Academic literature on the topic 'Parole aux patients'

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Journal articles on the topic "Parole aux patients":

1

Mertens de Wilmars, Serge, A. P. Martin, S. Minsart, L. Regnault, and Bénédicte de Villers. "Rendre la parole aux patients et aux familles." Thérapie Familiale 41, no. 2 (2020): 101. http://dx.doi.org/10.3917/tf.202.0101.

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2

Charazac, P. M. "La parole dans le soin aux patients dements." NPG Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie 17, no. 99 (June 2017): 173–76. http://dx.doi.org/10.1016/j.npg.2016.12.005.

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3

Rannou, F., B. Francis, P. Richette, F. Beroud, F. Blanchet, C. E. Bouvier, A. Chaussier-Delboy, et al. "Première enquête nationale Française « arthrose » : la parole aux patients !" Annals of Physical and Rehabilitation Medicine 57 (May 2014): e40-e41. http://dx.doi.org/10.1016/j.rehab.2014.03.146.

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4

Sportouch, Sabine. "Survivre : une épopée en réanimation." Perspectives Psy 59, no. 3 (July 2020): 256–60. http://dx.doi.org/10.1051/ppsy/2020593256.

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Abstract:
La clinique des soins intensifs est une clinique de l’extrême. On survit et on y sauve des vies. Mais qui est ce « on » ? Ce sont d’abord les patients dont les fonctions vitales sont en jeu et dont les déficiences organiques majeures mettent la vie en péril. Les gestes pour sauver sont alors techniques, remarquables d’efficacité. Dans l’urgence, la parole a sa place aussi. Avant tout informative, elle se dit aux patients et aux proches. Mais comment les patients et les soignants survivent-ils psychiquement ? Quels sont leurs gestes ? Quelles sont leurs paroles dans le temps de la survie ? De quelles natures sont-ils et quelles fonctions ont-ils dans les temps de la survie et dans l’après-coup de cette expérience limite ? Comment, pour les patients et les soignants, dont fait partie le psychologue, rester vivants dans ces lieux à haut risque psychique ?
5

Vellutini, L., A. Hittinger, G. Marion, L. Pauvele, and J. H. Salmon. "Intérêt des stylos auto-injectables dans la biothérapie, la parole aux patients ?" Revue du Rhumatisme 87 (December 2020): A263—A264. http://dx.doi.org/10.1016/j.rhum.2020.10.476.

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6

Weber, Gerrit, Laurent Michaud, Orest Weber, Friedrich Stiefel, and Sonia Krenz. "Les facteurs de rémission du trouble de l’adaptation : la parole aux patients. Une étude qualitative." Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique 176, no. 10 (December 2018): 948–53. http://dx.doi.org/10.1016/j.amp.2017.10.012.

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7

Vivès, J. M. "Qu’est-ce qu’entendre une voix ?" European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 91. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.243.

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Abstract:
L’envahissement du patient halluciné par ses « voix » le confronte à la douloureuse expérience d’être traversé par la voix et le discours de l’Autre sans pouvoir aucunement s’en prémunir. Il se fait alors « porte voix » ou « porte parole » de l’Autre, se dépossédant ou ne pouvant accéder ainsi à sa propre voix et à sa propre parole. Cette position subjective signe chez lui l’impossibilité d’avoir pu se séparer, d’avoir pu s’assourdir à la voix primordiale qui, à partir de là, continue à le poursuivre de ses implacables injonctions. Nous avons pu tous repérer, au cours de nos rencontres avec ces patients hallucinés, comment ils tentent spontanément d’élaborer des stratégies pour tenir à distance ces phénomènes intrusifs. Cris poussés pour tenter d’ériger des murailles sonores, transistors – il y a quelques années… – vissés à l’oreille ou baladeurs déversant de façon continue de la musique permettant de circonscrire l’espace la voix, textes « anodins » répétés à haute voix sans fin pour introduire un effet de signification là il n’y a que vocifération… sont autant de tentatives de venir enchaîner des voix hors la loi. A partir de la reprise du récit de la rencontre de Jason et des argonautes avec les sirènes, du dispositif inventé par le célèbre castrat Farinelli au xviiie siècle pour soigner le roi d’Espagne et enfin de séquences cliniques issues de ma pratique, je m’attacherai à montrer comment un dispositif musicothérapeutique peut se constituer, dans certaines conditions, en « piège à voix » permettant aux patients de pacifier leur voix dans une relation thérapeutique où la musique est le médium du transfert.
8

Chambellan, Sylvie, Thierry Wable, Pierre Freger, Benoit Veber, and Olivier Vittecoq. "Formation à la relation médecin-malade dans le cadre d’une pathologie chronique. Un dispositif original basé sur l’intervention d’une psychologue clinicienne et d’un professeur de communication." Pédagogie Médicale 21, no. 3 (2020): 159–67. http://dx.doi.org/10.1051/pmed/2020040.

