Academic literature on the topic 'Noirs americains dans les affaires'

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Journal articles on the topic "Noirs americains dans les affaires"

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Soldani, Jérôme. "Le cimetière des « Éléphants noirs »." Hors-thème 39, no. 3 (January 22, 2016): 217–35. http://dx.doi.org/10.7202/1034767ar.

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Abstract:
Des affaires judiciaires de matchs truqués liés aux paris touchent régulièrement la ligue taïwanaise de baseball professionnel depuis le milieu des années 1990. Elles impliquent chaque fois un grand nombre de joueurs et d’entraîneurs, des personnalités politiques locales et des membres de la police. L’acte de tricherie constitue une rupture du contrat moral qui lie les joueurs professionnels à leurs supporters. Ces joueurs sont le plus souvent désignés par l’animal emblématique de leur club auquel est attachée l’épithète « noir », qui souligne la perception négative de ces agissements et les relie implicitement aux organisations criminelles qui contrôlent le milieu des paris. Ces pratiques de corruption sont imbriquées aux réseaux étendus d’interconnaissance dans lesquels les joueurs s’inscrivent. Ces derniers se trouvent ainsi pris entre plusieurs espaces d’obligations sociales et sous la menace d’une radiation à vie de la ligue. Une analyse des matchs truqués relatifs aux paris permet d’appréhender comment les valeurs morales structurent la pratique du baseball à Taïwan et la façon dont elles sont négociées.
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Martin, Phyllis M. "Apologist's Charter? - Des affaires et des hommes: noirs et blancs, commerçants et fonctionnaires dans l'Oubangui du début du siècle. By Jean Cantouret. Paris: Société d'Ethnologie, Recherches Oubanguiennes no. 10, 1991. Pp. 233." Journal of African History 34, no. 3 (November 1993): 510–11. http://dx.doi.org/10.1017/s0021853700033880.

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3

Seeliger, Frank. "Wie das Neue in eine Brandenburgische Hochschulbibliothek kommt und nicht versiegen mag – Ein persönlicher Rückblick." 027.7 Zeitschrift für Bibliothekskultur 3, no. 3 (November 16, 2015). http://dx.doi.org/10.12685/027.7-3-3-72.

