Academic literature on the topic 'Parti démocratique de Côte-d'Ivoire'

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Journal articles on the topic "Parti démocratique de Côte-d'Ivoire"

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Moussa, KONATE. "LA MANIPULATION DES ASSOCIATIONS ISLAMIQUES PAR LES PARITIS POLITIQUES EN COTE D’IVOIRE DE 1991 A 2011." IJRDO - Journal of Social Science and Humanities Research 9, no. 1 (2023): 18–25. http://dx.doi.org/10.53555/sshr.v9i1.5509.

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Abstract:
L’année 1991 fut marquée en Côte d’Ivoire par l’influence des associations islamiques. Très tôt, elles devinrent le champ de prédilection des hommes politiques, qui pour leurs intérêts partisans en firent des cercles de soutien. Après la mort du père fondateur de la république de Côte d’Ivoire Félix Houphouët-Boigny, son successeur Henri Konan Bédié encouragea cette l’instrumentalisation des associations islamiques. Ces associations furent souvent l’objet de manipulation pour des fins politiques. C’était une stratégie pour certains partis politiques de consolider leurs pouvoirs et une tactique pour d’autres afin de conquérir le pouvoir d’Etat.
 Le rapprochement des associations islamiques avec des partis politiques depuis le retour au multipartisme en Côte d’Ivoire en 1990, se manifesta avec les différents régimes qui se succédèrent, du Parti Démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) 1993 -1999 en passant par le Front Populaire Ivoirien (FPI) 2000-2010, au Rassemblement. Des Républicains de Côte d’Ivoire (RDR) entant que parti au pouvoir depuis 2011.
 Cet article vient montrer certains aspects sur les rapports entre les partie politique et certaines associations islamique en Côte d’Ivoire
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Daddieh, Cyril K. "Elections and Ethnic Violence in Côte d’Ivoire: The Unfinished Business of Succession and Democratic Transition." African Issues 29, no. 1-2 (2001): 14–19. http://dx.doi.org/10.1017/s1548450500006144.

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Abstract:
For nearly half a century politics in Côte d’Ivoire had been dominated by a single individual, Félix Houphouët-Boigny; a single political party, the Democratic Party of Côte d’Ivoire (Parti démocratique de Côte d’Ivoire, PDCI); and roughly the same cohort of politicobureaucratic elites. This rare combination of regime longevity and elite cohesion had produced considerable state competence and impressive economic growth which, in turn, fostered relative peace between the different classes, the various ethnic and religious groups, and indigenous Ivorians and foreign residents. Thus, Côte d’Ivoire was heralded as an oasis of peace and prosperity and a haven for immigrants seeking refuge from economic impoverishment and ethnic or civil strife at home.
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Lawler, Nancy. "Reform and repression under the Free French: economic and political transformation in the Côte d'Ivoire, 1942–45." Africa 60, no. 1 (1990): 88–110. http://dx.doi.org/10.2307/1160428.

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Abstract:
Opening ParagraphFew dispute the proposition that the Second World War marked the beginning of the end of colonialism in Africa. The thesis developed by Hodgkin (1956), Crowder (1968, 1978) and Schachter-Morgenthau (1964)—that coalitions of African veterans, disgruntled planters, peasants and chiefs gave rise to anti-colonialist, nationalist political movements in the immediate post-war era—has not been seriously challenged. The general acceptance of this view has resulted in a neglect of the history of the colonies during the war years themselves. While there is now a growing interest in this subject, most studies of the independence movements begin with the emergence, in 1946, of recognisable political parties in British and French Africa. They take as starting points such visible events as the Brazzaville Conference, the 1946 French Constitution, the launching of the Convention Peoples Party in Ghana, or the founding of the Rassemblement Démocratique Africaine (RDA) in Bamako. What is needed now are thorough case studies of the specific policies and practices of the imperial powers during the Second World War and a consideration of the extent to which they acted as internal catalysts in the struggle for independence. This article, which is offered as a contribution to that end, looks at one chapter in the war experience of the Cote d'Ivoire.
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Martin, Guy. "Félix Houphouët et la Côte d'Ivoire: l'envers d'une légende by Marcel Amondji Paris, Editions Karthala, 1984. Pp. 333. FF88.00. - La Côte d'Ivoire: économie et société à la veille de l'indépendance, 1940–1960 by Laurent Gbagbo Paris, Editions l'Harmattan, 1982. Pp. 212. FF80.00. - Côte d'Ivoire: pour une alternative démocratique by Laurent Gbagbo Paris, Editions l'Harmattan, 1983. Pp. 179. FF70.00." Journal of Modern African Studies 25, no. 3 (1987): 559–61. http://dx.doi.org/10.1017/s0022278x00010041.

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Jacob, Elizabeth. "Militant Mothers: Gender and the Politics of Anticolonial Action in Côte d'Ivoire." Journal of African History, October 14, 2022, 1–20. http://dx.doi.org/10.1017/s0021853722000524.

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Abstract:
Abstract On 24 December 1949, two thousand women marched on the prison at Grand Bassam in protest of the detention of militants of the Parti Démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI). Considered the first mass demonstration by West African women against French colonial rule, the march on Grand Bassam was a watershed moment in the Ivoirian anticolonial movement. Though party officials have framed women's activism as a political ‘awakening’, women's militancy was in keeping with longstanding practices of public motherhood, whereby women's status as caregivers — both biological and symbolic — authorized their moral interventions in community life. Maternal authority enabled a variety of powerful political tactics, yet in an Ivoirian anticolonial context dominated by elite negotiations, it also circumscribed women's activism. This article examines the women's march on Grand Bassam as a case study for understanding the possibilities and limits of women's participation in the Ivoirian anticolonial movement.
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Caroline, Hervé. "Réconciliation." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.113.

