Academic literature on the topic 'Nez – Muqueuse'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the lists of relevant articles, books, theses, conference reports, and other scholarly sources on the topic 'Nez – Muqueuse.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Journal articles on the topic "Nez – Muqueuse"

1

Bastier, P., A. Lechot, D. Dunion, C. Nagouas, and L. De Gabory. "Évaluation du traitement du syndrome du nez vide par implantation sous muqueuse de Tricalcium-phosphate selon la méthode d’Eyries." Annales françaises d'Oto-rhino-laryngologie et de Pathologie Cervico-faciale 131, no. 4 (October 2014): A97—A98. http://dx.doi.org/10.1016/j.aforl.2014.07.469.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Rhemimet, M., A. Kallali, S. Boujida, N. Zeraidi, A. Lakhdar, A. Baidada, and A. Kharbach. "POLYMYOMECTOMIE RAPPORTANT 20 FIBROMES : A PROPOS DUN CAS ET REVUE DE LA LITERATURE." International Journal of Advanced Research 9, no. 5 (May 31, 2021): 512–16. http://dx.doi.org/10.21474/ijar01/12866.

Full text
Abstract:
Les fibromes uterins sont des tumeurs des cellules musculaires lisses il sagit des tumeurs gynecologiques benignes les plus courantes chez les femmes en age de procreer. Leur presence est souvent constatee dans le cadre de lexploration qui est menee chez un couple aux prises avec linfertilite par ailleurs, ces fibromes sont dorigine monoclonale. Il est rare de constater des fibromes avant lapparition des premières règles de plus, les fibromes connaissent habituellement une regression après la menopause. Ils reagissent aux hormones et les oestrogènes semblent en promouvoir la croissance. Il a ete demontre que les concentrations locales en oestrogènes sont plus elevees dans les myomes que dans le myomètre environnant, ce qui sexplique peut-etre par une concentration accrue en aromatase. La reactivite hormonale semble etre accrue dans le cas des myomes sous-muqueux, par comparaison avec celle que presentent les myomes sous-sereux.Lechographie constitue un moyen adequat, rapide, sur et rentable de determiner la taille, le nombre et lemplacement des fibromes .La prise en charge de ces myomes peut etre une abstention ou un traitement medical ou un traitement chirurgical conservateur polymyomectomie ou radicale une hysterectomie.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Urbina, T., C. Hua, E. Sbidian, S. Ingen-Housz-Oro, T. A. Duong, P. Wolkenstein, R. Bosc, et al. "Urgences dermatologiques en réanimation : infections nécrosantes de la peau et des parties molles et toxidermies graves." Médecine Intensive Réanimation 27, no. 5 (September 2018): 461–74. http://dx.doi.org/10.3166/rea-2018-0064.

Full text
Abstract:
Les urgences dermatologiques nécessitant une admission en réanimation sont rares mais associées à une mortalité élevée et à de lourdes séquelles à long terme. Elles sont essentiellement représentées par les infections nécrosantes des tissus mous (également appelées : dermohypodermites bactériennes nécrosantes-fasciites nécrosantes [DHBN-FN]) et par les toxidermies graves que sont les nécrolyses épidermiques (comprenant le syndrome de Lyell ou nécrolyse épidermique toxique [NET], le syndrome de Stevens-Johnson [SJS] et le DRESS (drug reaction with eosinophilia and systemic symptoms)). Elles ont pour caractéristiques communes un diagnostic souvent difficile, la nécessité d’une approche multidisciplinaire et de soins paramédicaux lourds et spécifiques, imposant fréquemment le transfert dans un centre expert. Le traitement des DHBN-FN est médicochirurgical, associant un débridement chirurgical précoce et une antibiothérapie probabiliste à large spectre. La présence de signes de gravité locaux (nécrose, crépitation, douleur intense) ou généraux (sepsis, choc septique) est une indication d’urgence à l’exploration chirurgicale. Sa précocité est le principal facteur pronostique modifiable, les recommandations de thérapeutiques complémentaires (immunoglobulines intraveineuses, oxygénothérapie hyperbare, pansement à pressions négatives, ...) reposant à ce jour sur un faible niveau de preuve. L’élément essentiel de la prise en charge des toxidermies graves est la recherche et l’arrêt du médicament imputable, facteur essentiel du pronostic. Le SJS et le NET, en général associés à une ou plusieurs atteintes muqueuses, entraînent dans les formes les plus graves une défaillance cutanée aiguë. La prise en charge repose sur les soins de support (correction des troubles hydroélectrolytiques, prévention de l’hypothermie, prévention et traitement des épisodes infectieux, analgésie et anxiolyse, soins locaux). Les complications infectieuses et respiratoires sont les principales causes de décès à la phase aiguë. Aucun traitement spécifique n’a fait la preuve de son efficacité à ce jour. Le diagnostic de DRESS est difficile, et la prise en charge doit être multidisciplinaire. Sa gravité tient aux possibles atteintes viscérales associées (hépatique, rénale et cardiaque) qui justifient dans les formes graves d’une corticothérapie urgente.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles

Dissertations / Theses on the topic "Nez – Muqueuse"

1

GAY, DOMINIQUE. "Approche de l'innervation non adrenergique non cholinergique de la muqueuse nasale par provocation endonasale a la capsaicine." Toulouse 3, 1991. http://www.theses.fr/1991TOU31075.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Andriamaro, Jaonarivo. "Étude in vitro de l'effet de l'eau de mer sur la vitalité de la muqueuse respiratoire." Bordeaux 2, 1995. http://www.theses.fr/1995BOR2M167.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Ducharme, Marie-Ève. "Influence de la polypose nasale et de l'âge sur le phénotyque de l'asthme." Thesis, Université Laval, 2010. http://www.theses.ulaval.ca/2010/27948/27948.pdf.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Badonnel, Karine. "Bases moléculaires et cellulaires des interactions entre informations olfactives et nutritionnelles au niveau de la muqueuse olfactive chez le rat." Versailles-St Quentin en Yvelines, 2009. http://www.theses.fr/2009VERS0041.