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Abstract:
Contexte et problématique : À l’ère de la médecine basée sur les preuves, les critères d’évaluation utilisés par les médecins tendent à s’écarter des attentes des patients atteints de pathologies chroniques dont la douleur est difficile à estimer. La relation médecin-malade s’en trouve altérée du fait d’un manque de formation dans la gestion de situations complexes par les médecins mais également du fait de l’utilisation de critères d’évaluation parfois inadaptés. Ces situations, comme celle que représente l’annonce d’un diagnostic ou de la prise en charge de la douleur, sont difficiles à appréhender sans formation préalable adaptée. Objectif : Rapporter l’expérience du service de rhumatologie du Centre hospitalier universitaire (CHU) de Rouen relative à l’implantation d’ateliers de formation à la relation médecin-patient pour les stagiaires du second cycle des études médicales. Exposer notamment les démarches didactique et pédagogique suivies par les promoteurs et en documenter certains impacts. Méthodes : Les ateliers sont organisés en petits groupes, animés par une psychologue clinicienne et un professeur de communication, encadrés par un médecin. Lors de cette séance qui dure deux heures, les deux animateurs, qui jouent le rôle de médiateur, offrent un espace de parole permettant aux étudiants de s’exprimer autour de leur relation au patient et éclairent les problématiques soulevées par l’apport d’éléments théoriques dans les champs de la psychologie et de la communication. Ces ateliers comprennent deux temps : l’un basé sur l’apprentissage en situation (en lien direct avec les patients pris en charge), l’autre consistant en la mise en application par des jeux de rôle. Résultats : L’enquête d’évaluation menée auprès des stagiaires a permis de documenter des résultats très encourageants pour cette nouvelle forme d’apprentissage qui s’inscrit en complément de l’enseignement académique. Conclusion : Les ateliers apportent aux étudiants une expérience d’apprentissage complémentaire par rapport aux autres activités organisées sous l’égide des soignants lors du stage, en mettant l’accent sur les différentes dimensions de la relation médecin-patient, en lien avec les champs de la psychologie et de la communication.
9

Dorance, Olivia, Catherine Scavarda, Emmanuèle Ambert-Dahan, Stéphanie Borel, Olivier Sterkers, and Isabelle Mosnier. "Facteurs prédictifs d’une lecture labiale fonctionnelle chez les adultes candidats à l’implantation cochléaire." Audiology Direct, no. 4 (2020): 3. http://dx.doi.org/10.1051/audiodir/202004003.

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Abstract:
Objectif : L’objectif de cette étude était de rechercher les causes de variabilité dans les performances en lecture labiale chez les adultes atteints de surdité évolutive, afin d’en dégager des facteurs prédictifs. Méthodes : Les données de 232 patients présentant une surdité sévère à profonde ont été recueillies à partir des bilans orthophoniques effectués dans le cadre de leurs bilans pré-implants. Les performances en lecture labiale ont été analysées en fonction du sexe, de l’âge, du niveau d’études et de la durée de la surdité profonde. Résultats : Les résultats montrent que les sujets plus âgés ont de moins bonnes performances en lecture labiale pour l’intégration globale des informations verbales (mots dissyllabiques et phrases) mais pas pour la perception analytique. De plus, les femmes obtiennent de meilleurs résultats aux tests de reconnaissance de phrases. Au total, l’analyse multivariée des facteurs prédictifs indique un effet de l’âge sur l’acquisition d’une lecture labiale fonctionnelle, expliquant ainsi 6,7 % de la variance observée. Conclusion : Cette étude confirme l’importante hétérogénéité des performances observée pour l’intégration visuelle de la parole avec la lecture labiale chez les sujets adultes candidats à l’implantation cochléaire. L’ensemble de ces données confirme l’intérêt de futures études portant sur l’évaluation des fonctions cognitives et exécutives telles que la mémoire, la flexibilité et l’attention impliquées dans le développement de la lecture labiale.
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Hatem-Gantzer, G. "Violences obstétricales et gynécologiques L’expérience du Cercle d’études des gynécologues obstétriciens d’Île-de-France (Cegorif)." Périnatalité 12, no. 4 (November 17, 2020): 178–82. http://dx.doi.org/10.3166/rmp-2020-0099.