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Abstract:
La réconciliation est une préoccupation contemporaine qui oriente les politiques et les actions des institutions et des individus dans certains contextes nationaux et internationaux. Les politiques de réconciliation se déploient à la suite d’épisodes traumatiques dans le but de rebâtir des relations de confiance et de respect entre des États et des individus ou des groupes brimés. Elles se développent également dans les démocraties modernes dans le but de réparer la relation entre certains groupes et engager les pays dans des processus de démocratisation et d’inclusion des différents groupes culturels, ethniques et sociaux. Souvent édictées comme des politiques nationales, elles s’implantent à travers des mesures concrètes dans les différents niveaux institutionnels de la société et orientent les discours dominants. La question de la réconciliation a reçu l’attention des chercheurs en sciences sociales, en droit, en science politique, en philosophie morale, mais également en littérature ou en théologie. Il s’agit d’un objet dont l’anthropologie s’est emparé récemment en montrant la diversité des contextes dans lesquels il se déploie, les rapports de pouvoir sous-jacents et les significations variées que les différents groupes sociaux lui assignent. La réconciliation, comme projet politique national, est souvent mise en place à la suite des travaux d’une Commission de vérité et réconciliation (CVR) visant à éclairer certains troubles politiques et restaurer la justice sociale ou un nouvel ordre démocratique dans une optique de justice réparatrice. La Commission nationale d’Argentine sur la disparition des personnes (1983) est considérée comme la première d’une longue série de commissions qui ont enquêté sur des situations de troubles politiques, de guerres civiles, de répressions politiques, de génocide. Plus d’une quarantaine de commissions ont été dénombrées depuis cette date (Richards et Wilson 2017 : 2), principalement en Afrique (Tunisie, Burundi, Côte d’Ivoire, Togo, etc.), dans les Amériques (Canada, Pérou, Brésil) ou encore en Asie (Timor oriental, Népal, etc.). Parmi les plus importantes, on compte la Commission nationale de vérité et de réconciliation du Chili (1990-1991) qui a documenté les circonstances des milliers de disparitions et de morts sous la dictature d’Augusto Pinochet et préparé le pays vers une transition démocratique. La Commission de vérité et de réconciliation d’Afrique du Sud (1996-1998) visait quant à elle à recenser toutes les violations des droits de l’homme commises dans le pays au cours des décennies précédentes et à mettre fin à l’apartheid. La plupart du temps, ces commissions sont le résultat de pressions exercées par des groupes d’activistes au sein d’un État, ou, comme c’est de plus en plus souvent le cas, de pressions exercées au niveau international par les organisations non gouvernementales ou d’autres mouvements politiques. Elles constituent des organismes indépendants des appareils judiciaires et leur objectif premier est d’enquêter sur les coupables et les victimes et d’émettre des recommandations en vue de restaurer la paix (Richards et Wilson 2017 : 2). Ces Commissions de vérité et réconciliation s’appuient sur des principes de droit international, mais certains auteurs y voient aussi la résurgence d’une éthique religieuse à travers l’importance donnée au concept de pardon, central dans plusieurs religions du Livre, comme l’Ancien Testament, le Nouveau Testament ou encore le Coran (Courtois 2005 : 2). Les anthropologues ont montré qu’en fonction des méthodologies utilisées lors des enquêtes, les discours sur la vérité peuvent varier. Ainsi, certaines histoires ou expériences sont rendues visibles tandis que d’autres sont oubliées (Buur 2000, Wilson 2003, Ross 2002). Au fil du temps, les CVR ont eu des mandats, des prérogatives et des applications différents. En témoigne la CVR du Canada qui avait pour but, non pas d’assurer la transition d’un pays autocratique vers une démocratie, mais de lever le voile sur les expériences de déracinement et de violence vécues par les peuples autochtones au sein des pensionnats. À l’image du travail de Susan Slyomovics (2005) sur la Commission du Maroc, les anthropologues ont analysé les programmes de réparation et de restitution mis en place par certaines commissions. Ils ont aussi montré que certains groupes sociaux restaient marginalisés, comme les femmes (Ross 2002). Theidon (2013), dans son travail sur la commission de vérité et réconciliation du Pérou, a montré de son côté que les CVR oublient souvent d’inclure des enquêtes ou des discussions sur la façon dont les violences politiques détruisent les relations familiales, les structures sociales ou les capacités de production économique de certains groupes. Les anthropologues permettent ainsi de mieux comprendre les perspectives des survivants face au travail et aux recommandations de ces commissions en documentant la diversité de leurs voies et de leurs expériences. Ils montrent que la réconciliation est avant tout un projet construit politiquement, socialement et