Academic literature on the topic 'Noms de personnes grecs'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the lists of relevant articles, books, theses, conference reports, and other scholarly sources on the topic 'Noms de personnes grecs.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Journal articles on the topic "Noms de personnes grecs"

1

Djokovic, Zorica. "Stanovnistvo istocne Makedonije u prvoj polovini XIV veka." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 40 (2003): 97–244. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0340097d.

Full text
Abstract:
(francuski) Le but du pr?sent ouvrage est de pr?senter la structure ethnique de la Mac?doine de l'Est dans la p?riode entre 1300 et 1341, et cela en se basant sur les donn?es anthroponymiques. Cette limitation dans le temps et l'espace a ?t? impos?e par les sources elles-m?me, qui sont les praktika (une sorte de registre des cadastres) des monast?res d'Athos, car ils sont les seuls ? avoir ?t? conserv?s. Les monast?res en question avaient eu des propri?t?s dans cette r?gion-l? et c'est uniquement pour cette p?riode qu'ils permettent de suivre continuellement la population dans certains villages. Il faudrait prendre en consid?ration le fait que dans les praktika ?taient recens?s uniquement les par?ques (paysans d?pendants) des monast?res d'Athos dans 65 villages, et non pas la population enti?re de cette r?gion. Parfois un monast?re dans un certain village n'avait qu'un ou deux m?nages de par?ques. Cela signifie que les r?sultats que nous avons obtenus ?taient relatifs. Deuxi?mement, toutes les agglom?rations ne sont pas couvertes par les sources pour toute la p?riode mentionn?e. Rares sont les cas o? pour un village il existe 3-4 praktika ce qui nous permet de suivre sa population dans 2-3 g?n?rations. Le cas le plus fr?quent est lorsqu'il n'existe qu'un seul praktika ce qui nous permet uniquement de constater dans quelle circonstance avait apparu le praktika, mais pas de suivre les changements ?ventuels dans la structure de la population. ?galement, il faudrait tenir compte du fait que c'est uniquement la population paysanne qui a ?t? recens?e. Dans la majorit? des praktika, les m?nages de par?ques sont d?crit en d?tail, quant aux par?ques eux-m?me, ils sont identifi?s de mani?re diff?rente, le plus souvent d'apr?s leur nom individuel ou d'apr?s une autre caract?ristique comme par exemple un surnom, une profession compl?mentaire une origine ethnique, lieu d'o? la personne ?tait venue, relation familiale par rapport ? une autre personne. Ces moyens d'identification nous pr?sentent des donn?es pr?cieuses sur la soci?t? rurale et sur les professions compl?mentaires exerc?es par les paysans (il s'agit le plus souvent de m?tiers et plus exactement le m?tier de cordonnier, de forgeron et de potelier), sur les rapports entre les gens, les conditions mat?rielles, les migrations, la langue utilis?e par la population... Afin d'?tudier la structure ethnique d'apr?s l'anthroponymie, il fallait avant tout classifier les pr?noms. En effectuant cela, nous nous sommes confront?s ? plusieurs probl?mes. Il arrive parfois que dans la litt?rature scientifique que nous avons consult?e, on donne des interpr?tations compl?tement diff?rentes des pr?noms que nous avons rencontr?s, c'est pourquoi, nous avons d? juger de nous-m?me assez souvent. Tout en nous basant avant tout sur l'?tymologie mais ?galement sur l'observation de la situation sur le terrain. Par exemple si pour un pr?nom ou un mot on suppose qu'il est d'origine slave, nous nous sommes efforc?s de d?finir si ce nom apparaissait plus souvent dans un milieu o? il y a des Slaves. Les listes des noms et surnoms sont aussi donn?es afin que nos conclusions puissent ?tre contr?l?es. Certains des probl?mes sont originaires des recenseurs eux-m?mes. Ils ?taient Grecs et certains d'entre-eux ne savaient pas transcrire correctement les pr?noms et les surnoms non-grecs. Cela est particuli?rement valable pour les sons qui n'existent pas dans la langue grecque. Parfois ils hell?nisent les pr?noms non-grecs et leur donnent un sens qu'ils n'avaient pas. Par exemple: le surnom slave Stur (St?nr?z) est transcris d'une mani?re incorrecte en tant que surnom grec Zgur (Sgsyr?z). Derri?re ces formes aussi modifi?es il est impossible de reconna?tre la forme v?ritable sauf s'il existe des s?ries praktika qui permettent que les donn?es soient compar?es. Pourtant, la classification m?me des pr?noms ne suffit pas pour aboutir ? des conclusions fiables sur l'appartenance ethnique de leur porteurs. N?anmoins, le plus grand nombre repr?sentent les pr?noms du calendrier qui n'indiquent rien sur l'appartenance ethnique, ? moins que des variations populaires de ces pr?noms ne soient utilis?es (par ex. Joanakis ou Joanikije au lieu de Jovan chez les Grecs ou Ivan, Ivanko Janko chez les Slaves) et ceci est extr?mement rare. Les plus pr?cieux sont les pr?noms populaires. Mais, l? aussi il faut ?tre tr?s vigilant. En g?n?ral, si quelqu'un porte un pr?nom slave, il est