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Journal articles on the topic 'Nouveau-né de faible poids de naissance'

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1

Savard, N., P. Levallois, LP Rivest, and S. Gingras. "Incidence des caractéristiques individuelles et des caractéristiques du contexte sur les nouveau-nés de faible poids : une étude d'observation au Québec." Maladies chroniques et blessures au Canada 34, no. 1 (February 2014): 50–58. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.34.1.07f.

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Abstract:
Introduction Nous avons analysé les liens entre certaines variables contextuelles, certaines caractéristiques des mères et le risque de donner naissance à des nouveau-nés très petits pour l'âge gestationnel (TPAG) au Québec entre 2000 et 2008. Méthodologie Les variables liées au contexte ont été tirées de l'Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes, du Recensement canadien et du Registre des naissances du Québec. Les variables individuelles provenaient aussi du Registre des naissances du Québec. Les rapports de cotes (RC), ajustés selon l'âge de la mère, la scolarité, la parité, l'état matrimonial et le pays de naissance, ont été évalués au moyen de modèles de régression logistique multiniveau (par des équations d'estimation généralisées). Résultats Les naissances survenues dans les quartiers présentant une proportion élevée de résidents sédentaires (RC : 1,07, intervalle de confiance [IC] à 95% : 1,01 à 1,11) et dans les quartiers présentant une proportion moyenne (RC : 1,09, IC à 95% : 1,05 à 1,15) ou élevée de résidents souffrant d'insécurité alimentaire (RC : 1,05, IC à 95% : 1,01 à 1,11) présentaient un risque accru d'être TPAG. Le risque de naissance de nouveau-né TPAG était plus faible dans les quartiers présentant une proportion moyenne de résidents mariés (RC : 0,94, IC à 95 % : 0,90 à 0,98).
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2

Dupont, L., S. Marret, V. Brossard, P. Czernichow, and C. Fessard. "À propos du risque de réhospitalisation du nouveau-né de faible poids de naissance." Archives de Pédiatrie 4, no. 3 (March 1997): 287. http://dx.doi.org/10.1016/s0929-693x(97)87253-3.

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3

Tchagbele, O. B., K. E. Djadou, K. E. R. Segbedji, F. Agbeko, K. D. Azouma, D. Y. Atakouma, and A. D. Agbèrè. "Évaluation de la qualité des soins maternels kangourou au centre hospitalier universitaire Sylvanus-Olympio de Lomé au terme de six ans de mise en place." Périnatalité 11, no. 3 (September 2019): 135–41. http://dx.doi.org/10.3166/rmp-2019-0059.

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Abstract:
Introduction : Les soins maternels kangourou favorisent une meilleure prise en charge des nouveau-nés de faible poids de naissance (FPN). L’objectif de cette étude était d’évaluer la qualité des soins offerts dans l’unité kangourou du centre hospitalier universitaire Sylvanus-Olympio (CHU-SO) de Lomé au Togo. Matériel et méthodes : Il s’est agi d’une étude transversale qui s’est déroulée du 1er mars au 31 août 2017 portant sur 500 mères de nouveau-nés de FPN dans l’unité de néonatologie du CHU-SO de Lomé. Les aspects sociodémographiques et ceux liés à la qualité des soins dans l’unité ont été évalués. Résultats : L’âge moyen des mères était de 28,8 ± 5,8 ans avec des extrêmes de 15 et 42 ans. Les mères ont déclaré dans 99 % des cas ne pas connaître l’existence de l’unité ; pourtant, 45,6 et 82,2 % d’entre elles avaient déjà soit présenté une menace d’accouchement prématuré, soit accouché d’un nouveau-né prématuré. Les mères étaient satisfaites de l’unité kangourou dans une forte proportion (62 %), même si seulement un peu plus de la moitié (51,6 %) d’entre elles avaient des informations sur leur(s) nouveau-né(s). En revanche, un faible taux de satisfaction était enregistré pour la communication avec les personnels (20 %) et les conditions de confort (45,2 %). Soixante-dix pour cent (70 %) des mères estimaient être prêtes à prendre en charge leur nouveau-né à domicile avant la sortie de l’unité. Conclusion : La satisfaction des patientes de l’unité dépend du fonctionnement, de l’organisation et de l’environnement de l’unité.
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4

de Smet, S., M. Butori, F. Casagrande, and C. Dageville. "Poster Symposium-03 – Lait cru et nutrition du nouveau-né de très faible poids de naissance." Archives de Pédiatrie 22, no. 5 (May 2015): 372. http://dx.doi.org/10.1016/s0929-693x(15)30719-3.

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5

Diouf, M., D. Cisse, C. M. M. Lo, M. Ly, D. Faye, and O. Ndiaye. "Femme enceinte vivant en zone de fluorose endémique au Sénégal et faible poids du nouveau-né à la naissance : étude cas–témoins." Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 60, no. 2 (April 2012): 103–8. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2011.09.009.

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6

THERIEZ, M. "Conséquences de l’augmentation de la prolificité sur l’élevage des agneaux et sur la production de viande." INRAE Productions Animales 4, no. 2 (May 31, 1991): 161–68. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.2.4328.

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Abstract:
L’accroissement de la taille de la portée entraîne une réduction du poids de chacun des agneaux produits. Cette diminution est de l’ordre de 20 % par agneau supplémentaire dans les races "classiques" et voisine de 15 % pour les races prolifiques. La composition chimique des nouveau-nés évolue également avec la prolificité : leurs teneurs en protéines et en lipides diminuent avec leur poids à la naissance. Les agneaux de faible poids ont plus de difficultés à s’adapter à l’environnement et leur taux de mortalité au cours des premières 48 heures est très supérieur à celui des agneaux plus lourds. Au cours de la période d’allaitement (6-8 semaines), la consommation de lait des agneaux multiples et leur croissance sont inférieures en valeur absolue (g/j) à celles des simples, mais identiques en valeur relative (g/kg PV/j). Il en résulte, à 6-7 semaines, une différence de poids vif d’environ 2,4 kg par kg d’écart de poids à la naissance, quel que soit le mode d’allaitement. Ces différences s’accentuent si les agneaux sont placés en conditions difficiles (pâturage) après sevrage, elles se maintiennent si les conditions d’élevage sont très favorables (bergerie). A partir de 10-12 kg de poids vif, la composition corporelle des agneaux, et plus particulièrement leur teneur en lipides, dépend de leur poids à la naissance. Plus l’agneau est léger à la naissance et plus sa teneur en lipides à un poids déterminé sera élevée. Cette différence est due à la réduction du potentiel de croissance du squelette par suite de la sous-nutrition in utero. Il est indispensable de réduire le poids à l’abattage des agneaux multiples, pour produire des carcasses à état d’engraissement constant. Un kg de moins à la naissance entraîne une diminution de 0,6 à 1 kg du poids de la carcasse.
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Kamaye, M., M. Garba, M. Mahamane Sani, S. Alido, Z. Oumarou, and A. Amadou. "Évaluation de la prise en charge du nouveau-né de faible poids de naissance par la méthode kangourou à la maternité Issaka-Gazoby de Niamey." Journal de Pédiatrie et de Puériculture 30, no. 3 (June 2017): 113–17. http://dx.doi.org/10.1016/j.jpp.2016.12.006.