culturellement. La réconciliation est un objectif central à la plupart des CVR, mais elle est un objectif qui la dépasse car elle est la plupart du temps mise en place une fois que la CVR a achevé ses travaux et émis ses recommandations. Les CVR ont en effet rarement l’autorité de mettre en place les recommandations qu’elles édictent. Les anthropologues Richards et Wilson (2017) présentent deux versions de la réconciliation en fonction des contextes nationaux : une version allégée (thin version) à travers laquelle les politiques nationales encouragent la coexistence pacifique entre des parties anciennement opposées ; et une version plus forte (thick version) lorsque des demandes de pardon sont exigées à ceux qui ont commis des crimes. Si la réconciliation suppose qu’un équilibre puisse être restauré, il n’en reste pas moins qu’elle se base sur une interprétation spécifique de l’histoire (Gade 2013) et qu’elle participe à la construction d’une mémoire individuelle, collective et nationale. Cette notion permet donc d’offrir un cadre souple aux élites qui prennent en charge le pouvoir après les périodes de troubles pour que celles-ci puissent (re)légitimer leur position et les institutions politiques, souvent héritières de ce passé qu’on cherche à dépasser (Richards et Wilson 2017 : 7). Ce discours sur la réconciliation vise ainsi à instiller des valeurs morales publiques et construire une nouvelle image commune de la nation. Selon Wilson, les CVR seraient des modèles promus par les élites politiques pour construire une nouvelle harmonie qui permettrait d’occuper la conscience populaire et la détourner des questions de rétribution et de compensation financière. Le nouvel ordre politique est présenté comme étant purifié, décontaminé et déconnecté avec l’ancien ordre autoritaire, une façon de construire une nouvelle vision de la communauté en inscrivant l’individu dans un nouveau discours national (Wilson 2003 : 370). La réconciliation, comme projet politique national, ne fait en effet pas toujours l’unanimité. Par exemple, elle est devenue une véritable préoccupation collective au Canada depuis la remise du rapport de la Commission de vérité et réconciliation du Canada en 2015, mais le sens donné à celle-ci varie. Même si le rapport de la CVRC prévient qu’il n’y a pas une vérité ou une vision de la réconciliation (CVRC 2015 : 14) et que pour les Autochtones, la réconciliation exige aussi une réconciliation avec le monde naturel (CVRC 2015 : 15), ce processus national est vivement critiqué par certains intellectuels autochtones, comme Taiaiake Alfred (2016), pour qui la réconciliation est un processus de « re-colonisation » qui occulte la dynamique coloniale encore à l’œuvre (Alfred 2011 : 8). Cette critique se retrouve dans d’autres contextes postcoloniaux, comme en Nouvelle-Zélande ou en Australie, où les excuses proférées par les gouvernements concernant les différentes formes d’injustice subies par les peuples autochtones oblitèrent les enjeux les plus cruciaux, à savoir la nécessité d’abolir les politiques coloniales et de faire avancer les projets d’autonomie politique des Autochtones (Johnson 2011 : 189). La réconciliation est constitutive de toute relation sociale et en ce sens elle peut être instrumentalisée au sein de discours visant à faire ou défaire les liens sociaux (Kingsolver 2013). C’est donc aussi là que se situe l’enjeu de la réconciliation, sur la capacité à s’entendre sur ce qu’est une bonne relation. Borneman définit la réconciliation comme un au-delà de la violence (departure from violence), c’est-à-dire comme un processus intersubjectif à travers lequel deux personnes ou deux groupes tentent de créer une nouvelle relation d’affinité, non plus marquée par la violence cyclique, mais par la confiance et l’attention réciproques ; cela étant possible seulement si les États instaurent des politiques de réparation et que la diversité des points de vue des personnes concernées par ces politiques est prise en compte (Borneman 2002 : 282, 300-301). En ce sens, une lecture anthropologique au sujet de la réconciliation permet de développer une réflexion critique sur la réconciliation en la considérant avant tout comme une préoccupation politique contemporaine dont il s’agit de saisir le contexte d’émergence et les articulations et comme un processus à travers lequel les individus tentent, à partir de leurs points de vue respectifs, de redéfinir les termes d’une nouvelle relation. La discipline anthropologique est en effet à même de mettre au jour les rapports de pouvoir inhérents aux processus de réconciliation, de révéler les significations culturelles sous-jacentes que les différents acteurs sociaux attribuent au pardon, à la réconciliation ou encore à ce qui constitue les bases d’une relation harmonieuse. L’anthropologie peut enfin lever le voile sur les dynamiques de réciprocité et de don/contre-don qui se déploient au travers de ces processus et ainsi décrypter les multiples dimensions qui participent à la fabrique des sociétés.
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Dissertations / Theses on the topic "Parti démocratique de Côte-d'Ivoire"

