Academic literature on the topic 'Partis politiques Cameroun'

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Journal articles on the topic "Partis politiques Cameroun"

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Tsana Nguegang, Ramses. "Campagnes électorales, partis politiques et personnel politique intérimaire au Cameroun : entre échange conjoncturel et clientélisme." Politique et Sociétés 38, no. 2 (2019): 133. http://dx.doi.org/10.7202/1062041ar.

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Eteki-Otabela, Marie-Louise. "Dix ans de luttes du Collectif des femmes pour le renouveau (CFR) : quelques réflexions sur le mouvement féministe camerounais." Note de recherche 5, no. 1 (April 12, 2005): 125–34. http://dx.doi.org/10.7202/057673ar.

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Abstract:
Pendant trois décennies, la communauté internationale a pris pour acquis que la priorité pour les femmes africaines était la question du développement. Au moment où les politiques et les programmes de développement apparaissent comme un échec cuisant, on redécouvre qu'au sein des sociétés africaines, les femmes ont d'autres priorités. Cet article montre à partir des pratiques des femmes camerounaises qu'une vision féministe des problèmes que connaissent les sociétés africaines est peut-être la seule alternative réelle au pouvoir totalitaire dans ces pays. L'auteure fait un bref rappel des luttes des féministes du Collectif des femmes pour le renouveau au Cameroun, leurs positions sur certains problèmes de société qui passent habituellement pour être spécifiques aux femmes et rappelle que pour ces féministes, le changement social en Afrique aujourd'hui passe aussi par un choix politique personnel, celui de faire de la politique autrement.
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MOUDJOURI, Bienvenue Merci. "LA PROBLEMATIQUE DE L’ETHIQUE DANS LE CHAMP DES ENSEIGNANTS-CHERCHEURS : ENTRE LUTTES ET LOGIQUES TRANSACTIONNELLES. ETUDE A PARTIR DES ENSEIGNANTS CHERCHEURS DES UNIVERSITES D’ETAT DU CAMEROUN." Journal of Education and Practice 4, no. 1 (March 17, 2020): 28. http://dx.doi.org/10.47941/jep.380.

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Abstract:
Objet: Les enseignants de l’enseignement supérieur exercent leur profession dans un cadre éthique qui leur est imposé comme valeur dans l’exercice des missions d’enseignement, de recherche et d’appui au développement. Ces différentes missions contiennent des prescriptions qui encadrent la profession. Cependant, l’éthique du corps enseignant ne fait véritablement pas l’objet de politiques publiques. Le corps enseignant est complexe par sa structuration et par les diverses trajectoires d’ascension professionnelle. Ces déterminants sont sources de luttes de classe et de lutte idéologique qui affectent l’éthique des enseignants. Les enseignants-chercheurs entretiennent des relations horizontales et verticales qui sont conflictuelles et remettent en cause l’éthique. Les différentes luttes au sein du corps enseignant sont des luttes transactionnelles qui amenuisent l’éthique. Le corps des conférenciers est complexe de par sa structure et la diversité de ses parcours professionnels. Ces déterminants sont à l'origine des différentes luttes au sein des classes et des idéologies qui affectent l'éthique des conférenciers. Les professeurs entretiennent des relations horizontales et verticales conflictuelles qui rendent cette éthique sceptique.Méthodologie: nous utilisons le constructivisme structurel pour expliquer la lutte entre le maître de conférence et l'institutionnalisme historique pour montrer comment l'université les intègre à la mission décrite par les pouvoirs publicsTrouver: Les différents combats au sein du corps enseignant sont des combats transactionnels qui affaiblissent cette éthique. Une contribution unique à la théorie, à la pratique et à la politique: Ce sujet contribue à faire passer l'éthique dans le domaine de l'enseignement au-dessus de l'éthique classique Mots clés: université, maître de conférences-chercheur, éthique, lutte transactionnelle, pouvoir
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Wamba, André. "Banque malheur, équité et prévention au Cameroun." Revue Education, Santé, Sociétés, Volume 6, Numéro 1 (May 8, 2020): 41–56. http://dx.doi.org/10.17184/eac.3137.

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Abstract:
La banque malheur est un système local/traditionnel de protection sociale servant à financer les dépenses de santé des populations, tout en réduisant les inégalités sociales d’accès aux soins. Elle enregistre au Cameroun plus de 98,5 % d’adhérents, contre 1,5% pour les mutuelles de santé. Très peu d’études ont abordé ses potentialités de solidarité et la manière dont elle parvient à produire de l’équité d’accès aux soins. À partir d’une ethnographie des comportements/réactions devant la maladie, l’article analyse les raisons du fort taux d’adhésion à la banque malheur ; et rend compte des types de solidarités qu’elle promeut. L’étude est ethnographique et a concerné 45 participants. Les résultats montrent l’existence de trois types de solidarités. (1) la caisse maladie : somme cumulée et remise à un bénéficiaire éprouvé par la maladie ou un décès. (2) la main levée à travers les rituels de visites au malade, où s’opèrent les dons de soi, en nature et en argent (3) le soutien financier familial. La solidarité s’inscrit dans le don endetté. L’étude suggère un dialogue entre la banque malheur et les mutuelles de santé, dans une perspective de la renforcer et non pas de la supplanter. Une extension des mutuelles de santé à tous les camerounais, sans une politique intégrée de santé, conduirait à la mort de la banque malheur et augmenterait, paradoxalement, les inégalités sociales de santé qu’elles sont sensées combattre.
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Eyenga, Georges Macaire. "La fabrique de l’association scientifique." Emulations - Revue de sciences sociales, no. 37 (March 19, 2021): 119–35. http://dx.doi.org/10.14428/emulations.037.07.

