Academic literature on the topic 'Parenté – Brésil – Amazonas (Brésil, État)'

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Journal articles on the topic "Parenté – Brésil – Amazonas (Brésil, État)"

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Cortado, Thomas Jacques. "Maison." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.131.

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Abstract:
Le champ sémantique de la maison imprègne nos perceptions individuelles et collectives du monde comme peu d’autres. Il suffit de songer à la distinction très marquée entre house et home en anglais, si difficile à retranscrire dans nos langues latines, ou encore aux usages politiques de l’expression « chez nous » en français. Ce champ renvoie à des lieux souvent riches d’affects, de mémoires et de désirs, qui nous définissent en propre et orientent nos perceptions du temps et de l’espace. Ils font d’ailleurs la matière des poètes, peintres et autres artistes. À cet égard, lorsque nous perdons notre maison, nous ne nous retrouvons pas seulement privés d’un bien utile et échangeable, d’un « logement », nous voyons aussi s’effacer une partie de nous-mêmes et le centre à partir duquel s’organise notre existence quotidienne. En dépit de sa densité, les anthropologues ont d’abord rabattu le thème de la maison sur ceux de la famille et de la culture matérielle. Pour Lewis H. Morgan, la forme de l’espace domestique ne fait qu’épouser un certain type d’organisation familiale; elle en est, pour ainsi dire, le révélateur (1877). À la « hutte » des « sauvages » correspond donc la famille consanguine, qui autorise le mariage entre cousins, alors qu’à la « maison commune » des « barbares » correspond la famille patriarcale, autoritaire et polygame. Les « maisons unifamiliales » de l’Occident contemporain renvoient à la famille nucléaire, fondement de la « civilisation ». Quant aux anthropologues davantage intéressés par l’architecture et les artefacts domestiques, leurs analyses consistent souvent à expliquer leur genèse en accord avec une vision évolutionniste du progrès technique ou par des facteurs géographiques. On aurait pu s’attendre à ce que l’invention de l’ethnographie par Bronislaw Malinowski ouvre de nouvelles perspectives. Avec elle, c’est en effet un certain rapport à la maison qui se met à définir le métier d’anthropologue, celui-là même qu’exemplifie la célèbre représentation de ce dernier sous sa tente, immortalisée dans la première planche photographique des Argonautes du Pacifique occidental. Pour autant, la maison reste un objet secondaire par rapport à l’organisation de la vie familiale, le vrai principe de la société. Elle est avant tout le lieu où le couple choisit de résider après le mariage et ce choix se plie à certaines « règles », dont on peut assez facilement faire l’inventaire, grâce aux liens de filiation entre les membres du couple et les autres résidents (Murdock 1949). On parlera, par exemple, de résidence « matrilocale » quand le couple emménage chez les parents de l’épouse, « patrilocale » dans le cas inverse. Quant aux sociétés occidentales, où le couple forme habituellement un nouveau ménage, on parlera de résidence « néolocale ». La critique de ces règles permet, dans les années 1950 et 1960, d’étendre la réflexion sur la maison. Face aux difficultés concrètes que pose leur identification, Ward Goodenough suggère d’abandonner les taxinomies qui « n’existent que dans la tête des anthropologues » et de « déterminer quels sont, de fait, les choix résidentiels que les membres de la société étudiée peuvent faire au sein de leur milieu socioculturel particulier » (1956 : 29). Autrement dit, plutôt que de partir d’un inventaire théorique, il faut commencer par l’étude des catégories natives impliquées dans les choix résidentiels. La seconde critique est de Meyer Fortes, qui formule le concept de « groupe domestique », « unité qui contrôle et assure l’entretien de la maison (householding and housekeeping unit), organisée de façon à offrir à ses membres les ressources matérielles et culturelles nécessaires à leur conservation et à leur éducation » (1962 : 8). Le groupe domestique, à l’instar des organismes vivants, connaît un « cycle de développement ». En Europe du sud, par exemple, les enfants quittent le domicile parental lorsqu’ils se marient, mais y reviennent en cas de rupture conjugale ou de chômage prolongé ; âgés, les parents souvent cherchent à habiter près de leurs enfants. En conséquence, « les modèles de résidence sont la cristallisation, à un moment donné, d’un processus de développement » (Fortes 1962 : 5), et non l’application statique de règles abstraites. La maison n’est donc pas seulement le lieu où réside la famille, elle est nécessaire à l’accomplissement de tâches indispensables à la reproduction physique et morale des individus, telles que manger, dormir ou assurer l’éducation des nouvelles générations (Bender 1967). Cette conception du groupe domestique rejoint celle qu’avait formulée Frédéric Le Play un siècle auparavant : pour l’ingénieur français, il fallait placer la maison au centre de l’organisation familiale, par la défense de l’autorité paternelle et la transmission de la propriété à un héritier unique, de façon à garantir la stabilité de l’ordre social (1864). Elle exerce de fait une influence considérable sur les historiens de la famille, en particulier ceux du Cambridge Group for the History of Population and Social Structure, dirigé par Peter Laslett (1972), et sur les anthropologues (Netting, Wilk & Arnould 1984), notamment les marxistes (Sahlins 1976). En Amérique latine, de nombreuses enquêtes menées dans les années 1960 et 1970 mettent en évidence l’importance des réseaux d’entraide, attirant ainsi l’attention sur le rôle essentiel du voisinage (Lewis 1959, Lomnitz 1975). La recherche féministe explore quant à elle le caractère genré de la répartition des tâches au sein du groupe domestique, que recoupe souvent la distinction entre le public et le privé : à la « maîtresse de maison » en charge des tâches ménagères s’oppose le « chef de famille » qui apporte le pain quotidien (Yanagisako 1979). Un tel découpage contribue à invisibiliser le travail féminin (di Leonardo 1987). On remarquera néanmoins que la théorie du groupe domestique pense la maison à partir de fonctions établies par avance : ce sont elles qui orientent l’intérêt des anthropologues, plus que la maison en elle-même. C’est à Claude Lévi-Strauss que l’on doit la tentative la plus systématique de penser la maison comme un principe producteur de la société (1984 ; 2004). Celui-ci prend pour point de départ l’organisation sociale de l’aristocratie kwakiutl (Amérique du Nord), telle qu’elle avait été étudiée par Franz Boas : parce qu’elle présentait des traits à la fois matrilinéaires et patrilinéaires, parce qu’elle ne respectait pas toujours le principe d’exogamie, celle-ci défiait les théories classiques de la parenté. Lévi-Strauss propose de résoudre le problème en substituant le groupe d’unifiliation, tenu pour être au fondement des sociétés dites traditionnelles, par celui de « maison », au sens où l’on parlait de « maison noble » au Moyen Âge. La maison désigne ainsi une « personne morale détentrice d’un domaine, qui se perpétue par transmission de son nom, de sa fortune et de ses titres en ligne réelle ou fictive » (Lévi-Strauss 1984 : 190). Plus que les règles de parenté, ce sont les « rapports de pouvoir » entre ces « personnes morales » qui déterminent les formes du mariage et de la filiation : celles-ci peuvent donc varier en accord avec les équilibres politiques. Lévi-Strauss va ensuite généraliser son analyse à un vaste ensemble de sociétés apparemment cognatiques, qu’il baptise « sociétés à maison ». Celles-ci se situeraient dans une phase intermédiaire de l’évolution historique, « dans un état de la structure où les intérêts politiques et économiques tend[ent] à envahir le champ social » (Lévi-Strauss 1984 : 190). Très discuté par les spécialistes des sociétés concernées, ce modèle a eu la grande vertu de libérer l’imagination des anthropologues. Critiquant son évolutionnisme sous-jacent, Janet Carsten et Stephen Hugh-Jones (1995) proposent toutefois d’approfondir la démarche de Lévi-Strauss, en considérant la maison comme un véritable « fait social total ». L’architecture, par exemple, ne relève pas que d’une anthropologie des techniques : celle de la maison kabyle, analysée