Academic literature on the topic 'Partis politiques – Roumanie – 1990-2020'

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Journal articles on the topic "Partis politiques – Roumanie – 1990-2020"

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Zerilli, Filippo. "Néo-libéralisme, identité locale et politiques de la foi. La construction d’une église gréco-catholique à Mihalt." Chronos 18 (April 15, 2019): 87–107. http://dx.doi.org/10.31377/chr.v18i0.465.

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Abstract:
Dans cet article, je me propose de réfléchir aux questions posées par la reconstitution de la propriété religieuse en Roumanie, et notamment aux problèmes et aux conflits sociaux que soulève, à partir des années 1990, la restitution des biens confessionnels appartenant à l'Église roumaine, placés actuellement sous administration de l'État et dans bien des cas détenus par l'Église orthodoxe roumaine. Je m'intéresserai plus précisément aux enjeux soulevés par un conflit qui se noua autour d'une église encore non restituée d'un village de Transylvanie.
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Giordano, Christian. "Nation." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.048.

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Abstract:
La meilleure définition de la nation est sans doute celle que propose Benedict Anderson lorsqu’il parle de communauté politique imaginée (Anderson, 1983). Ce faisant Anderson met en doute la validité de certaines caractéristiques mystificatrices, quoique considérées comme objectives, attachées au concept de nation. Cette critique s’adresse à Ernest Gellner et à Eric J. Hobsbawn qui eux mettent en évidence l’invention et donc le caractère mystificateur attaché à l’idée de nation (Gellner, 1983, Hobsbawm and Ranger, 1983). La posture théorique spécifique qu’adoptent Gellner et Hobsbawn ne saurait surprendre, car le premier est issu d’un terreau philosophique et méthodologique de type néopositiviste, tandis que Hobsbawm est notoirement associé à un marxisme modéré. Anderson, avec son idée de nation comme communauté politique imaginée, se trouve être très proche des positions de type interprétatif. Il évoque de ce fait indirectement Max Weber selon lequel il est fondamental de reconstruire le sens que les acteurs eux-mêmes, en tant que membres d’une société, donnent à leur comportement. Lorsque Anderson définit la nation comme une communauté politique imaginée, il insiste sur le fait que les membres individuels de ces groupes sociaux, bien que ne se connaissant pas personnellement et que n’ayant fort probablement pas l’occasion de se rencontrer durant leur vie, partagent le même sentiment d’appartenance (Anderson, 1983: 15). La nation est imaginée comme une entité circonscrite et par conséquent démographiquement définie, même si ses frontières peuvent varier en fonction de circonstances historiques particulières. En fait une nation peut s’étendre ou se rétrécir du point de vue de son territoire comme c’est le cas de certaines nations d’Europe centrale et orientale (Hongrie, Roumanie, Bulgarie etc.). L’essentiel de ce caractère limité du point de vue structurel et démographique réside cependant dans le fait qu’aucune nation ne souhaite inclure l’humanité entière. En reprenant une réflexion de Max Weber, on peut remarquer que la nation est imaginée comme une communauté partiellement ouverte vers l’extérieur parce qu’il est inacceptable que n’importe quel membre du genre humain en fasse partie. La nation est en outre imaginée comme une communauté d’égaux, liés entre eux par d’étroites relations de fraternité et de parenté réelle, rituelle ou symbolique, même si cela ne correspond pas à la réalité socio-structurelle et à la dimension de la société. Car dans toute société nationale il existe d’évidentes inégalités sociales et des divisions entre couches, classes, castes ou milieux. Enfin la nation est imaginée comme étant souveraine, à savoir comme une communauté politiquement indépendante, même si ce n’est pas toujours le cas. De fait il existe encore aujourd’hui des nations sans État mais qui aspirent à l’indépendance et donc à se constituer en société souveraine pourvue d’un État propre. Le débat au sujet du rapport entre nation et nationalisme est encore vif. Anthony D. Smith pense que la nation précède le nationalisme et que ce dernier est la conséquence logique de l’émergence des nations même dans des époques fort lointaines (Smith, 1998). A cause de son point de vue, Smith s’est vu reprocher d’être primordialiste dans la mesure où il voit l’origine de la nation dans des temps archaïques. Gellner pour sa part a pris le contrepied de cette perspective, en mettant en évidence le fait que la nation est un phénomène social issu de la modernité occidentale, grâce aux inventions industrielles et en premier lieu grâce à l’imprimerie, mais également à son nouveau système économique capitaliste allant de pair avec l’émergence de classes entrepreneuriales à la recherche de nouvelles ressources primaires et de nouveaux marchés (Gellner 1983) Les nouveaux États-nations issus de ces mutations ont obtenu leur légitimité grâce à la rhétorique nationaliste. C’est