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Dissertations / Theses on the topic 'Nicolas de Cusa, Hasard'

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1

Thiemel, Markus. "Coincidentia : Begriff, Ideengeschichte und Funktion bei Nikolaus von Kues /." Aachen : Shaker Verl, 2000. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb401503622.

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Theruvathu, Prasad Joseph Nellivilathekkathil. "Ineffabilis in the thought of Nicolas of Cusa." Münster Aschendorff, 2007. http://d-nb.info/993261892/04.

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Meier-Oeser, Stephan. "Die Präsenz des Vergessenen : zur Rezeption der Philosophie des Nicolaus Cusanus vom 15. bis zum 18. Jahrhundert /." Münster : Aschendorff, 1989. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb35507132h.

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Platzer, Katrin. "Symbolica venatio und scientia aenigmatica : eine Strukturanalyse der Symbolsprache bei Nikolaus von Kues /." Frankfurt am Main : P. Lang, 2001. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb40150352r.

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Nicolle, Jean-Marie. "Mathématiques et métaphysique dans l'oeuvre de Nicolas de Cues." Paris 10, 1998. http://www.theses.fr/1998PA100166.

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Abstract:
N. De cues invente le principe de coincidence des opposes d'apres lequel, dans le domaine de l'infini, les opposes se rejoignent. Pour eprouver ce principe, il decide de l'utiliser dans le probleme de la quadrature du cercle. De 1445 a 1459, il cherche en vain a << transmuer >> le courbe en droit, a partir de quelques propositions simples qui s'averent fausses ou infondees. Tous les commentateurs soulignent | l'importance des mathematiques dans la philosophie du cusain, et pourtant, aucun ne s'est avise d'aller lire ses textes mathematiques. Il y a donc une lacune dans la lecture de l'oeuvre cusaine que ce travail de recherche vise a combler : il s'agit de reconstituer les liens des mathematiques et de la metaphysique dans le corpus des oeuvres mathematiques. Au terme de cette etude, on decouvre que ce n'est ni par ignorance, ni par maladresse que n. De cues echoue. Mais pourquoi n'a-t-il pas vu qu'il ne pouvait pas resoudre son probleme ? il faut comprendre son erreur << de l'interieur >>, et etudier ses concepts comme autant d'obstacles epistemologiques, car il soumet les mathematiques a une metaphysique neoplatonicienne heritee de proclus. Cette etude montre comment le dogme de la trinite interdit de considerer l'un comme un nombre, comment l'assimilation de l'infini a un maximum absolu empeche de comprendre l'infini mathematique, comment la recherche d'une proportion entre le droit et le courbe est limitee a la recherche d'une proportion continue et rectiligne. L'oeuvre cusaine doit etre reevaluee : son apport a consiste a rompre avec l'aristotelisme dominant par une sortede nouvelle logique, qui ne permettait cependant pas de construire la trigonometrie necessaire a la revolution astronomique.
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Sfez, Jocelyne. "Vérité et altérité chez Nicolas de Cues : une philosophie du reste." Lyon, Ecole normale supérieure, 2010. http://www.theses.fr/2010ENSL0086.