Full text
Abstract:
Cette recherche est basée sur une analyse transcriptomique de la muqueuse olfactive dans différentes situations physiologiques en lien avec la nutrition, modèle de restrictions alimentaires ou modèle d'obésité génétique ; plusieurs niveaux d'étude, de la recherche ciblée de gènes particuliers à une recherche plus large sur puce ADN a été menée. Ce travail met en évidence une plasticité très importante de la muqueuse olfactive en réaction à l'état physiologique de l'animal qui se traduit par la modulation à différents niveaux de son fonctionnement. Les résultats indiquent qu'une restriction alimentaire induite régule positivement l'expression des gènes codant la leptine, de l'isuline et des récepteurs correspondantsdans la muqueuse olfactive. L'analyse du transcriptome de la muqueuse olfactive suite à une modification nutritionnelle induite ou installée a mené à l'identification de plusieurs gènes modulés en fonction de l'état nutritionnel dont, l'OBP-1f, une protéine de liaison aux odeurs exprimées par un type cellulaire encore jamais décrit dans la muqueuse olfactive de rat et que nous avons caractérisé lors de cette étude. Enfin, j'ai étudié l'effet d'une modification nutritionnelle sur le niveau d'expression des récepteurs olfactifs et montré que l'expression de certains OR est donc sensible à l'état nutritionnel de l'animal et pourrait être impliquée dans la modulation de la sensibilité olfactive, dès le premier niveau, vis-à-vis de la recherche de nourriture. Ce travail met en évidence de nombreux éléments qui pourraient intervenir dans la modulation de la sensibilité olfactive dès le premier étage du système olfactif que constitue la muqueuse olfactive
This research is based on a transcriptomic analysis of the olfactory mucosa in different states related to nutrition, food restriction model or obesity genetic model. Several levels of study : specific genes expression analysis and microarray studies has been conducted. This work highlights a very important plasticity of the olfactory mucosa in response to the physiological condition of the animal which results in modulation at different levels. The results indicate that an induced food restriction regulates the expression of genes encoding leptin, and insulin receptors in the corresponding olfactory mucosa. Transcriptome analysis of the olfactory mucosa following an induced or established nutritional modification has led to the identification of several genes modulated according to nutritional status whiche, OBP-1f, an odor-binding protein expressed by one cell type undescribed in the olfactory mucosa of rats and that we have caracterized in this study. Finally, I studied the effect of nutritional modification on the level of olfactory receptor expression and shown that expression of some OR is therefore sensitive to the nutritional status of the animal and could be involved in the modulation of olfactory sensitivity. This work highlights several factors that could modulate the olfactory sensitivity on the first floor of the olfactory system that is the olfactory mucosa
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Bon-Mardion, Nicolas. "Intérêt des cellules gliales olfactives provenant de la muqueuse olfactive pour la réhabilitation des lésions du système nerveux moteur périphérique et central." Rouen, 2016. http://www.theses.fr/2016ROUENR01.

Full text
Abstract:
Le système olfactif primaire est le siège d'une neurogenèse continue, tout au long de la vie des mammifères. Il contient des cellules gliales spécifiques — les cellules gliales olfactives (CGOs) —qui participent à la guidance de la croissance axonale des nouveaux neurones olfactifs générés, depuis la muqueuse olfactive jusqu'au bulbe olfactif. Les CGOs provenant de la muqueuse olfactive (CGOs-MO) constituent une thérapie cellulaire prometteuse pour la réhabilitation des lésions du système nerveux moteur central ou périphérique, car leurs capacités régénératives sont maintenues à l'âge adulte, et permettent d'envisager des stratégies de thérapie cellulaire autologue. Notre travail précise la caractérisation de ces CGOs-MO par la réalisation d'une étude transcriptomique. Il définit l'existence de trois constituants de la lignée de différenciation des CGOs, dans les cultures primaires de muqueuse olfactive : le progéniteur des CGOs, immunoréactif pour le CD90 et provenant de la crête neurale, le précurseur des CGOs, immunoréactif pour le TrkA, ainsi que la CGO immature, immunoréactive pour le p75. Il confirme également leur potentiel thérapeutique, du fait de la présence du précurseur des CGOs, après conditionnement, pour la réparation fonctionnelle d'une lésion de l'innervation motrice laryngée ou d'une lésion de la moelle épinière, dans des modèles expérimentaux précliniques
Continuous neurogenesis exists in the primary olfactory system, throughout the mammalian life. Specific glial cells — Olfactory ensheathing cells (OECs) — distinguish the olfactory nerves, guiding the regrowth of the axons from the olfactory mucosa to the olfactory bulb. OECs from the olfactory mucosa (OECs-OM) are a promising cell therapy for rehabilitation of lesions of the central or the peripheral nervous systems. Autologous cell transplantations are feasible as these cells persist on adult and keep their regenerative properties. This work adjusts the characterization of OECs-OM by transcriptomic study, defining three compounds of OEC lineage found in olfactory mucosa cultures: OEC progenitor CD90 positive originating from the neural crest, OEC precursor TrkA positive, and immature OEC p75 positive. We also confirm the therapeutic potential of the OEC precursors, after conditioning, for functional outcome after lesion of the laryngeal motor innervation, and after spinal cord injury, in pre-clinical experimental models
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Le, Bourhis Mikael. "Mise en évidence et impact de la modulation des jonctions GAP des cellules gliales dans la muqueuse olfactive par l'Endothéline." Thesis, Evry-Val d'Essonne, 2015. http://www.theses.fr/2015EVRY0006/document.

Full text
Abstract:
Le système nerveux central repose sur deux réseaux cellulaires partenaires : le réseau neuronal et le réseau de cellules gliales. Longtemps considérées comme simple support structural du système nerveux, il est désormais démontré que les cellules gliales sont des acteurs à part entière dans les processus de communication neuronaux. Parallèlement, alors que les neurones olfactifs ont été largement étudiées, le rôle des cellules gliales de la muqueuse olfactive reste peu connu. En effet, s'il est désormais bien établi que les cellules de soutien contribuent à maintenir la structure et l'équilibre ionique de la muqueuse et que les cellules engainantes assurent la protection et le guidage des axones vers le bulbe olfactif, une implication de ces cellules dans le traitement de l'information sensorielle reste à démontrer. Au cours de ma thèse, en me basant sur des approches d'imagerie calcique et d'électrophysiologie, j'ai pu montrer que les cellules gliales de la muqueuse olfactive fonctionnent en réseau reliés par jonctions GAP. Parmi les potentiels modulateurs locaux, j'ai caractérisé les réponses de l'endothéline dans la muqueuse olfactive et montré qu'elle entraînait des effets similaires à des applications de carbenoxolone (agent pharmacologique et découplant les jonctions GAP). De plus, en utilisant des approches comportementales et électrophysiologiques, j'ai pu montrer que la modulation de l'état d'ouverture de ces jonctions GAP module l'activité neuronale. Mes travaux s'inscrivent donc dans la démonstration de l'implication et de l'importance des cellules gliales (SCs et OECs) dans le fonctionnement d'un système nerveux périphérique comme cela est déjà désormais bien admis dans le système nerveux central
The central nervous system is based on two cellular partners' networks : the neural network and the glial cell network. Long regarded as a simple structural support of the nervous system, it is now demonstrated that glial cells are integralplayers in neuronal communication process. Meanwhile, as olfactory neurons have been extensively studied, the role of glial cells of the olfactory mucosa remains unknown. Indeed, if it is now well established that the supporting cells contribute to maintaining the structure and the ionic balance of the mucosa and the ensheating cells provide protection and guidance of axons to the olfactory bulb, the involvement of these cells in the processing of sensory information remains to be demonstrated. In my thesis, based on calcium imaging approaches and electrophysiology, i have been able to show that the glial cells of the olfactory mucosa work in networks connected by GAP junctions. Potential local modulators, i characterized the responses of endothelin in the olfactory mucosa and showed that it led to similar effects of carbenoxolone applications (pharmacological agent and d"ecoupling the GAP junctions). Ina ddition, using behavioral and electrophysiological approaches, i was able to show that the modulation of the opening state of the GAP junctions modulates neuronala ctivity. My works are therefore part of the demonstration of the involvement and the importance of glial celles (OEC's ans SCs)in the process of the peripheal nervous system as is already now well accepted in the central nervous system
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Chalansonnet, Monique. "Composantes périphérique et bulbaire de l'adaptation olfactive chez le rat respirant librement." Lyon 1, 1998. http://www.theses.fr/1998LYO10201.