par Pierre Bourdieu, met en évidence un « microcosme organisé selon les mêmes oppositions et mêmes homologies qui ordonnent tout l’univers » (1972 : 71), un parallélisme que l’on retrouve dans de nombreux autres contextes socioculturels (Hamberger 2010). Fondamentalement, la maison relève d’une anthropologie du corps. Dans son enquête sur la parenté en Malaisie, Carsten souligne le rôle joué par la cuisine ou le foyer, en permettant la circulation des substances qui assurent la production et la reproduction des corps (alimentation, lait maternel, sang) et leur mise en relation, ce que Carsten appelle la « relationalité » (relatedness) (1995). Fait dynamique plutôt que statique, la maison nous met directement au contact des processus qui forment et reforment nos relations et notre personne : son étude permet donc de dépasser la critique culturaliste des travaux sur la parenté; elle nous montre la parenté en train de se faire. Il convient aussi de ne pas réduire la maison à ses murs : celle-ci le plus souvent existe au sein d’un réseau. Les enquêtes menées par Émile Lebris et ses collègues sur l’organisation de l’espace dans les villes d’Afrique francophone proposent ainsi le concept de « système résidentiel » pour désigner « un ensemble articulé de lieux de résidences (unités d’habitation) des membres d’une famille étendue ou élargie » (Le Bris 1985 : 25). Ils distinguent notamment entre les systèmes « centripètes », « de concentration en un même lieu d’un segment de lignage, d’une famille élargie ou composée » et les systèmes « centrifuges », de « segmentation d’un groupe familial dont les fragments s’installent en plusieurs unités résidentielles plus ou moins proches les unes des autres, mais qui tissent entre elles des liens étroits » (Le Bris 1985 : 25). Examinant les projets et réseaux que mobilise la construction d’une maison dans les quartiers noirs de la Bahia au Brésil, les circulations quotidiennes de personnes et d’objets entre unités domestiques ainsi que les rituels et fêtes de famille, Louis Marcelin en déduit lui aussi que la maison « n’est pas une entité isolée, repliée sur elle-même. La maison n’existe que dans le contexte d’un réseau d’unités domestiques. Elle est pensée et vécue en interrelation avec d’autres maisons qui participent à sa construction – au sens symbolique et concret. Elle fait partie d’une configuration » (Marcelin 1999 : 37). À la différence de Lebris, toutefois, Marcelin part des expériences individuelles et des catégories socioculturelles propres à la société étudiée : une « maison », c’est avant tout ce que les personnes identifient comme tel, et qui ne correspond pas nécessairement à l’image idéale que l’on se fait de cette dernière en Occident. « La configuration de maisons rend compte d’un espace aux frontières paradoxalement floues (pour l'observateur) et nettes (pour les agents) dans lequel se déroule un processus perpétuel de création et de recréation de liens (réseaux) de coopération et d'échange entre des entités autonomes (les maisons) » (Marcelin 1996 : 133). La découverte de ces configurations a ouvert un champ de recherche actuellement des plus dynamiques, « la nouvelle anthropologie de la maison » (Cortado à paraître). Cette « nouvelle anthropologie » montre notamment que les configurations de maisons ne sont pas l’apanage des pauvres, puisqu’elles organisent aussi le quotidien des élites, que ce soit dans les quartiers bourgeois de Porto au Portugal (Pina-Cabral 2014) ou ceux de Santiago au Chili (Araos 2016) – elles ne sont donc pas réductibles à de simples « stratégies de survie ». Quoiqu’elles se construisent souvent à l’échelle d’une parcelle ou d’un quartier (Cortado 2019), ces configurations peuvent très bien se déployer à un niveau transnational, comme c’est le cas au sein de la diaspora haïtienne (Handerson à paraître) ou parmi les noirs marrons qui habitent à la frontière entre la Guyane et le Suriname (Léobal 2019). Ces configurations prennent toutefois des formes très différentes, en accord avec les règles de filiation, bien sûr (Pina-Cabral 2014), mais aussi les pratiques religieuses (Dalmaso 2018), le droit à la propriété (Márquez 2014) ou l’organisation politique locale – la fidélité