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8

Mbayahaga, J., S. N. M. Mandiki, J. L. Bister, R. Paquay, L. Bangirinama, and R. Branckaert. "Production et composition du lait de la chèvre locale burundaise et croissance des jeunes au pis." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 47, no. 4 (April 1, 1994): 405–10. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9080.

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Abstract:
La production et la composition du lait de 31 chèvres locales burundaises ont été déterminées au cours des 84 premiers jours de lactation. Parallèlement, la croissance de 44 nouveau-nés a été étudiée. Le faible rendement laitier de la chèvre locale (440 g/j) est cependant fort variable d'après les individus (167 à 881 g/j). La production laitière culmine entre la 2è et la 3è semaines de lactation et diminue en pente douce par la suite. Elle s'accroît avec l'augmentation du nombre de jeunes allaités et le poids de la mère (p < 0,05) et non avec la parité. Le lait de la chèvre burundaise est plus pauvre en éléments nutritifs que celui des autres races tropicales notamment en matière grasse (3,1 g %) et en lactose (2,8 ± 1,67 g %). Les poids des chevreaux à la naissance (1,54 ± 0,29 kg) et à 28 jours (3,05 ± 0,70 kg) sont faibles comparés à ceux d'autres races caprines tropicales. En revanche, les jeunes ont une meilleure efficience alimentaire au cours du premier mois post-natal (6,04). Leurs faibles performances pondérales pourraient donc être dues à la faible production laitière des mères et/ou à la déficience énergétique dans le lait. Une amélioration génétique de cette production est possible.
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PIERRAT, V., H. BOMY, C. COURCEL, S. DUMUR, V. CAUSSETTE, N. BOUCKENHOVE, N. CASEN, and A. ROMBAUT. "Le peau à peau dans la prise en charge des nouveau-nés de faible poids de naissance." Journal de Pédiatrie et de Puériculture 17, no. 7 (October 2004): 351–57. http://dx.doi.org/10.1016/s0987-7983(04)00126-4.

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10

Ouédraogo/Yugbaré, S. O., R. Kaboré, F. Koueta, H. Sawadogo, L. Dao, B. Nacro, L. Kam, R. Pfister, and D. Yé. "Facteurs de risque de décès des nouveau-nés de faible poids de naissance à Ouagadougou (Burkina Faso)." Journal de Pédiatrie et de Puériculture 26, no. 4 (September 2013): 204–9. http://dx.doi.org/10.1016/j.jpp.2013.03.002.

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11

Chiabi, A., L. Miaffo, E. Mah, S. Nguefack, L. Mbuagbaw, J. Tsafack, W. Tafen, and P. F. Tchokoteu. "Facteurs de risque et pronostic hospitalier des nouveau-nés de faible poids de naissance (poids de naissance inférieure à 2500grammes) à l’hôpital gynéco-obstétrique et pédiatrique de Yaoundé, Cameroun." Journal de Pédiatrie et de Puériculture 24, no. 3 (June 2011): 125–32. http://dx.doi.org/10.1016/j.jpp.2011.03.001.

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12

Joriot-Chekaf, S., V. Pierrat, L. Desnoulez, T. Rakza, P. Lequien, and L. Storme. "Érythropoïétine humaine recombinante : analyse d’une politique de prescription dans une population hospitalière de nouveau-nés de faible poids de naissance." Archives de Pédiatrie 10, no. 6 (June 2003): 499–505. http://dx.doi.org/10.1016/s0929-693x(03)00147-7.

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13

Faye, P. M., A. Thiongane, N. R. Diagne-Guèye, A. Ba, M. Gueye, S. Diouf, O. N’Diaye, A. N’Diour, H. S. Sy, and M. Sarr. "Les soins kangourou pour nouveau-nés de faible poids de naissance au centre hospitalier national d’enfants Albert-Royer de Dakar." Archives de Pédiatrie 23, no. 3 (March 2016): 268–74. http://dx.doi.org/10.1016/j.arcped.2015.12.010.

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Lapeyre, D., S. Klosowski, A. Liska, C. Zaoui, C. Gremillet, and P. Truffert. "Grands prématurés (< 32 semaines) vs nouveau-nés de très faible poids de naissance (< 1500 grammes) : comparaison de deux cohortes." Archives de Pédiatrie 11, no. 5 (May 2004): 412–16. http://dx.doi.org/10.1016/j.arcped.2004.02.013.

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Soilly, Anne-Laure, C. Ferdynus, Marie-Jeanne Bismuth, Catherine Quantin, and J. B. Gouyon. "Validité et enjeux du codage PMSI des séjours de courte durée en néonatalogie, chez les nouveau-nés de faible poids de naissance." Journal de gestion et d'économie médicales 28, no. 8 (2010): 311. http://dx.doi.org/10.3917/jgem.108.0311.

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Chiabi, A., E. Mah, M. J. Ntsama Essomba, S. Nguefack, E. Mbonda, and P. F. Tchokoteu. "Facteurs associés à la survie des nouveau-nés de très faible poids de naissance à l’hôpital gynéco-obstétrique et pédiatrique de Yaoundé, Cameroun." Archives de Pédiatrie 21, no. 2 (February 2014): 142–46. http://dx.doi.org/10.1016/j.arcped.2013.11.017.

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Mohamed Zeine, N., B. Mohamed Mahmoud, M. Med Lemine, K. Saoud, N. Mamouni, S. Errarhay, C. Bouchikhi, and A. Banani. "MALFORMATION UTERINE ET RCIU : A PROPOS DE TROIS CAS." International Journal of Advanced Research 9, no. 03 (March 31, 2021): 637–40. http://dx.doi.org/10.21474/ijar01/12627.

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Abstract:
Introduction :La frequence des malformations uterines est estimee entre 0,5 et 4 %. Ces anomalies peuvent avoir des repercussions sur levolution de la conception. Patients et observation :Nous rapportons trois cas de RCIU associee a un oligoamniossecondaire a des malformations uterines decouvertes en per operatoire type : uterus pseudo unicorne dans 02 cas et un uterus bicorne bi cervicalpour le troisieme cas. Discussion :Lincidence des anomalies uterines congenitalesdans une population fertile est de 3,2 %.On retrouve dans 38% des cas une malformation de larbre urinaire associee. Toutes ces anomalies peuvent avoir des repercussions sur levolution de la conception a type de fausses couches precoces et tardives, de grossesse extra-uterine, de menace daccouchement premature, daccouchement premature, de pathologies vasculaires gravidiques et de retard de croissance intra-uterin. Laugmentation de lincidence des presentations dystociques est en effet decrite par de nombreux auteurs. Dautres auteurs rapportent que Les nouveau-nes de meres avec uterusmalforme avaient un poids moyen de naissance plus faible. Conclusion : Lesmalformations uterines congenitales sont relativement frequentes et souvent asymptomatiques. Ces malformations uterines ont un impact sur la croissance fœtale avec taux elevee de RCIU.
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Tiran-Rajaofera, I., S. Sampériz, C. Trouilloud, H. Pilorget, A. Montbrun, T. Attali, and J. L. Alessandri. "Cathéters épicutanéocaves 27 gauge : utilisation chez les nouveau-nés de très faible poids de naissance et les grands prématurés dans un service de réanimation néonatale." Archives de Pédiatrie 8, no. 8 (August 2001): 816–23. http://dx.doi.org/10.1016/s0929-693x(01)00540-1.

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Jordan, Isabelle, Annie Robert, Julie Francart, Leon Sann, and Guy Putet. "CO14 Néonatologie Devenir anthropometrique a 3 ans des nouveau-nes de tres faible poids de naissance (<1000 gr): Etude d'une cohorte de 159 prematures." Archives de Pédiatrie 10 (May 2003): s270. http://dx.doi.org/10.1016/s0929-693x(03)90480-5.

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20

Feirouz, A., Y. Sdiri, E. Cherifi, H. Chourou, M. Cheour, W. Bel Haj Ammar, R. Achour, and S. Kacem. "Déterminants de la mortalité néonatale précoce dans une maternité de type 3 : à propos de 150 cas." Périnatalité 13, no. 1 (March 2021): 26–36. http://dx.doi.org/10.3166/rmp-2020-0110.

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Abstract:
Introduction : Le taux de mortalité néonatale précoce constitue un bon indicateur de la qualité des soins et du niveau de développement économique et social d’une population. Le but de notre travail est de déterminer la prévalence, le profil étiologique et les facteurs de risque de la mortalité néonatale précoce. Méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective descriptive réalisée, au service de médecine et de réanimation néonatale du centre de maternité et de néonatologie de Tunis, sur une période de neuf mois de janvier à septembre 2017. Durant cette période, 3 560 nouveau-nés ont été hospitalisés dans ce service de réanimation néonatale. Au sein de cette cohorte, 150 patients sont décédés en période néonatale précoce. Résultats : L’incidence de la mortalité néonatale précoce est de 15 pour mille naissances vivantes. Le taux de mortalité néonatale très précoce survenant les 24 premières heures de vie est de 15 % ; 60 % sont décédés au-delà de 48 heures de vie. Le taux de prématurité est de 68 %. Les principales causes de ces décès néonatals précoces sont une cause infectieuse dans 38,6 % des cas, soit une infection néonatale bactérienne précoce dans 25 % des cas, soit une infection nosocomiale secondaire dans 14 % des cas, une malformation congénitale (18,7 %) ou une asphyxie périnatale (APN) [12,7 %]. Les principaux facteurs de risque de mortalité néonatale précoce sont le non-suivi des grossesses, le bas niveau socio-économique, la prématurité, le faible poids de naissance, l’APN, les malformations cardiaques et du système nerveux central. Conclusion : La mortalité néonatale précoce reste encore élevée. Pour essayer de la réduire, on insiste sur l’amélioration du suivi des grossesses, la prévention de la prématurité et l’amélioration des infrastructures néonatales.
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Landry, JS, D. Croitoru, and D. Menzies. "Validation des codes de diagnostic de la CIM-9 pour la dysplasie bronchopulmonaire dans les bases de données de la Régie de l'assurance-maladie du Québec." Maladies chroniques et blessures au Canada 33, no. 1 (December 2012): 54–60. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.33.1.06f.

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Abstract:
Introduction La dysplasie bronchopulmonaire (DBP) est une maladie respiratoire chronique causée par une lésion pulmonaire néonatale. Cette étude a pour objet de valider l'utilisation des codes de diagnostic de la CIM-9 correspondant à la DBP dans les bases de données administratives pour déterminer s'ils peuvent être employés dans les analyses sur l'utilisation du système de soins de santé. Méthodologie Le processus de validation a fait appel à une cohorte rétrospective composée de nouveau-nés prématurés, ayant présenté ou non des complications respiratoires, qui avaient été admis à l'Hôpital de Montréal pour enfants, à Montréal (Québec), entre 1983 et 1992. Les sujets atteints de DBP ont été identifiés au moyen des codes de diagnostic de la CIM-9 dans les bases de données administratives provinciales (services médicaux et MED-ECHO), puis comparés à des sujets atteints d'une DBP confirmée dans la cohorte de validation. Nous avons examiné la concordance des données et avons estimé la sensibilité et la spécificité associées à l'utilisation de ces codes de diagnostic pour la DBP. Résultats Les cas dits « vrais positifs » de DBP et les cas dits « faux négatifs » de DBP ne présentaient pas de différences significatives selon l'âge gestationnel, le poids à la naissance et le score d'Apgar. L'âge gestationnel associé aux cas dits « faux positifs » de DBP était considérablement inférieur à celui des vrais négatifs. L'utilisation de codes de diagnostic de la CIM-9 pour la DBP a été associée à une spécificité se situant entre 97,6 % et 98,0 %. La sensibilité, plus faible, se situait à 45,0 % et à 52,4 % pour les bases de données sur les services médicaux et MED-ECHO, respectivement. Il est arrivé plus fréquemment que les cas légers de DBP ne soient pas décelés que les cas plus graves. Conclusion Le degré de spécificité des codes de diagnostic de la CIM-9 pour la DBP dans les bases de données de la Régie de l'assurance-maladie du Québec est suffisamment élevé pour permettre l'utilisation de ces codes de façon systématique. La sensibilité plus faible en ce qui concerne les cas légers se soldera probablement par une sous-estimation des répercussions de la DBP sur l'utilisation à long terme du système de soins de santé par les nouveau-nés prématurés.
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Faye, P. M., N. R. Diagne-Guèye, I. L. Paraiso, A. Bâ, M. Guèye, Y. J. Dieng, A. Thiongane, et al. "Croissance pondérale postnatale des nouveau-nés de faible poids de naissance au service de néonatologie du centre hospitalier national d’enfants Albert Royer : incidence du retard de croissance extra-utérin." Journal de Pédiatrie et de Puériculture 29, no. 1 (February 2016): 20–27. http://dx.doi.org/10.1016/j.jpp.2015.11.002.

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Urquia, ML, TA Stukel, K. Fung, RH Glazier, and JG Ray. "Estimer l’âge gestationnel à la naissance : étude de dérivation-validation en population générale." Maladies chroniques et blessures au Canada 31, no. 3 (June 2011): 114–19. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.31.3.04f.

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Abstract:
Introduction Les données sur l’âge gestationnel (AG) à la naissance sont essentielles dans la recherche en santé périnatale et en santé du nourrisson, mais elles ne figurent pas toujours dans les bases de données administratives. Nous avons donc élaboré et validé un modèle de prédiction de l’AG pour les naissances simples à des fins d’études épidémiologiques. Méthodologie La dérivation de l’AG estimé a été calculée sur la base d’un échantillon de 130 328 nouveau-nés ayant vu le jour dans les hôpitaux de l’Ontario entre 2007 et 2009, au moyen d’une analyse de régression linéaire, avec plusieurs caractéristiques maternelles et infantiles comme variables prédictives (indépendantes). Le modèle a été validé sur un autre échantillon, de 130 329 nouveau-nés. Résultats La capacité discriminative du modèle linéaire selon le sexe et le poids à la naissance du nouveau-né était d’une approximation raisonnable pour les enfants nés avant la 37e semaine de gestation (r2 = 0,67; intervalle de confiance (IC) à 95 % : 0,65 à 0,68), mais pas pour les naissances à terme (37 à 42 semaines; r2 = 0,12; IC à 95 % : 0,12 à 0,13). L’ajout de caractéristiques maternelles et infantiles supplémentaires n’a pas amélioré la discrimination du modèle. Conclusion Il est possible d’obtenir une estimation correcte de l’âge gestationnel à la naissance des enfants nés avant 37 semaines de gestation à l’aide de données localement disponibles sur le poids à la naissance et le sexe.
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Saker, M., H. Merzouk, S. Berrahoui, S. A. Merzouk, A. Malti, and M. Narce. "Poids de naissance : un bon indicateur du statut oxydant/anti-oxydant chez la mère et le nouveau-né." Nutrition Clinique et Métabolisme 31, no. 1 (February 2017): 39–40. http://dx.doi.org/10.1016/j.nupar.2016.10.025.

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Lasme-Guillao, B. E., F. Dick-Amon-Tanoh, M. E. Dainguy, D. Diomandé, O. Zabanga Koko, and F. Kangah Diekouadio. "Score d’évaluation des sorties précoces des nouveau-nés de faibles poids naissance : l’expérience d’Abidjan." Journal de Pédiatrie et de Puériculture 25, no. 3 (June 2012): 142–47. http://dx.doi.org/10.1016/j.jpp.2012.02.004.

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Azzoug, Said, Aicha Maiz Hadj Ahmed, and Farida Chentli. "Cushing’s syndrome and HELLP syndrome. A case report." Batna Journal of Medical Sciences (BJMS) 2, no. 2 (December 30, 2012): 208–10. http://dx.doi.org/10.48087/bjmscr.2015.2225.

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Abstract:
Le syndrome de cushing (SC) est rare durant la grossesse et ses conséquences maternofœtales Peuvent être fatales. Nous rapportons l’observation d’une patiente qui présentait un SC compliqué d’un HELLP syndrome. Observation : Une patiente âgée de 35 ans consulte à 26 semaines d’aménorrhée (SA) pour prise en charge d’un SC. Sur le plan clinique elle présente une obésité faciotronculaire et des signes d’hypercatabolisme. Le cycle du cortisol était rompu, le freinage faible était négatif et le taux d’ACTH était inférieur à 1 pg/ml. L’IRM abdominale objectivait une masse surrénalienne droite de 35 mm. L’hypercorticisme s’est compliqué de pré-éclampsie, de diabète sucré et d’hypokaliémie. L’évolution était marquée par une élévation des ALAT, une thrombopénie et une anémie compatibles avec un HELLP syndrome obligeant la réalisation d’une césarienne de sauvetage à 29 SA avec naissance d’un nouveau-né de sexe masculin vivant et sain. La patiente a bénéficié par la suite d’une surrénalectomie droite et l’étude histologique concluait à un adénome. Conclusion : Le SC de la grossesse est une pathologie rare dont l’étiologie est le plus souvent surrénalienne. Le pronostic materno-fœtal est engagé du fait d’une forte prévalence de complications pouvant engager le pronostic vital tel que le HELLP syndrome qui représente une urgence obstétricale
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NYS, Y. "Préface." INRAE Productions Animales 23, no. 2 (April 10, 2011): 107–10. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2010.23.2.3292.