Full text
Abstract:
Cette these compare les manifestations de l'adaptation au niveau de la muqueuse et du bulbe olfactif, respectivement entree et premier relais de la voie sensorielle, en fonction de differents parametres de stimulation (qualite, intensite, et duree du stimulus). Elle a ete realisee par enregistrement electrophysiologique chez des rats anesthesies respirant librement afin de conserver l'influence possible de la dynamique respiratoire sur les mecanismes adaptatifs. Dans un premier temps, nous decrivons une methode d'enregistrement de la reactivite de la muqueuse qui ne perturbe pas la dynamique respiratoire, et nous verifions que ce signal presente toutes les caracteristiques d'un electroolfactogramme (eog). Nous traitons ensuite des caracteristiques et de l'evolution temporelle de l'eog. Ce signal est une onde monophasique contemporaine du cycle respiratoire, qui persiste tout au long de la stimulation. Son amplitude, sa latence et sa duree de repolarisation varient selon les odeurs et les concentrations. L'adaptation se manifeste par une nette reduction d'amplitude entre le premier eog et le suivant, suivie d'une decroissance ulterieure plus progressive. Elle est toujours partielle et semble plus marquee pour certaines odeurs, pour les intensites elevees et pour les stimulations de longue duree (3 min). Dans le troisieme chapitre, nous analysons les motifs temporels et les caracteristiques de decharge des cellules mitrales au cours des cycles respiratoires successifs. Il existe des modifications precoces et d'autres plus tardives. Sur 10 sec, les cellules gardent generalement le meme motif temporel (69%), quelles que soient la nature et la concentration du stimulus, et les frequences d'activation et les durees d'inhibition varient peu. Les modifications interviennent generalement en debut de stimulation. Sur 3 min, des changements de motif, de frequence ou de phase apparaissent dans 68% des cas. Enfin, nous correlons les modifications de reactivite peripheriques et bulbaires. Les changements precoces de certaines cellules mitrales peuvent etre attribues en partie a l'adaptation peripherique observee entre le premier eog et les suivants. En revanche, certaines transformations observees sur de plus longues durees ne peuvent pas s'expliquer par la peripherie et doivent etre attribuees a des influences centrales. La these se termine par une discussion des mecanismes susceptibles d'etre impliques dans ces manifestations de l'adaptation.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Wang, Donghao. "Expression des antigènes HLA de classe II en relation avec l'infiltration lymphocytaire dans la muqueuse des voies aériennes : études sur les polypes du nez et les bronches transplantées." Paris 5, 1996. http://www.theses.fr/1996PA05CD02.

Full text
Abstract:
L'infiltration lymphocytaire et l'expression des molécules HLA de classe II ont été étudiées dans la muqueuse des voies aériennes (épithélium et chorion) dans deux situations pathologiques pour lesquelles le système immunitaire est impliqué (polypose nasale et transplantation pulmonaire expérimentale). Tous les polypes étudiés (n=62) expriment les molécules HLA de classe I alors que 53,2% (n=33) expriment les molécules HLA de classe II (DR, DP et DQ seul ou associés). Dans le cas d'une polypose isolée (n=20), on observe l'expression des molécules HLA de classe II dans 40% des polypes. Lorsque la polypose est associée à une affection connue (asthme, atopie, Triade de Widal ou mucoviscidose), l'épithélium exprime des molécules de classe II dans 59% des cas (p<0,05 comparé aux polyposes isolées). Chez 7 patients atteints de mucoviscidose, l'épithélium exprime uniquement DR. L'infiltration lymphocytaire (CD4+, CD8+ et CD 25+) étudiée dans l'épithélium et le chorion de 34 polypes est caractérisée par la prédominance significative de CD8+ par rapport à CD4+ et CD25+ (CD8+ > CD4+ > CD25+). L'infiltration lymphocytaire (CD8+ et CD4+, CD8+ > CD4+) est significativement plus importante dans l'épithélium par rapport au chorion (p<0,001) dans les tissus exprimant les molécules HLA de classe II. Le contrôle pré ou post transcriptionnel de l'expression des molécules HLA de classe II a été étudié par la technique de " rétrotranscription " sur des cellules épithéliales en culture primaire. Les cellules provenant de polypes exprimant HLA de classe II (10 cas/11) possèdent les transcrits mARN DR, DP, DQ correspondants. A l'inverse, les cellules épithéliales provenant des polypes qui n'expriment pas HLA de classe II (8 cas/10), n'ont pas de transcrits. L'addition d'interféron ? dans les milieux de culture entraîne dans tous les cas l'apparition des transcrits DR, DP, DQ. Ces résultats suggèrent un contrôle pré-transcriptionnel dans les cellules épithéliales. Nous avons comparé l'expression des molécules HLA de classe II et l'infiltration lymphocytaire dans l'épithélium et le chorion bronchiques après allotransplantation pulmonaire expérimentale chez le porc. Les animaux recevaient un traitement immunosuppresseur associant cyclosporine A, azathioprine et corticoi͏̈des. L'épithelium des voies aériennes n'exprime jamais les molécules SLA de classe II chez ces animaux immunodéprimés. L'infiltration lymphocytaire (CD4+ et CD8+) est caractérisée par une nette prédominance de CD8+ par rapport à CD4+ (p<0,001) dans les bronches transplantées et natives chez tous les animaux. L'infiltration est plus importante dans tous les épithéliums des voies aériennes. Nos résultats suggèrent une prédominance des lymphocytes cytotoxiques (CD8+) dans les épithéliums des voies aériennes lors de polypose nasale et de poumons transplantés chez le porc. L'infiltrat lymphocytaire semble identique dans ces deux affections. Par contre, l'épithélium exprime les molécules HLA de classe II dans les polypes seulement et pas dans les bronches du poumon transplanté. Il ne semble donc pas exister de relation de causalité entre ces deux phénomènes.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Sicard, Gilles. "Discrimination nerveuse olfactive et représentation de l'odeur par le système olfactif." Lyon 1, 1998. https://n2t.net/ark:/47881/m66972np.

