhibition
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More sources

Books on the topic "Nature – Protection – Afrique occidentale"

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Alida Nabobuè Assemboni Epse Ogunjimi. Le droit de l'environnement marin et côtier en Afrique occidentale: Cas de cinq pays francophones. Lille: ANRT. Atelier national de reproduction des thèses, 2008.

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L'Afrikaner de Gordon's Bay. [Paris]: Syros, 2010.

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Protection de la Nature en Afrique de l’Ouest: Une Liste Rouge pour le Bénin. Nature Conservation in West Africa: Red List for Benin. Ibadan, Nigeria: International Institute of Tropical Agriculture, 2011.

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