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Abstract:
A la question «Qui de l’oeuf ou de la poule est né le premier ?» Silésius répondait «l’oeuf est dans la poule et la poule dans l’oeuf» soulignant sa dualité, le passage du deux en un. Dans l’imagerie populaire, l’oeuf reflète le tout et son contraire, fragilité, protection, épargne, abondance (être «plein comme un oeuf»), richesse («avoir pondu ses oeufs»), éternité (le Phénix est né de l’oeuf) mais aussi mort et destruction («casser ses oeufs» se dit d’une fausse couche). Dans la mythologie de nombreuses civilisations, l’oeuf est le symbole de la naissance du monde (Apollon, le dieu grec de la lumière est né de l’oeuf). L’oeuf décoré apparu 3000 ans avant J.-C. en Ukraine fête, au printemps, le retour de la fécondité de la nature ; l’oeuf de Pâques la résurrection du Christ. L’oeuf est un tout à condition d’en sortir ! Fragile cependant car selon La Fontaine briser l’oeuf de la poule aux oeufs d’or (par curiosité) rompt l’effet magique (Auer et Streff 1999). Pour l’Homme, l’oeuf séduit pour sa valeur nutritionnelle, sa diversité d’utilisation en cuisine et son prix modique. Il en existe une grande diversité, de l’oeuf de Colibri (0,5 g) à l’oeuf de l’Aepyornis (8 litres soit l’équivalent de 150 oeufs), un oiseau de Madagascar (500 kg) disparu au 18ème siècle. Mais l’Homme ne consomme que l’oeuf de caille, de poule ou de cane. L’ère moderne a considérablement intensifié la production de ces deux dernières espèces car les poules saisonnées, qui étaient élevées avec soin par la fermière, ont plus que doublé leur production en 60 ans (de 120 oeufs par an dans les années 50 à plus de 300 aujourd’hui). Cette révolution technique résulte des efforts conjugués de la sélection génétique, d’une alimentation raisonnée répondant aux besoins nutritionnels, d’une évolution du système de production (apparition des cages) et d’une meilleure connaissance de la pathologie aviaire. Qu’en est-il du contrôle de la qualité nutritionnelle, organoleptique, technologique et hygiénique de l’oeuf ? L’oeuf est la plus large cellule reproductrice en biologie animale. Il assure dans un milieu externe le développement et la protection d’un embryon dans une enceinte fermée matérialisée par la coquille. Aussi, une de ses particularités est la diversité de ses constituants, de leur parfait équilibre nutritionnel et leur forte digestibilité, qui assure la croissance d’un être vivant. Ces caractéristiques sont à l’origine de la qualité nutritionnelle exceptionnelle de l’oeuf pour l’Homme. Une autre particularité est la présence d’une protection physique, la coquille mais, aussi d’un système complexe de défenses chimiques. Aussi, ce produit est-il remarquable de par son aptitude à engendrer la vie et pour l’oeuf de table à se conserver. Outre les éléments nutritifs, on y trouve de multiples molécules participant au développement et à la protection de l’embryon (molécules antibactériennes, antivirales, antioxydantes). Certaines d’entre elles, comme par exemple le lysozyme de blanc d’oeuf, sont partiellement valorisées par différents secteurs industriels (agroalimentaire, cosmétique, santé animale/humaine). La révélation récente d’un grand nombre de nouveaux constituants de l’oeuf, suite au séquençage génomique de la poule et au développement de la biologie intégrative, a conforté l’existence d‘activités antimicrobiennes, anti-adhésives, immuno-modulatrices, hypertensives, anticancéreuses, antiinflammatoires ou cryoprotectrices, prometteuses en médecine humaine et devrait à terme enrichir le potentiel d’utilisation de ce produit en agroalimentaire et en santé. L’objet de ce numéro spécial d’INRA Productions Animales est de rassembler les principales informations qui ont contribué au développement économique récent de ce produit, de rappeler les efforts en génétique, élevage et nutrition qui ont assuré des progrès quantitatifs et qualitatifs remarquables de la production et de la qualité des oeufs au cours des trente dernières années. Les poules élevées à l’origine par la femme pour un usage domestique se comptent aujourd’hui par milliers dans les élevages. Quelle sera la durabilité de ce système d’élevage dans un contexte socio-économique européen remettant en cause en 2012 le système éprouvé de production conventionnel d’oeufs en cage pour des cages aménagées ou des systèmes alternatifs avec ou sans parcours ? Notre objectif est d’analyser les facteurs qui contribueront à son maintien, notamment le contrôle de la qualité de l’oeuf. Il est aussi de décrire l’évolution spectaculaire des connaissances sur ce produit liée au développement des techniques à haut débit et des outils d’analyse des séquences moléculaires. Il permettra enfin d’actualiser les atouts de ce produit. Ce numéro est complémentaire d’un ouvrage plus exhaustif sur la production et la qualité de l’oeuf (Nau et al 2010). Le premier article de P. Magdelaine souligne la croissance considérable en 20 ans de la production d’oeufs dans les pays d’Asie et d’Amérique du Sud (× 4 pour la Chine, × 2 en Inde et au Mexique). En revanche, les pays très développés notamment européens à forte consommation (> 150 oeufs/hab) ont stabilisé leur production malgré une évolution importante de la part des ovoproduits mais aussi de leurs systèmes de production. La consommation des protéines animales entre pays est tout aussi hétérogène puisque le ratio protéines de l’oeuf / protéines du lait varie de 0,4 au USA, à 0,9 en France et 2,7 en Chine ! Le doublement de la production mondiale d’oeufs en 20 ans n’a été possible que grâce à des progrès techniques considérables. La sélection génétique a renforcé les gains de productivité (+ 40 oeufs pour une année de production et réduction de l’indice de consommation de 15% en 20 ans !). L’article de C. Beaumont et al décrit cette évolution, la prise en compte croissante de nouveaux critères de qualité technologique, nutritionnelle ou sanitaire. Ces auteurs soulignent les apports des nouvelles technologies, marqueurs moléculaires et cartes génétiques sur les méthodes de sélection. Ils dressent un bilan actualisé des apports et du potentiel de cette évolution récente en sélection. Le séquençage génomique et le développement de la génomique fonctionnelle est aussi à l’origine d’une vraie révolution des connaissances sur les constituants de l’oeuf comme le démontre l’article de J. Gautron et al. Le nombre de protéines identifiées dans l’oeuf a été multiplié par plus de dix fois et devrait dans un avenir proche permettre la caractérisation fonctionnelle de nombreuses molécules. Il donne aussi de nouveaux moyens pour prospecter les mécanismes d’élaboration de ce produit. Un exemple de l’apport de ces nouvelles technologies est illustré par l’article de Y. Nys et al sur les propriétés et la formation de la coquille. Des progrès considérables sur la