Full text
Abstract:
Nous rapportons dans notre these un ensemble de travaux, pour l'essentiel publies et effectues en collaboration, qui eclairent le fonctionnement de la peripherie du systeme olfactif et les regles qui president a l'encodage de l'odeur. C'est bien l'interaction de molecules odorantes et des proteines receptrices des odeurs qui est responsable de l'activation des neurones recepteurs olfactifs. Selon, les donnees recentes de la litterature, le repertoire genomique des recepteurs serait vaste, de l'ordre de 1000 unites chez le rat, de plusieurs centaines chez les amphibiens. Selon certains, il n'y aurait qu'un seul type de recepteur exprime par neurone recepteur olfactif. Or, nous montrons par des enregistrements unitaires des reponses transmises par les neurones recepteurs au moyen d'electrodes extracellulaires, chez la grenouille ou chez la souris, qu'un meme neurone olfactif peut repondre a des molecules aussi differentes que le camphre, l'acetophenone et la cyclohexanone. Ceci, soit, demontre une specificite large des recepteurs, ou bien nie l'hypothese d'une expression limitee de types de recepteurs aux odeurs par un meme neurone recepteur. L'interaction des ligands odorants et des recepteurs membranaires est suivie d'une cascade de reactions enzymatiques qui realisent la transduction du signal chimique en message nerveux. Il existerait au moins deux seconds messagers intracellulaires impliques dans la transduction olfactive, et recrutes par deux groupes de substances odorantes distincts. Nous montrons que certains neurones recepteurs olfactifs de la grenouille repondent a des substances appartenant aux deux groupes et donc que les deux mecanismes de transduction sont presents simultanement dans certains neurones recepteurs au moins. Avec a. Duchamp, nous nous sommes interesses a la transformation de l'information peripherique par l'integration bulbaire en comparant les profils de sensibilite des neurones recepteurs olfactifs et ceux des deutoneurones du systeme olfactif (cellules mitrales) de la grenouille. Nous avons note que bien que les cellules mitrales soient en moyenne plus selectives que les neurones recepteurs olfactifs, leurs profils de sensibilite restent voisins de ceux enregistres a la peripherie. Par ailleurs, nous avons examine, chez la souris, la distribution topographique, glomerulaire, des activations peripheriques transmises aux deutoneurones du systeme par l'intermediaires des fibres primaires. L'analyse anatomo-fonctionnelle de ces projections epithelio-bulbaires au moyen du marquage metabolique par la methode au 2-desoxy-glucose demontre, a la fois, une forte convergence de certaines fibres peripheriques vers des foyers bulbaires, et, en meme temps, l'existence d'une reponse glomerulaire plus etendue ou diffuse. Se superpose donc une convergence fonctionnelle a la convergence anatomique. Toutefois, il est difficile de croire que toute l'information specifique du stimulus reside dans ces foyers puisque les lesions, localisees ou meme extensives des bulbes olfactives, n'interdisent pas la manifestation de comportements olfactivement guides appris avant lesion. Ces donnees sont discutees. L'anosmie specifique est un deficit partiel, hereditaire, de la perception olfactive qui ne concerne selectivement que quelques substances odorantes et qui est constate essentiellement chez le sujet humain. L'une des explications de ce deficit est qu'il manifeste une carence en recepteurs membranaires normalement engages dans la reconnaissance de ces substances odorantes. En etudiant un modele animal de l'anosmie specifique a l'acide isovalerique propose par nos predecesseurs, nous decouvrons d'abord qu'il s'agit plutot d'une hyposmie specifique. Ce defaut selectif de sensibilite olfactive avait ete constate au moyen de mesures comportementales cumulees confondant plusieurs animaux. Nos travaux fondes sur des experiences comportementales montrent que tous les individus d'une souche ne sont pas atteints identiquement. Que ce soient les enregistrements electrophysiologiques de la muqueuse olfactive ou l'etude anatomo-fonctionnelle des projections bulbaires, nous demontrons egalement que la peripherie du systeme olfactif des souris reputees specifiquement anosmiques est bien sensible a l'acide isovalerique.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Heydel, Jean-Marie. "Régulation de l'expression d'UDP-glucuronosyltransférases chez le rat dans différents tissus métabolisant les xénobiotiques : foie, plexus choroi͏̈des et tissus olfactifs." Dijon, 2001. http://www.theses.fr/2001DIJOPE04.

Full text
Abstract:
La reaction de glucoronoconjugaison, catalysee par les udp-glucuronosyltranferases (ugts), est un processus implique dans le metabolisme des xenobiotiques (medicaments, substances toxiques) mais aussi des molecules endognes. L'activite de ces enzymes participe ainsi au controle de la concentration de certains mediateurs de reponses physiologiques comme les hormones et les molecules odorantes. L'objectif de ce travail est l'identification et l'etude de la regulation de l'expression d'ugts chez le rat, par differents facteurs dans des tissus ou leur presence a probablement des consequences fonctionnelles differentes. Dans la cadre d'une etude cinetique de l'influence d'un traitement par le ciprofibrate, nous avons observe que l'augmentation d'activite deglucurono- -conjugaison de la bilirubine dans le foie de rat n'est pas correlee a l'expression des isoformes ugt1a1 (forme majeure), ugt1a2 ou encore ugt1a5 (formes majeures).
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
More sources

Conference papers on the topic "Nez – Muqueuse"

1

Fricain, M., P. Weidmann, Y. Roche, and J. C. Fricain. "Vitiligo labial associé à une pathomimie." In 66ème Congrès de la SFCO. Les Ulis, France: EDP Sciences, 2020. http://dx.doi.org/10.1051/sfco/20206603003.

