Academic literature on the topic 'Patrimoine culturel – Bauges (France ; massif)'

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Journal articles on the topic "Patrimoine culturel – Bauges (France ; massif)"

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Martin, Philippe. "Intégration du patrimoine géologique à la stratégie de développement local du Parc Naturel Régional du Massif des Bauges, France." Collection EDYTEM. Cahiers de géographie 15, no. 1 (2013): 49–56. http://dx.doi.org/10.3406/edyte.2013.1238.

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Dissertations / Theses on the topic "Patrimoine culturel – Bauges (France ; massif)"

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Palisse, Marianne. "Les Bauges entre projets institutionnels et dynamiques locales : patrimoines, territoires et nouveaux lieux du politique." Lyon 2, 2006. http://theses.univ-lyon2.fr/documents/lyon2/2006/palisse_m.

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Abstract:
A partir d'un travail de terrain mené dans le massif montagneux des Bauges, en Savoie, et plus précisément dans le canton du Châtelard, cette thèse ouvre des pistes de recherche sur les nouveaux rapports au temps et à l'espace, et sur la façon dont les individus font société dans le monde rural contemporain. Le territoire étudié, après avoir été déserté, est aujourd'hui le point de chute d'une immigration. Des populations d'origines variées s'y côtoient et, tout en demeurant mobiles et insérées dans divers réseaux transcendant la localité, tentent de construire du commun. Dans le même temps, le Parc naturel régional et d'autres institutions élaborent des projets patrimoniaux présentés comme fédérateurs. Or, si ceux-ci remportent un franc succès auprès des touristes, ils sont contestés par les habitants du territoire qui, manifestement, ne se reconnaissent pas dans l'image qui est donnée d'eux. Face à l'histoire mise en valeur par le patrimoine, qui insiste sur la continuité du territoire et qui a tendance à faire d'eux les spectateurs d'une réalité sur laquelle ils n'ont que peu de prise, les habitants ont recours à une mémoire par laquelle ils se décrivent comme les acteurs d'un territoire et d'une communauté en train de se construire. Loin de se calquer sur un modèle venu des villes, la localité qu'ils tentent de produire se révèle donc un lieu d'expérimentation, où se créent en particulier de nouvelles formes d'espaces publics, permettant un engagement direct et sans intermédiaire des individus dans le domaine politique
Based on fieldwork in the mountainous region of Bauges, in the Savoie, and more precisely in the Canton of Chatelard, this thesis introduces an approach to research that explores relationships to time and space, and how members of a contemporary rural community create a sense of social community. Once nearly deserted, the locality is now experiencing a revitalization due to immigration. Groups from diverse origins are living alongside one another, and, though remaining linked to networks that extend beyond the locality, they are attempting to build a community. At the same time, in projects depicting the patrimonial heritage of the area, institutions, including a regional natural Park, convey an image of the community as based on a model of federation. While these representations have been popular with tourists, the local population contests them, citing that they do not recognize themselves in these images. In contrast with the history valorized by the images of patrimonial history, which convey a territorial continuity and tend to position members of the community as spectators of a reality upon which they have little influence, the inhabitants have recourse to a memory in which they describe themselves as actively forging community. Far from copying a model available from cities, the locality is attempting to produce a community founded on experimentation, creating new modes of public space that permit members to engage directly in political life, without any intermediaries
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Palisse, Marianne Martin Jean-Baptiste. "Les Bauges entre projets institutionnels et dynamiques locales patrimoines, territoires et nouveaux lieux du politique /." Lyon : Université Lumière Lyon 2, 2006. http://theses.univ-lyon2.fr/sdx/theses/lyon2/2006/palisse_m.

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Lehébel-Péron, Ameline. "L’abeille noire et la ruche-tronc : approche pluridisciplinaire de l’apiculture traditionnelle cévenole : histoire, diversité et enjeux conservatoires." Thesis, Montpellier 2, 2014. http://www.theses.fr/2014MON20093/document.

