Academic literature on the topic 'Non-réintégration'

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Journal articles on the topic "Non-réintégration"

1

Thifault, Marie-Claude. "« C’est une impossibilité scientifique et matérielle que de garantir l’avenir1 ». Idiots, aliénés incurables ou déments séniles en congé d’essai, fin XIXe début XXe siècle2." Globe 16, no. 2 (May 27, 2014): 75–94. http://dx.doi.org/10.7202/1025214ar.

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Abstract:
L’Hôpital Saint-Jean-de-Dieu a été, au tournant du xxe siècle, le plus grand asile au Canada et par surcroît une référence reconnue internationalement pour l’expertise thérapeutique de ses propriétaires et de ses aliénistes. Le dépouillement de plus de 8 000 dossiers médicaux de cette institution psychiatrique a permis de mettre au jour une précieuse correspondance entre les membres de la famille (requérants) des patients et les surintendants médicaux au sujet des congés d’essai. Ces sources de première main révèlent les allées et venues des patients entre l’hôpital et le foyer familial. Elles dévoilent également les appréhensions du futur imputables au retour définitif du patient. Cette étude sur l’histoire culturelle des sensibilités explore les dimensions privée et intime, sous l’angle du « risque », concernant l’anticipation d’un quelconque malheur générée par la réintégration en milieu familial d’un idiot, d’un aliéné incurable ou d’un dément sénile. Un intérêt particulier est porté sur les discours autour de « l’événement-non-encore-survenu », qui motive les requérants à refuser la mise en liberté définitive de leur malade interné à l’hôpital psychiatrique.
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2

Lovell, Anne M., and Sandrine Aubisson. "« Fuitage pharmaceutique », usages détournés et reconfigurations d’un médicament de substitution aux opiacés." 7, no. 1 (January 9, 2009): 297–355. http://dx.doi.org/10.7202/019625ar.

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Abstract:
RésuméPar l’intermédiaire du « fuitage pharmaceutique » (pharmaceutical leakage) de la sphère médicale jusqu’aux mondes de la drogue, l’aspect ambivalent des molécules contribue aux multiples usages des médicaments. Cet article examine l’usage détourné du Subutex®(buprénorphine haut dosage – BHD) – le traitement de substitution (TSO) aux opiacés le plus utilisé en France – auprès d’usagers de drogue par voie intraveineuse (UDI) à Marseille. Partant du constat qu’il faut examiner les facteurs individuels et contextuels pour comprendre les phénomènes de trafic de drogue et de pratiques à risque, cette recherche propose deux hypothèses de travail : (1) que les usages détournés de la BHD s’intègrent aux mondes préexistants de la drogue ; (2) que les caractéristiques du contexte géographique sont impliquées dans la reconfiguration des usages. Les données collectées par questionnaire auprès de 62 UDI, utilisateurs d’automates de récupération /distribution de seringues à Marseille et population peu connue par les dispositifs de traitement spécialisés de la toxicomanie, ont été soumises à une analyse de composantes multiples (ACM), dans un but exploratoire. Deux effets paradoxaux en résultent. La BHD en usage détourné s’intègre dans une configuration de consommation intensive caractéristique des pratiques à risque impliquant l’opiacée, drogue que la BHD est paradoxalement censée remplacer. Ces usages sont par ailleurs associés, dans une aire urbaine ayant sa propre histoire et économie, à la stabilisation de certains UDI, non pas par une réintégration sociale correspondant aux objectifs des politiques publiques françaises sur les TSO, mais par une intégration marginale, voire la suspension ou « le délaissement » d’une population d’usagers âgés. Ces phénomènes contrastent avec les caractéristiques d’utilisateurs des automates qui consomment d’autres types de drogue. Le fuitage pharmaceutique fournit alors un outil heuristique qui interroge le regard proprement médical, tout en montrant son intérêt général pour l’étude des médicaments.
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3

Schmidt, Rachel. "Contesting the Fighter Identity: Framing, Desertion, and Gender in Colombia." International Studies Quarterly, October 23, 2020. http://dx.doi.org/10.1093/isq/sqaa075.