Full text
Abstract:
Le vitiligo est une leucodermie affectant 0,5 à 1% de la population mondiale. Il n’y a pas de différence de prévalence concernant l’âge, le sexe ou le type de peau. La disparition des mélanocytes entraine une hypopigmentation localisée en plaques symétriques blanches ivoire, à bords nets souvent hyperpigmentés. Les lésions sont le plus souvent retrouvées au niveau des zones découvertes, de frottement et des extrémités. L’évolution des lésions est imprévisible, alternant des phases de développement et de quiescence. Le mécanisme physiopathologique est mal connu, il s’agirait d’une pathologie auto immune avec une prédisposition héréditaire sur un terrain psychologique affaibli. On le retrouve associé dans d’autres affections auto immunes : l’insuffisance surrénalienne, les pathologies thyroïdiennes et la maladie de Biermer (Nagarajan et al (2015)). Le cas clinique rapporté est celui d’une jeune femme de 17 ans, qui présentait une dépigmentation de la lèvre supérieure apparue en octobre 2016. Initialement, la lésion affectait l’hémi lèvre supérieure gauche. Le dermatologue avait posé le diagnostic de vitiligo et instauré un traitement par vitamine C et acide folique, suivi pendant un mois, sans résultat. En juillet 2017 la patiente a consulté en pathologie de la muqueuse buccale car la lésion s’était étendue à l’ensemble de la lèvre supérieure avec atteintes de la commissure labiale gauche et cutanée en regard. L’interrogatoire a révélé un mordillement chronique des lèvres. L’examen de la muqueuse buccale a mis en évidence une dépigmentation linéaire de du bord vermillon de la lèvre supérieure avec renforcement pigmentaire périphérique. L’examen cutané a révélé une plage dépigmentée centimétrique de l’auriculaire de la main droite. Un bilan biologique incluant thyréostimuline, anticorps anti thyroglobuline et anticorps antithyroperoxydase a été prescrit de façon systématique. Il n’a pas révélé d’anomalie. Le traitement prescrit était : tacrolimus à 0,1% en application locale biquotidienne et arrêt de la pathomimie. Le vitiligo des muqueuses buccales est rare. Il a essentiellement été décrit en Inde où la maladie est endémique (Nagarajan et al (2015)). L’atteinte des muqueuses orales concernerait 55% des patients et la lèvre serait touchée dans près d’un cas sur 2 dans cette population. Le cas présenté concernait une patiente originaire d’Afrique du nord. Les études concernant le traitement du vitiligo labial ont été menées uniquement sur le traitement chirurgical : micropigmentation et greffes de mélanocytes semblent avoir le plus fort taux de succès (Gupta et al (2006)). Rodrigues et al (2017) ont conseillé une application locale biquotidienne de tacrolimus 0,1% pour les affections de la face et des zones intertrigineuses. De par son mode d’action, le tacrolimus a une activité immunosuppressive et pourrait favoriser la pigmentation de la muqueuse orale (Fricain et al 2005). Dans le cas présenté, un traitement par tacrolimus a été instauré dans un premier temps. Un traitement chirurgical par greffe de mélanocytes ou un traitement cosmétique sera proposé en cas d’échec du traitement local. Bien que rare, le vitiligo de la muqueuse buccale ne doit pas être ignoré du chirurgien oral qui devra collaborer avec le dermatologue pour définir le traitement adapté.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Ordioni, U., G. Labrosse, F. Campana, R. Lan, J. H. Catherine, and A. F. Albertini. "Granulomatose oro-faciale révélatrice d’une maladie de Crohn : présentation d’un cas." In 66ème Congrès de la SFCO. Les Ulis, France: EDP Sciences, 2020. http://dx.doi.org/10.1051/sfco/20206603017.

Full text
Abstract:
La granulomatoses oro-faciale (GOF) est une entité rare regroupant toutes les pathologies caractérisées par une inflammation granulomateuse non caséeuse de la région oro-faciale. Le diagnostic est histologique. L’étiologie n’est pas connue. L’oedème labial d’abord intermittent, pouvant s’installer de manière permanente, est un symptôme classique de la GOF. D’autres signes cliniques, extra-oraux, peuvent être associées lorsque la GOF s’inscrit dans le cadre d’une pathologie systémique : maladie de Crohn, Sarcoïdose, maladie de Wegener. Nous présentons le cas d’un patient pour qui l’exploration de sa GOF a conduit au diagnostic de maladie de Crohn (MC). Un patient de 29 ans consultait pour une tuméfaction labiale évoluant depuis an après échec de traitement locaux (dermocorticoïdes). On notait des diarrhées chroniques étiquetées maladie coeliaque et un épisode d’hyperplasie gingivale à l’âge de 14 ans (gingivectomie réalisée par un parodontiste mais sans analyse anatomopathologique). L’examen clinique montrait un oedème labial supérieur et inférieur associé à un érythème, une hyperplasie gingivale, une ulcération vestibulaire et une langue géographique associée à une langue plicaturée. On ne notait pas de paralysie faciale. Des biopsies étaient réalisées. La biopsie labiale montrait une muqueuse normokératosique, avec des remaniements spongiotiques, sans micro-abcès. Le chorion sous-jacent était oedémateux avec des vaisseaux dilatés. On observait plus en profondeur un vaisseau altéré avec un granulome lympho-épithéioïde sans cellule géante et sans nécrose. La biopsie gingivale montrait une muqueuse oedémateuse sans granulome. L’examen biologique (NFS, VS, CRP, bilan martial, dosage enzyme conversion angiotensine, sérologie VIH, VHC, VHB) et la radiologie thoracique était sans particularité. Compte tenu de la présente d’une pathologie intestinale et à la vue de ces nouvelles données, un avis gastro-entérologique était demandé. L’examen proctologique montrait des marisques anales. L’entero-IRM confirmait le diagnostic de MC. La macrochéilie a été traité par injection de triamcinolone retard 40ml. Un traitement par anti- TNF était instauré. La MC est une maladie inflammatoire chronique de l’intestin pouvant atteindre le tube digestif de la bouche à l’anus. Les manifestations oro-faciales (macrochéilie, ulcérations buccales, hyperplasie gingivale, pseudo-polypes, erythèmes muqueux, fissures gingivales ou pyostomatite végétante) de la maladie de Crohn peuvent précéder l’atteinte intestinale. Des atteintes extra-intestinales peuvent exister : érythème noueux, uvéite, arthralgie, arthrite entéropathique. Le diagnostic de GOF doit faire rechercher des signes extra-oraux afin de déterminer si elle est isolée ou associée à une MC, à une sarcoidose ou un Wegener. En cas de GOF isolé, la question du suivi de dépistage d’une MC reste non élucidée.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Sergheraert, J., S. Grenier, C. Mauprivez, B. Lefevre, and S. Laurence. "Cystadénome papillaire d’une glande salivaire accessoire. A propos d’un cas." In 66ème Congrès de la SFCO. Les Ulis, France: EDP Sciences, 2020. http://dx.doi.org/10.1051/sfco/20206602011.