compréhension de l’élaboration de cette structure minérale sophistiquée ont été réalisés suite à l’identification des constituants organiques de la coquille puis de l’analyse de leur fonction potentielle élucidée grâce à la disponibilité des séquences des gènes et protéines associés. La mise en place de collaborations internationales associant de nombreuses disciplines, (microscopie électronique, biochimie, cristallographie, mécanique des matériaux) a démontré le rôle de ces protéines dans le processus de minéralisation et du contrôle de la texture de la coquille et de ses propriétés mécaniques. Cette progression des connaissances a permis de mieux comprendre l’origine de la dégradation de la solidité de la coquille observée chez les poules en fin d’année de production. La physiologie de la poule est responsable d’évolution importante de la qualité de l’oeuf. Aussi, l’article de A. Travel et al rappelle l’importance d’effets négatifs de l’âge de la poule contre lequel nous disposons de peu de moyens. Cet article résume également les principales données, souvent anciennes, concernant l’influence importante des programmes lumineux ou de la mue pour améliorer la qualité de l’oeuf. Enfin, il souligne l’importance de l’exposition des poules à de hautes températures ambiantes sur leur physiologie et la qualité de l’oeuf. Le troisième facteur indispensable à l’expression du potentiel génétique des poules, et déterminant de la qualité technologique et nutritionnelle de l’oeuf, est la nutrition de la poule. Elle représente plus de 60% du coût de production. L’article de I. Bouvarel et al fait le point sur l’influence de la concentration énergétique de l’aliment, de l’apport en protéines et acides aminés, acides gras et minéraux sur le poids de l’oeuf, la proportion de blanc et de jaune ou sa composition notamment pour obtenir des oeufs enrichis en nutriments d’intérêt en nutrition humaine. Cependant, la préoccupation principale des éleveurs depuis une dizaine d’année est la mise en place en 2012 de nouveaux systèmes de production d’oeufs pour assurer une meilleure prise en compte du bien-être animal. L’article de S. Mallet et al traite de l’impact des systèmes alternatifs sur la qualité hygiénique de l’oeuf. Ces auteurs concluent positivement sur l’introduction de ces nouveaux systèmes pour la qualité hygiénique de l’oeuf une fois que les difficultés associées aux méconnaissances d’un nouveau système de production seront résolues. La qualité sanitaire de l’oeuf est la préoccupation majeure des consommateurs et un accident sanitaire a des conséquences considérables sur la consommation d’oeufs. L’article de F. Baron et S. Jan résume d’une manière exhaustive l’ensemble des éléments déterminants de la qualité microbiologique de l’oeuf et des ovoproduits : mode de contamination, développement des bactéries dans les compartiments de l’oeuf, défenses chimiques du blanc et moyens pour contrôler la contamination des oeufs et des ovoproduits. Le consommateur ne souhaite pas, à juste titre, ingérer d’éventuels contaminants chimiques présents dans ses aliments. L’article de C. Jondreville et al analyse ce risque associé à la consommation des oeufs. Il est exceptionnel de détecter la présence de polluants organiques au seuil toléré par la législation. Les auteurs insistent notamment sur l’importance de contrôler la consommation par les animaux élevés en plein air de sols qui peuvent être une source de contaminants. Une caractéristique de l’évolution de la production d’oeufs est le développement des ovoproduits qui répondent parfaitement à l’usage et à la sécurité sanitaire exigée en restauration collective. L’article de M. Anton et al décrit le processus d’obtention et l’intérêt des fractions d’oeufs du fait de leurs propriétés technologiques (pouvoirs moussant, foisonnant, gélifiant ou émulsifiant). Les différents processus de séparation, de décontamination et de stabilisation sont analysés pour leur effet sur la qualité du produit final. Enfin le dernier article de ce numéro spécial de F. Nau et al se devait d’aborder la principale qualité de l’oeuf qui conditionne son usage : la qualité nutritionnelle de ce produit pour l’Homme. Cet article actualise l’information dans ce domaine et fait le point sur les atouts nutritionnels en tentant de corriger de fausses idées. L’oeuf présente un intérêt nutritionnel du fait de la diversité et l’équilibre de ces constituants pour l’Homme mais mériterait plus d’études pour mieux évaluer son potentiel réel. En conclusion, l’oeuf est la source de protéines animales ayant la meilleure valeur nutritionnelle, la moins chère, facile d’emploi et possédant de nombreuses propriétés techno-fonctionnelles valorisées en cuisine. Dans les pays développés, l’oeuf a souffert jusqu’à aujourd’hui d’une image entachée par plusieurs éléments négatifs aux yeux des consommateurs : sa richesse en cholestérol, le risque sanitaire associé à sa consommation sous forme crue ou son système de production en cage. L’évolution des connaissances sur le risque cardio-vasculaire, les progrès réalisés sur le contrôle sanitaire des Salmonelloses en Europe et la modification radicale des systèmes de production d’oeufs devraient modifier positivement son image. La consommation de protéines de l’oeuf a augmenté de plus de 25% en 20 ans (2,53 g/personne/j vs 4,3 g pour le lait en 2005) et poursuivra sa croissance rapide notamment dans les pays en développementoù sa consommation par habitant reste faible. Cette évolution considérable de la production de ce produit devrait être mieux intégrée dans les formations des écoles spécialisées en productions animales. L’oeuf restera dans l’avenir une des sources de protéines animales dominantes et l’acquisition de connaissances sur la fonction des nombreux constituants récemment mis à jour devait renforcer son intérêt pour la santé de l’Homme. Je ne voudrais pas terminer cette préface sans remercier au nom des auteurs, Jean-Marc Perez, le responsable de la revue INRA Productions Animales, d’avoir pris l'initiative de la publication de ce numéro spécial dédié à l'oeuf et d’avoir amélioré par plusieurs lectures attentives la qualité finale des textes. Je voudrais aussi adresser mes remerciements à sa collaboratrice Danièle Caste pour le soin apporté dans la finition de ce document. Enfin, je n'oublie pas le travail d'évaluation critique des projets d'article par les différents lecteursarbitres que je tiens à remercier ici collectivement. Auer M., Streff J., 1999. Histoires d’oeufs. Idées et Calendes, Neuchatel, Suisse, 261p.Nau F., Guérin-Dubiard C., Baron F., Thapon J.L., 2010. Science et technologie de l’oeuf et des ovoproduits, Editions Tec et Doc Lavoisier, Paris, France, vol 1, 361p., vol 2, 552p.
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Candau, Joel. "Altricialité." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.087.

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Deux faits signent la nature profonde de l’être humain : (i) un cerveau d’une grande plasticité et (ii) la puissance impérieuse de la culture qui se manifeste non seulement par la diversité et l’intensité de son expression, mais aussi par la forte influence qu’elle exerce rétroactivement sur le développement de notre architecture cérébrale – qui l’a rendue possible. Cette plasticité développementale, résumée dans l’idée que « nous héritons notre cerveau ; nous acquérons notre esprit » (we inherit our brains ; we acquire our minds)(Goldschmidt 2000), relève d’un processus plus général appelé « altricialité » par les éthologues. Le terme est dérivé de l’anglais altricial, mot qui vient lui-même du latin altrix : « celle qui nourrit », « nourrice » (Gaffiot 1934). Dans son acception première, l’altricialité signifie qu’une espèce n’est pas immédiatement compétente à la naissance, contrairement aux espèces dites précoces. C’est le cas, par exemple, de la plupart des passereaux qui naissent les yeux fermés et dont la survie dépend entièrement de l’aide apportée par leur entourage. Il en va de même pour notre espèce. Dans le cas des nouveau-nés humains, toutefois, s’ajoute à l’altricialité primaire une altricialité secondaire. On désigne ainsi le fait que notre cerveau n’est pleinement compétent (sur les plans cognitif, émotionnel, sensoriel et moteur) que tardivement. La force et la durée de la croissance cérébrale post-natale caractérisent cette altricialité secondaire. Du point de vue de la force, le chimpanzé Pan troglodytes, espèce animale qui nous est phylogénétiquement la plus proche, a un coefficient de croissance cérébrale de 2,5 entre la naissance et l’âge adulte, contre 3,3 chez les humains (DeSilva et Lesnik 2008). Du point de vue de la durée, on a longtemps cru que la maturité du cerveau humain coïncidait avec la puberté, mais on sait aujourd’hui que la période de surproduction et d’élimination des épines dendritiques sur les neurones pyramidaux du cortex préfrontal court jusqu’à la trentaine (Petanjeket al. 2011). Outre des contraintes obstétriques, cette maturation prolongée est probablement due aux coûts métaboliques élevés du développement cérébral (Goyal et al. 2014), un processus de co-évolution ayant favorisé l’étalement dans le temps de la dépense énergétique (Kuzawa et al. 2014). Cette forte altricialité cérébrale est propre aux êtres humains, le contrôle génétique qui s’exerce sur l’organisation somatopique de notre cortex, sur la connectique cérébrale et sur les aires d’association étant plus faible que chez le chimpanzé commun. Par exemple, deux frères chimpanzés auront des sillons cérébraux davantage similaires que deux frères humains, parce que le cerveau des premiers est moins réceptif aux influences environnementales que celui des membres de notre espèce (Gómez-Robles et al. 2015). Cette spécificité du cerveau humain est tout aussi importante que son quotient d’encéphalisation (6,9 fois plus élevé que celui d’un autre mammifère du même poids, et 2,6 fois supérieur à celui d’un chimpanzé), le nombre élevé de ses neurones (86 milliards contre 28 milliards chez le chimpanzé), la complexité de sa connectique (environ 1014 synapses), les changements néoténiques lors de l’expression des gènes (Somel et al. 2009) et son architecture complexe. Chez le nouveau-né humain, la neurogenèse est achevée, excepté dans la zone sous-ventriculaire – connectée aux bulbes olfactifs – et la zone sous-granulaire, qui part du gyrus denté de l’hippocampe (Eriksson et al. 1998). Toutefois, si tous les neurones sont déjà présents, le cerveau néonatal représente moins de 30% de sa taille adulte. Immédiatement après la naissance, sa croissance se poursuit au même taux qu’au stade fœtal pour atteindre 50% de la taille adulte vers 1 an et 95% vers 10 ans. Cette croissance concerne essentiellement les connexions des neurones entre eux (synaptogenèse, mais aussi élagage de cette interconnectivité ou synaptose) et la myélinisation néocorticale. À chaque minute de la vie du bébé, rappelle Jean-Pierre Changeux (2002), « plus de deux millions de synapses se mettent en place ! » Au total, 50% de ces connexions se font après la naissance (Changeux 2003). Cette spécificité d’Homo sapiens a une portée anthropologique capitale. Elle expose si fortement les êtres humains aux influences de leur environnement qu’ils deviennent naturellement des êtres hyper-sociaux et hyper-culturels, ce qu’avait pressenti Malinowski (1922 : 79-80) quand il soutenait que nos « états mentaux sont façonnés d’une certaine manière » par les « institutions au sein desquelles ils se développent ». Le développement du cerveau dans la longue durée permet une « imprégnation » progressive du tissu cérébral par l’environnement physique et social (Changeux 1983), en particulier lors des phases de socialisation primaire et secondaire. L’être humain a ainsi des «dispositions épigénétiques à l’empreinte culturelle » (Changeux 2002). Les effets sociaux et les incidences évolutionnaires (Kuzawa et Bragg 2012) d’une telle aptitude sont immenses. L’entourage doit non seulement aider les nouveau-nés, mais aussi accompagner les enfants jusqu’à leur développement complet, l’immaturité du cerveau des adolescents étant à l’origine de leur caractère souvent impulsif. Cet accompagnement de l’enfant se traduit par des changements dans la structure sociale, au sein de la famille et de la société tout entière, notamment sous la forme d’institutions d’apprentissage social et culturel. Les êtres humains sont ainsi contraints de coopérer, d’abord à l’intérieur de leur groupe familial et d’appartenance, puis sous des formes plus ouvertes (voir Coopération). Née de processus évolutifs anciens d’au moins 200 000 ans (Neubaueret al. 2018), l’altricialité secondaire nous donne un avantage adaptatif : contrairement à d’autres espèces, nos comportements ne sont pas « mis sur des rails » à la naissance, ce qui les rend flexibles face à des environnements changeants, favorisant ainsi la diversité phénotypique et culturelle. Cette plasticité cérébrale peut produire le meilleur. Par exemple, 15 mois seulement d’éducation musicale avant l’âge de 7 ans peuvent renforcer les connexions entre les deux hémisphères cérébraux (Schlaug et al. 1995) et induire d’autres changements structuraux dans les régions assurant des fonctions motrices, auditives et visuo-spatiales (Hyde et al. 2009). Une formation musicale précoce prévient aussi la perte d’audition (White-Schwoch et al. 2013) et améliore la perception de la parole (Du et Zatorre 2017). Cependant, comme cela est souvent le cas en évolution, il y a un prix à payer pour cet avantage considérable qu’est l’altricialité secondaire. Il a pour contrepartie un appétit vorace en énergie de notre cerveau (Pontzer et al. 2016). Il nous rend plus vulnérables, non seulement jusqu’à l’adolescence mais tout au long de la vie où, suppose-t-on, des anomalies des reconfigurations neuronales contribuent au développement de certaines pathologies neurologiques (Greenhill et al. 2015). Enfin, un risque associé au « recyclage culturel des cartes corticales » (Dehaene et Cohen 2007) est rarement noté : si ce recyclage peut produire le meilleur, il peut aussi produire le pire, selon la nature de la matrice culturelle dans laquelle les individus sont pris (Candau 2017). Par exemple, le choix social et culturel consistant à développer des industries polluantes peut provoquer des maladies neurodégénératives et divers désordres mentaux (Underwood 2017), notamment chez les enfants (Bennett et al. 2016), phénomène qui est accentué quand il est associé à l’adversité sociale précoce (Stein et al. 2016). Toujours dans le registre économique, la mise en œuvre de politiques qui appauvrissent des populations peut affecter le développement intellectuel des enfants (Luby et al. 2013), un message clé du World Development Report 2015 étant que la pauvreté est une « taxe cognitive ». Un dernier exemple : Voigtländer et Voth (2015) ont montré que les Allemands nés dans les années 1920 et 1930 manifestent un degré d’antisémitisme deux à trois fois plus élevé que leurs compatriotes nés avant ou après cette période. Bien plus souvent que d’autres Allemands, ils se représentent les Juifs comme « une population qui a trop d’influence dans le monde » ou « qui est responsable de sa propre persécution ». Ceci est la conséquence de l’endoctrinement nazi qu’ils ont subi durant toute leur enfance, notamment à l’école, en pleine période d’altricialité secondaire. En résumé, l’altricialité secondaire est au fondement (i) de l’aptitude naturelle de notre cerveau à devenir une représentation du monde et (ii) d’une focalisation culturelle de cette représentation, sous l’influence de la diversité des matrices culturelles, cela pour le meilleur comme pour le pire. Cette hyperplasticité du cerveau pendant la période altricielle laisse la place à une plasticité plus modérée à l’âge adulte puis décroît à l’approche du grand âge, mais elle ne disparaît jamais complètement. Par conséquent, loin de voir dans les données neurobiologiques des contraintes qui auraient pour seule caractéristique de déterminer les limites de la variabilité culturelle – limitation qui est incontestable – il faut les considérer également comme la possibilité de cette variabilité.
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Bouabida, Djamila, Amina Dida, Fatiha Belaoun, Raouida Mecifi, Feroudja Djeghali, Nassim Makhlouf, Feroudja Graine, and Malika Benbouabdelah. "Identification des facteurs de risques de la macrosomie néonatale à l’EHS «Nouar Fadéla », Oran - Algérie." Journal de la faculté de médecine d'Oran 2, no. 2 (December 31, 2018). http://dx.doi.org/10.51782/jfmo.v2i2.75.