Slave. Cependant, il arrivait souvent que ce pr?nom devienne un nom patronymique et soit ainsi transmis ? travers les g?n?rations, quant ? la famille, elle s'hell?nisait entre-temps. Nous sommes arriv?s ? la conclusion que l? o? les noms individuels apparaissent au moins dans deux g?n?rations, il s'agissait s?rement des Slaves pop-hell?nis?s (qui parlent le slave). Au cas o? les descendants des Slaves portent des noms individuels grecs, nous avons de bonnes raisons ? douter qu'il s'agisse d'une hell?nisation (qui est du moins entam?e, ce qui ne veut pas dire qu'elle ait aboutit ? une fin). Les surnoms sont nombreux et vari?s. Ils peuvent nous ?tre d'une grande utilit? dans la d?termination de l'appartenance ethnique de quelqu'un. Vu que la majorit? de par?ques porte des pr?noms eccl?siastiques c'est-?-dire neutres, comme nous les avons nomm?s pour les besoins de notre ouvrage, les surnoms sont particuli?rement pr?cieux lorsque nous rencontrons ce genre de situations. N?anmoins, l'existence de surnoms slaves nous montre que dans le milieu o? ils apparaissent, la langue slave est comprise et parl?e, alors que le grec nous indique que le grec est compris et parl?. En principe, celui qui porte un surnom slave est le plus souvent Slave. Cependant, l'existence de ce genre de surnom n'exclut pas Fhell?nisation. Il existe une autre difficult? qui est que les membres d'un groupe ethnique peuvent avoir un surnom dans la langue de l'autre peuple avec lequel le plus souvent ils cohabitent. Il existe plusieurs cas o? les Slaves pour lesquels nous sommes certains qu'ils sont Slaves, car les membres de leur famille portent des noms individuels slaves ont un surnom grec. L'analyse a montr? que ce genre de cas se rencontrent dans les r?gions bilingues o? ce surnom avait ?t? compr?hensible aux membres des deux ethnies. C'est pourquoi, les surnoms, en tant qu'indices de l'appartenance ethnique ne peuvent en aucun cas ?tre utilis?s individuellement, mais uniquement en combinaison avec d'autres donn?es. Les r?sultats auquels nous sommes parvenus sont les suivants. La Mac?doine de l'est ?tait au XIVe si?cle une r?gion encore ethniquement h?t?rog?ne ce qui ne fait que confirmer les r?sultats des autres chercheurs. Pourtant, la question de la structure ethnique est r?duite ? la question des relations entre Grecs et Slaves. Les autres peuples qui se rencontrent, et qui sont les Latins, les Valaches, divers peuples turcs, les Albanais, les Arm?niens les Rom et m?me un Juif et une famille hongroise, ils forment tous une minorit? g?n?ralement d?j? assimil?e. Dans la moyenne, les pr?noms et surnoms slaves se manifestent dans un peu plus d'un quart de familles recens?es. Cela ne veut pas dire que les Slaves pop-hell?nis?s repr?sentaient r?ellement une partie si importante de la population de l'est de la Mac?doine, car leur pr?noms et surnoms se transformaient parfois en nom de famille et ?taient ainsi conserv?s m?me apr?s que la famille se soit hell?nis?e. D'autre part il faut prendre en consid?ration qu'un certain nombre de Slaves se dissimulait derri?re des pr?noms eccl?siastiques et c'est pourquoi il est rest? pour nous imperceptible. Donc, les donn?es statistiques pr?sentent uniquement une image relative de la r?alit?, mais elles sont donn?es dans l'ouvrage car il a ?t? n?cessaire de donner un certain rapport num?rique de la pr?sence des Grecs et des Slaves. La pr?sence de la population slave dans la Mac?doine de l'Est n'est pas proportionn?e. On observe plusieurs r?gions qui se distinguent par la pr?sence des Slaves ? leur sein, c'est pourquoi nous les avons analys?s individuellement. La Chalcidique est une r?gion o? le nombre de Slaves, dans la p?riode depuis le d?but du XIVe si?cle jusqu'en 1341 ?tait consid?rable. En moyenne, leurs pr?noms et surnoms se manifestent dans environ 25% de m?nages ce qui, statistiquement parlant, nous indique que les Slaves repr?sentait un quart de la Chalcidique, qu'il s'agisse des Slaves qui avait encore gard? leurs caract?ristiques ethniques, ou qu'il s'agisse de ceux qui se sont hell?nis?s mais qui ont gard? leur noms individuels ou leurs surnoms slaves en tant que noms de famille. Lorsque l'on effectue une coupe dans le temps de la pr?sence des pr?noms et surnoms slaves, il est ?vident que le nombre de Slaves en Chalcidiques diminue sans cesse. De 35,98% combien il y en avait au d?but du XIVe si?cle, leur nombre jusqu'aux ann?es vingt avait diminu? et repr?sentait 20,81% et le d?croissement continuait jusqu'? 1341 lorsqu'ils apparaissent dans uniquement 13,69% de m?nages. Dans cette m?me p?riode, on distingue une hausse du nombre de m?nages portant des pr?noms grecs, ainsi qu'une baisse de m?nages portant des pr?noms mixtes c'est-?