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Abstract:
La philosophie de Nicolas de Cues connaît un tournant essentiel avec les Conjectures, conduisant à une reconfiguration générale de l’œuvre. Cela tient à la nouvelle compréhension cusaine de l’altérité sur la base du caractère symbolique des conjectures : saisies de la vérité dans une altérité indépassable, celles-ci introduisent à une philosophie positive du reste. Mettant en cause la tradition théologico-philosophique, les Conjectures proposent, selon une expression lullienne, un art général des conjectures, ou une méthode pour les arts d’investigation. Privilégiant la modélisation de l’objet mathématique et l’organisme vivant, elles amorcent une révolution gnoséologique. Ce mouvement est fondé sur une réflexion théologique. Comment la vérité en soi qu’est Dieu – pensée comme inatteignable dans son exactitude – peut-elle fonder mon savoir comme savoir d’une vérité inexacte, conceptualisée comme vérité dans l’altérité, sans en invalider la prétention de savoir ? Cette question conduit à des élaborations successives du rapport entre vérité et altérité. Des Conjectures émerge une philosophie de l’esprit. Car l’exactitude ne pouvant être atteinte, c’est dans le déploiement du sens que la conjecture peut être plus ou moins vraie. Chacun fraie là son chemin singulier en déployant les dimensions de son humanité. L’agir humain se mesure à la capacité singulière de l’individu à se (re)connaître comme mens et à développer concrètement sa propre créativité mentale. Les Conjectures montrent que la relation essentielle entre vérité et altérité permet d’explorer et de fonder les différents savoirs positifs. Elles ouvrent sur une philosophie de la tolérance, qui n’est pas sans apories
The Conjectures of Nicolas de Cues are at the turning point of his philosophy. They reorganize all his work with a new conception of alterity, on the basis of their symbolic features: the grips of truth in an impassable alterity, which introduce to a positive philosophy of the rest. By reconsidering the theologico-philosophical tradition, the Conjectures put forward, following a Lullian expression, a general art of the conjectures, namely a new method for the investigative arts. The Conjectures favour the modelization of the mathematical object and the living organism. They initiate then a gnoseological revolution. This approach is based on a theological reflection. How can the truth in itself which is God – truth thought as unreachable in his rightness – found my knowledge as knowledge of an inaccurate truth, conceptualized as a truth in alterity, without invalidating its claim to know? This issue will be the object of successive drawing up of the relation between truth and alterity. A philosophy of mind emerges from the Conjectures. As the rightness is out of reach it is in the development of the sense that the conjecture may be more or less true. Each one clears one’s single way by displaying the dimensions of his humanity. The human acting is measured in the singular capacity of the individual to know or to recognize himself as mens and in doing so to develop practically its own creative mind. The interest of The Conjectures is then to show that the essential relation between truth and alterity allows to explore and found the different positive knowledges. The Conjectures lead to an enlarged philosophy of tolerance whose general layout does nevertheless generate aporia
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Lagarrigue, Jean-Claude. "A l'école de la Docte Ignorance : de Nicolas de Cues au Cercle de Meaux." Université Marc Bloch (Strasbourg) (1971-2008), 2007. http://www.theses.fr/2007STR20045.

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Abstract:
Le premier tome de cet ouvrage s’efforce de comprendre, à partir du commentaire détaillé de la « Docte ignorance » pourquoi l’évangélisme français du Cercle de Meaux a pu se réclamer de Nicolas de Cues. Sans doute est-ce parce qu’en renversant la hiérarchie habituelle, qui place la théologie mystique et la voie d’éminence au terme de l’ascension de l’âme vers Dieu, le Cusain prépare la voie à ceux qui mettront le Christ et la Croix au principe de cette élévation. Une preuve en est donnée par la reprise par Lefèvre d’Etaples, et après lui par Luther et Calvin, de la thèse audacieuse de Cues qui considère que le Christ a enduré sur la Croix les souffrances « infernales » des damnés. Le deuxième tome propose une nouvelle traduction de la ‘Docte Ignorance’ ainsi qu’une traduction de l’’Ecriture inconnue’ (De ignota litteratura) de Jean Wenck de Herrenberg, qui attaque l’ouvrage du Cusain au nom de la philosophie de l’Ecole
The first volume of this work, beginning with a detailed commentary of the ‘Learned Ignorance’, tries to understand why the French evangelism from the Circle of Meaux could claim the intellectual inheritance of Nicholas of Cusa. This was probably because the Cusanus inverted the usual hierarchy which placed the mystical theology and the way of eminence at the end of the rise of souls towards God ; by doing that, he prepared the way for those who put Christ and the Cross at the principle of this elevation. One proof is given with the recovery by Lefèvre of Etaples, and after him by Luther and Calvin, of the audacious thesis that consederes the Christ has endured on the Cross the “infernal”sufferings of the damneds. The second volume proposes a new translation of the ‘Learned Ignorance’ as well as a translation of the Unknown Scripture (De Ignota litteratura) by Johannes Wenck of Herrenberg, who tackles the work of the Cusanus in the name of the philosophy of the School
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Helander, Birgit H. "Die "visio intellectualis" als Erkenntnisweg und -Ziel des Nicolaus Cusanus /." Uppsala : Almqvist och Wiksell, 1988. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb35513729h.