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Khashan, Ali. "Le parti unique et la démocratie : exemple la Côte d'Ivoire." Montpellier 1, 1986. http://www.theses.fr/1986MON10035.

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Abstract:
La notion du parti unique a provoque chez les juristes une sorte de polemique qui tourne autour des avantages et des inconvenients. La polemique atteint son apogee lorsque l'on etablit la relation entre le systeme du parti unique et la democratie. Nous pouvons constater cet etat de chose dans certains pays du tiers-monde et en particulier les pays africains qui ont opte pour le systeme du parti unique en raison de facteurs pratiques : en ce sens, ces pays etant en voie de developpement, ont besoin de l'unite du peuple et du regime pour entamer leur developpement. C'est pour cette raison que nous avons choisi le parti unique en cote d'ivoire, surtout que le p. D. C. I. Pretend a la democratie. Nous avons subdivise notre travail en deux parties precedees d'un chapitre preliminaire. Dans ce chapitre nous avons parle de la naissance du parti unique ainsi que des justifications de ceux qui le soutiennent. Pour la naissance, nous avons essaye de voir le rapport entre le p. D. C. I. Et les autres groupes et forces qui se trouvaient a l'origine du parti comme le syndicat agricole africain (s. A. A. ), le comite d'etude franco-africain et le groupe des etudiants communistes. Nous avons ensuite montre le role du parti democratique dans la naissance du rassemblement democratique africain (r. D. A. ) ainsi que les rapports de celui-ci avec le p. C. F. Nous avons consacre la premiere partie aux structures du parti democratique de cote d'ivoire, qu'il s'agisse des elements de bases ou des organes centraux du parti, ou encore des modes de son fonctionnement. La deuxieme partie s'interesse aux differents points de vue des responsables ivoiriens qui s'accordent sur le fait que le p. D. C. I. Est un parti democratique. Nous avons essaye de discuter ces affirmations a travers la realite pratique et surtout, a partir de certains exemples, nous avons esquisse notre point de vue visa-vis de la relation entre le parti unique et la democratie. A la fin de notre recherche, nous avons demontre la necessite d'etablir le systeme du multipartisme en recourant, entre autres, a un sondage parmi 86 etudiants ivoiriens. Ceux-ci ont exprime leur position vis-a-vis de la portee du parti unique ainsi que son rapport a la democratie<br>The idea of a unique party provoqued for jurists a sort of polemic considering the advantages and disadvantages. The polemic reached its apogee when the relation between the system of the unique party and the democracy was established. It is possible to ascertain this condition in certain countries of the third world and in particular the african countries that had opted for the system of the unique party due to pratical facters. On this sense, three developing countries need the unity of the people and the regime to continue their development. This is the reason that we have chosen the ivory coast's unique party where the p. D. C. I. Maintains the democracy. We have subdivised our work in two parts preceded by a preliminary chapter that discusses the origin of the unique party as well as the justifications that support it. For the origin, we attempted to consider the relationship between the p. D. C. I. And the other groups and forces that helped to form the party such as the african agricultural syndi. (a. A. S. ), the committee of franco-african studies and the group of communist students. Afterwards, we demonstrated the roll of the democratic party in the creation of the african democratis assembly (a. D. A. ) as well as its relation with the french communist party (f. C. P. ). We have devoted the first part to structure of the ivory coast's democratic party concerning basic elements or central organs of the party or even its methods of functioning. The second part deals with the different points of view of responsable inhabitants of the ivory coast that agree on the fact that the p. A. C. I. Is a democratic party. We have tried to discuss these affirmations regarding the practical reality and above all, based on certain examples, we have sketched our point of view concerning the relationships between the unique party and the democracy. At the end of our research we have demonstrated the necessity to establish the system of multipartism by using, among other methods, a survey of 86 students from the ivory coast. They expressed their position toward the scope of the unique party as well their relationship with the democracy
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Gayé, Fatou. "Pouvoir traditionnel, monopartisme et transition démocratique en Côte d'Ivoire : l'exemple de la chefferie Tiembara de Korhogo." Paris, EHESS, 1998. http://www.theses.fr/1998EHES0043.

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Abstract:
Cette etude se veut une anthropologie politique de la democratisation en cote d'ivoire. Avec le processus de democratisation enclenche en afrique au debut des annees 90, les pouvoirs traditionnels sont bouscules par les revendications democratiques plus ou moins violentes. De nouvelles negociations des rapports de force politiques se dessinent a l'echelon local. De plus en plus, la legitimite historique de la chefferie est contestee au profit de la legitimite democratique des partis politiques. C'est cette evolution que cette these a tente de mettre en evidence en s'appuyant sur l'exemple de la chefferie tiembara de korhogo, controlee par l'oligarchie familiale des gon coulibaly. Cette chefferie familiale s'appuie sur le poro, une societe initiatique secrete qui joue depuis toujours un role central dans la societe senoufo. Le poro donne un caractere sacre a la chefferie, engendrant ainsi une confusion du politique et du religieux. En diffusant une culture de la soumission, le poro consolide de fait la chefferie tiembara et en fait l'acteur politique incontournable dans la region, aussi bien a l'epoque coloniale que post-coloniale. Sous le monopartisme, le pdci-rda, parti unique, et la chefferie se sont soutenus mutuellement pour le controle politique de la region. Mais, avec le multipartisme, l'oligarchie familiale des gon coulibaly se disperse dans des partis antagoniques, fragilisant la vieille alliance du parti unique et de la chefferie. Le multipartisme fragilise ainsi la chefferie et l'oblige a deserter progressivement l'espace du jeu politique republicain, occupe desormais par les partis. Il se produit ainsi une laicisation du jeu politique dans le pays senoufo. Celle-ci revele les perturbations qu'exerce la democratisation dans la societe senoufo pourtant reputee tres conservatrice<br>This dissertation is a political anthropological study of democratization in the ivory coast. With the democratic process started in africa at the beginning of the 90s, the traditional authorities have been shaken by more or less violent democratic claims. It became necessary to redefine locally the relationship between various political forces at work in the country. The historic necessity of the chieftaincy is being more and more questioned in favor of democratic political parties. I have attempted in this dissertation to point out the evolution of this situation with the example of the tiembara chieftaincy, headed by the gon coulibaly oligarchic family. The foundation of this family chieftaincy is the "poro", a secret circle of initiated, which has played ever since, a central function in the senoufo ethnic group. It has conferred a sacred aspect to the chieftaincy, causing in so doing a merging of the political and the religious. By propagating a culture of submission, the "poro" reinforces the tiembara chieftaincy, and makes it the main political institution of the region, in the colonial as well as post- colonial eras. During monopartism, the pdci-rda, the only political party, and the chiefaincy have collaborated to control the politically the region. But with the advent of multipartism, affiliation of gon coulibaly family members in oppositing political parties has broken up this oligarhic family, weakening thus the previous alliance of the unique party with the chieftaincy. Multipartism has therefore weakened and compeled the chieftaincy to progressively retreat from the republican political arena, henceforth occupied by political parties. There is, as a result of this process, as secularization of the political activity among the senoufo people. This reveals the major disturbances that democratization has brought into the senoufo group, yet conservatory
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Bamba, Sidiki. "Presse écrite et émergence de l'espace public en Côte d'Ivoire : Entre idéal démocratique et propagande politique." Bordeaux 3, 2010. https://extranet.u-bordeaux-montaigne.fr/memoires/diffusion.php?nnt=2010BOR30003.