-dire avec des pr?noms populaires d'au moins deux peuples, dans ce cas-l?, le plus souvent grec et slave. Nous pensons que dans ce ph?nom?ne se cache l'explication de la diminution du nombre de familles portant des pr?noms slaves. N?anmoins, comme les mariages mixtes ?tait une chose fr?quente, avec le temps, dans ces couples dominait l'influence grecque ce qui est tout ? fait compr?hensible, ?tant donn? que les Grecs, comme on peut le remarquer sur le tableau 3, d?j? au d?but du si?cle ?taient dominants. En plus du fait que l'on remarque que le nombre de Slaves est en baisse continue, on remarque que leur pr?sence n'?tait pas partout la m?me. En relation avec cela, il existe de nombreuses diff?rences entre la Chalcidique de l'Ouest et de l'Est. En g?n?ral, pour la Chalcidique de l'Ouest on pourrait dire que le nombre de Slaves, plus exactement, les familles portant des pr?noms et surnoms slaves est petit. Statistiquement observant, ce nombre s'?l?ve ? environ 13% et reste stable pour toute la p?riode de 1301 jusqu'? 1341. Cependant, dans certains endroits comme par exemple Epan?-Bolbos Skyloch?rion, N?akitou ainsi que d'autres endroits, ils n'apparaissent pas du tout. M?me dans les endroits o? il y en avait dans un nombre consid?rablement plus grand que la moyenne, comme c'est le cas avec Sainte-Euph?mie, nous sommes les t?moins de leur disparition ? la suite de l'hell?nisation compl?t?e. Deux autres faits t?moignent de la fin du processus d'hell?nisation des Slaves dans la Chalcidique de l'Ouest. Le premier fait est que dans la majorit? des cas o? nous rencontrons des pr?noms ou surnoms slaves, ils apparaissent en fonction de noms fig?s et sont port?s par des personnes aux pr?noms eccl?siastiques voire m?me grecs alors qu'il y a tr?s peu de noms individuels slaves. Deuxi?mement, l? o? les pr?noms slaves apparaissent comme noms individuels, ils sont le plus souvent port?s par des immigrants, dont certains d'entre eux sont devenus les gendres dans certaines familles grecques autochtones. En Chalcidique de l'Est il y avait consid?rablemet plus de Slaves que dans la partie ouest de la p?ninsule. En moyenne, les pr?noms slaves apparaissent dans un tiers de m?nages. Pourtant si nous observons chronologiquement les sources, nous nous apercevons que le nombre de Slaves est en baisse continue. De 38,29% combien ils ?taient au d?but du si?cle, leur nombre baisse ? environ 30% dans les ann?es vingt du XIVe si?cle pour ensuite baisser ? seulement 14,49% en 1338-1341. Ce dernier r?sultat est ? prendre avec r?serve. N?anmoins pour les ?tapes pr?c?dentes nous disposons de dix fois plus de donn?es que pour la derni?re ?tape. C'est pourquoi nous estimons que le r?sultat obtenu est, au moins partiellement, la cons?quence de la nature fragmentaire des sources, et qu'il y aurait pu ?tre beaucoup plus de Slaves. Ici, les Slaves ?taient encore rest?s en tant que groupe ethnique solide. L'hell?nisation ?tait ici aussi entam?e, mais elle n'a pas ?t? compl?t?e. Ce qui caract?rise en g?n?ral cette r?gion, c'est l'importante mixit? ethnique de la population, la coexistence et le bilinguisme. Cependant, la situation varie d'un village ? un autre. Il y en a de ceux o? les pr?noms et les surnoms slaves se manifestent uniquement en fonction de patronymes, alors qu'aucun membre de la communaut? ne porte un pr?nom slave en tant que nom individuel ce qui t?moigne du fait que les Slaves, autrefois, dans un pass? pas si lointain, ?taient pr?sents, l?, mais qu'une hell?nisation a ?t? effectu?e comme c'est le cas avec Hi?rissos et Gomatou. Il y en a aussi o? le nombre de Slaves est important mais qui dimunue avec le temps ce qui indique que l'hell?nisation est en cours comme ? Kozla. Certains villages indiquent un haut pourcentage de population slave comme Gradista, Simeon et S?lada, mais on y rencontre pourtant des traces d'hell?nisation. Dans d'autre, n?anmoins le nombre de Slaves augmente: ? Kontogrikon et ? M?tallin.Ce qui peut aussi ?tre observ? c'est qu'une si grande pr?sence de Slaves pourrait ?tre expliqu?e non seulement par leur r?sistance vis-?-vis de l'hell?nisation mais aussi par leur migrations r?centes dans ces r?gions-l?, ce qui signifie qu'ici nous ne rencontrons pas uniquement les descendants des Anciens Slaves, c'est-?-dire ceux qui ?taient venus dans ces r?gions d?j? au septi?me si?cle, mais aussi que la communaut? ethnique slave ?tait renforc?e avec l'arriv?e des nouveaux Slaves. Dans la r?gion de Strymon, on distingue plusieurs r?gions caract?ristiques. La premi?re r?gion est la vall?e de Strimona pour laquelle on pourrait dire la m?me chose que pour la Chalcidique de l'Ouest, c'est pour cela que nous ne r?p?terons pas les r?sultats ? cet endroit-l?. La deuxi?me est la r?gion montagneuse de Kerdylion et Bolb?. Malheureusement, pour cette r?gion nous disposons uniquement de donn?es pour les dix premi?res ann?es du XIVe si?cle. En g?n?ral, on pourrait dire pour elle que le nombre de Slaves est ?lev?. Leur pr?sence correspond ? celle de la Chalcidique de l'Est, elle est m?me quelque peu plus importante. Malgr? l'hell?nisation qui s'?coule en toute ?vidence, leur nombre est relativement stable. Le fait qu'en 1318-1321, les pr?noms populaires slaves se rencontrent seuls dans plus de 20% de m?nages nous indique qu'au moins un cinqui?me de la population devait ?tre slave et pop-hell?nis?e. Le nombre de mariages mixtes est important. On parle les deux langues, le slave et le grec. Cependant, ceci est valable uniquement pour une p?riode de vingt ans, de 1301 jusqu'? 