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Vengeon, Frédéric. "Le "Dieu humain" dans l'Infini : art des conjectures et docte ignorance dans la pensée de Nicolas de Cues." Lyon 3, 2006. https://scd-resnum.univ-lyon3.fr/in/theses/2006_in_vengeon_f.pdf.

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Abstract:
La pensée de Nicolas de Cues opère la rencontre problématique entre la théologie de l’infinité divine et l’affirmation de la puissance créatrice de l’esprit humain. La mystique rhénane se transporte dans la Florence du Quattrocento. Avec la doctrine de la docte ignorance et l’art des conjectures, Nicolas de Cues élabore une synthèse permettant d’intégrer la force constructive de l’esprit humain à la puissance infinie du Principe divin. Fondement ontologique et idéal de connaissance, le Principe prête sa puissance à l’efficience des créatures spirituelles. A l’image du Dieu infini, l’homme est le dieu créateur de son monde de notions, ou conjectures. Mais un problème se pose : comment faire valoir l’autonomie et la consistance de ce monde humain (« mundus humanus ») en regard d’un Principe illimité ? Comment concilier la puissance respective des deux dieux créateurs ? Le problème de l’affirmation de l’homme trouve sa scène métaphysique
Nicolas of Cusa’s theory enables a problematic encounter between the theory of divine infinity and the assertion of the human mind’s creative power. Hence, the Rhenish mysticism blends itself in the Quattrocento Florentine spirit. A synthesis, integrating the constructive strengths of the human mind to the infinite power of the Divine Principle, is elaborated by Nicolas of Cusa, with the help of the doctrine of the learned ignorance and the art of conjectures. The Divine Principle, understood as an ontological ground and the ideal of knowledge, is therefore lending its force to the efficiency of spiritual creatures. In the image of the Infinite God, man is the creating god of his own world of notions, that is to say, conjectures. A problematic issue nevertheless appears: how shall we understand the autonomy and consistency of the humane world (“mundus humanus”) with respect to an Unlimited Principle? How shall we reconcile both powers of Creators? A metaphysical scene is set, staging man’s assertion issues
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Larre, David. "Les Conceptions philosophiques de l'altérité de Boèce à Nicolas de Cues." Tours, 2005. http://www.theses.fr/2005TOUR2015.

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Abstract:
La notion d'altérité, rare dans la philosophie médiévale de langue latine, se trouve paradoxalement au centre d'enjeux métaphysiques importants : à partir de Boèce, elle intervient dans le cadre du transfert des catégories aristotéliciennes aux réalités théologiques (translatio in divinis), dans le double contexte de la théologie trinitaire et de la théologie de la création. Elle connaît alors une fortune contrastée dans les divers commentaires des Opuscula sacra de Boèce, tantôt admise dans la pensée des réalités divines, tantôt rejetée hors de Dieu pour caractériser en propre les seules créatures. La raison de cet usage tient à une hésitation entre deux tendances de la métaphysique présentes dans les textes de Boèce et leur commentaires, une ontologie de la relation d'origine aristotélicienne et une hénologie de l'assimilation d'origine platonicienne. Nicolas de Cues, principal auteur de cette étude, se trouve accentuer particulièrement la seconde de ces tendances : il invente ainsi le terme non-autre (non-aliud) pour nommer Dieu, faisant de celui-ci le principe de l'être et de la connaissance qui assimile toutes choses à soi. Ce coup de force métaphysique et conceptuel a des conséquences majeures sur la pensée de la création : l'altérité des créatures est un fait contingent et ambivalent. Elle se rapporte moins à l'originalité et à l'autonomie de l'individu qu'à sa dépendance envers son principe, l'unité divine, dans l'ordre de l'être et du connaître
The notions of otherness, which is rare in mediaeval philosophy in the latin language, is paradoxically central to some important metaphysical issues : Boethius used it to transfer Aristotelian categories into theological realities (translatio in divinis), in the context of the trinitarian and creational theologies. In the various commentaries to the Opuscula sacra by Boethius, it had mixed fate : it was either included in reflections on divine realities, or considered as being external to God and used to characterize his creatures only. This two-fold use has its origin in a tension between two metaphysical trends that are present in Boethian texts and their commentaries : an ontology of relation that has an Aristotelian origin and a henology of assimilation which is borrowed from the neo-Platonists. Nicholas of Cusa, the main author in our study, was instrumental in developing the second tendency : he invented the expression "not-other" (non-aliud) to call God, thus making him the principle of being and knowledge which assimilates everything to himself. This metaphysical and conceptual innovation hat great consequences on how creation was conceived : the creatures' otherness was a contingent and ambivalent fact, which referred not so much to the originality and autonomy of the individual as to his dependence on his principle, divine unity
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Milhe-Poutingon, Gérard. "Rabelais et la logique des opposés : une dialectique implicite." Paris 10, 1995. http://www.theses.fr/1995PA100016.

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Abstract:
On a voulu démontrer que Rabelais envisage sérieusement la question de la logique, mais que celle-ci est hétérodoxe, élaborée sur le double modèle des théories des distillateurs de quintessence et de la docte ignorance cusaine. Pour cela, on étudie en première partie "l'état de la logique chez Rabelais". Apres une mise au point sur la logique a la renaissance, sont abordés les moyens mis en œuvre pour critiquer la logique scolastique, puis on démontre qu'une autre logique est considérée avec sérieux, et on justifie l'importance des deux modèles envisagés. En deuxième partie, "l'esprit et le lien", c'est-à-dire les principales métaphores de Nicolas de Cuse servant à décrire la coincidentia oppositorum, sont étudiées. Ces images favorisent l'invention d'une thématique spécifique (le souffle, le pet, le sel, la lignée, etc. ) Permettant à Rabelais de démontrer discrètement une logique du tiers-inclus. Ensuite, avec "la vérité", est analyse le concept de veritas vers lequel tend la logique rabelaisienne. On démontre que cette vérité repose sur des notions telles que le mouvement, le temps, la perfection. Elles sont traditionnelles dans la philosophie scolastique, mais Rabelais leur fait subir un traitement non conventionnel (réalité terrestre du mouvement immobile, du temps-éternité). Enfin, la quatrième partie ("la logique et la signe") considère le type de signum invente par Rabelais pour communiquer sa pensée paradoxale, lequel repose sur une fusion des signes conventionnel et arbitraire, pour aboutir aux (paradoxales) figures implicites
I wanted to show that Rabelais studies logic seriously. But the logic he's interested in is not the aristotelician one: it's influenced by a certain kind of alchemists (the "abstracteurs de quintessence", that is to say: the "distillateurs") who elaborate a substance which synthetizes the opposites (the "quinte essence" is both cold and warm, dry and humid); it's also influenced by the doctrine of Nicolas de Cusa (the coincidentia oppositorum). In first part, I study logic in XVIth century, the way Rabelais criticizes the scholastic logic, and the influence of alchemy and cusa. In second part, I study two cusanus' important metaphors (spiritus and nexus) which make it possible to describe the coincidentia oppositorum. In third part, I study the concept of truth, because it's the goal of Rabelais' logic. Truth is traditionally based upon such concepts as motion, time and perfection, but they are reconsidered by Rabelais. In fourth part, I study the question of signum: what is the signum likely to communicate the paradox of coincidentia oppositorum? My conclusions: Rabelaisian dialectic is implicit; Rabelais' works hide an authentic philosophy
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Corrieras, Maude. "Un nouvel art de connaître : traduction, notes et commentaire du triaté "De Beryllo" de Nicolas de Cues." Paris 4, 2008. http://www.theses.fr/2008PA040178.