Full text
Abstract:
Les tumeurs des glandes salivaires sont rares et représentent 2 à 6.5 % des néoplasies de la tête et du cou. L’atteinte des glandes salivaires accessoires représente moins de 25% de l’ensemble des tumeurs des glandes salivaires [Auclair et al. 1991]. Les localisations les plus fréquentes sont : le palais, la joue et la région linguale postérieure [Tijoe et al., 2015]. La grande variabilité de l’expression clinique de ces tumeurs rend difficile l’établissement d’un diagnostic précis, d’où l’importance de l’analyse histologique. Le cas d’une tumeur bénigne des glandes salivaires accessoires de la joue est rapporté. Il s’agit d’une femme de 68 ans adressée initialement pour l’exérèse d’une lésion kystique maxillaire. Elle ne présente aucun antécédent médico-chirurgical. L’examen endobuccal révèle la découverte fortuite de plusieurs lésions nodulaires indépendantes et de tailles variables (de 0,5 à 1,5 cm de longueur dans leur grand axe) situées sur la face interne des lèvres et des joues, passées inaperçues par la patiente. La muqueuse de recouvrement est d’aspect normal. L’hygiène bucco-dentaire est défectueuse (PI>50%) et les édentements sont compensés par prothèses amovibles. A la palpation, aucune symptomatologie douloureuse n’est mise en évidence, ni d’adhésion avec les plans profonds. Ces nodules sont fermes, et pour le nodule ayant fait l’objet de l’exérèse, une suppuration apparaît. L’examen exobuccal est sans particularité, les aires ganglionnaires sont libres. L’examen radiographique est sans particularité exceptée la lésion motivant la consultation au niveau du site de 12. Les caractéristiques cliniques peuvent faire évoquer une pseudo-tumeur de glandes salivaires accessoires de type mucocèle ou une hyperplasie épithéliale (diapneusie). L’exérèse complète de la lésion de plus grande taille présentant une suppuration a été pratiquée sous anesthésie locale. Les suites opératoires ont été simples et asymptomatiques. L’examen anatomopathologique de la pièce opératoire conclut à un cystadénome papillaire d’une glande salivaire accessoire. Le cystadénome papillaire est une tumeur épithéliale bénigne rare des glandes salivaires [OMS, 2017]. Il intéresse spécialement les glandes salivaires principales, notamment la glande parotide (45%), et dans seulement 0.6 à 4% des cas une glande salivaire accessoire [Tijoe et al., 2015]. L’âge moyen de découverte se situe entre 50 et 70 ans. Le traitement de cette lésion réside dans sa simple exérèse et les récidives sont exceptionnelles. Histologiquement, la lésion est multiloculaire et du tissu conjonctif sépare les kystes, la littérature souligne la possibilité de lésions uniloculaires dans 20% des cas. Une seconde forme muqueuse moins fréquente est décrite. Le diagnostic différentiel du cystadénome papillaire comprend principalement le kyste muqueux de rétention. L’absence d’une composante lymphöde écarte le diagnostic de tumeur de Warthin. Dans ce contexte, le carcinome mucoépidermöde de bas grade doit être écarté [Stojanov et al., 2017].
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Gossart, R., C. Favre de Thierrens, J. H. Torres, and M. A. Fauroux. "Avulsion d’une dent surnuméraire incluse par découpe puis repositionnement de l’épine nasale antérieure." In 66ème Congrès de la SFCO. Les Ulis, France: EDP Sciences, 2020. http://dx.doi.org/10.1051/sfco/20206603009.

Full text
Abstract:
Les avulsions de dents incluses sont d’une pratique courante. Le plus fréquemment, le dégagement osseux n’a pas de conséquences. Dans certains cas, il peut poser problème, s’il concerne un futur site d’implantation ou des structures anatomiques spécifiques, notamment dans le prémaxillaire (Sukegawa et al. Case Rep Dent. 2015; 2015: 974169). Pour ces situations, la piézochirugie apparait comme une technique peu invasive puisque la découpe est plus fine et plus précise qu’avec les instruments rotatifs (Pavlıékovaé et al. Int J Oral Maxillofac Surg. 2011 40:451-7). De plus, le fait de découper un volet puis de le repositionner en fin d’intervention constitue un moyen de préserver le volume osseux. Le cas rapporté est celui d’une avulsion d’un mesiodens par découpe puis repositionnement de l’épine nasale antérieure. Une jeune fille de 13 ans a été adressée par son orthodontiste pour avulsion d’un mesiodens avant prise en charge ODF. Un examen cone beam a précisé la position de cet odontoïde. D’une morphologie évoquant une incisive conoïde, la dent surnuméraire se présentait en position verticale ; sa couronne faisait saillie dans les fosses nasales, sous le vomer, et sa racine était en arrière de celles des incisives centrales. Lors d’une intervention menée sous anesthésie générale, l’ENA a été découpée par piézochirugie (incision en V de part et d’autre du plan médian) et luxée vers le haut, sans décollement de la muqueuse nasale. L’odontoïde a été sectionné au collet. Sa couronne d’abord puis sa racine ont été avulsées. Enfin, l’ENA a été repositionnée et fixée par une vis d’ostosynthèse positionnée légèrement en biais. Les suites ont été bonnes. La vis d’ostéosynthèse a été déposée un an plus tard. L’avulsion de cette dent, profondément incluse, par les techniques conventionnelles utilisant des instruments rotatifs aurait entraîné un délabrement important. Compte tenu de la situation inversée de l’axe de la dent, il aurait été difficile de la retirer par un abord palatin. De plus, son axe vertical compliquait la séparation couronne-racine, qui n’aurait été possible que par un accès nasal. Le choix d’une technique conservatrice de l’os (découpe puis repositionnement) semblait judicieux dans la mesure où il autorisait une bonne exposition du site et le morcellement cervical de la dent, tout en épargnant le volume osseux. Le fait de ne pas avoir décollé la muqueuse palatine a probablement contribué à la trophicité et la cicatrisation de l’ENA repositionnée. Les opérateurs ont pris le soin de ne pas placer la vis d’ostéosynthèse dans la suture entre les deux parties droite et gauche de l’ENA, afin de ne pas risquer de séparer ces deux os. Ce cas illustre une technique minimalement invasive qui a permis l’avulsion d’une dent surnuméraire profondément incluse en position verticale inversée, sans entraîner de lésion des dents voisines ni de la muqueuse nasale, tout en préservant le volume osseux de l’ENA.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Lan, R., F. Campana, J. H. Catherine, U. Ordioni, and D. Tardivo. "Nouvelles techniques d’aide au diagnostic des lésions pré-cancéreuses et cancéreuses de la cavité orale : revue systématique et résultats préliminaires." In 66ème Congrès de la SFCO. Les Ulis, France: EDP Sciences, 2020. http://dx.doi.org/10.1051/sfco/20206602018.