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Abstract:
Les violences obstétricales et gynécologiques sont médiatisées depuis quelques années, mais suscitent encore de nombreuses polémiques, notamment de la part de soignants que cet intitulé blesse alors qu’ils estiment donner beaucoup à leurs patientes, ou d’autres qui nient totalement la violence liée aux soins ou son caractère sexiste. Nous relatons ici l’expérience d’un groupe de travail pluriprofessionnel dont l’objectif était d’aborder ce sujet dans le respect de la parole et du ressenti des patientes et des soignants.

Dissertations / Theses on the topic "Parole aux patients":

1

Lorange, Michel. "Sainte-Justine du futur : des patients et des parents parlent aux soignants." Thèse, 2018. http://hdl.handle.net/1866/22315.

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Conference papers on the topic "Parole aux patients":

1

Lan, R., R. Castro, L. Ammar, P. Roche-Poggi, P. Tavitian, and O. Richard. "Pronostic des implants zygomatiques dans la réhabilitation du sujet partiellement ou totalement édenté maxillaire : étude rétrospective observationnelle." In 66ème Congrès de la SFCO. Les Ulis, France: EDP Sciences, 2020. http://dx.doi.org/10.1051/sfco/20206602007.

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Abstract:
Introduction : Les implants zygomatiques semblent être une bonne alternative dans les cas de patients opérés de maxillectomies mais aussi pour les patients présentant une atrophie osseuse maxillaire sévère avec demande de réhabilitation prothétique sans avoir recours à des étapes de chirurgies pré-implantaires lourdes et chronophages. L’objectif principal de ce travail est d’évaluer le taux de succès et de survie chirurgical et prothétique des réhabilitations prothétiques zygo-implanto-portés avec un recul entre 1 et 10 ans. Méthodes et résultats : Une étude rétrospective observationnelle a été menée au pavillon d’Odontologie de Marseille avec accord du Comité de Protection des Personnes. Trente patients opérés par le même praticien ayant bénéficiés d’implants zygomatiques dans des cas datrophie osseuse maxillaire sévère avec édentements complets et réhabilité par une prothèse supra-implantaire fixe soutenue par 1, 2 ou 4 implants zygomatiques et entre 2 et 6 implants dentaires « standards » ont été inclus. Une analyse radiographique comparative a été réalisée au moyen des radiographies panoramiques et tomographie volumique à faisceau conique post-opératoires immédiats et au moment de l’inclusion afin d’analyser la qualité de lostéointégration. Des radiographies rétro-alvéolaire de chaque implant ont également été effectué afin d’analyser le niveau de résorption osseuse péri-implantaire. Le niveau d’inflammation gingivale, et la gestion des complications au niveau de la sphère orale et sinusienne ont été recueillis dans L’objectif d’évaluer le taux de succès et de survie tant au niveau chirurgical que prothétique des réhabilitations prothétiques zygo-implanto-portés. Bien que des cas de péri-implantites, de résorption osseuse ou de défaut d’axe empêchant la mise en fonction des implants immédiates ou différés ont été retrouvés, le taux de réussite chirurgical retrouvé pour les implants zygomatiques est équivalent à celui de l’implantologie standard et le taux de succès prothétique final a été assuré pour l’ensemble des cas retrouvés dans cette étude avec de très bon résultats esthétiques et fonctionnels à long terme. DIscussion et conclusion : A travers une sélection rigoureuse des cas, des indications adéquates et une connaissance de la technique chirurgicale mais aussi de ces complications, l’utilisation des implants zygomatiques associés à l’implantologie standard semble représenter un avantage certain dans la réhabilitation des maxillaires sévèrement résorbés, avec un cout similaire aux protocoles standards. La possibilité de mise en charge immédiate permet à la fois de minimiser le temps de latence entre la chirurgie et la réhabilitation orale et doffrir une réinsertion sociale et professionnelle rapide augmentant le confort et la qualité de vie des patients. Une coopération étroite entre le clinicien en charge de la partie chirurgicale et le praticien responsable de la phase prothétique est indispensable.
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Landric, C., C. Alande, and M. Ndiaye. "Apport de la greffe gingivale épithélio conjonctive dans la reconstruction palpébrale." In 66ème Congrès de la SFCO. Les Ulis, France: EDP Sciences, 2020. http://dx.doi.org/10.1051/sfco/20206602014.

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Abstract:
La reconstruction palpébrale fonctionnelle et esthétique implique une réhabilitation de tous les plans palpébraux. Elle se base sur la distinction de deux entités fonctionnelles: la lamelle postérieure qui comporte le tarse, la conjonctive et les rétracteurs qui assurent l’abaissement de la paupière dans le regard vers le bas; la lamelle antérieure cutanéo- musculaire qui assure l’occlusion palpébrale. Toute technique doit impérativement restaurer les deux lamelles fonctionnelles. La réhabilitation du plan postérieur tarsoconjonctival peut utiliser différents greffons autologues: identiques (greffes et lambeaux tarsoconjonctival), soit analogues (greffes cartilagineuses, chondro muqueuses ou fibro muqueuses). Le recouvrement cutané dépend lui de la situation de la perte de substance et de la paupière concernée. L’utilisation de la fibromuqueuse palatine en chirurgie palpébrale fut décrite pour la première fois par Siegel en 1985. Histologiquement, le greffon palatin comporte trois couches de la superficie à la profondeur : la couche muqueuse, épithélium malpighien kératinisé, la couche glandulaire sous-muqueuse et le périoste. Cette technique à trouvée son application au centre hospitalier de Pau, dans la reconstruction de la paupière inférieure d’une patiente, après exérèse carcinologique d’un carcinome basocellulaire du bord libre. Egalement dans la reconstruction d’un plan tarso conjonctival chez un patient enophtalme pour permettre un soutien de la prothèse oculaire. Ces chirurgies sont réalisées en doubles équipes afin de mutualiser les compétences. La fibromuqueuse palatine trouve une indication de choix dans la reconstruction de tout ou partie de la lamelle postérieure de la paupière inférieure. Elle est indiquée en seconde intention pour la paupière supérieure car le taux de complications semble y être plus élevé (Leibovitch 2006). Il est nécessaire de prélever un greffon 10% plus large que la taille du défect muqueux car la greffe palatine se rétracte légèrement à moyen terme (Hatoko 1999). La fibromuqueuse palatine offre de nombreux avantages : une incurvation adéquate « moulant » le globe oculaire, une rigidité satisfaisante, une excellente survie en association à un lambeau et une morbidité acceptable au niveau du site donneur. Cohen et Shorr ont également montré que la muqueuse palatine subit une métaplasie en épithélium non kératinisé limitant ainsi à terme les risques d’irritation cornéenne et de kératite. Par opposition aux greffes tarso conjonctivales, l’intérêt majeur est la préservation de la paupière antagoniste. Les inconvénients sont surtout liés aux complications possibles: un saignement palatin souvent précoce dans les 48h postopératoires (10% des cas) (Wearne 2001); un retard de cicatrisation; une infection palpébrale à Candida; une sécrétion salivaire palpébrale due à la persistance de glandes salivaires dans le greffon et qui peut être tarie par cryothérapie.
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Melka, A. C. "Retentissement sur l’état bucco-dentaire et la qualité de vie des patients avec un cancer de la cavité buccale ou de l’oropharynx traits par radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle versus avec modulation d’intensité : à propos de 52 cas." In 66ème Congrès de la SFCO. Les Ulis, France: EDP Sciences, 2020. http://dx.doi.org/10.1051/sfco/20206603012.

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Abstract:
L’incidence des cancers des voies aéro-digestives (VADS), en France, est l’une des plus élevée du monde. La radiothérapie fait partie des thérapeutiques majeures de cette localisation. La radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle (RT3D), est associée à des taux élevés d’effets secondaires aigus et chroniques. La qualité de vie fonctionnelle orale des patients est alors profondément diminuée, mastication, salivation, déglutition et phonation. Les avancées techniques avec la Radiothérapie Conformationnelle avec Modulation d’Intensité (RCMI) ont permis de délivrer une dose minimale efficace dans la tumeur et de minimiser les doses reçues dans les organes à risques améliorant la qualité de vie des patients. AM ce jour, il existe peu d’études cliniques sur l’impact dentaire des traitements des cancers des VADS. L’objectif de cette étude était d’évaluer le retentissement bucco-dentaire et la qualité de vie chez des patients présentant un cancer de la cavité buccale ou de l’oropharynx dont le traitement a été composé au moins d’une (RT3D) ou (RCMI). Une étude observationnelle, monocentrique, comparative et analytique a été menée au CHU Estaing entre janvier 2016 et juillet 2017. Ont été inclus dans l’étude les patients venant pour leur consultation de suivi dans le service de Chirurgie Maxillo-Faciale et Stomatologie, répondant aux critères suivant : cancer de la cavité buccale ou de l’oropharynx, ayant été traité au moins par RT3D ou IMRT, recul d’un an minimum après la fin de la radiothérapie. Les patients ont été divisés en 2 groupes : 21 en RT3D et 31 en IMRT. Les tests objectifs ont montré un bénéfice statistiquement significatif en analyse multivariée, dans le groupe RCMI, tant sur le plan de l’hyposialie de repos et stimulée, qu’au niveau de l’état dentaire, sur l’indice carieux, le nombre de colorations par des bactéries chromogènes, et le nombre de poches parodontales. Les critères d’analyses subjectifs sur le retentissement de la radiothérapie retrouvent aussi une différence statistiquement significative sur la xérostomie tardive, avec un grade <2 prédominant chez les patients du groupe RCMI. En terme de qualité de vie orale, l’analyse multivariée des questionnaires subjectifs, montre une diminution de la dysphagie, de la limitation d’ouverture buccale, des difficultés d’élocution, ainsi que de l’inappétence, et des problèmes de dents chez les patients RCMI. La RCMI est considérée aujourd’hui comme le traitement standard des cancers de la cavité buccale et de l’oropharynx de part ses résultats carcinologiques. Elle permet de mieux préserver les organes à risques, en particulier les glandes parotidiennes, avec une diminution de l’hyposialie et de la xérostomie tardive. Cette amélioration salivaire quantitative et qualitative se traduit par une diminution du retentissement dentaire direct et indirect, avec une baisse du nombre de caries radiques, de colorations dentaires chromogènes et de poches parodontales.
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de Cidrac, L., L. Radoï, R. Pecorari, and T. Nguyen. "Tumeur à cellules géantes : à propos d’un cas récidivant et agressif à localisation mandibulaire." In 66ème Congrès de la SFCO. Les Ulis, France: EDP Sciences, 2020. http://dx.doi.org/10.1051/sfco/20206603021.

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Abstract:
Introduction : La tumeur à cellules géantes (TCG) est une lésion osseuse qui se développe préférentiellement au niveau de l’épiphyse des os longs chez des sujets de 20 à 40 ans, mais exceptionnellement au niveau des maxillaires. D’étiologie inconnue, elle fait partie du groupe des tumeurs osseuses bénignes. Ce groupe nosologique comprend le granulome central à cellules géantes (GCCG), le chérubisme, le kyste anévrismal ainsi que les TCG et les tumeurs brunes liées à l’hyperthyroïdie. L’histologie ne permet pas de poser un diagnostic de certitude entre la TCG et le GCCG. Cependant, les TCG présentent un tableau clinique plus agressif et récidivant. Il existe un risque de transformation maligne en sarcome dans 10 à 20% des cas (Barthélemy 2009) et un fort potentiel métastatique (Martin-Duverneuil 2004). Observation : Le cas rapporté est celui d’une patiente de 28 ans qui présentait une tuméfaction intrabuccale douloureuse de 35mm de grand axe, en distal de 47. Le Cone Beam (CBCT) montrait une lésion osseuse radioclaire sous-jacente de 22mm de grand axe, à proximité d’un apex résiduel de 48. Le diagnostic initial était celui d’un kyste résiduel compliqué d’une cellulite. Le traitement a consisté en une énucléation simple. L’examen anatomopathologique suspectait un granulome périphérique à cellules géantes (GPCG) avec atteinte osseuse. La patiente a été perdue de vue 4 mois jusqu’à la récidive de la lésion. Le nouveau CBCT montrait une lésion ostéolytique de 40mm de grand axe, au niveau de l’angle mandibulaire, envahissant la branche montante avec perforation des corticales et atteinte des tissus mous. Une chirurgie interruptrice mandibulaire en marges saines avec reconstruction par attelle en titane préformée a été réalisée. L’examen anatomopathologique de la pièce d’exérèse n’a pas pu conclure entre GCCG et TCG. La patiente a été suivie 2 ans sans récidive. Discussion : Contrairement au GPCG, le GCCG et la TCG se développent d’abord dans l’os spongieux puis de manière excentrique jusqu’aux corticales osseuses qui peuvent être détruites et aux tissus mous qui sont refoulés ou envahis. Le contenu est mou, de couleur brun-rouge, parfois vacuolaire ou hémorragique. L’examen histologique montre un stroma assez homogène, très vasculaire, contenant, à côté de cellules mononuclées, de grandes cellules multinucléées : les cellules géantes. Le nombre de noyaux serait corrélé avec l’agressivité de la tumeur (Ficarra 1987). Moins fréquente que le GCCG, la TCG est plus agressive. Elle récidive dans environ 50% des cas. La recommandation actuelle est de la traiter par exérèse chirurgicale réglée avec des limites histologiques saines. Le curetage est insuffisant pour prévenir le risque de récidive et de transformation maligne (Barthélémy 2009). Dans le cas rapporté, la forme particulièrement agressive de la tumeur chez cette jeune patiente (récidive en 4 mois avec perforation des corticales et envahissement des parties molles) nous a orienté vers le diagnostic de TCG et un traitement radical de sa récidive. Conclusion : La TCG nécessite un diagnostic précoce et une exérèse en marges saines dès la première intervention afin de diminuer le risque de récidive et d’éviter des traitements plus mutilants.
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Lafont, J., J. H. Catherine, M. Lejeune, U. Ordioni, R. Lan, and F. Campana. "Manifestations buccales de la sclérose tubéreuse de Bourneville." In 66ème Congrès de la SFCO. Les Ulis, France: EDP Sciences, 2020. http://dx.doi.org/10.1051/sfco/20206603014.

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Abstract:
L’objectif de ce travail est de faire le point sur les manifestations buccales de la sclérose tubéreuse de Bourneville (STB) à travers le cas d’un jeune patient. Un jeune homme de 15 ans était adressée pour la mise en place de minivis orthodontique afin de fermer des espaces d’agénésies de 35 et 45. L’interrogatoire retrouvait une STB dont les manifestations épileptiques étaient traitées par de la lamotrigine 75mg/j et de la carbamazépine LP 200mg/j. L’examen clinique exo-buccal retrouvait des macules hypochromiques sur le membre inférieur droit, des angiofibromes faciaux et une malformation vasculaire jugale gauche. L’examen endo-buccal retrouvait de multiples lésions buccales sur les papilles interdentaires pouvant évoquer des fibromes ou des hamartomes. Une biopsie était réalisée et retrouvait un revêtement malpighien, discrètement hyperplasique et sans atypie cellulaire. Les faisceaux collagènes du conjonctif étaient mêlés à de nombreux fibroblastes aux noyaux réguliers, sans mitose visible. Les cellules inflammatoires, essentiellement mononuclées, étaient dispersées mais tendaient à se regrouper autour de vaisseaux nombreux et hyperplasiques. L’examen concluait à un fibrome. Aucun traitement buccal n’était proposé devant l’absence de symptôme et de demande esthétique. La STB est une maladie génétique autosomique dominante avec une incidence de 1/10 000. Elle est liée à une mutation du gène TSC1 sur le chromosome 9 ou du gène TSC2 sur le chromosome 16 qui perturbe la sécrétion d’une protéine régulant la voie mTOR. C’est une maladie multisystème avec une expression clinique variable. Les principaux symptômes sont l’épilepsie, le retard mental et la présence d’adénomes sébacés, mais la maladie est associée à un polymorphisme clinique rendant le diagnostic difficile. La conférence de consensus de 2012 a ainsi défini des critères diagnostiques majeurs (lésions cutanées, oculaires, cérébrales, cardiaques, pulmonaires, rénales,..) et mineurs dont deux sont bucco-dentaires. Le diagnostic est retenu devant deux critères majeurs ou un critères majeur et deux critères mineurs. Les signes oraux sont la présence de trois ou plus puits d’émail et deux ou plus fibromes gingivaux. Les fibromes gingivaux atteindraient 50 à 70% des patients. La région antérieure maxillaire semble la plus touchée. L’exérèse est indiquée en cas de gêne esthétique ou de saignements associés. Actuellement, les inhibiteurs de mTOR représentent une option thérapeutique proposée dans la prise en charge des patients atteints de STB. La STB est une pathologie rare. La présence de lésions buccales fait partie des critères diagnostiques.
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Baranes, M., and T. Fortin. "Planification et chirurgie guidée - Avis d’experts : Apports des nouvelles technologies en implantologie : de la planification à la réalisation de la prothèse provisoire immédiate." In 66ème Congrès de la SFCO. Les Ulis, France: EDP Sciences, 2020. http://dx.doi.org/10.1051/sfco/20206601011.

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Les dernières technologies informatiques ainsi que le développement des imprimantes 3D ouvrent des perspectives intéressantes en terme de diagnostic et de thérapeutique en implantologie (1). Le plan de traitement prothétique doit guider le choix du nombre et du positionnement des implants. Les logiciels de planification implantaire permettent de superposer les fichiers DICOM (Digital Imaging and Communications in Medicine) de limagerie tridimensionnelle issue du CBCT et les données numériques de surface issues d’empreintes optiques ou de la numérisation de modèles conventionnels (2). Les modélisations occlusales peuvent être elles aussi réalisées virtuellement en statique et dynamique via l’utilisation darticulateurs virtuels (3,4). Un guide chirurgical est alors imprimé permettant de positionner les implants selon la planification virtuelle. Dans certains cas, la restauration provisoire peut être prévue à l’avance et mise en place à lissue de lintervention (5,6). Bien quil soit établit que la chirurgie guidée soit plus précise que la chirurgie à main levée (7), son utilisation en pratique quotidienne a été ralentie en grande partie à cause du coût de fabrication élevé. Le développement récent dimprimantes 3D de bureau de haute précision (8,9) et la multiplicité des logiciels de planification implantaire ont permis le développement de la chirurgie guidée. Cependant, à chaque étape du flux numérique, des imprécisions peuvent se cumuler pouvant aboutir à des erreurs de positionnement ayant des conséquences potentiellement graves : proximité avec les racines adjacentes, perforation des racines, lésion nerveuse. La précision des guides chirurgicaux sté- réolithographiques dépend de nombreux paramètres : lempreinte, l’impression du guide, le matériau utilisé, la nature du support, lexpérience du praticien. Les empreintes optiques réalisées avec des scanners intra-oraux de plus en plus puissants présentent de nombreux avantages par rapport aux techniques conventionnelles en terme de rapidité, de précision et de reproductibilité. (10-14). Les guides peuvent être à appui osseux, muqueux, dentaire ou mixte. Une revue systématique de la littérature de Gallardo et coll. en 2017 (15) compare la précision des guides chirurgicaux en fonction du type de support. Cette revue conclut que les guides à appui osseux présentent le plus de déviation au niveau de langle, du point dentrée et de la localisation de lapex de l’implant par rapport aux guides à appuis dentaires. Les guides à appuis muqueux montrent moins de déviation par rapport aux guides à appuis osseux. Les auteurs nont pas trouvé de différence statistiquement significative entre les guides à appuis dentaires et muqueux. Selon L’étude de Cassetta publiée en 2017 (16), lexpérience du praticien influence la précision du positionnement des implants en chirurgie guidée. Un praticien novice en implantologie présente plus de déviation sur le positionnement des implants avec lutili- sation d’un guide chirurgical stéréolithographique quun praticien expérimentée. La chirurgie implantaire guidée reste un outil et nécessite une expérience chirurgicale. Le flux numérique en implantologie peut aujourdhui se réaliser de la prise d’empreintes d’étude à la fabrication de la restauration prothétique implantaire en passant par la conception et l’impression d’un guide chirurgi- cal. Ce flux est une aide précieuse en terme de communication avec le patient mais aussi avec le prothésiste, il permet daugmenter la reproductibilité des résultats et daboutir à une restauration prothétique esthétique et fonctionnelle.
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Desoutter, A., A. G. Bodard, S. Langonnet, S. Salino, and J. C. Bera. "Développement d’un modèle expérimental d’irradiation de mandibule de lapin. Intérêt dans l’évaluation de nouvelles techniques de traitement ou prévention de l’ORN." In 66ème Congrès de la SFCO. Les Ulis, France: EDP Sciences, 2020. http://dx.doi.org/10.1051/sfco/20206603023.

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Abstract:
La radiothérapie (RTE) constitue une thérapeutique majeure dans la prise en charge des cancers ORL. Elle entraîne une altération cellulaire, matricielle et vasculaire des tissus. Au niveau du tissu osseux, cela aboutit à un déséquilibre entre apposition et résorption osseuses, avec pour conséquence un risque d’ostéoradionécrose (ORN)1. Le traitement de l’ORN peut être médical ou chirurgical. Il peut alors comporter des chirurgies lourdes (interruption mandibulaire ), avec des conséquences dramatiques sur les fonctions oro-faciales2. Il apparaît donc nécessaire de développer des techniques préventives et thérapeutiques plus efficaces et moins mutilantes, afin d’améliorer la qualité de vie de ces patients. L’objectif de l’étude est de mettre au point un modèle animal (lapin), permettant de simuler une perte de substance osseuse alvéolaire sur une mandibule irradiée, afin d’évaluer la cicatrisation osseuse après extraction dentaire en territoire irradié, et d’évaluer les effets des ultras sons de faible intensité (LIPUS) dans la prévention ou le traitement de l’ORN. L’étude a été approuvée par le comité d’éthique pour l’expérimentation animale du Centre Léon Bérard (n° d’agrément 69.388.0501). Le modèle animal retenu est le lapin femelle adulte (race New-Zealand White). La première partie de l’étude consiste à confirmer le schéma de radiothérapie. 30 lapins sont inclus ; 10 sont témoins, et 20 sont irradiés selon les modalités suivantes : 8.5 Gy par séance, 5 séances, 1 séance par semaine. A la fin de la radiothérapie, un défaut osseux mandibulaire simulant une extraction dentaire est réalisé. Les animaux sont ensuite sacrifiés à J0, J7, J14, J28, J42. L’évaluation de la reconstruction osseuse au niveau du site d’extraction se fait grâce à des analyses histologiques, la réalisation d’un microscanner et des tests de microdureté. Ensuite, un protocole d’insonification est développé. Après réalisation du défaut osseux chez 12 lapins, 10 mandibules de lapins (2 lapins contrôles) sont insonifiées selon le protocole suivant : fréquence = 1,05MHz, tension = 77mV, 2ms on/8ms off, Intensité acoustique = 300mW/cm. Les sacrifices et l’évaluation de la reconstruction osseuse sont réalisés selon les mêmes modalités que précédemment. Enfin, les LIPUS sont étudiés sur des mandibules de lapins irradiés : 20 lapins sont irradiés puis bénéficient de la création du défaut osseux. 10 recoivent les LIPUS comme précédemment (10 lapins contrôles). Les sacrifices et les analyses histologiques, radiologiques et micro-mécaniques sont réalisés comme précédemment. Une étude de faisabilité est actuellement en cours, afin de déterminer les modalités de création du défaut osseux, et de préciser les paramètres d’évaluation. Différentes études ont montré que les LIPUS stimulaient le tissu osseux en stimulant la différenciation ostéoblastique3. Une utilisation dans le traitement des ORN semble donc envisageable, ce qui permettrait de diminuer les mutilations oro-faciales liées aux chirurgies réalisées actuellement.
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Daas, M., and K. Dada. "Le flux numérique en implantologie." In 66ème Congrès de la SFCO. Les Ulis, France: EDP Sciences, 2020. http://dx.doi.org/10.1051/sfco/20206601016.

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L’optimisation du résultat esthétique et fonctionnel des restaurations implantaires, la simplification des procédures cliniques et de laboratoire et lamélioration de la prévisibilité des traitements sont les principaux objectifs de l’implantologie moderne. Cette prévisibilité est due en grande partie à l’intégration du flux numérique dans les différents étapes du traitement: analyse esthétique virtuel « Digital Smile Design », meilleure communication avec les patients, prise en compte des paramètres biologiques, esthétiques et fonctionnels, prise dempreinte optique, numérisation des modèles, planification implantaire 3D, chirurgie guidée, optimisation du profil démergence avec les piliers anatomiques personnalisés, mise en place d’une restauration implanto-portée se rapprochant le plus possible des dents naturelles absentes, en se fondant dans son environnement tout en respectant la notion de «Biomimétique». Cette démarche permet donc aujourdhui d’anticiper le résultat de nos traitements, devenus de plus en plus complexes, et d’assurer la pérennité de nos restaurations implantaires à long terme. Le but de notre intervention est de présenter l’intégration de ces nouvelles technologies dans notre pratique quotidienne, du cas simple au plus complexe.

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