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Abstract:
Bien que peu de critiques se soient intéressés à cette oeuvre, l'ambition du De Beryllo de Nicolas de Cues est considérable : revenant sur la coïncidence des opposés, elle la développe et se propose d'en faire une méthode universelle de connaissance, à portée de tous ceux qui recherchent activement la vérité. Le De Beryllo s'efforce, dans sa forme même, à mettre à l'oeuvre la méthode, et sa mise en pratique. Ce n'est donc pas seulement la méthode de connaissance qui importe, mais aussi la façon dont l'auteur, mettant à l'épreuve sa propre méthode, dans une sorte d'"exercice spirituel" où la pensée se perfectionne dans l'activité noétique. Il importait d'en donner aux lecteurs français une traduction
Despite of the little interest contemporary criticism has shown toward this cusanian work, the ambition of the De Beryllo is huge : going back over the theory of coincidentia oppositorum, it develops it and aims at considering it as a universal method of knowledge, reachable by anyone whose ambition is to seek the truth. The treatise De Beryllo makes a point to use the method itself through the form of the work, and the way of putting it into practice. It is not only the method in itself which imports, but also the way used by the author to uses it, putting it to a test, through a kind of "spiritual exercise", or art, in which the mind can become more perfect through a noetic activity. It was important to offer a translation of this work to the French readers
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Ferreira, Pedro Calixto. "Viae Negationis : la question de la négation dans le néoplatonisme latin : Jean Scots Erigene, Alain de Lille et Nicolas de Cues." Paris 4, 2004. http://www.theses.fr/2004PA040058.

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Abstract:
Partant du constat que le néoplatonisme médiéval latin constitue un moment essentiel de l'histoire du concept de négation, cette recherche soulève l'hypothèse dd'une métamorphose progressive de la négation qui aboutit à un réel renversement de la position aristotélicienne en la matière. Ce bouleversement semble être une originalité du néoplatonisme latin, puisqu'il n'est encore pleinement accompli ni dans la mystique plotienne, ni dans le corpus dionysiacum. Ce dernier constitue pourtant la principale source du néoplatonisme latin médiéval. Cette entreprise de dépassement d'une approche de la négation comme dépouillement et effacement de la limite est inaugurée dans l'Occident médiéval latin par la pensée de Jean Scot, dont l'interprétation de Denys l'Aéropagite l'éloigne à la fois des conceptions aristotélicienne et dionysienne de la négation, et n'atteint son plein achèvement que dans la pensée de Nicolas de Cues, grâce à une confrontation directe avec les thèses métaphysiques d'Aristote, comme celles du principe de la non-contradiction et de la distinction entre acte et puissance, mais aussi grâce à l'interprétation cusaine de l'apophasis proclienne. Ce renversment est démontré à travers l'analyse des problématiques épistémologiques, ontologiques et théologiques sous-jacentes à la polysémie de la négation en prenant comme paradigme la pluralité du concept de néant. L'analyse met en lumière les deux versants principaux de l'approche néoplatonicienne latine de la négation, sa polysémie et sa fertilité : l'acte de nier se dit en plusieurs sens et ne nous laisse pas toujours dans l'indétermination, aussi bien sur le plan épistémologique qu'ontologique
On the basis that the Latin medieval neoplatonism constitutes one essential moment of the history of the concept of negation, this research raises the hypothesis of a progressive metamorphosis of a progressive metamorphosis of the negation that produces a real transgression of the aristotelician position on the matter. This upheaval seems to be an originality of the Latin neoplatonism, since it is not yet fully accomplished neither in the plotinian mystic, nor in the corpus dionysiacum. This last constitutes however the main source of the medieval Latin neoplatonism. This enterprise is going beyond of an approach of the negation understood like removal, erasure and suppression of the limit is inaugurated in the Latin medieval occident by John Scot Eriugena's thought, whose interpretation of corpus dionysiacum moves away at the same time from the aristotelician and Dionysian positions on the matter. This movement reaches its full achievement only in the thought of Nicholas of Cusa, owing to a direct confrontation with Aristotle's metaphysical thesis, like those o the principle of the contradiction and the distinction between actuality and potentiality, but also owing to a Nicholas of Cusa's interpretation of the proclian conception of apophasis. This transgression of the aristotelician position about negation is demonstrated through the analysis of the epistemological, ontological and theological problems subjacent the polysemia of the concept of negation which takes as paradigm the plurality of the concept of not being. The analysis makes clear the two principal slopes of the Latin neoplatonician approach of negation, i. E. Its polysemia and its fertility : negation has several senses and does not always leave us in the indetermination on the espistemological as well as ontological level
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Fiamma, Andrea. "Nicola Cusano a colonia : la dottrina dell'intelletto di nicola cusano nel contesto delle sue possibili fonti albertine e renane." Thesis, Université de Lorraine, 2016. http://www.theses.fr/2016LORR0077.