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Abstract:
DOI: 10.12685/027.7-3-3-72Das Mantra der Kundenorientierung, Serviceentwicklung und die Verpflichtung zur Effektivität wie Effizienz bei der Bewältigung aller Geschäftsgänge sind mittlerweile Allgemeinplätze. Es verpflichtet Informationseinrichtungen, den aktuellen Entwicklungen und der Zeit auf den Fersen zu bleiben. Was bedeutet dies auf der alltäglich pragmatischen Ebene für eine überschaubare Fachhochschulbibliothek? Eine, die mit wenigen Ressourcen ausgestattet als Showcase, repräsentativer Raum, Boutique sich gut „verkaufen“ muss, um en vogue oder einfach nur relevant und interessant für Stakeholder, Nutzer sowie Mitarbeiter zu bleiben? Auf dem Campus der berlinnahen Informationseinrichtung wird seit dem Neubezug einer denkmalgeschützten Verladehalle 2007 versucht, dem gewinnenden Charme und anmutigen Ambiente des Porticus auch eine herausragende Rolle als Innovations-Hub für die Hochschule und Bibliotheken im Allgmeinen über gelebte neue Ideen abzugewinnen. Sie betreffen sowohl technische Lösungen in Bezug auf RFID, Visualisierung, Automatisierung und Software, aber auch Formate für Veranstaltungen und Weiterbildung. Was ist aber hierfür nötig, um das Neue, gekauft oder selbst gezimmert, immer wieder einfliessen zu lassen und sich mit dem Profil der tatkräftigen und kreativen Avantgarde zu identifizieren? Der Beitrag wird versuchen, das Umfeld dafür zu beleuchten, um Innovationen als selbstverständliche Erwartungshaltung reifen zu lassen. Der deskriptive Ansatz soll nach keineswegs vollständiger Reflexion eigener Bemühungen prima facie Anregung geben dazu, wie im öffentlichen Dienst und ohne direkte Tuchfühlung zu „schwarzen Zahlen“ eine Firmenkultur Einzug halten kann, die bei entsprechender Erwartungshaltung das Unvorhersehbare für sich höher einschätzt als das Vertraute. Es ist ein Plädoyer für das offene System, ein Hoch auf Veränderung und Neues, ohne damit in eine willkürliche Vielfalt zu geraten. Warum kann das werbende Motto der FH Münster „Bei uns dürfen Sie spielen“ nicht auch für Informationseinrichtungen greifen?The mantra of service development and customer orientation on the one hand and a commitment to effectiveness and efficiency in managing all business workflows on the other hand have become commonplace. It forces information institutions to remain up-to-date concerning the latest developments. What does this mean for a manageable technical college library or a typical library of a technical university of applied sciences on an everyday pragmatic level? How can an understaffed department library sell itself as showcase, representative space or even boutique to its target groups (stakeholders, users as well as employees) to remain en vogue or simply remain relevant and attractive for them. On the campus of the Brandenburgische Hochschulbibliothek that is located nearby Berlin, efforts are being put into not only taking account of the appealing charm and graceful ambience of the portico of the loading facility, a listed building that the library moved into in 2007, but also establishing the library as a leading innovation hub for the whole campus and library network where ideas and visions become reality. This includes both technical solutions (regarding subjects such as RFID, visualization, automation and software), as well as formats for events and advanced training. However, what is needed to constantly implement new products – developed in-house or bought – and identify oneself with the profile of energetic and creative avant-garde? This contribution will attempt to illuminate the environment that naturally facilitates and promotes innovation efforts. The descriptive approach chosen here shall illustrate how a corporate culture that places greater value on the unforeseeable and new than on familiar routines can be implemented into public service in order to transform the latter into an institution that takes risks and enables innovations and new outcomes. This contribution is a plea for an open system, a praise for changes and innovations without falling prey to random transformations. It is thus ultimately a call for the staff of information institutions to take to heart the advertising slogan of the UAS Münster: Feel free to play (Bei uns dürfen Sie spielen).Le mantra du développement du service et de l’orientation à la clientèle, ainsi que l’obligation d’efficacité de la marche ordinaire des affaires est devenu un lieu commun. Cela contraint les institutions de l’information à être à la hauteur des développements actuels. Qu’est-ce cela signifie au niveau pragmatique pour une bibliothèque d’une haute école spécialisée? Une bibliothèque disposant de peu de ressources, devant se « vendre » comme showcase, espace représentatif, boutique, pour être en vogue ou simplement rester pertinente et intéressante pour les stakeholders, les utilisateurs et les employés? Cela, sur le campus d’une institution de l’information se trouvant près de Berlin, installée depuis 2007 dans une halle de chargement classée monument historique, signifie essayer de conjuguer le charme attrayant et l’ambiance légère de l’endroit avec des projets innovateurs et jouer un rôle de premier plan pour permettre à des idées nouvelles de se développer dans la haute école spécialisée et dans la bibliothèque. Cela concerne aussi bien des solutions techniques en rapport avec RFID, la visualisation, l’automation, les logiciels que les formats pour des manifestations et la formation continue. Qu’est-ce qui est dans ce cas nécessaire pour que le nouveau, acheté ou élaboré soi-même, puisse sans cesse s’imposer et s’identifier au profil d’une avant-garde créative et dynamique? Cette contribution essaie d’éclairer l’environnement nécessaire pour que l’innovation soit ressentie comme une attitude d’attente évidente. L’approche descriptive propose des pistes de réflexion sur la culture d’entreprise dans le service public qui n’est pas en contact direct avec des « chiffres noirs », sur les tentatives de stimuler une culture qui estime plus le risque et l’imprévisible que le quotidien. C’est un plaidoyer pour un système ouvert, une invitation au changement sans pour autant tomber dans une diversité arbitraire. Pourquoi la devise de la haute école spécialisée de Munster, « chez nous vous pouvez jouer », ne s’appliquerait-elle pas aux institutions de l’information?
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Canals, Roger. "Culte à María Lionza." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.005.