donc le nationalisme qui génère l’idée de nation et non l’inverse, ainsi que le prétendent la majorité des auteurs de tendance primordialiste. Le nationalisme est l’instrument idéologique essentiel pour les nations sur lesquelles viennent se fonder les nouveaux États, en tant qu’institutions politiques de la modernité. Selon la thèse de Gellner, le nationalisme représente la formule politique nécessaire pour justifier l’exercice du pouvoir de la part des classes politiques dans les États-nations (Mosca 1966). L’organisation politique spécifique de la nation en tant que communauté imaginée est l’État-nation qui trouve sa source dans l’Europe de la fin du 18e siècle. Toutefois il serait faux de parler d’un modèle d’État-nation universel. On peut en effet distinguer deux types idéaux d’État-nation, à savoir le modèle français et le modèle allemand (Brubaker 1992). On a souvent observé que le modèle français de l’État-nation est fondé sur l’idée de nation politique. Selon cette vue l’État-nation serait le résultat d’un pacte politique, voire d’un contrat entre les citoyens de cet État-nation. C’est dans ce sens que Jules Renan a défini la nation et son organisation politique comme le résultat d’un plébiscite de tous les jours. Il s’agit de souligner par cette formule que la nation française et son État consistent en théorie en une communauté élective. Ce type d’État-nation est donc une patrie ouverte au sein de laquelle les différences religieuses et ethniques n’ont, du moins en théorie, aucune importance (Dumont 1991: 25). On sait bien que cette conception non ethnique de la nation, postulée par la Révolution française a été modifiée plusieurs fois jusqu’à présent. En fait les Constitutions de 1791 et 1793 garantissaient la citoyenneté à toute personne étrangère habitant la France et par conséquent il n’était pas nécessaire d’avoir acquis l’identité française. Autrement dit il était possible d’obtenir la citoyenneté sans avoir acquis auparavant la nationalité, à savoir avant d’adopter certains traits culturels particuliers et certains comportements passant pour typiquement français (Weil, 2002). La séquence citoyenneté-nationalité sera pourtant inversée déjà au 19e siècle avec l’introduction de certains prérequis culturels comme la connaissance de la langue nationale, sans compter l’adoption d’un style de vie considéré comme français. Bien qu’affaiblie par les diverses modifications du code de la nationalité dans les années quatre-vingt-dix (Loi Pasqua de 1993 et Loi Guigou de 1998), l’idée originale de citoyenneté n’a jamais vraiment été abandonnée jusqu’à maintenant. L’État français se fonde sur une conception subjective, voire individualiste de la nation en fonction de laquelle tout étranger habitant l’hexagone peut encore aujourd’hui devenir citoyen français grâce au processus d’assimilation. Les différences, les identités et les frontières ethnoculturelles ne sont jamais définitivement insurmontables. Du moins en théorie, tout être humain est intrinsèquement capable de devenir membre de la nation. Le revers de la médaille est que, en fait, l’État-nation français a toujours eu de grandes difficultés à reconnaître les minorités ethnoculturelles. Ces dernières furent systématiquement assimilées de force durant tout le 19e siècle et sont aujourd’hui encore ignorées. La conception allemande de la nation a été définie comme ethnique. Il en est issu un modèle d’État-nation fondé sur la généalogie et sur l’origine commune de ses citoyens. L’idée de nation et partant d’État-nation, a souvent été mise en relation avec le concept de Volk, en tant que peuple synonyme de nation. Toutefois durant le 18e siècle la notion de Volk ne possédait pas encore cette connotation ethnique qui, selon certains auteurs, devient « l’explosif le plus dangereux des temps modernes » (Finkielkraut, 1987: 56 ss.). L’ethnicisation du Volk a lieu au milieu du 19e siècle grâce à un important groupe d’intellectuels parmi lesquels il faut compter des politiciens, des artistes, des juristes, des philosophes, des historiens, des folkloristes etc. Cependant, la véritable transformation politico-légale intervient avec l’introduction d’un concept restrictif du jus sanguinis (Pierre-Caps 1995: 112). Le nationalisme radical de l’après Première Guerre mondiale a favorisé l’ethnicisation graduelle du modèle allemand qui a connu son apogée durant le national-socialisme avec les lois de Nürenberg dans lesquelles la racialisation du Volk et de l’État-nation allemand est légalisée. Cependant, après le Deuxième Guerre mondiale, dans l’Allemagne divisée, la République fédérale allemande (RFA) aussi bien que la République démocratique allemande (RDA) ont conservé les marques de la conception unitaire et ethnique du Volk et du jus sanguinis bien visibles, même après la réunification de 1990. Il est symptomatique à cet égard que les descendants d’Allemands « rentrés » de l’Europe orientale et de l’ex-URSS aient obtenu la nationalité, grâce à l’idée de Volk et de jus sanguinis, en un rien de temps, au contraire des millions d’immigrés, notamment d’origine turque, qui étaient confrontés aux plus grandes difficultés sur le chemin de l’acquisition de la nationalité