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Abstract:
Par la présente recherche, nous cherchons à soutenir que dans l'éducation philosophique du jeune Nicolas de Cues (entre 1424 et 1431), la tradition albertine de Cologne, diffusée par Heymeric de Campo, a joué un rôle important. Nous pensons aussi que les traces de cette influence de l'albertinisme colonien émergent en particulier dans les écrits épistémologiques du Cusain, en particulier dans le De coniecturis et dans la collection « Idiota ». Nous montrerons que Nicolas de Cues, qui a personnellement connu Heymeric, a eu grâce à lui connaissance des doctrines néo-platoniciennes qui émergent dans le De docta ignorantia et dans les œuvres cusaniennes des années 1440. Contrairement à la perspective historiographique, qui a soutenu une origine byzantine du néoplatonisme de Nicolas de Cues, nous voulons ici montrer une origine colonienne. Nous sommes également convaincus que cette approche méthodologique permet de saisir efficacement la pensée de Nicolas de Cues dans son contexte historique, « 1430-1464 », et topographique, « entre Cologne et Rome ». Elle fournit aussi une clé pour éclairer le rapport entre la philosophie de Nicolas de Cues et certains penseurs modernes : la Cusanus-Renaissance de la première moitié du XXe siècle avait attribué à Nicolas de Cues le titre de « premier philosophe moderne » parce que, contrairement à la tradition scolastique, il aurait placé au centre de ses œuvres le problème de la connaissance humaine, ouvrant ainsi la voie à la révolution subjectiviste de la modernité. Une telle attention pour la connaissance humaine se retrouve également dans la tradition albertine, décrite comme un « illuminisme » au Moyen Age
In this research, we present the hypothesis that the Albertist tradition in Cologne played a significant role in how young Cusanus acquired his philosophical education, in the years from 1424 to 1431, and that the mediator was Heymericus de Campo. We claim that some traces of this albertist influence can be seen above all in Cusanus' gnoseological works, particularly in De coniecturis and in the Idiota collection. Contrary to the historiographical perspective that maintained the hypothesis that Cusanus’ neo-Platonism derived from Byzantine thought, we should like to sustain here that it originated in the school of Cologne and Rhenish philosophy. We are further convinced that this methodological approach provides an efficient tool for interpreting and capturing Cusanus’ thought within its contexts, both historical ( from “1430 to 1464”) and geographical (“from Cologne to Rome”). Moreover, finding traces of Albertism in Cusanus’s education and works offers a new key to interpreting and clarifying his relationship with modern philosophy. The Cusanus-Renaissance in the first half of the twentieth century saw in Cusanus the first modern philosopher because, unlike those of the Scholastic tradition, he was thought to have placed human knowledge at the core of his works, thus paving the way for the modern, subjectivist revolution. From this standpoint, Albert the Great and his “school” seem be be forerunners of the modern tradition, so much so that it was described as “Enlightenment in the Middle Ages
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Förköli, Gábor. "Écriture et contingence : fortuna, lieux communs et exemples historiques dans la littérature politique du XVIIe siècle. Les contextes et usages du Ministre d’Estat de Jean de Silhon." Thesis, Paris 4, 2017. http://www.theses.fr/2017PA040034.

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Abstract:
Le présent travail souhaite apporter un éclairage sur la manière dont la littérature politique de l'absolutisme français a envisagé la place de la contingence et du hasard dans l’expérience historique. Cette étude comprend deux versants : d’une part, l’examen des contextes d’écriture du Ministre d'Estat (1631), traité politique que Jean de Silhon consacre à la défense du ministère de Richelieu ; d’autre part, une analyse des aspects épistémologiques et anthropologiques de l’usage des maximes, des préceptes et des exemples dans les ouvrages historiques et politiques. Cette double approche se justifie par les circonstances de la réception de Silhon, que nous étudions à partir de la présence de ses ouvrages dans certains recueils de manuscrits, relatifs à la politique française du premier XVIIe siècle. Pour ce faire, nous considérons le manuscrit comme un médium, qui révèle à la fois le fonctionnement de l’espace public et celui de l’intimité des lectures personnelles. Dans ce travail, la collecte des lieux communs et des sentences est vu comme un moyen d’ordonner l’hétérogénéité des expériences historiques sous la forme d’un savoir utile. Nous commençons par analyser le concept de contingence historique, à travers le topos de fortuna, tel qu’il est décrit dans les ouvrages de Silhon et de ses contemporains. Il semble qu’une tension se dégage entre deux tendances antinomiques au sein de cette oeuvre : l’auteur défend, en matière d’État, une exigence de modernité, celle d’une émancipation de la politique de ses modèles antiques et d’une affirmation de son caractère rationnel ; pourtant, le topos archaïque de fortuna reste profondément ancré dans son oeuvre, y compris en lien avec la figure du ministre d’État au XVIIe siècle. Ce constat est renforcé par l'étude de la réception du Ministre d'Estat en Italie et dans le Saint-Empire. Nous parcourons ensuite les extraits manuscrits collectés dans le cabinet de Richelieu et dans les collections de Philippe de Béthune et d’Henri II de Mesmes, avant de présenter la collection ouvertement francophile du duc Auguste le Jeune de Wolfenbüttel. Nous examinons enfin l’œuvre de Nicolas Zrínyi, homme d’État croato-hongrois, qui intègre, dans sa théorie politique et militaire, deux influences contradictoires : la lecture tacitiste de l’histoire antique et le modernisme de Silhon. Son Capitaine vaillant (1650-53), méditation manuscrite, représente, au niveau de l'invention et de la disposition de ses matériaux, les méthodes propres à l’humanisme traditionnel, tandis que, dans l’usage de l’Histoire, il partage les doutes de l’humanisme tardif
The purpose of this work is to present the way the political literature of French absolutism explained contingency and chance in historical experience. This study comprises two tasks: firstly, it analyses the different contexts of the Ministre d’Estat (1631), a political treatise written by Jean de Silhon to defend Richelieu’s government; secondly, it deals with the epistemological and anthropological aspects of using maxims, precepts and examples written on historical or political matters. To demonstrate the relevance of this double approach, the study aims to reconstruct the history of Silhon’s reception by discussing the presence of his works in manuscript miscellanies which contain excerpts on French politics in the first half of the 17th century. For this purpose, manuscript is interpreted as a medium which reveals both the functioning of the public space and the privacy of personal readings. Collecting common places and sentences is considered to be a method of organising divergent historical experiences into useful knowledge. In the first part, this study analyses the notion of historical contingency as described with the topos of fortuna in works by Silhon and his contemporaries. I suggest that there is a tension between two opposite tendencies in Silhon’s work: although he declares a claim for modernity in state affairs in order to liberate politics from antique models and to assure its rationality, the archaic topos of fortuna keeps resurfacing in his work and in the figure of the state minister in the 17th century. This statement can be confirmed by observing the reception of the Ministre d’Estat in Italy and in the Holy Roman Empire. The second part discusses manuscript excerpts from Richelieu’s cabinet and from the collections of Philippe de Béthune and Henri II de Mesmes, concluding with the presentation of the openly Francophile collection of August the Younger, duke of Wolfenbüttel. The third part considers the work of Nicolas Zrínyi, a Croatian-Hungarian politician, who integrated two contradictory influences in his political and military theory: the Tacitist reading of ancient history and Silhon’s modernism. His Valiant Captain (1650-53), an unpublished meditation, represents the methods of classical humanism in the inventio and dispositio of its matters while sharing late humanism’s doubts concerning the uses of history
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