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Abstract:
Dès 1990 au Cameroun, la consécration de la liberté d’association permet l’émergence d’associations protéiformes traduisant l’existence de volontés individuelles à agir collectivement à côté d’un État préoccupé par son maintien. Si l’association, dans ce pays, a largement été appréhendée dans sa dimension politico-identitaire, il reste que sa bureaucratisation et les processus de subjectivation qu’elle autorise sont peu étudiés. À partir d’une ethnographie de l’Association des majors de science politique de l’université de Yaoundé II, cet article analyse, d’une part, l’appropriation par les étudiants des arts de faire bureaucratiques pour faire fonctionner leur projet associatif, et, d’autre part, la manière dont le fait associatif bureaucratique permet à ceux-ci d’opérer des ruptures biographiques pour devenir acteurs de leur propre vie au sein du monde universitaire. Il se dégage de cet article que l’association bureaucratique est un lieu où se construisent des utopies émancipatrices.
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Sietchoua Djuitchoko, Célestin. "Souvenir de la common law et actualité du droit administratif dans les provinces anglophones du Cameroun." Revue générale de droit 27, no. 3 (March 23, 2016): 357–74. http://dx.doi.org/10.7202/1035783ar.

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Abstract:
Pays bilingue ayant le français et l’anglais comme langues officielles, la République du Cameroun est aussi un État culturement bi-juridique où se juxtaposent deux grands systèmes de droit : la common law pour ses provinces anglophones anciennement sous occupation de la Grande-Bretagne et le droit civil, mais surtout le droit public pour la partie francophone, jadis sous influence de la France. Ce bi-juridisme, comme les disparités naturelles, humaines, économiques et politiques de ces deux composantes de la communauté nationale est fondamentalement inégalitaire. Sous l’impulsion des autorités francophones de l’État post-colonial politiquement dominantes, les droits français ont amorcé, voici environ 35 ans, un mouvement d’extension, par touches progressives d’abord, puis brutalement ensuite; sortis de leurs aires naturelles, ils sont allés à l’assaut de l’ordre juridique des provinces anglophones. Ce mouvement est particulièrement net pour le droit administratif, le droit actuellement applicable à la puissance publique dans ces contrées où les souvenirs imposent à la conscience qu’il n’y a pas longtemps, c’était la common law, dans la plus pure tradition anglaise qui exerçait cet office.
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Diago Hernando, Máximo. "Los Haro de Cameros en los siglos XIII y XIV. Análisis del proceso de su afianzamiento político en el ámbito regional." Anuario de Estudios Medievales 24, no. 1 (April 2, 2020): 775. http://dx.doi.org/10.3989/aem.1994.v24.1000.

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Abstract:
Ce travail est une contribution à l'étude du rôle politique de la noblesse dans les differents territoires régionaux de la Castille avant les Trastamaras et, au même temps, une appréciation de l'importance des minorités de Fernando IV et Alfonso XI dans le procès de la consolidation de la noblesse à la tête de la vie politique de leurs propres territoires régio­naux. A cet effet, nous avons choisi la branche mineure de la famille des Haro, laquelle a exercé une influence décisive dans la vie politique des territoires de la Rioja Baja et Cameros à partir du règne d'Alfonso X jus­qu’à la majorité d'Alfonso XI. Notre attention a été fixée aux trois princi­paux représentants des Haro qui ont successivement exercé le pouvoir pendant cette période: Alfonso López de Haro, son fils Juan Alfonso de Haro I, et le fils de celui-ci Juan Alfonso de Haro II. L'analyse des moyens employés par ces trois sujets afin d'élargir les bases de leur exercise su pouvoir nous permet d'identifier aussi les principaux ressorts que, par conséquent, sont entrés en conflit avec eux pour freiner leurs projets d'expansion. Finalement, il y est aussi analysé le procès du declin de cette fami­lle après que Juan Alfonso de Haro II a été condamné A mort sous Alfonso XI, l'année 1333.
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Sangué-Fotso, Robert. "La gestion des parties prenantes dans le cadre d'une politique RSE dans le secteur de l’exploitation forestière au Cameroun : le cas des PME." Mondes en développement 193, no. 1 (March 23, 2021): 69–88. http://dx.doi.org/10.3917/med.193.0073.

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Peltier, Regis. "Quelle place pour l’agroforesterie dans l’avenir des forêts tropicales ?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 341 (August 20, 2019): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.341.a31769.