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Abstract:
Les Cévennes sont depuis des siècles connues pour être des « terres de miel ». L'apiculture y est caractérisée par lo brusc, une ruche traditionnelle construite avec un tronc de châtaignier évidé, couvert d'une lauze de schiste. Les ruchers-troncs constituent une forme d'apiculture très ancienne et rustique, qui a contribué à l'histoire de l'occupation humaine et à la dynamique des paysages en Cévennes. Les ruches étaient à l'origine exclusivement sédentaires et peuplées d'abeilles noires (Apis mellifera mellifera), présentes en Cévennes bien avant l'arrivée des humains. Aujourd'hui, l'apiculture cévenole se fait principalement en ruches à cadres. Les pratiques apicoles actuelles — achat d'abeilles, transhumance, sélection, etc.— ont conduit à la diminution des populations de sous-espèces d'abeilles locales et à leur homogénéisation génétique. Afin de mieux connaître et de préserver ce patrimoine apicole naturel et culturel exceptionnel, le Parc national des Cévennes a initié cette étude pluridisciplinaire à travers le financement d'une thèse CIFRE. Ce travail est composé de trois parties.(I) L'objet de la première partie est l'habitat, la ruche. Les documents d'archives permettent d'affirmer que les ruches-troncs sont apparues en Cévennes à la fin du Moyen Âge, puis se sont développées et maintenues jusqu'à la première moitié du XXe siècle. Le passage de la ruche-tronc à la ruche à cadres moderne s'est réalisé progressivement au cours du siècle dernier. Les témoignages des anciens Cévenols ont permis d'appréhender les pratiques, les savoirs et les savoir-faire associés à ces ruchers traditionnels. Enfin, le micro-environnement des ruchers a été caractérisé grâce à des analyses spatiales qui viennent corroborer le discours local sur l'emplacement idéal d'un rucher.(II) L'abeille noire est au cœur de la deuxième partie. De l'abeille commune à l'abeille « noire agressive », les considérations du milieu apicole sur l'abeille locale ont évolué au cours du siècle écoulé. Un état des lieux de la population d'abeilles a été réalisé en utilisant la morphométrie géométrique, puis l'ADN mitochondrial. La morphométrie permet de dire que les 2/3 de la population d'abeilles des Causses et des Cévennes sont constitués d'abeilles noires. L'étude de l'ADN mitochondrial nous alerte néanmoins sur le taux élevé d'introgression dans ces populations. Cette introgression touche autant les populations d'abeilles élevées en ruches à cadres que celles maintenues en ruches-troncs. Ces populations ne se démarquent pas génétiquement l'une de l'autre.(III) La dernière partie de ce travail concerne la conservation du patrimoine apicole par l'établissement public du Parc national des Cévennes. Elle détaille les moyens et actions passés, présents, ainsi que les difficultés et les perspectives de conservation pour la ruche-tronc et l'abeille noire en contexte d'aire protégée. Cette partie met en exergue l'impérieuse nécessité d'une concertation multi-acteurs, axée sur une intégration de plusieurs types de savoirs — local, scientifique, d'expert — qui tienne compte des changements sociaux, économiques et écologiques auxquels la région des Cévennes est soumise
For several centuries, the Cévennes region in Southern France has been renowned as a “land of honey”. Beekeeping in Cévennes is characterized by lo brusc, a traditional hive that is made of a hollowed chestnuts log which is covered with a schistous stone slab called “lauze”. Log hive apiaries are a very old and rustic form of beekeeping, which was a major driver of human occupation history and landscape dynamics throughout the Cévennes. From their origins, log hives were home most exclusively to black bees (Apis mellifera mellifera) that were settled in the region far before the rise of humankind. Nowadays, beekeeping in Cévennes is mainly carried out in frame hives. Current beekeeping practices — purchase of bees, transhumance, queen selection… — have led to a drastic decrease in populations of local bee subspecies, and to their genetic homogenization. In order to better understand and preserve this remarkable natural and cultural beekeeping heritage, the Cévennes National Park implemented a multidisciplinary study, through the funding of a CIFRE (Industrial contract for training through research) doctoral research.1- The first part of the study is dedicated to the hive. Archive documents strongly support the assertion that the very first log hives that were established in Cévennes date back to the end of the Middle Age. Afterwards they expanded and were maintained until the middle of the 20th century. The shift from log hive to frame hive occurred progressively throughout the past century. Testimonies by old Cévennes inhabitants helped assessing local practices, knowledge and know-how related to these traditional apiaries. Furthermore, spatial analyses were undertaken to characterize the micro-environment surrounding apiaries. These analyses corroborate local discourses about where an apiary should ideally be set up.2- The black bee is the epicenter of the second part of the study. From the common bee to the “black and aggressive” bee, views by the beekeeping community concerning the local bee in Cévennes have evolved over the past century. Genetic analyses using geometrical morphometry and mitochondrial DNA were successively implemented to establish a state of the art of local bee populations. Morphometric data tell us that nearly 2/3rd of the bee populations of Causses and Cévennes are composed of black bees. However, mitochondrial DNA data alert us on the high level of introgression within these populations. Such introgression equally affects bees kept in frame hives and those kept in log hives.3- The third part of the study addresses the sensitive issue of a conservation strategy of local beekeeping patrimony that is carried out by the public development agency of the Cévennes National Park. Past conservationist resources and actions are described and so are the perspectives and obstacles to a valuable conservation strategy of black bees and log hives in a context of protected area. In conclusion, the study advocates for an indispensable multi-stakeholder conciliation and a necessary integration of several types of knowledge — local ecological knowledge, knowledge from learned experts, scientific knowledge — that takes into consideration the social, economical and ecological changes affecting the overall Cévennes region
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Badan, Xavier. "l'élevage montagnard face au paysage patrimonial : organisation et réseaux d'acteurs autour de la construction d'une nouvelle représentation collective : l’exemple des sites « Causses et Cévennes » et « Chaîne des Puys – Faille De Limagne »." Thesis, Université Clermont Auvergne‎ (2017-2020), 2017. http://www.theses.fr/2017CLFAL008/document.