Full text
Abstract:
Introduction : Récemment, de nombreuses techniques d’aide au diagnostic des lésions potentiellement malignes ou malignes de la cavité orale ont vu le jour (autofluorescence, spectroscopie, analyse cytologique microscopique, Narrow Band Imaging ...) sans jamais apporter la preuve scientifique de leurs intérêts, en complément ou en remplacement de l’examen histologique. De nombreuses études ont également été menées afin de comparer ces nouvelles techniques en comparaison avec l’examen visuel direct dans la détection précoce des transformations malignes. L’objectif principal de ce travail est de présenter les résultats préliminaires d’une revue systématique réalisée afin d’évaluer la performance diagnostique de ces nouvelles techniques en comparaison à la biopsie dans le diagnostic des lésions pré-cancéreuses et cancéreuses de la cavité orale. Matériels et méthodes : En novembre 2017, une revue systématique de la littérature portant sur les nouvelles techniques d’aide au diagnostic des lésions de la muqueuse buccale a été réalisée, basée sur la méthode PRISMA et dont la méthodologie du protocole a été déposé pour enregistrement sur la plateforme Prospero. Les bases de données Pubmed et Science Direct, la collection Web of Science et la librairie Cochrane ont été consultées (2000-2017). Après le retrait des doublons, les titres et les résumés d’articles potentiellement pertinents seront examinés par deux évaluateurs indépendants selon les critères d’inclusion suivants : articles en anglais, articles originaux ou suivies de cas clinique sur la cavité orale. Les ≪ lettres aux éditeurs ≫ et les études chez l’animal seront exclues. Résultats attendus : De par leurs hétérogénéités, biais, faibles puissances et niveaux de preuves insuffisants, aucune recherche n’a pu à ce jour être jugée suffisamment acceptable pour mettre en évidence un réel intérêt de ces techniques en comparaison à l’examen histologique ou visuel, que ce soit dans le dépistage ou le diagnostic des lésions potentiellement cancéreuses ou cancéreuses de la cavité orale. En revanche, certaines techniques prometteuses, comme le Narrow Band Imaging, paraissent prometteuses comme aide dans l’identification de zones cibles à la biopsie et des marges chirurgicales. Discussion et conclusion : De par leurs manques de spécificités et sensibilités, les dernières techniques d’aide au diagnostic ne permettent remplacer l’examen visuel direct et la palpation digitale, référence de l’inspection de la muqueuse buccale dans le dépistage des lésions potentiellement maligne de la cavité orale ni la biopsie, gold standard de l’établissement de diagnostic d’une pathologie de la muqueuse buccale. De nouvelles études, aux méthodologies appropriées sont encore nécessaires pour affirmer l’intérêt réel de ces techniques dans l’identification de zones cibles à la biopsie et des marges chirurgicales. Les cancers de la cavité orale, de mauvais pronostic et dont la détection précoce est insuffisante, est une priorité de santé publique qui devrait amener à voir l’émergence de nouvelles techniques plus performantes.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Roume, M., S. Azogui-Lévy, G. Lescaille, V. Descroix, and J. Rochefort. "Connaissances, attitudes et pratiques en pathologie de la muqueuse buccale des chirurgiens-dentistes en France, enquête nationale." In 66ème Congrès de la SFCO. Les Ulis, France: EDP Sciences, 2020. http://dx.doi.org/10.1051/sfco/20206602010.

Full text
Abstract:
Introduction : Les Chirurgiens-dentistes (CD) ont pour rôle d’identifier et de diagnostiquer les pathologies de la muqueuse orale (PMO), de les prendre en charge ou d’orienter les patients vers les spécialistes adéquats. Une importante errance diagnostique des patients atteints de PMO a été mise en évidence, pouvant être à l’origine d’une perte de chance notamment dans les cas de carcinomes épidermödes ou d’hémopathies malignes (Scully et al 1999, Albisetti et al, 2016). Ce constat s’accompagne d’études internationales portant sur le comportement des CD face aux PMO (Ergun et al 2009, Sardella et al, 2007), analysant les difficultés rencontrées et mettant en évidence un manque de connaissance que les praticiens attribuent à une formation universitaire insuffisante, mais également à un manque d’intérêt face aux PMO. Compte tenu de l’absence de données francaises, nous avons souhaité estimer la capacité des CD exercant en France, à identifier, diagnostiquer et prendre en charge les PMO. Méthode - Nous avons réalisé en collaboration avec l’UFSBD (Union Francaise pour la Santé Bucco-Dentaire), une enquête nationale par questionnaire qui comprenait des items sur le diagnostic et la prise en charge des PMO. Sa diffusion s’est faite en ligne du 19 mai au 13 juillet 2017, 15 000 adhérents ont été sollicités. Résultats - Le taux de réponses obtenu a été de 3.8 %, majoritairement des praticiens libéraux d’Ile de France, ayant en moyenne 20 ans d’exercice. Plus de 80% d’entre eux avaient participé à un congrès dans les 5 dernières années et 41% de ces formations concernaient les PMO. En revanche, les jeunes diplômés étaient moins nombreux à suivre ces formations. La quasi-totalité des praticiens (97%) déclarait observer des lésions. Une majorité (65.5%) effectuait un examen complet de la cavité orale lors de la 1èreconsultation, mais seulement 30% à chaque rendez-vous de suivi. Les CD déclaraient ne pas avoir de difficultés globales importantes à diagnostiquer et prendre en charge les lésions orales. Des différences significatives ont été notées selon les pathologies considérées et les caractéristiques du praticien : sexe, année de diplôme, mode d’exercice ou encore formations continues suivies ces 5 dernières années. La majorité des CD (77%) expliquait leurs difficultés diagnostiques par un manque de patients présentant ce type de pathologies, 2/3 par un manque de confiance en leur diagnostic et leur connaissance sur ce thème et la moitié par une formation insuffisante. Conclusion - Notre enquête, a révélé des difficultés similaires à celles internationales : pas de réalisation systématique d’un examen oral complet, des difficultés élevées pour le diagnostic des carcinomes épidermödes, ce qui est inquiétant compte tenu du rôle des CD dans le dépistage des lésions. La mise en place de réseaux de soins facilitant la communication entre les différents acteurs de santé, spécialistes des lésions orales et praticiens libéraux, permettrait d’accélérer la prise en charge multidisciplinaire des patients et ainsi améliorerait le pronostic de certaines pathologies.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Oujdad, S., S. Zafad, H. El Attar, and I. Ben Yahya. "Histiocytose langerhansienne de l’adulte : à propos d’un cas." In 66ème Congrès de la SFCO. Les Ulis, France: EDP Sciences, 2020. http://dx.doi.org/10.1051/sfco/20206603013.