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Abstract:
Le terme « culte à María Lionza » renvoie à un ensemble de pratiques rituelles consacrées à la déesse María Lionza et à d’autres esprits de son panthéon. Il est présent sur une grande partie du territoire vénézuélien, notamment dans la région de Yaracuy, au centre ouest du pays, sur la côte caribéenne et dans les grandes villes comme Caracas. La Montagne de Sorte, dans la région de Yaracuy, est le principal centre de pèlerinage des croyants. Bien qu’il soit originaire du Venezuela, le culte à María Lionza est également visible, avec quelques variantes, dans plusieurs autres pays de la région caribéenne et de l’Amérique du Sud, voire aux États-Unis et en Europe. L’origine de ce culte remonte à la conquête espagnole du Venezuela. Au fil des ans, les pratiques sacrées indiennes, les religions africaines apportées par les esclaves noirs ainsi que le catholicisme auraient fusionné donnant lieu à des manifestations religieuses nouvelles (Mintz et Price 1992 ; Andrews 2004). Dès la fin du XIXe siècle se seraient ajoutées à ces trois sources principales d’autres influences culturelles comme le spiritisme kardeciste et l’occultisme, entre autres (Pollack-Eltz 1972 ; Clarac de Briceño 1996 ; Barreto 1990). Cependant, et à la différence de cultes afro-américains comme la Santería Cubaine, le Candomblé ou le Voudou haïtien, le culte à María Lionza n’est pas, dès son origine, connecté aux communautés d’esclaves africains. Jusqu’au XXe siècle, ce culte contenait essentiellement des éléments d’origine catholique et indienne, notamment des images religieuses de saints ou des pratiques d’adoration d’éléments naturels comme des cascades ou des fleuves. A cette période-là, le culte était majoritairement répandu parmi la population métisse et rurale, et l’apport africain n’était que peu présent –la possession spirituelle ou l’usage de percussions, par exemple, étaient rares lors des cérémonies. Dans les années quarante, le culte devint urbain du fait de la migration massive de la population rurale vers les grandes villes suite au boom pétrolier (Coronil 1997). C’est dans ce nouveau contexte, et essentiellement sous l’influence de la santería cubaine, que le culte commence à subir un processus d’afroaméricanisation avec plus de recours aux possessions spirituelles, aux percussions et à une multiplication des entités surnaturelles. Aujourd’hui, le culte à María Lionza entretient de multiples connexions avec d’autres cultes afro-américains comme le Palo Mayombe, l’Umbanda et le spiritisme dominicain. L’incessant partage d’éléments entre ces pratiques oblige à les considérer toutes en termes de continuité et à adopter à leur égard une perspective d’analyse comparatiste. Enfin, quant aux liens du culte avec d’autres religions, force est de constater que l’immense majorité des Maríalionzeros (les pratiquants du culte) s’affirme catholique, paradoxalement à l’opposition historique de l’Église catholique à la pratique de ce culte. Les églises évangélistes, dont le nombre au Venezuela ne cesse de s’accroître, critiquent elles aussi le culte avec véhémence, l’accusant souvent d’être une œuvre du diable. Le culte à María Lionza englobe des rituels de guérison, divination, purification et initiation, dans lesquels les épisodes de possession sont fréquents. La transe est plus ou moins violente selon l’esprit qui « descend » et la façon de « travailler » de chaque médium ou materia (matière). Parfois la possession pousse le médium jusqu’à la blessure ou l’automutilation (Ferrándiz 2004). Cela dit, nombre de croyants rendent hommage aux divinités de manière très calme et discrète, sans inclure des épisodes de transe. A part María Lionza, ce culte compte des centaines d’esprits, nommés aussi entidades (entités) ou hermanos (frères). Ceux-ci correspondent aussi bien à des divinités n’ayant jamais eu une existence terrestre qu’à des personnages célèbres ou aux âmes de défunts. Ces esprits sont regroupés en différentes cortes (cours) ou ensembles de divinités présentant une affinité ethnique, sociale ou professionnelle. On retrouve ainsi la Corte Africana (Cour Africaine), la Corte Malandra (Cour des Délinquants) ou la Corte Militar (Cour Militaire), parmi bien d’autres. Les cortes, quant à elles, sont ordonnées suivant une logique pyramidale : celles ayant moins de pureté sont placées en bas du panthéon tandis que les plus pures ou dites « avec le plus de lumière » sont placées en haut, aux côtés de María Lionza et du Christ. S’ils réalisent de bonnes actions, les esprits en position basse peuvent gravir l’échelle du panthéon. Ce vaste panthéon spirituel peut être interprété comme un dispositif de réappropriation voire de subversion de l’histoire. Il est par exemple fréquent que les esprits d’anciens chefs indiens ayant lutté contre les Espagnols pendant la Conquête (les célèbres caciques) descendent dans le corps des médiums et racontent, en témoins directs, les faits survenus il y a 500 ans, donnant leur avis sur la situation politique actuelle et offrant des conseils à l’assistance. Le culte relie ainsi passé, présent et futur, vie et mort, mémoire collective et expérience individuelle. Le culte à María Lionza ne constitue une pratique ni unifiée ni cohérente. Chaque groupe de culte, nommé centro (centre), organise les rituels à sa manière et donne sa propre version de l’origine de la déesse. Les rivalités entre les centros sont fréquentes et parfois violentes. Non seulement pluriel, le culte à María Lionza est aussi dynamique et changeant. En effet, les pratiquants le transforment incessamment en y incorporant de nouvelles divinités (tel que l’ex-président Chávez) et de nouvelles techniques rituelles à travers notamment les technologies de communication. María Lionza, quant à elle, est une déesse imaginée et représentée de façons très différentes, voire apparemment contradictoires : on peut la voir indienne, blanche, métisse ou, plus rarement, noire, selon les mythes, légendes ainsi que les études à caractère historique retraçant son origine. Cela dit, deux versions iconographiques et littéraires de María Lionza sont particulièrement répandues : d’une part, celle où elle apparaît comme une femme indienne nue chevauchant un tapir et, d’autre part, celle où elle est représentée comme une femme métisse ou blanche, habillée comme une femme du XVIIe ou XVIIIe siècle, portant une couronne sur la tête et tenant une rose sur la poitrine (Canals 2010). María Lionza apparaît souvent accompagnée de Felipe le Noir (El Negro Felipe) et de l’Indien Guacaipuro (El Indio Gucaipuro). L’ensemble de ces trois figures, nommées les Trois Puissances (las Tres Potencias), a, pour les croyants, un double sens : d’un côté, il est l’expression divine du métissage de la population vénézuélienne à travers les représentants de ce que les Vénézuéliens appellent « les trois races » (las tres razas, c’est-à-dire indien, blanc et noir) qui ont constitué le réseau ethnique du pays, et, d’un autre côté, il représente le paradigme d’entente et de réconciliation historique entre ces trois sources culturelles. Bref, les Trois Puissances sont, en même temps et pour les croyants, le reflet de ce qu’est le Venezuela et l’exemple de ce qu’il devrait être. Les images religieuses ont une grande importance dans le culte (Canals 2011) et donnent lieu à une industrie ésotérique qui a acquis une échelle planétaire. Lors des cérémonies, les croyants se réunissent autour de l’autel, nommé aussi portal (portail) où se trouvent surtout des statuettes de divinités. Hormis ces icônes, le culte serait inconcevable sans un grand nombre d’objets ou produits à forte composante sensitive et symbolique. Parmi ceux-là, il faut distinguer les substances « naturelles » (tabac, rhum, miel) de celles composées dans les perfumerías ou boutiques ésotériques. Dans ces boutiques s’amoncellent des savons, flacons de parfum, crèmes, encens et nombre d’autres éléments fabriqués à des fins très précises liés à la vie quotidienne et arborant des noms suggestifs: Amarra Hombres (lotion de séduction « attrape-hommes » adressée aux femmes) ou Tumba Negocios (produit pour faire échouer les affaires de ses concurrents commerciaux). Cette industrie ésotérique joue un rôle économique important au Venezuela et ailleurs. En fait, le culte à María Lionza est, pour nombre de croyants, un moyen de survie. Les rituels de guérison, divination ou initiation sont souvent payants, sans arriver pour autant aux prix exorbitants pratiqués dans d’autres religions comme la Santería. Par ailleurs, le culte à María Lionza est très présent sur le net, aussi bien sur des sites ésotériques que sur des réseaux sociaux. Cette présence sur Internet joue un rôle décisif dans l’expansion et la réinvention du culte. Récemment, certains groupes de culte ont initié des démarches pour intégrer le culte au Patrimoine Immatériel de l’UNESCO. Cette volonté de reconnaissance institutionnelle constitue un changement par rapport à la dynamique historique du culte qui a maintenu vis-à-vis du pouvoir et de l’officialisme une position majoritairement d’opposition, bien que nombre de représentants politiques et de militaires aient été, depuis les années 1950, pratiquants du culte en secret (Taussig 1997)
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Books on the topic "Noirs americains dans les affaires"

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Davis, George. Black life in corporate America: Swimming in the mainstream. New York: Doubleday, 1992.

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2

Black enterprise titans of the B.E. 100s: Black CEOs who redefined and conquered American business. New York: J. Wiley, 1999.

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3

Cantournet, Jean. Des affaires et des hommes: Noirs et blancs, commerçants et fonctionnaires dans l'Oubangui du début du siècle. Paris: Société d'ethnologie, 1991.

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4

Harris-Lopez, Trudier. Fiction and folklore: The novels of Toni Morrison. Knoxville: University of Tennessee Press, 1991.

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5

Thomas, H. Nigel. From folklore to fiction: A study of folk heroes and rituals in the Black American novel. New York: Greenwood Press, 1988.

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6

Zook, Kristal Brent. Color by Fox: The Fox network and the revolution in Black television. New York: Oxford University Press, 1999.

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7

Smith, Katharine Capshaw. Children's literature of the Harlem Renaissance. Bloomington, Ind: Indiana University Press, 2006.

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8

Children's literature of the Harlem Renaissance. Bloomington: Indiana University Press, 2004.

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9

American paradox: Young Black men. Durham, N.C: Carolina Academic Press, 2003.

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10

John, Gray. Blacks in film and television: A Pan-African bibliography of films, filmmakers, and performers. New York: Greenwood Press, 1990.

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