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Abstract:
Abstract The growing literature on desertion from insurgent groups focuses almost exclusively on male deserters, with few comparisons to combatants who choose to stay and little consideration of women combatants or the gendered norms and narratives that restrict combatants’ options. As governments increasingly emphasize “counter-narratives” to prevent radicalization and encourage disengagement from non-state armed groups, there is insufficient empirical evidence on how such framing contests between governments and insurgents might affect how recruits calculate their options. With “deradicalization” programs proliferating globally, and disarmament, disengagement, and reintegration (DDR) programs continuing to perpetuate gender stereotypes, it is critical to examine why some men and women disengage from violence while others stay, how they evaluate these decisions, and how gendered norms affect these decisions. Based on over 100 interviews with men and women ex-combatants across seven departments of Colombia, this article examines the effects of framing contests between the FARC guerrillas and the Colombian government, in which gender norms and gendered power dynamics play key roles. This paper argues that these gendered framing contests are critical to individual combatants’ disengagement decisions and, in particular, influence how women combatants perceive their alternatives and manage their exit pathways out of non-state armed groups. Las crecientes publicaciones sobre la deserción de combatientes de los grupos rebeldes se centran casi exclusivamente en los desertores hombres, con pocas comparaciones con los combatientes que deciden quedarse y poca consideración de las combatientes mujeres o la influencia del género en las normas y la narrativa que restringen las opciones de los combatientes. A medida que los gobiernos hacen cada vez más hincapié en las “contranarrativas” para evitar la radicalización y fomentar la desmovilización de los grupos armados no estatales, no hay pruebas empíricas suficientes sobre cómo dichas disputas de estructuración entre los gobiernos y los rebeldes podrían afectar la manera en que los reclutas determinan sus opciones. Con la proliferación de programas de “desradicalización” en todo el mundo, y dado que las iniciativas de desarme, desmovilización y reintegración (Disarmament, Disengagement, and Reintegration, DDR) siguen perpetuando los estereotipos de género, es fundamental analizar por qué algunos hombres y mujeres se desvinculan de la violencia mientras que otros no, cómo evalúan estas decisiones y de qué manera las normas en función del género influyen en estas determinaciones. A partir de más de 100 entrevistas a hombres y mujeres excombatientes en siete departamentos de Colombia, este artículo analiza los efectos de las disputas de estructuración entre la guerrilla de las FARC y el gobierno colombiano, donde las normas y las dinámicas del poder en función del género juegan un papel clave. En este documento, se sostiene que dichas disputas de estructuración influenciadas por el género son fundamentales para las decisiones de desmovilización de los combatientes y, en especial, influyen en la manera en que las combatientes mujeres perciben sus alternativas y gestionan sus vías de escape de los grupos armados no estatales. La littérature croissante portant sur la désertion des groupes d'insurgés se concentre presque exclusivement sur les hommes déserteurs, avec peu de comparaisons avec les combattants qui choisissent de rester et peu de considération pour les femmes combattantes ou les normes et récits sexospécifiques qui limitent le panel de combattants abordés. Alors que les gouvernements mettent de plus en plus l'accent sur les « contre-récits » pour prévenir la radicalisation et encourager le désengagement des groupes armés non étatiques, les preuves empiriques de la mesure dans laquelle un tel cadrage des conflits entre gouvernements et insurgés pourrait affecter la façon dont les recrues calculent leurs options sont insuffisantes. Tandis que les programmes de « déradicalisation » prolifèrent dans le monde entier et que les programmes de désarmement, de désengagement et de réintégration continuent à perpétuer les stéréotypes de genre, il est essentiel d’étudier les raisons pour lesquelles certains hommes et certaines femmes se désengagent de la violence contrairement à d'autres, les facteurs que ces personnes prennent en compte dans leur décision, et la manière dont les normes sexospécifiques affectent ces décisions. Cet article s'appuie sur plus de 100 entretiens avec des hommes et femmes ayant précédemment combattu dans sept départements de Colombie pour analyser les effets du cadrage des conflits entre les insurgés des FARC et le gouvernement colombien, dans lesquels les normes de genre et les dynamiques de pouvoir liées au genre jouent des rôles clés. Il soutient que ce cadrage sexospécifique des conflits est essentiel aux décisions de désengagement des combattants individuels, en particulier pour influencer la manière dont les combattantes perçoivent leurs alternatives et gèrent leurs voies de sortie des groupes armés non-étatiques.
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4

Simon, Lionel, Lucienne Strivay, Bernard Charlier, and Séverine Lagneaux. "Animaux." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.054.