1321. Malheureusement, les sources ne nous permettent pas de suivre ce qui se passait plus tard avec la population de ces villages-l?. La troisi?me province est la r?gion du mont de Pang?e qui est caract?ris?e par une forte pr?sence de Slaves. Ils repr?sentaient presque la moiti? de la population de cette r?gion. Dans certains villages il y en avait m?me beaucoup plus par exemple ? Boriskos en 1316, dans certains villages ils ?taient plus nombreux que les pr?noms purement grecs comme dans le m?toque de Saint-Pent?l??im?n et Ob?los. Les pr?noms slaves se rencontrent comme noms individuels, c'est-?-dire pr?noms vivants, et non pas comme des mots slaves fig?s en fonction des noms patronymiques. Sur l'existence de l'?l?ment slave nous parlent non seulement les nombreux cas que les descendants des Slaves portent des pr?noms slaves mais il y a aussi de nombreux cas o? les enfants issus de mariages mixtes gr?co-slave portent ?galement des pr?noms slaves. Ceci d?montre que dans ces mariages-l? il n'y avait pas la domination de l'?l?ment grec, ou du moins pas tout de suite. Nous sommes les t?moins que les enfants de parents aux pr?noms grecs portent parfois des pr?noms slaves. Ceci pourrait signifier que m?me l? o? l'on donnait des pr?noms grecs aux Slaves, ces derniers n'ont pas ?t? automatiquement hell?nis?s, mais vu qu'entour?s d'une importante population slave, ils r?ussissaient ? conserver encore leurs caract?ristiques ethniques ainsi que le fait qu'ils ?taient hell?nis?s tr?s difficilement et lentement. Ils s'?taient maintenus ici en tant qu'?l?ment ethnique extr?mement fort et ils n'ont pas ?t? hell?nis?s jusqu'? l'arriv?e des Turques. Les exemples de villages de Dobrobikeia et Ob?los le montrent tr?s bien, ces villages ?taient d?plac?s ? la suite d'attaques turques dans la p?riode entre 1316 jusqu'? 1341. En g?n?ral, on pourrait y ajouter encore que la population slave s'est beaucoup mieux maintenue dans les r?gions montagneuses que dans les r?gions maritimes et dans les plaines. On pourrait dire que la Mac?doine de l'Est ?tait une r?gion interm?diaire entre les provinces slaves du nord et les provinces grecques du sud. Il est imp?ratif d'ajouter que la mixit? de la population est grande et que tout partage en population purement grecque ou purement slave pourrait ?tre artificiel. On peut facilement remarquer dans les sources que les habitants de certaines r?gions et agglom?rations comprenaient les deux langues et que le nombre de mariages mixtes ?tait consid?rable. Il y avait des familles qui contenaient voire m?me trois ?l?ments ethniques. Le bilinguisme et la coexistence ?taient chose commune c'est pourquoi nous pensons qu'ils repr?sentent m?me le principal facteur d'hell?nisation ?tant donn? qu'avec le temps, il y a eu une domination de l'?l?ment ethnique grec m?me dans les milieux caract?ris?s par une forte pr?sence des Slaves.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Bowsky, Martha W. Baldwin. "The Cretan Naming System - (A.) Paluchowski La Coloration social des noms de personnes grecs sur l'exemple des notables crétois sous le Haut Empire. (Antiquitas 30.) Pp. 434. Wroclaw: Wydawnictwa Uniwersytetu Wroclawskiego, 2008. Paper. ISBN: 978-83-229-2984-1." Classical Review 60, no. 2 (September 28, 2010): 505–7. http://dx.doi.org/10.1017/s0009840x10000831.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Delattre, Alain. "Noms rares et noms fantômes dans trois ostraca grecs d’Éléphantine." Chronique d'Egypte 85, no. 169-170 (January 2010): 363–73. http://dx.doi.org/10.1484/j.cde.1.102045.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Gildemyn, Marie-Pascale. "L’Abécédaire des (noms de) personnes." Ligeia N° 153-156, no. 1 (2017): 163. http://dx.doi.org/10.3917/lige.153.0163.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Piégay, Nathalie. "Noms de personnes, noms de personnages : récit et émancipation." Littérature N° 203, no. 3 (August 6, 2021): 8–25. http://dx.doi.org/10.3917/litt.203.0008.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Lambert, Frédéric. "Les noms des langues chez les Grecs." Histoire Épistémologie Langage 31, no. 2 (2009): 15–27. http://dx.doi.org/10.3406/hel.2009.3117.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Sandoz, Claude. "Les noms grecs de la forme (résumé)." Cahiers du Centre de Linguistique et des Sciences du Langage, no. 19 (April 9, 2022): 1–3. http://dx.doi.org/10.26034/la.cdclsl.2005.1553.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Fruscione, Daniela. "Noms de lieux, noms de personnes dans les chartes lombardes." Nouvelle revue d'onomastique 59, no. 1 (2017): 179–86. http://dx.doi.org/10.3406/onoma.2017.1883.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Simbananiye, Léandre. "Les noms de personnes au Burundi." Hors-thème 29, no. 1 (November 18, 2005): 167–81. http://dx.doi.org/10.7202/011745ar.