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Abstract:
Qu’est-ce qu’un paysage patrimonial ? C’est un nouveau regard porté par des acteurs sur un paysage qui, selon la définition de Lévy et Lussault (2003) « est censé mériter d’être transmis du passé, pour trouver une valeur dans le présent ». C’est « un ensemble d’attributs, de représentations et de pratiques fixés sur un objet non contemporain […] dont est décrété collectivement l’importance présente, intrinsèque (ce en quoi cet objet est représentatif d’une histoire des objets de société) et extrinsèque (ce en quoi cet objet recèle des valeurs supports d’une mémoire collective), qui exige qu’on le conserve et le transmette ». Afin de définir les propriétés patrimoniales du paysage, ces personnes s’organisent en groupes et tentent de communiquer entre eux. Chacun construit une représentation du paysage autour d’attributs spécifiques qui présentent un intérêt pour le groupe. Toutes ces représentations sont différentes et pourtant elles concernent bien un seul et unique paysage. Lorsqu’il s’agit de réaliser une action qui aura un effet sur cet espace commun, les acteurs se mettent à interagir au sein d’un « réseau collectif ». L’action peut alors faire l’objet de négociations, de tensions, de conflits, d’un accord ou d’un abandon en fonction de la position de chacun. Toutefois, que l’action ait été portée jusqu’à son aboutissement ou bien qu’elle ait été abandonnée, les acteurs ont échangé leurs regards au sujet du paysage pendant toute la phase d’interaction. Donc, au fur et à mesure des actions réalisées sur l’espace, les acteurs construisent un regard commun du paysage que l’on qualifie de « représentation collective ».Contrairement à un objet matériel, le paysage est difficilement quantifiable. L’acquisition pour ce dernier d’une valeur patrimoniale demande donc un processus complexe qualifié de « processus de patrimonialisation ». Ce processus n’a rien d’anodin pour les acteurs présents, il perturbe la représentation collective qui avait été créé au fur et à mesure de leurs échanges. Dans ce désordre social, les acteurs vont lutter pour faire valoir leur représentation du paysage, créant ainsi une nouvelle représentation collective. Dans ce contexte, notre thèse pose la problématique suivante : En se situant à l’échelle d’un territoire qui subit une transformation du regard vers un contexte patrimonial, dans quelle mesure les acteurs agricoles et non-agricoles se coordonnent et construisent une nouvelle représentation collective axée sur le maintien de l’élevage, l’utilisation de l’espace et la gestion du paysage ?Pour répondre à cette problématique, nous avons mobilisé les réseaux d’acteurs agricoles et non agricoles existant sur deux sites dans le Massif central (les Causses et les Cévennes et la Chaîne des Puys – faille de Limagne) qui sont inscrits ou en recherche d’inscription au patrimoine mondial de l’UNESCO. Après une rapide description des deux sites, nous avons expliqué notre positionnement en ce qui concerne l’aspect collectif plutôt qu’individuel dans la construction d’une représentation du paysage et autour de l’organisation et de la gestion de ce dernier. Nous avons ensuite construit une méthodologie qui s’inspire de cet apport théorique. Grâce à elle, nous avons su mener une centaine d’enquêtes qui nous ont permis d’identifier et d’analyser sur les sites les deux réseaux dans lesquels les acteurs collectifs s’organisent pour intégrer ce nouvel enjeu patrimonial dans leur représentation du paysage. Cette organisation en réseau se concrétise autour d’une série d’actions destinées en outre à la gestion du patrimoine, mais aussi au soutien de l’élevage et à la valorisation de la production agricole. Ainsi, nous constatons que le processus de patrimonialisation contribue indirectement, en influençant la représentation collective de l’espace agricole, à l’évolution des pratiques agricoles qui sont elles-mêmes responsables de la construction de l’espace
What is a landscape heritage? It is a new look by actors on a landscape wichi, according to Levy & Lussault (2003) “is supposed to deserve a transfer from past to find a value in present”. It is “a collection of attributes, representations, practices fixed on a non-contemporary object […] whose present importance is declared collectively, intrinsic (how this objet is representative of history of society’s objects) and extrinsic (how this object contains the values of a collective memory), which requires its conservation and its transmission.In order to define the heritage properties of landscape, people organize themselves into groups and try to communicate with each other’s. Each constructs a representation of the landscape around specific attributes that are of interest to the group. All these representations are different and yet they concern a single landscape. When it comes to carrying out an action that will have an effect on this common space, the groups interact with each other within a “collective network”. The action may be the subject of negotiations, tensions, conflicts, agreement or abandonment depending on the position of each person. However, whether the action was carried out or abandoned, the actors have exchanged their views on the landscape throughout the collective network. Therefore, as actions are progressively carried out on patrimonial landscape, groups of people construct a common view of this landscape: it is the “collective representation of the landscape”.Unlike a material object, the landscape is difficult to quantify. The acquisition for the latter of a heritage value therefore requires a complex process called “patrimonialization process”. For the groups of people present in the landscape, this process is not insignificant. It disrupts the collective representation of the landscape that has been built in the collective network. In the resulting social disorder, the groups will struggle to assert their representation of the landscape in a new collective representation. In this context, our thesis poses the following problem: Considering a territory undergoing a transformation of the look towards a heritage context, to what extent do agricultural and non-agricultural stakeholders build a new collective representation focused on keeping livestock, use of space and landscape management?To address this problem, we have mobilized the networks of agricultural and non-agricultural actors existing at two sites in the Massif Central that are registered or in search of inscription on the UNESCO World Heritage (“Les Causses et les Cévennes” and “La Chaîne des Puys - faille de Limagne”). After a brief description of the two sites, we have explained our positioning as regards the collective rather than the individual aspect in the construction of a representation of the landscape and around the organization and management of the landscape. We have then constructed a methodology that is inspired by this theoretical contribution. Thanks to it, we managed to conduct a hundred interviews which enabled us to identify and analyze on the sites the two networks in which the collective actors are organizing to integrate this new heritage stake in their representation of the landscape. This network organization materializes around a series of actions aimed to the management of the heritage, as well as support for livestock rising and the enhancement of agricultural production. Thus, we note that the process of patrimonialization contributes indirectly, by influencing the collective representation of agricultural space, to the evolution of agricultural practices which are themselves responsible for the construction of space
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Martin, Jean-Philippe. "Intégration du patrimoine géologique à la stratégie de développement local du Parc Naturel Régional du Massif des Bauges (France)." Mémoire, 2011. http://www.archipel.uqam.ca/3934/1/M11906.pdf.

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Abstract:
Ce mémoire de recherche s'inscrit dans le projet du Parc Naturel du Massif des Bauges de déposer une candidature au label Géopark. Ce label est attribué aux territoires qui utilisent leur patrimoine géologique exceptionnel afin de stimuler un développement local durable. Plus précisément, les objectifs étaient de faire l'inventaire du patrimoine géologique le long des sentiers de randonnées du massif des Bauges, de l'évaluer et de proposer des actions afin de le mettre en valeur. L'inventaire du patrimoine géologique s'est fait en deux étapes. Premièrement, une revue de la littérature et des rencontres avec les acteurs du territoire ont permis de dresser une liste des géosites importants du massif des Bauges. Deuxièmement, près de 250 kilomètres de sentiers ont été parcourus pour compléter l'inventaire des géosites. Une grille d'évaluation de ces géosites a ensuite été élaborée à partir des valeurs attribuées dans la littérature scientifique et de leurs principaux indicateurs. Une note a donc été donnée à chaque géosite, basée sur la valeur géoscientifique, la valeur esthétique, les valeurs ajoutées, l'efficacité pédagogique, ainsi que la facilité d'accès. Ces géosites ont été également classés selon six thèmes : l'eau et le karst, la géomorphologie structurale, les risques naturels, la géomorphologie glaciaire, la géologie régionale, ainsi que l'humain et la géologie. Deux conclusions ont ressorti. Premièrement, les géosites se situent pour la plupart dans trois secteurs distincts, chacun possédant du point de vue de sa géologie et de ses sentiers une « personnalité » qui le distingue. Le secteur de la montagne de Bange est caractérisé par son karst et sa valeur géoscientifique; le secteur de la combe d'Arclusaz, par son paysage structural et son efficacité pédagogique, et le secteur de Duingt, par ses valeurs ajoutées provenant de la relation entre la présence humaine et le relief. Chaque secteur devrait donc être aménagé en fonction de maximiser cette valeur. Deuxièmement, le PNR envisage la possibilité de créer des maisons thématiques sur le karst, le paysage structural et l'interrelation entre l'humain et la géologie. Chacune de ses maisons, dans son environnement projeté, est située à proximité du sentier mettant de l'avant cette thématique. Ceci est un argument de poids en faveur de la conception de ces maisons. Ce projet de recherche aura eu des retombées concrètes en participant à la création d'un Géopark et à la valorisation de différents usages possibles du relief et du paysage géologique. De plus, il aura permis de contribuer aux débats scientifiques sur les méthodes d'évaluation des géosites. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : patrimoine géologique, géotourisme, Géopark, Parc Naturel Régional, développement local
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