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Abstract:
Introduction - Un nouveau-né est dit macrosome si le poids de naissance est supérieurau 90ème percentile selon les courbes de références. C’est une population àrisque exposée à des complications néonatales pouvant compromettre le pronosticvital et ou fonctionnel. L’objectif de l’étude était d’estimer la prévalence hospitalièrede la macrosomie et identifier les facteurs de risques de survenue de celle-ci.Patients et méthodes - Il s’agit d’une étude transversale, descriptive et analytique,réalisée au niveau du service de néonatalogie « Nouar Fadéla ».Résultats - Durant la période du 15 Avril 2015 au 15 Mars 2017 inclus, 6741 accouchementsont été réalisés. Nous avons colligé 889 nouveau nés ayant fait l’objet dela présente étude dont 425 couples mères-nouveau-nés macrosomes, soit une prévalencehospitalière de 6,3 %. Pour les caractéristiques maternelles : en moyenne,les mères étaient âgées de 30 ± 5,70 ans et avaient un IMC de 27,4±4,9kg/m2. Lavoie haute était l’issue principale de l’accouchement des nouveau-nés macrosomes.Pour les caractéristiques des nouveau-nés : le poids de naissance (PN) a varié entre4000gr et 5900gr avec un PN moyen de : 4172 ± 339 gr. La morbidité néonatale chezles macrosomes est dominée de façon respective par : l’hypoglycémie dans 19,3%versus 10,6% chez les eutrophes ; les hématomes profonds dans 3,8% vs 1,9% et laparalysie du plexus brachial (PPB) dans 2,1% versus 0,2 chez les eutrophes.La létalitéétait notée dans 0,9% des cas comparée à 0,6% chez les eutrophes. On a retrouvéun certain nombre d’éléments épidémiologiques intervenant dans la genèse de lamacrosomie : l’obésité, le gain pondéral, l’antécédent de macrosomie, le diabèteet le terme avancé.Conclusion - la macrosomie reste une situation à risque, préoccupante du fait de samorbidité et sa mortalité néonatale.
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