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Abstract:
« Qu'est-ce que l'animal ? Voilà une de ces questions dont on est d'autant plus embarrassé, qu'on a plus de philosophie et plus de connoissance de l'histoire naturelle. (…) Une définition de l’animal sera trop générale, ou ne sera pas assez étendue, embrassera des êtres qu'il faudroit peut-être exclure, et en exclura d'autres qu'elle devroit embrasser. Plus on examine la nature, plus on se convainc que pour s'exprimer exactement, il faudroit presqu'autant de dénominations différentes qu'il y a d'individus, et que c'est le besoin seul qui a inventé les noms généraux » (Diderot 1751). La diversité des formes physiologiques, des comportements individuels ou collectifs et des modalités des relations hommes-animaux montre qu’il n’y a pas d’animal type mais plutôt une tension entre un pullulement de signifiés et un signifiant trop générique. Le pluriel s’impose dès lors que l’on maintient la catégorie. Non seulement elle ne dispose pas partout d’une traduction mais surtout, quand elle existe, les référents auxquels elle renvoie selon les contextes ethnographiques sont susceptibles de variations considérables et significatives. Dans la plupart des dictionnaires ethnologiques et anthropologiques, on trouve rarement une entrée « animal/animaux ». Les informations relatives aux animaux sont dispersées dans des articles traitant des catégories matérielles et/ou idéelles. Il est pourtant indéniable que la nature comme les animaux ont toujours fait partie du champ de l’anthropologie. L. H. Morgan, par exemple, a écrit son livre sur la parenté et les structures politiques parmi les Iroquois en même temps que son étude The American Beaver and his Works (1868). Aucune communauté humaine ne s’est développée indépendamment des échanges avec les animaux. C’est pourquoi, depuis la fin du XXe siècle, l’exploration des relations entre les hommes et les animaux s’est instituée en disciplines et en domaines de recherche spécialisés. Les animaux forment un point de bouillonnement actuel de l’anthropologie : avec ses frontières poreuses, le concept constitue un révélateur, un lieu de croisement des savoirs et de déplacement intéressant des perspectives. L’étude des relations hommes-animaux soulève des questions à la fois éthiques, épistémologiques et politiques ainsi qu’en témoignent les travaux de Haraway (2006, 2007, 2010). Elles étaient ainsi clairement perceptibles dans l’anthropologie physique. Dès son origine au XVIIIe siècle, l’étude de la parenté entre les vivants s’est conjuguée à une hiérarchisation des espèces et des races. Tout l’enjeu, aujourd’hui encore, vise à interroger l’exception humaine pour envisager plutôt les hommes parmi les vivants et ce sans amalgame. Ce qui importe serait davantage le respect de la prolifération des singularités respectives et des formes complexes d’hybridation sociale et de coévolution. Les animaux investissent de nombreuses sphères de la vie publique et privée. Ces contacts sont historiques, formulés contextuellement dans le temps et dans l’espace. Ainsi, que l’a souligné Ingold (2000), les hommes et les animaux partagent un passé phylogénétique et des modalités de mémoire qui émanent de ces histoires communes. Le développement contigu des recherches éthologiques sur les communications animales et les usages d’outils, les formes de transmission, les stratégies sociales bousculent la construction des frontières du langage et de la culture au point d’engager la réflexion vers une ethno-éthologie. Ce tournant qualifié d’animaliste ne peut être séparé ni des questions traitées par les sciences studies ni du déploiement de l’anthropologie de la nature (voir, par exemple, Descola, 2005). Par ailleurs, ce déplacement s’opère tout autant dans les formes du vivre ensemble pratiquées au cœur des sociétés dites « modernes ». En témoignent, notamment, les controverses suscitées par l’entrée de certains non humains dans des domaines de compétence – juridiques, éthiques, politiques… – réservés, jusqu’à récemment, à la seule sphère d’activité des humains (par exemple, les débats autour du bien-être des animaux ou des politiques de réintégration d’espèces sauvages dans des lieux d’où elles avaient disparus). Les binômes fondateurs sujet/objet et nature/culture, dont sont dénoncés respectivement la force de réification et l’ethnocentrisme font place à l’examen des modalités fluctuantes de leurs enchevêtrements et se voient, souvent, substituer l’analyse des interactions entre humains et non-humains. Les animaux (mais aussi les plantes, les pierres, les météores, les esprits, les artefacts …) se trouvent donc au départ d’un décentrement fondamental du champ ethno-anthropologique. Classiquement, l’ethnologie a étudié les usages humains des animaux à travers la chasse, la pêche, la domestication, le pastoralisme, les rituels, le symbolisme, etc. Tout fait ressource. Rien ne se perd, tout se transforme depuis les excréments jusqu’aux ongles, la chair, la graisse, le sang, les tendons, les os, les dents, le cuir, la fourrure, la laine, les plumes, les élytres, les écailles, la force, la présence, l’agilité, les sens, les humeurs, les sons, etc. Mais les formes du traitement technique, ainsi que le suggèrent A-G. Haudricourt (1962) pour les plantes et les animaux et P. Lemonnier (2012) pour les Mundane Objects permettent d’interroger, par homologie, les formes du traitement d’autrui. Aujourd’hui, les approches interspécifiques et interactionnistes se déploient, rendant visibles des relations multiformes co-construites éminemment plastiques telles qu’elles se manifestent, par exemple, au travers des attachements entre les éleveurs et leur bétail (Despret, Porcher, 2007; Stepanoff, 2012). Tandis que, à titre d’exemple parmi tant d’autres possibles, les modes utilitaristes de réification, de marchandisation, de spécialisation des fabrications du vivant (sélection des races, création d’OGM, etc.) s’intensifient dans les sociétés hyper techniciennes, les controverses éthiques et juridiques peinent à établir un consensus autour du statut de « l’animal ». Or c’est précisément la considération simultanée des différences et des ressemblances, celle des interstices, des distances et proximités critiques, des tensions et tiraillements qui rendent les questions animales si riches aux yeux des ethnologues (Brunois, 2007; Mougenot, Strivay, 2011). Car en effet, en dépit de et avec ces écarts, les hommes et les animaux continuent d’interagir dans des mondes partagés.
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Dissertations / Theses on the topic "Non-réintégration"

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Taleb, Abdelkader. "Les limites du droit à la réintégration dans le cas d'un congédiement sans cause juste et suffisante." Thèse, 2006. http://hdl.handle.net/1866/1697.

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