Full text
Abstract:
Résumé Le système de nomination des personnes au Burundi participe à la construction et à l’explication des rapports sociaux qui lient les personnes entre elles et avec l’ensemble du monde environnant. Les noms burundais reflètent les enjeux qui structurent le champ social. L’acte de nomination est une opération d’interlocution où sont impliquées trois instances représentées respectivement par la personne qui nomme, la personne que l’on nomme et la personne à qui le message est destiné. La nomination est à l’oeuvre dans la constitution de l’identité et dans l’ensemble de la dynamique sociale. Les noms de personnes sont investis de fonctions et de sens qui permettent de comprendre la conception que les Burundais ont de la personne et du monde.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Vanzieleghem, Éric, François Prin, and Irène Passeron. "Noms propres de personnes, lettre A." Recherches sur Diderot et sur l'Encyclopédie, Index (October 14, 2010): 61–68. http://dx.doi.org/10.4000/rde.4682.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
More sources

Dissertations / Theses on the topic "Noms de personnes grecs"

1

Fragiadakis, Charilaos G. "Die attischen Sklavennamen : von der spätarchaischen Epoche bis in die römische Kaiserzeit : eine historische und soziologische Untersuchung /." Athen : [Selbstverl.], 1988. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb357810992.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Schulte, Claudia. "Die Grammateis von Ephesos : Schreiberamt und Sozialstruktur in einer Provinzhauptstadt des römischen Kaiserreiches /." Stuttgart : F. Steiner, 1994. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb35647382m.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Bianco, Maria. "Les Phéniciens et les Grecs en Méditerranée : étude de leurs relations à travers les témoignages épigraphiques (Ve siècle avant - Ier siècle après J.-C.)." Thesis, Montpellier 3, 2017. http://www.theses.fr/2017MON30011.

Full text
Abstract:
L’existence de textes rédigés à la fois en caractères grecs et phéniciens, provenant du pourtour de la Méditerranée, notamment pendant la deuxième moitié du Ier millénaire av. J.-C., a fait naître l’hypothèse d’un bilinguisme gréco-phénicien.En nous appuyant sur un corpus épigraphique exhaustif, qui dépasse même les limites d’un recueil des textes rédigés en deux langues, nous avons exploré les conditions de mise en contact et d’interaction qui ont généré diverses formes de multiculturalisme, dont témoignent les inscriptions. En partant de la microstructure des énoncés, des mots, de la phonologie et de la morphologie des textes, sans négliger l’étude matérielle des supports, qui contiennent et intègrent les textes, cette thèse analyse les conditions, modalités et effets de la cohabitation entre le phénicien et le grec, entre les Phéniciens et les Grecs. La réalité du bilinguisme gréco-phénicien s’est ainsi révélée plus complexe qu’on n’imaginait, si bien que ce label a montré ses limites et son inaptitude à cerner, caractériser et comprendre des phénomènes variés et modulés, qu’une approche dynamique, tenant compte des cas particuliers, permet de mieux saisir. D’un bout à l’autre de la Méditerranée, Grecs et Phéniciens ont échangé en termes de pratiques langagières, onomastiques et rituelles. L’étude des anthroponymes, ainsi que de la médiation opérée par les divinités, spécialement visible dans les dédicaces bilingues, qui, par le truchement du mécanisme de l’interpretatio, associent un dieu d’un panthéon et un dieu de l’autre, se sont avérées des portes d’accès privilégiées pour l’enquête sur les contacts entre ces deux peuples, en nous introduisant dans les mailles profondes des réseaux de leurs relations
The existence of texts written both in Greek and Phoenician characters, coming from all around the Mediterranean, and particularly during the second half of first millennium B.C., gave birth to the hypothesis of a Greek-Phoenician bilingualism.Working on an exhaustive epigraphic corpus, which goes even beyond the limits of a collection of texts written in the two languages, this research explores the many contexts which lead to contacts and interactions generating several forms of multiculturalism, as witnessed by inscriptions. Going through the microstructure of utterance, phonetics and texts morphology, and taking into account supports material analysis, which completes texts comprehension, this thesis analyzes conditions, modalities and effects of the cohabitation between Greeks and Phoenicians, and between Greek and Phoenician languages and writing systems. The Greek-Phoenician bilingualism appears to be more complex than we could imagine, so much that this label has showed its limits and its inaptitude to pinpoint, characterize and understand phenomena that are manifold and modulated, which a dynamic approach, taking into account specific case-studies, allows us to better seize.From each side of the Mediterranean Sea, Greeks and Phoenicians exchanged in terms of language practices, onomastic and rituals. The study of anthroponyms, as well as of divinities mediation (that we can observe especially in bilingual inscriptions), which matches a god from the pantheon to a god of the other, through the mechanism of interpretatio, have provided a privileged access to the contacts between these two people and to the deep links of their relationships networks
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Meimaris, Yiannis E. "Sacred names, saints, martyrs and church officials in the Greek inscriptions and papyri pertaining to the Christian church of Palestine." Athens, Greece : Paris : Research Centre for Greek and Roman Antiquity, National Hellenic Research Foundation ; Diffusion De Boccard, 1986. http://catalog.hathitrust.org/api/volumes/oclc/18374549.html.

Full text
Abstract:
"Based on the thesis submitted by the author for the degree 'Doctor of Philosophy' to the Senate of Hebrew University, Jerusalem, in 1976"--P. viii.
Includes bibliographical references (p. 265-275) and indexes.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Weiss, Emmanuel. "Les parlers grecs anciens d'Italie du Sud : de Rhégion à Tarente, à partir des témoignages épigraphiques." Nancy 2, 2005. http://www.theses.fr/2005NAN21030.

Full text
Abstract:
La documentation épigraphique du sud de la Grande-Grèce avant la conquête romaine est très dispersée dans l'espace et le temps. Des textes complexes comme les Tables d'Héraclée ou les Tablettes de Locres voisinent avec des inscriptions fragmentaires rédigées, pour les plus anciennes, en alphabet épichorique ou, après 400 av. J. -C. , en alphabet ionien. L'examen des témoignages épigraphiques montre une grande proximité linguistique entre les différentes cités, en dépit de la diversité de leurs métropoles. On est donc fondé à parler, en tout cas après 400 av. J. -C. , d'un unique dialecte sud-italique relevant de la Doris severior, ayant subi l'influence du dorien de Sicile puis de la koinè. Seule Rhégion, de fondation chalcidienne, se détache de ce continuum linguistique et relève du domaine ionien. La langue des Tables d'Héraclée présente de son côté de nombreuses particularités, phénomènes d'hyperdialectisme ou créations analogiques
The epigraphical documentation of southern Magna Graecia before the Roman conquest is very scattered in space and time, including complex texts, such as the Tables of Heraclea and the Tablets of Epizephyrian Locri and fragmentary inscriptions written, for the oldest, in epichoric alphabets and, after 400 B. C. , in the Ionic alphabet. The study of epigraphical testimonies shows a close linguistic similarity between the different cities, in spite of the diversity of their metropoleis. Therefore we can talk about a single southern-italic dialect (in any case after 400 B. C. ), belonging to the Doris severior, which was influenced by the Sicilian Doris and then by the koine. Only Rhegion, founded by the Chalcidians, stands out from this linguistic continuum and belongs to the Ionic dialect. The speech of the Tables of Heraclea has many peculiarities, results of hyperdialectism or analogical creations
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Chareille, Pascal. "Genèse médiévale de l'anthroponymie moderne. histoire et statistiques : quelles méthodes quantitatives pour une étude de l'anthroponymie médiévale ? /." Tours : Université de Tours, 2008. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb41400299r.