Full text
Abstract:
L’histiocytose langerhansienne est une maladie rare causée par la prolifération et l’infiltration d’un ou plusieurs organes, par des cellules dendritiques de type Langerhans. Elle s’exprime par des manifestations cliniques extrêmement polymorphes et peut toucher l’os, la peau, l’hypophyse, les poumons, le système nerveux central, et plus rarement le foie et le système digestif. Elle a été initialement décrite chez les enfants. L’histiocytose langerhansienne de l’adulte présente une entité particulière tant par ses manifestations cliniques que par sa prise en charge. Le cas présenté est celui d’un patient âgé de 53ans, en bon état de santé apparent et non fumeur, qui s’est présenté à la consultation pour des lésions nécrotiques et douloureuses des muqueuses gingivales mandibulaires et maxillaires, associées à des mobilités dentaires sévères. L’examen exobuccal ne révélait aucune asymétrie faciale ni adénopathies. L’examen endobuccal confirmait la présence de lésions nécrotiques gingivales et une parodontite sévère au niveau mandibulaire antérieur et maxillaire postérieur. Le secteur maxillaire antérieur présentait un parodonte sain. L’examen radiologique panoramique et Cone Beam CT , révélaient des lyses osseuses moyennes à terminales s’étendant de la 44 à la 38 et au niveau des molaires maxillaires droites et gauches. Les dents antérieures ne présentaient quant à elles pas de lyse. Par ailleurs des images lacunaires à l’emporte pièce siégeaient au niveau du secteur mandibulaire édenté. Ces manifestations évoquaient un lymphome ou une manifestation orale d’une infection virale type VIH. L’examen biologique révélait une légère hyperleucocytose et une augmentation de la vitesse de sédimentation à la première heure. L’examen anatomopathologique des lésions muqueuses, a rapporté la présence d’éléments histiocytaires se regroupant en nodules, concluant en une histiocytose langerhasienne de l’adulte. Le bilan d’extension ne révélait aucune atteinte associée, concluant en une histiocytose localisée. L’étude moléculaire a montré la présence d’une mutation V600E du gène BRAF (Facchetti et al, European journal of pathology, 471(4); 2017). Ce dernier est situé sur le chromosome 7, et il est impliqué dans l’envoi des signaux qui déterminent la croissance cellulaire. L’évolution et le pronostic de cette maladie sont étroitement liés à l’âge et aux organes atteints. Les régressions spontanées ont été rapportées, et peuvent être induites par un curetage ou par une simple biopsie. (Goncalves et al, Biomedical research notes,9(19); 2016) Pour notre cas, les extractions des dents mobiles avec curetage des lésions ont permis une cicatrisation complète. La thérapeutique médicamenteuse peut comprendre une corticothérapie locale ou systémique, des bisphosphonates, voire même une radiothérapie. Par ailleurs la confirmation de la mutation BRAF permet d’oser un traitement spécifique par inhibition de l’enzyme produite par ce gène. (Martıénez et al, Revisita Odontologica Mexicana, 16(2 ); 2012)
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Nayl, C., M. Fenelon, S. Catros, and J. C. Fricain. "Hémangioendothéliome intravasculaire végétant lingual : à propos d’un cas." In 66ème Congrès de la SFCO. Les Ulis, France: EDP Sciences, 2020. http://dx.doi.org/10.1051/sfco/20206603004.

Full text
Abstract:
L’hémangioendothéliome intravasculaire végétant ou tumeur de Masson est une pathologie tumorale bénigne secondaire à la prolifération réactive de cellules endothéliales papillomateuses liées à un thrombus (Masson P., 1923). Il s’agit d’une tumeur vasculaire relativement rare qui représente 2% des tumeurs vasculaires des tissus cutanés et sous cutanés. Peu d’études rapportent sa localisation endobuccale, cependant il existe de nombreux cas dans la littérature décrivant sa prédilection pour la région cervicocranio- faciale (Lancaster et al, 1998). Un patient âgé de 71 ans, sans antécédents médico-chirurgicaux notables, était adressé à la consultation spécialisée de pathologie de la muqueuse buccale pour une tuméfaction de la face dorsale de la langue de découverte fortuite. Il s’agissait d’une lésion nodulaire d’un centimètre de grand axe, de coloration violacé et indolore. AU la palpation on ne retrouvait pas de battement. Une exérèse chirurgicale au laser diode a été réalisée sous anesthésie locale. Une incision jusqu’aux plans musculaires au niveau desquels s’insinuait la tumeur a été réalisée. Les suites opératoires ont été simples. Le patient a été revu à 3 mois sans signe de récidive. L’analyse anatomopathologique mettait en évidence un hémangioendothéliome intravasculaire végétant. La cicatrisation à 1 mois post-opératoire était satisfaisante. L’hémangioendothéliome intravasculaire végétant est une tumeur vasculaire bénigne dont l’étiopathogénie reste encore discutée. Trois formes sont décrites ; la forme primaire apparaissant dans des vaisseaux distendus, la forme secondaire à des lésions vasculaire préexistantes, et la forme extravasculaire (Bologna-Molina et al, 2010). Cependant, il a été observé que la majorité des cas d’hémangioendothéliome intravasculaire végétant, quel que soit leur type, sont associés à un thrombus (Korkolis et al, 2005). L’hémangioendothéliome intravasculaire végétant est une pathologie rare souvent confondue avec une malformation vasculaire ou une lésion maligne telle que l’angiosarcome. L’établissement d’un diagnostic positif est essentiel pour écarter le diagnostic différentiel d’angiosarcome et éviter toute chirurgie inutilement invasive pour le patient. La prise en charge de l’hémangioendothéliome intravasculaire végétant repose sur son exérèse.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography