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Journal articles on the topic 'Paysages forestiers'

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Salomon, Waselin, Yannick Useni Sikuzani, Akoua Tamia Madeleine Kouakou, Yao Sadaiou Sabas Barima, Jean Marie Theodat, and Jan Bogaert. "Cartographie et quantification de la perte du couvert forestier dans les parcs nationaux du Sud de la République d'Haïti de 1985 à 2018 : rôle des activités agricoles locales." International Journal of Biological and Chemical Sciences 15, no. 2 (June 22, 2021): 477–96. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v15i2.9.

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Abstract:
En Haïti, les parcs nationaux ont été créés pour préserver les rares massifs forestiers qui sont constamment menacés par l'agriculture et l'élevage. Toutefois, des études scientifiques sur la dynamique paysagère des écosystèmes forestiers des parcs d’Haïti ont reçu peu d’attention. Cette étude a pour objectif de cartographier et quantifier la perte de couverture forestière dans les parcs nationaux naturels de la Forêt des Pins (PNN-FP2), de La-visite (PNN-LV) et de Macaya (PNN-M) de 1985 à 2018. Une analyse diachronique, grâce à la classification supervisée des images Landsat appuyée sur les outils d'analyse de l'écologie du paysage, a été réalisée. Les résultats montrent une dynamique paysagère matérialisée par des pertes du couvert forestier de 56%, 36% et 46% respectivement au sein du PNN-FP2, PNN-LV et PNN-M entre 1985 à 2018, à travers la dissection et la fragmentation des taches par opposition à la dynamique progressive des surfaces agricoles et du sol nu sous-tendue par la création et l'agrégation des taches. Les taux annuels de déforestation, importants entre 1998/1999-2017/2018, ont varié entre -0,09% et -2,72% selon les parcs. Etant donné que les paysages de ces trois parcs nationaux étudiés sont très dynamiques, il est urgent d'adopter une politique de leur conservation soutenue par des mesures de développement socio-économique local. Mots clés : Couverture forestière, pratiques agricoles, déforestation, ecologie du paysage, aires protégées, Haïti.
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Debarre, Marie Delcourte. "Reconstituer l’évolution des paysages forestiers." Histoire & mesure XXXII, no. 2 (December 31, 2017): 39–65. http://dx.doi.org/10.4000/histoiremesure.6112.

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3

Karsenty, Alain. "Is sustainable logging possible in Africa’s dense forest?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 336 (September 6, 2018): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2018.336.a31615.

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Abstract:
René Catinot, qui fut directeur des recherches forestières au CTFT (Centre Technique Forestier Tropical, qui deviendra le département Forêt du Cirad) et figure historique de la foresterie tropicale française, se posait cette question au début des années 1960. Dès leur arrivée en Afrique Tropicale, nous dit Catinot, « les Forestiers chargés de la gestion de la forêt dense ont cherché à la régénérer ». Les connaissances forestières de milieux tempérés sont insuffisantes face à des forêts qui comportent 200 à 300 espèces, mais qui contiennent nettement moins de bois qu’une forêt aménagée en zone tempérée. Un débat oppose alors les tenants d’une régénération naturelle à ceux de la régénération artificielle. Le problème de l’exploitation sélective tropicale, particulièrement en Afrique, est le faible taux de prélèvement qui limite l’arrivée de lumière au sol et empêche la germination nécessaire au renouvellement des espèces les plus appréciées commercialement, lesquelles sont souvent à tendance héliophile. Catinot est affirmatif « il ne faut pas compter sur la Nature seule pour la régénérer ». Les techniques sylvicoles s’emploient, dès lors, à favoriser ces espèces commerciales, soit en « stimulant la croissance des plants préexistants » (sylviculture utilisant la régénération naturelle), soit en « transplantant dans les forêts épuisées par l’exploitation des plants d’essences nobles préalablement produits en pépinière » (régénération artificielle). Le langage sur la « noblesse » des essences trahit les conceptions de l’époque. Le terme de « diversité biologique » n’apparaitra qu’en 1968 et il faudra encore quelques années pour comprendre que la biodiversité ne se limite pas à la somme des espèces, mais représente l'ensemble des interactions entre les êtres vivants. Que nous dit Catinot, qui exprime bien la pensée des forestiers tropicaux de l’époque ? La sylviculture utilisant la régénération naturelle, « c’est avant tout une destruction lente et prudente du couvert » en utilisant délianage, dégagement et empoisonnement des « espèces gênantes ». Quant à la régénération artificielle, « il faut bien détruire la forêt préexistante pour donner aux plants la lumière indispensable à leur croissance ». Ce langage serait inaudible aujourd’hui, à l’heure où l’on cherche à promouvoir « l’exploitation à faible impact » et où la certification Forest Stewardship Council « de bonne gestion forestière » (FSC) s’interroge sur la compatibilité de l’exploitation, même à faible impact, avec le maintien de « paysages forestiers intacts »...
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Kleinschroth, Fritz, Sylvie Gourlet-Fleury, Valéry Gond, Plinio Sist, and John R. Healey. "LOGGING ROADS IN TROPICAL FORESTS: SYNTHESIS OF LITERATURE WRITTEN IN FRENCH AND ENGLISH HIGHLIGHTS ENVIRONMENTAL IMPACT REDUCTION THROUGH IMPROVED ENGINEERING." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 328, no. 328 (July 20, 2017): 13. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.328.a31299.

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Abstract:
Les pistes forestières sont considérées comme des causes majeures de dégrada- tion des forêts en raison de leurs impacts directs et indirects sur le fonctionnement et la diversité des écosystèmes. Compte tenu de l’importance de l’exploitation forestière tropi- cale dans le monde, la bonne gestion de l’in- frastructure routière est cruciale pour réduire les impacts environnementaux associés à ces activités tout en réduisant les coûts des opé- rations. Notre étude visait à analyser comment la question des pistes de débardage avait été traitée dans la littérature scientifique. Des études publiées depuis 65 ans, la plupart en français, dans la revue Bois et Forêts des Tro- piques (BFT), ont été comparées à une série d’études plus récentes extraites des bases de données Scopus et Web of Knowledge. La moitié des articles BFT datent d’avant 1972, alors que les bases de données plus géné- ralistes indiquent une augmentation régu- lière, depuis cette date, du nombre d’articles publiés sur ce thème, qui atteint aujourd’hui un niveau record. Sur l’ensemble de la biblio- graphie, nous avons sélectionné, à des fins d’évaluation critique, 126 articles traitant des impacts et de la gestion des pistes forestières tropicales. Les articles de BFT se caractérisent par une attention particulière portée à des questions pratiques d’ingénierie, tandis que de nombreux articles rédigés en anglais se concentrent sur l’identification des impacts sur les écosystèmes forestiers. Les impacts environnementaux liés aux pistes forestières proviennent de la destruction du couvert pen- dant leur construction, de l’accroissement des effets de lisière, de l’érosion des sols, de la perturbation de la faune et de l’accès plus facile aux forêts pour la chasse et la colonisa- tion agricole. Nous présentons, sur la base de cette revue de la littérature, une liste de recommandations permettant de réduire ces impacts. En conclusion, nous constatons, que malgré l’intérêt continu pour le sujet des pistes forestières, nous savons très peu de choses sur leur devenir à long terme dans les paysages forestiers.
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Perrier, Alain, and Andrée Tuzet. "Rôle des paysages forestiers sur le cycle de l'eau." La Houille Blanche, no. 3 (June 2002): 43–48. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2002041.

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Perichon, Samuel. "Des paysages forestiers aux paysages arborés ? Le cas du lotissement agricole Velasco Ibarra (Churute Équateur)." Cahiers Agricultures 17, no. 5 (September 2008): 479–87. http://dx.doi.org/10.1684/agr.2008.0235.

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Sablayrolles, Philippe, Hildemberg Cruz, Marcelo Santos Melo, Isabel Garcia Drigo, and Plinio Sist. "Le potentiel de la production forestière paysanne en Amazonie brésilienne." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 315, no. 315 (March 1, 2013): 51. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.315.a20539.

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Abstract:
Dans l'État du Pará, 60 % des forêts destinées à l'aménagement sont des forêts paysannes. Les concessions forestières d'entreprise ne pourront fournir au mieux que la moitié de la consommation actuelle. À quelques exceptions près, les communautés traditionnelles et les familles paysannes n'ont ni l'expérience technique ni la capacité économique pour conduire l'exploitation commerciale des bois : l'aménagement est réalisé par le biais d'accords avec une entreprise, selon différentes modalités. Dans ce contexte, les contrats entre communautés et entreprise sont de nature très variée et aboutissent au contrôle total par les entreprises privées de toutes les opérations, du plan d'aménagement à l'exploitation. Les politiques publiques et la législation forestière cherchent aujourd'hui à améliorer les capacités des communautés locales à défendre leurs intérêts dans le cadre de tels partenariats. Cette étude analyse le cadre financier de l'entreprise par rapport à l'organisation paysanne pour son exécution, et les éléments clés qui permettent un meilleur contrôle : les inventaires pré- exploitation, la diversification de la production de bois d'oeuvre et de produits forestiers non ligneux, la commercialisation, le suivi et le contrôle des opérations d'exploitation. Il est proposé des pistes de politiques publiques qui doivent aider à la diffusion de l'aménagement paysan dans différentes contextes fonciers : unités de conservation et forêts de production, périmètres de colonisation agricole. L'article discute des modalités d'action et d'implantation d'un service public d'assistance technique et financière au profit des agriculteurs et des communautés. Le potentiel de l'intégration de la gestion forestière au sein des systèmes de production paysans est discuté dans le cadre du débat actuel de réforme du code forestier. (Résumé d'auteur)
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Durand, Aline, and Jean-Louis Vernet. "Anthracologie et paysages forestiers médiévaux : à propos de quatre sites languedociens." Annales du Midi : revue archéologique, historique et philologique de la France méridionale 99, no. 180 (1987): 397–405. http://dx.doi.org/10.3406/anami.1987.2160.

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Garrigue, Joseph, Laurent Larrieu, and Bernard Boisson. "« Que voit-on dans une forêt en libre évolution que l'on ne voit pas ailleurs ? », trois regards complémentaires." Revue forestière française 73, no. 2-3 (March 30, 2022): 137–60. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2021.5465.

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Abstract:
Le regard de Joseph Garrigue : chronique d’une observation naturaliste sensible. Le regard de Laurent Larrieu : des espaces forestiers en libre évolution : Pourquoi ? Où ? Comment ? Que dit la science ? Outre leur grande valeur patrimoniale intrinsèque, les forêts faiblement anthropisées offrent un refuge à la biodiversité spécifique des milieux forestiers, jouent un rôle important dans l’atténuation des effets du changement climatique et servent d’observatoires pour mieux comprendre le fonctionnement des écosystèmes forestiers naturels ainsi que de références pour développer une gestion basée sur l’imitation des processus naturels. La mise en libre évolution sur le très long terme d’espaces forestiers vise à augmenter la proportion de forêts faiblement anthropisées. Cette revue de littérature précise les caractéristiques que devraient avoir ces espaces forestiers pour pleinement jouer le rôle qui leur est assigné. Bien que les connaissances scientifiques sur le sujet soient encore fragmentaires, nous pensons qu’elles sont à ce jour suffisantes pour optimiser les initiatives de mise en place de surfaces en libre évolution par les gestionnaires de forêts. Le regard de Bernard Boisson : les forêts rendues à l'oubli pluriséculaire comme référentiels pour recentrer le progrès et réaccorder la société Les forêts en libre évolution ont une valeur de référentiel perceptuel pour inspirer et recentrer différemment toute gestion territoriale du plus rural au plus urbain. Cette prise de conscience nécessite l’inclusion de domaines de connaissances inhérents aux sciences humaines et aux approches culturelles sensibles en sachant que seule une humanité régulée est compatible avec une nature régulée et que cela implique la plus grande maturité interdisciplinaire entre nous tous. La nature non-domestiquée réveille l’humain inconditionné. Face à un mal-être social latent dans les paysages artificiels : « le déracinement humain dans des lieux déracinés », cette prise de conscience se révèle en grand antidote.
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AUCLAIR (D.), LECOUSTRE (R.), NAUDET (J.P.), and PICHARD (Gérôme). "Visualisation des paysages forestiers à partir des bases de données de l'IFN." Revue Forestière Française, no. 3-4 (2001): 468. http://dx.doi.org/10.4267/2042/5264.

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Rajaonarivelo, Herimino Manoa, O. Sarobidy Rakotonarivo, Stefana R. Aharijaona, Eric Raparison, Mirindra Rakotoarisoa, and Neal Hockley. "Revue des textes fonciers et forestiers pour la mise en œuvre de la restauration des paysages forestiers à Madagascar." Madagascar Conservation & Development 16, no. 1 (February 11, 2022): 32–42. http://dx.doi.org/10.4314/mcd.v16i1.4.

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Abstract:
La restauration des paysages forestiers (RPF) vise à restaurer la fonctionnalité du paysage au profit des populations locales, du climat et de la biodiversité. Elle requiert une gouvernance foncière efficace. Cette étude analyse les inconsistances et limites des stratégies nationales et textes juridiques par rapport à l’efficacité de la RPF et avance des recommandations politiques. Notre analyse montre que la loi malgache encourage le reboisement sur terre dégradée dont le domaine de l’État qui n’est pas délimité et souffre d'empiétement. Le succès du reboisement implique la délimitation de ces domaines, l’allègement des procédures pour les acquérir par les communautés locales ainsi que l'inclusion de ces dernières. Une révision des zones forestières sous régime forestier de l’État et des Collectivités Territoriales Décentralisées est aussi requise. Quant aux forêts naturelles, l’incertitude concernant leur statut et les droits des communautés rendent leur restauration très complexe. Nous recommandons que le projet de loi régissant ces terrains à statut spécifique considère plus explicitement la pluralité et la complexité de leur gestion et l’amélioration du droit des communautés locales et du Fokonolona. L’apport de bénéfices concrets aux communautés locales permettrait également de garantir la pérennisation des activités de RPF. Enfin, la restauration effective des zones agroforestières telles que les pâturages est parmi les motifs clés justifient la nécessité de reconnaître légalement et formellement les Fokonolona et les pratiques coutumières. La synergie des cadres juridiques et politiques des différents secteurs est essentielle pour assurer l’efficacité écologique et sociale de la RPF. Forest landscape restoration (FLR) aims to restore landscape functionality for the benefit of people, climate and biodiversity. Increasingly, land tenure and rights are being considered as important enabling factors in FLR. This study analyses tenure considerations in Madagascar’s legal texts and FLR policies, outlines their inconsistencies and potential limits in achieving FLR aims, and advances policy recommendations. We found that the current legal texts and framework present several inconsistencies that might impede the effectiveness of FLR in delivering positive environmental and social outcomes. Our analyses demonstrate that most of the target areas for reforestation prescribed by national guidelines are not physically demarcated on the ground and are frequently occupied by local people. This implies that reforestation on degraded lands and its upscaling urgently requires the identification and delimitation of these target lands, and greater involvement of local communities. There are incentives for private individuals or groups to plant trees in return for formalizing their land rights on these target areas, but procedures are very complex, and this has delivered little. To increase the positive impacts on local livelihoods and local uptake, we recommend reducing the complexity of devolving ownership rights of these reforested lands to the local community. A review of forest areas legally vested in the forest regime of the state and de centralized local authorities is also required to promote local participation and reduce potential land conflicts. Regarding natural forests, uncertainties around their legal status and the rights of communities make their restoration very complex. We recommend that the law that is currently being drafted to define the tenure status of these lands explicitly takes into account the plurality and complexity of their management and considers the rights of local communities more explicitly to secure their cooperation. In addition, the sustainability of FLR activities in the long term relies on delivering tangible economic benefits to local communities besides access rights, especially where ecological restoration of native species is prioritized. Currently, these benefits are mostly anticipated from payments for ecosystem services schemes which have not so far materialized. The FLR national strategy and draft law concerning the restoration of agroforestry areas such as pastures do not currently make any provision for the recognition of the Fokonolona (the village community) or customary practices. This may seriously undermine local communities’ rights and risk encouraging land grabbing by more powerful entities. Inconsistencies in legal texts can undermine the effectiveness of the forest restoration in terms of hectares restored, it can also result in poor outcomes for local people. Finally, a greater synergy and coherence of public policies and legal texts across the land management, mining, agricultural and environmental sectors is required to increase the effectiveness of FLR in delivering positive social and environmental outcomes.
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RAMEAU, J. C., and L. OLIVIER. "La biodiversité forestière et sa préservation. Intérêt patrimonial de la flore, de la végétation et des paysages forestiers." Revue Forestière Française, S (1991): 19. http://dx.doi.org/10.4267/2042/26270.

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Morin-Rivat, Julie. "Des arbres et des hommes : nouvelles perspectives sur les relations entre l’Homme et son environnement dans les forêts humides d’Afrique centrale à l’Holocène récent." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 335 (March 15, 2018): 73. http://dx.doi.org/10.19182/bft2018.335.a31501.

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Abstract:
Traditionnellement, les études paléoécologiques menées en Afrique centrale ont documenté l’évolution de la végétation, en particulier le rôle du climat dans le façonnage des paysages forestiers tropicaux. Ces études restent néanmoins peu nombreuses, en raison des conditions d’accès au terrain et de la grande diversité en matière d’espèces végétales. En outre, la relation entre l’homme et son environnement y demeure un champ d’investigation relativement récent. Conduite dans une optique pluridisciplinaire, entre archéologie et écologie, cette thèse s’intéresse aux activités humaines passées dans le nord du bassin du Congo et à leur impact sur les forêts telles que nous les voyons aujourd’hui. L’analyse du cadre spatio-temporel des activités anthropiques dans l’Intervalle de la Sangha montre l’ampleur du manque de connaissances sur cette présence humaine. Elle souligne également l’absence d’occupations humaines entre ~1300 et 600 BP dans la zone d’étude. Une méthodologie est donc proposée pour combler ces lacunes, basée sur l’acquisition et l’analyse statistique des restes botaniques carbonisés trouvés dans les sols. Les résultats montrent une opposition spatiale entre espaces domestiques et agricoles. La combinaison d’endocarpes de palmier à huile carbonisés et de tessons de céramique indiquerait la présence de villages, tandis que la présence de charbons de bois supposerait davantage l’existence de champs. Par ailleurs, le rassemblement et l’analyse d’importants jeux de données (i. e. paléoécologiques, archéologiques, historiques et dendrologiques), centrés sur l’Intervalle de la Sangha et couvrant le dernier millénaire, soulignent l’effet des changements d’usage des terres sur la régénération de quatre populations d’arbres héliophiles actuellement exploités pour leur bois (Erythrophleum suaveolens, Pericopsis elata, Terminalia superba et Triplochiton scleroxylon). Les résultats mettent particulièrement en exergue le rôle de la colonisation européenne à partir de la deuxième moitié du 19e siècle dans ces changements, et le déficit de régénération de ces populations d’héliophiles depuis cette période. Ainsi, ce travail souligne l’importance de la chronologie, de l’identification des activités humaines passées au sein des forêts denses humides et de l’impact de l’histoire humaine récente sur les paysages forestiers d’Afrique centrale. Enfin, nous identifions plusieurs lacunes et proposons des pistes de recherche, notamment en direction des gestionnaires forestiers.
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Razafintsalama, Voahiraniaina, Tahiana Ramananantoandro, Christophe Belloncle, Gabrielle L. Rajoelison, and Jean-Pierre Sorg. "Utilisations villageoises et potentialités technologiques des bois de forêts secondaires dans le Menabe central, Madagascar." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 320, no. 320 (March 17, 2014): 59. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.320.a20544.

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Abstract:
Les forêts secondaires sont actuellement des composantes importantes de nom- breux paysages forestiers. Dans le Menabe central, au Sud-Ouest de Madagascar, la valorisation des forêts secondaires permet de mieux assurer le maintien des forêts pri- maires qui ont tendance à se raréfier et qui sont actuellement intégrées dans un sys- tème de gestion plus stricte à travers la mise en place d’une aire protégée. Cette étude a été menée pour mieux connaître les utilisations villageoises et les potentialités des forêts secondaires dans la région du Menabe. L’approche socio-économique a permis d’identifier trois types d’utilisations des bois prélevés dans les forêts secon- daires : les constructions permanentes, les constructions légères et les sources d’éner- gie. Trois espèces de forêts secondaires ont été identifiées comme prioritaires dans les choix des villageois : Rhopalocarpus luci- dus, Ziziphus mauritiana et Grewia picta. L’analyse des caractères physico-méca- niques des bois de ces trois espèces a mis en évidence des propriétés technologiques intéressantes, comparables aux quatre espèces de référence devenues rares ou absentes dans leur zone de prélèvement : Hernandia voyroni, Dalbergia spp., Cedre- lopsis grevei, Commiphora mafaiboa. Ces forêts secondaires méritent désormais d’être prises en compte et valorisées dans le cadre des politiques de gestion forestière au niveau national et international pour assurer leur durabilité.
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Rompré, Ghislain, Yan Boucher, Louis Bélanger, Sylvie Côté, and W. Douglas Robinson. "Conservation de la biodiversité dans les paysages forestiers aménagés : utilisation des seuils critiques d’habitat." Forestry Chronicle 86, no. 5 (September 1, 2010): 572–79. http://dx.doi.org/10.5558/tfc86572-5.

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Abstract:
In Canada, as in other large forested countries of the world, managers and scientists alike question what can happen to forest biodiversity under long-term industrial forest management. Recent studies may help us understand how species react when habitat is lost past a certain threshold in the landscape. In the case of population, a “critical threshold for habitat” does exist in forested habitat, which is defined by the minimal proportion of habitat needed to be preserved to avoid drastic population declines or massive species loss. In this paper, two types of thresholds are described, the first refers to population, and the second refers to the community of species. Many ecologists agree with the assumption that the specialist, sensitive species are the first to disappear (local extirpation for specialist species). For most species with large home range (such as birds), the threshold may generally be located between 30% and 40% of the habitat still remaining, compared to the proportion observed under a natural disturbance regime. We suggest, in order to protect the most sensitive species and to deal with uncertainty associated with thresholds, to maintain at least 40% of residual habitats. Although there is still much to understand concerning these thresholds, we nevertheless recommend their use for the diagnostic analysis that must be performed in the context of forest management planning and biodiversity conservation, as these thresholds could represent the minimal proportion of habitat to preserve integrity of the forest ecosystem. However, to be effective, the application of thresholds should be based on detailed knowledge of ecosystem characteristics and dynamics. Key words: ecological threshold, forest management, forest ecosystem, habitat loss, mature and old forests, population, community, biodiversity, conservation
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BOURGOIN, Clément. "Un cadre d'évaluation de la vulnérabilité écologique des forêts dans les fronts de déforestation tropicaux à partir de l'évaluation de la dégradation des forêts dans une approche paysagère : études de cas au Brésil et Vietnam." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 346 (January 13, 2021): 81–82. http://dx.doi.org/10.19182/bft2020.346.a36294.

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Abstract:
La conservation du couvert forestier tropical est essentielle pour assurer la fourniture durable de services écosystémiques. Cependant, l'accroissement de la population, la demande de produits agricoles et les changements dans l'utilisation des terres affectent leur durabilité. L'objectif de cette thèse est de développer une approche multidimensionnelle pour évaluer la dégradation des forêts et les relations avec la dynamique de l'utilisation des terres afin d’estimer leur vulnérabilité. La thèse a été appliquée à Paragominas (Brésil) et Di Linh (Vietnam). À Paragominas, la dégradation est directement liée à l’exploitation sélective du bois et au feu, impliquant des changements dans la structure forestière. Grâce aux outils de télédétection, nous avons cartographié la biomasse forestière aérienne à partir de données de stock de carbone et avons étudié les conséquences de la dégradation sur les structures forestières. Nous avons aussi constaté que 58 % de la dégradation était expliquée par l’analyse des changements d’occupation du sol. La distribution des forêts dégradées est pilotée par la fragmentation issue de l’expansion du soja mais est aussi associée à la déforestation récente et aux pratiques de culture sur brûlis. À Di Linh, la dégradation est due à l'empiètement de la culture de café. L'inventaire des différents types d’occupation du sol, combiné aux images Sentinel-2, a permis de cartographier la couverture du sol actuelle. Nous avons construit des trajectoires de dynamique paysagère afin de caractériser l'expansion de la frontière agricole. Nous avons identifié des trajectoires de dégradation et de fragmentation qui affectent le couvert forestier à différentes intensités. Ensemble, ces indicateurs ont mis en évidence des points chauds de vulnérabilité. Grâce aux approches et aux indicateurs de télédétection développés à l'échelle de la forêt et du paysage, nous avons fourni un diagnostic holistique des forêts dans les paysages modifiés par l'homme. Cette thèse vise à ouvrir la voie à une gestion adaptée et prioritaire des forêts dégradées à l'échelle du paysage.
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Günter, Sven, Michael Weber, Bernd Stimm, and Reinhard Mosandl. "Lier la sylviculture tropicale à la gestion forestière durable." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 314, no. 314 (December 1, 2012): 25. http://dx.doi.org/10.19182/bft2012.314.a20487.

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Abstract:
Depuis l'émergence du concept de la " gestion durable des ressources " dans les dernières décennies du XXe siècle, les aspects écologiques, technologiques et socio-économiques constituent les piliers de la gestion forestière durable. Alors que la production de bois et de produits forestiers non ligneux (PFNL) a longtemps été l'objectif premier de la gestion forestière, la demande de services forestiers écologiques s'accroît aujourd'hui en parallèle. Cependant, les systèmes de gestion forestière tropicale ont été conçus pour la plupart il y a fort longtemps, avec pour but principal la production de bois. Cet article présente une approche en six étapes pour passer de la sylviculture tropicale classique axée sur la production de bois à des approches plus globales visant à assurer une gestion réellement durable des ressources forestières. Cet objectif est particulièrement important sous les tropiques, où la production de bois est désormais menacée par un rythme de déforestation alarmant et par l'importance accrue des ressources forestières pour assurer la subsistance des populations locales. L'augmentation des superficies forestières concurrence fortement les autres objectifs d'utilisation des terres, et l'intensification permettant d'accroître la production à l'hectare est donc une approche prometteuse pour résoudre ce problème majeur, par exemple par la mise en oeuvre des techniques sylvicoles à rotations courtes, la domestication d'essences ou l'aménagement des sites. La diversification des structures et des services forestiers est une stratégie complémentaire importante visant à remédier à la dégradation éventuelle des forêts et aux pénuries d'autres biens ou services, et de ce fait à contribuer à la gestion durable à l'échelle d'un paysage. Les échelles de gestion, temporelles et spatiales, doivent donc être adaptées aux besoins des exploitants forestiers individuels (pour la production de bois, par exemple) mais aussi à ceux de la collectivité (eau, biodiversité, stockage du carbone...). La gestion forestière durable dépend fortement de son acceptation par l'ensemble des intéressés, et les approches participatives peuvent y contribuer de façon significative. Cet article présente des exemples montrant comment l'intégration de la sylviculture et de la gestion forestière permet, en englobant tous les aspects indiqués ci-dessus, de contrer la gestion de conception purement extractive pour aboutir à une approche sylvicole moderne en termes de gestion adaptive de l'écosystème. L'autonomie des acteurs sociaux et des mécanismes de marché opérationnels pour les produits et services autres que le bois sont des éléments incontournables de la planification sylvicole moderne, mais n'ont aucune utilité pour la gestion forestière durable tant qu'ils ne s'accompagnent pas d'une solide connaissance des fonctions et processus écologiques et d'une bonne compréhension des impacts des interventions humaines. La sylviculture tropicale et la gestion durable des forêts dépendent l'une comme l'autre de la connaissance des écosystèmes et de son application pratique sur le terrain.
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Lescuyer, Guillaume, and Julienne Nadège Essoungou. "Gestion forestière multi-usages en Afrique centrale : perceptions, mises en oeuvre et évolutions." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 315, no. 315 (March 1, 2013): 29. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.315.a20536.

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Abstract:
Quoique la gestion forestière multiusages (Gfmu) soit promue par les codes forestiers d'Afrique centrale, cette approche reste mal comprise et peu mise en oeuvre pour les forêts de production et les forêts communautaires. L'article présente les résultats de 62 entretiens avec des personnes impliquées dans la gestion forestière au Cameroun, au Gabon et en République démocratique du Congo, et fait ressortir trois interprétations de la Gfmu : une exploitation durable du bois intégrant secondairement les usages des autres acteurs ; une utilisation coutumière des ressources par les populations locales ; une gestion planifiée et formelle de la diversité des biens et fonctions fournis par ces écosystèmes. L'analyse détaillée de huit études de cas montre en pratique que l'aménagement durable de la forêt se focalise presque toujours sur l'exploitation du bois ; quoique l'utilisation du gibier et la collecte des produits forestiers non ligneux soient systématiquement mentionnés dans les documents d'aménagement. À l'inverse, les services environnementaux - séquestration du carbone, protection des bassins versants - ou les biens publics y sont quasi absents. L'inscription de différents usages dans les documents de gestion ne suffit toutefois pas pour qu'ils soient toujours mis en oeuvre sur le terrain. Trois pistes sont explorées pour renforcer l'application de la Gfmu dans le bassin du Congo : concevoir la Gfmu à l'échelle du paysage et non à celle du massif forestier ; améliorer le contenu des documents d'aménagement forestier pour y inclure et valoriser l'ensemble des usages de la forêt ; renforcer le contrôle de l'application effective des documents de gestion, grâce à la certification ou à un meilleur contrôle du respect de la légalité.
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Godard, Vincent. "Typologie des paysages forestiers du sud du massif de Fontainebleau après la tempête de décembre 1999." Revue internationale de géomatique 15, no. 3 (September 30, 2005): 281–302. http://dx.doi.org/10.3166/rig.15.281-302.

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Solly, Boubacar, El Hadji Balla Dieye, Issa Mballo, Oumar Sy, Tidiane Sane, and Mamadou Thior. "Dynamique spatio-temporelle des paysages forestiers dans le Sud du Sénégal : cas du département de Vélingara." Physio-Géo, Volume 15 (January 2, 2020): 41–67. http://dx.doi.org/10.4000/physio-geo.10058.

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Solly, Boubacar, El Hadji Balla Dieye, Issa Mballo, Oumar Sy, Tidiane Sane, and Mamadou Thior. "Dynamique spatio-temporelle des paysages forestiers dans le Sud du Sénégal : cas du département de Vélingara." Physio-Géo, Volume 15 (March 12, 2020): 41–67. http://dx.doi.org/10.4000/physio-geo.10634.

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Cousseau, P. "Les paysages et l 'organisation de l'espace autour des massifs forestiers entre Cholet et Argenton-Château." Cahiers du Centre nantais de recherche pour l'aménagement régional 25, no. 1 (1985): 107–24. http://dx.doi.org/10.3406/canan.1985.1362.

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Plaisance, Georges. "Évolution des paysages forestiers et arborés en Bourgogne et Franche-Comté de l'an mille à nos jours." Hommes et Terres du Nord 2, no. 1 (1986): 190–95. http://dx.doi.org/10.3406/htn.1986.2068.

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Veluk Gutierrez, Felipe, Ronnie De Camino, and Alejandro Imbach. "Cartographie des aires prioritaires pour la restauration des paysages forestiers et l'amélioration des moayens de subsitance ruraux sur l'Altiplano de San Marcos au Guatemala." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 313, no. 313 (September 1, 2012): 73. http://dx.doi.org/10.19182/bft2012.313.a20498.

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Abstract:
Le projet de recherche a été mené au sein de trois petits bassins versants localisés dans l'altiplano du département de San Marcos, dans la région Sud-Ouest du Guatemala. L'objectif principal était d'analyser les attributs spatiaux du territoire et de cartographier les aires prioritaires pour aider les parties prenantes aux prises de décision de mise en oeuvre de futurs efforts régionaux de développement, d'aménagement et de conservation des ressources naturelles. Ce travail a pris en compte différents outils et approches techniques tels que: la restauration du paysage forestier (Rpf), les milieux de vie durables, les services écosystémiques, le système d'information géographique (Sig) et l'analyse décisionnelle avec de multiples critères spatiaux. Cette cartographie a identifié et mis en exergue trois lignes stratégiques de Rpf en accord avec chaque modèle spatial ainsi créé, qui sont par ordre d'importance croissante, l'aménagement et la conservation des résidus forestiers, le reboisement ou la régénération de terres dégradées et, surtout, la mise en place de systèmes agroforestiers. Chaque modèle a été établi à partir d'attributs géographiques spécifiques en accord avec les besoins élémentaires des moyens de vie et aussi à partir des données spatiales disponibles. En outre, différents services écosystémiques ont été mis à profit pour orienter la construction de la structure cartographique, parmi lesquels: l'approvisionnement en bois énergie et bois d'oeuvre, la régulation hydrique, la protection des sols et la réduction des risques de glissement de terrain et le gel, la production/sécurité alimentaire et la conservation de la biodiversité. Le Sig s'est avérée être un outil assez puissant et innovant pour comprendre et intégrer le large et complexe réseau de facteurs et/ou lignes de force (mosaïque d'usage du sol, moyens de vie locaux, relations et enjeux sociaux, parmi d'autres caractéristiques géographiques) qui définissent le paysage et ses habitants et consolident ainsi les futurs efforts ou plans régionaux de Rpf. L'analyse spatiale et l'identification d'aires prioritaires à choisir pour la Rpf constituent ainsi les éléments clés d'appui auprès des responsables locaux et des décideurs en vue de l'usage optimal de leurs ressources techniques et financières afin d'élaborer un avenir le plus durable possible vis-à-vis des communautés et de leur environnement.
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Coops, Nicholas C., Alexis Achim, Paul Arp, Christopher W. Bater, John P. Caspersen, Jean-François Côté, Jeffery P. Dech, et al. "Progrès dans l’application de la télédétection pour les besoins en matière d’information sur les forêts au Canada : leçons tirées d’une collaboration nationale d’intervenants universitaires, industriels et gouvernementaux." Forestry Chronicle 97, no. 02 (June 2021): 127–47. http://dx.doi.org/10.5558/tfc2021-015.

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Abstract:
Le secteur forestier canadien a besoin d’information détaillée au sujet de la quantité et des caractéristiques des ressources forestières. Pour répondre à de tels besoins, des systèmes d’inventaire exacts, complets et opportuns qui quantifient spatialement le bois d’œuvre et les autres services écosystémiques liés aux forêts sont nécessaires. Le projet quinquennal AWARE (Assessment of Wood Attributes using Remote sEnsing [évaluation des attributs du bois à l’aide de la télédétection]) était une collaboration entre sept universités canadiennes et sept entreprises forestières soutenue par des organismes forestiers provinciaux et fédéraux et d’autres organismes sans but lucratif-axés sur la foresterie. AWARE a fourni des méthodes et des outils pour améliorer la caractérisation des forêts à une échelle nationale, du paysage et de l’arbre individuel. Vingt-quatre boursiers de recherches postdoctorales et étudiants au doctorat et à la maîtrise se sont associés au projet et ont examiné les rôles que les technologies de télédétection tridimensionnelle (3D) de pointe peuvent jouer dans la conception de systèmes d’inventaire forestier précis partout au Canada. Dans le présent article de revue, nous nous penchons sur le projet de recherche AWARE, les points saillants de la recherche, les résultats clés et les besoins futurs en recherche et présentons une évaluation des réussites et des défis auxquels le projet a été confronté au cours de ses cinq ans.
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Simenel, Romain, Mohammed Aderghal, Mohamed Sabir, and Laurent Auclair. "Cairn, borne ou belvédère ? Quand le naturalisme et l'analogisme négocient la limite entre espace cultivé et forêt au Maroc." Anthropologica 58, no. 1 (May 5, 2016): 60–76. http://dx.doi.org/10.3138/anth.581.a04.

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Abstract:
À partir des usages et représentations que les services forestiers et les communautés du Maroc rural se font du cairn, monticule rocheux servant de borne, le propos de cet article est de montrer comment l'ontologie naturaliste véhiculée par le code forestier s'oppose à l'ontologie analogique locale sur le statut à donner à la frontière entre espace cultivé et forêt. Pour le code forestier, le cairn se résume strictement à une borne de cadastre fidèle à une optique de topographe dans le cadre d'une organisation technocratique de l'espace. L'usage que les communautés du Maroc rural se font des cairns est bien plus polyvoque. Si délimiter est une des fonctions attribuées au cairn, il est aussi perçu comme une borne d'étape de saint, comme un point de rencontre entre le monde des humains (l'espace cultivé) et celui des génies (la forêt), comme un belvédère et comme un lieu rituel. Alors que le code forestier se limite à voir dans le cairn un outil pour transposer une rationalité de droits dans le territoire, les communautés l'inscrivent dans une sémiotique de l'espace. Malgré ces écarts de points de vue, dans la pratique les cairns de domanialisation de la forêt s'avèrent être des points de négociation des ontologies résultant des interactions complexes entre forestiers et paysans. Dans la région d'Essaouira, l'appropriation symbolique de l'intervention du forestier par les communautés berbérophones se réalise par l'investissement rituel du bornage domanial par les femmes. Au final, l'article tentera de démontrer que la négociation des ontologies autour du cairn a pour effet l'hybridation des modalités de gestion forestière, et donc des politiques publiques.
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Poulin, Ghislain. "La fréquentation différentielle d’une aire de camping en forêt : un indice et une application." Cahiers de géographie du Québec 24, no. 62 (April 12, 2005): 327–36. http://dx.doi.org/10.7202/021476ar.

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Abstract:
Les techniques de mesure de la fréquentation sont variées et, souvent, elles ne permettent pas de distinguer la fréquentation d'un lieu, de l'attraction exercée par celui-ci, et, si l'on y parvient, il est alors presqu'impossible d'associer les attributs préférés du paysage végétal aux préférences énoncées par les utilisateurs. L'indice de fréquentation différentielle élaboré ici permet non seulement de démontrer l'existence d'inégalités dans la fréquentation des sites, mais aussi d'associer ces inégalités de la fréquentation aux attraits du milieu forestier ambiant. En effet, la distribution spatiale de ces inégalités d'attraction n'est pas attribuable au seul fait du hasard. Au contraire, ces inégalités sont réparties d'une manière organisée, et leur appartenance à un type de communauté forestière contribue certainement à leur explication. Cette appartenance n'est pas le seul facteur explicatif de l'attraction. Toutefois, bien que la recherche ait porté sur plus d'une vingtaine de paramètres tant physiques, spatiaux que forestiers, cet article se limite uniquement à présenter l'indice de fréquentation différentielle mis au point et, à faire la preuve de l'existence de ce lien entre l'attraction d'un site de camping et son milieu forestier ambiant.
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Tremblay, Junior A., Louis Bélanger, Mireille Desponts, and Geneviève Brunet. "La restauration passive des sapinières mixtes de seconde venue : une alternative pour la conservation des sapinières mixtes anciennes." Canadian Journal of Forest Research 37, no. 4 (April 2007): 825–39. http://dx.doi.org/10.1139/x06-263.

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Abstract:
Les méthodes actuelles d’exploitation forestière tendent à diminuer la proportion de forêts anciennes et à fragmenter le paysage forestier, ce qui peut causer des inconvénients à certains groupes d’espèces associés à ces habitats. Pour pallier ce problème de conservation dans un paysage qui comporte peu de forêts anciennes, certains types de peuplements qui ont un bon potentiel de restauration écologique pourraient être considérés dans les stratégies de conservation. Dans cette étude, la structure et la biodiversité de sapinières mixtes de seconde venue qui ont subi une épidémie de tordeuse des bourgeons de l’épinette ( Choristoneura fumiferana (Clem.)), de 1974 à 1986, ont été analysées quant à leur ressemblance à celles de sapinières mixtes anciennes. Trois critères structuraux ont été analysés et deux groupes reconnus pour contenir des espèces indicatrices de forêts anciennes ont été retenus, soit les plantes invasculaires et champignons saprophytes et les oiseaux forestiers. Les sapinières mixtes de seconde venue présentent des caractéristiques structurales qui s’apparentent à celles des sapinières mixtes anciennes et comportent des espèces appartenant à des groupes indicateurs de forêts anciennes. Ainsi, les sapinières mixtes de seconde venue étudiées démontrent une résilience et possèdent un potentiel de restauration de forêts anciennes.
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Meyer, Colette. "CARTOGRAPHIE DU CHÂTAIGNIER EN ALSACE PAR IMAGERIE SATELLITE MULTI-DATE." Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection 1, no. 211-212 (December 6, 2015): 25–31. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2015.538.

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Abstract:
Parmi toutes les essences qui peuplent la forêt alsacienne, le châtaignier est considéré comme un arbre d’avenir face aux enjeux du réchauffement climatique. Cette essence a fait l’objet d’une étude particulière dans le cadre d’un projet franco-allemand intégré au programme européen Interreg IV A Rhin supérieur. D’une durée de trois ans, cette étude avait pour objectif de développer des stratégies de préservation et de valorisation de ces châtaigneraies. Elle a ainsiporté sur la conservation des paysages forestiers, sur la valorisation du bois et des fruits, ainsi que sur la préservation des châtaigneraies face au chancre qui menace les peuplements.Dans le cadre de ce programme, le SERTIT a développé une méthode pour produire une cartographie détaillée et à jour des zones de châtaigniers sur toute l’Alsace. La méthodologie pour distinguer les châtaigniers des autres essences forestières a été développée à partir d’un choix ciblé d’images satellites acquises à différentes saisons et des données de terrain de placettes géo localisant des châtaigneraies. Ainsi des images SPOT5 et ALOS AVNIR-2 multi-temporelles couvrant différentes phases du cycle de développement annuel du châtaignier (au printemps et en été) ont été utilisées.L’étude est basée sur une analyse des caractéristiques spectrales pour les principaux feuillus à partir d’échantillons de terrain pour les différentes images. Ainsi, l’analyse des signatures spectrales a permis d’identifier les images permettant une différenciation des châtaigniers, ce sont celles acquises au début du printemps et en été. Elles correspondent aux caractéristiques particulières propres à cette essence qui sont son développement foliaire tardif par rapport aux autres feuillus et sa floraison abondante. Les résultats de cette cartographie générée sur l’ensemble de la région Alsace ont été validés lors de campagnes de terrain, cette validation qui n’a été que partielle a pourtant montré une bonne précision de détection des peuplements de châtaigniers matures qui est de 85%.
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Clément, Vincent. "Pays et paysages forestiers de Vieille Castille (XIe-XXe siècle)//Countries and forest landscapes of Old Castille (XI-XX centuries)." Annales de Géographie 108, no. 609 (1999): 651–55. http://dx.doi.org/10.3406/geo.1999.2075.

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Barrette, Martin, and Louis Bélanger. "Reconstitution historique du paysage préindustriel de la région écologique des hautes collines du Bas-Saint-Maurice." Canadian Journal of Forest Research 37, no. 7 (July 2007): 1147–60. http://dx.doi.org/10.1139/x06-306.

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Abstract:
L’aménagement écosystémique nécessite une bonne connaissance de base des écosystèmes vierges et de leur fonctionnement. Toutefois, dans la plupart des régions du Québec, le paysage forestier d’origine a été altéré par les activités humaines. Afin de valider la gestion des écosystèmes effectuée en Basse-Mauricie, le paysage préindustriel des hautes collines du Bas-Saint-Maurice a été caractérisé par l’analyse de 18 inventaires forestiers de l’industrie des pâtes et papiers datant du début du 20e siècle. L’analyse de ces inventaires a révélé la prédominance des peuplements au stade mature ayant une structure diamétrale irrégulière. Les deux tiers de ces peuplements étaient de type mélangé, alors qu’une très faible proportion des peuplements matures était de type feuillu. Le volume résineux était principalement constitué de sapin baumier ( Abies balsamea (L.) Mill.) et d’épinettes rouge ( Picea rubens Sarg.) et noire ( Picea mariana (Mill.) BSP). Enfin, l’analyse des inventaires historiques nous indique l’existence, dans le paysage préindustriel, d’un régime de perturbations mixte où les feux et les épidémies d’insectes sévères coexistaient avec les perturbations partielles. Dans une perspective plus large, cette étude a démontré l’importance et l’utilité pour l’aménagement écosystémique de conserver les archives d’inventaires forestiers, car dans bien des cas, celles-ci constituent les seules références au paysage préindustriel.
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Peltier, Regis. "Quelle place pour l’agroforesterie dans l’avenir des forêts tropicales ?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 341 (August 20, 2019): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.341.a31769.

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Abstract:
Avec une population estimée à dix milliards d’habitants dans quelques décennies, l’avenir du monde intertropical sera obligatoirement entre les mains des êtres humains. Ceux-ci protégeront une petite partie des forêts dites naturelles afin d’essayer d’y conserver la biodiversité qu’elles abritent ; ils géreront de façon plus productive une autre partie, ce qui passera très probablement par une simplification de leur diversité, dans la mesure où l’on favorisera les espèces les plus productives, les plus faciles à régénérer et dont les produits seront faciles à industrialiser et à vendre.Et entre la forêt protégée et la forêt aménagée, que restera-t-il ? Des plantations monospécifiques de bananiers, de riz, de cacaoyers, de coton ? Mais alors, comment les espaces forestiers pourront-ils évoluer en échangeant du matériel génétique, s’adapter aux changements climatiques, résister aux maladies nouvelles, etc. ?Les écologues estiment que la forêt ne pourra survivre que s’il existe des liens de continuité entre les massifs forestiers. La connectivité écologique ne pourra que très rarement être assurée par des corridors forestiers continus. L’existence d’îlots forestiers discontinus mais proches et à distance régulière permet le passage en « pas japonais » de nombreuses espèces végétales et animales, mais pas de toutes. Les micro-organismes et la macrofaune des sols forestiers ne peuvent se déplacer qu’à la condition d’une certaine continuité dans la trame arborée. Celle-ci n’est possible que par la présence d’arbres dans les zones cultivées, voire urbanisées. L’agroforesterie est la voie la plus prometteuse pour assurer cette continuité écologique.L’agroforesterie consiste à associer des arbres avec l’agriculture et/ou l’élevage, au niveau des parcelles, des exploitations ou des paysages. Les systèmes traditionnels, à faibles niveaux d’intrants, étaient et sont encore agroforestiers ; mais l’agriculture industrielle à hauts niveaux d’intrants (cf. mécanisation du travail, apport d’engrais, d’herbicides, de semences très améliorées, voire génétiquement modifiées) a, en général, exclu l’arbre des parcelles.Aujourd’hui, de nombreux agronomes, pastoralistes et forestiers travaillent ensemble pour appuyer techniquement et politiquement le retour des arbres dans l’espace agricole et pastoral.La diffusion à grande échelle de méthodes standardisées, mises au point en station de recherche, a rarement marché en milieu tropical. Par exemple, la culture en couloirs, mise au point par l’Icraf1 dans ses stations du Kenya au cours des années 1980, n’a pas été adoptée par les agriculteurs. Elle nécessitait trop de travail pour rabattre régulièrement les rejets d’arbres et limiter le développement de leurs racines, sans résoudre le problème de l’acidification des sols.Croire que l’agroforesterie permettra de stopper les défrichements forestiers par les agriculteurs essarteurs (sur abattis-brûlis) est également une erreur d’analyse. Il est certes vrai que l’agroforesterie permet aux agriculteurs qui la pratiquent de récolter chez eux de nombreux produits qu’ils récoltaient autrefois en forêt ; elle facilite également la culture continue sur le même sol, sans avoir à défricher de nouvelles forêts. Cependant, tant que les gouvernements laisseront les agriculteurs s’approprier des terres en défrichant la forêt publique, puis en la brûlant et en la mettant en culture, ceux-ci continueront à utiliser cette pratique qui permet d’étendre son capital foncier et de cultiver, avec peu de travail et une bonne production, pendant au moins une trentaine d’années.Les systèmes agroforestiers, qui permettent de répondre à presque tous les besoins d’une famille sur une surface limitée, nécessitent une bonne technicité pour limiter les concurrences entre espèces végétales et animales, récolter les différents produits – il est par exemple difficile d’abattre un arbre, pour en récolter son bois, sans écraser les cultures associées – et demandent un travail soutenu. C’est pourquoi les systèmes agroforestiers les plus performants se rencontrent dans les pays où la densité de la population rurale est la plus forte et où les forêts ont disparu (lakous d’Haïti, jardins agroforestiers de Java, bocage Bamilèkè et parcs arborés sur terrasses Kapsiki au Cameroun). Les résultats les plus probants, en matière de diffusion des systèmes agroforestiers au cours des trois dernières décennies, résultent du respect de modalités présentées ci-après :- L’accès aux forêts est limité, soit de fait lorsqu’il n’en existe plus, soit par décision du gouvernement qui met des forêts « sous cloche », en créant des forêts protégées définitivement (parcs et réserves) ou temporairement (capital foncier pour l’avenir), ce gouvernement ayant les moyens de faire appliquer cette politique, ce qui est très rarement le cas (ex. : Costa Rica, certains États de l’Inde).- On apporte une subvention durable aux agriculteurs qui conservent de jeunes arbres pour restaurer ou étendre leurs systèmes agroforestiers. C’est le cas de l’extension des parcs à Faidherbia albida au Nord-Cameroun, la subvention étant financée par un prélèvement sur la vente du coton. Également, les agroforestiers sont subventionnés pour les services écosystémiques qu’ils rendent à une communauté solvable ; tel est le cas des têtes de bassins versants approvisionnant une ville en eau en Inde ou au Costa Rica. En dehors des zones tropicales, ailleurs dans le monde, la plantation de haies bocagères est financée, notamment par la PAC2 en Europe.- On valorise les produits issus des systèmes agroforestiers en leur donnant des labels, qui permettent de les vendre plus cher à des consommateurs engagés (cas du café bio et équitable et du bois d’œuvre au Nicaragua).- On sécurise le foncier, ce qui garantit à l’agriculteur que les arbres qu’il plante pourront être récoltés par lui ou ses héritiers (exemple de la loi Gestion locale sécurisée, à Madagascar).- On encourage chaque agroforestier à adapter le système à ses possibilités (conditions écologiques, sociales, économiques) et à son accès aux marchés. Par exemple, dans l’Ouest-Cameroun, les agriculteurs éliminent de leurs haies des arbres devenus sans valeur (exemple : ficus producteurs de fibres végétales) pour les remplacer par des fruitiers ou des arbres producteurs de bois de sculpture et de menuiserie, de plus en plus recherchés en ville.Sans être une panacée qui permettra de bloquer le défrichement des forêts, l’agroforesterie est une nécessité absolue pour assurer aux populations du monde tropical une partie des biens et des services qui étaient autrefois rendus par les forêts. Par ailleurs, elle permettra aux forêts conservées d’être moins sollicitées par les populations, et elle contribuera à assurer leur survie à long terme, en facilitant le flux et l’évolution des ressources génétiques forestières.
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Thomas, Marie, Raphaël Bec, Juliet Abadie, Catherine Avon, Laurent Bergès, Audrey Grel, and Jean-Luc Dupouey. "Changements à long terme des paysages forestiers dans cinq parcs nationaux métropolitains et le futur parc national des forêts de Champagne et Bourgogne." Revue Forestière Française, no. 4 (2017): 387. http://dx.doi.org/10.4267/2042/67868.

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Déry, Steve. "Expansion agricole et déforestation : le modèle sud-est asiatique." Cahiers de géographie du Québec 40, no. 109 (April 12, 2005): 29–48. http://dx.doi.org/10.7202/022543ar.

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Abstract:
Depuis la Seconde Guerre mondiale, le paysage de l'Asie du Sud-Est a considérablement changé. L'espace agricole sédentaire a fait reculer ses limites comme jamais auparavant. Parallèlement, le domaine forestier a fortement régressé; tellement que dans certains pays, comme les Philippines ou la Thaïlande, l'exploitation des forêts ne suffit plus à rencontrer la demande interne. Cette relation entre l'expansion de l'agriculture et le recul des espaces forestiers n'est cependant pas spécifique au Sud-Est asiatique; il s'agit plutôt d'un processus universel, dont d'autres manifestations sont examinées. Cet examen souligne le rôle prépondérant joué par l'État à tous les niveaux du processus.
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Saint-Arnaud, Marie, and Charlie Papatie. "Ejigabwîn." Territoires et autochtones des Amériques 42, no. 2-3 (April 2, 2014): 111–27. http://dx.doi.org/10.7202/1024106ar.

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Abstract:
La forêt est au coeur du paysage culturel des Anichinabés de Kitcisakik. Comme c’est le cas pour de nombreuses nations autochtones du Canada, le territoire ancestral de cette communauté algonquine du Québec a fait l’objet d’interventions forestières continues depuis la fin du xixe siècle. Pour faire face à cette problématique, les gens de Kitcisakik ont choisi de s’engager dans un processus de recherche collaborative, appuyé par un cadre de référence en éducation relative à l’environnement. Cette initiative a permis d’amorcer un dialogue interculturel dans le but de définir les fondements d’une foresterie mieux adaptée au contexte autochtone. L’enquête menée par les auteurs a mis au jour le caractère identitaire de la forêt (nopimik) pour les Anichinabés et la dimension préoccupante de la foresterie. À partir du système anichinabé de représentation, ils ont élaboré un cadre de cinq principes (culturel, éthique, éducatif, écologique et économique) et de vingtdeux critères de foresterie autochtone. Cette proposition est analysée dans le contexte des changements normatifs et législatifs apportés au Québec par la nouvelle Loi sur l’aménagement durable du territoire forestier et le resserrement des critères de certification forestière du Forest Stewardship Council (FSC).
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Sivéry, Gérard. "Le passage de l'élevage extensif à l'élevage intensif et l'évolution des paysages forestiers dans le Sud-Est du Hainaut à la fin du Moyen Age." Hommes et Terres du Nord 2, no. 1 (1986): 172–76. http://dx.doi.org/10.3406/htn.1986.2064.

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Anctil, Alexandre, Hilde Marie Johansen, and Junior A. Tremblay. "Écologie de nidification du moucherolle à côtés olive dans un paysage sous aménagement forestier de la forêt boréale de l’Est." Le Naturaliste canadien 141, no. 2 (May 4, 2017): 53–60. http://dx.doi.org/10.7202/1039736ar.

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Abstract:
Le moucherolle à côtés olive (Contopus cooperi) a subi un important déclin depuis la fin des années 1960. La mise en place de mesures visant à favoriser son rétablissement est par contre limitée par notre manque de connaissances sur l’écologie de la nidification de l’espèce. L’objectif de cette étude était d’acquérir des connaissances sur le succès et l’habitat de nidification du moucherolle à côtés olive dans un paysage sous aménagement forestier de la forêt boréale de l’Est. Au cours des étés 2015 et 2016, 38 sites occupés par au moins 1 moucherolle à cotés olive ont été répertoriés et un total de 13 nids, tous dans des épinettes noires (Picea mariana) vivantes, ont été trouvés. Le succès de nidification a été évalué à 53,8 %, la prédation, potentiellement par le mésangeai du Canada (Perisoreus canadensis), et les conditions météorologiques adverses étant les 2 causes d’échec les plus probables. À l’échelle du paysage, les moucherolles à côtés olive ont sélectionné les peuplements mixtes, les bordures forestières et les coupes récentes. Notre étude aura permis d’obtenir d’importantes informations sur l’écologie de la nidification du moucherolle à côtés olive dans l’est de son aire de répartition.
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DEUFFIC (Philippe). "Les forestiers et la question du paysage des bois marmenteaux à la forêt "paysagée"." Revue Forestière Française, no. 3 (2005): 349. http://dx.doi.org/10.4267/2042/5049.

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Amat, Jean-Paul, and Micheline Hotyat. "Paysage forestier et télédétection." Revue Géographique de l'Est 25, no. 4 (1985): 379–89. http://dx.doi.org/10.3406/rgest.1985.1590.

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Kouedji Monthé, Joseph Felix, Annie-Claude Pial, Guy Merlin Nguenang, and Ghislain Aimé Fomou Nyamsi. "GESTION PARTICIPATIVE DES FORÊTS : ÉVALUATION DE L’EFFICACITÉ DES COMITÉS PAYSANS-FORÊTS DANS L’EST-CAMEROUN." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 324, no. 324 (March 17, 2015): 19. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.324.a31263.

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Abstract:
Le secteur forestier camerounais joue un rôle très important dans l’économie nationale et assure un ensemble de fonc- tions sociales et environnementales. Dans le souci de gérer ce secteur de manière durable et participative, la loi forestière, fruit de l’opérationnalisation des recommandations du sommet de Rio de Janeiro, prévoit l’implication des Comi- tés paysans-forêts (CPF), structures repré- sentatives des populations locales, dans la gestion forestière. Cet article se pro- pose de tirer les leçons de la gestion par- ticipative des forêts à travers l’évaluation de l’efficacité des CPF de deux départe- ments de la région de l’Est-Cameroun, la Boumba et Ngoko et la Kadey. L’évalua- tion de ces CPF a été conduite sur la base des dispositions légales énoncées dans la décision n° 1354/D/MINEF/CAB du 26 novembre 1999, de laquelle six cri- tères d’évaluation et 20 indicateurs de performance ont été tirés. Les données collectées sur le terrain laissent entrevoir de nombreux dysfonctionnements : inexistence des CPF dans certaines locali- tés sujettes à l’exploitation forestière, absence de document normatif et statu- taire pour la majorité des CPF, insuffi- sance des ressources financières auto- nomes, faible collaboration avec les autres acteurs de la gestion forestière et déséquilibre dans la représentativité des différentes composantes sociales au sein des bureaux. L’analyse des écarts montre que les niveaux de conformité des CPF avec les exigences légales dans les départements ciblés sont très faibles. Aucun critère n’est conforme et 65 % des indicateurs présentent des niveaux de conformité nuls. En définitive, les objec- tifs assignés aux CPF ne sont pas atteints, ce qui met en évidence leur inefficacité. Des pistes d’amélioration sont proposées autour de l’information, de l’autonomisa- tion et de la formation des CPF.
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Bussières, Bruno, Serge Payette, and Louise Filion. "Déboisement et entourbement des hauts sommets de Charlevoix à l’Holocène supérieur : origine des étages alpin et subalpin." Géographie physique et Quaternaire 50, no. 3 (November 30, 2007): 258–69. http://dx.doi.org/10.7202/033099ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ La datation au radiocarbone effectuée sur des charbons de bois a permis une reconstitution partielle de l'historique des feux durant l'Holocène supérieur, sur les hauts sommets de Charlevoix. Les étages subalpin et alpin se sont formés après 3000 BP. Les feux récurrents ont causé une fragmentation du couvert forestier et une diminution de la régénération forestière vraisemblablement associée à des conditions climatiques défavorables. La végétation des étages subalpin et alpin résulte des changements écologiques déterminés par le passage aléatoire des feux et ne constitue donc pas une réponse directe au gradient climatique créé par la topographie. La différence de végétation (forestière ou ouverte) entre des sommets pourtant à une altitude similaire résulte d'une action différentielle des feux entre les sites. L'entourbement des versants est survenu plus récemment, soit après 1250 BP et surtout après 600 BP. Le caractère tardif de l'entourbement de certains sites par rapport à l'âge des feux indique que la tourbe n'a commencé à se former qu'avec le refroidissement climatique survenu après le Petit Optimum climatique, soit au cours du dernier millénaire. Malgré ce délai, il semble bien que la formation d'un revêtement de tourbe ombrotrophe sur les versants soit une conséquence de l'ouverture du paysage par les feux.
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Pyne, Stephen J., and Pier Courville. "Mon pays, c’est le feu. Le Québec, le Canada, les forêts et le feu." Globe 9, no. 1 (February 15, 2011): 141–75. http://dx.doi.org/10.7202/1000801ar.

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Abstract:
Le feu fait partie intégrante de la réalité de l’arrière-pays boréal du Québec et, au fur et à mesure que la colonisation et l’exploitation forestière ont pénétré dans les terres à partir des rives du Saint-Laurent, le gouvernement a créé des organismes pour protéger les villes et les concessions forestières. Cette évolution a longtemps été régie par un équilibre entre les intérêts concurrents de la colonisation, de l’industrie et de l’État, ce qui rendait difficile l’élaboration d’une stratégie cohérente. En 1972, l’État a imposé sa prédominance et depuis, les stratégies provinciales de protection contre le feu se sont de plus en plus jointes à celles du Canada et font que la protection contre les incendies au Québec s’apparente davantage à celle mise en place par le gouvernement canadien que les stratégies des autres provinces. Pourtant, la stratégie ne reconnaît toujours pas la logique du feu lui-même; une troisième solitude dans le paysage québécois.
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Barima, Yao Sadaiou Sabas, Nicolas Barbier, Issouf Bamba, Dossahoua Traoré, Jean Lejoly, and Jan Bogaert. "Dynamique paysagère en milieu de transition forêt-savane ivoirienne." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 299, no. 299 (March 1, 2009): 15. http://dx.doi.org/10.19182/bft2009.299.a20419.

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Abstract:
La dynamique temporelle des forêts d'une zone de transition forêt-savane, située dans le département de Tanda, à l'est de la Côte d'Ivoire, a été déterminée à partir de l'analyse diachronique de deux images satellitaires de type Landsat TM 1986 et Landsat ETM+ 2000, et de missions de vérification sur le terrain. Les résultats indiquent que les surfaces forestières en 2000 couvraient 29 % de la zone d'étude au lieu de 73 % en 1986. Cette régression forestière a été compensée par une augmentation des zones occupées par les savanes. Les forêts denses sont les plus affectées par cette perte d'habitat, leur superficie ayant diminué de 83 % pendant la période d'étude. La dynamique spatiale du paysage, caractérisée par des indices structuraux, a montré un processus de création de taches de savanes par opposition à la suppression de celles des formations boisées. D'une façon générale, la région d'étude a subi une transformation importante liée essentiellement aux activités agricoles et à la pression démographique. (Résumé d'auteur)
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Dubiez, Emilien, Cédric Vermeulen, Jean-Philippe Tonneau, Timothée Yamba Yamba, Baby Mvolo, and Adélaïde Larzillière. "Le paysage comme outil d'aménagement des terroirs villageois." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 315, no. 315 (March 1, 2013): 11. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.315.a20534.

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Abstract:
La gestion de la ressource bois énergie en périphérie des grands centres urbains est devenue une préoccupation de premier ordre en Afrique centrale. À une demande croissante en bois énergie correspondent des auréoles de déforestation de plus en plus larges. Les communautés villageoises situées dans cette auréole vivent aujourd'hui dans un environnement à ce point dégradé que les écosystèmes forestiers et les biens et services associés y ont presque disparu. La surexploitation de ces espaces nécessite entre autres de repenser l'aménagement des terroirs villageois. Cette étude présente une démarche d'élaboration de plan simple de gestion de terroirs villageois. L'article discute la pertinence d'une approche d'aménagement fondée sur le paysage perçu et vécu par les populations. L'organisation sociale de la communauté, ses pratiques et ses modes de régulation d'accès à la ressource sont des éléments qui structurent le paysage. Ils se traduisent dans une typologie locale de l'espace employée au quotidien. Cette typologie a été mobilisée pour une meilleure appropriation des concepts d'aménagement par les communautés et pour une mise en ¿uvre plus effective. À contre-courant de la foresterie communautaire développée depuis plusieurs années en Afrique centrale, cette approche est structurée autour d'un processus participatif, progressif et itératif. Elle permet d'amener des groupes endogènes à intégrer leur vision de l'espace dans les prises de décision, à faciliter les débats autour de la question de l'aménagement de leur terroir et à contribuer à la reconstitution d'espaces forestiers dégradés.
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Metzel, Ruth, and Florencia Montagnini. "From Farm to Forest: Factors Associated with Protecting and Planting Trees in a Panamanian Agricultural Landscape." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 322, no. 322 (October 17, 2014): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.322.a31225.

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Abstract:
Les fragments résiduels de forêt sèche sur la péninsule d’Azuero au Panama sont repré- sentatifs d’un des types forestiers les plus menacés à l’échelle de la planète, et qui a quasiment disparu au Panama. Dans de telles zones de production agricole et d’éle- vage, les arbres hors forêt sont indispensa- bles à la connectivité du paysage, à la survie des espèces autochtones et au maintien des services écosystémiques associés à ces frag- ments forestiers résiduels. Les enquêtes que nous avons menées auprès de gestionnaires terriens dans la province de Los Santos au Panama montrent que les agriculteurs dans cette région protègent et plantent des arbres pour des motifs différents. Alors qu’ils protè- gent les arbres pour plusieurs raisons (comme source de bois, de fruits, de fourrage et d’ombre, et pour leur protection de l’eau), ils en plantent surtout pour produire du bois et des fruits, qui leur assurent des revenus tangibles. Par ailleurs, dans cette région, les sites où les arbres sont plantés sont plus diversifiés et plus spécifiques que les sites où les arbres sont protégés. Six essences sont fréquemment utilisées pour la création de haies vives au Los Santos, et les proprié- taires de ces haies gardent souvent des arbres utiles pour le fourrage et le bois à proximité. La gestion coopérative des haies vives pourrait ainsi devenir un moyen effi- cace pour augmenter la connectivité des pay- sages dans cette région où ils sont fortement fragmentés. Nos résultats indiquent que les agriculteurs de Los Santos plantent des arbres ou les protègent dans leurs terres pro- ductives pour des raisons très différentes. Ces différences entre leurs motivations ont des implications importantes qui doivent être prises en compte dans les approches visant à accroître la couverture forestière dans la région. Les projets visant à promou- voir la régénération naturelle des forêts encouragent les agriculteurs à protéger les arbres sur leurs terres, et pourraient mieux réussir en mettant l’accent sur les services écosystémiques intangibles tels que la pro- tection de l’eau à moindre coût. À l’inverse, les projets visant à promouvoir la plantation d’arbres doivent en démontrer les bénéfices économiques tangibles.
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Moretti, Marco, Peter Duelli, and Martin K. Obrist. "La biodiversité des châtaigneraies dans le canton du Tessin et du Misox (GR)." Schweizerische Zeitschrift fur Forstwesen 172, no. 6 (November 1, 2021): 376–79. http://dx.doi.org/10.3188/szf.2021.0376.

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Abstract:
Les châtaigneraies à fruits sont des milieux créés et entretenus par l’homme depuis leur introduction il y a quelque 2000 ans. Sans entretien régulier, elles sont vouées à disparaître, ce qui aurait des effets négatifs sur le paysage et la biodiversité. Afin de mieux comprendre ces processus, des études comparatives sur les chauves-souris, les oiseaux, les lichens et les arthropodes ont été réalisées dans des châtaigneraies entretenues et abandonnées. Tous les taxons et tout particulièrement les espèces rares et menacées profitent de l’entretien des châtaigneraies. La restauration de ces dernières est donc indispensable pour la conservation à long terme d’un paysage agro-forestier comportant des arbres-habitats séculaires de grande valeur écologique.
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EL-HADJ ISSA, Azizou, Dossou Sèblodo Judes Charlemagne GBEMAVO, Achille HOUNKPEVI, Guy Apollinaire MENSAH, and Brice SINSIN. "Pressions anthropiques et dynamique des habitats naturels de la Réserve Transfrontalière de Biosphère du W-Bénin." Annales de l’Université de Parakou - Série Sciences Naturelles et Agronomie 11, no. 2 (December 31, 2021): 1–14. http://dx.doi.org/10.56109/aup-sna.v11i2.48.

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Abstract:
Les pressions anthropiques ont accéléré la dégradation des aires protégées surtout dans les pays en voie de développement où les populations dépendent fortement des ressources forestières. La présente étude vise à évaluer l’impact de la gouvernance induite par les différents projets / programmes connus par la Réserve Transfrontalière de Biosphère du W du Bénin (RTBW/B) entre 2000 et 2017 sur son intégrité écologique. De façon spécifique, elle vise à (i) analyser la variation spatio-temporelle des unités d’occupation des terres dans la RTBW/B entre 1990 et 2020 ; et (ii) évaluer la dynamique des indicateurs de pression (défrichement, braconnage, transhumance, pêche illégale, exploitation forestière illégale) sur la réserve de 1990 à 2020. Pour cela, une classification supervisée a été faite sur des images Landsat 4 pour l’année 1990, Landsat 7 pour 2000 et Landsat 8 pour 2020. De plus, une analyse de la tendance des indicateurs de pression a été faite. Les résultats ont montré que le paysage de la RTBW/B s’est fortement dégradé entre 1990 et 2000 avec des taux annuels de changement, certes, relativement bas (entre -0,002 et 0,336 %) mais traduisant une dynamique homogène du paysage. Par contre, entre 2000 et 2020, une nette amélioration du couvert végétal est observée et ceci se traduit notamment par le fait que les mosaïques de champs et jachères ont fortement régressé (ΔS<0 et Tc = -0,822%). De plus, une tendance régressive est globalement notée pour les indicateurs de pression sur la période. Tout ceci pourrait traduire un impact positif des actions des différents projets/programmes mis en œuvre entre 2000 et 2017. Toutefois, il est important de disposer de données sur de longues périodes sur les aires protégées bénéficiaires afin de mieux appréhender les impacts des multiples projets et programmes sur leur intégrité écologique des aires protégées.
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FRANC, A., and B. VALADAS. "Stations forestières et paysages : les granites du Massif central." Revue Forestière Française, no. 4 (1990): 403. http://dx.doi.org/10.4267/2042/26087.

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Castonguay, Stéphane. "Foresterie scientifique et reforestation : l’État et la production d’une « forêt à pâte » au Québec dans la première moitié du xxe siècle1." Revue d'histoire de l'Amérique française 60, no. 1-2 (February 21, 2007): 61–93. http://dx.doi.org/10.7202/014595ar.

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Abstract:
Résumé Cet article examine l’essor de la foresterie au Québec pour décrire les modalités par lesquelles l’État utilise l’activité scientifique afin d’exercer un contrôle sur son territoire. En nous intéressant à une pratique – la reforestation – et à une institution – la pépinière provinciale de Berthierville –, nous proposons une lecture du développement de la foresterie scientifique au Québec où la reconfiguration du paysage forestier permet la mise en place d’un ordre naturel et social. Pour ce faire, nous situons la pépinière de Berthierville à la jonction de deux réseaux : un premier qui fournit le ministère des Terres et Forêts avec un personnel qualifié et une connaissance technique, et un second qui situe la reforestation au centre d’une stratégie pour récupérer le territoire abandonné au mouvement de colonisation et le ramener à un usage productif. L’examen des activités scientifiques du ministère des Terres et Forêts dans la première moitié du xxe nous indique comment la reforestation, une pratique centrale de la foresterie scientifique au Québec, appelle une représentation spécifique de la forêt en regard de l’essence qu’elle promeut – l’épinette blanche – et un façonnement tout aussi spécifique du paysage forestier. La dimension normative de cette pratique et de cette essence se révèle dans le procès de reconquête des terres abandonnées et dans un travail d’encadrement des activités de colonisation.
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LHOEST, Simon. "Biodiversité et services écosystémiques en forêts tropicales : le rôle des affectations des terres forestières dans la région du Dja, Cameroun." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 345 (November 2, 2020): 105–6. http://dx.doi.org/10.19182/bft2020.345.a31949.

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Abstract:
Des dizaines de millions de personnes dépendent des forêts tropicales pour leur subsistance en Afrique centrale. Ces écosystèmes abritent une biodiversité unique et fournissent d'importants services écosystémiques (SE), qui peuvent varier en fonction des stratégies de gestion. Dans cette thèse de doctorat, nous avons évalué la biodiversité et les services écosystémiques dans le paysage du Dja au Cameroun, dans trois affectations des terres forestières : une aire protégée, une concession forestière certifiée FSC et trois forêts communautaires. Tout d'abord, nous avons évalué la valeur de conservation des forêts sur la base de la richesse et de la composition en espèces de deux groupes taxonomiques : les mammifères et les bousiers. Les espèces les plus grandes et les plus menacées ont été détectées dans l’aire protégée et les zones les plus éloignées de la concession forestière, mieux préservées de l'influence humaine. En revanche, les forêts communautaires sont particulièrement défaunées et dégradées en raison de leur proximité avec les routes et les villages, mais elles couvrent des superficies beaucoup plus limitées et conservent une canopée fermée. Deuxièmement, des entretiens identifiant les perceptions de l'offre en SE ont montré que, contrairement aux services de régulation qui ont été rarement mentionnés, les services d’approvisionnement et culturels sont les plus importants pour les populations locales. Parmi ceux-ci, la viande de brousse est le seul service pour lequel l’offre de la forêt n’est pas suffisante pour les populations locales. Troisièmement, en combinant des entretiens et enquêtes de terrain, nous avons quantifié l'utilisation de huit SE d'approvisionnement et culturels par les populations locales. Nous avons constaté que le bois de feu et le bois d'œuvre sont utilisés de manière durable par les populations locales, tandis que la chasse et la consommation de viande de brousse dépassent les seuils de durabilité. Concilier la conservation de la faune sauvage, la sécurité alimentaire et les pratiques de chasse durable est un défi majeur en Afrique centrale. Pour ce faire, il est essentiel d’intégrer toutes les parties prenantes dans les stratégies de gestion forestière durable, permettant d’identifier les leviers sociaux qui sous-tendent les changements de comportement des utilisateurs des forêts.
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