Full text
Abstract:
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Histoire--Paris 1, 2003. Titre de soutenance : Le nom : histoire et statistiques : quelles méthodes quantitatives pour une étude de l'anthroponymie médiévale ?
Avant-titre : "Études d'anthroponymie médiévale" Bibliogr. p. 223-296. Notes bibliogr. Préface en anglais.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Lochner, von Hüttenbach Fritz. "Die römerzeitlichen Personennamen der Steiermark : Herkunft und Auswertung /." Graz : Leykam, 1989. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb35572640r.

Full text
Abstract:
Texte remanié de: Habilitationsschrift--Philosophische Fakultät--Graz--Karl-Franzens-Universität, 1968. Titre de soutenance : Die Personennamen auf den römerzeitlichen Inschriftsteinen der Steiermark : ein Beitrag zur ostalpinen Namenkunde.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Gildemyn, Marie-Pascale. "Marcel Broodthaers (1924-1976) : les (noms de) personnes." Rennes 2, 2004. http://www.theses.fr/2004REN20065.

Full text
Abstract:
Cette thèse se concentre sur l'oeuvre de Marcel Broodthaers (1924-1976), en tant que poète, journaliste et artiste. Elle est axée sur les (noms de) personnes auxquel(le)s il fait référence dans son travail, tant par le mot et le texte, que par l'image et la reproduction, et ce dès qu'il rend des oeuvres publiques. On y trouve d'abord une analyse générale de l'oeuvre. Ensuite, l'essentiel du travail de recherche, sous la forme d'un Abécédaire. Il comprend les dossiers, par ordre alphabétique, de toutes les personnes auxquelles Marcel Broodthaers fait référence. Pour chaque dossier, on trouve par ordre chronologique le type de référence et son descriptif. Si nécessaire, des notes aident à la bonne compréhension de la référence qui est faite. L'Abécédaire est suivi par son analyse. Les questions qui y sont posées, se concentrent sur les références à des (noms de) personnes. Elles concernent: les catégories, le moment, le nombre et la fréquence, l'usage, le moyen et la façon, les thèmes. Enfin, “référence à” versus “influence de” s'interroge sur le rapport, dans l'oeuvre de Marcel Broodthaers, entre ces deux données. En début de thèse, on trouvera les remerciements, la table des matières et l'introduction. En fin de thèse, la conclusion et la bibliographie
This Thesis focuses on the work that Marcel Broodthaers (1924-1976) produced as a poet, as a journalist and as an artist. It is centered on the (names of the) persons he referred to in his work, both by means of word or text, and by image or reproduction, and this from the moment he made the works public. A general analysis of the work precedes the essential part of the research, which has been given the form of an alphabet book. The dossiers of all the persons referred to by Marcel Broodthaers are in alphabetical order. Each dossier contains the various types of references in chronological order, accompanied by a description. If needed, notes have been added for a better understanding. This part is followed by an analysis of the alphabet book. The questions raised focus on the references to the (names of the) persons, and include: the categories, the moment, the number and the frequency, the use, the means and the manner, the themes. Finally, we investigate to which degree the various references involve any “influence of” in the work of Marcel Broodthaers. The acknowledgements, the table of contents and the introduction can be found in the beginning of the Thesis. The conclusions and the bibliography are at the end
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Di, Vito Roberto A. "Studies in third millennium Sumerian and Akkadian personal names : the designation and conception of the personal god /." Roma : Pontificio istituto biblico, 1993. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb35587004n.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Burban, Véronique. "La mémoire des visages et des noms de personnes." Rennes 2, 2000. http://www.theses.fr/2000REN20014.

Full text
Abstract:
L'analyse bibliographique sur la reconnaissance des visages met en évidence un domaine de recherche largement documenté. L'augmentation des travaux observée à partir des années 1970 rend compte de l'intérêt plus grand pour la mémoire non verbale après les démonstrations de la supériorité de la mémoire picturale sur la mémoire verbale (Ellis, 1975). Le visage est considéré, par certains chercheurs, comme le prototype des stimulus visuels non verbaux complexes ; il appartient à une classe d'objets d'une grande homogénéité et d'une grande complexité structurale (Bruyer, 1987). Ce travail a pour objectif de montrer les similarités et les différences entre la mémoire des visages et des noms familiers et celle des objets et des mots. Nous avons testé l'hypothèse de double codage (Paivio, 1969) pour les visages. Les expériences comparant des visages et des noms de personnes célèbres dans des tâches de mémoire utilisaient différentes techniques pour tester le double codage pour les visages. Les résultats des différentes expériences indiquent des performances équivalentes tant en rappel qu'en reconnaissance pour ces deux informations. Ces effets diffèrent de ceux généralement observés dans les expériences qui utilisent des dessins d'objets et de mots Différentes explications ont été testées. Les données vont dans le sens d'un double codage pour les visages et d'un double codage pour les noms. Le noeud sur l'identité de la personne postulé dans les modèles de traitement des visages (Bruce et Young, 1986 ; Valentine, Brennen et Brédart, 1996) est commun aux visages et aux noms. Ce système qui joue le rôle d'interface pour la récupération des informations apparaît central pour rendre compte des effets observés. Nos données indiquent par ailleurs que le lexique des noms de personnes est composite pour certains visages ; plusieurs noms peuvent être appropriés pour les coder verbalement (nom et/ou prénom d'acteur, nom de personnage)
Literature on face recognition is very well-documented. Researches have increased since 1970's pointing out interest more important in apparent superiority of pictorial over verbal memory(Ellis,1975). Psychologists see face as the prototype of complex non verbal stimulus ; facesbelong toa large class of objects that are homogeneous and very complex structurally (Bruyer,1987). The aim of this work is to bring to the fore similarities and differences between familiar faces and names memory and pictures and words memory. We offer s a more in depth approach of the paradigm of dual coding (Paivio, 1969) applied to faces and names. Different techniques were used to test dual coding for faces. Results of studies display equivalent performances in recalling tasks and recognition tasks for faces and names This effects are different from those genraly observed with objects and words. Several explications were tested. Results are consistent with the hypothesis of dual coding for faces and for names. Person identity nodes proposed in models of face processing (Bruce et Young, 1986 ;Valentine, Brennen et Brédart, 1996) is common to the two types of information ; this system seems central to explain the effects. Moreover, lexicon for people's names is composite for somes faces, several names were adapted to code verbally it (actor's name and/or forename, name of character)
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
More sources