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Abstract:
Avec une population estimée à dix milliards d’habitants dans quelques décennies, l’avenir du monde intertropical sera obligatoirement entre les mains des êtres humains. Ceux-ci protégeront une petite partie des forêts dites naturelles afin d’essayer d’y conserver la biodiversité qu’elles abritent ; ils géreront de façon plus productive une autre partie, ce qui passera très probablement par une simplification de leur diversité, dans la mesure où l’on favorisera les espèces les plus productives, les plus faciles à régénérer et dont les produits seront faciles à industrialiser et à vendre.Et entre la forêt protégée et la forêt aménagée, que restera-t-il ? Des plantations monospécifiques de bananiers, de riz, de cacaoyers, de coton ? Mais alors, comment les espaces forestiers pourront-ils évoluer en échangeant du matériel génétique, s’adapter aux changements climatiques, résister aux maladies nouvelles, etc. ?Les écologues estiment que la forêt ne pourra survivre que s’il existe des liens de continuité entre les massifs forestiers. La connectivité écologique ne pourra que très rarement être assurée par des corridors forestiers continus. L’existence d’îlots forestiers discontinus mais proches et à distance régulière permet le passage en « pas japonais » de nombreuses espèces végétales et animales, mais pas de toutes. Les micro-organismes et la macrofaune des sols forestiers ne peuvent se déplacer qu’à la condition d’une certaine continuité dans la trame arborée. Celle-ci n’est possible que par la présence d’arbres dans les zones cultivées, voire urbanisées. L’agroforesterie est la voie la plus prometteuse pour assurer cette continuité écologique.L’agroforesterie consiste à associer des arbres avec l’agriculture et/ou l’élevage, au niveau des parcelles, des exploitations ou des paysages. Les systèmes traditionnels, à faibles niveaux d’intrants, étaient et sont encore agroforestiers ; mais l’agriculture industrielle à hauts niveaux d’intrants (cf. mécanisation du travail, apport d’engrais, d’herbicides, de semences très améliorées, voire génétiquement modifiées) a, en général, exclu l’arbre des parcelles.Aujourd’hui, de nombreux agronomes, pastoralistes et forestiers travaillent ensemble pour appuyer techniquement et politiquement le retour des arbres dans l’espace agricole et pastoral.La diffusion à grande échelle de méthodes standardisées, mises au point en station de recherche, a rarement marché en milieu tropical. Par exemple, la culture en couloirs, mise au point par l’Icraf1 dans ses stations du Kenya au cours des années 1980, n’a pas été adoptée par les agriculteurs. Elle nécessitait trop de travail pour rabattre régulièrement les rejets d’arbres et limiter le développement de leurs racines, sans résoudre le problème de l’acidification des sols.Croire que l’agroforesterie permettra de stopper les défrichements forestiers par les agriculteurs essarteurs (sur abattis-brûlis) est également une erreur d’analyse. Il est certes vrai que l’agroforesterie permet aux agriculteurs qui la pratiquent de récolter chez eux de nombreux produits qu’ils récoltaient autrefois en forêt ; elle facilite également la culture continue sur le même sol, sans avoir à défricher de nouvelles forêts. Cependant, tant que les gouvernements laisseront les agriculteurs s’approprier des terres en défrichant la forêt publique, puis en la brûlant et en la mettant en culture, ceux-ci continueront à utiliser cette pratique qui permet d’étendre son capital foncier et de cultiver, avec peu de travail et une bonne production, pendant au moins une trentaine d’années.Les systèmes agroforestiers, qui permettent de répondre à presque tous les besoins d’une famille sur une surface limitée, nécessitent une bonne technicité pour limiter les concurrences entre espèces végétales et animales, récolter les différents produits – il est par exemple difficile d’abattre un arbre, pour en récolter son bois, sans écraser les cultures associées – et demandent un travail soutenu. C’est pourquoi les systèmes agroforestiers les plus performants se rencontrent dans les pays où la densité de la population rurale est la plus forte et où les forêts ont disparu (lakous d’Haïti, jardins agroforestiers de Java, bocage Bamilèkè et parcs arborés sur terrasses Kapsiki au Cameroun). Les résultats les plus probants, en matière de diffusion des systèmes agroforestiers au cours des trois dernières décennies, résultent du respect de modalités présentées ci-après :- L’accès aux forêts est limité, soit de fait lorsqu’il n’en existe plus, soit par décision du gouvernement qui met des forêts « sous cloche », en créant des forêts protégées définitivement (parcs et réserves) ou temporairement (capital foncier pour l’avenir), ce gouvernement ayant les moyens de faire appliquer cette politique, ce qui est très rarement le cas (ex. : Costa Rica, certains États de l’Inde).- On apporte une subvention durable aux agriculteurs qui conservent de jeunes arbres pour restaurer ou étendre leurs systèmes agroforestiers. C’est le cas de l’extension des parcs à Faidherbia albida au Nord-Cameroun, la subvention étant financée par un prélèvement sur la vente du coton. Également, les agroforestiers sont subventionnés pour les services écosystémiques qu’ils rendent à une communauté solvable ; tel est le cas des têtes de bassins versants approvisionnant une ville en eau en Inde ou au Costa Rica. En dehors des zones tropicales, ailleurs dans le monde, la plantation de haies bocagères est financée, notamment par la PAC2 en Europe.- On valorise les produits issus des systèmes agroforestiers en leur donnant des labels, qui permettent de les vendre plus cher à des consommateurs engagés (cas du café bio et équitable et du bois d’œuvre au Nicaragua).- On sécurise le foncier, ce qui garantit à l’agriculteur que les arbres qu’il plante pourront être récoltés par lui ou ses héritiers (exemple de la loi Gestion locale sécurisée, à Madagascar).- On encourage chaque agroforestier à adapter le système à ses possibilités (conditions écologiques, sociales, économiques) et à son accès aux marchés. Par exemple, dans l’Ouest-Cameroun, les agriculteurs éliminent de leurs haies des arbres devenus sans valeur (exemple : ficus producteurs de fibres végétales) pour les remplacer par des fruitiers ou des arbres producteurs de bois de sculpture et de menuiserie, de plus en plus recherchés en ville.Sans être une panacée qui permettra de bloquer le défrichement des forêts, l’agroforesterie est une nécessité absolue pour assurer aux populations du monde tropical une partie des biens et des services qui étaient autrefois rendus par les forêts. Par ailleurs, elle permettra aux forêts conservées d’être moins sollicitées par les populations, et elle contribuera à assurer leur survie à long terme, en facilitant le flux et l’évolution des ressources génétiques forestières.
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Datidjo, Ismaïla, Valeri Duplexe Yotedje, and Armand Tchinenba. "La survie des partis politiques et le militantisme transhumant et errant au Cameroun." European Scientific Journal ESJ 17, no. 16 (May 31, 2021). http://dx.doi.org/10.19044/esj.2021.v17n16p95.

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Abstract:
Au cours des trois (03) décennies qui ont suivi le retour du Cameroun à la démocratie plurielle en 1990, l’arène politique enregistre une multitude d’acteurs et d’organisations avec diverses opinions. De nos jours, plus de trois cent (300), formations politiques ont vu le jour avec différentes idéologies proposées aux citoyens. La loi n° 90/053/ du 19 décembre 1990 portant sur la liberté d’association, soutenue par celle n° 90/056 du 19 Décembre 1990 portant sur la création des partis politiques a favorisé le multipartisme et le développement idéologique au Cameroun. Ainsi, il s’est développé des comportements de nomadismes ou de transhumances politiques chez beaucoup d’acteurs de la scène politique camerounaise. Cet article qui se veut une réflexion sur l’expérience démocratique des camerounais dans le contexte du multipartisme politique, rend compte de la façon selon laquelle des citoyens militent dans plusieurs formations politiques d’une manière cyclique le plus souvent ou continue. C’est en ces deux types de comportements que consistent respectivement le militantisme transhumant et celui errant. Ils remettent en question la survie sur l’arène politique de certaines forces politiques, les plus faibles, c’est-à-dire celles les moins adaptées au jeu électoral au profit de celles les plus puissantes, donc celles qui participent aux compétitions politiques et de surcroît, obtiennent le plus de suffrages. Ces dernières s’adaptent en récupérant les militants et sympathisants des organisations politiques adverses. Dans une approche analytique fondée sur la stratégie des acteurs du jeu politique impliqués dans le militantisme transhumant et errant, ce à partir des données du terrain et celles secondaires issues des résultats des élections jusque-là organisées, il rapporte le mécanisme par lequel certains partis politiques sont actifs, alors que d’autres ne le sont pas, ils sont plutôt absents des compétions, dirait-on, ils auraient cessé d’exister en tant que entités.
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More sources

Dissertations / Theses on the topic "Partis politiques Cameroun"

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Zang-Atangana, Joseph-Marie. "Les Forces politiques au Cameroun réunifié /." Paris : l'Harmattan, 1989. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37701321k.

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Ziem, A. Kiboung Marius. "Les partis politiques en Afrique dans les pays non militaires : Cameroun, Cote d'Ivoire, Sénégal." Paris 10, 1992. http://www.theses.fr/1992PA100059.

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Abstract:
Les partis dans ces pays, et d'une manière générale les partis en Afrique, ont été créés autour des années 1945. Ils évoluent dans des conditions de concurrence jusqu'en 1960, date des indépendances. 1) une fois au pouvoir, ils suppriment des conditions de cette concurrence, et s'érigent en parti unique dans le but de réaliser le développement économique et l'unité nationale. Ils adoptent une organisation fondée sur le modelé des partis totalitaires d’Europe. Leur fonctionnement devient autocratique. 2) trente ans après les indépendances, le bilan de leur gestion est négatif, l'intégration nationale n'est pas réalisée, le développement économique non plus, par-contre l'on peut constater le développement économique des dominants, la restructuration sociale et parfois le démantèlement de l'état et au moins son contrôle par le parti unique
Those parties and in a general way, the african parties were created around 1945. They evoluate in conditions of competition up to 1960, date of independance. 1) Once in power, they remove those conditions and become one party with the aim of accomplishing the economic developement and national unicity. They adopt an organisation based on model of European totalitarian parties and their functioning becomes autocratic. 2) thirty years after the independence their management appraisal is negative national integration is not achieved or economic developement. On the other hand the economic development of the leaders can be noticed, social restructuring, and sometimes the dismantling of the state, and at least his supervising by the single party
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Binam-Bikoï, Auguste Cabral. "La sociologie des mobilisations partisanes au Cameroun : les partis politiques dans l'action collective en contexte de libéralisation post guerre froide." Bordeaux 4, 2010. http://www.theses.fr/2010BOR40012.

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Abstract:
Le retour de l'Afrique au multipartisme a donné un regain d'intérêt à l'action collective auprès des chercheurs en sciences sociales. Dans le cas d'un pays comme le Cameroun, la fin du parti unique s'accompagne d'un mouvement de contestations de l'ordre établi (opération "villes mortes") Des réformes institutionnelles en découleront et déboucheront sur les premières élections pluralistes en 1992 (Législatives le 1er mars; les présidentielles le 11 octobre). D'autres échéances suivront, notamment en 1997, 2002 et 2004. Test par excellence pour le processus démocratique enclenché dès 1990, l'ensemble de ces consultations met les partis politiques en première ligne des mobilisations et formes d'action collective. Pourtant, objet politiquement identifié et acteurs majeurs des transformations en cours, que maints spécialistes nomment "transition démocratique", les partis demeurent les parents pauvres des analyses du politique en Afrique. A la lumière des processus politiques au Cameroun depuis 1990, une attention est accordée à l'influence des élites politiques, économiques et des notabilités traditionnelles sur l'action collective des partis politiques et la restructuration des rapports de pouvoir entre les différentes forces. Il s'agit d'abord de s'interroger sur : l'articulation des partis politiques au clivage Centre/périphérie, le poids des contraintes hégémoniques, à la fois externes et sociologiques du pluralisme, sur les interactions entre les partis au pouvoir et de l'opposition, aussi bien que sur leurs stratégies d'adaptation et de coordination des mobilisations autour des nouvelles règles de la compétition politique. Il s'agit ensuite d'évaluer l'impact des partis politiques sur les mutations politiques intervenues depuis 1990
The return to multiparty politics in Africa has generated renewed interest of researchers in social sciences for collective action. In the case of countries like Cameroon, the ending of one-party politics triggered contestations of the established order. This context of vulnerability leads to civil disobedience (operation "ghost towns"). Institutional reforms followed and lead to the first multiparty elections in 1992 (legislation on 1st March, the presidential October 11). Other dates will follow, includind, in 1997, 2002 and 2004. In these processes that may experts xcall democratic transitions, political parties are the forefront of mobilisations and other forms of collective action. Yet polically identified object and key players in changes attributed to the "global time" period, the parties still are left aside in policy analysis in Africa. The need for a new focus of politics in Africa justifies an analysis of parties as an object of research in light of collective mobilisation in Cameroon since the liberalisation after the Cold War. This current research work questions the sociological logics by which political parties rally behind the veil of democratic propaganda, popular internationally. On the one hand, it estimates the burden of hegemony, both external and sociocultural on collective action amongst the parties and, on the other hand, this work highlights the strategies and modes of coordination around the conventions of political competition
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Lee, Han-Kyu. "Le développement politique et les partis politiques au Cameroun sous la colonisation française entre 1945-1958." Paris 10, 1997. http://www.theses.fr/1997PA100047.

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Abstract:
Notre these se compose de trois parties dans lesquelles deux sujets essentiels sont abordes. Le premier concerne la domination europeenne (notamment allemande et francaise) dans le rapport dialectique entre la colonisation et la civilisation. Le second traite des partis politiques et de leur dilemme dans le processus du developpement politique du cameroun. L'histoire de la colonisation n'est pas une histoire ordinaire, meme si celle-ci releve d'un fait economique (capitalisme), ou se caracterise par la force (imperialisme). Son projet "civilisateur" s'appuyait sur l'idee qu'il existait une inegalite entre civilise et civilisateur. Il ne pouvait alors y avoir de "mission civilisatrice" sans devoir de civilisation. Le colonialisme francais se fondait donc sur des differences a maintenir et sur la necessite d'attribuer arbitrairement des devoir aux peuples colonises. Les partis politiques au cameroun ont pris naissance dans cette perspective historique. Par ailleurs, les partis camerounais, comme la majorite des pays africains colonises a cette epoque, doivent concilier deux exigences : celle de lutter contre la colonisation et celle d'encadrer politiquement la population. Ainsi de 1945 a 1958, s'attribuent-ils une fonction de transformation des forces sociales (conflits sociaux) en forces politiques. De cette maniere, ils amenent la population a la participation politique. Ainsi, pour les partis camerounais, la politisation est-elle un devoir incombant a la population et non pas un droit relevant d'une volonte. Ils ont eu recours a toutes les actions politiques (violentes ou non violentes) sans distinction de forme ou de contenu. Quelque soient les conflits socio-politiques elementaires, ceux-ci existeront toujours pour faire fonctionner une societe donnee parce qu'il n'y pas de societe sans conflit. Les partis politiques doivent assumer leur responsabilite face aux conflits socio-politiques. Les partis politiques ont la particularite de se faire et de se defaire constamment entre les groupes d'individus rassembles par des interets communs et le systeme politique qui tient compte des revendications de la population dans la realite. Cependant, les conflits socio-politiques ne sont pas tout a fait a exclure. Ils appartiennent egalement au domaine de l'analyse et de l'hypothese du developpement politique qui necessite des certaines situations des efforts
Our thesis is divided into three parts and deals essentially with two subjects. The first is the domination of europe, and in particular that of germany and france, in the dialectical relationship between colonization and civilization. The second is the political parties in cameroon and the dilemma they face in the political development process in that country. The story of colonization is not an ordinary story, even if it is related to an economic phenomenon (capitalism) and characterized by the use of force (imperialism). Since then, however, civilization has been based on the inequality between the people being civilized and the people bringing the civilization. Indeed, there can be no "civilizing mission" without the duties of civilization. The "civilizing mission" has not allowed the natives to become french because if that had happened, they would have experienced their rights as their duties. Thus, the capitalistic and imperialistic colonialism practiced by the french has been based on a "distinct" civilization that requires arbitrarily performing the duties of the colonized people. The political parties in cameroon came into being in this historical context. These parties, like those in most of the african countries colonized at the same period, have to reconcile two demands: the first is to fight against colonialism and the second, to provide the population with political structures. Thus, between 1945 and 1958, they gave themselves the task of transforming social forces (social conflicts) into political forces. For the parties in cameroon, politicization is a duty that falls on the people and not a right possessed because it is desired. They had recourse to all kinds of political actions, both violent and non-violent, irrespective of form or content. Through their efforts, the parties in cameroon were able to achieve a positive rather than the normative or doctrinal position that they had during the last phase of colonization. Whatever the basic socio-political conflicts may be, they will always exist and contribute to the functioning of a given society, because there is never a society without conflict. The political parties must face up to their responsibility with regard to socio-political conflicts. One characteristic of the political parties is that they form and break up constantly between groups of individuals who are united by common intere
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Vadot, Guillaume. "Les bras et le ventre : une sociologie politique des plantations industrielles dans le Cameroun contemporain." Thesis, Paris 1, 2019. https://ecm.univ-paris1.fr/nuxeo/site/esupversions/3e91293e-767a-42e6-b135-1f81abc1f9c7.

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Abstract:
Les plantations industrielles sont aujourd’hui le premier secteur d’emploi privé au Cameroun, et couvrent d’immenses surfaces. En les prenant pour objet, la thèse cherche à relever le défi de comprendre la formation du politique et de l’État en rapport avec les processus sociaux et les matérialités (notamment celles liées à la production) qui les contraignent et les configurent. Pour cela elle s’appuie dans une première partie sur une description sociologique de la main-d’œuvre (ouvrières et ouvriers, encadrement local et expatrié). L’activité de travail, le régime de paye et le sens pris par l’argent numéraire, l’expérience corporéisée qu’ils alimentent, mais aussi les trajectoires et styles de vie, sont passés au crible afin d’éclairer la fabrique locale des identités, les solidarités comme les dynamiques de différenciation et de distinction. Masculinités et féminités, ethnicités, couleur de la peau, capital scolaire ou encore accès à la petite propriété nourrissent ces dernières, sont mobilisés ou subis par les entreprises. La thèse prouve que les travailleur.se.s des plantations sont inscrit.e.s de plain-pied dans un ensemble plus vaste, celui formé par les classes populaires, dont elle participe à l’exploration. La deuxième partie montre alors que les grandes plantations ne sont pas des enclaves échappant au territoire national. Établir leur ordre productif leur demande un effort constant, réinventé au fil du temps, pour construire leur main-d’œuvre (y compris les cadres, des dominant.e.s qui s’y sentent souvent à l’étroit) mais aussi leur emprise sur l’espace. Cet effort, quotidiennement en butte avec diverses relativisations, est constitutif des plantations en tant qu’organisations. De même ces dernières sont-elles dépendantes de leur intégration dans un ordre politique plus vaste, qu’elles contribuent à former localement du fait des multiples antagonismes suscités par leur activité, et des arènes de négociation comme des manières d’« appeler l’État » qu’ils génèrent. C’est le cas en particulier des conflits fonciers et de ceux liés au travail, qui fournissent les ressources politiques nécessaires à l’édification de positions de représentants. Les grandes plantations contribuent donc à l’édification de topographies politiques certes singulières, mais qui forment localement les racines sociales de l’État. En témoignant de la politisation intense de ce qui s’y joue, la thèse suggère que la place des lieux de travail et des enjeux liés à l’emploi a été sous-estimée dans l’étude de la société politique camerounaise contemporaine. Nourrie par une longue enquête dans trois complexes agroindustriels, elle repose également sur la mise en dialogue d’apports issus de la sociologie et de l’anthropologie du travail, du genre, des classes populaires, des organisations, du foncier et de l’État
Industrial plantations are currently Cameroon’s first private employment sector, and cover huge areas. Drawing on labour and organizational studies as well as political sociology, the thesis shows how much these peculiar spaces, often described as closed enclaves subject to desertification, are constrained by social processes and contribute to State-formation. To this end it gives special attention to material realities, life trajectories and social conflicts. The first part of the thesis is dedicated to a sociological description of the labour force, rank and file of workers but also members of management. It explores the experiences of labouring bodies, the social meanings of money, lifestyles, solidarities and social differentiations in order to portray the wide diversity of workers. It shows that gender (both womanhood and manhood), ethnicity, race, education or land possession are all imported and reshaped inside the plantation. The dissertation questions plantation workers’ trajectories and imaginaries, showing how such a labour force is deeply integrated within a wider whole, the Cameroonian working classes. The second part of the thesis shows how large estates participate in shaping both the Cameroonian territory and the current political order. Understood as organizations that are constantly in the making, these companies are manufactured by evolving spatial constraints, as well as constant labour shortages and conflicts. Plantations must then contend on a daily basis with numerous forms of resistance and contestation to maintain their geographical area and build their labour force. Land and employment issues are core to the making of the peculiar political topographies through which industrial plantations contribute to State formation in Cameroon. In that sense, the thesis suggests that the creative political role plaid by workplaces and labour issues have been underestimated in the study of land grabbing and of contemporary African societies. On a more theoretical level, the thesis, which builds upon a long-run ethnographic immersion in three agro-industrial plants, puts into discussion contributions from sociology and anthropology around labour, working classes, organizations, land and State
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Tioumagneng, Tafam André. "L'orientation relationnelle des entreprises dans la relation banque-entreprise : Evaluation à partir de la politique de financement des actifs intangibles : le cas du Cameroun." Bordeaux 4, 2009. http://www.theses.fr/2009BOR40028.

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Abstract:
Dans l’industrie bancaire la relation client est un facteur de la compétitivité de la banque. Pour mieux satisfaire les entreprises celle-ci a besoin de savoir si elles préfèrent être traitées suivant une approche transactionnelle ou relationnelle. Cette thèse a cherché à déterminer l’orientation relationnelle des entreprises investissant en AI. La théorie sur la structure financière ou de gouvernance de l’entreprise est la grille d’analyse mobilisée. Considéré comme n’induisant la valeur des entreprises que si celles-ci recourent à un créancier ayant un comportement relationnel pour le financer, l’investissement en AI a servi de fil rouge. Les banques cherchant à se différencier des concurrents sont disposées à offrir des crédits et être actionnaires pour permettre aux entreprises de financer ces actifs. Leur comportement est de type transactionnel dans l’aire d’expérimentation considérée (Cameroun). Les résultats suggèrent que les entreprises étudiées, évitant les deux modes de financement retenus, préfèrent que le rapport avec leurs banques soit de type relationnel. En général, ils invitent à l’approfondissement de la réflexion sur les structures bancaires susceptibles de favoriser les stratégies différenciées dans la politique d’offre des financements aux entreprises
In the bank industry the customer relationship is a factor of competitiveness of the bank. To better satisfy the enterprises the bank has to know the type of relationship, relational or transactional, they prefer. This thesis has searched to determine the relational orientation of the firms. The analytical grid of the problem is constituted by the financial structure or governance theory. Intangible assets (IA), considered as inducing the value if the resources using to finance it come from creditors having relational attitude, are used as conductor. Searching to be competitive, banks can offer credits and be shareholders important to enterprises to finance these assets. They have a transactional behaviour in the context of study considered (Cameroon). The results suggest that the studied firms, avoiding the two modes of bank resources retained, prefer that the relation with their banks be the relational kind. Globally, they invite to a discussion on the banks structures likely to promote different strategies in the offer financial policy to firms
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Tantchou, Yakam Josiane Carine. "Comment naissent les politiques verticales de santé en Afrique ? : réinterroger le passé et le présent à partir de la lutte contre la trypanosomiase et la tuberculose au Cameroun." Paris, EHESS, 2006. http://www.theses.fr/2006EHES0238.

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Abstract:
La thèse présentée se propose d'apporter des réponses à trois questions ? Comment naissent les politiques verticales de santé ? Comment expliquer les échecs répétitifs des politiques de santé menées en Afrique ? Qu'est-ce qui justifie "l'acharnement" à vouloir améliorer la santé des (pays) pauvres. En réponse à la première question, l'auteur note que les politiques de santé ne naissent pas toujours du constat d'une situation épidémiologique critique. Elles sont souvent l'initiative d'acteurs insérés dans des réseaux de pouvoirs, capables de mobiliser l'attention et les ressources financières. La thèse pose la question de "l'acharnement" à coopérer ou à améliorer la santé des (pays) pauvres. Réfutant l'argument humanitaire, l'auteur utilise l'analyse foucaldienne du racisme d'Etat et explique cet "acharnement" à coopérer par le désir de "faire vivre pour vivre soi-même". Quant aux échecs répétitifs des politiques de santé menées en Afrique, l'auteur propose une analyse fondée sur la notion foucaldienne du biopouvoir, expliquant ces échecs par une carence, une absence, un éclatement de celui-ci
The thesis seek to answers three questions: how can we explain the emergence of selective health programs in Africa? How can we explain the repetitive failures of health policies in Africa ? What justifies the "eagerness" to improve the health of the poor (countries). As answer to the first question, the author notes that selective health policies are not always based on the report of a critical epidemiologic situation. They are often the initiative of actors inserted in power networks, able to mobilize interest and financial resources. The thesis raises the question of "eagerness" to cooperate or improve the health of the poor (countries). Refuting the humanitarian argument, the author uses Michel Foucault analysis of the "racisme d'Etat" and explains this by the desire "de faire vivre pour soi-même". As for the repetitive failures of health policies implemented in some African countries, the author proposes an analysis based on the "biopouvoir", explaining these failures by a deficiency, an absence, a bursting of it
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Bekombo, jabea Claude. "L'interaction entre la lex sportiva nationale et la lex sportiva "internationale" : reflexion à partir du cas du Cameroun." Thesis, Lyon, 2016. http://www.theses.fr/2016LYSE3012/document.

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Abstract:
A côté des ordres juridiques sécrétés au niveau étatique et interétatique, existent ceux issus des champs corporatistes de toutes natures (c’est l’internormativité liée au pluralisme juridique). Le problème est souvent de savoir comment coexistent des systèmes juridiques juxtaposés sans aucune base hiérarchique entre eux ? La lex sportiva internationale étant à notre avis un ensemble de normes corporatives d’origine coutumière, est issue de ce que nous avons appelé l’institution sportive (à l’image d’une maison) international, et forme, nous l’avons démontré, un ordre juridique unique et autonome au niveau matériel et formel, contrairement à la majorité de la doctrine qui l’envisage de manière disparate. Cet ordre juridique sportif unique de l’institution sportive est mis en œuvre et coexistent, non seulement, avec d’autres ordres juridiques juxtaposés dans le champ international, mais aussi avec le droit national lié au sport sécrété par les Etats que nous avons appelé la lex sportiva nationale. Nous avons alors essayé d’étudier le cadre théorique et la spécificité de l’interaction avec la lex sportiva nationale, en prenant le Cameroun comme exemple. Cela a permis de voir qu’au Cameroun la lex sportiva internationale fait l’objet de résistances nationales (par les acteurs nationaux, dont l’Etat, financier exclusif du sport), parce que sa téléologie est mal comprise par les acteurs sociaux et qu’émerge un véritable « service public normatif » du sport (au Cameroun en particulier depuis 1960, de manière non exhaustive, 105 normes sportives adoptées avec 9 lois, 52 décrets, 31 arrêtés, 11décisions, 1 circulaires et 1 instruction Ministérielle) avec comme force centripète « l’exécutif normatif du sport » (65 sur 105 c’est-à-dire 65% depuis 1960 au Cameroun), avec des règles légifèrent sur le domaine de la lex sportiva internationale
Beside the State legal system, there are autonomous social legal systems (sign of legal pluralism and internormativity). The quest of that legal pluralism system analysis is to find the way forward to solve the intercourse between the two systems existing without hierarchy rules to render their relationships. We have identified international lex sportiva as a unique law order from what we have called the “sport institution”(showing as a house) which is cooperating with other law system in the international legal field. We have focused our study on the interaction between international and national lex sportiva, to see how those legal relationships are implemented. In so doing, we choose Cameroon as our example. The study therefore revealed that the application of international lex sportiva is subject to national resistances because in Africa its aim is misunderstood by the national actors (State authorities, judges, sports actors). Moreover, there is a “sport rule public service” which sometime interfere in the domain of the international sports laws(lex sportiva) in Africa rendered by the State (in Cameroon for example since 1960, 105 sports rules were taken by the State, 9 laws, 52 decrees, 31 arêtes, 11 decisions, 1 circular letter, 1 ministerial instruction), with the President of the Republic as major “legislator” (65 of the above mentioned 105 sports rules taken in Cameroon, that’s a percentage of 65%)
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Tsotsa, Edrich Nathanaël. "L'action publique de lutte contre le VIH/SIDA Acteurs, controverses et dynamiques Analyse comparée à partir des exemples sud-africain, burkinabè et camerounais." Phd thesis, Institut d'études politiques de Bordeaux, 2009. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00440155.

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Abstract:
Depuis un peu plus de vingt cinq ans, les sciences humaines et sociales essaient de comprendre et d'interpréter les dynamiques de l'épidémie de VIH/Sida. La science politique africaniste est cependant en marge de ce mouvement cognitif malgré le développement de nombreux paradigmes sur les politiques publiques. Cette méfiance de l'africanisme à l'égard du VIH/Sida manifeste vraisemblablement une sorte de souffrance épistémologique fortement liée à ce trop plein d'institutionnalisme des politiques publiques, adoubé par le fort étatisme qui caractérise encore les études africaines en science politique. A tel point qu'elles ne s'intéressent pas aux autres acteurs sociaux désormais présents dans la fabrication des objets politiques, au-delà de la rigidité de l'Etat classique par ailleurs introuvable dans les mécanismes de gouvernance du VIH/Sida en Afrique. Pourtant, à bien y réfléchir, l'épidémie de VIH/Sida produit des effets incontestablement politiques : elle génère et entretient des enjeux de pouvoir ; elle interroge les mécanismes de gouvernance des problématiques sociales ; elle révèle la désétatisation de l'espace public par des formes d'entrées non électives mais participatives, etc. A cet effet, elle renouvelle les paradigmes de l'Etat en Afrique en les transposant sur les acteurs qui émergent à côté de l'Etat dans la production de l'action antisida. Cette thèse analyse les dynamiques de l'épidémie de VIH/Sida à partir des théories et des concepts produits par la science politique, en ciblant dans une sorte de comparaison, le rôle et la place des acteurs politiques et associatifs, des controverses et des dynamiques de l'épidémie, dans la construction politique du VIH/Sida en Afrique du Sud, au Burkina Faso et au Cameroun.
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Aïvo, Frédéric Joël. "Le président de la République en Afrique noire francophone : essai sur la sociologie et les évolutions institutionnelles de la fonction au Bénin, au Cameroun, au Gabon et au Togo." Lyon 3, 2006. http://www.theses.fr/2006LYO33026.

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Abstract:
Depuis l’accession à l’indépendance des Etats africains d’expression française, le Président de la République a toujours été l’acteur pivot autour duquel et pour lequel fut construit nombre de systèmes politiques. La prépondérance du Chef de l’Etat, son omnipotence et son omniscience, renforcées par un ethnoclientélisme très marqué et un monolithisme tenace, ont très tôt pris, dans les nouveaux régimes africains, une allure paternaliste et patrimoniale. « Pères de la nation », ou encore « Président fondateur », « Timonier », « Grand Camarade de lutte » le Chef d’Etat africain est « le catalyseur » et le «créateur de la Nation ». Son unicité, son exclusivité et son vedettariat ont, pendant plusieurs décennies, conduit à une floraison de régimes autoritaires et dictatoriaux. La rationalisation de la fonction présidentielle qu’entreprennent les réformes libérales des années 1990 n’a pas réussi à discipliner la posture hégémonique du prince africain. Ce nouvel échec de rationalisation par le bas des pouvoirs du Président de la République en Afrique noire francophone fait suite à celui qui rechercha auparavant à rentabiliser l’action politique par un accroissement des pouvoirs du prince. Ce double échec repose la question du positionnement institutionnel des princes africains. Quel rôle doit-il désormais joué sur une scène politique reconfigurée et avec quels acteurs institutionnels doit-il le faire ? Sur quelle base et à partir de quel format – Présidentialiste, présidentiel, semi-présidentiel ou parlementaire – pourrait-on construire les démocraties africaines ?
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Books on the topic "Partis politiques Cameroun"

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Démocratisation et intégration sociopolitique des minorités ethniques au Cameroun: Entre dogmatisme du principe majoritaire et centralité des partis politiques. Dakar: CODESRIA, 2012.

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Zang-Atangana, Joseph-Marie. Les forces politiques au Cameroun réunifié. Paris: L'Harmattan, 1989.

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3

Zang-Atangana, Joseph-Marie. Les forces politiques au Cameroun réunifié. Paris: L'Harmattan, 1989.

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4

Politiques démographiques traditions natalistes et développement durable au Cameroun. Yaoundé: Éditions Magolo Makele, 2011.

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5

Les divisions au coeur de l'UPC: Contribution à la connaissance de l'histoire politique du Cameroun. Paris: Harmattan, 2011.

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Breton, Gilles, Jean-Paul Laurens, and David Bel, eds. L’internationalisation différenciée des universités - Points de vue d’acteurs. Editions des archives contemporaines, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.9782813003461.

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Abstract:
Dans ce second cahier sont proposées de nouvelles études et prolongées les réflexions initiées dans le premier. Gilles Breton, tout d’abord, discute de la contribution des universités conçues comme acteur d’un monde politique globalisé qui ne se réduit plus aux seules relations inter-étatiques. Les textes suivant sont des études de terrain. Olivier Garro s’intéresse à trois universités très actives à l’international dont le point commun est de faire partie des meilleures de leur pays (Cameroun, Liban, Vietnam) sans pour autant figurer dans les classements internationaux. Daoud Nour Ahmed analyse l’internationalisation d’une université émergente dans le cadre d’un micro-Etat (Djibouti). Les deux textes suivant portent sur l’Europe et la France. Magali Hardouin propose une analyse historique critique du programme Erasmus, dont on vient de célébrer les trente ans. Jean-Paul Laurens compare les discours d’acteurs-responsables de l’international d’universités françaises à leur affichage Web. David Bel s’interroge sur l’utilité et la faisabilité d’un atlas de la mondialisation universitaire qui pourrait se substituer aux trop nombreux classements qui servent pour l’heure d’état des lieux de la mondialisation universitaire ? Le dernier texte, enfin, est un hommage à Mario Laforest, un des fondateurs du RIMES, décédé brutalement en 2016 auquel ce cahier est dédié. Ce deuxième opuscule fait l’état des réflexions des membres du RIMES qui, comme dans le précédent, interrogent, à partir de leur point de vue, de leur expérience et de leur formation, les phénomènes d’internationalisation, de globalisation et de mondialisation en cours dans le monde universitaire. Toutes témoignent de la volonté des membres d’appréhender la mondialisation de l’université au plus près du terrain.
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Book chapters on the topic "Partis politiques Cameroun"

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Hodieb, Liliane. "Quelle politique linguistique pour le Cameroun ?" In Plurilinguisme et tensions identitaires, 35–44. Editions des archives contemporaines, 2021. http://dx.doi.org/10.17184/eac.3772.

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Abstract:
Le Cameroun compte plus de 230 langues. Avec le français et l’anglais comme langues officielles, les langues nationales ou « indigènes » n’ont aucun statut réel. La situation linguistique du Cameroun est doublement conflictuelle. En effet on assiste d’un côté, à une « guerre » entre anglophones et francophones, et de l’autre côté, entre les langues officielles et les langues nationales. La colonisation a certes une grande part de responsabilité dans ce problème, mais il serait simpliste de considérer ce facteur comme l’unique cause de la crise qui sévit actuellement au Cameroun. Plus qu’une crise politico- linguistique, il s’agit manifestement d’une crise identitaire. D’où la question, quelle politique linguistique pour le Cameroun ? Après avoir fait une revue de la littérature sur la sociolinguistique du Cameroun, nous montrerons, à partir de la « Language Management Theory » (Nekvapil et Sherman 2015), qu’une politique linguistique plus inclusive, c’est-à-dire de type «bottom-up », pourrait aider à pallier les conflits.
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