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Clowes, Ron M. "Logan Medallist 5. Geophysics and Geology: An Essential Combination Illustrated by LITHOPROBE Interpretations–Part 2, Exploration Examples." Geoscience Canada 44, no. 4 (December 19, 2017): 135–80. http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2017.44.125.

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Abstract:
Lithoprobe (1984–2005), Canada’s national, collaborative, multidisciplinary, Earth Science research project, investigated the structure and evolution of the Canadian landmass and its margins. It was a highly successful project that redefined the nature of Earth science research in Canada. One of many contributions deriving from the project was the demonstration by example that Earth scientists from geophysics and geology, including all applicable sub-disciplines within these general study areas, must work together to achieve thorough and comprehensive interpretations of all available data sets. In Part 1, this statement was exemplified through studies involving lithospheric structures. In Part 2, it is exemplified by summarizing interpretations from six exploration-related studies derived from journal publications. In the first example, subsurface structures associated with the Guichon Creek batholith in south-central British Columbia, which hosts porphyry copper and molybdenum deposits, are better defined and related to different geological phases of the batholith. Reprocessed seismic reflection data and 2.5-D and 3-D inversions of magnetic and gravity data are combined with detailed geological mapping and drillhole information to generate the revised and improved subsurface interpretation. Research around the Bell Allard volcanogenic massive sulphide deposit in the Matagami region of northern Quebec provides the second example. A seismic reflection line over the deposit shortly after it was discovered by drilling, aided by core and geophysical logs, was acquired to test whether the deposit could be imaged. Direct detection of the ore body from the seismic section would be difficult if its location were not already known; however, structural characteristics that can be tied to lithologies from boreholes and logs were well identified. Nickel deposits and associated structures in the Thompson belt at the western limit of the Superior Province in northern Manitoba were the focus of seismic and electromagnetic (EM) studies combined with geology and physical property measurements. The combined seismic/EM image indicates that the rocks of the prospective Ospwagan Group, which have low resistivity, extend southeastward beneath the Archean gneiss and that structural culminations control the subsurface geometry of the Ospwagan Group. The Sudbury structure in Ontario is famous for its nickel deposits, the largest in the world, which formed as the result of a catastrophic meteorite impact. To help reconcile some of the enigmas and apparent contradictions surrounding studies of the structure and to develop more effective geophysical techniques to locate new deposits, Lithoprobe partnered with industry to carry out geophysical surveys combined with the extensive geological information available. A revised structural model for the Sudbury structure was generated and a 3-D seismic reflection survey identified a nickel deposit, known from drilling results, prior to any mine development. The Athabasca Basin of northwestern Saskatchewan and northeastern Alberta is one of the world’s most prolific producers of uranium from its characteristically high-grade unconformity-type deposits and is the only current uranium producer in Canada. An extensive database of geology, drillhole data and physical properties exists. Working with industry collaborators, Lithoprobe demonstrated the value of high-resolution seismic for imaging the unconformity and faults associated with the deposits. The final example involves a unique seismic reflection experiment to image the diamondiferous Snap Lake kimberlite dyke in the Slave Province of the Northwest Territories. The opportunity to study geological samples of the kimberlite dyke and surrounding rocks and to ground-truth the seismic results with drillhole data made available by the two industry collaborators enabled a case history study that was highly successful.RÉSUMÉLithoprobe (1984-2005), ce projet de recherche pancanadien, multidisciplinaire et concerté en sciences de la Terre, a étudié la structure et l'évolution de la croûte continentale canadienne et de ses marges. Ça a été un projet très réussi et qui a redéfini la nature de la recherche en sciences de la Terre au Canada. L'une des nombreuses retombées de ce projet a démontré par l'exemple que les spécialistes des sciences de la Terre en géophysique et en géologie, y compris toutes les sous-disciplines applicables dans ces domaines d'étude généraux, doivent travailler de concert afin de parvenir à une interprétation exhaustive de tous les ensembles de données disponibles. Dans la partie 1, cette approche s'est concrétisée par des études portant sur les structures lithosphériques. Dans la partie 2, elle a produit un résumé des interprétations tirées de six études liées à l'exploration à partir de publications dans des revues scientifiques. Dans le premier exemple, les structures souterraines associées au batholite du ruisseau Guichon, dans le centre-sud de la Colombie-Britannique, et qui renferme des gisements porphyriques de cuivre et de molybdène, sont maintenant mieux définies et mieux reliées aux différentes phases géologiques du batholite. Un retraitement des données de sismique réflexion, et d’inversion magnétique et gravimétrique 2,5-D et 3-D combiné à une cartographie géologique détaillée et à des données de forage ont permis une interprétation révisée et améliorée du de subsurface. La recherche autour du gisement de sulfures massifs volcanogéniques de Bell Allard de la région de Matagami, dans le nord du Québec, est un deuxième exemple. Un levé de sismique réflexion réalisé au-dessus du gisement, peu après sa découverte par forage, couplé avec des diagraphies géophysiques et de carottes, a été réalisé pour vérifier si l'ensemble pouvait donner une image du gisement. La détection directe du gisement de minerai à partir de la coupe sismique serait difficile si son emplacement n'était pas déjà connu; cependant, les caractéristiques structurales qui peuvent être liées aux lithologies déduites des forages et des diagraphies ont été bien définies. Les gisements de nickel et les structures qui y sont reliées dans la bande de Thompson, à la limite ouest de la province du Supérieur, dans le nord du Manitoba, ont fait l'objet d'études sismiques et électromagnétiques (EM), combinés à des mesures de caractéristiques géologiques et physiques. L'image sismique/EM combinée indique que les roches du groupe d’intérêt d’Ospwagan, lesquelles ont une résistivité faible, s'étendent vers le sud-est sous le gneiss archéen et, les culminations structurales contrôlent la géométrie souterraine du groupe d’Ospwagan. La structure de Sudbury, en Ontario, est réputée pour ses gisements de nickel, les plus importants au monde, lesquels se sont formés à la suite d'un impact météoritique catastrophique. Pour aider à comprendre certaines des énigmes et résoudre d’apparentes contradictions entourant les études de la structure, et pour développer des techniques géophysiques plus efficaces afin de localiser de nouveaux gisements, Lithoprobe s'est associé à l'entreprise privée pour réaliser des levés géophysiques, et les comparer aux très nombreuses informations géologiques disponibles. Une révision du modèle structural du gisement de Sudbury, ajouté à un levé sismique réflexion tridimensionnelle, ont permis de circonscrire un gisement de nickel, avant tout autre travail de développement minier. Le bassin de l'Athabasca, dans le nord-ouest de la Saskatchewan et le nord-est de l'Alberta, est l'un des producteurs d'uranium les plus prolifiques au monde provenant de gisements à haute teneur de type discordant, et est le seul producteur d'uranium au Canada. Une volumineuse base de données sur la géologie, les forages et les propriétés physiques est disponible. En collaboration avec des entreprises privées, Lithoprobe a démontré la valeur de la sismique à haute résolution pour l'imagerie de la discordance et des failles associées aux gisements. Le dernier exemple est celui d'une expérience de sismique réflexion unique visant à représenter le dyke de kimberlite diamantifère du lac Snap dans la province des Esclaves, dans les Territoires du Nord-Ouest. L'occasion d'étudier des échantillons géologiques du dyke de kimberlite, et des roches environnantes, et de valider les résultats sismiques à l'aide des données de forage mises à disposition par les deux partenaires privés, a permis une étude de cas très fructueuse.
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Prieur, A., E. Robert, J. Deroire, and M. Bailly. "Digitisation and computerizing of the palaeontological sites file of the Geological collections at Université C. Bernard Lyon 1." Treballs del Museu de Geologia de Barcelona 21 (December 2015): 39–44. http://dx.doi.org/10.32800/tmgb.2015.21.0039.

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BRIGNON, Arnaud. "The paleoichthyological and geological researches on the Permian deposits of Muse near Autun (Saône-et-Loire, France) at the beginning of the XIXth century." Bulletin de la Société Géologique de France 185, no. 4 (April 1, 2014): 233–52. http://dx.doi.org/10.2113/gssgfbull.185.4.233.

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Abstract:
Abstract Le gisement Autunien de Muse est célèbre pour ses richesses paléontologiques et notamment pour sa « couche aux poissons » dans laquelle les Aeduellidae (Pisces, Actinopterygii) sont particulièrement abondants. Alors que l’histoire de ce gisement est bien documentée à partir de la fin des années 1830, les premières recherches paléontologiques et géologiques qui y ont été faites avant cette période, restent encore mal connues. Un manuscrit inédit d’Alexander von Humboldt révèle qu’il avait étudié en mars 1805 la géologie de la région d’Autun où il avait reconnu le Zechstein. Un témoignage consigné dans la Feuille du Canton de Vaud permet de faire remonter à l’année 1811 la collecte des premiers spécimens de poissons à Muse. Deux naturalistes et géologues, François-Joseph Lainé et Cyprien Prosper Brard, sont à l’origine de ces découvertes. Dans les années 1820, de nombreux poissons fossiles de Muse furent ensuite collectés par Augustin Henri de Bonnard. Des spécimens d’Aeduella blainvillei (Agassiz, 1833) faisant partie des premières découvertes faites à Muse ont été identifiés dans les collections du Musée cantonal de Géologie à Lausanne et dans celles du Muséum national d’Histoire naturelle, Paris. Cet inventaire a permis de retrouver plusieurs spécimens de la collection Alexandre Brongniart sur lesquelles Henri-Marie Ducrotay de Blainville a établi les espèces « Palaeothrissum inaequilobum » et « Palaeothrissum parvum ». La partie postérieure d’un des spécimens de la série type de « Palaeoniscus voltzii » Agassiz, 1833 qui était considéré comme perdu depuis longtemps, a également été identifiée. Un dessin inédit conservé dans les archives de Cuvier montrant une plaque de schiste de Muse avec deux Aeduella blainvillei est présenté. Cette pièce était conservée dans le Cabinet d’histoire naturelle de Barthélémy Faujas de Saint-Fond. Ce dessin constitue la plus ancienne représentation de poissons fossiles de cette localité réalisée avant les figures publiées en 1833 et 1834 par Louis Agassiz dans ses Recherches sur les poissons fossiles. Les découvertes paléoichthyologiques effectuées à Muse et Igornay par plusieurs personnalités comme Landriot, Selligue et Héricart de Thury dans les années 1830 sont aussi mises en lumière. Pour finir, des documents manuscrits inédits rédigés vers 1824 dévoilent les différentes opinions d’Ami Boué, Alexander von Humboldt et Augustin Henri de Bonnard sur la position stratigraphique des schistes bitumineux de la région d’Autun bien avant que le Permien ne soit créé par le géologue britannique Roderick Impey Murchison en 1841.
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Marcoux, Éric, and Michel Jébrak. "Plombotectonique des gisements du Maroc." BSGF - Earth Sciences Bulletin 192 (2021): 31. http://dx.doi.org/10.1051/bsgf/2021019.

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Abstract:
La synthèse de 240 analyses isotopiques du plomb, mesurées sur les gisements miniers marocains d’âges édiacarien à néogène appartenant à tous les domaines géotectoniques du Maroc autorise une réflexion globale sur la métallogénie du Maroc. Les compositions isotopiques varient grandement, de 17,738 (Bou Skour) à 18,905 (Draa Sfar) pour le rapport 206Pb/204Pb, et de 15,521 à 15,706 pour le rapport 207Pb/204Pb. La source du plomb des gisements étudiés se situe dans la croûte continentale supérieure, excepté pour ceux de l’Anti-Atlas (Bou Skour, Imiter…) et certains du Haut-Atlas (Azegour) à nette contribution du manteau. Les variations isotopiques relevées à l’échelle d’un district résultent soit de la présence de plusieurs événements hydrothermaux superposés sollicitant différentes sources locales comme à Tighza, soit d’un seul événement perturbé par la segmentation d’un bassin volcanosédimentaire, comme pour les amas sulfurés des Jebilet et Guemassa. À l’échelle du gisement (Draa Sfar, Bou Skour), les variations isotopiques résultent de la superposition de plusieurs événements hydrothermaux avec chacun leur propre plomb et métaux associés. Globalement, on peut distinguer trois générations de plomb incorporées successivement dans le socle géologique marocain par le magmatisme et/ou l’hydrothermalisme, caractérisées par leurs rapports 206Pb/204Pb : 17,74–17,90 (panafricain), 18,10–18,40 (hercynien) et 18,75–18,90 (alpin). Le plomb panafricain est présent dans l’Anti-Atlas, et très localement dans la Meseta (Bouznika), et se nourrit en partie du magmatisme mafique du Gondwana. Le plomb hercynien est le plus représenté et affiche une rupture définitive dans la source des métaux dès lors exclusivement crustale. Il envahit tous les domaines marocains, y compris l’Anti-Atlas, où il remobilise et se mélange avec le plomb panafricain. Le plomb alpin, plus discret, jalonne la large écharpe allant d’Agadir à Nador qui trace en surface le panache mantellique des Canaries et accompagne un magmatisme néogène qui peut aussi avoir agi comme simple moteur remobilisant le plomb hercynien, notamment pour former les gisements MVT de Touissit. Les plombs hercynien et alpin sont en partie responsables du rajeunissement des minéralisations néoprotérozoïques, comme à Bou Azzer ou Imiter. Le Maroc illustre le modèle de Sawkins avec un apport majeur du plomb lors du magmatisme fini-orogénique. Les résultats isotopiques plaident en faveur de remobilisations successives du plomb stocké dans des réservoirs primaires et secondaires avec des phénomènes d’héritage. Enfin le bon transfert de la signature isotopique du plomb des gisements aux gossans de surface, notamment pour les gisements stratiformes de sulfures polymétalliques de type Hajar, montre que la géochimie isotopique du plomb est un outil utilisable pour l’exploration minière au Maroc.
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Rziki, S., A. Alansari, E. M. Mouguina, J. Simard, M. Zouhair, and L. Maacha. "Apport du modèle géologique et géophysique 3D dans le développement du gisement polymétallique de Draa Sfar (Massif hercynien des Jebilet centrales, Maroc)." Estudios Geológicos 68, no. 1 (October 7, 2011): 29–40. http://dx.doi.org/10.3989/egeol.40366.138.

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Monnier, Jean-Laurent. "Le gisement paléolithique moyen des Gastines (Ille-et-Vilaine). Etude géologique et archéologique." Revue archéologique de l'ouest 5, no. 1 (1988): 11–33. http://dx.doi.org/10.3406/rao.1988.917.

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Lageat, Yannick. "L’érosion différentielle dans les roches cristallines : l’exemple de la région de Barberton dans le Transvaal oriental, république d’Afrique du Sud." Géographie physique et Quaternaire 32, no. 2 (January 25, 2011): 105–17. http://dx.doi.org/10.7202/1000344ar.

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Abstract:
Les traits majeurs du relief de la région de Barberton, au pied du Drakensberg du Transvaal, section du Grand Escarpement d’Afrique australe, relèvent d’une érosion différentielle très nuancée dans le socle cristallin précambrien, à partir d’une surface d’aplanissement gauchie, provisoirement datée de l’Éogène. Les recherches poursuivies par les géologues de l’université du Witwatersrand (Johannesburg) dans le Transvaal oriental montrent quel fructueux parti la géomorphologie peut tirer des reconnaissances détaillées portant sur la pétrographie et le mode de gisement des roches cristallines. Les granites leucocrates de coupole et les granites des plutons superficiels se placent au sommet d’une échelle de résistance, tandis que les granites des plutons plus profonds, les granodiorites en massifs circonscrits et les gneiss infras-tructuraux occupent une position déprimée. Grâce aux racines d’une vieille chaîne de plissement pincées au sein du socle, la distribution des affleurements granitiques s’éclaire dans un contexte tecto-orogénique : au-delà de la composition chimique et minéralogique et de l’arrangement des minéraux, cette relation appelle l’attention sur la fissuration et la perméabilité parmi les facteurs d’érosion différentielle dans les roches cristallines.
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Jumel, Guy, and Jean Laurent Monnier. "Le gisement paléolithique inférieur de Saint-Malo-de-Phily (Ille-et-Vilaine) : une confirmation géologique et archéologique." Revue archéologique de l'ouest 7, no. 1 (1990): 5–8. http://dx.doi.org/10.3406/rao.1990.944.

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Pouclet, André, Pierre-Louis Guillot, and Ahmedou Ba Gatta. "Nouvelles données lithostructurales, pétrographiques, minéralogiques et géochimiques sur le gisement de cuivre d'Akjoujt et son environment géologique (République Islamique de Mauritanie)." Journal of African Earth Sciences (1983) 6, no. 1 (January 1987): 29–43. http://dx.doi.org/10.1016/0899-5362(87)90105-9.

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Wilton, Derek H. C. "Albert Peter Low — The Iron Man of Labrador." Geoscience Canada 45, no. 1 (April 20, 2018): 43–58. http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2018.45.130.

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Abstract:
In 1893–1894, Albert Peter Low of the Geological Survey of Canada, along with D.I.V. Eaton and four indigenous assistants explored the Labrador Peninsula, then perceived as one of the last great unexplored wilderness areas of North America. The expedition left Lake St. John (now Lac St. Jean) on June 17, 1893, canoeing across the northeastern edge of the North American continent, arriving at Fort Chimo (now Kuujjuaq) on August 27, 1893. They departed Fort Chimo by steamer for Rigolet on the Labrador coast and the Hudson Bay Company post at North West River in the fall of 1893. On March 6, 1894 the party started up the Grand (now Churchill) River continuing through large central lakes into the Ashuanipi river system in western Labrador, then out via the Attikonak River to the Romaine River and finally the Saint Jean river system to arrive at Mingan on the north shore of the St. Lawrence River on August 23, 1894. Low described their fifteen-month journey as having covered over 8700 km including 1600 km on foot, over 4700 km in canoe, 800 km by dog team and 1600 km by steamer. The report from the expedition provides a compendium on the natural history of the region as well as the first geological maps. In terms of economic and scientific results, the greatest was documentation of the vast iron ore deposits of western Labrador; a world-class mining district that has been producing for sixty-three years since 1954. Low’s account also provides details on the essence of such an epic journey, which stands as a classic in the annals of Canadian geological surveying.RÉSUMÉEn 1893–1894, Albert Peter Low de la Commission géologique du Canada, accompagné du D.I.V. Eaton et quatre assistants autochtones ont exploré la péninsule du Labrador, alors perçue comme l'une des dernières grandes étendues sauvages inexplorées d’Amérique du Nord. L’équipe a quitté le Lake St. John (aujourd'hui le lac Saint-Jean) le 17 juin 1893, a traversé la bordure nord-est du continent nord-américain en canoë, et est arrivé à Fort Chimo (aujourd'hui Kuujjuaq) le 27 août 1893. À l'automne de 1893, ils ont quitté Fort Chimo à bord d'un vapeur pour Rigolet, sur la côte du Labrador, et le poste de la Compagnie de la Baie d'Hudson sur la rivière North West. Le 6 mars 1894, les membres de l'équipe ont remonté la rivière Grand (aujourd'hui Churchill), puis à travers les grands lacs centraux jusqu'au bassin de la rivière Ashuanipi, dans l'ouest du Labrador, puis, par la rivière Attikonak jusqu' à la rivière Romaine et, enfin, le réseau de la rivière Saint-Jean jusqu’à Mingan, sur la rive nord du fleuve Saint-Laurent, le 23 août 1894. L’excursion décrite par Low a duré quinze mois et parcouru plus de 8700 km dont 1600 km à pied, plus de 4700 km en canoë, 800 km en attelage de chiens et 1600 km en bateau à vapeur. Le rapport de l'expédition constitue un recueil sur l'histoire naturelle de la région ainsi que des premières cartes géologiques. En ce qui concerne les répercussions économiques et scientifiques, la plus importante en a été la documentation des vastes gisements de minerai de fer de l'ouest du Labrador, un district minier de classe mondiale, en production pendant soixante-trois ans depuis 1954. Le récit de Low fournit également des détails sur le caractère épique d’une telle expédition, laquelle est un classique dans les annales de la Commission géologique du Canada.
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Hildebrand, Robert S. "Geology, Mantle Tomography, and Inclination Corrected Paleogeographic Trajectories Support Westward Subduction During Cretaceous Orogenesis in the North American Cordillera." Geoscience Canada 41, no. 2 (May 7, 2014): 207. http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2014.41.032.

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Abstract:
Geological evidence, including the presence of two passive margin platforms, juxtaposed and mismatched deformation between North America and more outboard terranes, as well as the lack of rift deposits, suggest that North America was the lower plate during both the Sevier and Laramide events and that subduction dipped westward beneath the Cordilleran Ribbon Continent (Rubia). Terranes within the composite ribbon continent, now present in the Canadian Cordillera, collided with western North America during the 125–105 Ma Sevier event and were transported northward during the ~80–58 Ma Laramide event, which affected the Cordillera from South America to Alaska. New high-resolution mantle tomography beneath North America reveals a huge slab wall that extends vertically for over 1000 km, marks the site of long-lived subduction, and provides independent verification of the westward-dipping subduction model. Other workers analyzed paleogeographic trajectories and concluded that the initial collision took place in Canada at about 160 Ma – a time and place for which there is no deformational thickening on the North American platform – and later farther west where subduction was not likely westward, but eastward. However, by utilizing a meridionally corrected North American paleogeographic trajectory, coupled with the geologically most reasonable location for the initial deformation, the position of western North America with respect to the relict superslab parsimoniously accounts for the timing and extents of both the Sevier and Laramide events. SOMMAIRELes indications géologiques, en particulier la présence de deux marges de plateforme passives, de déformations adjacentes non-conformes entre l’Amérique du Nord et les terranes extérieurs, ainsi que l’absence de gisements de rift, permet de croire que l’Amérique du Nord était la plaque sous-jacente durant les événements de Sevier et de Laramide et que la subduction plongeait vers l’ouest sous le continent rubané de la Cordillères (Rubia). Les terranes du continent rubané composite, maintenant au sein de la Cordillère canadienne, sont entrés en collision avec l’ouest de l’Amérique du Nord durant l’événement Sevier (125-105 Ma), et ont été transportés vers le nord durant l’événement Laramide (~80–58 Ma), laquelle a affecté la Cordillère, de l’Amérique du Sud à l’Alaska. Une nouvelle tomographie haute résolution du manteau sous l’Amérique du Nord montre la présence d’un gigantesque mur de plaques vertical qui s’étend sur 1 000 km, marque le site d’une subduction de longue haleine, et offre une validation indépendante du modèle d’une subduction à pendage vers l’ouest. D’autres chercheurs ont analysé les trajectoires paléogéographiques et conclu que la collision initiale s’est produite au Canada vers 160 Ma – un moment et un endroit sans épaississement par déformation sur la plateforme d’Amérique du Nord – et plus tard plus à l’ouest, là où la subduction n’était vraisemblablement pas vers l’ouest, mais vers l’est. Cela dit, en considérant une trajectoire paléogéographique de l’Amérique du Nord corrigée longitudinalement, avec la position géologique la plus probable de la déformation initiale, la position de la portion ouest de l’Amérique du Nord par rapport aux restes de la super-plaque explique alors facilement la chronologie et l’étendue des épisodes Sevier et Laramide.
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Yakymchuk, Chris. "Applying Phase Equilibria Modelling to Metamorphic and Geological Processes: Recent Developments and Future Potential." Geoscience Canada 44, no. 1 (April 20, 2017): 27. http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2017.44.114.

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Abstract:
Phase equilibria modelling has played a key role in enhancing our understanding of metamorphic processes. An important breakthrough in the last three decades has been the ability to construct phase diagrams by integrating internally consistent datasets of the thermodynamic properties of minerals, fluids and melts with activity–composition models for mixed phases that calculate end-member activities from end-member proportions. A major advance in applying phase equilibria modelling to natural rocks is using isochemical phase diagrams to explore the phase assemblages and reaction sequences applicable for a particular sample. The chemical systems used for modelling phase equilibria are continually evolving to provide closer approximations to the natural compositions of rocks and allow wider varieties of compositions to be modelled. Phase diagrams are now routinely applied to metasedimentary rocks, metabasites and intermediate to felsic intrusive rocks and more recently to ultramafic rocks and meteorites. While the principal application of these phase diagrams is quantifying the pressure and temperature evolution of metamorphic rocks, workers are now applying them to other fields across the geosciences. For example, phase equilibria modelling of hydrothermal alteration and the metamorphism of hydrothermally altered rocks can be used to determine ‘alteration vectors’ to hydrothermal mineral deposits. Combining the results of phase equilibria of rock-forming minerals with solubility equations of accessory minerals has provided new insights into the geological significance of U–Pb ages of accessory minerals commonly used in geochronology (e.g. zircon and monazite). Rheological models based on the results of phase equilibria modelling can be used to evaluate how the strength of the crust and mantle can change through metamorphic and metasomatic processes, which has implications for a range of orogenic processes, including the localization of earthquakes. Finally, phase equilibria modelling of fluid generation and consumption during metamorphism can be used to explore links between metamorphism and global geochemical cycles of carbon and sulphur, which may provide new insights into the secular change of the lithosphere, hydrosphere and atmosphere.RÉSUMÉLa modélisation des équilibres de phases a joué un rôle clé dans l’amélioration de notre compréhension des processus métamorphiques. Une percée importante au cours des trois dernières décennies a été la capacité de construire des diagrammes de phase en y intégrant des ensembles de données cohérentes des propriétés thermodynamiques des minéraux, des fluides et des bains magmatiques avec des modèles d'activité-composition pour des phases mixtes qui déduisent l’activité des membres extrêmes à partir des proportions des membres extrêmes. Une avancée majeure dans l'application de la modélisation d'équilibre de phase aux roches naturelles consiste à utiliser des diagrammes de phases isochimiques pour étudier les assemblages de phase et les séquences de réaction applicables pour un échantillon particulier. Les systèmes chimiques utilisés pour la modélisation des équilibres de phase évoluent continuellement pour fournir des approximations plus proches des compositions naturelles des roches et permettent de modéliser de plus grandes variétés de compositions. Les diagrammes de phase sont maintenant appliqués de façon routinière aux roches métasédimentaires, aux métabasites et aux roches intrusives intermédiaires à felsiques et plus récemment aux roches ultramafiques et aux météorites. Bien que l'application principale de ces diagrammes de phase consiste à quantifier l'évolution de la pression et de la température des roches métamorphiques, les utilisateurs les appliquent maintenant à d'autres spécialités des géosciences. Par exemple, la modélisation des équilibres de phase de l'altération hydrothermale et du métamorphisme des roches d’altération hydrothermale peut être utilisée pour déterminer les « vecteurs d'altération » des gisements minéraux hydrothermaux. La combinaison des résultats des équilibres de phase des minéraux constitutifs des roches avec des équations de solubilité des minéraux accessoires a permis d’en savoir davantage sur la signification géologique des âges U–Pb des minéraux accessoires couramment utilisés en géochronologie (par exemple zircon et monazite). Les modèles rhéologiques basés sur les résultats de la modélisation des équilibres de phase peuvent être utilisés pour évaluer comment la résistance de la croûte et du manteau peut changer à travers des processus métamorphiques et métasomatiques, ce qui a des implications sur une gamme de processus orogéniques, y compris la localisation des séismes. Enfin, la modélisation des équilibres de phase de la génération et de l’absorption des fluides pendant le métamorphisme peut être utilisée pour explorer les liens entre le métamorphisme et les cycles géochimiques globaux du carbone et du soufre, ce qui peut fournir de nouvelles perspectives sur le changement séculaire de la lithosphère, de l'hydrosphère et de l'atmosphère.
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"Plusieurs types d’exploitation minière." Revue Générale Nucléaire, no. 4 (July 2021): 38–39. http://dx.doi.org/10.1051/rgn/20214038.

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Abstract:
Selon la géologie, la géographie du site, la qualité de la matière à extraire et à concentrer, l’exploitation minière diffère. S’agissant de l’uranium, plusieurs méthodes d’extraction sont mises en œuvre : la mine à ciel ouvert, la mine souterraine, la mine de récupération in situ (ISR) ou le jet boring pour des gisements où la teneur en uranium est importante et où les sols sont gorgés d’eau.
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McCutcheon, Steven R., and James A. Walker. "Great Mining Camps of Canada 7. The Bathurst Mining Camp, New Brunswick, Part 1: Geology and Exploration History." Geoscience Canada, October 31, 2019, 137–54. http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2019.46.150.

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Abstract:
The Bathurst Mining Camp of northern New Brunswick is approximately 3800 km2 in area, encompassed by a circle of radius 35 km. It is known worldwide for its volcanogenic massive sulphide deposits, especially for the Brunswick No. 12 Mine, which was in production from 1964 to 2013. The camp was born in October of 1952, with the discovery of the Brunswick No. 6 deposit, and this sparked a staking rush with more hectares claimed in the province than at any time since. In 1952, little was known about the geology of the Bathurst Mining Camp or the depositional settings of its mineral deposits, because access was poor and the area was largely forest covered. We have learned a lot since that time. The camp was glaciated during the last ice age and various ice-flow directions are reflected on the physiographic map of the area. Despite abundant glacial deposits, we now know that the camp comprises several groups of Ordovician predominantly volcanic rocks, belonging to the Dunnage Zone, which overlie older sedimentary rocks belonging to the Gander Zone. The volcanic rocks formed during rifting of a submarine volcanic arc on the continental margin of Ganderia, ultimately leading to the formation of a Sea of Japan-style basin that is referred to as the Tetagouche-Exploits back-arc basin. The massive sulphide deposits are mostly associated with early-stage, felsic volcanic rocks and formed during the Middle Ordovician upon or near the sea floor by precipitation from metalliferous fluids escaping from submarine hot springs. The history of mineral exploration in the Bathurst Mining Camp can be divided into six periods: a) pre-1952, b) 1952-1958, c) 1959-1973, d) 1974-1988, and e) 1989-2000, over which time 45 massive sulphide deposits were discovered. Prior to 1952, only one deposit was known, but the efforts of three men, Patrick (Paddy) W. Meahan, Dr. William J. Wright, and Dr. Graham S. MacKenzie, focused attention on the mineral potential of northern New Brunswick, which led to the discovery of the Brunswick No. 6 deposit in October 1952. In the 1950s, 29 deposits were discovered, largely resulting from the application of airborne surveys, followed by ground geophysical methods. From 1959 to 1973, six deposits were discovered, mostly satellite bodies to known deposits. From 1974 to 1988, five deposits were found, largely because of the application of new low-cost analytical and geophysical techniques. From 1989 to 2000, four more deposits were discovered; three were deep drilling targets but one was at surface. RÉSUMÉLe camp minier de Bathurst, dans le nord du Nouveau-Brunswick, s’étend sur environ 3 800 km2 à l’intérieur d’un cercle de 35 km de rayon. Il est connu dans le monde entier pour ses gisements de sulfures massifs volcanogènes, en particulier pour la mine Brunswick n° 12, exploitée de 1964 à 2013. Le camp est né en octobre 1952 avec la découverte du gisement Brunswick n° 6 et a suscité une ruée au jalonnement sans précédent avec le plus d’hectares revendiqués dans la province qu’à présent. En 1952, on savait peu de choses sur la géologie du camp minier de Bathurst ou sur les conditions de déposition de ses gisements minéraux, car l’accès était très limité et la zone était en grande partie recouverte de forêt. Nous avons beaucoup appris depuis cette période. Le camp était recouvert de glace au cours de la dernière période glaciaire et diverses directions d’écoulements glaciaires sont révélées sur la carte physiographique de la région. Malgré des dépôts glaciaires abondants, nous savons maintenant que le camp comprend plusieurs groupes de roches ordoviciennes à prédominance volcanique, appartenant à la zone Dunnage, qui recouvrent de plus vieilles roches sédimentaires de la zone Gander. Les roches volcaniques se sont formées lors du rifting d’un arc volcanique sous-marin sur la marge continentale de Ganderia, ce qui a finalement abouti à la formation d’un bassin de type mer du Japon, appelé bassin d’arrière-arc de Tetagouche-Exploits. Les gisements de sulfures massifs sont principalement associés aux roches volcaniques felsiques de stade précoce et se sont formés au cours de l’Ordovicien moyen sur ou proche du plancher océanique par la précipitation de fluides métallifères s’échappant de sources chaudes sous-marines. L’histoire de l’exploration minière dans le camp minier de Bathurst peut être divisée en six périodes: a) antérieure à 1952, b) 1952-1958, c) 1959-1973, d) 1974-1988 et e) 1989-2000, au cours desquelles 45 dépôts de sulfures massifs ont été découverts. Avant 1952, un seul dépôt était connu, mais les efforts de trois hommes, Patrick (Paddy) W. Meahan, William J. Wright et Graham S. MacKenzie, ont attiré l’attention sur le potentiel minier du nord du Nouveau-Brunswick, ce qui a conduit à la découverte du gisement Brunswick n° 6 au mois d’octobre 1952. Dans les années 50, 29 gisements ont été découverts, résultant en grande partie de l’utilisation de levés aéroportés, suivis de campagnes géophysiques terrestres. De 1959 à 1973, six gisements ont été découverts. Ce sont essentiellement des formations satellites de gisements connus. De 1974 à 1988, cinq gisements ont été découverts, principalement grâce à l’utilisation de nouvelles techniques analytiques et géophysiques peu coûteuses. De 1989 à 2000, quatre autres gisements ont été découverts. Trois étaient des cibles de forage profondes, mais l’un était à la surface.
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Ootes, Luke, Sarah A. Gleeson, Elizabeth Turner, Kirsten Rasmussen, Steve Gordey, Hendrik Falck, Edith Martel, and Kelly Pierce. "Metallogenic Evolution of the Mackenzie and Eastern Selwyn Mountains of Canada’s Northern Cordillera, Northwest Territories: A Compilation and Review." Geoscience Canada 40, no. 1 (April 26, 2013). http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2013.40.005.

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Abstract:
The Mackenzie and eastern Selwyn Mountains, Northwest Territories, Canada, are the northeast expression of the Cordilleran orogen and have a geologic history that spans the last one billion years. The region has undergone a diverse tectonic evolution, which is reflected in an equally diverse collection of mineral deposits and prospects. More than 300 of these deposits and prospects have been documented in this area of the Northwest Territories and here they are categorized into mineral deposit types and their mode of formation evaluated and highlighted. Stratiform/stratabound Cu-Ag occurrences are hosted in the Neoproterozoic Coates Lake Group, generally preserved in the hanging wall of the Cretaceous Plateau fault, and define a belt through the central part of the Mackenzie Mountains. Low-grade phosphatic stratiform iron (47.5% Fe) occurs as iron formation in the Neoproterozoic Rapitan Group in the very northwest of the Mackenzie Mountains. Sedimentary exhalative Zn-Pb (± Ba) deposits are preserved in Cambrian through Devonian strata of the Selwyn Basin in the eastern Selwyn Mountains. Numerous carbonate-hosted Zn-Pb (± base-metals) occurrences are located in the Paleozoic strata of the Mackenzie Platform in the Mackenzie Mountains. Cretaceous felsic-intermediate plutons, which occur throughout the eastern Selwyn Mountains, are associated with tungsten skarn (proximal to intrusions), base-metal skarn (distal from intrusions), rare metals, semi-precious tourmaline related to pegmatites, and vein-hosted emeralds. Other resources of potential interest include coal deposits, placer gold, and possible Carlin-type gold deposits that have recently been identified farther west in the Yukon.SOMMAIRELes monts Mackenzie et ceux de la chaîne orientale de Selwyn, dans les Territoires du Nord-Ouest, au Canada, sont l'expression au nord-est de l'orogène de la Cordillère, et leur histoire géologique s’étale sur le dernier milliard d’années. La région a été l’hôte d’une évolution tectonique diversifiée, et cela se reflète par une suite tout aussi diversifiée de gisements minéraux et d’indices prometteurs. Plus de 300 de ces dépôts et indices prometteurs ont été documentées dans cette région des Territoires du Nord-Ouest, et le présent article ils sont classés en types de gîtes minéraux, et l’attention est portée sur leur mode de formation. Les gisements de Cu-Ag stratiformes ou stratoïdes sont encaissés dans le Groupe néoprotérozoïque de Coates Lake, et ils sont généralement préservés dans l'éponte supérieure de la faille du plateau crétacé, et ils forment une bande qui traverse la partie centrale des monts Mackenzie. Le fer se retrouve dans des gisements phosphatées stratiformes à faible teneur (47,5% Fe) qui provient de formations de fer dans le Groupe néoprotérozoïque de Rapitan situé dans la pointe nord-ouest des monts Mackenzie. Des gisements sédimentaires exhalatifs de Zn-Pb (± Ba) sont préservés dans des strates cambriennes à dévoniennes du bassin de Selwyn dans la portion est des monts Selwyn. De nombreux indices de Zn-Pb (± métaux communs) dans des roches carbonatées des strates paléozoïques de la plate-forme de Mackenzie, des monts Mackenzie. Des plutons felsiques intermédiaires crétacés, qui pointent tout au long de la chaîne est de Selwyn, sont associées à des skarns de tungstène (proximaux), à des skarns de métaux communs (distaux), à des concentrations de métaux rares, de tourmaline semi-précieuses liés aux pegmatites, et à des émeraudes filoniennes. Parmi d’autres ressources d'intérêt, on retrouve des gisements de charbon, d'or alluvionnaire, et d’éventuels gisements d'or de type Carlin qui ont été découverts récemment plus à l'ouest au Yukon.
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