allemande. On n’observe un léger assouplissement de l’ethnicisation qu’après 1999, principalement durant le gouvernement du chancelier social-démocrate Gehrard Schröder. Ce n’est cependant qu’aux enfants d’immigrés nés en Allemagne que les lois adoptées par ce gouvernement ont accordé certaines facilités pour obtenir la nationalité allemande Les deux prototypes cités ont inspiré de nombreux États-nations, européens ou non, ce qui en a fait des modèles de référence au niveau mondial. Le modèle français comme le modèle allemand poursuivent tous les deux le projet d’une nation cherchant à se procurer une organisation politique - l’État-nation - capable de garantir une homogénéité culturelle qui, à son tour, garantit la stabilité politique. La différence se trouve dans les deux manières de procéder pour y parvenir. Le modèle français, étant fondé sur le caractère subjectif et individualiste de la nation, rend accessible à l’étranger, du moins en principe, la voie de l’acculturation et par conséquent de sa pleine intégration et inclusion dans la communauté nationale grâce notamment à l’institution du jus soli. Le modèle allemand en revanche, est fondé sur le caractère objectif et collectif de la nation, selon une vision essentialiste et très rigide de l’appartenance ethnique, soumise au jus sanguinis. L’appartenance à la nation allemande comporte, du fait qu’elle est extrêmement restrictive, une forte tendance à l’exclusion de qui ne possède pas les requis ethniques. Les deux modèles ont tous deux connu depuis toujours de grandes difficultés à reconnaître la diversité culturelle, et ils présentent par conséquent une certaine incompatibilité avec la pluriethnicité et la multiculturalité. Cela n’est pas surprenant puisque les deux modèles se proposent de réaliser le projet d’une nation, d’un État souverain, d’un territoire monoethnique. Pour un tel projet la diversité ethnico-culturelle est forcément dysfonctionnelle. Dans les années quatre-vingts et quatre-vingt-dix du siècle passé, dans le cadre d’une globalisation galopante, plus apparente d’ailleurs que réelle, et avec l’ouverture des frontières qui suivit la chute de l’Union soviétique, de nombreux auteurs bien connus, en sciences sociales comme en anthropologie, pensaient que l’idée de nation appartenait davantage au passé qu’au présent ou au futur. On croyait que les sociétés étaient devenues transnationales, à savoir qu’elles deviendraient plus fluides, ou comme le remarquait le philosophe Zygmunt Bauman, qu’elles allaient proprement se liquéfier (Bauman 2000) C’est la notion de transnationalisme qui apparaît le plus souvent pour indiquer la capacité personnelle ou collective de dépasser les barrières culturelles et les frontières nationales et de passer d’une appartenance et d’une identité à l’autre avec la plus grande facilité. Ceux qui adoptent l’approche du transnationalisme considèrent ainsi la société comme un œcoumène global dans lequel les individus aux identités devenues désormais nomades, vivent et interagissent dans des milieux cosmopolites (ceux que l’on appelle les ethnoscapes) marqués par l’hybridation et la créolisation culturelle (Appadurai 1996). Cependant, cette vision suggestive et optimiste, inhérente à l’utilisation du préfixe trans, ne semble adéquate que pour l’analyse de certains groupes minoritaires au statut social élevé, comme par exemple certaines élites migrantes dîtes aussi expats (managers allemands à Tokyo, opérateurs financiers américains à Hong Kong, correspondants de presse au Moyen-Orient, spécialistes en informatique indiens à la Silicon Valley, etc.). Vouloir étendre à la société globale cet aspect spécifique de la complexité culturelle, voire même lui donner une orientation normative, serait entreprendre une nouvelle et dangereuse réification de la vision utopique du métissage universel. En fait, la réalité est bien différente de ce scénario global si optimiste. Les guerres en ex-Yougoslavie ont mis en évidence déjà dans les années quatre-vingt-dix du siècle dernier que l’idée de nation était encore importante et que la fin de l’histoire évoquée par Francis Fukuyama (Fukuyama 1992), comme réalisation d’une unique société globale sans différences nationales, était bien loin de la réalité. A vrai dire les deux premières décennies du vingt-et-unième siècle ont vu, surtout en Europe, le retour inattendu de la nation avec la montée des mouvements régionalistes d’une part et du populisme nationaliste d’autre part, ce que l’on peut interpréter comme deux expressions et stratégies de la résistance contre certaines conséquences des processus de globalisation. Les premiers ont réinterprété le concept de nation pour des revendications régionales à l’intérieur d’entités pluriculturelles de vieille date (Catalogne et Ecosse s’opposant respectivement à l’Espagne et à la Grande Bretagne). Les seconds utilisent en revanche le concept de nation pour mobiliser la population contre les immigrants et les réfugiés, ces derniers étant considérés par les mouvements populistes comme une menace contre l’intégrité nationale.
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Dissertations / Theses on the topic "Partis politiques – Roumanie – 1990-2020"