au chef, par exemple, est au fondement de ce que David Webster appelle les « vicinalités » (vicinality), ces regroupements de maisons qu’il a pu observer chez les Chopes au sud du Mozambique (Webster 2009). Des configurations surgissent même en l’absence de liens familiaux, sur la base de l’entraide locale, par exemple (Motta 2013). Enfin, il convient de souligner que de telles configurations ne sont pas, loin de là, harmonieuses, mais qu’elles sont généralement traversées de conflits plus ou moins ouverts. Dans la Bahia, les configurations de maisons, dit Marcelin, mettent en jeu une « structure de tension entre hiérarchie et autonomie, entre collectivisme et individualisme » (Marcelin 1999 : 38). En tant que « fait social total », dynamique et relationnel, l’anthropologie de la maison ne saurait pourtant se restreindre à celle de l’organisation familiale. L’étude des matérialités domestiques (architecture, mobilier, décoration) nous permet par exemple d’accéder aux dimensions esthétiques, narratives et politiques de grands processus historiques, que ce soit la formation de la classe moyenne en Occident (Miller 2001) ou la consolidation des bidonvilles dans le Sud global (Cavalcanti 2012). Elle nous invite à penser différents degrés de la maison, de la tente dans les camps de réfugiés ou de travailleurs immigrés à la maison en dur (Abourahme 2014, Guedes 2017), en passant par la maison mobile (Leivestad 2018) : pas tout à fait des maisons, ces formes d’habitat n’en continuent pas moins de se définir par rapport à une certaine « idée de la maison » (Douglas 1991). La maison relève aussi d’une anthropologie de la politique. En effet, la maison est une construction idéologique, l’objet de discours politiquement orientés qui visent, par exemple, à assoir l’autorité du père sur la famille (Sabbean 1990) ou à « moraliser » les classes laborieuses (Rabinow 1995). Elle est également la cible et le socle des nombreuses technologiques politiques qui organisent notre quotidien : la « gouvernementalisation » des sociétés contemporaines se confond en partie avec la pénétration du foyer par les appareils de pouvoir (Foucault 2004); la « pacification » des populations indigènes passe bien souvent par leur sédentarisation (Comaroff & Comaroff 1992). Enfin, la maison relève d’une anthropologie de l’économie. La production domestique constitue bien sûr un objet de première importance, qui bénéficie aujourd’hui d’un regain d’intérêt. Florence Weber et Sybille Gollac parlent ainsi de « maisonnée » pour désigner les collectifs de travail domestique fondés sur l’attachement à une maison – par exemple, un groupe de frères et sœurs qui s’occupent ensemble d’un parent âgé ou qui œuvrent à la préservation de la maison familiale (Weber 2002, Gollac 2003). Dans la tradition du substantialisme, d’autres anthropologues partent aujourd’hui de la maison pour analyser notre rapport concret à l’économie, la circulation des flux monétaires, par exemple, et ainsi critiquer les représentations dominantes, notamment celles qui conçoivent l’économie comme un champ autonome et séparé (Gudeman et Riviera 1990; Motta 2013) – il ne faut pas oublier que le grec oikonomia désignait à l’origine le bon gouvernement de la maison, une conception qui aujourd’hui encore organise les pratiques quotidiennes (De l’Estoile 2014). Cycles de vie, organisation du travail domestique, formes de domination, identités de genre, solidarités locales, rituels et cosmovisions, techniques et production du corps, circulation des objets et des personnes, droits de propriété, appropriations de l’espace, perceptions du temps, idéologies, technologies politiques, flux monétaires… Le thème de la maison s’avère d’une formidable richesse empirique et théorique, et par-là même une porte d’entrée privilégiée à de nombreuses questions qui préoccupent l’anthropologie contemporaine.
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Dissertations / Theses on the topic "Parenté – Brésil – Amazonas (Brésil, État)"

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Deturche, Jérémy. "Les Katukina du Rio Bià (Etat d'Amazonas-Brésil). Histoire, organisation sociale et cosmologie." Paris 10, 2009. http://www.theses.fr/2009PA100136.

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Abstract:
Cette thèse est une ethnographie des Katukina de la famille linguistique du même nom (à la différence des Katukina Pano). Ils occupent le bassin fluvial du rio Biá, affluent du Jutai et du Solimões, dans l’ouest de l’Amazonie brésilienne. L’absence d’études antérieures concernant cette population justifie le caractère monographique de ce travail, qui s’intéresse en outre à la façon particulière dont les Katukina semblent avoir répondu aux différents événements historiques qui les ont affectés. Une attention particulière est à cet égard porté sur la caractérisation des relations avec d’autres groupes, entre les individus et avec le monde des esprits. Ces relations apparaissent basées sur la cohabitation de deux concepts largement polysémiques. Le premier, -wara, est lié au corps, à la maîtrise et à l’idée de contenant ; le second, –wayan, à la parenté, à la ressemblance (ou à la complémentarité) et à la fluidité. Les Katukina présentent la particularité d’avoir un contact déjà ancien avec la société brésilienne, ce qui apparaît par exemple dans leurs relations au « travail » et aux « produits ». Ils se caractérisent également par leur ressemblance avec leurs voisins kanamari (également de langue katukina), dont on a longtemps considéré qu’ils n’étaient qu’une des branches. Cette thèse compare systématiquement les données recueillies chez les Katukina avec celles disponibles sur les Kanamari, afin de mettre en relief les relations complexes que ces deux populations entretiennent entre elles
This dissertation is an ethnographic study of the previously unstudied Katukina of the Katukina linguistic family (not to be confused with the Katukina of the Panoan linguistic family). They live in western Brazil, on the rio Biá, a tributary of the Jutai and Solimões rivers. Apart from its monographic ambition, this study aims to deal with the specific ways in which the Katukina have reacted to historical events, in particular how they have been led to recategorize neighbouring groups, interpersonal relationships, and proper ways to deal with the spirit world. Two main polysemic concepts seem to govern this system. The first, -wara, is associated with bodies, leadership and inclusiveness. The second, -wayan, is related to kinship, similarity, complementarity and fluidity. The Katukina have been in regular contact with Brazilian society for an unsuspectedly great number of years, as shown by their attitudes towards concepts such as “work” or “commodities”. They also display great similarity with their Kanamari neighbours (also of the Katukina linguistic family). This dissertation attempts to systematically compare both groups and redefine the complexity of their mutual relations
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Araujo, Wagner Paiva. "Les politiques publiques pour les peuples de la plaine alluviale d'Amazonas : mise en place et évaluation." Versailles-St Quentin en Yvelines, 2010. http://www.theses.fr/2010VERS027S.

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Abstract:
Cette thèse a pour objectif d'analyser les influences des poltitiques publiques au développement des habitants de la plaine alluviale de l'Etat d'Amazonas au nord du Brésil. La nature même du développement et ses déterminants économiques, culturels et politiques ne sont pas encore clairement définis pour ceux qui cherchent à mettre au point des instruments de politiques de développement et pour ceux qui veulent élaborer (ou mettre en œuvre) des instruments efficaces à cet égard. Il est important aussi la systématisation d'un processus d'évaluation aux recherches sur les politiques publiques en ayant comme axe les représentations des populations qui occupent la plaine alluviale d'Amazonas. Les approches pour le développement orientent l'action des pouvoirs publics. C'est la raison pour laquelle il est dans l'intérêt de l'analyse des politiques publiques dans l'Etat d'Amazonas de s'interroger sur certains des contradictions au sein du capitalisme. En fait, la plupart des problèmes au niveau de l'analyse des politiques publiques ont des aspects notamment économiques et sociaux. Il convient une évaluation des politiques publiques dans un contexte non-urbain pour comprendre l'influence de cet environnement sur les interactions, les pratiques éducatives et par la suite sur le développement des communautés de la plaine alluviale au milieu de la forêt amazonienne. Dans cette perspective le développement n'est plus considéré comme le résultat d'un processus purement technique ou économique mais plutôt comme le produit d'un choix collectif. L'étude des politiques publiques concernant le développement des populations de la plaine alluviale au Amazonas conduit à porter une attention particulière aux pratiques éducatives. Les pratiques éducatives sont au cœur du développement des sociétés. Le contexte concurrentiel du monde économique nécessite de tenir compte des savoirs des populations traditionnelles. En s'interrogeant sur les bases du développement capitaliste, on observe que les variables explicatives, selon les théories, changent de façon considérable. Mettre l'accent sur les vecteurs économiques, sociologiques, géographiques et politiques peut montrer seulement une partie de cette diversité
This thesis aims to analyze the influences of the public policies with development of the inhabitants of the alluvial plain of the State of Amazonas in the north of Brazil. The nature even of the development and its determinants economics, culturals and politics are not yet clearly defined for those which seek to develop instruments of development policies and for those which want to work out (or to implement) effective instruments in this respect. It is important also the systematization a process evaluation with research on the public polticies while having as centers the representations of the populations which occupy the alluvial plain of Amazonas. The aproaches for the development direct the action of the public authorities. This is the reason for which it is in the interest of the analyzes public policies in the State of amazonas to question on some of contraditicions within capitalism. In fact, the majority of the problems on the level of the analysis of the public policies have in particular economic and social aspects. It is appropriate an evaluation of the policies public in an not-urban context to include the influence this environment on the interactions, educational practices and thereafter on the development of communities of the alluvial plain in the middle of the Amazon forest. In this prospect the developement is not regarded any more as the result a process purely technical or economic but rather like produces it a collective choice. The study of the public policies concerning the development of the populations of the alluvial plain in Amzonas led to pay an special attention to the educational practices. The educational pracices are in the middle of the development of the societys. The competing context of the economic world requires to take account of the knowledge of the traditional populations. In questioning on the determinants of the development it is oberved that the explanatory variables, according to the theories, vary in a considerable way. To put the accent on the vectors economics, sociologics, geographics and politics can illustrate only part of this diversity
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Congretel, Mélanie. "Une plante, des fils et des clones. Histoires amazoniennes de guaraná(s) dans un monde globalisé." Thesis, Université Paris-Saclay (ComUE), 2017. http://www.theses.fr/2017SACLA016/document.

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Abstract:
Peut-on rendre compte des batailles identitaires et territoriales que révèle la globalisation des ressources et des marchés, en décrivant comment une plante cultivée depuis plusieurs siècles en Amazonie brésilienne se transforme en plante « sauvage » ou, à l’opposé, en plante « technologique » ? La thèse explore, dans un contexte de transition écologique et de critique du paradigme agricole moderniste, les expressions et les enjeux locaux de ce basculement socio-environnemental, en s’intéressant aux relations qui se tissent entre des hommes et une plante emblématique de la région, le guaraná (Paullinia cupana var. sorbilis). En croisant les regards sur quatre projets distincts de valorisation de cette plante énergisante, elle interroge aussi la manière dont des populations amazoniennes se saisissent de ce contexte mouvant et innovent pour négocier leur rapport à la modernité, à la croisée de filières mondialisées et d’un territoire, le Bas-Amazonas, où la plante est historiquement inscrite. Dans le sillage de l’école interdisciplinaire des humanités environnementales, notre travail aborde le guaraná comme un acteur des projets étudiés. Il combine des enquêtes ethnobotaniques à une approche socio-anthropologique inspirée des science studies, pour rendre compte des expériences locales de la plante et des multiples formes que prend l’innovation dans une région longtemps restée à l’écart des dynamiques de développement. En abordant la plante au prisme du concept d’ontologie, nous montrons que coexistent aujourd’hui dans le Bas-Amazonas plusieurs guaranás, définis et façonnés par de multiples ingrédients : des ressources biologiques, des pratiques, des techniques, des savoirs, des représentations, des projets de valorisation et des règles de droits. Loin de représenter différents points de vue sur une même plante, ces « guaranás » sont des plantes distinctes. Ils incarnent les frictions entre différents mondes dont les réseaux plus ou moins étendus s’entrecroisent et cherchent à s’ancrer dans le territoire, pour s’imposer aux autres, pour leur résister, ou inventer de nouvelles représentations du développement territorial
Can we account for the identity and territorial struggles the globalization of markets and resources reveals, by describing how a plant cultivated for several centuries in the Brazilian Amazon, turns into a « wild » plant or, conversely, into a « technology »? In a context of ecological transition and criticism of the modernist agricultural paradigm, the thesis explores the local expressions and stakes of this socio-environmental shift, focusing on the relationships that form between men and an emblematic plant of the region, guaraná (Paullinia cupana var. sorbilis). Considering four distinct projects which promote this energetic plant, it also questions the way Amazonian populations seize this changing context, and innovate in order to negotiate their relationship to modernity, at the crossroads of globalized value chains and of a territory, the Lower Amazonas, where the plant is historically rooted. In the wake of the environmental humanities interdisciplinary stream, our work contemplates guaraná as an actor of the projects studied. We combine ethnobotanical surveys with a socio-anthropological approach inspired by science studies, to portray local experiences of the plant and the multiple forms innovation can take in a region long shelved from the dynamics of development. By approaching the plant through the concept of ontology, we show that that several guaranas coexist today in the Lower Amazonas, defined by several ingredients: biological resources, practices, techniques, knowledge, representations, valuation projects and rules. Far from representing different points of view on the same plant, these "guaranás" are distinct plants. They embody the frictions between different worlds whose more or less extensive networks intersect and seek to anchor themselves in the territory, in order to impose themselves on others, to resist them, or to invent new representations of territorial development
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Wiefels, Alexandre. "Etude des relations entre la luminosité de l'eau et le paludisme dans l’État d’Amazonas en Amazonie brésilienne." Thesis, Montpellier, 2016. http://www.theses.fr/2016MONTT185/document.

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Abstract:
Le paludisme trouve dans la région amazonienne des conditions favorables à la transmission de la maladie, par un moustique vecteur qui est essentiellement l’Anophèles darlingi, se reproduisant en milieu aquatique. Ce moustique est connu pour sa grande adaptabilité aux conditions environnementales et en Amazonie, il est réputé être plus spécialement trouvé près des fleuves d’eau blanche (chargée en sédiments). La relation entre la présence du moustique et la couleur des eaux a été peu étudiée à l’échelle régionale. La présente étude a utilisé 11 années d’images MODIS à 250 m de résolution et un pas de temps mensuel, dont il a été extrait un indicateur de réflectance des eaux. D’autre part, ce travail de thèse exploite les données épidémiologiques du système de surveillance épidémiologique brésilien du paludisme. L’objectif principal est d’évaluer les corrélations entre la dynamique saisonnière de la réflectance des eaux et l’incidence parasitaire du paludisme sur différentes zones de l’État d’Amazonas afin notamment de comprendre l’influence de la couleur des eaux sur la présence du vecteur et donc la transmission du paludisme. Les résultats obtenus permettent de montrer que les notifications concernant le paludisme dans l’Etat d’Amazonas sont en effet corrélées aux eaux blanches, mais que les eaux noires ont aussi une corrélation avec l’incidence du paludisme, d’une façon sensiblement différente, à la fois dans le temps et dans l’espace. Ces résultats pourront être utiles à l’amélioration de notre compréhension des risques épidémiologiques dans cette région ainsi qu’à la mise en place de programme de surveillance plus efficaces, même si le facteur étudié, i.e. la couleur des eaux, n’est qu’un facteur parmi beaucoup d’autres qui influent sur le risque d’infection paludéen
Malaria in the Amazon region finds favorable conditions for the transmission of the disease by the mosquito vector Anopheles darlingi, which breeds in water. This mosquito is known for its great adaptability to environmental conditions. In the Amazon it is deemed to be especially found near rivers of white water (loaded with sediments). The relationship between the presence of the mosquito and water color has been little studied regionally. This study used 11 years of MODIS 250 m resolution and a monthly time base, which enable extracting a reflectance index of water. Secondly, this thesis uses the epidemiological data of the Brazilian system of epidemiological surveillance of malaria. The main objective is to evaluate the correlation between the seasonal dynamics of the reflectance of water and parasite incidence of malaria on different areas of the State of Amazonas in particular to understand the influence of water color on the presence of the vector and therefore the transmission of malaria. The results obtained show that notifications of malaria in the state of Amazonas are indeed correlated with white water, but the black water also have a correlation with the incidence of malaria, a substantially different way, since in the former case, the correlation is related to the flood, while in the case of black water, the presence of Anopheles and the flood are disconnected. These results may be useful in improving our understanding of epidemiological risks in the region and the establishment of more effective compliance program, even if the factor of interest, ie the color of the water is one factor among many others that affect the risk of malaria infection
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