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Abstract:
L’ouverture du champ politique en 1990 a vu naître une nouvelle presse écrite privée qui, très tôt, s’est imposée comme un acteur essentiel du processus démocratique. Les conditions de sa naissance ont fait d’elle un instrument aux mains des partis politiques pour la diffusion de leurs idéologies. Le nouvel espace public, selon l’apport d’Habermas, qui venait de voir le jour grâce à cette presse, sera tributaire de ce contexte de création. En Côte d’Ivoire, le processus de démocratisation en cours, via les journaux, est marqué, en filigrane, par de forts enjeux identitaires concurrentiels : l’ethnie, la région et la religion. Celles-ci, objets de manipulations diverses pour la conservation ou la conquête du pouvoir, alimentent les contenus des journaux. En cela, la presse, l’un des maillons essentiels de la démocratie, peut être vue comme un vecteur de fracture sociale. Par ailleurs, la culture politique, forgée dans le moule du parti unique, n’est pas suffisamment imprégnée des préceptes démocratiques. Dès lors, les nombreux espaces de discussion de rue, réappropriés par les partis politiques, sont détournés de leur essence première pour devenir des lieux de propagande<br>The advent of political pluralism in 1990 saw the rise of a private written press that established itself quite early as a central component of the democratic process. Given the conditions of its birth, this new press became an instrument in the hands of political parties in order to spread their ideologies. Hence, thanks to the private written press a new public sphere – in Habermas’ words – was brought to life. The development of the public sphere in Côte d’Ivoire will be subject to this particular context of emergence. The process of democratization underway in this country through the newspapers is implicitly marked by strong competitive identity stakes based on ethnic group, region and religion. Manipulated by the political parties either to takeover power or remain in force, these three ingredients have been fuelling stormy debates in the newspapers. As such, the written press can be considered as a cause of social dislocation. Moreover, the political culture that prevails in Côte d’Ivoire was forged in the mould of a one-party-system and is not enough permeated with democratic principles. Therefore, the many spheres of discussion existing all over the country were taken over by political parties and diverted from their essential aim: discuss freely of the societal problems so as to influence the political action. On the contrary, they have become places of political propaganda
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Kamagate, Abou. "Élections et monopartisme en Côte d'Ivoire." Paris 1, 1989. http://www.theses.fr/1989PA010279.

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Abstract:
Au lendemain de la seconde guerre mondiale, le système électoral introduit par la France dans ses colonies d’Afrique noire, aboutit à l'éclosion de plusieurs partis politiques en Côte-d’Ivoire. L'un d'eux, le P. D. C. I. -R. D. A. , affiche un dynamisme exceptionnel. Très vite ses succès électoraux font de lui, d'abord un parti dominant, puis un parti unique (les autres formations politiques ayant été tôt digérées). Ce monopartisme ante-indépendance atteindra son point de cristallisation en 1960 avec l'adoption et la mise en pratique d'un système électoral "défensif" : le scrutin de liste nationale complété. Si ce mode de recrutement politique a contribué, deux décennies durant, à asseoir la stabilité politique du régime ivoirien, l'identification partisane s'en est, en revanche, trouvée affectée. Pour donc stimuler le militantisme en voie d'assoupissement, le scrutin de liste nationale unique est abandonné en 1980 au profit d'un nouveau mode de sélection : le système électoral semi-concurrentiel (compétition à tous les niveaux à l'intérieur du parti unique). En 1980, l'expérience a été concluante, mais non sans difficultés<br>On the next day of the second world war, the electoral system introduced by france in its colonies of black Africa, leads to the apparition of several political parties in Côte-d’Ivoire. One of them, the P. D. C. I. - R. D. A. , post up an exceptional dynamism. Very quickly, its electoral successes make of him, first a dominant party, afterwards a unique party (the other political formations having been early assimilated) that pre-independence one-party system will attain its period of crystallization in 1960 with the adoption and the practice of a "defensive" electoral system : the ballot of complete national list. If that method of political recruitment has contributed, during two decades, to reinforce the ivoirian regime's political stability, in return, the partisan identification is of it found affacted. So, to stimulate the dozing militantism, the ballot of unique national list is abandoned in 1980 in profit of a new method of selection : the electoral semi-competitive system (competition in the inside of the one-party). In 1980, the experience has been conclusive, but no without difficulties
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Fierens, Marie. "Le journalisme en République démocratique du Congo et en Côte d'Ivoire: émergence et évolution d'une profession, de la colonisation à nos jours." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2014. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/209197.

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Abstract:
Le travail retrace l’évolution du métier de journaliste de presse écrite en République démocratique du Congo (RDC) et en Côte d’Ivoire, de la fin de la période coloniale à nos jours. Plus précisément, il s’attache à en comprendre l’émergence et la structuration progressive, à Léopoldville (devenue Kinshasa) et à Abidjan. L’objectif consiste à dégager les éléments qui ont modelé le métier dans les deux pays, pour mieux comprendre la forme qu’il emprunte aujourd’hui.<p>La recherche se fonde principalement sur l’exploitation d’une centaine d’entretiens menés pour la plupart à Kinshasa et à Abidjan, sur l’exploitation de corpus de presse et sur l’exploitation de ressources documentaires et bibliographiques. Elle adopte une perspective comparative visant à mettre en évidence les similitudes et les spécificités qui ont marqué l’évolution du journalisme de presse écrite en RDC et en Côte d’Ivoire.<p>Le travail se divise en quatre parties, dont les trois premières s’arrêtent sur des moments importants de la structuration de la profession. La première présente la façon dont les Congolais et les Ivoiriens se sont investis progressivement dans le journalisme de presse écrite, particulièrement à la fin de la période coloniale, dans un contexte de pluralisme limité. La deuxième étudie la pratique du journalisme et sa structuration, au Congo et en Côte d’Ivoire, durant le long règne des partis uniques. La troisième partie analyse la nouvelle forme que revêt la profession depuis la libéralisation politique et médiatique du début des années 1990. Pour chaque période, l’analyse comporte trois axes destinés à mettre en évidence les éléments utiles à la comparaison. Le premier permet de mettre au jour le système relationnel qui existe autour des journalistes congolais et ivoiriens de presse écrite, afin d’identifier les facteurs sociétaux qui influencent leur pratique. Le deuxième axe dévoile les dynamiques internes du groupe professionnel, dans les deux pays. Enfin, le troisième axe se construit autour des parcours individuels d’un certain nombre de journalistes, ce qui permet de cerner leurs motivations et leur perception du métier.<p>L’approche comparative constitue la quatrième partie de la recherche. Elle s’appuie sur le concept de « configuration » de Norbert Elias pour corréler les trois axes et les trois périodes décrits ci-dessus, pour penser l’émergence et l’évolution de la profession en termes de relations, d’interdépendances et de négociation.<p>L’imprécision des contours du groupe, des profils professionnels et des pratiques apparaît constitutive du journalisme de presse écrite, au Congo et en Côte d’Ivoire. La forme que revêt aujourd’hui la profession résulte d’une suite d’interdépendances, régulièrement renégociées, qui lie les journalistes aux autres acteurs au cours du temps./<p>The thesis traces the development of the profession of newspaper journalist in the Democratic Republic of Congo (DRC) and Côte d’Ivoire, from the end of the colonial era until today. More precisely, it seeks to understand its emergence and structural development in Léopoldville (Kinshasa) and Abidjan. The objective is to identify the elements that fashioned the profession in both countries so as to better understand its current form.<p>The research rests chiefly on the use of about 100 interviews conducted for the most part in Kinshasa and Abidjan as well on the use of press corpuses and of documentary and bibliographic resources. The research takes a comparative approach that aims to highlight the similarities and specificities that have marked the evolution of newspaper journalism in the DRC and Côte d’Ivoire.<p>The thesis is divided into four parts, the first three of which concentrate on key moments in the profession’s structural growth. Part One outlines the way in which the Congolese and Ivorians gradually became involved in print journalism, in particular at the end of the colonial era, in a context where pluralism was limited. Part Two studies the practice of journalism and its structural elaboration, in the Congo and Côte d’Ivoire, under the long reign of the one-party systems. Part Three examines the new form assumed by the profession since the political and media liberalization of the early 1990s. For each period, the analysis relies on three axes destined to emphasize the elements that are useful for the comparison. The first axis makes it possible to reveal the network of relations existing around Congolese and Ivorian newspaper journalists in order to identify the societal factors influencing their practice. The second axis sheds light on the professional body’s internal dynamics in the two countries. Lastly, the third axis centres on the individual careers of a number of journalists, making it possible to grasp their professional motivations and their perception of the sector. <p>The comparative approach composes the fourth part of the thesis. It relies on Norbert Elias’s notion of ‘configuration’ to correlate the three axes and periods described above in order to examine the profession’s emergence and evolution in terms of relations, interdependencies and negotiations.<p>The vagueness of the group’s contours, of the professional profiles and of the practices appears constitutive of newspaper journalism in the Congo and Côte d’Ivoire. The profession’s current form is the result of a succession of interdependencies, regularly renegotiated, that has linked the journalists to other actors over the course of time.<p><br>Doctorat en Information et communication<br>info:eu-repo/semantics/nonPublished
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M'Pélé, Jean Peutêtre. "Guerres "ethniques" et mondialisation : les cas du Congo-Brazzaville et de la Côte d'Ivoire." Paris 8, 2009. http://www.theses.fr/2009PA083174.

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Abstract:
Le processus de démocratisation qui s'est produit en Afrique subsaharienne, à la fin du XXe siècle et au début du XXIe, a abouti dans certains pays à une conflictualité située au-delà de la confrontation ouverte et légale de la pluralité qu'est la démocratie, autrement dit à la violence armée et meurtrière. La dimension ethnique, voire confessionnelle, de cette violence est souvent considérée comme le retour d'un archaïsme ou d’un atavisme et comme l'expression d’une extériorité ou d’une faible intégration à la mondialisation des sociétés concernées. En nous appuyant sur les cas du Congo-Brazzaville et de la Côte d’Ivoire, cette étude démontre, au contraire, que ces guerres dites ethniques sont la manifestation de la longue insertion de ces sociétés dans la mondialisation comprise comme un processus ayant débuté, il y a environ cinq siècles, avec la traite transatlantique et relayée par la colonisation et la post-colonisation. Par conséquent, les dimensions ethnique/régionale et confessionnelle servent plutôt d'habillage aux intérêts modernes ou post-modernes des principaux acteurs politiques et économiques nationaux (congolais et ivoiriens) et internationaux, principalement de l’ancienne métropole coloniale. L'accent mis, par les analyses supposées scientifiques, sur ces dimensions, plutôt que sur les intérêts modernes et post-modernes qui les structurent, n'est pas un accident, mais un aspect de la nature de ladite mondialisation dans laquelle ont été “scientifiquement” élaborées l'altérité et l'infériorité ontologiques des Africains subsahariens. Ainsi, l'étude de ces conflits contribue à une redéfinition de la mondialisation ou de la modernité débarrassée de l'occidentalocentrisme, qui est encore dominant dans l'africanisme, compris comme un complexe discursif sur l'Afrique subsaharienne<br>The process of democratisation that took place in sub-Saharan Africa at the end of the 20th and beginning of the 21st centuries in some countries led to a conflictuality that went beyond the open and legal confrontation that democracy represents, in other words it led to armed and homicidal violence. The ethnical or confessional dimension of this violence is often considered to signify the return of an archaism or an atavism and as the expression of these societies’ exteriority or weak integration into the process of globalisation. Based on the cases of Congo-Brazzaville and Cote d’Ivoire, this study shows that these wars said to be ethnical show, on the contrary, that these societies have been part of globalisation for long time, globalisation being understood as a process that began about five centuries ago with the transatlantic slave trade and went over into colonisation and then post-colonisation. Thus, the ethnic/regional and confessional dimensions serve as window-dressing for the modern and post-modern interests of the main political and economic national (Congolese and Ivorian) and international actors, principally from the former colonial metropolis. The fact that supposedly scientific studies accentuate these dimensions, rather than the modern and post-modern interests that structure them, is no coincidence. It is one aspect of this same globalisation’s nature, in which the sub-Saharan African’s otherness and ontological inferiority have been “scientifically” elaborated. The study of these conflicts thus contributes to a redefinition of globalisation or of modernity, unfettered from the “occidentalocentrism” that still dominates Africanism, understood as a discursive aggregate about sub-Saharan Africa
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Bengobeyi, Benjamin Jean-Jacques. "La politique africaine de l'Afrique du Sud : analyse des médiations en République démocratique du Congo, au Burundi et en Côte d'Ivoire." Reims, 2009. http://www.theses.fr/2009REIMD006.

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Abstract:
Depuis qu'elle a rejoint la communauté internationale en 1994 après plusieurs années d'apartheid, l'Afrique du Sud sert d' intermédiaire et pratique la politique des bons offices dans un certain nombre de conflits africains. Aussi semblait-il judicieux de dresser un bilan provisoire de sa politique africaine à l'aune de ses tentatives de médiation régionale au Burundi, en République démocratique du Congo et en Côte d'Ivoire. Par ailleurs, cette étude fait ressortir les facteurs d'érosion de la puissance sudafricaine et l'incapacité de la nation arc-en-ciel à définir les règles du jeu pour asseoir un ordre de paix. A l'évidence, même si l'investissement sur la scène internationale peut s'avérer concluant, il constitue paradoxalement une limite de la politique étrangère sudafricaine. Il est donc à craindre que les résultats peu probants de ses interventions diplomatiques la discréditent en tant qu'acteur majeur de paix et de stabilité sur le continent africain<br>Since it joined the international community in 1994, after many years in Apartheid, South Africa has been acting as a mediator, practising a policy of good offices, and offering to mediate in a certain number of conflicts in Africa. Therefore, it is worth it for us to draw up a provisory assessment of its African policy up to its regional mediation attempts in Burundi, the Democratic Republic of Congo, and Ivory Coast, among others. This study also shows the highlights of South Africa's power and the incapacity of the rainbow nation to define the rule of the game so as to establish a peace order. It is patently obvious that, even if South Africa's commitment in the international scene can be conclusive, it paradoxically constitutes a limit in its Foreign Policy. We can thus fear that the improbable results of its diplomatic interventions should make it lose its credibility as a major actor for the establishment of Peace and stability in the African continent
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Koffi, Kouame saint-Paul. "Constitutionnalisme et démocratie en Afrique noire francophone : le cas du Bénin, de la Côte d'Ivoire, du Mali, du Burkina Faso, du Togo et du Sénégal." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2017. http://www.theses.fr/2017USPCD044.

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Abstract:
Le respect et l’application effective, voire même efficace du constitutionnalisme et de la démocratie en Afrique en générale et particulièrement en Afrique noire francophone ont toujours été des difficultés auxquelles les constitutionnalistes et hommes politiques de ce continent demeurent confrontés. En effet, le constitutionnalisme en Afrique noire francophone n’a pas toujours coïncidé avec la vague mondiale de démocratisation qui a suivi la chute du mur de Berlin. Toutefois, c’est à partir de 1990 que le mouvement va se généraliser. En effet, après l’accession à l’indépendance des anciennes colonies françaises, la culture politique et juridique des nouveaux dirigeants africains étant française, tout concourt à expliquer que les premières Constitutions africaines furent à quelques variantes près un décalque de la Constitution française du 4 octobre 1958. Très tôt, ces Constitutions furent mises en sommeil, quand les gouvernements civils ne sont pas tout simplement renversés par des coups d’États. Aussi, le parti unique s’est finalement imposé partout, y compris dans les pays qui comme la Côte d’Ivoire, avaient gardé le principe du pluralisme politique dans leur Constitution. Avec les nouvelles Constitutions, les régimes politiques se sont diversifiés et certains d’entre eux se sont éloignés du modèle français de 1958. Désormais, le nouveau constitutionnalisme africain s’incarne dans un double mouvement indissociable l’un de l’autre. Il s’agit d’une part de l’irruption du constitutionnalisme dans le débat démocratique et d’autre part de la consécration de la justice constitutionnelle. En somme, les résultats qui découlent des analyses démontrent que sur le terrain, le constitutionnalisme n’a pas produit et atteint les résultats escomptés en termes de démocratie, de bonne gouvernance, de respect et de sauvegarde des droits fondamentaux. Il faut tout de même reconnaître des succès qui se matérialisent par des acquis ponctuels, pour ne pas tomber dans une sorte de procès fait au constitutionnalisme et à la démocratie en Afrique<br>It has always been a challenge for constitutionalists and politicians of the African continent to enforce and implement constitutionalism and democracy effectively, and even efficiently, in Africa as a whole, and more particularly in Francophone black Africa. Indeed, constitutionalism in Francophone black Africa has not always coincided with the global wave of democratization that took place after the collapse of the Berlin wall. As a matter of fact, when the former French colonies became independent, new African leaders’ political and legal culture remained French-oriented, and that was the reason why the new African Constitutions were more or less similar to the October 4th 1958 French Constitution. Very soon, these Constitutions ended up not being implemented and some civil governments were overthrown by military coups. A single party eventually imposed itself everywhere, even in countries such as Ivory Coast where the principle of political pluralism was written in the Constitution. However, a wave of democratization started to widespread in the 1990s. Political regimes diversified with the new Constitutions, and some of these Constitutions veered from the 1958 French model. From now on, the new African Constitutionalism is embodied by two inseparable trends. On the one hand, constitutionalism has forced its way into the democratic debate. On the other hand, constitutional justice has been recognized. In short, my analyses have proven that on the ground, constitutionalism has not produced and reached the expected goals in terms of democracy, good governance, respect, and safeguarding of fundamental rights. One must nonetheless acknowledge some of the achievements in order to avoid turning this into a trial against constitutionalism and democracy in Africa
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Itoua, Emmanuel. "Les juridictions financières et le développement dans les états francophones d'Afrique noire : les cas du Congo, de la Cote d'Ivoire et du Sénégal." La Rochelle, 1998. http://www.theses.fr/1998LAROD003.

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Agbobly-Atayi, Amevi. "L’organisation internationale de la francophonie en matière de prévention, de gestion et de règlement des crises et conflits en Afrique subsaharienne francophone : cas de la république démocratique du Congo, du Tchad, de la Côte d'Ivoire et du Togo." Thesis, Lyon 3, 2011. http://www.theses.fr/2011LYO30059.

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Abstract:
En Afrique subsaharienne francophone, au cours de ces deux dernières décennies, le nombre et l’intensité des crises et conflits restent un sujet de vive préoccupation exigeant une réponse globale. Ces différends ont souvent pour cause profonde la violation des droits de l’homme et l’avènement du processus démocratique débouchant sur des transitions chaotiques, notamment en République démocratique du Congo, au Tchad, en Côte d’Ivoire et au Togo.L’OIF, un acteur à vocation culturelle doté dorénavant d’instruments et de mécanismes de prévention et de sortie de crises, s’impose à côté de l’ONU et autres organisations internationales et régionales comme une institution culturelle de démocratie et de sécurité.Outre son rôle prépondérant en matière de contribution au processus démocratique, les actions de la Francophonie se déroulent en complémentarité avec celles des autres organisations impliquées dans la prévention, la gestion et la résolution des conflits.A l’heure des enjeux sécuritaires entre Etats, et en dépit de ses moyens limités, il s’avère nécessaire de construire autour de cet espace géoculturel à dimension politique, une identité stratégique sécuritaire en vue de juguler les menaces et risques majeurs et jouer pleinement son rôle de puissance d’influence<br>In francophone Sub-Saharan Africa conflicts and crises have increased in number and intensity over the two last decades and remained a major issue demanding a global response. They are often mainly caused by the breach of human rights and the coming of democratic process leading chaotic transitions, such as in the Democratic Republic of Congo, Chad, Ivory Coast and Togo.The international organisation of “ francophonie” – whose role consists in promoting culture and whose new tools and mechanisms aim at preventing and solving crises – play a major part among the UN and other international and regional organisations as a cultural institution for democracy and security. Apart from its prevailing part played in terms of contribution to the democratic process, the actions of the organisation complement those of other organisations involved in preventing, managing, and solving conflicts.At this time of security challenge among countries and despite limited means, working out – within this geo cultural area that has a political dimension – a secure strategic identity, turns out to be necessary in order to curb major threats and risks and fully play the role of influential power
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Books on the topic "Parti démocratique de Côte-d'Ivoire"

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Kanté, Kébé. Die Problematik der politischen Macht und Herrschaft in der postkolonialen Côte d'Ivoire: Staat und Gesellschaft (1960-1992). Lit, 1994.

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Dona-Fologo, Laurent. L' héritage du PDCI-RDA. Ministère de l'information, de la culture, de la jeunesse et des sports, 1986.

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3

Parti démocratique de Côte d'Ivoire. Il y a 40 ans naissait le PDCI: 1946-1986. Fraternité-Hebdo, 1986.

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4

Ekra, Mathieu. Le PDCI-RDA, genèse et épopée: Conférence prononcée le 9 juillet 1983 à la Fête des écoles de Sikensi. Fraternité-Hebdo éditions, 1985.

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5

Côte d'Ivoire. Ministère de l'éducation nationale et de la recherche scientifique. Éducation civique & morale: Le PDCI-RDA, genèse, vie et structures, témoignages, trois discours du président, dix pionniers du parti. Fraternité Hebdo Éditions, 1985.

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6

Coffy, Georges. Le soleil des exclus: Côte d'Ivoire, la lutte pour la démocratie. Pensée universelle, 1994.

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7

Amondji, Marcel. Côte-d'Ivoire: Le P.D.C.I. et la vie politique de 1944 à 1985. L'Harmattan, 1986.

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8

Teya, Pascal Koffi. Côte-d'Ivoire: Le roi est nu. Editions L'Harmattan, 1985.

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9

Coffy, Georges. Le soleil des exclus: Côte d'Ivoire, la lutte pour la démocratie. Pensée universelle, 1994.

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10

Amondji, Marcel. Côte-d'Ivoire: Le P.D.C.I. et la vie politique de 1944 à 1985. L'Harmattan, 1986.

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Book chapters on the topic "Parti démocratique de Côte-d'Ivoire"

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Cooper, Frederick. "Claiming Citizenship." In Citizenship between Empire and Nation. Princeton University Press, 2014. http://dx.doi.org/10.23943/princeton/9780691161310.003.0005.

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Abstract:
This chapter explores different instances of African claim making. It first looks at the effort of the Rassemblement Démocratique Africain (RDA) in the Sudan and especially the Côte d'Ivoire to build up its political apparatus across the territory and the efforts of the government to combat what it saw as a countergovernment. The chapter then turns to ways in which African political leaders sought to change the very terms in which future politics was discussed—to rethink the meaning of nation and sovereignty. They were thinking about different levels of political belonging and political action. And as France entered into discussion of creating a European community, they were thinking of expanding the idea of a “Franco-African” political ensemble into something even wider, into “Eurafrica.”
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