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Matei, Silviu. "Romania at voting age : 18 years of electoral change in post-communism." Paris, Institut d'études politiques, 2010. http://www.theses.fr/2010IEPP0057.

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Abstract:
Quel est le bilan électoral après les premières 18 années de démocratie en Roumanie ? Comment ont voté les Roumains aux six premières élections libres ? Le but de cette étude est, tout d’abord, de mesurer le degré de stabilisation du système de partis en utilisant quatre indicateurs consacres : la fragmentation électorale, la volatilité, la polarisation et le niveau d’abstention. Ensuite, à l’aide des modèles de régression écologique, on analyse les déterminants sociaux et contextuels de la participation électorale en Roumanie sur la base des données agrégées au niveau de la commune. Quels sont les variables qui ont le plus d’influence sur l’abstention électorale ? Le modèle stiatistique intègre des variables démographiques (âge, niveau d’étude, fragmentation ethnique, niveau d’urbanisation) et des variables systémiques et contextuelles (niveau d’abstention aux élections précédentes, fractionalisation et polarisation électorale locale, taux du vote pour les partis gagnant ou perdant aux élections précédentes). Des analyses d’inférence écologique viennent à l’appui pour soutenir les résultats. Enfin, on détermine les axes majeurs des divisions sociales et de leurs alignements électoraux. A cette fin, on utilise un modèle d’analyse géométrique des données (ACP) et des méthodes géostatistiques et de géographie électorale
How does the electoral scene looks in Romania after the first 18 years of democracy? How did the Romanians vote at the first six free elections? The purpose of this study is, first, to measure the degree of stabilisation of the party system using four classic indicators: the electoral fragmentation, volatility, the polarisation and the level of abstention. Then, using ecological regression models, we analyse the social and contextual determinants of turnout in Romania based on aggregated data at the commune level. What are the variables that have the greatest influence on abstention? The statistical model includes demographic variables (age, education, ethnic fragmentation, urbanisation level) and systemic and contextual variables (level of turnout at previous elections, local electoral polarisation and fractionalisation, vote share of the winner and looser parties at the previous elections). Ecological inference analyses are used to support the results. Finally, we determine the major axes of social divisions and their electoral alignments. To this end, we use a model of geometric data analysis (PCA), geostatistical methods and electoral geography
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Ionescu, Alexandra Gabriela. "Du Parti-Etat à l'Etat des partis : nature et fonctions des partis politiques postcommunistes en Roumanie." Paris, Institut d'études politiques, 2007. http://www.theses.fr/2007IEPP0046.

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Abstract:
La thèse interroge les modes et les formes sur les lesquelles le pluralisme politique fut institué et émergea en Roumanie après l’effondrement du communisme. Pour ce faire, elle examine d’abord le type de Parti-Etat produit durant le régime communiste roumain, en l’approchant sous le rapport de la construction institutionnelle et organisationnelle et sous l’angle des défis gouvernementaux que cette entreprise d’adéquation au projet léniniste a du affronter. L’effondrement du communisme roumain dont les agents ont revendiqué un caractère révolutionnaire, est ensuite analysé comme discours sur le changement politique, comme manière de penser la séparation du communisme et comme démarche juridico-politique de continuité et de rupture par rapport au Parti-Etat. Finalement, le postcommunisme roumain est envisagé comme processus de démocratisation, comme bricolage d’un ordre politique renouvelé à travers la reformulation chancelante des principes et des ressorts du corps politique (e. G. Le pluralisme), ainsi qu’à travers l’émergence d’acteurs politiques nouveaux (les partis) et des pratiques de représentation et de gouvernement sans précédent. Le postcommunisme roumain est dès lors considéré à travers la tension entre l’expérience postcommuniste de gouvernement d’une société échappant aux dispositifs de contrôle de l’ancien Parti-Etat et la configuration d’un projet politique à vocation démocratique censé pourvoir de sens et de légitimité les acteurs, les institutions et les pratiques politiques roumaines
The fall of Romanian communism opened the way to the emergence and institutionalizing of political pluralism. Aiming to understand and explain the significance and the role of this political process, the dissertation first explores the variety of party-state engendered by Romanian communism. The party-state is thereof considered as the outcome of several institutional, organizational and governmental challenges faced by Romanian communists striving to implement the Leninist project. Secondly, as the agents of the fall of Romanian communism claimed to have accomplished a revolution, the dissertation probes the public discourse on political change produced by these agents, the way they conceived the political transformation, as well as the political and legal means they used in order to asses their authority. Finally, Romanian postcommunism is analyzed as a process of democratization. Which means that not only new political actors, the parties, emerged, but also, that those actors had to build themselves up as organizations and, moreover, they had to define themselves, through constitution making and legal creation, as legitimate agencies of political representation and governance
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Gussi, Alexandru. "Usages du passé et démocratisation : le rapport des partis politiques roumains à la période communiste." Paris, Institut d'études politiques, 2007. https://spire.sciencespo.fr/notice/2441/5402.

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Abstract:
Le point de départ de notre recherche a été le constat de l’importance du rapport au passé communiste dans le processus de définition identitaire que chaque parti politique entreprend au début de la transition démocratique. Notre principale hypothèse a été que non seulement le rapport à l’héritage totalitaire a constitué une matrice de l’organisation du système partisan roumain après 1989, mais aussi que la réalité politique d’après 2001 restait déterminée par le cadre fixé au début du processus de démocratisation. Il a donc fallu suivre comment s’est forgé et a évolué ce clivage autour du passé et répondre à des questions comme : dans quelle mesure peut-on voir dans ces rapports au passé le reflet de visions de l’avenir ? Est-ce que ce clivage résume ou cache d’autres clivages, parfois plus anciens ? Enfin, est-ce qu’il tend à disparaître ? La vie politique roumaine a été analysée comme étant l’espace de la compétition entre des images du passé communiste. De ce point de vue, l’attitude de l’Etat n’est qu’une résultante de cette compétition, tranchée politiquement, mais une résultante dynamique. Nous avons donc étudié l’attitude des principaux partis – celui de Ion Iliescu, l’actuel PSD, et les anticommunistes de la CDR – car, dans chaque cas, elle a une logique propre. Enfin, nous avons montré pourquoi l’absence d’un cadre commun d’interprétation de l’expérience communiste doit être mise en relation avec l’absence d’un compromis constitutionnel. Finalement, l’ambiguïté de la position officielle à l’égard du passé communiste est le résultat d’une adoption problématique des valeurs démocratiques par l’élite politique et par la société roumaine
The starting point of our research was the determining role played by the relationship with the communist past for the identity-building of each political party in transition to democracy. Our chief hypothesis was that the relationship to the totalitarian past gave the organizing principle of the party-system in Romania after 1989. Even more so, we discovered that for the period starting with 2001 our hypothesis was still valid. We followed the history of the split around the “past”-question guided by several interrogations : How is the “past”-question related to a vision of the future ? What is the historical depth behind this split ? Finally, could this split be overcome ? Thus, Romanian political struggle basically overlaps with two competing images of the past, a positive and a negative evaluation of the totalitarian regime. Political choices of the Romanian state throughout this period were the result of this competition. The objects of our research were the party gathered around Ion Iliescu, today called PSD, and the party of the anti-communists, called CDR. The absence of a common evaluation of the communist experience resulted from the lack of an initial founding agreement. Finally, the ambiguity of the official position to the “past”-question emphasizes the problematical integration of democratic values by the Romanian political elite and more largely by the Romanian society
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Milan, Marcela. "L'imaginaire des fêtes politiques dans la Roumanie postcommuniste." Grenoble 3, 2008. http://www.theses.fr/2008GRE39018.

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Abstract:
Cette thèse offre une étude des représentations des fêtes politiques roumaines et a comme objet principal de recherche les articles de la presse postcommuniste. Elle analyse les conséquences de la révolution de décembre 1989 au niveau de la restructuration du rapport de la société avec son calendrier festif et avec sa mémoire historique. Les études de cas proposées sont: le Jour National du 1er décembre, la commémoration de la révolution anticommuniste, le Jour de l'Indépendance, le 1er Mai, le Jour de l'Europe. Les fêtes politiques sont considérées des moments forts pour la vie sociale qui traduisent le souvenir d'un événement fondateur et son utilisation politique au fil du temps. Ce concept se défini par des moments anniversaires officiels qui réunissent la commémoration (des événements et des héros), la célébration (les rites) et la réjouissance collective (la fête populaire). Ces moments comportent une importante composante imaginaire reposant sur la mythologie sécularisée de l'Etat. Il s'agit pour nous de prendre en considération dans l'analyse des célébrations politiques, la mythologie nationale qui s'est développée à partir du XIXe siècle et qui a constitué ce qu'on appelle "une religion sécularisée". Dans cette perspective, la fête politique a une vocation axiologique pour un groupe de type national et son identité: elle offre un point de repère pour ses membres, elle relie le passé revendiqué et le présent en supprimant la logique de la temporalité. L'analyse de l'évolution de l'imaginaire du calendrier festif offre aussi une lecture des changements produits dans la société roumaine par la transition vers une organisation démocratique
This thesis gives an analysis of the media imaginary within the historically based official celebrations held in Romania during the post communist period. Our research studies in-depth the consequences of the December 1989 revolution in 'terms of the reorganization of the relationship between the Romanian society and its festive calendar and, more generally, between the Romanian society and its historical memory. Political commemorations are considered as important events for the social life, which translate the memory of a founding event and of its political use in time. This concept is used with the meaning of anniversary or commemorative' official holidays that comprise three aspects: the commemoration (of the events and the heroes), the celebration (of the rites and their teaching significance) and the not-formal collective rejoicing (the popular festival). These moments have an important imaginary component based on the secular mythology of the state. These requires us to take into account for the analysis of the political celebrations, the national mythology that developed starting from the nineteenth century and which constituted national group what we called "a lay religion". From this viewpoint, the political festival has an axiological vocation for a and for its identity: it offers a benchmark for its members, it connects the declared past and the present by ignoring the logic of temporality. The analysis of the evolution of the imaginary of the festive calendar also offers an understanding of the changes that occurred in the Rumanian society during the transition towards a democratic organization
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Roux, Jean-Christophe. "Analyse comparative de l'émergence du multipartisme dans les 15 républiques indépendantes de l'ex-URSS de 1989 à 1999." Paris 8, 2001. http://www.theses.fr/2001PA081997.

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Abstract:
Dans mon analyse comparative sur l'émergence du multipartisme dans les 15 républiques indépendantes de l'ex-URSS de 1989 à 1999, j'ai voulu montrer comment émergent ou non des partis politiques pouvant avoir un rôle actif dans chacune des républiques. L'ensemble de ces républiques doivent affronter un triple défi : mettre en place une économie de marché, un système démocratique et restaurer un état pouvant accompagner ces transformations. Pour aboutir à cette transition, il ne faut pas privilégier l'indépendance sur la démocratie, les droits collectifs sur les droits individuels et donner plus d'importance à l'économie sur une meilleure structuration et efficacité de l'état. Pour faire face à cette réalité les facteurs d'identités historiques, de situation géographique, d'homogénéisation ethnique et de types de religions jouent des rôles importants. . . .
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Jinga, Luciana-Marioara. "LES FEMMES DANS LE PARTI COMMUNISTE ROUMAIN (1944-1989)." Phd thesis, Université d'Angers, 2011. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00811989.

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Abstract:
Dans l'intervalle 1944 -1989, le Parti Communiste Roumain (PCR) a pris plusieurs mesures pour transformer les femmes roumaines en acteurs politiques. La première direction d'action a été la création d'une organisation féminine de masse dont le nom et la structure ont changé plusieurs fois: l'Union des Femmes Antifascistes de Roumanie, l'Union des Femmes Démocrates de Roumanie; le Conseil National des Femmes. Le rôle de l'organisation féminine de masse a été d'attirer la population féminine vers les principaux projets du PCR: la prise du pouvoir, la collectivisation de l'agriculture, une meilleure promotion des femmes dans tous les domaines de la vie publique, le projet démographique du régime Nicolae Ceausescu, l'administration des biens et services publics. En seconde place, le PCR, selon à la doctrine marxiste-léniniste, ayant comme modèle l'URSS, a mis en place une législation dite égalitaire. Pour que les principes juridiques deviennent réalité, la propagande communiste demandait aux femmes d'entrer dans une activité salariée. En la présence féminine dans le PCR restait une des plus basses de tous les pays communistes de l'Europe Centrale et de l'Est. C'est au milieu des années 1970 que le régime Nicolae Ceausescu introduisit le principe des quotas pour la présence féminine dans les organes dirigeants du parti mais aussi pour le nombre total des candidats. La conséquence a été l'augmentation du pourcentage des femmes dans le parti jusqu'à 36% au moment de la chute du régime communiste. En ce qui concerne les positions d'autorité, sauf un groupe restreint qui entourait Elena Ceausescu, la participation féminine est restée basse.
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Colange, Céline. "Réalignements et désalignements du vote en France : 1981-2005." Rouen, 2007. http://www.theses.fr/2007ROUEL553.

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Abstract:
"Dans un contexte souvent affirmé de "nationalisation" des comportements électoraux, les cartes de la géographie des votes à l'issue des scrutins récents, traduisent une nette réorganisation de la répartition des suffrages. A un désalignement sur les clivages régionaux ou sociologiques traditionnels selon le rapport gauche / droite, succède un réalignement partisan lié à l'opposition rural-urbain. Cette thèse insiste sur la forte structuration socio-spatiale des votes, notamment ceux en faveur des nouveaux partis (nationalistes, souverainistes, écologistes, ruralistes. . . ) qui ont construit leur identité et leur discours en référence à un concept territorial. Notre problématique consiste à appréhender les évolutions récentes de la carte électorale française à une échelle géographique fine: le canton et la commune. Cette démarche est novatrice car elle permet de faire le lien avec les variables sociales mais aussi de mettre en évidence différents effets spatiaux imperceptibles à l'échelle du département ou de la circonscription. En conciliant l'approche écologique ainsi que les méthodes et les outils de la géographie quantitative et de l'analyse spatiale, cette étude propose quelques pistes de réflexion pour comprendre la forte territorialisation des votes observée en France. "
In an often marked context of "nationalization" of the electoral behaviour, the mapping of the votes at the end of the recent polls, translate a clear reorganization of the distribution of the votes. To a misalignment on traditional regional or sociological cleavages based upon left force / right forces opposition succeeded realignment in favour related to the regional or sociological opposition. This research emphasizes the strong socio-spatial structure of the voting behaviour with a particular focus on those in favour of new political parties who are building their identity and their speech in reference to a territorial concept. Our problematic consist to dread the recent evolutions of the French electoral map to a fine geographic scale: the canton and the municipality. This innovative method allows to make the link with the social data but also to place in prominent position various imperceptible spatial effects on the scale of the department or of the country. By reconciling the ecological approach as well as the methods and the tools of the quantitative geography anf the spatial analysis, this study proposes some tracks of reflection to understand the strong territorialization of the votes observed in France
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Avanza, Martina. "Les « purs et durs de Padanie » : ethnographie du militantisme nationaliste à la Ligue du Nord (Italie), 1999-2002." Paris, EHESS, 2007. http://www.theses.fr/2007EHES0035.

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Abstract:
Cette thèse étudie l'entreprise nationaliste padane montée de toutes pièces par la Ligue du Nord en 1995. Ce parti politique italien demande l'autonomie du nord du pays, rebaptisé Padanie, terme qui n'évoque aucune appartenance culturelle. Cette revendication manquant cruellement de légitimité, ses partisans tentent de codifier une « identité padane» au nom de laquelle pouvoir exiger l'indépendance. Ce volontarisme mettant à nu les mécanismes à l'œuvre dans les revendications identitaires, cet objet permet de mener une étude quasi-expérimentale des constructions nationales. La plupart des recherches qui parlent aujourd'hui de la construction des identités se limitent à une analyse des discours. Ayant choisi de mener une enquête ethnographique au sein des militants de la cause padane, mon but était précisément d'incarner mon approche de ce nationalisme et ce notamment à travers une attention portée aux pratiques et aux carrières militantes (23 trajectoires individuelles reconstituées)
This Ph. D. Studies 'the padanian nationalism, which was invented by the Lega Nord in 1995. This Italian political party want to obtain the autonomy of the northern regions, renamed Padania, from the rest of the country. To fight the lack of legitimacy of the padanian claim (there is no padanian historical, linguistic or religious specificity), their partisans hardly try to construct a «padania identity». Their voluntarism exposes the mechanism at work in the identity claims. That is why this subject allows us to do an almost experimental research on nation building. Most of the studies on the construction of identity are limited to discourse analysis. If I decided to do an ethnographic fieldwork within the partisans of the padanian cause, is precisely because I wanted to embody my approach to this nationalism by paying attention to the militant's practical experiences and to their careers (23 individual careers are reconstructed)
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Fauconnier, Clémentine. "Organisation partisane et exercice du pouvoir dans la Russie de Poutine : les paradoxes de la fabrication de Russie Unie (2001-2012)." Thesis, Paris, Institut d'études politiques, 2015. http://www.theses.fr/2015IEPP0019.

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Abstract:
Cette thèse vise à interroger les enjeux et les modalités de la construction d’une majorité politique en Russie à partir des années 2000, après une décennie marquée par la faiblesse de l’exécutif central et l’éclatement de l’offre politique. Créé en 2001 pour soutenir Vladimir Poutine, la situation du parti politique Russie unie dans le paysage politique peut sembler paradoxale. Dominant à tous les échelons du pouvoir depuis 2003, il demeure néanmoins un instrument entre les mains des dirigeants de l’exécutif, sans réelle autonomie ou influence. Fort officiellement de 2 millions d’adhérents, Russie unie est peu ancré dans la société russe et compte très peu de militants. L’analyse de la tension créée entre la dynamique d’institutionnalisation du parti et, en même temps, son maintien sous le contrôle de l’Etat se présente comme un point d’entrée privilégié pour envisager, dans une perspective comparative, la production des mécanismes d’assujettissement d’une partie du personnel politique russe. Cela implique de s’intéresser à la mise en place et aux modalités concrètes de fonctionnement de Russie unie, d’observer les pratiques des acteurs engagés dans ces activités et de s’interroger sur les significations qu’ils leur donnent. Cette démarche suggère alors de montrer comment l’étude de ce processus spécifique de fabrication partisane est susceptible de nourrir une réflexion plus générale et comparative sur la façon dont les dynamiques de différenciation ou de rapprochement entre les partis et l’Etat contribuent à produire différentes formes d’investissements politiques. Pour cela l’étude des partis en tant qu’institution ainsi que de la sociologie historique comparative permet de montrer les tensions créées par le processus de différenciation sous contrôle de Russie unie et la façon dont celui-ci accompagne la mise en place de nouveaux mécanismes de domination
This thesis aims to examine the issues and modalities of building a political majority in Russia from the 2000s, after a decade marked by the weakness of the Central Executive and party system fragmentation. Created in 2001 to support Vladimir Putin, the situation of the political party United Russia in the political landscape may seem paradoxical. Dominant at all levels of power since 2003, it still remains a tool in the hands of leaders of the Executive, without any real autonomy or influence. United Russia, including officially 2 million members, is not rooted in Russian society and has very few militants. The analysis of the tension between the dynamics of the party’s institutionalization and, at the same time, its maintaining under control of the State appears as a privileged entry point for analyzing, in a comparative perspective, the production of mechanisms of subjections of Russian elected officials. This implies to study the establishment of United Russia and its concrete functioning, the practices of the actors involved in these activities and the meaning they give to these practices. Thus this approach suggests to show how the study of this specific process of party construction is likely to feed a more general and comparative reflection on how the dynamics of differentiation or reconciliation between parties and the State contribute to produce various forms of political investments. For this purpose, studying the party as an institution as well as the comparative historical sociology can show the tensions created by the process of differentiation under the control of United Russia and also how it supports the establishment of new domination mechanisms
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Verniers, Gilles. "The localization of caste politics in Uttar Pradesh after Mandal and Mandir : reconfiguration of identity politics and party-elite linkages." Thesis, Paris, Institut d'études politiques, 2016. http://www.theses.fr/2016IEPP0043/document.

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Abstract:
La thèse porte sur les transformations des politiques électorales dans l’état de l’Uttar Pradesh, Inde, dans la période suivant une phase de cristallisation et de politisation des identités de castes et religieuses. La thèse considère l’évolution d’un certain nombre d’indicateurs de la vie politique de cet état pour faire état de changements profonds des ressorts de la mobilisation politique. Au cours de la période considérée, il est observé que les formes mobilisation horizontale de la caste se sont estompées au profit de transactions locales entre groupes et individus inscrits dans des contextes socio-économiques différenciés. Cette localisation des politiques de caste a conduit la caste à s’encastrer davantage dans le champ politique mais de manière moins transversale qu’auparavant. En d’autres termes, les partis politiques ne parviennent ni ne souhaitent plus mobiliser leurs électeurs en usant registre de la caste horizontalement, par-delà le niveau local, mais font de la caste un élément central de le stratégies au niveau des circonscriptions. L’argument principal de la thèse consiste à dire que l’encastrement local de la caste s’effectue en lien étroit avec le contexte socioéconomique d’inscription. Une prosopographie des candidats et élus aux élections régionales de 2007 et 2012 révèle que les candidats sélectionnés par les principaux partis politiques tendent non seulement a l’être fonction de leur appartenance de caste ou de communauté religieuse mais également en fonction de leur ancrage dans les tissus économiques locaux. Une ethnographie politique confirme l’existence d’un processus d’intégration des élites politiques, sociales et économiques au travers des processus démocratiques. En d’autres termes, le profil des candidats et des élus tend à être socialement hétérogène mais économiquement homogène, ce qui contredit trahit en partie le caractère émancipatoire des mouvements politiques dits de basses castes
This dissertation focuses on the transformations of electoral politics in the Indian state of Uttar Pradesh, afte period of crystallization and politicization of caste and religious-based identities. The dissertation studies evolution of a number of political indicators to reveal profound changes in the ways parties and candidates mobi voters. It is observed notably that the horizontal forms of caste-based mobilization that characterized much of politics of the state have receded in favour of local arrangements between parties, candidates and local social grou This leads the caste variable to become more deeply embedded into the political sphere, but locally.The main argument of this dissertation is the local embeddedness of caste took place in deep connection with th local economical context. The prosopography of candidates and elected representatives of the state assembly in 2 and 2012 reveals that parties tend to not only choose their candidates according to their ascriptive identity, but a following their inscription in local dominating economic networks. A political ethnography conducted across state confirms the existence of a process of integration or congruence of political, social and economic elites. Th the social composition of the state assembly tends to be both heterogeneous in terms of caste and homogeneou terms of economic background. This questions the emancipatory character or potential of caste-based mobilizat and representation
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