Books on the topic "Noms de personnes grecs"

1

La coloration sociale des noms de personnes Grecs sur l'exemple des notable crétois sous le Haut Empire. Wrocław: Wydawn. Uniwesytetu Wrocławskiego, 2008.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Alberich, Joan. La transcripció dels noms propis grecs i llatins. Barcelona: Enciclopèdia Catalana, 1993.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Les noms de personnes chez les Somali. Paris, France: L'Harmattan, 2004.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Les noms de personnes chez les baluba. Lubumbashi: Éditions du CRESA-ISES & Éditions Mundula, 2007.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Noms de lieux et de personnes du Léon. Saint-Thonan: Embann Kêredol, 2010.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Guide de féminisation des noms communs de personnes. [Saint-Laurent, Québec]: Fides, 2005.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Ploneis, Jean-Marie. L' identité bretonne: L'origine des noms de personnes. Paris: Ed. du Félin, 1996.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Berger, Roger. Répertoire des noms de personnes artésiens en 1569. Hesdin: Centre d'études généalogiques du Pays des 7 vallées, 2000.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Camps, Christian. Cartulaire de Gellone: Tables des noms de personnes et des noms de lieux. Montpellier: Editions P. Clerc, 1994.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Tremblay, Marie-Évelyne. Guide des prénoms uniques et rares: Plus de 1400 prénoms. Montréal, Canada: Édimag, 2013.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
More sources

Book chapters on the topic "Noms de personnes grecs"

1

"Index des noms de personnes." In Parenté et société dans le monde grec, 405–10. Ausonius Éditions, 2006. http://dx.doi.org/10.4000/books.ausonius.9509.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Béraud, Marianne. "Au nom d’une femme (CIL, XIII, 169 et 343) : l’idionyme Andere(sse)." In L’identification des personnes dans les mondes grecs, 111–21. Éditions de la Sorbonne, 2019. http://dx.doi.org/10.4000/books.psorbonne.54853.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

"NOMS DE PERSONNES." In Etudes d'histoire biblique, 221–26. Peeters Publishers, 2022. http://dx.doi.org/10.2307/j.ctv2k057cp.15.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

"Index des noms grecs." In Le Corps Respirant, 297–98. BRILL, 1996. http://dx.doi.org/10.1163/9789004377387_015.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

"5 Noms de personnes." In Les toponymes et les anthroponymes d’origine arabe dans la Péninsule Ibérique, 91–108. De Gruyter, 2022. http://dx.doi.org/10.1515/9783110729634-010.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Dondin-Payre, Monique. "L’anthroponymie de l’empire romain." In Noms de lieux, noms de personnes. Publications des Archives nationales, 2018. http://dx.doi.org/10.4000/books.pan.1004.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Martin, Marcienne. "De la toponymie amérindienne québécoise." In Noms de lieux, noms de personnes. Publications des Archives nationales, 2018. http://dx.doi.org/10.4000/books.pan.1006.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Rémy, Bernard. "Épigraphie et onomastique." In Noms de lieux, noms de personnes. Publications des Archives nationales, 2018. http://dx.doi.org/10.4000/books.pan.1008.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Ruault, Ludwig. "Les noms des premiers musulmans." In Noms de lieux, noms de personnes. Publications des Archives nationales, 2018. http://dx.doi.org/10.4000/books.pan.1010.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Fruscione, Daniela. "Noms de lieux, noms de personnes dans les chartes lombardes." In Noms de lieux, noms de personnes. Publications des Archives nationales, 2018. http://dx.doi.org/10.4000/books.pan.1012.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography